J A U ! A Y
Jatte , fuite à h . IV . 239. /■ .
J A V A , rijïc'cfe , {Géopr.) IX tix ifles de ce nom , la
grande 6c la petite. Situntion de ta grande. OHctvation fur
le nom de Juùu Jiu que lui donne Ftolomcc. 11 fcmble que
le.s habitans de Borneo l’aient découverte les premiers,
l-'.lle eft au pouvoir des Hollandois. Autres peuples de cette
i(!e. Divers pays qu’elle ccmicm. VLll. 469. b. Los Hollan-
dois y ont par-tout la fupérioriré tcriatorialc. Delcriptiun
de cette ülc. Ses produélions. Divers animau.K qu’on y trouve.
Volcans qu’elle renferme. Religion des favans. Auteurs
<[ui ont donné des relations de l’illc de Java. Petite Java autrement
dite iße de Buli. Son érendue. Defeription des
babiinns. Ses produélions. Cette iBc fréquentée par les v o yageurs
qui y viennent prendre des raft aiehilTcmens. JA^.470. h.
Ja v a , haie autour d’une montagne de cette ifle , nommée
Gliiri & de fon temple. Suppl. I. 772. u. Obfervations
<ur les habitans de cette ille. V l l l . 345. h. Sur leur médecine.
II. 549. l>. 793. J. Efpece de fac dans lequel ils dorment.
Suppl. I. 900. .1 , l>. Animal de l’ifle de Java regarde
comme le plus féroce des animaux. IX. 791 . h. Empire de
Mr.taram dans cette ifle. X . 187. u. Volcan. XVH. 443. b.
JA VA RIS , ( Zoolog. ) quadrupède de l’Amérique. Sa
defcripûon. V i l l . 470. ,1.
J A V Ä R T , ( Maréch. ) petite mineur. Javart nerveux. Ja-
vart encorné. Opération à faire dans ce dernier cas.V III. 470. b.
Javart encorné. V . 63 a. a. Voyc^ Suppl. 111. 41a. a , b.
416. b.
JAVl-'LINE, {A n . milii.) Defeription de cette arme des
anciens. Cavaliers Maures qui en font encore nlage. Acirefle
avec laquelle ils s'en fervent. M. le chevalier de Folard
prétend qu’on ne peut rien imaginer de plus redoutable
que cette arme pour la cavalerie. VIII. 470. h.
JA'S’ELLE , ( Econ. rußiq. ) Avoines javellées. C e qu’on
entend par javellcr. ) Durée de tems pendant lequel on Initie
javeller le blé. V l l l . 470. b.
Javelle, {Chryfoßorne) favant Dominicain Italien. XII.
372. b.
J A V E L O T , {H iß . nat.) ou ferpeut vohnt. Pourquoi il
eft appelle javelot ; fes autres noms. Il y en a de différentes
efpcces. Defeription d’un de ces ferpens trouvé dans l’ifle
de Rhodes. Divers lieux où l’on en trouve. VII I. 471. a.
Javelot, ( Art. miüt. )denx fortes de javelots. VIlI.471.rf.
J.ivelot des Romains. I. 686. b. 687. a. X. 307. h. Diflé-
rence entre le dard & le javelot. VIII. 62. a. Entre le javelot
&. la javeline. X V II . 783. b. Exercices du javelot chez
les R o m a i n s . I V . 668.i. Javelots plombés.XII. 799. a.
Javelot des anciens Gaulois 8c Germains. 11. 737- a. Javelots
des Macaffares. Suppl. I. 423. a. Des habitans des Mo-
luques. 773. b. l'oyei T rait.
Javelot , ( Gymn. atklétiq. ) Defeription de ce dard.
Exercice du javelot. V III. 471. a.
J.^UER^n/n-.^rfHtrVs, (Géeg/-.) province de la Siléfle Priif-
flenne. Scs bornes & fo n étendue. Qualité & produélions
du pays. Diviflon & principaux lieux de cotte province. Ses
1 évolutions. Son gonvetnement. Suppl. 111. 307. a.
JAU G E , ( Gram. & A n s ) Ufage de cet inflriiment. D ifférentes
fortes de jauges. \ 'I IL 471- rf-
Jauge facile pour les vaifleaux en vuidange. Explication
de cette méthode. V l l l . 471. b.
Jauge en architeélure. V l l l . 4-2. rf.
Jauge des ouvriers en bas au métier & des ouvriers en
métier à bas. VIII. 472. a.
Jauge de l’aiguilletier. V l l l . 472- rf.
Jauge des chaînetiers, des marchands de fil de fer Sc de
laiton. VII I. 472. rf-
Jauge des ceinturiers. VII I. 472. a.
Jauge du charpentier. V l l l . 472. h.
J.iuge de répingher. V l l l . 472. b.
Jauge du fayencier , FavenCE. M IL 472. b.
Jauge du tonnelier. VIII. 472. b.
J.tuge du fomainier V l l l , 472. b.
Jauge du jardinier. V l l l . 472. b.
appellée éprouvette. V . 480. a. Comment on diminue
le frottement dans les jauges en hydraulique. VII. 343. b.
Inflrumcm qui fert à jauger appelle vclte. X V I . 908. b.
Verge pour la jauge. X V II . 63. é. Jauge appellee viertel en
Hollande, X VII . 266. b. Planches relatives à l’art de la jau-
g c .V . vol. Arpentage, pl. 3.
JAU G E AG E , (Cü/Ttra.) Diverfes acceptions de ce mot.
VII I. 472. b.
Jaugeag e , ( Gr'om. ) explication de différentes méthodes
pour le jaugeage des umncaiix. Suppl. III. 307. a , b
JA U G E R , {Geom.) En quoi confifle cette opération,
V l l l . 472. b. On ne peut jauger les tonneaux exaélement
& géométriquement. Le jaugeage le plus difficile efl celui
des v.ûli’eaux de mer : railbn de cette difficulté. Ce qu’on
entend communément par jaugeage des vaijfeau.x , dans le
commerce maritime. Les différentes méthodes de jauger les
vaifleaux ayant été envoyées à l’académie royale des feieHces
par M. le Comte do T o u lonfe , pour avoir fon juge-
ment fur cct objet , llnJ. 473. a. NI. de Mairan prêter?,
colle do M. Hocquart. En quoi elle confifloit. Du jaugeage
en général : en quoi U confifle. Principaux vaiffeaux que l'un
a communément à jauger. Principes généraux. Règle orcli-
nniro pour jauger les tonneaux. Ibid. b. Conflruélion d’ime
verge ou regie de jauge. Jbïd. 474, .2. Son ufage. Mémoire
de M. Camus fur la jauge des conneaux, Ibid. b.
Jauger, {coupe des pierres.) VTII. 474. b.
J.:uger, attention qu’on doit faire au jablc dans cette operation.
VIII. 426. rf. Sur l’arc de jauger, voye^ ToiSÉ.
Jauger, {Hydr.) Defeription de rinflnunenc de jauge,
par lequel on connoît la quantité d'eau que fournit une
füiircc. VII I. 474. b. Maniéré de fe fervir de cer initrii-
ment. Ibid. 373. rf. Defeription d’un inflrument des fonta'-
niers appelle quille. Moyen do connoitre la quantité d'caii
fournie par un ruiffeau ou une petite riviere. Comment 0)t ^
auge l’eau que fournit une pompe à bras, à cheval, &c. ibid. b.
Fa UGEUR. Chaque juré-jaugeur doit avoir la jauge
jufle & de bon patron. Il doit imprimer fa marque fur le
tonneau qu'il a jaugé. Il doit avoir fa marque partieuhevo.
Il efl permis à chacun de demander une nouvelle jauge.
Nul appremif jaugeur ne peut s’immifeer à f.iirc aucune
jauge, qu’après un an d’apprentiffage. VIII. 473. b. Etat des
jaugeurs en France : détails hifloriques fur ce fiijet./i’j£/.476. a.
JAU2MIERE,(Afrfri/2e) petite ouverture à la pouppe du
vaiffeau. Ses dimenfions. To ile dont on la garnit quelquefois.
VIII. 476. rf.
JAUNE. ( Gr.imr>i. Phyfiq. Teint.) Subflances jaunes qu on
blanchit au foleil & à la rofée. Ôbfervations fur quelques
changemeiis de couleur dans le papier, l’ivoire & la Ibie.
Jaune en teinture. Comment on donne aux étoftes les jaunes
les plus fins. Divers ingrédiens employés.^ Moyens
de faire le verd , Sedifférentes nuances du jaune. V III. 476. a,
jAUNEbc Naples, {Peint.) d’où fe tire cette pierre. Sel âcre
qu’elle renferme. Maniéré de la préparer. VIII. 476. F.
l'oye:^ Suppl. IV . 310. F.
Jaune des corroyeurs. Comment on le fait. V l l l . 476. b.
J.iune. Principe des nuances jaunes dans les fleurs. V I .
833. h. Jaune aurore pour la teinture. I. 889. b. Encre jaune.
V . 633. d. Jaune pour la peinture à frefque , V II . 304. b.
pour le papier marbré. X. 74. a. Jaune pour la teinture ,
découvert par M. de Juflîeu , 100. a , b. pour la porcelaine
de la Chine. XIII. i i i . a- 112. rf. Maniéré de teindre en
jaune. X V I . z\. b. Du mélange du jaune avec d’autres couleurs
de teinture. 24. b. Arbre d’Ethiopie dont les habitans
emploient le fruit pour la teinture en jaune. 336. a. Jaune
pour la peinture des toiles dos Indes , 374. a. pour les toiles
imitées des Indes , 378. b. 379. a. Plante que quelques peuples
emploient pour fe peindre en jraine differentes parties
du corps. Suppl. I. 237. rf. Habits jaunes , à quel ordre de
gens ils font réfervés à la Chine. Suppl. ÏI. 631. a.
Jaune, ( Alédec. ) C e qu’annonce la couleur jaune du vi-
fage. IV . 3 3 3-i-
JA U N IR , (/Jrfrcrf/crf io L ) V I I !.4 7 6 .é .
Jaunir , ( Epingücr) comment on donne cette façon au fil
de laiton. V lll.4 7 b - b.
Jaunir , ( Cloutier d'épingle ) V l l l . 476. b.
JAUNISSE. ( Médecine) Différensnoms de cette malulie.
Plulieurs cfpeces de jaiinifle ou d’iéfere. VIII. 476. h. II y
a des cas où la jauniffe a infeeflé jufqu’aux os. Toutes les
humeurs du corps reçoivent quelquefois la même couleur.
Sueur jaune des Perfans. La couleur du fang des iétériqiies
a été quelquefois changée en jaune. Degrés de décoloration
extrêmes dans ces malades. Autres fymptômes de jauniffe.
Caufes de cette maladie. Ibid. 473. rf. Jaunifle fymp-
tomatique. Jaunifle critique. Jaunifle primaire , fccondairc ,
périodique. Diagnoftic. Ibid. b. Prognoflic. L'hydropifie cil
une fuite affez fréquente des jaimiffes mal traitées. Traitement
de celte maladie. Ibid. 478. a.
JauniJJc. Pierre à laquelle on attribuoit la vertu de guérir
cette maladie. VIII. 488. b. L’équitation faliitairc dans ccite
maladie. Suppl. II. 848. a , b. Ceyrj;ICTERE.
Jaunisse, (Afrfrc'c/i.) deux cfpeces; la jaune 6c la noire.
Caufes de la premiere. Ses efiets. VIII. 478. b.
J A V O U X , {Céogr. & N i^.anc.) village du Gevaudan ,
dont il étoit autrefois la capitale. Scs noms anciens. Evêché
autrefois attaché à ce lieu. En quel tems cette place fut dét
r u i t e . I I I . 308. i.
JA X A R T E S , {Géogr.) riviere d’Afie. Erreur d’Alexandre
8c de Quinte-Curce fur cette riviere. Son nom moderne cfl
Si/tun. Le Jaxartes ne va plus jufqii’.à la mer. VIII. 478. b.
Jaxartes, ce fleuve auffi nommé Silts 8c Taïuïis. X V . 199. b.
JA Y E T , ( Chymie, Mat. medic.) bitume fort analogue au
charbon de terre. Produit du jayet diflillé fans intenuede. Ca-
raélcrcs de cette fubflance. Des vertus 8c des ufa^es inédici-
naux du ja y e t , 8c particuliérement de fon huile. \ IlL 436. <1.
Erreur populaire furl’ufage intérieur de cette huile parnapport
I ttux femmes./ii«/. F.
I C H Ja y e t , voys;^ Ja ie t . Manière de faire les jayets dont
on fe fert en broderie. V . 344. b.
JA YM E o a Ja c q u e s I , roi d’Aragon , ( Eliß. d’Efpagne )
caraélere de ce prince. Hiftoire de fa vie 6c de fon regne.
Suppl. III, 308. b. — 310. rf , b.
Jayme vu Jacques 11, roi d’Aragon , {Hiß. d'E fpagne)
prindpaux événemens de fon regne. Suppl. III. 5 1 1 . a , F. 3 ta. r B IJBEIXUMA, ( Botan. exot. ) arbre du Bréfil. Defeription
deIon_^ fruit. Qualité 6c ufage de fon écorce. VIII. 479. a.
IB E R IE , ( Geogr. anc. ) ancien nom de deux pays diffé-
rens , 1 une en A f ie , l’autre en Europe. Peuples anciens
qui découvrirent l’ibérie maritime européenne. Mines que
les Carthaginois firent valoir en Ibérie : ce qu’elles produi-
firent aux Romains. Pareffe des 'Ibériens anciens ôc modernes.
Portrait que Jitflin fait de ces peuples. VII I. 479. a.
Sur 1 origine &. la fignification du mot Ibérie , vvye^ Suppl.
IBIÜIRABA, ( Botan. ) arbre du Bréfil. Qualité de fon fruit.
Ufage de la feuille 8c de la fleur. Eau qu’on retire de la fleur.
VIII. 4-9. Ä. ^
IBIBOHOCA , {Zoolog.) ferpent d’Amérique. Sa defeription.
VIII. 479. rf. Iliboboca.
ÎB ICU S , ancien poète. X IV . 246. a.
IBIJARA , ( Zoolog. ) ferpent d’Amérique. Erreurs fur cet
animal. Sa defeription. VIII. 479. h.
IB IJA U , ( Ornith. exot.) chat-huant du Bréfil. Sa defeription.
VIII. 479. b.
IB IS , ( 0/-/2//A. ) oifeau d’Egypte. Sa reflemblance avec
la cicogne. Sa defeription. Sa nourriture. VIII. 479. b.
Ibis, repréfenté vol. V I des planches , regne animal, planche
47.
I B i r iN , {H iß .n at.) ferpent des ifles philippines. Sa defeription.
Combien il cft dangereux. V l l l . 480. a.
IBN U-E L-BA ITA R , médecin arabe. X. z Z j.a .
Ibnu-Top/iail, méd.-ciil arabe. X. 287. b.
Ibnu Zohar, médecin arabe. X. 287, a , b.
IBRAHIM , calife d'entre les Oininiades. Suppl. II, 130.
rf. Autre perlbnnage de ce nom , frere d’Abbas , qui contribua
à faire paffer le califat des Onumades aux Abbaflides.
Suppl.l. 13. rf. I C
IC A D E S , ( Hiß. anc. ) fête en l’honneur d ’Epicure. O rigine
de ce nom. Comment les Epicuriens la célébroient. V III.
480. rf.
IC A N -K APEL LE , efpece de poiflbn. Suppl. I. 6. b.
IC AQ U E S , (Gebg/-. ) peuples du g riphe d’Honduras,ainfi
appelles d’un petit prunier dont ils fe nourrilTcnt. Comment ils
en font la garde. VIII. 480. a.
IC A R E , {Myt/i.) fils de D édale. Sa fuite de l’ifle de Crete
& fa mort. Suppl. III. .313. b.
Icare, on lui attribue l’invemion delà feie. X IV . 784. F.
IC A R I A , {Géogr.) vpytfç Nicaria. Mes Itaries : fêtes
qu’on y célébroit en l’honneur de Diane St d’AjroUon.
X V . 943. rf. Temple de Diane dans l’ifle Icarie. X V I . 70. b.
ICCIÙS POR TUS ou Siitis, 8c même Itcius portus, ( Géogr.
anc.) ancien port de la Gaule. Divers fentlmens fur le vrai
lieu de ce port. Différentes raifons qui donnent lieu de
croire que cette place efl aujourd’hui un village appelle
H 'ifa n d .Y U lg S o .b .
ICELE , ( Myt/iol.) fils du Sommeil 8c frere de Morphée.
Il fe changeoit en toute fortes de formes. Noms que lui don-
noient les hommes 8c les dieux. VIII. 480. b.
IC ÉN IEN S , {Géogr. anc.) anciens peuples de la Grande-
Bretagne. Lieux qu’ils liabitoient. Traces qu’on y trouve de
leur ancien nom. C e que devint le pays des Icéniens quand
les Saxons eurent affermi leur heptardiie. V l l l . 480. b.
IC H IN , ( Cornm. ) mefure des longueurs en ufage au Japon.
Elle efl uniforme dans tout l’empire. Ichins des particuliers.
Ichlns publics. Longueur de cette m.-fiire. VIII. 481. b.
ICHNEUMON , {Hiß. nat. ) infeifle , mouche vorace qui
mange les araignées. Différentes efpeces d'ichneumons. Les
uns n’ont point de queue apparence , les autres en ont une
très-longue. Hifloire naturelle de ces dift'érens infeéles. VIII.
481. rf. ,
Ichneumon , voy<?ç MANGOUSTE. X. 21. rf. Coques d’ichneu-
mon. IV. 181. rf , é.
ICHNOGRAPHIE, Perspective. Différence entre
richnographie, l’orthographie , & la feenographie. XIV.
_^CHOGLAN , ( /rfrç. ) efpece de page du grand-
feigneur. Education que l’on donne à ces jeunes gens qu’on
éleve dans le ferrail. VII I. 481. F. Divers emplois auxquels ils
fontdeflinés. Ibid. 482. b.
ICH O R E U X , adj. {Chirurg.) Quels font les ulcérés qui
Tome II.
I C O donnent tm pus ichoretix. Etymologie du mut. Comment
on tarit la fource de l’humeur ichoreufe dans les plaies des
parties membraneufes 8c aponévrotiques. Iiicifioti iiéceffairc
lorfque dans la piquûrc d’une aponévrofe ou d’un ligament,
les matières ichoreufes font rerenues derrière. Comment
on corrige le pus ichoreux qui vient du défaut de.
rcflbrt des chairs. Les chairs mollaffcs d’un cautere forment
quelquefois un bourrelet pâle doue il ne fort qu’un pus icho-
rciix. Comment on détruit ces chairs excédentes, 8c l’on ranime
les autres. V l l l . 482.F.
ICH TH Y O C O L L E o u colle de poijjbn, {A n mcchan. Comm.)
Manière de faire la colle de poiffon ou de Mofeovie. Ca-
raflere de la meilleure. En quoi confifle cette colle fuivant
M. Duhamel. Ses propriétés 8c ufages. Suppl. III. 313.
b. Maniéré de la préparer afin de pouvoir s'en fervir,
Ibid. 314. a.
IC H TH Y O L ITH E S , {Litholog.) pierres dans lefqiieiies
on trouve des empreintes de pojflbns : parties de poiffoiis
pétrifiées. VIII, 482. b. Lieux où l’on trouve Ces fortes de
pierres. Ibid. 483. rf.
IC H TH Y O LO G IE , {Hijl. nat.) fcience qui traite des
poiffons. Coimolffanccs que doit acquérir le naturalifle en
s’appliquant à cette étude. Divifion des poiffons en trois claf-
fe s; les cétacées, les cartilagineux , les épineux ; leurs caractères.
Quelles font les parties d’où l'on tire- les caraélcrcs
génériques des cétacées, 8c des cartilagineux. VIII. 483. a.
Difficulté d’établir les caraéleres des épineux. La forme des
nageoires 8c de la queue du poiflbn épineux peut paroitre un
des caraéleres eflentiels pour fonder la diflinéUon générique ,
cependant une recherche approtondie démontre que ces deux
chofes ne font ici d’aucun fcrvice. La forme du dos , du ventre
, 8c de toute la figure du corps confidéré en longueur 8c
en largeur, ne peut non plus fonder les diflinélions des genres.
Dillinélioiis qu’on peut établir de l’infpeflion de la tète
8c de fes parties. Ibid. b. La pofition 8c forme des écailles
peuvent fervir de marque collatérale diflinélive. Divers genres
de poiffons qui ont tous leurs nageoires dans la même
firuation. La fmiation des dents efl femblable dans plufieurs
efpeces d’un même g en re, comme dans plufieurs genres diffé-
rens. Le nombre des dents n’elt pas plus favoral>le à ce def-
fein. Le nombre des os qui foutiennent les nageoires, peut
fervir à dilVmguer les efpeces, mais non à former les genres.
Obfervations fur les autres parties extérieures. Ibid. 484. a,
Caraéleres diftinélifs des quatre genres de maquereaux, de
Jjerches, de gadi 8c de fyngnaihi. Exception à l’égartl des
faumons 8c des coregoni. Par rapport aux nageoires, plufieurs
genres de poiffons en om tous le meme nombre en général.
Tandis que toutes les efpeces d’im même genre on t ,
conflainment même nombre d’os dans la membrane qui couvre
les ouïes, il eft très-rare que les divers genres aient ce
même nombre. Ce nombre d’os dans cette partie, fournit
donc le plus effentiel des carafleres pour la diftinélion des
genres des poiflbns offeux. Autres caraéleres cffemiels à U
détermination des genres. Ibid. b. Auteur ichthyologifle d’où
ces détails ont été tirés. Ibid. 483. a.
IC H TH lfO LO G IS T E , ( Hifi. nat. ) les auteurs de ce nom
i^njçcs fous^ différentes claffes. Ichthyologifles fyflématiques.
Ceux qui n’ont écrit que fur des poitfons de pays , ou de lieux
particuliers. Ceux qui ont tiré leurs obfervations des écrivains
qui les ont précédés. Ceux qui n’ont point fiiivi de méthode.
Ichthyologifles méthodiques. Ichthyologifles qui noue fuivi
que 1 ordre alphabétique. V iII. 483. rf. Autres écrivains qui
n’ont confidéré que richthyologie fiicrée, ou l’anatomie particulière
de quelques poiffons. Quels font les plus recoin-
mandables iclithyologifles. Lifte des ouvrages de tous les
auteurs qui ont été iiominé.s ci-deffus, où fe trouvent indiquées
auffi les meilleures éditions de ces ouvrages. Ibid. b.
IC H TH Y OM A N T IE , {D iv in .) divination qui fe droit
de I’infpeflion des entrailles des poiffons. Autre efpece d’ich-
thyomantie qui fe pratiquoit à Mire en Lycie. VIII, 486. b.
ICH TH YO PH A G E b , (Gebg-.rf/ic.) mangeurs de poiffons ;
cllvevfes nations donc les anciens ignoroient les vrais noms
qu’ils délignoient par celui dÜchthyophagcs. VII I. 486. b. —
Foye^ PÉCHEURS.
ILH TH Y PE R IE , {Hifl. des fojfdes) palais offeux des poiffons
qu’on trouve fréquemment foffiles. lis ont auffi été
nommés fdiquaftra. Etat dans lequel on les trouve. Leurs
figures. VIII. 486. b. Lieux où ils font enfouis. Ouvrage à
confiilter. Ibid. 487. a.
IC H T IU S , philofophe de la feéle mégariqiie, X. 303. rf.
IC IC A R IB A , ( Bot. exot. ) arbre qui fournit la réfine élémi
d’Amérique. Comment il eft caraélérifé par divers botanifles.
Sa defeription. Réfiiie qu’on en retire, VIII. 487 c.
IC IL IA , /ni. IX. 663. rf.
IC O N E , ( GJug. anc.) ville de la Cappadoce. Agrandiffe-
ment de cette ville. 11 en efl parlé dans quelques endroits du
nouveau teflament. Eu quel tems elle devint la conquête
de> Turcs. Etat aâuel d’Icone, aujourd’hui nommée Cosni,
V i lI . 487. b.