a M î i '
I li
m d m
i i , .1 ■ *
'’ ! I
I i'.'
■ î-l . 1 »
I :;B'
642 s A U
Sa u t , ) im pas. & un faut, un des^cpt airs ou
niouvcineiis artificiels d'un cjieval. lin quoi conlitlc l’are du
cavalier dans les l'.uits. XiV . 725. b.
S.iu!s nomniAs isaiiotades , caprioles, cronpades, ces
mots, S; rar:u.lc MANEOt du vol. VU. des planciî.
SAUTIiL , ( Pu-rre-Jufle) jéliiite, poete latin. XVI. 813. b.
.SAU TtLLK , ( ) rarment qu’on rraiilplantc avec
fa racine, üblervaiions l'ur la manière d c k v e r la ^ igné par
r.niteücs. ücicription de cette operation. Pourquoi elle cil
détendue en Certaines couinmcs. X iV . 723. i.
S A U T E R , i'.tHiou Je {^Phyji^loç,.) dirpolltion Sé elTortdes
iinirclcs en fautant d’un lien bas fur nn lien plus élevé. Cet
crïürt ert fulKfanc pour rompre le tendon d'A cliille, comme
on en a vu des exemples. Calcul de la force des mulclcs ijiii
agilfcnt dans un homme qui s’élève en faïuam. X iV . 726. e.
ro)c-^bAUT.
S.micr, en terme de marine, X IV . 726. a. & en terme
de manege. IbiJ. k.
Sauter, {^Mujiq.') f.iutcr le ton dans le jeu des inilru-
mens à vent. Suppl. IV . 750. b.
SA U T ER E A Ü , ( Lutherie ) partie des iiiRrumens à clavier
6c à cordes. Conllruilioii 6c ufage desfantcreaux. X iV . 726.
S.iuterc.iux , voie de. X VII . 411. b.
SAUTERELLE ) nombre des efpcccs de fauterelles
comuies des nauiraliftes. Dcl-ription S: liilioirc naturelle
de la grande fauterelle verte. Ouvrages à ccnfulter lur
cette forte d’infeéies. Ravages qu'elies caufenc quelquefois.
Exemple tiré de l'hilloire de C.i.-nies X ll. XiV . 727. ./. Cet
infeéic paife quelquefois les mers ; S: traverfe encore de
grandes province.s. Efpece de f.iuterelles communes dans les
pays orientaii.x , dont la chair cil blanclie Scd'un goûtexccl-
Êeiit. Diri'ércmes manières donc les oiiemaux les apprêtent.
IbiJ. b.
■ S.mtcn-Ues, celles qui ravageoient l'ifie de Lemnos. IX.
383. Sauterelles volantes qui couvrirent en 1683 plnfieurs
contrées du LangUk.doc. X VII . 447. e. Sai/ierelles r^piéfen-
ices vol. \1 des planch, regne animal, pi. 78. Pcujiles iu.m-
g..urs de fautcrclles. Divers lenrimens lur celles dont S. Jean
le noiiriilioir. 1. 113. b.
Sauterelle-î’UCE , ( Infcclolog.') erreurs de plufienrs natu-
ralilles fur cert.iiiies écumes blanclics que l'on voit naiirc au
printsms fur toutes fortes de plantes, & qui font l’ouvrage
des fauterelles'puces. XIV. 727. b. Defeription & liilIoiA'
naturelle de cei infeéle. Manière dont il jette Ion écume.
Ufage qu’il en retire. Cette écume s’oppofe à l'accroiflemenr
des feuilles auxquelles elle s’attadte. IbiJ. 728. u.
Sauterelle, ( Coupe des pierres ) defeription & ufage de
cct inilriiment. Ibid. 728. .1.
SA U T EU R , ( Z'/a-a;/'. ) lauteurs ciiez les Grecs. On fai-
foit peu de cas de ce talent, St de ceux qui l’cxerçoient.
Figure tie bronze trouvée a Nimes , qui reprél'emc un de ces
faïucurs. X IV. 728. b.
.Sauteur , ( fauteur entre les piliers, fauteur en
liberté. X IV. 72S. b.
SA U T O IR , {Horlo".) voya^ V alet.
S tUTOîR, { B h fo n ) piece honorable. Ses dimenlîons.
Supj!. IV, 730. b. DiiVéremes efpcces de fauioirs. Origine
tit (Cttc pieté & de fon nom. Ibid. 731. a.
Sautoir, {BLiJou) maniéré de le décrire. Suppl. IV.
b. Cantons du faiitoir. Suppl. II. 216. b. Ecartelé en
liuuoir. 748. a. Pafié en lamoir.Sttp/’.''. IV. 234. b. Patté. 238. é.
SA U V A G E { M.liiere medic. ) les plantes fau vages ont pour
l’ordinaire plus d’dlîcacito que les plantes cuitivées. Les
animaux faiivages fournilTcnt une meilleure nourriture, 6c
de meilleurs médicauKns que les domclliques. XIV, 728. b.
Sauvage OH Sauvement. (AUrin« ) Faire le fauvenient.
Frais du lauvement. X IV . 729. a.
Sauvages, ( Hijl. mod. ) Auteur à confultcr fur les fau-
Vages d’Ain.'iique. XIV, 729. u.
Sauvages, (Grog r.) dillérence entre les peuples fiuva-
ges & les barbares. La liberté naturelle efl le Icul oI)jct de
la police des lauvages. Nations liuivages d’Amérique. Les
lieux qu’cUcs h.ibiteni font remplis de marécages. X lV . 729. a.
SaHv-tgr. (.aille de la vie lauvage d'une partie des premiers
hommes. XI. 3-4. ,i. De rextéricur 6c du caraélero des nations
fauvages. II. 581. b. 3B2. a. D e la force de l’homme f.iu-
v ag f. Suppl. î. 330. U. Son penchant à la parclTe, Ibid. Sa
pslUon pour les liqueurs toncs. Ibid. Caraétere dos payons
des peuples fauvagc>. Suppl. IV. 22. u. Comment ils fe procurent
(lu f U- Leurs commerces incellucux. Suppl. I, 3.19.
t i ,E Comment quelques-uns s’excitent au combat, 807. é.
Ltu>- cruauté envers leurs prifonniers. Confiance 6c lermctc
de ceux-ci. Suppl. II. 163. b. Mépris que font les lauvages
de tous les loins que nous prenons pour nops vêtir. IX.
184. E Maniéré de bâtir de quelques peuples lauvages. 804.
a. Leurs doélrines rciigieiilés. X. 483. b. 486. .1. Ce qu'on
entend par traiter .i la pique dans le commerce avec les
fiuvagcs. XII. 648. b. Elpece d'union qui fc trouve chez
t.;s nations. XVII. 856. a. Harangue d’un fkuvage à l'occa-
S A X
fion d’un traité de paix. Suppl. II. 167. b. Ddcrlptîons des
lauvages d'A lrique 6c d’Amérique. VIII. 346. é. — 3.j8, ^
Dc.s lauvages du Canada, ce dernier mot. Sur les
jicuples lauvages, vojr^ aulfi C ha s seu r s , Peuples.
Sauvage, ( Olivier) maitre éclivuin. IX. 908. j.
Sauvages, {Frunçois Boi£ler de) dilTertarion de ce pro-
felîciir fur les inflammations. V llI . 7 1a . b. Sur l’infiucnce
dés artres. 732. b. Méthode de traiter les nlaladies qu'il a
indiquée, 6c comme ébauchée. IX. 937, a. Scs ouvrages
d’anatomie 6c de pliyfioiogie. Suppl. I, 409. b. Suppl. IV.
339. il. Son erreur lur le mouvement du cseur. Suppl. III
876. b.
SA U V E G A R D E , {H}ß. nut. ) hiftoire naturelle d’un fer-
penc qui porte ce nom à Surinam, mais dont nous n’avons
pas la delcription. XIV. 729. b.
Sauve garde, (^Jurifpr.) différens objets des lettres de
fauve-gardes. Par (|ui ces lettres peuvent être accordées. Si^ne
extérieur qui annonce que le propriétaire d’une niaifon'’ell
fous la huive-garde du roi ou d’un feigneur. XIV. 729. b.
Sauve-garde, ( A n milit.) proteélion que le général
accorde à des particuliers pour les meure à l’abri du pillage.
XIV. 729. b.
Sauve-garde. {M.irinc) XIV. 730. <7.
SA U V E R , (A/h//<7.) regies fur la maniéré de fauver une
dillonance. XIV. 730. m
S.iuvcrbd:ffon.wce.\y. i030.m'VIII.31C lia n g em e iu d ’har-
monie tiniis le fauvement de la dlflbntmce. Suppl. III. 303,
U, b. Maniéré de f.mvcr la dilfonuncc appelles catadircle.
Suppl. II, 268. b. Anticipation du lauvement des dilfonaiices.
Suppl. I. 4 30. J , b.
S.‘\U \ ’EU R, {Ciiiiq. fucr.) différentes perfonnes à qui
ce nom cil donne dans récriture. XIV. 730. b.
Sauv eur, {A n numijm.) dieux fauveurs. Déeffes falu-
raitxs. Les memes titres accordés à des reines, à des rois, à
des empereurs, comme il paroit par pliiftcurs médailles. X iV .
730. b.
Sauveur, ordre de faim- {Theolog.) ordre de religieu-
fe s , l'onde par laitue Brigite.Circnnllances qui donncicnc lieu
à fon inllituiion. Conliiuitions 6c regle de cct ordre. X IV .
731. m
Sc;«'CKr,y.n«t, congrégation de chanoines eti Italie. X IV .
731. a.
Sauveur de Montezat , fuint ( Ordre milit. ) inffiru-
tiou de cet ordre. Auteurs qui en ont parlé. X l\ '. 731. a
Sa \JXLVI\S, {Comm. de mer) X l \ . U.
Sauveurs, {Hiß. mod.) efpece de cliarlaians qu'on voit
en Italie. XIII. 344. b.
Sauveur, ( AZ) de fon fyflênie de tmiftquc. Suppl. IV.
S 39. U. Son l'yftémc fur le tempérament, IV .60 1 . a. Diviftou
de i’oéiavc par cet auteur. VUE 138. b.
S A X E , {Geogr. mod.) pays d’Allemagne. Sa divifon.
Peuples de l'ancienne Saxe. Leur hilloire. X iV . 73 i. b, Différens
états qui faifoiem originairement partie de la Saxe.
Defeription des cercles de la' haute & de la baffe Saxe, &
du duché de ce nom, / ék . 732. a. Lieu de la rélldcnce’ de
l’éledeur. Ibid. b.
S.ixe: mines d’étain en Saxe. V I . 3. u. Maifon éleélorale
de Saxe. Suppl, l. 309. b. De l’éledeur de Saxe. IV . 63. i .
Cercles de haute & de baffe Saxe. 70. u , b. Suppl. I, 311 . b
■ ,’électeur de Saxe archî-maréchal de l’empire , 1. 613. ,7 j b.
6c préfidcjit des diètes du corps évancéliciue. IV q-ta ’ b
Vicariat de Saxe. XVII . 232. b.
SA XIPR AG E , {But. Mut. medic.) caraderes de la faxi-
frage, 6c de celle qu’on appelle dorée. Différentes faxifra-
ges comnics dans les boutiques. Propriétés 6cufaocsde leurs
racines, & de la femencc de la faxifrnge ordinaire. Maniéré
donc les riverains pêdicurs du reffort de l’amirauté de Fécamp
font la récühc de cette lierbe, dont ils font des falaifons.
X IV . 732. b. Foye^ B o UCAGE.
S AXONES], ( Gèogr. anc. ) peuples de la Germanie. Leur
Jfillüiic julqti’au icms de Charlemagne. X IV . 733. a.
SA X Ü X ILU M L U T U S , {Gèogr. anc.) différentes côtes
appellees de ce nom.jXIV. 733. a.
SA X O N N E , luiigae {H iß . des langues) la langue des
anciens Saxons cA très peu connue. Loifqu’ils ciirciu fournis
I;, Bretagne , ils oublièrent bientôt dans ce pays la langue
qu’ils y avoient apportée. XIV, 733. a. Cependant il n’y
a pas de doute qu’cllc ne continuât à être en ufage dans les
villages 6c a la ciunpagnc, avec un mélange qui s’y fit du l'raii-
9ois 6c du langage de la cour. Il ne rcAoit des traces du
véritable .Saxon que dans les monaAcres qui avoient été fondés
avant la conquête normande, parce que leur intérêt les
übligtüit d’entc-ndrc la langue dan.s laquelle, leurs chartes
ctoiL-m écritc.s. Diélioimairc de ceitc langue fait par
Guill.iume Summer. Ibid. b.
SA X O N S , {I'1'ß- tinc. (S' mod.) hiûoirc de ces peuples.
X IV . 733./-. * ^
Saxons, {Hiß. & Gèogr. mod.) Moeurs, gouvernement
6c culte des anciens Saxons, Guerre in/uAe 6c cruelle que
S C A
leur fit Charlemagne. Colonies fixoncs qu’il tranfport.a en
Traiifylvanie 6c eu Italie. Pour comble de anaux, il leur
tloima des loix de fang, qui leiioicuc de l'inhumanité de les
conquêtes. X IV . 734. b.
Saxons : caraélcrc des anciens Saxons. IX. 647. a. Ces
peuples diAingués en trois claifes. V . 390. b. Des furnoms
eu ufage parmi eux. X V . 692. b. Loi des Saxons. IX. Ö72. u.
Maniéré de fe laver d’une aceufation félon ces peuples. 171. b.
Gomment ils évaluoient les hommes. X V . 234, b. Comment
fc Eùfoient lesjugemens parmi eux. XVII . 387. b. Idoles des
anciens Saxons, nommées Fréga. VII. 306. a. lodultc. VIII.
867. a. Irminful, 903. u , b. Leur dieu de la guerre. XVII .
Ô29. il. Invafiou de la Bretagne par les Saxons. V . 119. b.
S.i.xons nommes OA-fales 6c 'W ellfalcs. XI. 692. a. Saxons
qui habitent en Tranfylvaiiie. X IV . 733. a. D e la cou-
verfiüii des Saxons au chriAiaiiifme. Suppl. I. 807. b. 808.
(1. Peuples Saxons qui retournèrent au paganifme du teins
de Lothaire I. 5c fc nommèrent Aellingues. X V . 308. b. Coupe
à boire des anciens Saxons. X V I . 837. b. Autorité que les
rois S.u;ons s’étoi-:nt réftivée fur l’églife. XVII. 387. a.
Poètes Saxons. Suppl. I. 807. b.
S A Y E , {Litièr.) efpece de furtout militaire , qui paffa
des Grecs dans la ( ia iile , 6c de la Gaule cliez les Romains.
La faye des Germains étoit différente. Defeription de cccte
efpece de manteau. X IV . 734, h.
Sa ï E , ( Draperie) force d’étoffe. X IV . 734. b.
S A Y S , {H iß . mod.) efpeces de bonzes du royaume de
Tonquin. Leur vie oifive & iicencleiife. Grand nombre de
ces fainéans. X IV . 733. a.
SAZ , ( Gloßr. mod. ) Saxons qui habitent dans les fept
villes de Tranfylvanie , où Charlemagne les transféra. XIV.
733. m S B
SBIGNÉE J frère de Boleüas III. roi de Pologne. Suppl.
II. 8. H. S C
S c , ( Grantm. ) origine de quelques mots qui commencent
par Je , 6c qui font dellinés à m.irquer le creiux 6c l’exca-
vation. XI. 483. U.
S. C . {A r t niimifm.) lettres orclinaircmein gravées fur
les revci'j des médailles , quand elles ne font point en légende
ou en infeription. Examen des différens fentimens des
unciquaires Uir le fens de ces lettres. XIV. 733. a. Le fen-
tuneiu le plus généralement reçu , c’eA que les empereurs'
avoient obtenu le droit de difpofer de tout ce qui concer-
iiüit la fabrication des efpeces d’or & d’argent (fur lefqueiles
CCS lettres liefe iroiivciir que très-rarement ) 8c que le léiiat
qui étoit rcAé maitre de la momiole de bronze , y faifoic
imprimer p-ir cos lettres la marque de fon autorité. Au reAe
ce droit du fénnt ne s’écendoit que fur les monnoics de
bronze qui fe fabriquoient à Rome ou dans fltalic. A l'é-
gird des autres villes de l’empire , les empereurs, auA'i bien
<jue le fénat , ont pu leur accorder fouvcnc la permiflion
de frapper de la monnoie de bronze. Ibid. h. Les procon-
luls meme donnoient fouvenc de ces fortes de permiflioiis.
A l’égard des villes grecques , on ne les priva point du
droit de battre monnoie, lorfqu’clles furent réunies à l’em-
pir-j romain. Hôtels de inonnoies établis fous le Bas-Empire
dans differentes provinces. Après Trajan D é c e , on ne trouv
e plus le Î3. C. fur le petit bronze. Pourquoi la meme marque
L- trouve fur quelques niodailloiis. Ibid. 736. b.
S .C . A. {Hiß. rom.) c’cA-à-dire fenutus-conjulii aiitorU
tiVe. Termes dans lefqucls étoit conçu l’arrèc du fénat qui
lulvoit CCS trois lettres. Lieux oit étoient depofées les inimités
des arrêts. XIV. 736. ,1. C é fa r , opprcA'cur de fa pairie
, poiifiit l’infoicnce jufqu’ä faire lui mémo les arrêts ,
6c les foufcrlre du nom des fénatciirs qui lui veuoient dans
l’cfpi ic. Ibid. b.
S A B E L L A , Scubilla , Scabillum , ( Mußq. anc. Littér.) efpece
de foufflct (jui tient fa place dans les iuAruinens de
niufi(]uc ancienne. .Scs ufagos. X IV . 736. b.
SCABIEUSE , (/Jor.7/7. ) Caraéleres de ce genre de plante.
Scs nombreufes efpeces. Defeription de ccile qui cA prin-
tipak-meiit en ufage dans la médecine. XIV. 736. h. Lieux
où elle croit. Nom que les anciens Grecs lui donnoient
Ibid. b.
Siiahieiijè : cette plante décrite par les anciens fous k
nom de pi'oricc. X llI . 342. ,/. El'pecc de feabieufe nommée
mors du diable. X. 716- u , b. Ce fuccife. XV. 607.
ScABiEUSE, ( A/.ir. mèdic.) Celles qu’on emploie en médecine.
Leurs propriétés 6c ul'ages. XIV. 737. a.
SC.ALDES , {Hijl. anc.) puetos des anciens peuples du
nord. Les vers eioicnt le fcul genre de littérature cultivé
fiiez ces peuples. Honneurs que les rois rendoient à ces
fcaldes. Ces imétes ignoioiem la flatterie , 6c ne iouoieuc
S C A Ô43
les rois que fur des faits bien conAatés. XIV. 737. b. Voyen
Bardes. ‘
S LA LD IS , {Gèogr. anc.) fleuve de la Gaule bclgiquc.
Delcription de Ion cours. Peuples qui étoient voifins de ce
fleuve , anjoiird’liui l'Elcaut. La Gaule belgiquc s’étendoie,
lelon Pline , entre l’Efeaut 6c la Seine. X IV . 727. b.
S C A L IG E R , {Julcs-Cèjdr) X V ll. 89. b.
SCALIGER , {Jojeph-Jnjle) animadverfions de cet auteur
fur un traité de Giiilancliii. XI. 830. a.
S C A L P E L , ( C/j/r.) Defeription de trois efpeces de fcal-
pels cn ufage danshi chirui-gie. XIV. 738. a. Autres fortes
de fcalpels décrits par Scuitet. Ibid. b.
SCA»MANDR£ , ( Myih. ) origine de ce dieu. XIV.
738. b.
SCamand re , ( Gr'of^r. anc.) fleuve de l'Afie mineure ,
qui prit auffi le nom de Xaiuluis. Cours de ce fleuve. X IV .
738. b. Amende iinpol'ée par Agrippa aux habicans d’iliiim ,
parce qu’ils n’avoiciit point donné de guide à l'a lémme
J u lie , qui, traverfant le Scamandre, penfa être fubmergée
dans fes eaux. Propriété qu’on attribuoit à ce fleuve de
rendre blonds les clieveiix des femmes qui s’y baignoienr.
Lcs_ filles de Plirygic, dès qu’elles croient fiancées , alloieiit
offrir leur virginité au Scamandre. Anecdote que raconte à
ce fiijet Efchine, 6c dont la Fontaine a fait un de fes plus
jolis contes. Ibid. 739. a. Quelques modernes ont dit que
le Scamandre ne méritoit euere la rcputaiion que les poètes
lui ont acquife. Cependant Pline SeStrabon en parlent comme
d'une rivicre conîldérable 8c navigable. Ibid. b.
SCAM IN O , {Gèogr.) ville de la Grece dans la Liva-
die. Übl'ervaiions de quelques voyageurs fur ce village. Coii-
jeétures fur ce qu’il étoit anciennement. X IV . 740. a. •
SCAMMÜNÉE , {Hijl. rut. des drog. cxoïiq.) Defeription
de celle de Smyrne & de celle d’Alep. Maniéré de
choifir la meilleure. Delcription de la plante qui produit ce
fuc. X IV . 740. a. Diofeoride approuve la feammonée de
Myfie , & rejette^ celle de Syrie &; de Judée, Efpcccs de
plantes d’où M. lo u rn e fo it juge que l’itm tire les Icammo-*
nées de Smyrne 6c d’A lep. Obl'ervations de M. Slierard fur
ces plantes. Maniéré d’en recueillir le fuc. On ne nous apporte
plus de Icammoiiée que l’on recueille dans des coquilles
près de Smyrne , 6c qui eA la meilkiirc. Ibid, bi
Etat de celle qu’on nous apporte. Analyfe chvmiqüe de ce
fuc. Obfervations fur cette fubAance , confidérce eu qualité
de icmede. Ibid. 741. a.
Sc.immonée , fes ulages. III. 637. a. Scaminonée préparée.
IV . 933. b.
SC AN D A LE , ( Thèolog. ) définition. Le fcandale cA act
if ou donné , & paAïf ou reçu. Dans récriture , fcandale
fe mer pour tout ce qui ié rencoiitie dans le cliemin d’un
homme , Si qui peut le faire tomber. De-là on a pris ce
mot pour une occafion do cluue ou de péché. Acception de
ce mot dans le langage familier. Pierre de fcandale à Rome ,
fur laquelle les banqueroutiers alloient faire ceflion de biens.
X IV . 741. a. C e qu’on entend en terme de droit par fcandale
des grands , Jcandalum magnatum. Montagne du fcandale
, aiiifi nommée dans l’écriture. Ibid. b.
SCAN D A LEU X , ouvrages 6c doflilnes fcandalenfes.
Hommes fcandalcux, Speéhicle fcanduleux. XIV, 741. b.
SCANDER BERG , roi d’Albanie. Lieu de fa fépultiire,
Suppl. I. 264. a.
SCAN D lN A ^ ES , ( Gaogr. Hiß. de 1.1 philofoph. ) D é tails
furies moeurs des anciens Scandinaves. V i lL 919. a.i
Toute leur doélrinc thcologique 8c morale tendoit .à uour-
rir'lcur courage. 916. b. 918. b. Divers traits de leur hl-
Aoire qui prouvent le mépris qu’ils faifoient de la vie , 6c
leur joie à mourir dans les combats. Ibid. Leurs jxiëtes, voy^ç
B ardes. Poème dans lequel érorent renfermés les préceptes
de morale que le Scythe Odin leur avoit apportés. Quelques
unes des maximes répandues dans ce poème. V lI l. 74,
a. Livre facré de ces peuples nommé Edda, voyeg_ ce mot.
Principaux points de leur mythologie. V l l l . 916. h. Leur
doélrine fur l’enfer. XI. 33. b. 140. a. Détails fur la religion.
349. b. 330. U , b. Autels Sc monumens de pierre
qu’ils clevoient. X V . 333. h. Diflérentes divinités de ces
peuples , favoir le dieu Heimdall. VIII. 98. a. La déeffe de
la mort. Ibid. Le dieu Hermode , fils d’üdin. 174. é. Le dien
Hoder. 243. h, b. Le dieu Thor. XVI, 296. b. Sur les peuples
Scandinaves, voye^ C eltes, Sitons , NoRD(/?c'H;7/Är du). An-
teiirs dont les écrits ont répandu beaucoup de lumière fur
riiiAüirc 8c la religion des anciens Scandinaves. V l l l . 916. a.
S C A N D IN A V IA , {Gèogr. anc.) Sentimens des anciens
fur ce pays qui leur étoit affez peu connu. Autres noms
qu’ils lui ont donnés. M. de Montefquieu appelle ce pays
la fabrique des iiiAnimcns qui ont brifè les fers forgés au
au midi. XIV. 742. a.
SCAN D IN AV IE , ( Gèo"r. mod.) pays 8c royaumes cotït
pris dans cette grande pcniufiilc. XIV. 742. b.
Scandinavie due Bafilée par les anciens. Suppl. I. 823. Jt.
Obfei vations fur la diminution des eaux tjui baignent los
k i