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822
U V
, ( Grj«.';:. ) ciiez les Romains : cette
lettre repréientoit le fon ou. V , chez
'es Ronulins reprélemoit l’articulation
f'éinilabiale folble, dont la forte eft F.
Le V 5 c r u , font deux lettres diffé-
'cntes , qui devroient être dilHuguées
dans nos alpiiabets. Valeur propre de
1 k. Cette lettre elb quelquefois employée
fans la prononcer après les
confonnes c Sc g , comme dans figue ,
eucillir. X V I . 789. a. Et prefque toujours après le 9 , comme
dans (juulîté. D.ins quelques mots qui nous viennent du latin,
U eA le fjgnc du fon ou, comme dans éiju.iuur, aquatu^ue.
Cette lettre eA encore muette dans vuidc & fes compofés.
Ibid. b.
U : ohfervations fur le fon de cette voyelle. Suppl. III.
304. a. Ufage de cette lettre après le 9 , le g , 5 c le c , pour
en rendre la prononciation dure. X . 850. b. Commutabilité
de \'u avec l’o. XI. 29^. />.
V : cette lettre & la lettre ƒ fe prennent aifément l’une
pour l’autre. K étoit le principal caraéiere ancien pour repré-
fenter la voyelle & la confonne. Sa valeur numérique. Sa
fignificatiofi Air nos monnoies , en mufique , & dans le
commerce. X VI. 789. b.
. V. De l’articulation v. IX. ^57. a. Maniéré de prononcer
cette lettre. 144. b. Commutabilité de V f en v. I. 136. b. II.
1. b. Celle du b 6c du v. VII. Ç20. b. Le v , le p/i, 8c !’ƒ ,
font au fond h même lettre. Les Eoliens fe fervirent du
digamma pour marquer notre v. V I. 341, a. Ohfervations
fur le digamma qiie l’empereur Claude voulut introduire à
la place du v. V l i l . 423. b. Les Latins ont quelquefois employé
le V pour l’.^, en adoptant des mots grecs. VIII. 2. b.
Remarques fur les / 6c les v , appelles confonnes ramiAes.
XIII. 78^<t.
V , ( Mufiq. ) fignification de ces abréviations V . S. mifes
au bas d’une page de mufique. Suppl. IV. 983. a.
V gc U J ( £crit. ) formation de ces lettres. X V I . 789. b.
V A
V A B R E S , (Geagr.) ville de France en Rouergue. Son
origine. Son évêché. X V I. 790. a.
V A C A N C E , {Jurijpr.) différentes lignifications & ufages
de ce mot. DiA'érens cas qui font vaquer l’office ou le bénéfice.
Vacance in curia. X V l. 790. a.
Vacance d’un bénéfice par ceffion 6c par création , IL 869.
a . par dévolut. IV. 918. b . Les gradués doivent s’adrefler ,
dans les fix mois de la vacance du bénéfice , au collateur
ordinaire & patron pour requérir le bénéfice vacant. V II .
808. b. Droit de conférer d’un chapitre , fede vacante. 8io . b.
Evêques en Afrique auxquels on confioit le foin de quelque
évèclié vacant, jufqu’à ce que le fiege fut rempli. v l l I .
813. K.
V a c a n t , le ,{H îfi. de Maltc) le vacant appartient au
trefor de l’ordre. X V I. 790.
V A C A R M E , Tumulte, {Synonym. ) différence entre ces
mots. X V I . 790. b.
V A C A T IO N , {Jurifpr.) différentes fignifications de ce
mot. X V I . 790. b.
Vacation. Chambre des vacations. X II. 3 i. i. Confignation
des vacations. IV . 46. b.
Vacation, {Antiq. rom. ) deux fortes de vacations chez
les Romains, l’ordinaire & l’extraordinaire. Déeffe des vacations,
X V I . 790. b. Voyes^ V a CUVE.
Vacations chez les Romains, quelques-uns les confondent
avec les fériés. VI. ^06. b.
V A CH E , {Dtete é* Mat.médk. ) différence entre la chair
de vache 8c celle de bceuf Remedequ’on retire de fa fiente,
connu fous le nom d'eau de mille fleurs. Ses ufages. Remede
qu’on retire du fuc même de cette fiente. Se. u^ges. L’urine
de vache a été auffi un remede interne , dont on s’eA défa-
bufé. X VI. 791 . U.
V a c h e s , {ffifi- nat.) obfervation fur celles de Tartarie.
X V . 923. b. De la fiente de vache. Suppl. II. 42. a. .
V a ch e rouffe , ( Critiq. facr. ) viflime d’expiation pour les
impuretés que les Juifs contraftoient par la préfence ou i’at-
touchement d’un mort. Defeription des cérémonies qui fe
pratiquoient à cette occafion. X VI. 791 . b.
V a c h e , ( Sculpt. Antiq. ) celle que Myron avoit repré-
fentêe en bronze. X IV, 822. b.
V a c h e , {Corroyeur) différentes préparations des peaux
V A G
de vache. Ufage de fon poil. Vache-dure. Vache de Ruffie.
Vaches en grain. X V L 791. b.
V a ch e de Jel, {S aU n es)X y\. 791. b.
V a c h e s , {Imprim.) X V I. 7 9 1 . i!>,
V a che artificielle , ( Chajfe'^ X V I. 791, b.
"WACut de Barbarie, {H iß. nat. ) defeription de cet animal.
X V I . 791. b.
Vachc-marine, ou bête à la grand-dent, animal amphibie
des pays du Nord. Sa defeription. XVI. 792. a.
Vache-marine ; on appelle de ce nom le pheca, voye^ ce
mot.
V A C IÈ S , forte de poètes. Suppl. I. 808. a.
V A C O S , {H ifi. nar.) fourmis blanche de l’ifle de Ceylati.
HiAoire naturelle de ces infeffes. X V I . 792. k,
V A C U N E , ( ) divinité des K omains, déeffe des
vacations. Elle étoit particuliérement honorée par les gens de
la campagne. Son culte étoit très-ancien en Italie. Ses temples.
X V i. 792. b.
Vacune, fon temple. X V I . 79, b.
VAC U U S, a , um. adi. ( Lang, latin. I vrai fens de ce mot»
VIII. 399. b. ^ ^
V A D E IN F A C E , forte de prifon dans quelques moiiaf-
teres. XIII. 386. .î.
V A D IA N U S , ( Joachim ) littérateur. VII. 448. a.
V A D IA R E D U E L L U M , ( Hifi. mod. ) donner & prendre
un gage mutuel du combat, qui devoit décider une dif-
pute. Les eccléfiaAiques étoient difpenfés de cette forte
d’épreuve. X V L 793. a.
VADICASSHS , {Géogr. ) anciens peuples. Suppl, IV .
55. i.
V A D IE N S , {H ifi. eccl.) voye^ A üdiens 8c A n t r o f o -
MORPHITES.
V A D I-G A M U S , ( Géogr. anc.) vallée d’Egypte. Carrières
qu’on y trouve, que plufieurs voyageurs ont prifes pour
des grottes. X V L 793. b. Voye:(_ T hébÀide.
V A D IM O N IS-L A C U S, ( Géogr. anc. ) lac d’Italie dans
l’Etriirie , au voifmage A'Amcria. Defeription trés-dctaillce
que Pline le jeune nous en a donnée. XVL- 793. a. Autres
auteurs qui en ont parlé. On l’appelle aujourd’hui Lago di
Bejfanello. Ibid. b.
V A D JM O N IU M , ( Jurifpr. rom. ) ajournement. Formalités
qui s’obfervoient en jiiAice dans les affaires d’mjurc. Ce qu’on
entendoit par reiim vadari, vadimonium promitterc, & vadima-
niurn deferere. D ifférentes phrafes de Cicéron , où le mot vadimonium
eA employé. Divers exemples du verbe vadari, tirés
de différens auteurs romains, X V l. 793. b.
V A G A B O N D , {Jurifpr:^ perfonnes comprifes fous ce
nom , fuivant les déclarations du roi. XVI. 794. a. Déclaration
de 1738 contre les vagabonds. Difpofuion de l’ordon-
V A G IN , {A n a t.^r Chir.') defeription de ce canal membraneux
qui s’étend depuis l’orifice interne de la matrice
jufqu’à la vulve. Changemens qu’il éprouve en différentes
circonAances. X V I. 794. b.- Rétreciffemem exceffif de l’orifice
du Vagin par une membrane qui le bouche quelquefois
prefque totalement. Ce t orifice fermé quelquefois par une
membrane. Remedes à ces inconvéniens. Cohérence entre
les parois du vagin. Comment on y remédie. Ibid. 795. b.
Vagin , état où il le trouve dans les fille?. IL 866. a. Dif-
pofition du col de la mttrice à l’égard du vagin. Suppl. III.
863. a. Artere vaginale. 485. a. Veines du vagin. 487. a.
Membrane connue fous le nom d’hymen, placée à l’origine
du vagin. VIII. 392. b. D e l’imperforation du vagin. 393. a , b. 589. b. — Voyei VüLVE.
V a g in , {Maladies particuUeres du") X V I .7 9 5 . b. I. Les
veines du vagin font fujeites à la dilatation variqueufe. C.iu-
fes 8c fymptomes de cette maladie. Son traitement. II. Def-
cente du vagin. Caufes de cet accident. En quoi H dlfiere de
la chute de la matrice. Fâclicux effets qui en réfulient. Ibid.
796. a. Indication 8c méthode curative. III. Excroiffinces -
dans la tunique interne du vagin. Leurs différentes Ibrtcs.
Traitement. IV . Clôture du vagin. Deux efpects de maladies
de ce nom, Remede. Ibid. b.
Vagin, condylome dnn.s cette partie. III. 844. i. Prurit du
vagin. VIL 378. a. Des polypes du vagin. Suppl. IV , 472.
a , b. Ufage de la chaife chirurgicale pour l’examen du vagin.
Suppl. II. 304. a. 308. b. IiiArumenr pour les opérations dans
le vagin , appelle fpcculum. Suppl. IV. 821. <2, b. Manière de
porter la lumière dans ce canal. 822. a.
V A G U E S , ( Brajfcur ) outil de braffeur. X V L 797.
V agu es , ( Marine ) leur caufe. Suppl. I. 109. b.
Y A I V a g u e , {Anatom. ) nom de la huitième paire de nerfs,
■ qu’on appelle auffi fympathiques moyens. Deferiptioa de cette
paire de nerfs & de fes différens rameaux. XVI. 797. a.
V a g u e , année, ( Calend. de Cappadocc ) année des Cappa-
dociens, un peu plus courte que l’année julienne. Elle étoit
compofée de douze mois, de trente jours chacun , auxquels
on ajoutolt cinq jours ou épagomenes. Nous ne
connoiffons que deux autres nations chez lefquelles l’année
vague ait été employée dans l’iifage c iv il, les Egyptiens 8c
k s Perfes. Ohfervations qui montrent que les Cappadociens
avoient emprunté leur année vague , non des Egyptiens,
mais des Perfes. Les Arméniens fe fervent aujourd’hui de
cette même .année vague , de 365 jours. Mais ils emploient
pour les fêtes & la religion une autre anpée, qui eA fixe au
moyen d’unfixieme épagomene qu'on ajoute tous les quatre
ans. X V L 797. h. CirconAance qui les engagea .i établir cette
année eccléiiaAique. L’année julienne, introduite chez eux
au douzième ficcle. Rapport de l’ere arménienne avec l’ere
vulgaire. Ibid. 798. a.
V A G U E MESTRE-GÉNÉRAL, {FortificI) officier quia
foin de fiiire charger, atteler & défiler les bagages d’une armée.
Ses fonélions. Officiers qui lui font fubordonnés, X V I. 798. a.
V A H , ( René') Suppl. IV . 466. b.
V a H A T S , ( Teinture ) arbriffeau de l'ifle de Madagafcar,
dont la racine eA propre pour la teinture. Manière de préparer
cette racine. Couleur qu’elle produit. XVI. 798. i.
V A H O N -R A N O U , ( Botan. ) plante de l’ille de Madagafcar.
Ufages qu’on en tire. X V I , 798. b.
V AIGRE S ou ferres, {Marine') vaigres de fond , d’empâ-
titre , de p o n t , de fleurs. X V I . 798. b.
V A IL L AN C E ', {Morale) voyc^ V a leur : la vaillance
ne dépend point de la volonté , mais du méchanifme des
organes. Ainli cette qualité eA précaire, 8c tious pouvons
la perdre lorfque nous le penfons le moins. Exemple que
nous en trouvons dans la vie de M. Pierre d'Offun , officier
général qui v ivoit dans le feizieme Aecle. X V I. 79g. a.
V A IL L A N T , ( Jean-François F oy) fes découvert^ fur
les rois de Syrie. X V . 772. a.
V a il l a n t , {Sébafiien) botaniAe. XIII. 83, a.
V A IN C R E , Surmonter, {Synonym. ) différences dans la
fignification & l’ufage de ces mots. X V I. 799. a.
V A IN C U , {H ifi. Art m'dit. Dro'it pe/if. ) DiA'érence entre
v aincu, battu 8c défait. IV . 7 3 1. a. Chez les G rec s , l’armée
qui redeinandoit fes morts s’avouoit vaincue. X V I . 244.
a. Cérémonie que les Romains pratiquoient à l’égard de
ceux qui les avoient v.aincus. V I Ï l. 888. b. On expolbit dans
les portiques de Rome des repréfentations des pays vaincus.
V IL 644. b. Reffources qui reAent après la perte d'une bataille.
X IV . 2x5. a. Suites d’une bataille & d’un combat
perdus. II. 132. a. 134. a. Avantages que le droit de conquête
peut procurer au peuple vaincu. 111. 900. b.
V A IN Q U E U R , ( Littéral. ) vainqueurs dans les différentes
fortes de jeux. Voye^ A thlete , C o m b a t , Je u x ,
T o u r n o is . Récompenfe des vainqueurs dans ces je u x ,
voye^ Pr ix . Statues en l’honneur de ceux qui avoient été
trois fois vainqueurs aux jeux facrcs. VIII. 487. b. Ufage
de jetter des fleurs aux vainqueur^. XII. 536. a.
V a in q u e u r , {A rt m ilit.) Foycj V ic t o ir e .
V A I R , ( Bîaj'on ) fourrure faite de plufieurs petites pièces
d’argent 8c d’azur. Vair affronté , appointé , en pal, 'Vair
contre vair. Écn v a iré , couleur vairée. X V I. 799. b.
Vair 8c contre-vair. Suppl. II. 583. a. Mcnu-vair. Suppl.
III. 901. a. X . 257. a, b. Voyeç_ FOURRURE. Suppl. III.
.109. b.
■ VAIRON , ) defeription de ce poiffon de riviere.
Lieux où on le trouve. X V I. 799. b.
V a ir o n , {Maréch.) qualité particulière de l’oeil ou du
poil de cheval. X V I. 799. b.
V A I S , ']c ( Lang, franc. ) comment on doit fe déterminer
entre je vais 6c je vas. XVII . 318. b.
V A ISO N , ( Gfogr. ) petite ville de Provence, autrefois
capitale des Vocontiens , l’une des grandes villesdes G.uiies.
Elle reçut de bonne heure le chriAianifme. Cette ville ruinée
fur la fin du fixieme fiecle , a été rétablie fur une montagne.
Son état préfent. X V I .799. b. Voyei Suppl.lY. 12. a.
VAISSEAU fanguin, ( ËJiyfiolog. ) ces vaiffeaux dlAingués
en ancres 6c en -veines. Comment on difeerne ces deu.x
fortes de vaifiêaux dans le corps vivant. Tuniques 8c diAri-
binion des arteres. Defeription des vaiffeaux veineux. X V I.
800. <7. Les ramifications des veine s, plus nombreufes que
celles des arteres. Les troncs & les principales branches des
vaiffeaux fanguins confervent ordinairement la meme fitua-
tion dans tous les fujets , mais il n’en eA pas ainfi de leurs
ramifications. Ibid. b.
Vaiffeaux fanguins. VIH. 262. b. Struélure mcrveilleufe
des veines 8c des ancres pour la liberté de leur mouvement.
IL 864. a. Comment fe forment dans le foetus les
vaiffeaux fanguins. Suppl. III. 71.
V a is se au x fanguins, ( Angîologîc ) 1°. Jeux de la na-'
VA î 823
tnre fu rie s arteres. X V L 800. b. 2^ Jeux de h nnt'ire fur
les-V'eiries. 3°. Ohfervations générales fur les jeux des vaif-
l'eaiix fanguins. Ibid.Soi. b.
Akkw/j ; ( F/iyfolog.)l'cxi\hé , la mol-
leffe 6c la déheateffe de plufieurs de ces vaiffeaux fiirpaffa
l’idée que l'imagination s’en forme, 8c leur derm’erc divi-
fion fe perd dansla nuit de la nature. X V I. 802. a. Cependant
CCS mêmes vaiffeaux, qui font l’objet de notre étonnement
dans l’adulte, étoient autant de fois plus petits dans le foetus
que le foetus eA plus petit que l’adulte. Ibid. b. *
V.ù(feaux du corps hama'in , diAlngués en trois fortes, qu’on
appelle auges , réfervoirs , 8c vaiffeaux cylindriques ou
coniques. I. 874. b. A raifon de leurs ufages, on les diAin-
gueenfecrétoires, excrétoires, arteres 6c veines. V I. 667 a
Exilité 6c délicateffe de plufieurs de ces vaiffeaux. Ibid.
Pourquoi certains vaiffeaux font infenfibics. IV . 263!
b. Suppl. III. 600. é. Leur membrane commune. X. 323. a.
Cellulofitéqui accompagne tous k s vaiffeaux. II. 227.
a. AiiaAomofe des vaifiêaux. 1 . 407. b. D ’où dépend leur
force 6c leur aélion. VII. 124. b. Vaiffeaux afaforbans,
1 . 43.0. Suppl. I. 63. a , b. 8cc. adipeux, I. 139. a. capillaires,
II. 627. a. déférens, IV. 742. b. emonftoires , V .
371. a. émuigens, 602. 0. lymphatiques , VIII. 263. K.Van-
guins. V llI . 262. b. X V I . 800. a , b. D ’où dépend l’aaion
des vaiffeaux fur les humeurs. 5HP/7ZI.733. a. Les vaifi'eaux
invifibles tirent leurs humeurs 6c leur mouvement du coeur.
Suppl. II. 494. a. SyAème de Boerhave 6c de Vieuffens fur
le rétreciffement graduel des vaiffeaux. i'i/pp/. III. 600. Z. Remarques
fur les vaiffeaux abdominaux 6c utérins. 899. b.
Les animaux ont des vaiffeaux plus robuAes que les^hommes.
900. a. Jeux de la nature dansla tranfpofiiion des vaif-
féaux. VIII. 533. i . ~ Canal.
Vaiffc.nix du corps humain , ( Médec. & Chirurg. ) de leur
débilité 6c affaiffement.l. 136. b. IV. 649. b. Comment on
leur donne du reffort. XL 3 2 8 . Comprcffion des vaiffeaux.
III. 770._ K , b. D e leur trop grande extenfion. V L 326.
a , Caufes qui peuvent en rétrécir la capacité. VIII. 713. a.
XI. 327. b. D e la ligature des vaiffcau.x. Voye^ L ig a t u r e .
V aisseaux, {Bot,in. ) vaiffeaux capillaires , excrétoires ,
longitudinaux, 6c latéraux, dans les plantes. XVI. 802. a.
Vaiffeaux dans les plantes. XII. 712. b. X V I . 937. a , b.
938. a , b. Circulation des fluides dans ces vaiffeaux. I. 22-t. a. XII. 713. a. XVI. 960. b. 961. a , b.
V aisseaux, ( Phyfiq. ) preffion qu’ils fouffrent par le
fluide qu’ils contiennent. VI. 882. b. 883. a. S91. b.
Vaiffeaux de chyrnie, il s’agit ici de ceux dont le chymifie
fe ferc pour e.vpofer les difiêrens fujets de l’art aux divers
agens chymiques, 8c principalement au feu. X V I . 802. b.
D e la meilleure matière dont les vaiffeaux doivent être
ffiits, fuivant l’iifage auquel on les deAine. Ibid. 803. a.
Ouvrage de M. Pote à confulter. Ibid. b. ^
Vaijfciu de Chyrnie, ceux qui font emplovés dans la dif-
tiUaüon. IV . 1034. <2, b. 1058.22, b. Vaiffeaux de grais de
Normandie. VII, 838. k. Vaiffeaux fublimatoires. X V . 3Ö3.
Mélange de fel recommandé daiis les terres dont on veut
faire les v.aiffeaux qui acquièrent dans la cuite , une cfpcce de
vitrification 5 8c deviennent par là propres à la diftillation
des acides minéraux. X IV . 920. b. Maniéré de lutter , de
rapiécer 8c de recoller les vaiffeaux. IX. 734. h.—je^lo. L .—
Voye^ les planches de chymie , vol. III.
V aisseaux, ( Marine) Pour confulter l’enfemble 8c les
principales parties d'un vaifl'eau , voye^ les planches de
la marine , & les .articles Construction 6c Ran g.
Remarques particulières fur la conAruélion des vaiffeaux en
général. Méthode generale des conArmAeurs. Le maquereau
a paru être celui de tous les poiffons dont la forme a le
plus d'aptitude à fe mouvoir dans l’eau , 6c elle fert par
cette rallon de modele aux conArufteurs des vaiffeaux. X V I .
803. b. Regies établies par M. Hendrick, pour trouver la
proportion des principales parties du vaifl'eau. Proportions
jjour un vaifl'eau de foixante pieces de canon. Ibid. 804. a.
Avantages que donne à un vaifl'eau l’obfervation de ces
regies. Avantages d’un grand bâtiment , dont ne jouit pas
un vaifl’eau médiocre. Ses inconvéniens. Des rangs des v a iffeaux
: il y en a cinq en France. Caraéleres qui les diflinguent Ibid. b.
V aisseaux , leurs principales parties. Membres d’un
vaifiêau. X. 323. i. Quille. XIII. 7 1 1 . Z. Côtés. IV. 304.
Fond de cale. II. 547. b. Accaflellage. I. 60. a. Eperon. Vu
768. a , b. Avant & arriéré. Kiycç ces mots. Cliâteau ou
gaillard. VII. 424. b. Ponts. XIII, 74. a. Quarré fur le pont
d’un vaifl'eau de guerre pour faciliter le m ouvement de l’armée'.
XIII. 6632 a , b. Chambre des vaiffeaux. III. 61. b. Cuifine
IV . 339. b. Galerie. VII. 443. b. Gouvernail. V lî . 782. a , b.
Dcta'ils fur la conflruRion des valßeaux. IV , 94. a , b. Scç.
Devis d’un vaiffeau du premier rang de 153 piés de long.
93. b. Devis d’un vaiffeau du roi appelle le Jafon, de 30
pieces de canon. 91 1. b. État de ce que coûte un vaiffeau
du premier rang de 100 pieces de canon. 914, a. Dbme»-