lb: i 8z8 V A R V A R IA B L E , & Gàm. ) qualités variables, que
quelque*; aureiirs appellent auill fliienies.XVI. 840. a.
. V A R IA N T E S , ( Cntiq. ) celles du nouveau tellamcnt
de Mill. X V lf. 600. b. Reflexions fur ces variantes, leur
utilité. XVI. 215. b. XVII. 601. -2 , b. Des variantes des
écrits (les auteurs profanes de l’antiquité. XVII . 601. e , b,
VARI.ATION , ( Pe hm u ta t io n & CoMBI.
VAISON.
V a r ia t io n , ( Àjïron. ) variation de la lune , troifieme
inégalité de fon mouvement. Ses caufes félon Newton. Mé-
iliode pour avoir la plus grande variation de la lune. XVI.
840. b.
V a r ia t ION-S du baromeire , ( Pbyfîq. ) II. 80. u , b. Scc.
A'a r ia t io n , ( Arr nauiiq. ) déviation de l’aiguille aiiu.an-
tcc. X VI. 840. Voye^ D é c l in a is o n . DiBéremes liypotlic-
fes imaginées pour expliquer cette dedinaifon &c fes variations.
Ibid. 841. b. Table des cblervations faites des variations
de l’aiguille, en divers lieux been divers touts. Ibid.
842. a , b. Théorie de la variation de Tai^iiilic aimantée donnée
par M. Halley. M. Halley a imaginé cette Itypothcfe ,
que tout le globe entier de la terre efl un grand aimant ,
ayant quatre points cl’attraftion , deux voilins du pole aréU-
que , deux voifms du pole antardique , & que l’aiguille en
quelque lieu qu’elle foit , éprouve l’adion de chacun de
ces quatre pôles , mais toujours une adioii plus forte du
pole dont elle eft voifmc que des autres. Développement
& preuves de cette théorie. Ibid. 843. a , b. jManieres d’ob-
ferver la variation ou décliiiaifon de l’aiguille aimantée. Ibid.
S44. b.
l'ariarion de l'aiguille aimantée. I. 201. a. Sa variation
dans les mines. VII. 639. a. Ufage du compas azimuial pour
trouver cette variation. 1 1 1 . 737. a , b. Tliéorie de M. Hooke
furla variation de l’aimant. X V II . 614. a.
Variation de la v.irijiion.Q\\2ï\gi:mtM qu’on obferve dans
la dédinaifon de l'aiguille dans un même lieu. Théorie de
la variation de la variation donnée par M. Halley. Suivant
CCI auteur, elle dépend du mouvement des parties intérieures
du giübe. Développement de cette hypothefe. XVI.
8.^4. b.
V a r ia t io n s des m ontres, (//er/og.) voyez ce d ernier mot.
V ARlATiON , ( M.irine ) la variation vaut la route. Sens de
cette exprelîion.XVI. 845.f>.
V a r ia t io n s , (_ Mufiq. ) regies fur les variations dont on
charge un air pour orner ou tigurer ie chant. X V I. 843.
V a r ia t io n , Changement, ^ Synon. ) différences entre
ces mots. Voyci C hangement.
V A R IC E , (C'/iir. ) perfonnes plus ordinairement aiîcdccs
de cette maladie. Danger de fes progrès. Moyen de les prévenir.
Rcmedes contre les varices, employés par les anciens
&. par les modernes. X VI. 846. a. Ce qu’on doit obfer-
ver pour empêcher qu’elles ne reviennent. Ibid. b. Voyc:{_
V a r iq u e u x .
V a r ic e , (AfrrâVi. ) groffeur au-dedans du jarret du cheval.
X V l, 846. b. V o y e z Suppl. III. 404. a.
V ARICES y herbe aux , (^Botan.) 'V I lI .i4 7 . i.
V A R IC O C E L E , {Maladie chirurgicale ) tumeur des tefticules
ou du cordon fpermatique , occafionnée par l’ongorge-
iiiem des veines. Ditférens moyens employés contre ce mal,
felon fes differens degrés. Ouvrage à confulter. X V I . 846. b.
Voyei CiRSOCELE.
V A R IC OM PH A L E , ( CAir. ) tumeur du nombril formée
par des vailTeaux veineux dilatés. Caraélere , caufe & traitement
de cette tumeur. X V I . 847. a.
V A R IÉ T É , toutes les plantes ne font point également
fujetees aux variétés. Ces variétés ne font point les différentes
efpeces de fruits. Caufes des variétés. X V l. 847. a.
Variétés dans les efpeces de plantes. Leur caufe. Suppl.
III. 212. b. 213. a. 259. a. Fait qui montre que les végétaux
peuvent changer leur elpece & produire des variétés.
Suppl. IV. 968. a. Utilité de la greffe pour propager les
variétés cffimables. Suppl. III. 260. a. Moyen de ffxer &
améliorer une variété cffimable. Suppl. IV. 968. a. Des
avantages qu’on peut retirer des nouvelles variétés. Ibid, a , b.
D u plus ou moins de difpolltion à fe maintenir, qu’ou obferve
dans une variété. 969. a.
V a r ié té , {Synon.') différence entre variété , variation ,
changement, HL 132. A. entre variété, bigarrure, diverfité,
différence. II. 247. u.
AKïiTÉ , { Beaux-arts) des plaifirs de la variété. VII.
763. b y &c. Unité & variété qui doit régner dans une piece de
mufiqiie. IV. 891. a , b.
V À R IG N O N , ( Pitr/-«) mathématicien : fes formules ,
V IL 184. a. fes ouvrages de Statique. X V . 496. b. Obfer-
vations fur fon mémoire, intitulé : Réflexions fur Tufage que
kl méchaniqiie peut avoir en géométrie. II. 830. a. Analyfe
qu’il a donnée des problèmes fur la ligne ifochrone. VIII.
927.«.
\ ARTLLAS , ( Antoine ) hiftorien. I. 433. a. VII. 984. b,
VAJUN y {Jean) fculpteur & graveur. IX. 700. a.
V A S V A R IA '!, {Géogr. anc.) peuples de la Germanie , qui
felon Pline , faifoient p.artie des Vandales. X V l. 847. a. Obfer-
vacious fur leur nom fon origine. Ibid. b.
V A R IO L IT E , ( Litho/og.) pierre de petite vérole. XVI.
8 47. /-.
VA RIO RUM y les y {L'itt. moderne) noixi des éditions des
auteurs clafliqucs faites en Hollande , avec les notes & extraits
de divers auteurs. Obfervations minutieufes dont ces
notes font fouvcni chargées. XVI. 847. i.
V A R IQ U E U X , ( C'Air. ) hernie variqueufe, voyc^ V a r i cocele
ik ClRSOCELE, Ulcere variqueux. XVI[. 373. a.
Opération par laquelle on déeorffc les veines variqueuùs.
Suppl. III. 686. b.^ ^
V A RK ENSBE CK , ( Ich'.hyolog. ) poiffon. Suppl. I.
836. .1.
V A R LO P E , { Menuiferie) outil de menuifier. Sa deferip-
tion. Demi-varlope. Varlope àonglct. X V I . 848. .z.
V A R N A , ( Gv’oÿr. ) ville do la Turquie européenne, dans
la Bulgarie , prés de laquelle fe donna en 1444 une célébré
bataille, entre Uladiflas V I , roi de Pologne, Si. le fuhaii
Amurath II. Caufe fuites de cette bataille. X V I. 848. .z.
V a r n .\ y kl y { Géogr. ) riviere des états du Tu rc en Europe.
X V l. 848. é.
\ A K O LE , pont de, {A nat.) obfervations fur le médecin
Eminence du cerveau, appellee pont de V arole. X V L
848. b. V o yez Pr otuberance annulaire.
V a r o l e , ( Conjkmce ) anaioiniffc. Suppl. I. 393. b.
Pont de Varole. Suppl. 111. 943. b.
V A R R E , ( Mejure cfpagnole ) XVI. 448. b.
V arre , ( Pèche ) iiiffrumem des pêcheurs de l’Amérique,
fervant h prendre les gros poiffons, fur-tout les tortues. Def-
criptiou si. ufage de cet inffrument. XVI. 848. b. Defcriptlon
de la maniéré de prendre les tortues a ta varre. Signification
du mot varre. Dimenfion des grandes tortues d’Amérique.
;A/X 8 4 9 . .z.
VzUiRON , ( Terentius) fes fatyres. X. 334. iz, A.
Varron , coiiful qui engagea la célébré bataille de Cannes.
Suppl. I. 444. *z.
V A R SO V IE , {Géogr.) ville du royaume de Pologne.
Sa fituation. La république en a fait le lieu de la convocation
de les dictes 6c de l’éleélion de fes rois. Palais des rois
à Varfovie. Defeription de cette ville , 6c du lieu nommé
Kolo , où fe fait l’éleélion des rois. Obfervation fur cette élection.
X V I. 849. b.
\ A K T lA S y { Hiß. mod.) bramines ou prêtres indiens,
qui ont embr.i)Té la vie monanique. Mceurs6c genre de vie de
ces religieux. XV'I. 849. b.
VA S breve , ( Anatom. ) vailTeau au fond de l’cftomac. Petites
branches qu'il envoie du fond de l’eftomac à la rate.
Sentiment des anciens fur l’ufage de ces rameau.x. Vafa deferen-
ti.i. V.i/a veriicoja. X V I . 830.
''</AS, je y { L.ing. franc.) comment on doit fe déterminer
entre je vais 6c je vas. X V lI . 318. b.
V A S C O de Gama, Portugais, découvre les Indes orientales.
V l l l 6 6 1 .A.
V A S CO N S , ( Géogr. anc. ) peuples originaires d’Efpagne.
VII. 320. A.
V A S C O S A N , ( Michel de) imprimeur. VIII. CiS.b.
VASCU La RIU S y ( Hifl. anc.) faifeurdevafes d'or 5 cd’argent
chez les Romains. Deux fortes d’artiües faifeurs de vafes
chez les anciensGrecs. XVI. 850. A.
VASCULIFERES , plantes, ( Bot. ) deux fortes déplantés
défignées par ce nom. X VI, 830. A.
V A S E , {A rchit.) vafe d’amortilTeinent. Vafe d’enfaîte-
ment.XV l. 830. A.
V a s e , {Archit. H ydr.) mauvaife qualité de terrein. XVI.
851.*/.
Vafe appellee terre adamique, qui fe trouve au fond de la
mer. I. 126. A.
V ase , ( Orfevr. ) ouvrage de Jean Giadini fur l'art des orfèvres
, que ces ariiffes devvoient confulter.XVI. 831.«*.
V ase , {Sculpt. ) ornement de fculpture qui ferc à décorer
les bâtimens 6c les jardins. Différentes matières dont on
les fait, felon les lieux qu’ils doivent orner. X V I. 85 i.<z.
Vafes i\ips\\ès cajfoleiics. U. 748. a.
V ase d’albâtre , ( Critiq.facr. ) il en cft parlé Matth, xxvj.
6. 7. Carrières d’où les Orientaux tiroient l’albiin e. On façon-
noit cette pierre au tour avec affez de facilité, Obfervations
fur le vafe d’albâtre dont il eft parlé dans l’évangile. X V L
8 3 1 .<z.
V ase de treillage, ( Décorât, de jardin. ) X V L 831. a.
V ases antiques, { A rts, Lut. Antiq.) différens ufages auxquels
les anciens employoicin les vafes. Matières dont ils
les faifüient. X V l. 831. a. Vafe fur lequel la prife de Troie
étoit gravée. Vafes que Verrès déroba à un des fils d'An-
tiochus. Vafes qu’Alexandre trouva parmi les dépouilles de
Darius. Vafes dont Pompée orna fon triomphe. Antiquaires
qui ont écrit fur les vafes des ancien». Defeription de trois
vafes antiques confervés dans le tréfor de l’abbaye S. Denis.
Ibid.
V A S Ibid. A. Belle colleélion de vafes antiques que le roi de
France poffede. Recueil qu’on garde dans le cabinet de fes
effampes, où l’on voit les defflns de plufieurs vafes 8c autres
monumens. Ib'id. 832.0. Autre ouvrage en ce genre,dont parle
M.deCaylus./A/(/. A.
Vafes antiques. Efpece de vafe qui repréfentoit le dieu des
eaux chez les Egyptiens. VIII. 368. A. Vafes précieux qui
ornoient la galerie de Verrès. V i l . 442. A.* Vafes avec lef-
quels les eiclaves jettoient de l’eau fur ceux qui étoient
dans le bain. Suppl. I. 742. a. Des vafes étrufques. Suppl. IL
900. a y A. 903. a. Ceux qu’on a trouvés à Herculanum. V IH .
132. A. 1 33. A. Suppl. III. 353. zz.
V ases de facr'tfices, {Sculpt. Antiq. ) X V I . 852. A.
V ases facrés , ( H'ifl. eccl. ) gardien de ces vales dans l’é-
glifegrecque. X lV . 758. a.
V a s e s zz boire, ( An&- L ilt.) les hommes commencèrent
à faire ufage des cornes de certains animaux , pour leur tenir
lieu de vafes à boire. Ce t ufage régnoit auffl parmi les Juifs.
X V I . 832. A. Efpece de vafe appcllé p«tov , femblable à
une corne, mais percé par le bas. Vafes de marbre placés
fur le perron de la vigne Borghefe à Rome. Les anciens
ne négligèrent rien pour l’élégance du trait, la beauté du
travail , 6c la recherche des matteres des vafes deffincs à
leur table 6c à l’ornement de leur buffet. Coupe de Nefio r,
dont il cft parlé dans Homere. Ib'id. 833. a. Anacréon nous
apprend que de fon tems on faifoit repréfenter tout ce que
i ’oii vouloit fur les coupes des feftins , 6c que les artiftes
étoient en état de fatisfaire la volonté des particuliers , quant
aux comp(?fitions 6c à la dépenfe. Coupes de cryftal que
brifa Néron , lorfqu’il apprit la révolte de fes armées. Abus
que firent les Romains , des formes qu’ils donnèrent à leurs vales.
Ibid. b. Voye^ CoUPE.
Vafesà boire y dits acéiabules , 1 . 94. A. 8c cérames. IL 82. A.
Voye^ B o ire , ( vafes à ).
V ase myrrhia , ( Zi/z. } parmi les riches dépouilles que
Pompée fit voir à Rome, on admira pour la premiere lois
plufieurs de ces beaux vafes myrrhins. Un ancien conful
confuma tout fon patrimoine à l’acquifition d’un de ces v a fes
, tout brifé qu’il étoit. Mais Néron 6c Pétrone allèrent
encore bien au-delà. X V I . 833. A. Vafes myrrhins que Pompée
confacra dans le temple de Jupiter. Nous ignorons quelle
étoit la matière de ces vafes. Quelques favans ont cru qu’ils’
venoient de l’Inde & qu’ils étaient de porcelaine. Ce fenti-
anent eft le plus probable. Ibid. 8^4. a. Voye;^ M y r r h in .
V ases de théâtre, {Anûq. grecq. & rom.) vaiffeaux d’airain
OU de poterie, qui fe inettoient en des endroits cachés fous
les degrés de l’amphithéatre , 6c qui fervoient pour la ré-
perculTion de la voix. Ces vafes étoient faits dans des proportions
géométriques , 6c leurs dimenfions dévoient être
telles , qu’ils formaffent tous les accords jufqu’à la double
oftave. Comment on lesarrangeoit. Quelle en étoit la forme.
X V L 83’4. a. Dlfpofttlon. des diambres où ils étoient placés.
On prétend qu’il y a des vafes de cette efpece 6c à ce même
ufage dans l’églife cathédrale de Milan. Ib'id. A. V o y e z V .
^64. A. V ASES de jardin y {Jardin.) XIII. 17 7 .u , A.
V a se s , ( H'ifl. mod.) vafes deftinés à filtrer 6c rafraichirl’eau.
V IL 516. zz.
V Â S Q U E Z , ( Gabriel) jéfuite efpagnol.T. 664. A.
V A S S A L , {Jurifpr.) autres noms employés pour défi-
gner ceux qui tiennent un fief de quelque feigneur à la
charge de foi 6c hommage. X V I . 834. A. Etymologie du
mot vajfal. L’opinion de Banduis, qui fait venir ce mot de
rallemaud, vajfen , obTiger , lier, eft la plus vraifemblable. Le
terme de vaffus étoit ufité dés le commencement de la monarchie
, 6c bien avant l’iiiftitution des fiefs : & dé vafl'us on
a (dxtvaß’alus Scvajfalubus. ValTaux , du nombre des familiers
ou domeftiques du roi ou de l’empereur. Privileges 6c
fondions de ces vaftaux royaux. Ib'id. 833. a. Terres que
le prince donnoit à fes vaftaux dans les provinces , pour en
jouir à titre de bénéfice civil. Obligation qu’ils contraiftoient
par-là, On diftinguoit, comme encore à préfem , deux fortes
de vaftaux , les grands 8c les petits , les valTaux immédiats
& les vaffaux médiats. Les vaftaux des princes fignolent autrefois
en cette qualité leurs chartes après les grands officiers.
Ibid. b. Détails fur ce qui s’eft obferve par rapport
aux Vaffaux depuis l’infiitution des fiefs. Quels étoient leurs
devoirs envers leurs feigneurs. Juge des vaffaux lorfqu’ils
avoient procès entr’eux. Différentes caufes qui faifoient perdre
à un vaffal le fief dont il étoit pourvu. Partage du
vaffelage. Ibid. 856. a. Articles auxquels fe réduifentaujour-
d’hui les devoirs du vaffal. Cérémonie de la foi & hommage.
Cas où la confifearion du fief a lieu contre le vaffal. Ouvrages
à confulter./Aiz/. A. J’bycç V a va s seu r .
Piaffai. Origine des vaffaux ; noms que reçurent les biens
qui leur furent^réfervés. V I . 690. a , b. Divers noms par
lefquels les vaffaux font quelquefois défignes. Les vaffaux
étoient obliges d’affifter aux audiences du )Uge de leur feigneur
dominant, 6c de lui donner confcil. l^ar qui étoient Tome II,
VAU 8 2 9
juges les procès des vaffaux. V I. 696. a. Les vaffaux étoient
autrefois appelles filcalins. 821. a. Divers caraéletcs tie vaf-
fiilité. V l l i . 280. A ,6 tc . Inveftiture du vaffal. V l i l , 863 A.
Nature de la relation de feigneur & de valfal, VI. 694.
a. Quatre devoirs auxquels la propriété de fie f oblige le
vaffal envers le feigneur. 697, Rcconnoiffancc du vaffal.
VL 692. A. Aides auxquelles les vaffaux font tenus. I. 192.
A. Vaffaux obligés à la garde du château. III. 241. a. V I .
A- f- Droit appellé cheval de fervice que le vafful tioir acquitter.
III. 307. A. Service du vaffal appellé chevauchée.
314. a y b. A veu 8c dénombrement qu’il doit au feigneur.
IV . 829. a , b. Foi & hommage du vaffal. VII . 24. a, A.
Service militaire que les vaffaux dévoient à leur feigneur.
V I . 696. a. Service du ban 6c de l’arriere-ban auquel ils
étoient obligés. I. 709. zz , A. IL 31. A. 52. zz. Vaffaux qui
ont droit de bâtir des châteaux. III. 241. a. Droit qui fe
paie au feigneur dominant à cliaque mutation de vaffal. III.
43. zz. Tant que le vaffal dort le feigneur veille , 6cc. V .
56. a. XV<i. 873. a. Marque que les vaffaux en Angleterre
tiennent de leur ancienne fervitude. XV II . 277. a. Du vaffal
qui défavoue fou feigneur. IV. 872. A. D e l’ingratitude du
vaffal envers fon feigneur. VIII. 746. a. Arricre-vaffal. 1 .
709. A. Vaffal cenfitairc. 11.819 zz, Vaffal-lige. V I . 709. A.
V A S S E L A G E , {Jur'ifpr.) vaffelage aéfif, p a flîf, fimple.
X V I . 836. A.
V A S S I , ( Géogr. ) ville de France en Champagne , lieu fort
ancien. X V I. 836. A. Obfervations fur M. Ifaac Jaquelot, né
dans cette ville en 1647 , & fur fes ouvrages. Ib'id.%^j. a.
V A S SO R , {Michelle) obfervations fur ce favant 6c fur fes
ouvrages. X I.632.A.
V A S T E , ( Lang, franc. ) M. de Saint-Evremond a fait une
differtation pour prouver que cette éplthete defigne toujours
un défaut. Hiftoire de la difpute qu’il eut à ce fujet avec l’académie.
Précis de fa differtation. X V l. 857. a.
V a st e , (^/zzzZD/n. ) deux mufcles delà jambe appellesvaftes.
Defeription du vafte externe , ôc du vafte interne. X V I.
837. zz.
^ A ST E L LU M y {Hifl. mod. ) grande coupe ou gobelet d’ar-
gentou de b o is , dans laquelle les anciens Saxons avoient coutume
de boire à la famé dans leurs feftins. Cet ufage encore ob-,
fervéen Allemagne. XVI.837. A.
V A S T H l,{ H'ifl. fa'inle) répudiation decette p rinccffe.X.
102. a.
V A S -TU , V IEN S -TU , ( Pêche ) terme ufité dans le
reffort de l’amirauté de Bayeux. Defeription du filet de ce
nom , de fon ufage 6c de la pêche où il eft employé. X V L
837. A. la dix-feptieme planche dépêché , vol. VIH.
V A T E R , {Abraham ) médecin. X VH . 628. A. Suppl. I.
403. zZ.
VATESy {L itt.) nom donné aux poètes. XIII. 461. a.
Différence entre vates 6c poe-:.i. Suppl. I, 808. a.
V A l.\Ç jA if, le ,{Arch'tt.gothiq.) palais des pontifes de
Rome. Papes qui l’ont fait conftruii e. Détails fur les tableaux
6c peintures à frefque que l’on voit dans le Vatican. X V I .
838. a. Le Vatican cft proprement le nom d'une des fept
collines fur lefquelles l’ancieiine Rome a été bâtie. Etymologie
du mot Vatican. Divinité appellee vaticaniis. Bibliothèque
du Vatican. Ibid. A.
V.itic.m. D u palais de ce nom Sc de fa bibliothèque. H.
2 33.zz. XIV.349.,2.
V A T IA T A , loi. IX. 678. a.
V A T T IE R , ( Pierre) obfervations fur fa vie 6c fes ouvrages.
IX. 374. A.
V A V A S SEU R , ( Hifl, mod. 6* Jurifpr. ) diminutif de vaf-
feur ou vajfal dans les anciennes coutumes d’Angleterre. Recherches
fur l’étymologie de vavaffeur. Deux fortes de v a v a f
feurs , les grands 6c les petits. XVI. 858. A.
V a VASSEUR , ( François)']c(\.\\\e, poète latin. XL 924. A.
V A V A S S O R lE , ( Hifl. mod. & Jurifpr. ) terre tenue en fief
par un vavaffeur. Vavaffories baffes ou roturières. Vavaffories
libres ou nobles. X V I . 838. A.
V A U B AN ; ( Séhafl'icn le Prêtre, feigneur de) célébré ingénieur.
Suppl. IV. 700. A. Son fyftême de fortification. V IL
198. A— 200. A. Vo y ez dans le v o l.I des planches celles de l’art
militaire.
V A U C A N SO N , {M . ) fon ftûteur,!. 448. A. fes autres automates
, 896. zz, A. fon tour pour tirer la fo ie , vol. IX des
plandi. Soierie, feflion I , planche 3. Foycç A sple.
V A U C LU S E , fontainede, (Géogr.) fontaine de France,
dans le comtat Ven.iiffm , affez près de la ville d’Apt. Sa
defeription. Pétrarque avoir fa maifon fur la pointe d’im rocher
, à quelque cent pas au-deffous de la caverne de Vau-
clufe. Amour qu’il conçut dans ce lieu pour la belle Laure.
Infpiré par cet amour 8c par fon génie, il a immortaiifé Vau-
cliife, les lieux voifms, Laure 6c lui-même. Belle ftroplie
de fa Canzone 14. X V L 839. a. Imitation libre qu’en a
fait M. de Voltaire. Defeription poétique de la fontaine de
Vauclufe par madame Deshoulieres. Ibid. A.
V A U CO U L EU R S , ( Géogr. ) petite ville de France dans
A A A A A a a a a a