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690 S O L
Ç19. b. Mcttiftcle cerurobariqiie pour la mesure des foHdes.
II. 829. a. Angmenter on diminuer des folides feinblables
Iclon une railrm donnée. III. 754. a. Etant donnés deux
Tolides lemblablcs, trouver leur rapport./itV. Nombre fo-
lide. XI. 104. ^.Solides infinis. X I I I .654.é. Angle folide. I.
461. b. Développement d'un folide. IV . 908. a.
Solide , ( Phy fiq. ) X V . 32 1.4.
Solides. Comment l’on juge des corps foUdes par l’attou-
chement. X V . 821. a. Différence entre les corps folides &
les corps fermes. V I . 309. a. Les fluides attirés par les folides.
1. 849. b. D e la réfiftance des folides. II. 302. a.. X IV .
174-
Solide, {Anatom.) parties folides du corps. Elles font
excefrivemcm petites & peu confidérables , en compa-
niifon des fluides. Elémens communs des folides. Tous les folides
ne different des fluides dont ils ont été formés, que par
leur repos, leur cohéfion , & leur figure. X V . 3 21. é.
Solides , ( Phyjîolog. Econom. anirn. ) ce qu’on entend
par folides & fluides : différence elTemiclle entr’eux, VI.
663. b. VIII. 349. b. Examen de la quelVion , 11 les particules
terreufes dont la plupart de nos exc’rétions font chargées
, ne feroiem pas les excrcmens d’une terre plus pure ,
qui forme la bafe des parties folides. X IV . 871. b. Etat des
parties folides & fluides d’où dépend l’équilibre dans l’économie
animale. V . 874. b. Les fluides plus abondans que les
folides. XI. 286. b. Deux genres de parties folides. V I . 670.
a. Toutes ces parties font formées d'un tiffu de vaiffeaux.
667. a. Cohéfion des folides , diverfe felon l'àge & l ’iifage
de ces parties. III. 607. b. Aélion du feu fur les folides.
Suppl. 1. 734. b. Effets de la diminution de la chaleur animale
fur les folides. 733. a. Diffipatlon des folides. XI. 287.
a. Leur compofition iufenlible , Suppl. IV . 72. b. 73. a.
leur augmentation par la vieillciTe. 74. b. Toutes les parties
du corps tendent comimiellement à devenir plus fo lides.
V I . 668. b. XVII, 239. b. Quoique dans l’embryon les
parties paroiffent toutes également molles , les progrès de la
folidité ne fe font pas en même proportion dans toutes. VI.
669. a. Force immenfc des folides dans la vieilleffe. XVII.
259. i.
Solides , ( Mèdec. ) débilité &: fenfibilitc des foUdes dans
les eiifans. V. 639. a. Los folides du corps humain peuvent
pécher par défaut ou par excès de coliéfion. III. 607.
a. V L 671 . é , &c. 326. a , b. En quoi confiffe l’excès de
débilité de ces parties. Maux qui proviennent d’une trop
facile dilatation Sc du relâchement des foUdes. Remedes
propres à donner une cohéfion plus forte. Maladies qui
naifîent de l’excès de cohéfion dahs les foUdes. Des remedes
ou palliatifs à ces maux. III. 607. b. Concrétion des folides.
S29. a ^ b.
Solide , ( Archli. ) X V . 321.
S O L ID IT É , ( Geom. ) comment on trouve la folidité
d'un cube , d’un p rifnie, d’un cylindre , 6’c. celle d’une pyramide
ou d'un cône. Maniéré de trouver la folidité de tout corps
irrégulier. X V . 321. b.
Solidité. Maniéré de mefurer la folidité d'un fegmcni de
fphere.XIV.88o. b.
So l id i t é , \Pbyfiq.) de toutes les idées que nous recevons
par fenfation , il n’y en a point que nous recevions
plus coiifiamment que celle de la folidité. Réfifiance qui
empêche que d’autres corps n’occupent l’efpace dont un
corps eft aâuellement en pofTefiioii. Selon M. F o rm e y ,
c'eft une difliiiRion chimérique , que celle que l’on met entre
l’étendue des corps & l’étendue de l’efpace. Différence entre
la folidité & la dureté. X V . 322. a. Expérience qui fait
voir la folidité cle l’eau, La folidité eft une propriété elfcn-
tiellc à tous les corps, 8c le figne le moins équivoque de
leur exiftence. Mais il y a tels cas où la folidité & la ré-
fiflance échappent à nos fens , ou à notre attention. Ibid.
b. D ’où vient la diflàculté de faire entrer dans un vafe dont
le col ou l’ouverture eft étroite une liqueur quelconque.
Expériences qui femblent contraires à la doflrine de l'impénétrabilité
des corps. Dans que! fens on doit entendre cotte
impénétrabilité. Ibid. 323.4.
Solidité inaltérable dans les particules primitives. X. 19O.
h. En quoi confiffe la folidité dans les corps. V I . 663. b.
S o L lu n i , OM Solidarité, {Jurifpr.) effet d e là forte d’obligation
exprimée par ce mot. La folidité a lien ou en
v en u de la lo i, ou en vertu de la convention. O uvrages à con-
fulter.XV . 323, b. Voyc^ Solidaire.
Solidité, ( Archit. ) X V . 323.é.
Solidité, la ; Solide ^ le ; {Synon.) différences dans l’u-
fag ed ec es mots. X V . 323. i.
SO L ILO Q U E , {L it ! .) voyeq_ Monologue. Rien de plus
contraire à l'art 8c à la nature que les longs foliloques du
théâtre. X V . 324. b. Moyen de les éviter. PalTage de
Buckingiiatn dans lequel il détaille l'ufage & les abus des
foliloques. Différence entre les mots foliloque & mvioiogue.
Ibid.o^ie^.a,
SOL lhlAN , calife. II. 12 9 .4 , é,
SOL
Soliman T, empereur des T u r c s , loi qu’il fit pour affermlf
fes lùcceffeurs furie trône. X lll. 136. b.
Soliman I I , empereur des Turcs. Ses guerres avec l’empereur
d’Allemagne. Suppl lU. 18. a , b. Il ravage la Hong
r ie , VIII. 283. b. aflicgc h V a lette , ville de l’iïle de Mal-
the , IX. 930. b. meurt en Hongrie au fiege de Zigeth.
X V II , 713. b. Repartie flattcufe faite à cet empereur. X IV .
137. h.
SO L IM A R IA C A , {Géogr.) ville d e là Gaule. Suppl. IV.
SO L iP ED E S , animaux, félon Rai. XIII. 643. h.
SO L IT A IR E , {Morale) une vertu vraiment robuffe eft
celle qui marche d’un pas ferme à travers les obffacles, 8c
non pas celle qui fe fauve en fuyant. La véritable grandeur
fc montre dans les traverfes 8c l’agitation du commerce du
monde. Un folitaire eff à l’égard du reffe des hommes, comme
un être inanimé. X V . 324.4.
So lit a ir e , ( monac. ) nom des rcligieufes du mo-
naftere de Faiza. Moeurs de ces rcligieufes. Caraélere du cardi-
rtal Barberin , fondateur de ce couvent. X V , 324. a.
Solitaires afeetes, X. 6 1 3. 4. anachorètes , 1. 393. é. cénobites
, II. 8 i6 . b. hermites , VII I. 173. b. rec lu s, XIII.
836. 4 , b. ffylites. X V . 337. 4. Solitaires de la Thébaïde ,
X V I . 240. b. 241. 4. thérapeutes. X V I . 263. b. Grottes des
folitaires d’Oiienr. X. 13.4.
SOLlT.viRE, ver, {Hifl.des b ifelî.) c’eff le plus long de
tous les aiiimau.x. X V . 324. a. Examen de quelques difficultés
iur la formation de ce ver. Pourquoi il eff fcul. Quel
chemin prennent fes oeufs ou fes petits pour entrer dans
le corps d’un homme. M. Valifnicri a établi par fes obfcrva-
tioDs, que le folitaire n’eft qu’une chaîne d e ve r s cucurbitai-
res , qui fe tiennent tous accrochés les uns aux autres, 8c forment
ainfi la figure d’un feul animal. Ibid. b. I^oye^ T æ n ia .
So litaire, {J eu) defeription de ce jeu qui fejoue fur
une tablette percée de trous, &c. X V . 324. b.
Solitaire , {Jeu de canes ) fa defeription. X V . 323. a.
Solitaire , le Médiateur folitaire à trois, ( Jeu de canes )
explication de ce jeu 8c de deux maniérés de le jouer. X V .
32 3.4.
SO L IT U D E , {Religion) la religion chrétienne n’ordonne
pas de fe retirer abfolument cle la fociété pour fervir D ieu ,
parce que le chrétien peut fe faire une folitude intérieure
au milieu de la multitude , 8c que J. C. veut que notre lumière
luife devant les hommes. X V . 323. />.
Solitude ,e'r4t de , ( Droit nat. ) état miférable de l’homme
qui vivro'it feul , 8c abandonné à hii-mèine. X V . 323. b.
Solitude. Avantages 6c défavantages d’un homme qui vit
ifolé. VIII. 927.4.
Solitude, tableau d'une , {Peint.) 111.774.4.
S O L IV E , {Charpcni.) table des cîimenfions des fo lives,
eu égard .à leur longueur. Moyen d’aft'ennir 8c de fortifier
les folives d’une grande portée. Solives qu’on peut mettre
dans un mur. Maniéré de les pofer. Etymologie du mot
folive. Solive de brin. Solive de feiage. Solive paffante. Solive
d’enchevêtrure. X V . 323.^.
So lives, rang de, {Charp.) X V I . 569. i.
Solive, niefure de ce nom. X V I . 384. 4.
SO L L IC IT A T IO N , ( Philofoph. Morale) réflexions contre
l’ufage de folliciter les juges en faveur de la caufe plaidée
devant eux. La follicitation offenfante à toute forte d’égards
pour le juge follicité. Suppl IV . 806. b.
SO L L IC IT E U R , {.Jurifpr.) les démarches de follicliations
auprès des juges dans les cas de procès, font défendues par les
ordonnances. Pourquoi les folliciteurs de procès pour autrui,
fout reaardés d’un oeil peu favorable. Solliciteur ou contrôleur
des relîes. X V . 3 26. a.
SO L O G N E , {Géogr.) pays de France, fes bornes, fon
étendue, fesprotluéHons, 6’f .X V . 326. b.
Sologne. Origine de ce nom. Suppl. II. 837. a. Maladie
gangreneufe endémique parmi les payfans de cette contrée.
X I’V',893.i.
SOLON ; Hiffoire de ce Icgiflateur. V II . 909. b. Sa légif-
lation, Suppl I. 672. 4 , b. 673. 4 , b. IX. 648. b. Nom de
cyrbes donné à fes loix. IV . 603. b. Divifion qu’il fit du
peuple d’Achenes. XII. 176. b. Gouvernement qu’il y établit.
XIV. 152.4, b. Villes ciu’il fonda. X V . 313. a. ^20. b. XVII, 723.é.
S O L O O N , {Géogr. anc.) fleuve de l’A fie mineure dans
la Biihynie. Aventure arrivée à Théfée auprès de ce fleuve,
qui fait conuoitre l’origine du nom de Soloon qui lui fut
donné, 5c celle d’une ville appellée Pythiopolis, que Théfée
bâtit auprès de ce fleuve. X V . 3 27. a.
SO L V r iC E , { AJlronom. ) étymologie du mot. Soiffice
d’été. X V . 327. 4. Soiffice d’hiver. Points des folfficcs. Co-
luredes fo!ffice.s. Mouvement des points folffiiiaux./ii4'. b.
SolJIice. Pourquoi la plus grande intenfité de chaleur &
de froid n’a pas lieu le jour des foiffices. III. 28. b. Ob-
fervations de médecine relatives au tems des folfficcs. VIII.
73 6. 4. PcAnts folftitiaux. XII. 872. b.
S O M
!SOLTAN ou A l-So l t an , {H [ß. des Arabes) ce titre
ftibftitué à celui t/’é/nir. Sa fignificaiion. X V . 323. b. Foyer
Su l t an .
SO L U B IL IT É , {Chymie) voyei M isCIBIl itÉ. Propriété
de folubllité dans les corps , découverte par l’emploi des menf-
trucs.III. 418. />.4ig.4.
SOL FEJdSE O P P ID U M , {Géogr. anc.) ville du Noii-
que. On croit que c’eff-à-préfent Soifeldt dans la Carintliie :
les Romains y envoyèrent autrefois une colonie. X V . 328. a.
SO L U T IO N , ( P/iyfiq. ) différence entre folution 8c dilfo-
liition.XV. 328.4.
SoLDTlOtt de continuité, {Chir.) X V . 328. a.
So l u t io n , {Chymie) la folution des corps eff ou radicale
ou fiipcrficielle. X V . 328.4. Quels font les corj).s que
l'on diffbut. Différentes fortes de menffrues. Quels font les
corps diflblvables par les menffrues aqueux, par les menf-
mies falins acides, par les falius alkalis, les infl.immablcs
l'p iriiueux, les menffrues compofés. Moyens dont on fe fert
avant ou pendant la diflbUition. On doit rapporter l’extrac-
tion à la folution, comme en étant une efpece la plus ufitée.
But de ces opérations chymiques. b. Foye^ O p ér a t io n
CHYMIQUE.
So lu tio n des problèmes, {Géomét.) voye^ PROBLÈME 5’
R é solution. Solution des problèmes plans. IV . 1079. b.
Difficulté de la folution des problèmes qui renferment plu-
licurs inconnues. V I. 119. 4 , b. Défis que les mathématiciens
du tems de Defeartes fe faifoient fur la folution des
problèmes numériques. 22t. a. Utilité des formules pour la
folution des problèmes. V IL 183. b. 184. 4. Il faut prendre
garde dans ces fohuions, de tomber dans des équations identiques.
V in . 494. 4 , b. Pourquoi un problème paroit fou-
vent avoir plus de folutions qu’il n’en doit avoir dans les
circonffances limitées où on le confidere. X V . 232. a. Méthode
qu’on fuit en algèbre pour trouver la folution des
problèmes. XIII. 748. b. Utilité du livre des data d’Fit-
clide pour la folution de divers problèmes. Suppl I. -86.
4 , b. Solution des équations , v o y e z ce dernier mot.
•So l u t io n , {Jurifpr.) X V . 328 .é.
S O LW A Y , {Géogr.) golfe de la grande Bretagne. X V .
528. b. Ruines d’une ville que les Romains bâtirent fur la
pointe de terre qui eff à l’ifTue du golfe. Ibid. 3 29. a.
SOL YMES , les, { Géogr. anc. ) peuples de l’Afie mineure.
Colline de ce nom dans la Pifidie. X'V. 2 29. a.
SOM BRAPO U R , ( Géogr. ) ville des Indes dans le
royaume de Camboya. Roi des prêtres qui y rcffcle. XIII. 760,
a , b.
SOM E , {Marine ckitwife) nom donné par les Portugais
à une forte de vaiffenu dont les Chinois fe fervent , 6c
qu’ils nomment tchouen. X V . 329.4. Sa defeription. Calfat
t e ancres des vaiffeaux Chinois. Officiers qui conduifent
leurs fomes. Les Chinois font affez bons pilotcs-côtlers ,
mais mauvais pilotes en haute m er. Ibid. b. Foyer V aisseau
CHiNOis.XVI.803. i. ; ;
SOM ERS, {Jean) grand chancelier d’Angl eterre. XVII .
<337, b.
SOM M AIR E , {Jurifpr.) Enquête fommaire. V . 697. b.
Juftice fommaire. IX. 100.4. Parlemens fommaires. XII.63. b.
SOM M A T IO N , {Jurifpr.) fommations des huiffiers des
procureurs. Sommation refpeélueufe, celle par laquelle deux
notaires réunis »requièrent un pere 6c une mere de confen-
tir au mariage de leur enfant. Formalités que ces a6les exigent.
Quel en eff le but. X V . 330.4.
Somm.uion, en quoi elle différé du commandement. III.
687. a. Contre-fommation. IV . 141. b.
.S0MM.4TION en guerre. {A r t milit.) X V . 330. b.
SOM M E , Sommeil, {Synon.) différence entre ces deux
mots. X V . 330.
So m m e , la {Géogr.) riviere de Picardie. X V . 330.,i.
Somme, ancien nom de cette riviere. X IV . 393.4. Projet
de la joindre à l’Efeaut. Suppl II. 183. a.
So.MMES. ( A/4tAéw.) Somme d’une équation. X V . 330.^.
Somme, {Comm.) X V . 330. b.
S omme. {Clouterie) X V . 330. b.
S omme haute. {Comm. maritime) X V . 331. 4.
Somme. ( Maréch. ) X V . 331 .4.
Somme, cheval de V I. 811. a.
Somme de verre. {Fcrrerie) X V . 331. 4.
SOM M É, {Blafon) différens ufages 6c étymologie de ce
mot. Suppl IV . 80Ö. b. . ^
SOM M E IL , {P h y fio l) les effets faliitaires du fomnieil
décrits dans la Henriade, chant 7. Conjeélures fur la caufe
périodique du fommeil. X V . 331. 4. Le mouvement du coeur
6c des organes de la refpiration plus fcnfible durant le fommeil.
Explication de plufieurs phénomènes concernant le
fommeil. i ”. Pourquoi dans cet état ,1a tranfpiration .augmente
, 8c les autres fecrétions diminuent. Ibid. b. 2®. Pourquoi
les parties fe nourriffeiu mieux durant le fommeil. 3''.
Caufe du réveil. 4“. C e qui fe perd par la tranfpiration qui
arrive durant le fominci!, c eff üir-tout ia partie aqueufede
S O M 691
alimcns & de notre fartg; Pourquoi nous n'.ivons pasbefoii).
de manger quand nous donnons. 3". Caufe de la difpofition
que les enfaiw ont à beaucoup dormir. Ibid. 332. a. 6 '. SI
io n don trop long-tems, la tranfpiration s’arrête, on a la
* fo^’ce ; caufe de ce phénomène.
7 . roitrquüi les perfonnes qui dorment trop doivent s’en-
gratffer. S". Quand on s’éve ille , on baille , on étend les bras,
on eff plus agile, on a plus de vivaciiè dans l’efprit. Raifon
de ces effets. La conjeflure tirée de la comprcffion du cerveau,
que lauteur a préférée aux autres, pour expliquer les
phenomenes que préfente le fommeil, femble être confirmée
p.tr 1 aélion des caufes qui nous affoupiffent. i". Les
ahmens pris avec excès, nous font dormir. Ibid. b. 2“ . Les
liqueurs fermentées endorment. 3". Les remedes qui appal-
fent la douleur nous procurent un doux fommeil. 4“ . La
grande chaleur jette dans l’affoupiffement. 3*. Autres caufes
de fommeil ; la tranquillité d’efprit. 6°. Tout ce qui empêche
le fang de fe rendre au cerveau, 7 “. T ousles accidens qui
pfifvent le comprimer. 8”. Affoupiffemens qui tirent leur
origine des mouvemens fympathiques. Caufes qui empêchent
le fommeil. Ibid. 333. a.
^OM.MÉiL,(F/iyy/o/.)définitIon d e l’état de fommeil. Suppl.
IV . 806. b. Aniinaux parmi Icfquels le véritable fommeil rogne.
Autres efpeces à qui l’affoupiffemcnt tient lieu de fommeil.
.^ e s de la vie auxquels l’homme dort le plus. Le fommeil
eff la fuite de la fatigue 6c de l’épuifemem. Etat cle l'homme
prêt à s endormir. Etat de l’homme dans le fommeil parfait.
Affüibhffement de la fcnfibiliié 6c de l’irritabilité dans l’animal
qui dort. Ibid. 807. a. S’il eff vrai que le fommeil échaufi'e,
augmente le pouls, la refpiration , la digeftion , 8c qu’il enfle
les chairs. Recherches fur les caufes du fommeil. La premiere^
c eff le travail, celui des mufdes , celui même des fens. Les
autres font la nourriture, les voluptés d o u c e s ;/ü d " .m a is
une caufe bien dangereufe, c ’eft le froid qui refferrant toutes
les veines des tégumens, refoule le fang au cerveau, 8c
le remplit. La graiffe trop accumulée agit à-peu-près de
même , & fur les animaux, 8c fur l'homme. Diiférentes efpeces
de vapeurs qui caufenc un fommeil pefant, mêlé d’en-
gourdiffement, 8c fouvent de délire. C ’eff enngiffant furies
nerfs, que l ’opium procure raffoupiffenient. Différentes manières
de 1 appliquer pour lui faire produire cet effet. Deux principes
dans l’opium, dont l’un agit fur les nerfs, 8c l’autre
fur rirriiabilité des inteftins. Ibid. 808. a. Effets de l’opium
8c de tout narcotique pris en médiocre quantité. Réfultats
contraires des expériences faites avec cette fubffance; dans
les unes 11^ a paru qu’elle affbibliffoit le coe ur, 6c dans les
autres, qu’elle rendoit le pouls plus plein 6c plus fréquent.
Caufe de ces contrariétés. De la faculté foporifique de l’opium,
Ibid. b. Fuiieftes effets qu’il produit lorfqu’on en prend
une dofe^ conficlerable. Cette dofe varie félon le tempérament
& li]fa g e qu’on peut en avoir fait auparavant. Sommeil
produit par toute prcffioii du cerveau. Des caufes qui empêchent
le fommeil. Combien les caufes tlu fommeil font oppo-
fees les unes aux autres. Effets falutaires qui réfyltent de cet
état pour la machine animale. D e la caulê du réveil. Ibid.
809.4. Des fonges quiaccompagnent le fommeil. Leurs différentes
caufes. Aélion de la volonté fur certains mufcles pendant
le fommeil. Ibid. b. Il paroit que dans les fomnambules,
une partie du cerveau doit avoir été libre , pour que la
moëlie fût en état de fournir aux mufcles les efprits nécef-
faires pour les faire agir. Ibid. 8 io. a.
Sommeil , ( Phyfolog.^ ^ caufe de l’affouplffement félon les
anciens. II. 693. b. Objection tirée du fomnambulifme contre
Ihypothefe ordinaire fur ht caufe du fommeil. X V . 542. a.
Allongement des membres aux approches du fommeil. VI.
326. 4. De la refpiration dans le fommeil. S u p p lW .6 17 . b.
Sommeil , ( Muaphyf. ) état de l’homme dans le fommeil.
y. 401. 4. Difference entre la veille 6c le fommeil dans 1 ordre des idées. XI. 396. a, h. M oyen de diffinguer la veille
du fommeil. X V . 357 .4. Fonélioii de l’ame pendant le fommeil,
felon Hippocrate. Suppl II. 479. b. Pourquoi l’ame
n’exerce plus alors fa liberté. IX. 466. 4, b. 467. b. 468. a.
Sommeil , ( Mèdec. ) du régimeù l’égard du fommeil felon
la diverfité des climats. III. 333. b. Des moyens de provoquer
le fommeil. VII I. 791. b. yc)i. a , b. De la veille & du
fommeil par rapport à la fanté. XI. 223. a. DuTommeil de
laprès-diné, appelle méridienne. Suppl. III. 903/ b. Sommeils
extraordinaires. Suppl I. 637. b.
Sommeil , ( Hifi. des fuperf. ) purifications pratiquées cher
les Romains lorfqu’on avoit été troublé dans le fommeil par
des fouges effrayans. X V . 203. b.
So m m e il , ( Mythol) fils de l’Erebe & de la Nuit, 8c
frere de la mort. Fiélions d'Homere fur le Sommeil invité
par Junon à venir affoiipir Jupiter. Defeription que donne
Ovide du domicile du Sommeil. Celle que G a r th , poète
aiigloi^, en a faite. Comment on repréfentôit ce dieu. X V .
333. .Morphée.
Sommeil, dieux qui préfident au fommeil. XV. 342. i.
Portes du fommeil. XIII. 133. b.
^ - 1