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RAP
ficiirs rapports. 1 1 1 . ’]-!■ b. Rapport nuiltiple. X. 850. I-
Rapport rationnel. XIII. 827: i>- •! rouvcr le rapport de deux
figures planes I'cmblables, III. 753-/’■ trouver Ic rapport tie
tleiix corps i'cmblables. 754. I'oyi:^ Raison ; égalité do
doux rapports, PROPORTION.
Rapport ou y iß n iti, ( C/iymic ) les divers degrés de rapport
sViliment entre doux l'ubûances par la faculté qu’a l'une
de eos iiibfiances do pvécip'itcr l’autre. Il laut roniarqucr ici
que toi corps qui s’unit à un autre avec la plus grande fa cilité
, cil Ciifuite précipité par un troifiemc , qui n’aveit pas
même la faculté do s'unir immédiatement avec celui de la
fociccé duquel il le dégage. Explication & ulago de la table
des rapports ou affinités'qui ell gravée dans les planches
de tliyiuie. XIII. 797. j . Auteurs qui ont donné des tables
d’affinité. Celle de GoofFroy , toute imparfaite qu’>-lloofi,
doit oivc préforéo à cellos qui ont paru jufqu'à preléiu. Dii-
floulté de tliéorifer f.ir le formel , le mochainlmc , lescau-
fos do l'affinité ciiymiqtic. IbiiL b.
R.ipyons chymiqucs. Tabie dos rapports , planche I. do
chym.e, vol, 111. Obfervations fur la table dos rapports de
M. Geoffroy. III. 264. a. Los rapports ÖC la chaleur font
les di-iix grands principes des pliénumeiKS chy iniques. 419. u.
A ffinités.
R a p p o r t , ( ) relation de deux fons, qui s’exprime
par les mou jicondt, tierce , quinte , &c. Un peut
encore exprimer p..r des nombres le rapport d’un fon à un
autre , en indiquaiu par des nombres convenables les dil-
fèroiis Ions , ce (pii fo fait , foit en conlldérant les vi-
bfatvoiis du corps l'onors dans un teins donné, l'oit en con-
fidérant le changement qui fe fait dans les dunenfions ,
comme par e.xcmple dans ta longueur, l’épailTeur ou le degré
de tonlion d'une corde , par lequel on en tire des fons
plus ou moins graves ou .ligiis. Détails fur ce {ü]\tt.. Suppl.
iV . 57.P b. Quelle ell la meilleure manière de trouver le
rapport des fons en nombre. On doit convenir d’avance
de quelle fuppolition on veut l'c fe rv ir , en exprimant les
rapports dos Ions en nombres, parce qu’il y a des liippofi-
tions qui donnent des rapports précifemeiit invcrles l’un de
raiitre. Ibid. 375. a.
Rapport , ( Hiß, rom. ) propofitlon qu’on faifoit au fénat,
pour qu'il en délibérât. Ordre ik regle qu'on obfervoit au
uijet des rapports qu’on avoir à faire dans cette alTemblée.
A qui appavienoit le droit de faire des rapports. L’empereur
pouvoir propofer une , deux ik trois chofes au fénat.
L ’art de celui qui opinoit ctoic de lier tellement deux affaires
, qu'elles ne puiTent fe divifer. Chaque fénatcur avoir
droit de proposer tout ce qui lui paroilfoit avantageux à la
république. Différence entre fénatiis - conCulte Ôc délibération
du fénat. En quoi confiiloit l.r princip.ilo autorité du
conûjl dans le On.ir. 0 ,i étoit dépofé l’acfe du fénatus-con-
fulie. Commotu riniffoit la féance du lénat. X llI . 798. a.
Quels éioient les objets dont on faitoit rapport à cette aifem-
bléc. Ibi.!. b.
Rapport, {B.ureuu) le fuccés de ces fortes d’aélions
attire autant de gloire qu'aucun p'aidoyer. Sorte d’éloquence
propre à ce genre de dlicours. Cara-ffere dv. l’éloquence de
Scaurus, qui devroit être celle de tout rapporteur. X i l l .
798. b. Comment on pounoic former tes jeunes gens à U
maniéré de t'air.’: un rapport. Ibid. 799. a.
Ra p po rt , {^Ju-ijpi. ) rapport d'ajournement , d’un ap-
pointernent, de caiife, de clerc ou de greffier; rapport
6c dénombrement ; rapport d’un dclibéié, X l l l . 799. u.
d’enquête, d’cvperis, d’exploit ; rapport ex rapport
de garde-chnlfcs, de garde d’eaux (ii forêts ; rapport
& hypotheque d’héritage ; rapport de Jurés ; rapport en
jufticc ; rapport pour la légitime , de muii pleine dans la
coutume d'Orléans. Ibid. b. Rapport de maître écrivain, de
matrônes, à la malTe , de médecins Sc chirurgiens , en
moins p-enant, en mont commun, de montrée bé vu e , en
nature, à partage , de p ieces, de procès, de fergent ; rapport
l'olemncl. Ibid. 800. <1.
R.tppon à fuceeßon. Remife qinm hérliier fait à la maffe
de quelque effet qu'il avoit reçu en avancement d’hoirie ,
pour cire mis en partage. XIH. 800. a. Difpofitions de
l’ancien droit, & de différentes coutumes fur cette matière.
Ibid. b. Des pevfonnes obligées au rapport. Des tho-
fes lujettes au rapport. Comment fe font les rapports. Ibid.
Soi . <1. Effets du rapport. Auteurs à conf'ultcr. Ibid. b.
Ra p po rt , ßMcdcc. & Chirurg.') aile authentique & publie
cju'im médecin ou un chirurgien fait en juffice , pour
certifier de l'état de ceux qu'il villte. Trois cfpeccs de rapports
en chirurgie ; les rapports proprement dits, qu'on clif-
tingiie en dénonciatifs , provifoires & mixies ; les certificats
d’cxcul'e ; ÖC les ellimations. XU l. 801. b. D e la validité
des rapports en chirurgie. Des conditions reqiiifes
pour bien faire les rapports proprement pris. Ibid. 802. u, b.
Des certificats d’exciifes ou exoénes ; on eiidiffingue trois
efpeces, les eccléfiaffiques, les politiques, & les juridiques.
Des rapports comprenant les eftiniations de vifite , panfe-
RAR
mens Sc médlcamens. Ib'id. 803. a. Regies à obferver dam
toutes fortes d’eftimations de chirurgie. Ibid. b. Des talens
néceffaiies pour bien faire toutes forces de rapports. Ibid.
804. <1. Modèles généraux des difiérentes efpeces de rapports
dont il a été parlé. Exoéne pour une prilonnierc. Ibid,
b. Rapport de la condition d’.im coup d’arme à feu , pour
faVüir li l’arme a crevé dans la main du blcfTé , ou fi le
coup a été tiré exprès fur fa perfoune. Rapport d’eftimation
de pr.nfemcns & médicamens pour une fraiffiue compliquée
à la ctiilîe. Ibid. 805. <1. Rapport fait par des matrones de
leur vifite d'uiic fille de trente ans qui avoit été forcée &
violée. Rapport de la vifitt d’ une fille de dix ans , .qui avoit
été v io lé e , éc qui avoit en même teins co iu r^ é la vérole.
Ib'id. b. Rapport au fiijet d’im enfant èiouff'é. Rapport concernant
un corps mort de la foudre. Rapport concernant
deux garçons rotilTeurs , l’ un trouvé n io it , 6c l’autre fort
nialiule d-- la vapeur du charbon. Ib'id. 806. u. Rapport de
vifite du cadavre d’une femme qui s'éicit défaite clie-mème
par ùilpenlion. Certificat pour un religieux prêtre, tendant
â obtenir en cour de Rome la permiilion de continuer à
dire ht melîé. Ibid. b. Rapports de corps morts. Ifiemier rapport
de l’ouverture du cotps de Charles IX. Seconil rapport
de l’ouverture du c.ups de Henri 1 1 1 , Ihid. 807. a.
Troifiemc rapport de l'ouverture du corps de Heim IV.
Ibid. b. Printipaiix auteurs qu’on peut confulter fur la matière
des ra|)pons. IHd.ÿoS. a. Voye^ MÉDECINE LÉGALE.
Rappo rt s, {Mèdec.) voytq; A ic r -URs.
Ra p po r t , {Comm. demer) déclaration que le maître d’un
vailTeaii nunhand doit faire à l’aniirautc, après fon anivée
dans le port. Les capitaines des vaiffeaux armés en guerre
fout obligés de l'e conformer à la même police pour les prifes
qu'ils font.X i l l .808. .r.
R.VPPORT , (?;tvrng# ffc , (^Ebin'ße) X lll. 808. d.
Rapport , ( PUeuge ) pieces de rapport. XII. 368. b. P ierres
der.ipport, ouvrages en ce gcnie. ç99. a , b.
Rapport , pierres de , ( B.'jûiir. ) X ll. 568. b.
R.ippoit. Pieces de rapport en étain. X II. ç68. b.
RAPPO RTEUR , (Gev/ziArir ) infiniment d’arpenteur. Sa
dtfeription 6c fes ul'ages. Rapporteur pcrfcélionné. XUI.
808. b,
R.ipporuur : fon iifage dans l’art de lever les plans. XII.
6 9 3 .. i ,E
Rapporteur, ( Horlog. ) outil à placer les roues de rencontre.
Sa defcripiion. Mamcre de s’en fervir. X l l i . 809. u.
Rapporteur , ( Barreau ) fon office. XIIl. S09. a.
Rapporteur, voyr;; RAPPORT. Confeillcrs rapporteurs. IV .
30. J , b. Rapporteurs des criées. 463. a. Confeillers qui
font la fonéiton d'affiilans près du rapporteur , pour vérifier
s’il dit vrai. VI. 1 1 3. i. Le rapporreur ne doit pas fe fier à l'extrait
du procès que lui a donné fon l'ecrétaire. 3 3 3. E
R A P T , li.ivßem cni, ( ) obfervations fur rufage de
ces mors. XIII. S09. é.
Ra p t , {Jurij'pr. ) deux fortes de rapts; l’un qui fe fait par
violence , l'autre par féduélion. XIII. 809. b. L’enleveinent
des filles 6c femmes a toujours été fuivi de grands malheurs.
Loi des Athéniens contre les raviffeurs. Peines que les
Romains leur infllgeoient. Celles que prononce l’églife. Ib'id.
810. J. Difpofitions des loix de France fur le même fiijet. O u vrages
.à confulter. Ibid. b.
R A P T A , {Géogr.anc.) ville de l’Ethiopie. Sa fituation
fuivant les anciens géographes. Conjeélures fur le fleuve Raptus.
XIII. 810. é.
R A P U m iU M , ( Botan. ) caraéleres de ce genre de
plante. Obfervations fur les plus belles efpeces de ce genre.
X lll. 811 .«.
R.AQ UE TT E , ( Botan. ) caméieres d’nn genre de plante
de ce nom. Defeription d’une cfpece de figuier des Antilles ,
auffi nommé raquette. XIII. 8 1 1, a.
Raquette , voyez Op u s t ia . Rapport de cette plante avec
le cierge épineux. III. 444. b. Efpece de raquette fur laquelle
on recueille lu cochenille. 3 39. XL 320. b.
Raquette , {Hiß. mod.) inftrumciit de jeu. Etymologie
du mot. Cet inllrument étoit d’une invention récente du tems
de Pafquier. XlII. 8 1 1 .
Raquette. Origine de cet inllrument. XII. 201. a. Raquette
nommée tymbulo. XVI, 773. h. Raquettes reprcf'cntces vol.
V i l l des planch. Paumicr, planche 1 .
Raquette , chaiilTure dont on fe fort dans le Canada
pouf mardier fur la neige. S.a defeription. XIII. 8 1 1. E Voye^
Patins.
R A R E , {Phyfiq.) d'oii vient la différence de denfité des
corps. X ill. S z i , b. Tous les corps que nous connoiffons
contiennent fort peu de m.urerc fous un fort grand volume.
Ib'id. 812. <7.
R A R É F A C T IO N , {Chymie) tousles corps fe raréfient
par le feu , fans qu'on appci ço.vc de différence dans leur
poids. Les fluides plus dilatables que les folides. Expérience
qui montre que les liqueurs font très-propres à indiquer les
plus petites augmentations du feu, X IIL 81 a. a.
Raréfaction,
RAS
Raréfaction, {Phyfiq. O Chym.) différeiic« entre raré-
faRion 6c dilacacion. IV. 1003. b. De la raréfaéfion des
corps par le feu. VI. 399, b, lÿc. Les fiibfiances qui fe putréfient
par l'aition de la chaleur, ne fe raréfient point à
proportion de cette chaleur. X lli. 387. a. Dacis effets
chymiques qui font une liiite de la propriété de raréfier
du feu. V L 610. a. Raréfaêlion du fluide éleêt. ique. 618.
a , b. RaréfaéHon de l'air : elle a fes bornes : la regie des
raréfaéfions en raifon inveife des poids n’eit pas entièrement
exnéle. I. 230. h. EfF.ts de cette raréfaêtion. 231. b.
Raréfaâion de Pair à différentes hauteurs de l’atmofphere.
822. a. Raréfaffion de l’air par le l'on. X. 904. a. Caufe
des vents dans la rarcfailion de l’air. XVII . 20. .2. D e la
raréfaét.on de l’eau par la chaleur. V. 187. a. Obfervations
fur la rar^éfiaélion de l’eau , de l’efprir de vin 6c du mercure par
la chaleur. Suppl. IV. 938. b. 939. a.
R A R E F IAN S , {Mat. médic. externe) médicamens qui ont
*■’ d’ouvrir les pores de la peau. Enumération de diflérens
remedes raréfians. XUL 812.^.
RARETÉ , Fréquence.
R A S , terme de marine. XUL 812. b.
R.is , mefure de longueur, XIII. 812. b.
R a s , {Manaf. en Joie) armure d’un ras de S. Maur 5 c
de S. C y r , ou d’une feige à qu.itre lines. Ras de S. Maur
fimple. Ras de S. Maur double. XIU. 812. b. Armure du
ras de Sicile. Ibid. 811,. a.
R as, voyez le vol. XI des planches, Soierie, feflion 3.
R as , ( Minuf. d'or) efpece de filiere. XUL 8 1 3. *j.
RASC.ASSE, jcorp'ion de mer , f Hijl.n.it.) dcl'cription de
ce poiffon. XUL 813. a. Qualité de là chair. Ibid. b.
RASC.IE , la , ou Rajchiah , ( Gèogr. ) partie de la Servie.
Origine du nom de Rafcie donné à ce uuys. Scs révolutions.
XIII.813.Z-.
R A S E N Æ , ( Gèogr. anc. ) les Rafence étoient originaire-
.ment le même peuple que les Rhetii. Obfervatlon fur leur
origine. Leurs conquêtes dans i’Etrurie ou la Tol'cane , 6e
dans d’autres contrées de l’Itahe. XUI. 813. E
R A SER , ( Criciq.ficr.) de l’ufage de râler le co rps , ou la
barbe chez les Juifs. Acceoiions figurées du motraATdans l'é-
Crimre.XIIL8i4..2.
Raser la barbe ou les cheveux , ( Hiß. ) de fiifage de ra-
fer la barbe. II 70. b. Ce qui peut y avoir donné lieu.
IV . 861. a. Rafer les chev; ;itx , fut anciennement un figue
de dégradation r origine de Luliige de rafer les cheveux. lU.
318. b. On devenoit autrefois parrain de celui dont on ra-
foit les cheveux. Ib'id. Dès l’inflant de raffranchiffement ,
les efclaves fe les coupoient. I. i6 j. a. Les jeunes gens
fe les faifoient couper à l’âge de puberté. IV . 373, i, L’o-
Sération de rafer la tête employée dans certaines maladies.
:VII.i99.*2.
Raser, Démanteler, Démolir, ( Synon. ) IV . 805. b.
Raser la ma 'ifon , ( Hiß. anc. & mod. ) c’étoit chez les Romains
une des peines de celui qui afpiroit à la tyrannie. On
févit aujourd’iuii de la même manière contre les coupables de
ieze-majefte. XIU. 814. a.
Rafer , terme de marine, de maréchal, de layetier , de
chaffe. XU l. 814.12.
RASÉS , philofophe arabe. X IV . 668. a. Autre Arabe de ce
nom, médecin. X. 290. a. X IV . 663. a. Pilules de Ralès. III.
5 39.27. Onguent de Rafès.XI. 482. a.
RASETTES ou Régulateur,{ Lutherie) petites verges de
fit de fer dans les jeux d’anches des orgues. Leur defeription
deufage. XIII. 814. é.
R A SH ID , {Aaron ) calife. Suppl. I. 4. 5 .
R A SO IR , {Coutellerie) defeription de la manière dont
fe fait le rafoir dans la boutique du coutelier. XIU. 814. Z>.
Rafoir. Aélion de fonder la bobeche au rafoir. IL 289.
a. Maniéré de l’affiler. I. 159. b. Cuir à rafoir. IV. 336. b.
Pierre à rafoir. XII. 600. a. Foyei[_ les planches du coutelier ,
volume III.
Rafoir, outil de gaînier. XIU. 815. Z>.
R Â SO N , {Ichthyol.) defeription de ce poilTon de mer.
Lieux oil on le trouve. XUL 815. b.
RASP-HUIS, {Hiß. mod.) nom que l'on donne en Hollande
aux maifons de correflion. Travail auquel on y occupe
les prifonniers à Amflerdam. XU l. 816. a.
RASPO U TES , {Hiß. mod.) forte de Banians dans les
Indes. Leur'doiffrine 6c leurs ufages. Le mot R.y'youtes fignifie
courageux ; le G rand-Mogol fe fert d’eux dans fes armées. XIIL
816. a.
RASSEMBLEMEN T, camp de, {A rt milit. ) Suppl. II.
, ( Fauconn. ) ce mot fe dit du bec de l’oifeau
qui eft rompu ou déjoint. Caufe de cet accident. Comment on
y remédie. XUL 816. b.
R A S T A , {Mejure itinéraire des Germains ) livres 6c ou-
Trages anciens où ce mot fe trouve encore, Quelle cfi
anjourd'hui la plus peike mefure itinéraire des AllcmaiKls.
A lll. 8 i6.
Tome II,
R A T 5 6 1
r a t , (Z oohg.) defeription 6c hifioire naturelle de cct
animal. XIII. 817..J.
R.IC. Eruit de l’accouplement d’un gros rat avec une chatte.
111. 324, /-. _
Rat d'Afrique , nommé fura. Defeription 8c hifioire naturelle
de cct animal. XIV. 683.22.
Rat des Antilles , nommé piloris. Defeription Sc hifioire na-
tureliede cet animai. Xil.62 3. b.
Rat du Kamtjchutka. Defeription & Jiifioire naturelle de cet
animal. X V I. 6. a.
Rat de Pharaon. Defeription Sc hifioire naturelle de cet
animal, IV. 31. i2. -
Rat d'Amérique. Defeription 6c hifioire naturelle de cet ani*
ma l.X lIl. 817.J.
Rat des champs. Defeription 6c hifioire naturelle dc cctanl-
mal. X I lL S z y .é .
Rat d'eau. Defeription 6c hifioire naturelle de cet animal.
X I 1L 8 i 7 .^.
Rat mujqtic. Defeription 6c hifioire naturelle de cet animal.
XUL 817.6.
Rat rnufqué d'Amérique. Defeription 8c hifioire naturelle de
cet animal. XIIL 817. b. Extrait d’un mémoire de M. de
Réaiimur fur l'iiifioire naturelle des rats mufijués d’Amérique.
Leur nourriture. Leurs focictés. ConfirufUon de
leurs loges. Ib’id. 818. a. Dangers qu’ils courent au prin-
teizis de la part des thtiffeurs. Leur genre de vie en
été. Dilîcélion du rat nuii'qué. Force avec laquelle il ronge
le bois. Ib'id. h. Les variétés que nous trouvons dans
les animaux pour l’écoiilement des urines, rangées fous
trois clalfes difiérentes. Principe de l'odeur qu’exhale le
rat mufqué. A mefure que l’amour de cet animal s'affoi-
b lit , la plupart de fes organes de la génération s’eft'acenr.
Sa maniéré de nager 6c de m.irclier. ib'iJ. 819. a. Le rat
des Alpes cfi celui d’Europe qui a le plus de rcffemblance
pour la conformation extérieure, avec le rat mui'qué d’Amérique.
Ibid. b.
Obfervationfurfontefiictile. Suppl. IV.934. 6. Suppl. IL 793. a.
Rats des champs. Combien ils nuifent aux blés. Suppl. I.
924. b.
Rat de Pont on de Taitarie, voye;^ Ecureuil VOLANT.
Rat ffe A't)ru-c|e , {Zoolog.) fa defeription. Hifioire na-,
airelle de ces animaux. Leurs émigrations. XU L 819.6.
Rator'iental. X I I l.820. a.
Rat palmijie. XUl. 820. a.
Rat bl.inc de Virgin'te. XIU.820 .22.
RjtJauvage. Defeription de ces animaux. X IIL 810. a.
R a t, ternie de marine. XUL 820. a.
R a t , dent de, {R uban.) IV, 843. 6.
Ra t , grisde, ( Teinturier) XUL 820. b.
Ra t , {Tireur d'or) uon étôYitiQ. XUL 820.6.
R A T A F IA T , {Médecine) manière de faire le ratafiat de
cerifes, 6c le ratafiat d’abricots. XIII, S20. b.
Ratafiat préparé par l’infufion des baies de genièvre dansde
l’eau de v ie. VU . 380.6.
RA TB ER T , ( P,tfchafe) abbé de Corbie. X V . 308. a.
R A T E , {A/iaiom. ) defeription de ce vifeere. XUL 820.
6, Divers fentimens fur füji ufage. Ibid. 821. a. Variétés 6c
jeux de la nature dans cette partie. Ibid. 6. Obfervation fur
le fentimeiu de ceux qui ont cru qu’il feroit avantageux de fe
faire ôter la rate. Ib'id. 821. a.
Rate. Defeription de cette partie. VIII. 272. a.
Rate. Ce font les quadrupèdes à fang chaud Sc les ceta-
cées qui fciils ont une véritable rate. Il n'y a qu’une rats
naturellement dans l’homme. Il n’efi cependant pas rare de
voir line glande de la figure d’une oliv e , qui tient & de
la rate Sc des glandes du inéfcnccre. V.iriations du nombre
des rates dans quelques poilTons. Suppl. IV. 373. 22. Situation
de ce vifeere dans l’homme. Sa firuéltirc. Ib'id. b. Nature
delà lubfiance. Sa membrane commune. Ses vaiffeaux.
Artcre 8c veine fplèniqiie. Qualité du fang de la rate. Ses
nerfs. Ses vaiffeaux lymphatiques. Ib'id. 376. a. La llruêfure
interne de la rate plus obfcure que dans les autres vifteies.
Cellulofité formée par les filets que produit la membrane
externe de la rate, qui s’enfoncent dans fa fubfiancc , &
qui en accompagnent les arteres. Efpcce de grains ou de
glandes de ce vifeere. Recherches fur fes fondions & fon
ul'age. Ibid. h.
Ra t e , {P hyfolog.) détails fur les vaiffeaux qui fc dif-
tribuent dans la rate. En quoi paroit confifier la principale
adion de ce vifeere. XIIL 822. a. Dépendance muiuelle
■ du foie 6c de la rare. E.xameii des diverfes opinions qu’on
a avancées fur l’iifage de cette partie. Ib’id. b. Quel étoit
à cet égard le femiment des anciens. Réponjes à quelques
qiicfions fur la rate. Que font la fituation 6c le volume
de lu rate , 6c la façon dont elle efi fufpencliie ? Q u e nous
apprennent la firtiation, la naiffance, la capacité de l’artcr«
fphénique? Pourquoi l’animal qui a la rate coupée devient-
il plus lafeif 'i D ’où vieat qu’il piffe très-fouveni ? Pour-
C C C e c c e
A
H