1 1 fri'ii-
1 2 4 L I E
Î :■ : ,i;i
!» i I
t - . i l ' 1*1
tions à ce fujct. Diverfes creations faites de lieutenans- K'néraux & particuliers, civils Sc criminels, Sic.lbid. 505.4.
e Page requis pour les charges de lieuteuans-généraux &
particuliers. Jhid. b,
LitüTENANT c iv il, ( Jurifpr.') anciennement le prévôt de
Paris jiigeoit leul en pcrfomic au châtelet. Il ne pouvait
clioifir un lieutenant que dans le cas d’abfence par nécelTité.
Q u el cft le plus ancien lieuten.ant du prévôt de Paris. Les
auditeurs du châtelet avolent aufli déj.à des lieutenans. Teins
auquel le prévôt de Paris nomma un autre lieutenant pour
le criminel. 11 y a eu cpielquefois deux lieutenans civils alternatifs.
IX. 505. a. Comment les lieutenans du prévôt de
Paris devinrent infcnliblement ordinaires. Epoque de leur
éreélion en titre d’office. Le pouvoir d’élire des lieutenans
ôté au prévôt de Paris en 1510. Premier lieutenant-civil élu
en titre. Nouvel éclat que cette place reçut Ôc conferva dés-
lors. Démembrement que l'office de lieiiteu.uu-civil fouffrir
depuis 1522 jufqu’en 1564. Vénalité de cet office depuis
François I. L’office de préfident au préfidial, réuni en 1558
à celui de lieutenant-civil. Tems auxquels les licmenans-
civils furent prévôts des marchands. Ib.d. 506. 4. La charge
de lieiiccn.am-civil changée en commiflion trienn,-ile , en
1637.^ La commiiri.)n révoquée en 1643. Divers ch.mgeinens
arrivés depuis à cette charge. A quelle Ibmme elle a été
fixée. Rang ik fonéUons de cette charge. Ibid. b.
Lieutautnt au cliâtelet de Paris , IIÎ. 246. b.
Licuu/hiru-crirnind. Le premier lieutenant-criminel fut établi
au châtelet de Paris. Commencemens de cette charge.
Premier lieutenant-criminel connu. En quel tems cette charge
devint ordinaire. En quel tems le lieutenant-criminel devint
officier en titre. Vaiiations dans cette charge. A quelle fomme
elle a été fixée. IX. 50-’ . 4. Foiiélions de lieutenant criminel
du châtelet. Exempta ôc archers à les ordres. Ses hulfficrs.
Creations de lieutenans-criniinels en dffi’crentcs jurifdiélions
dn royaume. Variations dans ces offices. Difpofuions de
tliftérens édits Sc déclaration-, fur ces objets. IbiJ. b. Ouvrages
à confulter fùr les tcnélions de lieutcnans-criminels./i/4'.
508. 4.
Lituterum-crunincl. Chevauchées de ces magidrats. III.
315. 4. Comment ils peuvent juger en dernier reffion.
762. 4.
Lieutenant-criminel de robe-courte du châtelet de Paris. 11 eft
reçu au parlement. Son inllalhuion & fa maniéré de fiéger
ail chàieiet. Cette charge exercée d’abord par comm lïïon.
Par qui elle lut créée en titre d’office. Fondions dont cet
officier fut chargé. IX. 508. a. La comptignie de ce lieutenant
ed fpécialement atraclioe au parlement pour l'exécution de
fes arrêts. Le limtenant-crimincl de‘ robe-courte du cliâtelet
de Paris, n ell point de la même cLilTe que les lieucen.ans-
criminels de robe-courte qui furent créés par la fuite. Ses
fondions. Officier qui le fuppléc en c.;s d’abfence. Ibid. b.
Par qui (ont jugées les coniedations entre les lieuienans-
crimincls de robe-longue Sc de robe-courte. Office des quatre
lieutenans Sc du guidon de la compagnie de ce dernier.
EleéHon des clHcicrs Sc archers de la compagnie du lieutenant
criminel de robe-courte.//'ir/. 509. .r.
Licutenani-pariiculier. Difference entre cct officier Sc le
lieutenant-general. Deux offi.es de liciuenant-pariiculier au
châtelet de Paris La connoiiLince des matières criininelles
démembrée des offices de lieutenans particuliers en 1586.
Offices d'afTclTeurs criminels. Fondions des lieutenans-pani-
culiers. Office de lieutenant-particulier dans pluiieurs jurif-
didions royales. Sic. IX. 509. a.
Lieutenant - general de police. Premier lieutenant de police
établi à Paris. Contcflaiion entre le lieutenant - civil
Sc le lieutenant-criminel fur l’exercice de la police. Cette
conteflation terminée en 1630 par le parlement. Les
droits & prérogatives du niagiftrat de police de la ville de
Paris, réglés par un édit de 1666. Préambule de l’édit.
Jbid. b. Suite des difpofuions qu’il renferme. Ibid. 510. a. En
16 67 Louis X IV fupprlma l’office de lieutenant-civil qui
exiftoit alors ,^6c créa deux nouveaux offices, l’im de lieu-
lenant-civil, l’aucre de lieutenant de police, pour être remplis
par deux ditférens officiers. Fondions attribuées par cct
édit au lieutenant de police. Création d’un nouveau cliâtelet
en 16 7 4 , compofé emr’autres officiers d’un lieutenant de
police, dont l office fut réuni à l’ancien , pour être exercés
fous le titre de lieuienani-gènèral de police. Ibid. b. Conflits
de ju^ifdidion entre le lieutenant-général de police & les
prévôts des marchands Sc échevins de Paris, réglés par un
édit de 1700. Dilpofuions de cet édit. Ibid. 4. La con-
noiil'ance Sc jurifdidion furies recommandareilej 8c nourrices
dans la ville Sc fauxbourgs de Paris, attribuées au lieutenant
general de Police. Déclaration du 29 janvier 1715 fur
ce fnjet. Ibid. b. Difpofuions qu’elle renferme. Autre déclaration
concernant le même objet, publiée en 1727. Déclaration
du 23 mars 1 7 :8 , concernant les ouvriers qm fabriquent
ces bayonnettes à reffort. Autre du 25 août 1737 qui
comprend tout ce qui concerne la police de Paris, par rap-
L I G
port aux foldats qui s’y trouvent, l’heure de leur retraite, les
armes qu'ils peuvent porter, la maniéré donc ils peuvent
faire tics recrues dans Paris. Ibid. 512. 4. Suite des objets qui
font de la competence du lieutenant-général de police. Des
appellations de fes fententes. Ibid. b.
Lieutenant de police. Audiencei de celui de Paris. Création
ue lieutenans de police dans toutes les villes où il y a jiirif-
diélion loyale. 111. 55. b. FonéLons de ces niagiilrats. XII.
905. 4.
Lieuten.int de robe-courte. IX. 5 1 3 4
L ieuten. ,ns-o éner.\u x , {A n,nH n .) officiers dans r a f
tiilcric. Leurs fonéhons. Leurs départemens. IX. 513. 4.
L ieutenant-génekai. , ( wi/ir. ) officier immédiatement
(ubordonné au maréchal de France. Grades par lefquels
ou parvient a celui de heureiianc-général. Lieutenans-géné-
raux établis au nombre île tro is, felon le partage de l’armée
en trois corps. IX. 5 1 3 . Autres Homenans-généraux. Garde
dim lieutenant-général. Son pofte dans un fiege. Service des
lieuten.ms-généraux en campagne. Lettres de fervice par
lelquelles un lieutenant-général jouit en campagne des droits
de la place. Importance de ce grade. Ibid. b.
Lieutenant-général. Son équipage. V . 882. a. Ses patentes.
A ü l . 256. b. Lieutenant-général de l.i connétablie ; création
de cet office. Droits qui lui appartiennent, i l l . 887. 4 , b.
Liemenam-particulier de ce tribunal, Ibid.
^ L ieutenant-g én é r a l , {Hip. milit. de France.) Quel a
ete le premier lieur-enant-général dans les armées de France.
Augm-entation de leur nombre. Utilité de cette inftitucion.
IX. 513. A
L ieutenant de r o i , ( ) IX. 513. b.
L ieutenant-co lo nel , ( Art. mikt. ) c’eft le roi qui choific
ordinairement ces officiers parmi ceux , qui en diverfes occa-
lions , ont donné des marques de valeur & de conduite. IX.
513. b. Üti prend communément pour cet emploi le plus
ancien capitaine. Q.ialices connoilTances qu’,1 doit polfé-
der. Fondions qu d remplit au fiege d’une place en l'abfence
du colonel. Quel cft le lieu de Ibn pofte. Lieutenant colonel
dans le régiment des gardes-françoifes , d.mi le corps de
^ régimens françots de cavalerie.
Diftmdions que le roi a ajoutées à la di,,rge de lieutenant-
colonel. Ibid. 514. 4.
L ieu t en an t , capitaine-,{An. milit.) celui qui commande
la comp.ignie donc le colon,.! eft capit.iine. II. 629. b.
L ieutenant , ( ] po.fe de iieutcn.mt dans uns
compagnie d’infamerie en ordonnance. K.mg des lieutenans
reibrmés. IX. 514. b.
des armées navales , ( Art milit. )
L ieutenant devaiffeau, { A n milit.) IX. 514. A
L l.-.U VIN , {Géogr.) petite contrée de France en Normandie.
Fertilité de ce pays. Ses produdions. IX. 514. â.
L IG AM E N T , { Anatomie. ) fibres dont les ligamens font
compofes. L-eurs ul'ages. Différences entr’eux à raifon de leur
confiftance & de leur fenfibilité. Des ligamens propres aux
p.iriies modes. IX. 514. b. Des ligamens attachés aux os fculs
Si aux cartilages. Deux claffes de ces ligamens , les uns employes
aux articulations mobiles des o s , on en diftineiie plu-
lieurs elpeces ; les autres lient les os ou s’y attachent indépendamment
de leurs articulations. Variétés par rapport à
leur confiftance, leur folidité , leur êpaiffeur , leur figure Ôc
leur fmiacion. Ibid. ^i^.a. Ouvrage à confulter. Ibid, b
L ig am en s , (.^44/0«.) ceux qui attachent un os à un
autre. Ligamens renfermés dans les articulations. Examen de
J opinion de ceux qui ont cru que ces deux claffes de ligamens
croient tres-fenfibles , & la douleur qui fuit leur bleffure fore
viokn:<^Suppl II[. 744. a. Ligamens qui embraffent comme
des braiielets des tendons dans leur paffage autour des arti-
culations des os. Ligamens membraneux. Ligamens pleinement
Ck lunplemciK tendineux. Ibid. b.
Ligament. La partie qui traite des ligamens s’appelle fyn-
defmologie. Ouvrage fur ce fujet. X V . 750. 4. Des ligamens.
V m . 261. b. Ligament ciliaire. III. 4 p . Ligamens annu-
laires. Supp. I. 446. b. D e rinfenfibillié des ligamens. Suppl
IV. 777. E *
L igam en t ct>m«4irf du fo ie , {Anatom.) adhérence par
kquelle le grand lobe du foie eft attaché au diaphragme.
C eft improprement qu’elle eft nommée ligament coronaire
LX. 515. i.
L igamens latéraux du fo ie , ( Anatom. ) IX. 515. E
L IG A S , {Botan. exot.) une des trois efpeces d’arbres
d anacarde, & la plus petite. Defeription du ligas, Lieux où
il croit. IX. 51 5. E — Foye^ A n a c ar d e .
L IG A T U R E , {Théolog.) fufpenfion totale des facultés
luperieurcs ou des puiffances intelleéluelies de l’ame felon
les théologiens myftiques. IX. 516. 4. ’
Ligature, état d’impuiffance vénérienne, caufee
par quelque maléfice. L’exiftence de cet état prouvée
par divers moyens. Exemples qu’on prétend en donuer, tirés
de 1 Lcriture-Iiume. Obfervatioiis de Delrio fur ce maléfice.
îfôrtc
L I G
de ligature en ufage parmi le peuple de Macaffar. Ma-
-I niere de la faire. Moyens de rendre le maléfice inijuiiflant.
3- i iX. 516. 4. Secret d’employer la ligature, tel qu’il eft rap-
■ / porté par Kenïpfer. Autre forte de ligature enfeigaée à
3] Marshal par un brachmanc. Ce que penfoit Montaigne de ces
noueraens d’aiguillettes & des moyens d’y remédier. Paroles
df i de cet auteur. Ibid. b. Comment il parvint à dénouer l’aigiiilÿ
I lette d’un de fes amis. Ibid. 517. a. Réflexions de l’auteur
W > fur la caufe d’une impuiffance donnée à un homme , à l ’égard
5 ' de toutes perfonnes, à rexchifion d’une feule./â/V. b.
,j\ g- Lig a t u r e , ( Chir. ) Maniéré d’appliquer la ligature pour 5 ^ V les faignées. Réflexions fur les inconvéniens attachés à cette
méthode ordinaire. Maniéré de la' corriger. Ligature em-
; ployée pour faigner la veine jugulaire. IX. 517. Z>. Machine
—I ' 1. approuvée par l’académie royale de chirurgie pour la faignée
:=• de la jugulaire. Ligature d’une aitere. Ligature du cordon =^1 ' ombilical. D e la ligature des vaiffenux après l’amputation,
ij-, > Accidens graves qm pouvoient en rcliilcer. Comment Anibroife
Paré préveiioit ces accidens. Ibid. 518. a. Confeils de
I M. Monro, profeiléur à Edimbourg, fuiTa maniéré de faire
g... cette ligature. Moyen imaginé par M. Gerard, chirurgien de
S''- 5 Paris, pour faire la ligature des arteres intercoftales , lorf-
®; J qu’elles feront ouvertes dans quelque endroit favorable.
5-'.- Ufage de l’aiguille de M. Goulard pour cette opération. 1!?^ Obfervations iiir cette aiguille. Inftrument inventé par .M.
f -' Lo tteri, profeffeur à Turin , pour arrêter le fang de l’artere
intercoftale. Moyen fort fimple, imaginé par M. Quefnai
i v pour un cas femblable. Ibid. b. Autre machine en forme de
' tourniquet, dont M. Belloq a donné la defeription. Ibid.
' ï :- 5 19 .4 .
Ài Lig.tturc. Aiguille pour la ligature des vaiffeaux. I. 205. a ,
•îj- I h. Ligature pour les hémorrhagies. VIII. 121. a , b. 122. a.
C . Des effets de h faignée fans ligature & avec ligature. XIV.
I [ 506. b. — 509. b. Ligatures dont les anciens fe fervoieiit pour
'1- ! fufpeiulre la circulation du fang dans un membre. Diverfes
ï ' correélions qu’on y a faites. X V I . 485. a , b. D e la ligature
^ des verrues. XV II . 158. b. Effets des ligatures des nerfs.
“ Suppl. IV. 27. b. 28. b.
L ig a t u r e , {Thérapeutiq.) Divers cas dans lefquels les
ligatures font employées pour exciter de la douleur , & remédier
par-là à diverfes maladies. IX. 519. b.
- Ligatures employées en médedne. XV II . 200. 4.
- L iga tu r e s , ( J.irdin. ) effets des ligatures faites aux bran-
J elles des arbres. Suppl. II. 47. a.
î Lig a t u r e , {M u fq .) dans nos anciennes mufiques étoit
runion de plufieurs noces, paffées diatoniquement fur une
, même fyllabe. Variations dans la valeur des notes qui compofoient
la ligature. IX. 519. 4.
L ig a tu r e , ( Comm. ) étoffes de ce nom qui fe fabriquent
en Normandie Sc en Flandres. IX. 519. 4.
L ig a tu r e , ( Comm. ) noeud qui lie les maffes de fo ie , &c.
L I G 125
IX. 519..
L ig a t u r e , {Imprim.) lX . 519. a.
LIGE , ( Jurifpr. ) fief-lige. V I. 709. a , b. fief demi-lige.
702. 4. F ie f à fimple honimage-lige. 715 - F ie f tenu à plein
lige. 7 1 6. 4. Foi-lige. V II . 26. b. Garde-lige. 492. b. Hommage
lige. VIII. 255. b. 254. b. Homme-lige. 28b., b. Homme
de foi-lige. Ibid. Seigneur-lige. X IV . 895. a.
L IG E R , ( Louis ) fes ouvrages d’agriculture. Suppl. I,
S20. b.
L IG H T F O O T , ( Jean ) théologien. X V . 488. b. Ufage
qu’il a fait du thalmud pour éclaircir divers palTages du nouveau
Teftament. 869. a.
L IG N A C , ( Jojcph-Albert la Lande de ) phyfiologifte.
Suppl. IV . 361. b.
L IG N A G E R , retrait- , ( Jurifpr. ) X IV . 210. b , &c.
212. b.
L IG N E , ( Géom. ) deux efpeces de lignes , les droites &
les courbes. Les lignes courbes fe divifont en géométriques
& méchaniques. Définition de ces lignes par Defeartes. IX.
519. é. Lignes algébriques 8c lignes droites , confidérées par
rapport à leurs pofitioiis refpeéfives. Ibid. 520. a.
Ligne. D e là géométrie des lignes. VII. 6'33. é,8cc.Puiffan-
ces des lignes. A lII. 556. b. Les lignes géométriques diftin-
giiées en genres ou ordres. V IL "594. Ligne du fécond
ordre. III. 878. a. Ligne divifée en moyenne 8c extrême
raifon. VI. 338. a. Lignes parallèles. XI, 905. ê. Ligne infinie.
XIII. 65414. Lignes robervalliennes. X IV . 310. 4 , b. — Problèmes
fur les lignes. Divifer une ligne donnée en un nombre
quelconque de parties égales, par le compas de proportion.
Retrancher d’une ligne ainfi divifée tel nombre de parties
qu’on voudra. Divifer une ligne en une raifon donnée quelconque
, par le même inftrument. III. 752. h. Trouver une
l i^ e droite égale à la circonférence d’un cercle, par le même
inftrument. 733. a. Divifer par le compas de réduélion une
ligne clans un nombre de parties égales, moindre que cent.
Une ligne étant donnée, divifée en cent parties , prendre
par le compas de réduêHon un nombre quelconque de ces
parties. 111. 756. b. Recherches fur la ligne la plus courte entre
Tome II, ° '
deux points donnés fur une furface courbe. IV . 3 88. b. Inftrument
propre à divifer une ligne en autant de parties qu'on
voudra. XVII, 615. a.
L igne , ( Géogr. fi» Navig. ) la ligue équinoxiale. Baptême
cio la ligne lorfqu’on la paffe pour la picmierc fois. IX.
520. 4.
Ligne. Foyei' Eq u a t eu r . Différence entre l'équatcnr Sc la.
ligne équinoxiale. V . 881. a. Bajitême de la ligne. II. 65. b.
Putrcfaélion qu’opiouvc l ’eau fous la ligne. V. 19 2.4.— Voyez ZONE-TORRlDE.
L igne des A bfdes, ( Apron. ) ligne qui joint les abfidcs.
Ligne de foi. Ligne liorizont.ale. Ligne des noeuds. IX. 520. a.
L igne géoméirale, ( Perfpeéliv. ) IX. 5 20. a. Ligne de terre
ou fcndamemale. Ligne de front. Ligue verticale. Ligne
vifiielle. Ligne de ftation. Ligne objeéHve. Ibid. b.
L igne , ( Gnomonique. ) lignes horizontales. Lignes lio-
raii es. Ligne fonftilaire. Ligne équinoxiale. IX. 520. b.
Ligne de contingence. 114. b. Lignes horaires. VIII.
296. b. Ligne fouftilairc. X V . 422. a.
L igne d’incidenee , ( Optique. ) VIII. 647. a.
h tevE ,{AIéchaniq.) ligne de direflion. Ligne de gravitation.
IX. 520. b.
Lignes tracées fur le compas de proportion. Vbye^ C omp
a s .
Lig n e ouéchelîede G//«ter, lignes des nombres, )
obfervations fur l’iifage de cette ligue. IX. 520. b.
Ligne de la plus vite dcfcenlc. Voyc:^ BraCHYSTOCHRONE
6- C y c l o 'ide. IX. 521. 4.
L igne de la fcélion , {PerfpcEliv.)\X. 521. a.
L igne de la plus grande ou de la plus petite longitude,
( Apron, ancien. ) ligne de la moyenne longitude. IX, 521.4.
L igne , ( Apron. ) ligne de l’anomalie d’une planete.
• Ligne du vrai lieu ou du lieu apparent d'une planete. IX.
52 1.4.
L igu e , { Apron, anc.) ligne de l’apogée d’une planete.
Ligne du moyen mouvement du foleil. Ligne du moyen
mouvement dn foleil dans l’excentrique. Ligne du mouvement
vrai du foleil. IX. 52 1.4.
L igne , ( Apron. ) ligne fynodique, dans certaines théories
de la lune. Ligne des moyennes (yzygies. IX. 521. b.
Lign e de f o i , ( Afron. ) définition. Suppl. 111. 746. a.
L igne hilijphérique, ( Marine.) IX. 521, b.
L igne , ( HydrauUq. ) ligne d’eau. Voyc:^ Ecoulement.
Ligne , ( /(y(f74i//. ) la ligne courante divifée en douze
points. On diftingue la ligne en droite, circulaire 8c. courbe.
Ligne quarrée 8c ligne cube. Ligne tie niveau , de pente , de
mire.IX. 521. b.
L ignes parallèles ou places d’armes , ( Art milit. ) quelle ell
la premiere fois que ces lignes ont été pratiquées. Quel eft
le fiege où elles ont été employées avec le plus de précifion.
IX. 521. b. On conftruit ordinairement trois lignes parallèles
ou places d’armes dans les fieges. Defeription de ta premiere.
Ses ufages. Defeription Sc propriétés de la fécondé. Comment
on établit la t r o i f i e m e . 522.4. Amas d’outils, de facs à
terre, de piquets, 8cc. qu’on doit faire fur le revers de cette
derniere ligne. En quel cas on doit approcher la troifiemê
ligne à la portée'de la grenade, ou en faire une quatrième.
Suite des opérations , lorfque toutes les lignes font achevées.
Propriétés de la troifieme ligne. Ibid. b. Tranchée contre la
demi-lune qu’on doit ouvrir de la fécondé ligne. Propriétés
des trois lignes parallèles. Ibid. 523. a.
LlGîiE magijlrale , {Art milit.) IX. 523. 4.
LiGtiES de communication , {A r t milit.) IX. 5273.4.
Ligne de troupe. Lignes pleines. Lignes tant pleines que Vüî-
des. Mettre des troupes en ligne. IX. 523.4.
Lignes. Intervalle des lignes de troupes en bataille 8c dans le
combat. VIII. 838.4. D e l’ordre de bataille en ligne pleine.
XL 605./-.
Ligne de moindre réppance. IX. 523.4.
hiGVEdedéfcnfe. {F on ip c.) Deux fortes ; la rafante 8c la
fichante. La ligne de cléfenfe exprime la diftance qu’il doit y
avoir entre le ftanc 8c la partie la pins éloignée du baftion
qu'il doit défendre. Comment on regie la longueur de la ligne
de défenfe. Parties du baftion les plus néceffaires à défendre»
Diverfité de fentimem qu’il y a eu autrefois entre les ingénieurs
fur la longueur de la ligne de défenfe. IX. 523. b. En
quel cas elle peutexcéder la longueur ordinaire fans iuconvé-
nlent. C e qu’on doit faire lorfqu’elle excede la portée du fiifil.
Ibid. 5 24.9.
L ignes . { A n milit.) Lignes de circonvallation 8c de contrevallation.
Comment elles font conftruites. Elles font de la
plus haute antiquité. En quel tems 8c dans quelle vue s’eft
introduit l’ufage de celles qui ont pour objet de couvrir un
pays ou une province pour empêcher l’ennemi dV pénétrer.
I! n’eft point aifé de faire des lignes qui rempliffent tous les
objets qu’on fe pro po fe .lX. 524.4. Q uel eft le feul cas où
les lignes peuvent être d’une bonne défenfe. C e n’eft que
pac des polies particuliers fortifiés dans l’intérieur de la