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Emjmération de qiielctiies-iincs <Ic tes égliies. X IV . 609.(1.
SAi\CTC/S , S A C E R , (Z-wif. l.uui.) tllrférences clans la
Signification cle CCS mots. X IV. 6oy. a.
SANCUS , ( Mythol. ) noin dii dien deus fidius , qui ctoir
rcconiui pom- i-Icicule pur les Grecs. S^mcus eft im inor l.a-
bin , ce dien fut tranl'porté à Rome lorlque les Subins
s’incorporèrent avec les Romains. Tite-Live le met an nombre
des fcmoncs on dien.x demi-hommes. X IV . 609. .1.
S A N C Y , nom d’un brûlant dn roi de France. Vol. VITI.
de-s pl. Ottevre-jonallier, planclic i.
S A N D A L A k lU S -V IC U S , ( Oco^. anc. ) quartier & rue
de l'ancicnnc Rome. Inlcriptions ou cette rue ell nommée.
Temple d'Apollon fand.iti.uius. X IV . 609. b.
,S.A.NDALE,(i/c/('. anc. ) pamontle que portoient
les dames grecques 6c romaines. Pourquoi Apollon Cic la rue
de Rome où l'on temple ccoii litné turent appelles funJa-
lijrii. Les anciens lô l'ervoient de landales dans leur muftejue
pour battre la mefure. Sandales du pape Si des autres prélats.
Sandales de quelques religieux. X lV . 6oy. b.
Sa/idaLs des Romains. X V . 405. a.
Sandale, (^M.ntre d'ejerime) X IV. 609. b.
Sandale , Munne) forte de bâtiment. X IV . 610. a.
S A N D A R A C U R G IU M , ( Gragr. anc.) montagne de l'A-
fie mineure ,lieu on l’on travailloit le landarac. On y eni-
ployoit des malheureux qui avoient été vendus à caiiie de
leurs maiivailés aélions. X IV . 610. a.
SA N D A R A Q U E , (A/jE des drog. exotii].) trois différentes
fnbrtances auxquelles on a donné ce nom. Sur le
fandaraqne des Grecs , vcyc.;; Orpi.ment , Réalgar. San-
daraqne des Arabes, gomme ou rélliie des genévriers : fa
defcription. X IV . 610. a. Sandaraqne qui découle du cedre
baccitere. Ufages de la fandaraqne du genévrier. Ibid. b.
SAND I-SIMÜ D ISINO , {Hijl. mo.i.Supcrf.) jeunes filles
du royaume de Qtioja u i Afrique , qui vivent en communauté
, feparées ciu refto des hommes pendant quatre mois.
Cérémonies qui fe pratiquent, & éducation qu'elles reçoivent
pendant leur fejour dans cette coramunaiicc. Comment elles
en foitem. X lV . 610. b.
S.ANDIUS, {Chriflopke) hmQüy. focinien. IX. 135. a.
SA N DW ICH , ( Géogr. ) ville d’Angleterre , un des cinq
ports du royaume. Scion quelques fa'frans, c’eft fur les ruines
de Runipix qu’on a bâti Sandwich. X lV . 610. E Ses révolutions.
L 'cn fc e de fon havre bouchée tout-à-coup de manière
qu'on n’a jamais pu y remédier, Anecdcte fur ce fu-
jet. Ibui. 61 ; • U.
S A N D Y X , (Atyî./ujr. Peint.) recherches fur la fubftance
que les G 'e cs appelloieiit de ce nom , & qui fervoit à la
peinture. X lV . 6 n .. a.
S.ANG , {Anat 6- Pkyßol) P.artie volatile du fang. Propriété
qu'il a de lé coaguler. X lV . 6 i i . a. La partie rouge
du fing conftiuie la partie principale de ce coagulement. Propriétés
6c caraéicres de cette humeur rouge. Autre humour
blanchâtre & jaunâtre du fang. Son coagulement. Il n’y a que
la pourriture Si une chaleur confidéraéle qui puiffent occa-
fionner une dilToUition fétide dans toute la inaffe dn fan g,
£vfur-t(xit dans la partie féreufe. Il y a encore dans le fang
une grande quantité de felm.arin , une terre, Si un air non
élaftique. Moyens qu'a fournis la chymie pour découvrir
la nature du lang par fon analyfe. Jbtd. b. Diftérentcs expériences
fur le fang. Obfervaiions microfeopiques de cette humeur.
Ibid. 6i>. J. De la quantité du fang dans le corps
humain. Caufes qui la font varier. La partie ronge du fang
paroit fur-touc propre à produire la chaleur. Inconvénient
des fréquentes faignées. Deftination du leriim , principalement
de celui qui fe coagule. De la caiife de la rougeur du
fang Ibid. b. Pourquoi les extrémités capillaires des arteres
ne font pas colorées. La rougeur du fang n’eft pas ablblu-
ment néceftâirc dans tons les animaux. Le fang n’a pas la
même couleur dans tous fes vailfeaux. Jbid. 613. a. Q uelques
phyficiens ont cm qu'il y avoit dans le fang des parties
fibreiifes. Deux fortes de mouvemens dont le fang eft
a g ité , le mouvement de circulation, vo yq Circulation
& le mouvement intcftln. Ce dernier Ibufire cependant beaucoup
de difficulté. On nie qu’il foit effemiel à la fluidité du
fanir, Ibid. b. Du mouvement de fermentation que quelques
auteurs attribuent au fang. Raifons pour Si contre.
Preuves alléguées pour montrer qu’il n’eft pas befoinde fermentation
pour former & entretenir la chaleur dans le corps
humain. Jbid. 614. a. Expérience qui prouve que la caufe
primitive de la circulation Si de la clialeur , eft l’aâion des
vaiffeaux. Explication des quatre dift'érentes cfpeces de tem-
péramens établies par les anciens. Ibid. b. Exemple d’hémor-
rliagie extraordinaire. Ibid. 61 5. a.
S an g , ( An.u. PhyfioL) D e la quantité du fang dans un
animal & dans un homme. De la différence entre le fang
artériel & celui qui vient des veines. Suppl. IV. 720. a.
Nombre de fois qu’il paffe par le coeur dans une heure. Différence
entre celui de la veine-porte Si celui de la jugulaire.
D e la couleur du fang. Ibid. b. D u teins qu’il faut pour le
SAN
cailler. Obfervations fur le coaguliiin du fang. Des polypes
confidérées comme une congeftion de lang coagulé. Chaleur
du lang. Ibid. 72 1. ,1. Excès de chaleur M de froid que le
corps humain pent fupporter. Vapeur qui monte du fang
nouvellement répandu , 6c qui eft vifible meme en été. Pc-
fameiir relative de la partie rouge du fang 6c de la partie
aqueiife jaunâtre dans laquelle la partie rouge fe meut,
quelque tems apres l’avoir tiré. Différente forme que prend
cette partie ronge felon la proportion dans laquelle elle fe
trouve avec l’eau : el'pcce de caillots qu'elle forme. Membrane
que forme le fang dans les faux germes. Confiilancc
fibreiife qu’il prend dans les anévrifmes 6c les échymofes.
Ibid. b. Caillots qu’il forme dans ce dernier cas , lefquels
reprenant enfiiite une confiftance fluide , font repompés dans
les veines. Différentes fièvres dans lefquelles le fang acquiert
une très - grande fluidité. Plus un • pays cÜ chaud , pins le
fang s’y dilfont avec facilité. Proportion de la partie rouge
à la partie jaunâtre on féreul'e. Elémens de la partie rouge.
D e la figure, 722. a. 6c de la couleur des globules. Liqueur
invifible mêlée avec eux. Dans l’état d’une parfaite
famé, ces globules paroift'ent remplir toute la capacité des v a if
féaux. Examen de la quellion s’ils font èlaftiques 6c fnjets
à dianger de figure. Ibid. b. Quelques auieuns les ont crus
remplis d’air mais cette hypothefe eft inloutcnable. Examen
d’une autre hypothefe fur la conipofuion 6c décompofition
des globules. Ibid. 723. a. Des fibres que les anciens ont
généralement admifes comme clément du fang, 6c que les
écoles ont cru être le fondement de fa nature coagulable.
Ibid. b. Expériences pour connoitre les élémens viliblcs du
fang. Effets que dift'érens fels produifent fur ce fluide. Sa dif-
poluion à s’alkalifer dans certains animaux, démontrée par
quelques obfervations. Autres animaux dont le fang eft particuliérement
dilpofé à l’acide. Les humeurs des animaux ,
Si fiir-rout de ceux qui ne font pas fortis de l’état de jeu-
nelTc , portent l’empr.einte évidente de l’acide. Il y a clone
dans les animaux des élémens qui penchent à l’acide , 6c
d’autres qui fe rapprochent de la nature de l’aikali. Ibid. 724.
a. La piuréfaélion commence par le développement de l'acide.
Mais cette acidité n’eft pas de durée ; elle cede en peu
de tems .à la putridité. Différence de l’alkalefcence 6c de
la putridité. Terme auquel la puanteur fuccede à l’alkalef-
cence. Effets de la putridité. Caufes qui favorileiu la putréfaction.
Maladies cjui produifent dans riiomnie vivant iiu
très-grand degré d’âcreté Si d’alkalefcence. Ibid. b. Fievres
qui produiléiit la putridité. Prompte corruption des corps
de ceux qui ont été enlevés par une fievre maligne on par
la pelle. Le mouvement nuifcubire qui accéléré la circulation
à-peu-prés comme la fie v re , difpofe le fang à la pu-
iréfaCtiüii. 11 en eft de même de la faim Si de l’abus des
feis alkalis ou fixes. Divers degrés par lefquels paffe le läng
depuis l’acidité jufqu’à la piitrcfaftion. Obfervations fur les
différons élémens du fang développés par l’aélion du feu ,
leur naiaire 6c leur proportion relaùve.Ces élémens font, l’eau
qui en compofe la plus grande , Ibid. 72^. a. les vapeurs
qui s’élèvent à un certain degré de chaleur, Si qui réunies,
forment ce qu'on appelle clprit de fang , le fel volatil du
fang qui monte avec lui 6c après lu i , deux huiles qui s’élèvent
du fang ; mafl'e noire 6c poreufe qui ne s’élève pas,
8c dans laquelle on trouve un fel fixe. Propriété 6c nature
de cette terre. Exiftcnce de la terre ferrugineufe , mêlée
avec la précédente. Ces efprits , ces huiles , ce fel volatil
n’exillent point dans l’homme v iv an t , Si ne font que l’effet
de l’aélion du feu fur des élémens beaucoup moins âcres 6c
moins décidément huileux. Qualité du fang dans les teni-
péramens les plus robiiftes , Jbid. b. 6c dans les perfonnes
phlcgmatiques. Principes qui peuvent difpofer le fang à l’al-
kalcfcence 6c à l’acrimonie , d’où réfulte ie tempérament
cholérique. En quoi les anciens faîfoient confifter le tempérament
mélancolique. ;La force & la famé dépendent de
la denllté du faiig , 6c do l’abondance des globules rouges ;
fa trop grande fluidité annonce la foiblelfe. Ibid. 726. a.
Utilité des différons principes qui entrent dans la compofi-
tion du fang. Du mouvement dn fang. Direétion Si rapidité
de celui des globules. Diminution de la vîteffe du fang
dans les petites arteres. Ibid. b. Application des loix de l’hy-
droftatique au mouvement du fang. Le fang coule avec plus
de vitefté dans la partie d’une ancre rétrécie, 6c fe retarde
vifibleinent dans un anévrifme. Retardement que femblc
devoir caufer le frottement de la liqueur contre les parois
des vaiffeaux. La longueur de ces vaüTeaiix paroit devoir
augmenter ce frottement. Retardation qui doit naître de
leurs angles 6c de leurs plis. Ibid. 727. a. Les anaftomofes
oppofent au torrent naturel du fang, im courant oppofé 3
ce choc paroit devoir anfti détruire une partie de fa v îteffe.—
Quelque julle que paroilTe l’application de ces loix
de l’hydroftatique au mouvement du fang , il eft certain
cependant qu'elle eft à plulieurs égards démentie par l’ob-
fervation 8c l’expérience : le fang ne perd que peu de fa
vitelTe en paffjint des troncs dans les branches, 6c des branches
SAN
dies dans les vaiffeaux capillaires. Le microfeope n’a fait
voit aucun eft’ec des plis 6c des angles fur la circulation.
Recherche des caufes fecretes , qui peuvent remplacer la
vitclfe que le fang doit avoir perdue par les caulés qu’on
vient d'expofer. Jbid. b. Examen de l'effet que peuvent produire
à cet éga rd, la pelâiiteur, la puifflmce Si l’aeftion des
nerfs , la force contraélive des arteres 6c l’ofcillation des petits
vaiffeaux. Ibid. 728. a. Puiffance fjngiilierc qui agit fur le
'inouvemcnt du fan g, 6c qui naît de la dérivation. Ibid. b.
Différens moyens employés pour aff'oiblir une partie , en
diminuer la réfiftance , Si diriger le fang vers cette partie
avec plus d’abondance. Le mouvement des nuifcîes confi-
déré comme caufe fecondaire dn mouvement du fang. D érèglement
dans la circulation du fang, qui précédé la perte
toc.ile de fon mouvement 6c la mort. Ibid. 729. a. L’imique
moteur du fang c’eft le coeur ; mais on compte parmi les
caufes fecondaires 6c accidentelles de ce mouvement, la dérivation,
la force de la pefanteur, le froid , l’attraiftion des
globules entr’eux , la force de l’air rixe développé. Du mouvement
de preffion latérale. Raifbn de ne p.is admettre de
viiidc dans les arteres , où l’on feroir tenté d’en fuppofer.
Ibid. b. Expériences 6c raifonnemens qui prouvent que le
lang fc ralentir en s’éloignant du coeur. L’artcre recevant
plus do fang dans fa partie la plus voifme du coeur , qu’il
ne s’en écliappe par l’extrémité qui regarde les veine s , ne
peut manquer d’être plus remplie qu’elle ne l’étoit 3 le premier
effet de cette plénitude c ’eft qu’elle s’allonge ; Ibid.
730. a. mais le changement ie plus viiible qu’elle éprouve,
c ’eft fa dilatation , ou la preffion que le fang exerce de l’axe
à tous les points de la circonférence : le pouls eft une l'uiie
de cette dilatation. Obfervations 6c expériences qui la démontrent.
Un antre changement qui accompagne la dilatation
de l’artere , c’eft la diminution de rép.dlii.ur 6c l’aug-
inentation de la dcnfité des membranes. Ibid. b. Des cifeis
du mouvement dn fang artériel. Le premier qui s’off're, c’cll
la friélion des globules les uns contre Iss autres, la fnftion
de ces même globules contre les parois , 6c la friélion des
parois -contrariées contre les globules. Ces frottemens doivent
diminuer le mouvement progreffif, entretenir la fluidité
, 6c caufer la chaleur. Ibid. 731. a. Conjeéhircs fur la
caufe de la figure fphériqiie des globules , 6c fur celle de
leur rougeur. Pourquoi le fang eft plus denfe que i’eau ,
que le lait dont il eft originairement formé, 6c que la graiffe.
Ibid. b. Dn mouvement veineux du fang. Ce mouvement
accéléré à induré que les troncs grandiffent. l’ailion dos
rcmedes contribue beaucoup à l’accélerer. Autres caufes fecondaires
qui influent fur ce mouvement. Moyen de comparer
la vîteffe du fang des gros troncs veineux avec celle
des arteres. Preffion latérale dans les veines. Ibid. 732. a.
Pourquoi l’on ne découvre aucune pull'ation dans ces vaif-
feaiix. Ibid. h.
Sang. De la formation du fang. Sentiment des anciens fur
ce fujet.VII. 3 1 . fi. 32. a. Comment fe fait le'chaiigement
du chyle en fang. X lV . 624. a , b. Quelques-uns ont cru que
les fucs graiff'tux , reportés dans la malle des humeurs ,
étoieiit principalement deftinés à contribuer à la formation
des globules rouges du fang. VII . 83 9. b. Doélrines de Willis
6c de Chirac fur la compofuion dnfang. VIII. 710./>. 7 1 1. <7,
Compofition du fang , felon Boerhaave. Suppl. III. 600. u.
Analyfe du fang par Hewfon. Suppl. IV. 364. h. Examen de
la queftion , fi les matériaux des humeurs récrémentitielles ,
comme la b ile , la femence , 8cc. font contenus matérielle-
ntent ou formellement dans le fang. X lV . 872. b. Groffeiir
des globules du fang humain. X . 493. a. Parties gélatinenles
dont le fang des animaux robnftes eft chargé. XI. 288. b.
Suppl. Ill, 194. b. Partie féreule 6c lymphatique du fang. X V .
106. b. Suppl. III. 819. U, b. Caufe de la rougeur du fang
felon les médecins chymilles. VI. 524. <j. Fer contenu dans
le fang. 496. a. Caufe de fa fluidité, félon les difciples de
Van-Hclmont : expériences contraires à cette opinion. 523. L
Le fang n’eft ni acide ni alkali. 320. b. Air en folution dans
le fang. Suppl. IV .6 14 . U. 620. L D ’oii procédé ce tair .X IV .
624. U. Son utilité. Suppt.Vd l ûzo. b. 621. u. Si la roiweiir
du fang eft l'eftét de cet air. 620. b. 621. u. Les anaftomofes
fervent à le broyer. SuppL I. 392. b. Autres ufages dont elles
font au fang , ibid. Sic Différence entre le fang artériel 6c le
fang veineux. 1. 720. b. C e ft une queftion à décider 3 l'avoir,
fi le fang eft rafraîchi ou échauffe par le jeu des poumons. III.
33. J. L’homme 6c le boeuf ont à-peu-près le même fang.
IV . 263. L Sur la force motrice du fang 6c fur fon mouve-
, ment, voye^ Circulation. De la chaleur du fang , voye^
C haleur animale. La différence du fang dans les dift'érens
fujets , contribue beaucoup à celle qu'on obfervc dans la
chaleur naturelle. VU . 325. b. Comment la partie rouge du
fang contribue à réparer la diffîp.ition des fluides. XI. 289. u.
Obfervations fur la partie rouge 6c la partie lymphatique du
fang, tiré dans une palette. III. 353. Quelle eft la nature
de cette croûte blanche, jaune ou verdâtre qui fc forme fur
celui qu’on a tiré dans les maladies inflammatoires. VIII.
Tme II, '
N '6-'>' x ^i
713. b. Maladies dans lelqiiciles la coene fe forme fur le faniT
qu on a tire. III. 391. L Le mélange du fane Si du Lit empêche
la degeneration de l’un 6c de l’autre. VI. 323. a-, b.
S a n g , (AL’Ac. ) comment i'i.ir peut v id e r la ma'ffe du
lang , lo r lq u o n w expofe après une faignée dans un rlnima-
tilme. I 236. u. Du paffage du fuig dans les vaiffeaux érran-
gers. V. 9 i2 .^ ,L S a n g . .d u f t c . I . i ;3 .A . Maux qui rèfulrenc
çle la depravation de fang. If. 304. b. Dccninpofition de cette
Himeur. IV. 699. b. Crachement de fang; vomilî'emciu de
lang, vüjc’3; HEMOrTYSiE, Flux de fang hemorrhoidal, dyffen-
teriqiie, voye z ces murs. Vers dans le fang. XVII . 43.
Sa n g , urine de { MlJcc.) caufes de cèttc maladie. XlV.
6 1 3 . 1 rognoftics tirés de ce fym|nôme dans la petite vérole.
ibui. b. Voyci Pissement de sang.
S a .v g de bouc, ( Plunn. ) maniéré de fc le procurer Si de
le preparer. Ses propriétés 8c ufages en médecine. X IV .
613. b.
San g , ( Cr/tiq. facr. ) dillérentcs acceptions de ce mot
dans l écriture. X lV . 613. L
S.,K . Riclomptclit (lu ling. X lll. 874. u. Vengeue du lin».
A V ll. 4, u , L De la défenfe de manger ein fang. 2-'8 b
S A it c , purere de {H if . d'E fp.) les officiers de i.iiifieurs
tribunaux luperieiirs doivent prouver leur pureté de fang
Les chevaliers des ordres militaires, 6c quelques chanoines-,
lont aiiffi obligés à donner la même preuve. XW , 6i 3. b.
Sa n g , {L'ordre militaire du préeteux) infticution de cet
ordre. Ouvrages à confuher. Habit des chevaliers. X lV .
61 J. L
Sa n g , { L ordre militaire du précieux ) fon infticution. Collier
6c médaille des chevaliers. Suppl. IV. 732. b.
Sa n g , con/cil de { Hiß. mod. ) établi en 1367 dans les
Pays-Bas. X lV . 613. b.
Sang , ( Jtmfpr.) juftice à fang. IX. 97. .i. Juftice de fang
& du larron. Ibid. b. Lettres de i'ang. 428. b. Notaire de fang,
XI. 246. a. Cü nquète de läng. V . 697. b.
SAtsG-drugon , ( Hiß. des drog. exociq. ) forte de rélîne. Ses
caraifteres. XIV. 615.^. Deux fortes de fang-dragon clans les
boutiques, outre im faux fang-dragon qu’on y trouve aiiffl
cjiielquefois. Comment on dilHngue ce dernier, Quel eft le
lang-dragon ie plus eftimé. Defcription de quatre efpeces de
plantes qui portent le nom de fang-dragon des boutiques.
Ibid.6\6. a, b. Maniéré dont les Malayes 6cles peuples de l’ifte
de Java tirent le fuc réfmeux dn fruit de l’arbre lang dra<’ on
qui croit dan> leurs contrées. Analyfe de cette rélîne. Ijcs
propriétés Si fes ufages en médecine. Ulâge qu'ea font les
peintres. Ibid. 617. a.
Sang-dragon, appelle cinnabre. III. 433. b. Reprefenté,
vol. IV, des pl.inches. Regne vég é ta l, pl. 97.
Sa n g , {pluie de ) XII. 794. b. 796. b.
Sang , {force du ) explication de certahvs effets de l’amour
paternel ou maternel, attribués à la force du fang. X V . 43-/ .
SAN G A R , ( Mythol. ) fleuve de Pfirygic, pere de la belle
Sangaride. Manière mcrveilleufe dont cette nymphe devint
enceinte 6c mere d’Atis. X lV . 617. b.
SaNG-'^.R , ( Géogr. anc. 6- mod. ) Sungari j Sacari ou Zae.v
ri , rivière de la Turquie , en Afie. Son cours. Scs dift'érens
noiiî^ Origine de celui de S.tgiris , felon Plutarque. Sources
de ce fleuve , felon Strahon. X IV . 617. b.
SANG A RID E , ( Mythol.) Amours d’Aris 6c de Sangaride.
Suppl. I. 694. a.
SANG ERH AU SEN, ( Géogr.) ville d’Allemagne dans la
Haiiie-Saxe. A qui elle appartient. Obfervations-hiftoriques
fur ce lieu. C e qu’elle oft'rc de plus remarquable. Suppl. IV.
732. b. ^ ,
SAN G -G RIS , Q Terme de relation ) boiffon fort à la mode
aux ifles Antilles. Comment on la prépare. XIV. 617. b.
SANG IA KB LG , ( Hiß. mod.) lîgnilication de ce titre chez
les Turcs. lî. 219. b.
SANGITES , ( Hiß. nat.) pierre qui fe trouve quelquefois
à l’extrémité du fruit de l’arbre du vernis de la Chine. Suppl.
1. 852. a.
S A N G L A N T , mains finglanrcs, ( Jurifpr. angl. ) — Voyez
X lV . 615. u. 5 / .r 1
Sanglantes, mains ( avoir les ) une des quatre fortes de délits
que l’on peut commettre fur les pays de chaffe du roi
d'Angleterre. X lV . 613. a.
SÄNGLES. Sangles de chevaux de bât. Sangles de chevaux
de feile. Sangles de tapiffîer. Sangle en terme d’orfèvre.
Sangle du métier de rubannier. Sangles en terme de marine.
Sangles-blancs, forte de fils. XIV. 618. a. Sangles-bleus,
ef))ece de fil teint en bien. Ibid. b.
SAN G LIE R, {Jchthy. ) defcription du poiffon de me r ,
auquel on a donné ce nom. En quoi il différé du porc, XI’V.
618. b.
Sanglier , ( Zoolog. ) en quoi le fanglier 8c le cochon
different des animaux à pié fourchu. Defcription du fanglier.
X lV , 618. b. Hiftoire naturelle de cet animal. Ibid. 619. a.
D e la maniéré de le chaffer. Ibid. b.
X X X x x x x
; /-.
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