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TO U RM EN T ÎN , ( Ornh/i. ) petit oifeau marin. Ces oi-
Iciuix i'v tiennjiK en pleine mer , & ne paroiffem ordinairement
que pendant les gros teins. C ’ell leur agitation continuelle
qui les a laiis doute iiiic nommer miTmenùns. X M .
476. il.
T O U R N A I , (Cregr. ) ville des Pays-Bas antridiicns. Sa
citadelle. Son évéché.'Hilloire de cette ville. X V I . 476. b.
ü nv ra'’e a conrulter. Obfervations liir quelques hommes de
lettres nés dans Cette ville , & lur leurs ouvrages Snnon de
Tonrnay ; Jacques des Parts i Loiiis-Françols-Jolcph de la
Barre, id J . 47“ -
Tourn.ty. Parlement de cette ville. IV . aa. a. XII. 55- ’
b. Sa ch.mccllcrle. III. la a . b. Coutume qu’on y oblervoir
anciennement à l’égard des meurtriers. V l l l . 251. b.
ToL'RNytY, i^bimon de ) dodeur Icholaltique. XIV.
77 s-
TO U R N E -B O U T , {L uth.) inrtrnmentàvert. Sadeferip-
tion, 11 clUe même que lecromorne. Suppl. IV. 9 p ..z .
TO U RN E BROCHE. Ddeription du tourne-broche ordinaire.'
i'onrnc-broche àmain.Toiirne-broclie à fumée. X VI.
477.
TO Ü R N E C A S E , {Jeu d u) defeription de ce jeu. XVI.
477 b.
TOURNÉES , grandes , {Pêche ) cfpcce de bas parcs, Leur
deferipnon. X V I 4 'B. a.
T ü L 'R N E EO R T , (ye/rp/i PitM/i c/(! ) fa dlRribiition des
coquilles, IV. i ' ; i . n. des plantes, X ll.7 18 . a , /i. des rieurs.
V I. 8^3. b. Obrcrv.ation fur fa méthode dans, la dillribucion
des ambres. I. 380. t?. Ce qui lui ariiva dans une ifle de
l’Arcliipcl. IX. 838. b. Syltéme botanique de Tonnidorc ,
vol. V I des planches. Règne végétal, planehe 103. Fonde-
ineiit de ce fyltcm -.i'/z/t/«/. IV .787. A
TO U R N E L LE , {Uumbiedc U ) au parlement de Paris:
criminelle, XII. a 8 . c iv i le . 29. b.
TOURNEMINE,(Pr«é-7oyépA.7f) jéfuite. X IV. i i o . b.
Suppl. Ul. 659. b.
TOU RNER. Différentes fignifications de ce mot dans
l’iifage ordinaire , Sc dans quelques arts, comme dans l’ar-
chlteélure , te manege , &c. XVI. 478. b.
T o uRNHR en rond, {Phyfiq.) pourquoi un charbon allu-
iné , tourné rapidement en rond , nous tait voir un cercle
de feu. XVII, 568. A
T o u r n e r /’érjm, {Potier d’étain) defcriptïon de toutes
les opérations par lefqiielles le potier donne , liir le to u r ,
aux differentes pieces de vailTelle , le v if 6c une figure plus
nette & pins parfaite que celle quelles avoient déjà reçue.
X VI. 478. A
T ourner le \erre , ( Verrerie ) defeription de cet a rt.XVII.
o S .b— 100.a.
TO U RN E S IS , le , {Géogr.) petit pays de Flandre, dont
Tournayeri la capitale. Son étendue. Bailliage de Tournefis.
X V L 479- A
TO U RN E SO L , {Poran.) c’eff la premiere & principale
efpece de ricinoïde dans le lyflème de Tonrnefort. Sa def-
cripfion. X V I. 479. b. Ufage qii’on tire de cette plante pour
la teinture. Maniéré dont on fait la préparation de l'héliotro-
pitim à Gallarg lies , v illage près de Nimes. Ibid. 480. a.
Tournefol, voyei HÉLIOTROPE. Tranfpiration du tourne-
fo l.X V l. 836. b. 959.U, b.
T ournesol , ( Cbymie ) on donne ce nom à plufieurs
préparations chymiques qui donnent une teinture d’un bleu
pourpre. Préparation appellee pierre de tournefol. X V I . 480.
b. Uiage que font les peintres , les deffinateurs, les limonadiers
, les chymiftes, de la teinture de tournefol. On s’en
feri encore dans les blancheries de toiles. Tournefol en drapeau
, que Lémery dit venir de Conffancinople. Tournefol
fait avec du coton, fuivant le même auteur. On n’entend
aujourd’hui par tournefol que celui qui fe fait avec le fuc
de la maurellc. Ibid. 48t. a. Maniéré dont on ramaffe la
plante. Vaiffeaux Sc inffriinient dont on fe fert pour faire
cette préparation. Procédé de la coloration des drapeaux
ou chiffons avec lefquels les Hollandois font la pierre de
tournefol. Ibid. b. Onfervations fur la plante de la manrelle.
Emballage des drapeaux ou chiffons colorés. Prix de cette
marchandife. Produit annuel que le village de Gallargues
près de Nîmes , en retire. Ibid. 483. b. Ufages que les Hollandois
font de CCS drapeaux. Ibid. 484. a.
Tournefol, bleude. II. 283. a.
T ü U I lN E T T E , {Outil d'ouvriers) petit inffrument de
bois qui fert à devider de la foie , du fil , de la laine, du coton,
& c . Touriiette des blondiers. Tournette de boutonniers.
Tournette des carrieurs. Tournette des chandeiiers. X V I .
484. U. Voyei D é v id o ir .
TO U RNE-V IS , ( Outil) celui des arquebufiers , celui des
ebéniffes. XV'I. 484. b.
TO U R N EU R , {Artméchan.) Tb y cjT ouR.
TO U R N EU X , ( /?) célèbre prédicateur, fes ou-
Vr^eb, X IV. 396. a.
. iO U R N lQ U L T , forte d’artilice. Moulinet des charpen-
T O U
tiers. Efpece de dévidoir des épingliers. Outil de luthier.
Tourniquet dans les orgues. X V I. 484. A Tourniquet en terme
de ineninfier. Tourniquets à la inonnoie. Tourniquet en
terme de ferrurier : en terme de tabletier. Tourniquet, inffru-
ment de l’art militaire. JAif. 485. a.
T ourniquet, {Cbirurg. ) machine avec laquelle on fuf-
pend la circulation du fang dans un membre ,julqu’àc e qu’on
y ait fait les opérations qui conviennent. Ligature dont les
anciens fo R rvoient en ce cas. Diverfes’ corredions qu’on y
a faites. X V I . 483. a. Précautions à prendre pour arrêter le
fang dans le tronc de l'avtere. Defeription d’ un tourniquet
de l’invention de M. Petit. Manière de s'en fervir. Ibid, b.
Avantages de ce tourniquet. Defeription que M. Heiffer
a donnée d’iin infiniment propre à comprimer l’ouvemire
d’une artere , qui cil une elpcce de tourniquet. Maniéré de
s'en fervir pour arrêter une •liémon hagie. Ibid. 486. a.
TO U R N O IS , {Hejhire de ta chevalerie) difficulté de fixer
l'époque do rinfiimiion des tournois. Jeux militaires dent
les freres Louis le Germanique 6c Char!es-le-chauvc fe
donnèrent pUificiirs fois le f|)eélacle, dans le neuvième fie-
cle. Les tournois établis en Fi ance vers le milieu du onzième
fiecle par Geo ffro i, feignenr de Preuilli en Anjou. Us ont
été appelles combats françois , l'oit parce qu’on les a 1 rus
nés en Franc e, foit parce que les Fr.inçois y bnlloieni le
plus. X V I . 486. b. Solemnilàt.on de la veille des tournois-
Les dames s’abfiinrenc dans Ics premier- teins d affifier aux
glands tournois ; mais ces exercices n’acquiteiu de la trlé-
brité que lorfqu’elles y accoururent en fouie , 6c (ju'dles
en firent le principal ornement. Comment ceux qui pié-
tendüient encrer dans les lices s’annonçoient d'avance au
public. Peine du chevalier qui fe préfentoit au tournois
malgré les ordonnances qui l'en excluoicnt. Ibid. 487. a.
Echafauds dreflés pour les principaux fpeélateurs. Divers
officiers employés pour la police ou l’agrément du fpeéla-
cle. Titre d’efclave ou de fervkcur de fa dame , que fe
donnoit c liq u e chevaKcr. Gages précieux que ces chevaliers
recevoient de leurs dames 6i dont ils fe paroient. Ibid.
A Ofi'rancle que les chevaliers vainqueurs faifoieiu à leurs
dames. Cris des fpeftateurs en faveur de ceux qui rempor-
toient quelque avantage. Effets de la généroficé des vainqueurs
envers les hérauts & les menefiriers. Exemple que
le dnc de Buckingham donna de cette antique magnificence
à la cour de Louis XIII. Principaux réglemens des tournois.
Comment on préfervoit le chevalier qui avoit violé par
inadvertence les loix du combat. Ibid. 488. a. Derniere
joute appellee le coup des dames. Divers genres de force
ou d’adrelTe qui faifoient gagner le prix. Comment fe fai-
foit la déclaration du vainqueur, l’adjudication 6c ladifiri-
bution des prix. Honneurs qui lui étoient décernés. Abus
des tourfiois, qui les firent fouvent condamner par l'églife
6c interdire par nos rois. Ibid. A Malgré ces défenfes, nos
rois les ranimèrent fouvent par leur exemple. Pafiion de
Charles VII pour les tournois. La mort de Henri I I , tué
d.ms un tournois en 1539 , 6c celle de Henri de Bourbon-
Montpcnfier , prince du fang, tué dans une femblabie cir-
confiance en 1 360 , firent abfolument tomber en France
l’ufage des tournois. Auteurs à confiilter. Ibid. 489. a.
Tournois. Différence entre les joutes 8c les tournois. VIII.
858. A Des joutes 6c tournois pratiqués autrefois en France,
V I . 244. a. Evénemens funeftes qu’ils y cauferent. Suppl.
IV . 637. a. Q uel étoit le but de cette forte d’exercices. I.
687. b. Tournois nommés behourd. II. 192. A Combats-à-
plaifance. III. 663. a. Armes courcoifes dont on nfa d’abord
dans ces jeux. IV . 401. b. Cri dans les tournois. IV.
461. b. Parrains. XII. 82. a. Ornement qui caraélérifoit le
gentilhomme qui avoit aififté deux fois au tournois folem-
nel. III. 433. A. Nobleffe de tournois. XI. 179. b.
T ournois, ( Monn.de France) petits tournois d’argent 8c
de billon. Gros tournois d’argent. X V I . 489. a. Livre tournois,
Ibid. A
Tournois, monnoie, V . 957. AGro s tournois , petittour-
nois , VII. 932. d , A franc-tournois. VII. 281. b. En quel
tems fe fit la difiindion de la monnoie tournois 8c parifis.
XI. 960. b. Denier-tournois. IV . 827. b. L’ordonnance de
1667 ordonne de ne compter que par livres tournois. Ill,
782. a.
TO U R N U S , {Géogr. ) petite v ille de France en Bourgogne.
Son abbaye. Auteurs qui ont écrit l’hifioire de cette
abbaye. Obfervations fur Tournus ancienne. Ouvrages de
Jean Maignon, poète françois, né dans cette ville. X V I .
488. b.
TO U R R E IL , ( ƒ rfe) de l’académie françoife 8c de
celle des belles-lettres. X V I. 433-
TO U RS , ( Géogr. ) ville de Fr.ince , Capitale de la
Touraine. Sa population. Son hifioire. X V I , 490. <j. Les états
plufieurs fois convoqués à Tours. Archevêque de cette ville.
Hifioire de l’églife de Tours par Jean Maau. Obfervations
fur quelques hommes célébrés dont cette ville eft la patrie.
S. Odon j Renaud de Beaune, archevêque de Bourges ;
Ibid,
T O U
Uld. h. Jean Bfodean ; Julien Brodeau ; Jean-Baptifte-Jo*
fepli Villart de Grecourt ; Ibid. 491. a. Charles Guyec ;
Vincent Houdry; Dora Claude-Martin; Antoine Mornac ;
René Rapin. Ibid. b.
Tours. Parlement de cette ville. XII. 68. A Etabliffement
de fa mamifafiure. III. 693. a. Nombre des métiers en foie
établis à Tours. X V . 269. A
Tours. Gros-de-iours riche , broché S* nué. Defeription du travail
de ce gros-de-tonrs. X'VI. 491. A Damas à l’imitation
de ceux de Gênes. Manière de le fabriquer. Dificrence entre
le travail des Génois 8c celui des Lyonnois, pour cette
forte d’étoff'e./Ak. 492. A Voye^ G ros-de-Touxcs.
TO U R TE S d’abricots. I. 37. a.
T O U R T E A U , {BLiJ'on) différence entre les tourteaux
6c les befans. Dirtérens noms du tourteau felon fa couleur.
Tourteau-befan.XVI. 493. <î,
T ourteau , {Anific. ) maniéré dé faire les tourteaux
dont on fe fert pour éclairer dans les foliés 6c autres lieux
d'une place affiégée.XVI.493.<r.
TO U R T ER E L LE , ( Omuhol. ) defeription de cet olfcau.
X V I. 493. A
Tourterelle , infidélité de ces oifeaux. VII I. 799. a. Tourterelle
des ifles Philippines. X llI . 371. <1, A
T ourterelle , {Diete. Mat. médic. ) Pigeon. Defcripfions
des efpeces de tourterelles fnivames. Tourterelle
d’Amérique , turtiir americ.tnus. XVI. 493. A Tourterelle
d'Amérique , turtur barbadenfs. Tourterelle brune d’Amérique.
Tourterelle verte d Amboinc. Ibid. 494. a. Tourterelle
d’Amboine. Tourrerelle du Canada. Ibid. A Tourterelle
du cap de Bonne-Efpérance. Tourterelle de la Caroline.
Ibid. 493. a. Tourrerelle rayée de la Chine. Tourterelle
à collier. Tourterelle à collier diiSéncgal. Ibid.b.Toin-
terelle de la Jaina'ique. Tourterelle rayée des Indes. Tourterelle
mulet. Ibid. 496. a. Tourterelle du Sénégal. Tourterelle
à gorge tachetée du Sénégal. Ibid. A
T ourterelles, {Chafe des) vol. III des planch. Chuffe,
planche 12.
T ourterelle, {Monum.Antiq.&Médaill.) fymbolc de
fidélité. Médaille d'Héliogabale où ce fymbole efi repréfeiué.
X V I . 496. A
Tourterelle , figure fymbolique. X V . 734, a.
TO U R TO U R E L L E , {Ichthy.) Uiiyr^PASTENAGUE.
T O U S S A IN T , ( liif l. eccl. ) fête dont l’infiitution n’efi
pas au-deffus du neuvième fieclo. Projet propofé de réunir
toutes les fêtes de l’églife à d eu x , celle de Pâques 6c celle
de la Touffainr. X V I . 497. a.
Toufaint, parlement de la. XII. 68. A
T O U T , {Gramm.frartç.) quand tout fignifie tout-à-fah ,
il eft indéclinable, excepté lorfqn'il cft joint à un adjefiif
féminin. Tout efi encore indéclinable , quand il cftfuivi èèauf.
XVI. 497. ZZ.
Tout, prépofiiif d’unlverfalité. I. 729. a ,h .
T out , ( 5 u/ü/z ) fignification de ces expreffions : fur le
tout ; fur Le tout du tout. X VI. 497. a.
TO U T -B E C , {Ornith.) oifeau d’Amérique. X V I. 497. b.
T O U T E F O IS , Cependant, Pourtant, ISéanmoins ,{S y n .)
i l . 831..:.
TO U T EN A G U E ou Tutenago , {H iß . nat.) fubfiancc
métallique qui fe trouve en Chine , dans la province de
■ Wiionam. Caraéleres de la mine qui la fournit. X V I . 497. A
T O U T E -S A IN E , ( Botan. ) carafieres de ce genre de
plante. X V I . 497. A Defeription de la toute-faine. Lieux où
elle croît. Ses propriétés médicinales. Ibid. 498. a. VoyeiSuppl.
I . 423. a.
T O U T E -T A B L E , ( itw ) defeription de ce jeu qui fe joue
fur les tables du tric-trac.XVl. 498. a.
TO U T -OU -RIEN , {Horlogerie) piece de la cadrature
d’une répétition. Sadefcription.XVl. 498. A
T O U X , ( Phyfiolog, ) méchanifme dn mouvement qui
forme la toux. Comment elle dégage les poumons. X V I.
498. b. Pourquoi l’on touffe quelquefois lorlqu’on rit beaucoup.
Différence entre l'aélion par laquelle nous rions, 6c
celle par laquelle nous touffons. Pourquoi les mouvemens
déréglés qui arrivent au ventricule produifent fouvent la
toux. Ibid. 499. a. L’opium falutaire dans les toux conviil-
fiv e s , efi fnneftedans les toux dépuratoires. Ibid. b.
Toux. Différence entre l’expefloration 6c la toux. VI.
289. a. Caufe méchanique de la toux. Suppl. IV . 619. A
T o u x , ( Medec. ) elle efi le fymptôme ordinaire de
quelque embarras dans le poumon. Caufes de la tou.x propre
à ce vife e re , 8c de celle qui lui eft étrangère. Difiinc-
lion de toux gutturale , peôorale 8c ftomachale. Traitement
des différentes efpeces de toux. X V I . 499. A
Toux. Sa caufe rians le catharre. IL 772. zz. Toux caufée
par l’âcreté de l'Jiumeur qui lubréfie les bronches des poumons.
X lll. 242. A Pourquoi les accès de toux augmentent
le mal de tête. IV. 933. b. Apozeme contre la toux. I. 342.
a. Préparation d’un trochifque falutaire dans toute forte de
toux. II. 188. A
Tome II.
T R A 7 9 3
TOM^CESTER, ( Géogr.) ville d'Angleterre dan.^ le Nor-
tliamptonshivc, dans le voifin.ige de laquelle naquit en 1638
Edouard Bernind , favant critique , ainfi qu’afironoiiie , ou
plutôt, vir Omni erudiiionc & humaniiaie exceliens, comme
l’appelle Thomas Gale. Sa vie. X V I . too. a. Ses ouvrages.
Ibid. b. ^
T O X A R IS , pliilofophc fcytlîc. XIV. 84g. b.
T O X C O A L T , {Hijl. mod. Superflu. ) clpece de jubilé quo
les Mexicains célébroient tous les ans au printemb , 8c qui
duroit neuf jours. Cérémonies de cette fête. X V i. 301. a.
T O X IC O D E N D R O N , {Botan.) ou l’arbre vénéneux.
Carafieres de ce genre de plante. Deux efpeces de ect arbre
diliinguées par Tonrnefort. X V I . 301. a. Le toxicodendron
empoifomic de deux maniérés, ou par fon odeur,
ou quand on le manie. Mais il faut remarquer eue fon
poifon n’attaque que quelques perfonnes, 6c qu’il n’cft jamais
mortel. Moyen d’en détruire les effets promptement.
Symptômes de ce poifon. Ibid. A
T R
T R A B É E , { Amiq. rom.) robe des rois de Rome , onfuite
des confiils 6c des augures. X V î . 302. a.
Trabée, voye^ fur cette forte dc robe. VIII. 1 3. zz.
T R A C A N O IR , {Boiiionn. ) defeription 8c ufage de cett*
machine du boutonnier. X V I . 302. a,
T raCANOIR, {Fileur d'or) X V I. 3O2, A
T R A C E , ( Vénerie) PlÉ. XII. 361. A
T race , Veflige, (Vj/to«.) XVII . 218. zz.
TR AC E-LIGN E , inftiument du mineur. VII, 639. a,
T R A C E R , {Gcom.pratiq.) X V I.30 2 .A
T racer, {Botan.) racines qui tracent. X V I . 303. zz.
T racer, {Archit.) tracer au fimbie.au. Tracer en cherche.
Tracer en grand. Tracer par cquarriffement ou dérobement.
Tracer fur le terreln, XVI. 303. a.
T raCERJ la main, {Coupe des pierres) X V I. 303. a.
T racer, {Jardinage) deffiner avcc le traçoir fur le ter-
rein quelques figures luivant le plan qn’on a devant foi.
Etudes préliminaires du traceur. X V I . 303. a. Defeription
de la manière de tracer le deli'in d’un parterre , les ti:ffé-
remes parties d'im b ofqnei, les contour^ des boulingrins ,
&c. Ibid. b.
TR ACH É E -A R T ER E , {Anatom. ) origine du no-m donné
à ce canal. Sa defciiprlon. X V I, 304. b. beéUcns dc la tra-
ebée-artere. L’opération de la bronchotomie recommandé«
dans certains cas. Ibid. 303. zz.
Trachée-arure. Organilàtion de ce canal pour la production
de la voix. XVII . 428. a , b. Difpofitions dirioicnees de
la trachèe-artere dans les animaux, proportionnées à la di-
verficé de l.:ur5 voix. 433. *z. Petits tuyaux dans Icfqueis elle i'e
divife dans les poumons. II. 454. b.
TRACHÉE-zzr/c«, {Aléde:. ) rcmedes contre Ion aridité. I.
710. b. Efpece d’hernie de la trachée-artere. i l. 434. 'ù. Opération
par laquelle on en tire les corps étrangers. 433. A
TKkCütt-arUre du cheval ,{Marec!h) Suppl.ï'h. 384.A
' I ’R.xCaii.-arCciedesofe.iux , { Anat. comparée ) firuéhire
admirable de celle du cygne. X V I. 303. a. Dans diaqiic
oife.iu , on trouve une dilpofition dift'crCiiie de la trachcc-
artcrc proportionnée à In divci fué de leur voix. Ibid. b.
TRACHÈE-artere, plaies de la , {Chir.) CCS plaies ne font
pai toujours mortelles, Sc l'ts parties c.artiiagineufes fe peuvent
reprendre comme les churnuts. Exemples. XVI. 303.
A Lorfque la plaie des tégumens n’efi point vis-à-vis de
celle de la trachée-artere , l'air trouvant un ohfiacle à la
fo u ie , peut s'infimier dans le tiffu cellulaire de la peau , 6c
produire un emphyf'emc. Exemple de la guérifon d’un tel
accident. Une bieilurc à la gorge cft moireüe, lo.Kp.cies
caiotitles & les jugulaires internes font ouvertes Q , oiqu’il
y ait quelquefois des jilaies à la g o rge , |iai- tdqu,iics les
alimens forcent, il ne faut pas toujours croire pour cela que
la trachée-artere 8c l'oelophagc loient ouverts. Moyen de
guérir ces plaies. Ibid. 306. a.
T rachee, {Botan.) vaiffeau aérien des plat.tes. Mouve-J
ment pcrifialtlqiie de ces vaiflèaux. Moyen de uecouvrir laci-
lement les trachées des plantes. XVI. 516. a.
Trachee des plantes. XII. 7 13. a. X VI. 937. A 938. a.
TR A CH E L IE , {Botan.) caraéteres de ce genre de plante.
Ses efpeces. Vo y ez la defeription de la principale a 1 article
G antelée. Oirièrvation fur le l'uc laiteux quon en retire ,
lorfqii’elle efi faleffée. X V 1. 506. b.
T R A C H O M A , ( C/zir, ) afpèriré de la partie interne des
paupières, accompagnée de clémangeaifon, de rougeur, 6c
fouvent de pufiules. Les plus tàcheux accidens de cetre maladie
font le fycofis & le tyiojis. Cette maladie vient orai-
nalremem de l’âcreté des larmes. Moyen de la guérir. X V I .
306. A Voyeii Paupières , dames des.
T R A CH Ü N IT ID E , {Géogr. anc.) contrée de l’Arabie
entre la Palefiine 6c la Ccclé-byrie. Origine de fon nom. Ca vernes
de ce pays. Ariditédecescontrées. X VI. 307. a. Voye^
IturÉE.
P P P P p p p p p
il