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».m veritable aclje£Vif. Examen de la queflion , fi le géron-
dit' & le participe peuvent qiielrpicfois être [)ris indiftérein-
niciu l’im pour l’autre. Ib'uL 94. Nos participes a^lifs font
aiijourd’luii iiulécliiiables. Mais cette indédiiiabilité ne doit
point empêcher qu’on ne les regarde comme de vrais ad-
jcdifs-verbcs. Meptife où l’on eft tombé en confondant quelquefois
noire participe paffif fimple avec le lupin de nos
verbes adifs. Exiflence de ce lupin. Ce n’clî point par la
Annie extérieure , ni par le Ample matériel des mots qu’il
faut juger de leur nature , autrement on rifqueroit de pal-
tér crerreur 011 erreur. IhiJ. b. Dans la grammaire latine ,
le Amin cA abfolument femblable au participe pafflf neutre,
& ccirc Amiliiude n’a pas empêche la dillinélion , parce
(iii’eüe n'a pas confondu les uCages. D e même dans notre
langue , on font aifément que notre Aipin conferve le fens
a c .jf, tandis que notre participe a véritablement le fens
p..;:if. 11 paroit qu’en latin le fens naturel &. ordiiraiie
du Alpin cA d’être un prétérit. Ibid. 95. a. Il en cil de
même dans notre langue. Des prétérits formés de l’auxiliaire
du participe palîit. Ce ])ai ticipe pafTif eA effentiellcmcnt
prétéiir. IbU. b. Origine de la rdTcmblance qui fe trouse
entre ce participe iSi. le Aipin , dans les langues fraru^oife
latine. Ibid. <.)(>. .1. Des occafions où l’on doit employer
eu trançois l’un ou l’autre. Ibid. b. i®. A v e c les verbes
palTifs compofés ; a®, avec les verbes abfolus -, Ibid. 97. a.
3 ’ . avec les verbes relatifs. Ibid. b. 4". Avec les verbes pronominaux.
Ibid. 98. il.
P.inicipcs , confitlérations fur ce mode imperfonnel des
verbes. X. 504. .1. XVII . 46. b. 50. a , b. Des tems du
participe. XVI. 113. b. Difl'érence entre le prétérit du participe
paflif & le Alpin , dans la langue françoife & quelques
autres modernes. X V . 670. b. Formation des participes.
Suppl. III. 127. a , b.
Participe , ( Airiypr.) Différence entre les complices &
les panicipes en matière criminelle. XII. 98. h.
Participe , {finances) Différence entre un traitant &
un participe. XII. 99. a.
Participe, {Cvmm. maritime. ) X il. 99.
Participe , {Comm.) l’une des quatre foclétés anonymes
que les marchands ont coutume de faire encr’eux. En quoi
confiAent les fociétès en participation. XII. 99. a.
PAR TICULE , ( Gram. ) Nom par lequel on défignc toutes
les parties d’oraifon indéclinables. Rien n'eA plus railon-
nable que de réunir Ams un feul coup d’oe i l, par une dénomination
génériciue , pluficurs efpeccs différenciées [lar
leurs noms l|)éaAques & des caraélcrcs propres. XII. 99. a.
Mais on abide de la dénomination dont il s’agit ici , lorf-
qu’on a appelle particules , non fL-iilcment les mots indéclinables
, in.ais encore de petits mots extraits des cfpeces déclinables,
übfervailons fur la diviAmi des particules établie
par M. Girard. Differens feus attachés par les grammairiens
au nom de p.i'-ticulc. Ibid. b. Erreurs dans ce langage des
grammairiens. 1". Donner le nom de particule à certains petit'
mots , quand nu ne lait fous quel genre ou partie cl’o-
nidon on doit les ranger, c’eA conAater par un nom d’une
AgniAcatirm vague , l'igiiorancc d’un fait que l’on laiffe indécis
par mal-liabilcté ou par pareffe. 2". Regarder comme
particules de petits mots qui ,à divers égards, peuvent fe
ranger fous diverfes parties d’oraifon , ou qui font, dit-on,
quelquefois prépoAtions & quelquefois adverbes , c'eA
introduire dans le langage grammatical la périAologie & la
confiiAon. 3'’. On ne doit pas donner le nom de particules
à nos petits mots du, des , au, aux , & c. Ibid. 100. .1. 4“.
C e feroit très-mal fait de faire des particules une nouvelle
partie troraifon. Définition des particules. Deux fortes de
pariicuks, les unes prépoAtives ou prélixes, les autres poA-
pofitives ou affixes. Les pn.micres font quelquefois appellees
inféparablcs ; mais cette dénomination cil vicieufe. i". Principales
particules prépoAtives de la langue françoife , |)ré-
Atmées dans un ordre alphabétique , a ou ad. 'ibid. b. ylb
ou abs. Àmi. Co , corn, col , cor 6i con. Contre , fervant
comme particule. De. Des. Di. Dis. Ibid. 101. £ Sc ex.
üblcrvations Air quelques mots dont la préAxe cioit dans
l’ancien langage la particule es dont on a cnAiitc rctranclié
D par euplionie. £n. In. Ibid. b. Me ou mes. Par ou per.
Autres partiades qui viennent ou de nos prépolltions , ou
des prépoAtions latines, ou de quelques particules latines.
Obfcrvaiion Air la paiiicule re ou ré. Ouvrage à coiiAihcr
Air les particules prepofitives. 2®. Particules poA-poAtives.
Nous n’eu avons que tro is, ci , là &. du. Leur uAigc. Ibid.
Particules conjonftives , III. 871. l. disjonélives, IV. 1037.
a. expletives. VI. 306. b. — ikc.
Particules, {Théol.) miettes ou petits morceaux de
pain conlacr..s. Cérémonie des particules dans l’églife grecque.
Diljnue fur cette matière entre les théologiens catholiques
& les réformés. XII. 102. é.
Particule, {Pbyjic].) es mot pris dans le même fens que
celui i atome tic de corpufcule. Dütinélion que quelques-uns
P A R
érablîffciit entre particule & corpufcule. XII. 102. b. Diffé-
rens degrés de cohéAon de particules en raifon inverfe de
leur grodeur, félon les Newtoniens. Hypothefe des Epicuriens
lur la cohéAon des particules. Ibid. 103. a.
P A R T ICU L IER , {Gramm.) différentes AgniAcations de
ce mot. XII. 103. a.
Pariicuhete propofition, (Log ig .) 1. 729. a. XIII. 478. a.
Particulier, {Jurijpr.) l’oppofé de général ou univer-
fel. XII. 103. a.
Particulier, conAitution p.articulicre. IV . 62. b. Coutumes
particulières. 416. b. Fidéicomir.is particulier. VI. 684. a.
hérititier particulier. VIII. 164- «- Loi particulière. IX. 666.
b. SubAitiition particulière. X V . 593. b. — &c.
l’A R T lE , P a r t, Portion, ( Synon. )XII. 84. a.
Partie, ( Metaphyf.) diAinélion entre partie aliquotc 6c
partie aliquautc. XII. 103. a. Les parties des tous font actuelles
ou Amplement poflîblcs. Ibid. b.
Parties intégrantes, parties effenticlles. VIII. 805, b.
Parties, différencier p.ir parties, {Calculintégr.) çn c[\\Qi
conAAe cette opération. Lumière que Leibnitz a répandue fur
cette partie du calcul intégral. Suppl. IV. 245. a.
Parties , { j4n s ) celles dont un ouvrage eA coinpofé. Parties
accclToires, voyc^ ce mot. Eiifemblc , unité, proportion
entre les dirterentes parties .• voyfç ces mots.
Parties d'oraifon, XII. 103. b. voyei' ÜRAISON.
Partie , ( Anatom. ) Braélon dit que l’amputation des parties
génitales de l’homme étoit un crime capital, fuivant k
droit commun. XII. 103.^.
Parties Amilaires. X V . 201. b. Pourquoi il arrive quelquefois
que dans la meme perfonne, une partie n’eA point exactement
femblable à la partie corrcfpondante. V l l l . 335. a.
Parties égales {P/iarmac.) XII. 103. b.
Pa KTII de Joriune. {Aflrolog. judic.) XII. 103. b.
Partie, {Jurifpr.) partie adverfe , partie civile. XII.
103. a. Q ui lonc ceux qui peuvent fe porter partie civile.
Partie comparante. Parties coniradiéloives. Partie défaillante.
Partie iniervenumc. i’uitics litigances. Parties ouïes. Partie
plnignamc. Partie principale. Parties publiques. XII. 104.«.
Pa/tie formelle. VII. 182. b. Tmcrveinion d'une troiAeme
partie dans une contcAation. V l i l . 840. a.
Parties ca/'uclles, {Jurifpr.) privileges qu’acqnicrcnt les
officiers de judicature & d c finances, en payant aux parties
calucllcs du roi l'annuel ou paillette. X ll. 104. a. Tomber
aux parties cafucllcs. Lever .aux parties cafuellcs. Le droit
qui fe paie aux parties cafuelles , a quelque rapport .avec celui
qu’on nppellüit chez les Romains, cafus miiitia:. Princes
6». officiers qui ont leurs parties cafuelles. Ibid. 104. h.
Parties , ( Comm. ) parties .arrêtées ; partie d’apothicaire;
parties Amples; parties doubles. XII. 104. b.
Partie, mémoire de marchand & d’ouvrier. X. 329. a.
Parties doubles , ( Comm.) avantages attachés à la méthode
des parties doubles. L’exaélitude attachée à cette méthode ,
ne feroit pas moins intérefTante pour un prince, qu’elle eA in-
difpeiifable à un négociant. XII. 104. b. Voye^ COMPTES,
Livres de Marchand.
P.irties doubles, trois fortes de comptes ncceffaires pour la
clôture des livres en parties doubles, III. 780. a , b. De la
maniéré de tenir les livres en parties Amples 6c en parties
doubles. IX. 6:3. a , b. Ücc.
P.iriies de mujigue. Quatre parties principales dans la mu-
Aque. Pluficurs de ces parties fe fubdivifent en deux. Parties
dans la miiAque inArumentalc. Parties récitantes. Parties da
ciioeur. P.trtie, papier de nuifiquc fur lequel cA écrite la partie
(éparée de chaque muAcicn. XII. 103. a.
Parue de mujique, vt)yc{ Basse. Motivemciis des parties.
X. 841. b. l’artic obligée 6c jiartie de rempliffage. X(. 303. i .
Renverfeiucnt de parties. X IV . 122. b. l.)es quatre parties de
la imifujuo. XVII . 436. b. 437. a. De la compoAiioii des
parties, voyc^ CONTREPOINT.
Partie. {Ecriv.) XII. 103. a.
Parties. ( Jardin.) Parties Amilaires, difllmilaires, XIL
103. a. ligneufes. Ibid. b.
P.i'lie de jeu. XII, 103. b.
PARTII'.LLES , ( Calcul imégr.) équations aux différences
partielles. M. d’Alembert, inventeur de cette branche de l’a-
nalyfc. Premier problème de cette nature qui ait été réfolii.
Cas plus compliqués, auxquels cette méthode a été appliquée.
Méthode particulière .à M. Euler , par laquelle il a intégré
pliiAcurs de ces équations. Suppl. IV. 243. a. Celle
de M. de la Grange. Remarques générales fur la nature des
équations aux différences partielles. Ces remarques fervent
à im]ic|ucr la méthode qu’on ponrroit prendre pour en trouver
la foltition en général. Ibid. b. La fohition generale des
équations aux différences partielles, renfermant, par fa nature,
des fonflions arbitr.iircs, des variables, demande pour
être appliquée à tics problèmes déterminés , tels que ceux de
la nature, qu’on ait une méthode aufli générale de déterminer
la valeur de ces fonéfions arbitraires, pour que l’intégrale
trouvéeptu- le Calcul, donne l’équation du problémo
particulier.
P A R
particulier. Ibid. ^44. u. Exemple deAiné à faire feniir comment
dans tous les cas on peut rappeller cette détermination
à l’intégration d'une équation , partie aux différences fuies ,
partie aux différences inAniment petites , ou feulement d'une
équation aux différences finies. Ibid. b.
P AR T IE , { Aflrolog. ) afpeét qui eA dans !c degré précis
qui forme cet afpeéf. Trine pareil. Quadrat partil. Ôppofition
partilc. Conjonélion parcüe. XII, 105. i .
P A R T IR , {Gramm.) différentes acceotions de ce mot.
XIL 103. b.
?XKV\K, {Maneg. ) faire partirle cheval. III. 303. a. Comment
on dérerniine le cheval à partir devant lui. V i l . 452.
2. a , b.
PAR TISAN. {Gramin.) XII. 103. b.
Partisan. {A n milit.) XII. 103. b. UnpartiAui intelligent
dans la guerre, produit de grands avantages ;'i l’armée. Ta-
îeiis néceffilires pour bien s’acquitter de cette fon.fion. Ibid. J 06. a.
Pariifans, voycg_ fur ce fujet l’article GuERRE. V II . 993. a.
■ Partisan, {Finsnc.) on peut définir les partifans, des
hommes qui bàtiffcnt fi vite leur fortune aux dépens du public
, qu’on en voit le faite aufli-tôt que les fondemens. Leurs
exaéiions. La reffource de vendre les revenus de l’état à des
parcilàns qui avancent de l’argent, peut contribuer plus qu’aucune
autre aux malheurs du royaume. XII, 106. a.
P A R T IT IF , {Gramm.) adjeéHfs partitifs. XII. 106. <j. Examen
de la regie établie p.ar (juelqucs grammairiens latins ,
que les adjeélAs partitifs régiffent le génitif. Des modernes ont
introduit le mot de partitif dam la langue françoife, & y
ont imaginé un article partitif. Obfervations fur ceVujet. Ibid.b.
PAR TIT ION . {Belles-lctt.) Partitions oratoires. XII, 106. b.
Partition du baromètre, {Phyflq.) divifion dans laquelle
ou indique le tems qu’il doit faire, lorique le mercure cA
parvenu à chaque partie de cette divifion. XII. 106. b.
Partition , ( Mufq. ) ordre dans lequel on écrit les différentes
parties d’une piece de muAque. XII. 106. b. Ufa*»e
des partitions. Ibid. 107. a. °
Partition, diftcrens cas où l’on joint dans une partie fepa-
rée d'autres parties en partition partielle, pour la commodité
des sxccmv,ns. Suppl. IV. 243. a.
Partition, de la maniéré de la diAribiicr. Suppl. II. 390, a.
Méthode pour raffcmbler dans les partitions les parties fepa-
rées. Maniéré de tirer unepartition en parties féparées. 391.
Partition , regie pour accorder l’orgue ou le clavecin, en
commençant par une corde ou un tuyau de chaque fon dans
l’étendue d’une oétave ou un peu pins,pril'e vers le milieu du
clavier , & qui ferve de terme de compar.iifon à l’.iccord de
tout le relie. Comment on s’y prend pour former fa partition.
XIL 107. a. 1
Partition, {Orgue) fondement de l'accord. P.irtition de
l'orgue. Comment fe fait tome la partition. Foudetnau de la
partition. Manière d’.accorder tous les tons compris dans l.i
partition. XII. 107. b. Comment on accorde les notes des
deffiis & des baffes fur les notes de la partition. Comment
on accorde la tmiclie que les daviers ont au-deffous des quatre
oéfaves. Ulagc des accordoirs pour amener les tuyaux à
leur ton. Ilid. 108. a.
Partition dans l'orgue. La p.arfuion, qui cA le fondement
de l’a c cord, fe fait fur le prcAant. I. 79. b.
Partition. {BLifon) Partitions Amples; partitions com-
poi'ées. XII. loji.
Panitions dans les .irmoiries. Suppl. T. 361. a. 910. a. Suppl.
145- Partitions cannelées. Supul. IL 200. b.
PARTS. {J.tcques des) X V I. 477. a.
P A R U , {Ictuhy.) defeription de ce poiffon des mers du
Brdil. XIL 108. a.
Pa r u , {Gèogr.) ville capitale d'un royaume de même
Rom, |ur les cotes de Malabar. Averlion que maïqucrcnt
pour l’églifc romaine les chrétiens de S. Thomas tuu habi-
toiont cette ville. XIL 108. b.
’ ( Gramm. ) différentes acceptions de ce mot.
XII. io8. b.
Par v en ir , réflexion fur les élévations fiibitcs. X V . tô t a
PARVIS. ( Archit. ) XU. 108. b.
Pa r v i s , {Ciitiq.fn-r.) atriunt en latin, cha:;_cr en hébreu,
mgnifications de ce mot dans récriture. Parvis du temple
de Salomon. XII. 108. h.
PARULIE, ( 67//r. ) rumeur inflammatoire qui furvicin
aux gendve.s ; voyrj ce dernier mot. Etyiu. du mot p.irulie. 1 raitcment de ce^nial. X:L 108. b.
lA R U R E , goîitde parure à combattre dans les enfans.
• 92- a. Les grandes parures ont rarement de la grace • négligence
<iui plaie dans ht parure. VU. 766. \ ih t de la
note lit 11 panne dos femmes. X. 398. a. Du goût des femmes
pour la parure. XVII. 8y. u , b. i i i . a , b . Difl'ércnccS
^.lus eur panne, félon leurs dift'éreus teints. Suppl. IL 244.
PÀR 0 T A ( ft ,,,/ ) XVII , 9, a. Son liifloue
lie Venile. 13. é. ^
Tome II,
PAS 389
P A R Y P A T E , (M u fq . cr.c.) nom d’une note, ou coide
de la cetracüidc. Parypate-liypaton. Parypate-méfon. XII
109. U.
différence entre ces mors dans
leur lignification 6c dans leur ufage. Toutes les fois ciue
ces particules font des pléonafmes, il faut les retrancher. Om
viage à coiilulter. XII. 109, a.
P .IS , fo y c ^ M ar ch e r . X. 88. u , b.
Pas inArumeiu qui lert à compter les pas. foyer OJontc-
tre, Pedometre.
Pas d\tnc, {Bot.) caracffcres de ce genre de plante. XII.
109. U.
Pas a ane, {M.it. médic.) propriétés de cette plante. Syrop
oc conferve de pas d’âne. XIL 109. b. — foye^ T us s ilage .
Pas. {Géogr.) Pas ordinaire; pas géométrique. Milles roi
mains. Milles italiens. Lieue françoife. Lieue allemande. XIL
lOy. b.
Pas. Table pour réduire les pas romains en rnefure de
Pans. Suppl. IV. 886. a.
Pa s , {Droit politiq.) divers degrés do prééminence entre
les princes. XIL 109. b.
Pas darmes, {Chevaleiïe) place que les anciens chevaliers
entreprenoictit do dclendi e , par laquelle on ne pouvoit paffer
fans combattre la perfonne qui la gardoit. Explications
de ce qui fc pratiquoit à cette occafion. Pas d’armes, combat
qu’un tenant offroit dans les tournois contre tous venans.
Exemples; pourquoi ces divertiiî'emens furent abolis. XIL
109. b.
Pas de vis. {Méch.) XIL 109. b.
Pas d i fouris. {Fortifie.) XII. 109. b.
Pas de camp, le { A n milit.) ce pas eft de trois pieds de
roi. XIL 109. b. Trois autres pas établis pour les mouvemens
des troupes; le petit p as , rordlnaire tk le redoublé. Ces trois
fortes de pas font direéls ou obliques. Ulagc de cliacuii de
CCS pas, Les foldats doivent être exercés à exécuter en troupes
ces differens pas. Pas des Laeédémoniens lorfqu’ils s'avancèrent
pour la bataille de Maminét. Ibid. 110.
Pas , { M.:r.cge ) trois ou quatre fortes de pas naturels au
cheval. Pas artificiels, voytq A irs. Les chevaux qui mêlent
leurs pas font rarement bous. Cheval qui va au pas. XIL \ 10. a.
Pas. Du pas de clieval. III. 303. a , b. Suppl, lu. 396. a.
De-i leçons au pas. V . 333. b. Différence des mouvemens
de l’animal dans le pas 8c dans le galop. VIL 435. a. Le pas
6c le faut, un des airs relevés du cheval. Vol. VU. des pi,
Manege , pag. 3. <1.
Pas. (Archit.) Pas d’une porte. XIL i io . a.
Pas. {Arpentage) XII. 110. a.
Pas. {Carrier.) XU. i i o . a.
Pa s . ( C/w/-j!v«r. ) XII. r to .é .
Pas . {Danj'e) P.is droit, grave , battu, tourné , tortillé ;
pas avec mouvement, pas relevé, balancé, coupé, dérobé
, gliffé, chaffé , tombé ; pas mignardes, &c. XIL i to. b.
Pas de danfe, réduits à cinq cfpeces. IIL 368. a , b. Pas
coupés, demi-coupés. IV . 348. a. Pas de courante , 376. b.
fleuret. VI. 863. u. Pas de gaillarde. VII. 424. .r. Pas de gar-
goiiillade. 313. b. Pas jcrcé. VII I. 328.^.
Pas de menuet: trois mouvemens dans ce pas, 8c un pas
marché fur la pointe ilu pied. XU. iio . h. P,as de menuet
adouci. Pas en arriéré. Pas de coté. Explication de ces différentes
fortes de pas. Ibid. 1 11. a. Keyrc M enUET.
Pas d'..w. (£ ;i7ro«m)XlI. i i i .m
P.\S dur. {fabricant en ) XIL i i i . a.
Pa s , {Hùilog.) chaque tour de la chaîne autour de la
fuféc.Pasd’éme, defeription 6c ufage de ce reffort. XII. i i i . Zi.
Pas , ( Ruban. ) toute levée de chaîne opérée par l’eutbn-
ccmenr d’une luarcho , laquelle levée donne paffage à la
navette. Explication de cette opération, relative au p.affags
du patron fur lequel roule prefqiie toute la niédunique de
ce métier. XU, j 11, b.
Pa s . ( TiCfcr.md) XU. i i u b.
Pa s , {M .d u ) fa puniiion pour avoir rendu (en 1Ö75)
Nacrdcn au prince d’Üiange. III. 230. ,1, b.
Pa s , {Antoine du) marquis de Feuqiiieres. Voyc^ Feu-
QUIERES.
P A SA R G A D E , ( Géogr. anc. ) ville de la Perfide. Cérémonies
du facrc des rois de Perfe qui fe faifoit dans cette
ville. XIL I I I . b. Paf.irgadc bâtie par Cy rus; à quelle oc-
cafion; nom qu’elle porte aujourd'hui, yéi.i'. 112. a.
PASCAL. ( Blaifie) Obfervations fur cet auteur 6c fur fes
ouvrages. V i l, 627. b. 631. b. Machine anthméti((uc de Paf-
cal. 1 .681. a , b. — 68 4 ./>. Son oiivmgc fur ce calcul, Cüiifi-
déré comme le paffage de l’analylè des anciens aux nouveaux
cîdciûs. Suppl. 111. 619. b. Son fentimeut fur l’amour proiire.
V. 431. a. VIII. 8i8. b. Peiifée de Pafcal fur l’obfcurité do
la foi. \ ’II. 16. a , b. Obfervations fur fes lettres provinci.v
les.. 183. b.
PASCHAL; agneau pafclial; canon , cierge pafchal ; lettres
pafchalcs ; tems pafchal ; rentes jud'cludes ; cycle pafchal
; terme pafchal. a U. 112.
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