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Sacrée , c h f c , ( rvm. ) les loix romaines ont div iß
les chofes en faintes, religieufes & facrccs. Explication de cette
d iv ifion.X IV .477--^- ^ ^ , r , ,
Sacn'c chofe. IH. 375 • Choies lacrees rentcrmecs dans
les temples. X V I . 66. a. Comment on fournUToit à l’enirc-
îlen des cliofcs lacrees. 64. a , b. Du dégât de ces choies.
IV . 751. b. Sacrilege.
Sacrée , guene, {Hijl. grecq.) trois_ guerres facrée.s remarquables
dans rhiftoire grecque. X IV . 477. a. Voyc^
G uerre.
Sacrée , colline, ( Geogr. <t«c. ) colline d’Italie , au bord
du Téverone. XIV. 4 7 7 . VoyezS..4CEÄ.
SA CR EM EN T , ( Tbéotog.) ce mot vient du latin
tntntum , 8c lignifie un ferment. Nulle religion n’a pusatta-
clier les iiommes fans employer des lignes fenfibles ou des
facreniens. Définition du facrcmcnt dans la loi nouvelle.
Duélrinc de Socin &: des protedans fur les facreniens. Nombre
des facrcmens, leur effet , lelon les catholiques. Ce
qu’ôn entend par la matière ÖL la forme d’un facrement.
Les paroles du facrement font proprement confécratoires.
On exige dans le miniftre qui conféré les facremens, l’in-
tentlon de faire ce que fait l’églife. X IV . 477. b. Les fa-
crcnicns confidérés en général le divifent en facremens des
morts, 8cfacremens des vivans ; en facremens qui fe réitèrent,
& en facremens qui ne fo réitèrent point. Examen
de la quellion , fi les facremens produifent la grace comme
caufe phylique ou comme caufe morale. D e la luniiiere
dont les facremens ont été inllitués par Jefus-Chrifl. Les fa-
cremens font néceffaircs pour obtenir la judification, mais
non pas tous au même degré. Enfin l’atlminidration des facre-
inens fuppole des ceremonies ou elTenticlles ou accideutclles
preferites par l'églife. Ibid. 478. <1.
S.icrcment. D e la forme des facrcmcns. VIT. 177. b. Du
caraélcre que quelques-uns impriment. II. 666. b. Sacrc-
mens où l'onélion a lieu felon les catholiques. XI. 473. b.
Sacremens qui ne fe réitèrent point. X I V . - 51. b. 52. a.
Sacrement de confirmation. III. 8^2. a , b. Des facremens
par lefquels les ordres eccléfiadiques font conférés. VIII.
204. n. Sacrement de l'ordination, XI. 58t. a , b. ils l’ord
r e , 596. b. de pénitence, XII. 303. a , b. du mariage, X.
103. j,/>. 104. a. 107. é. de l’extrême-oiiélion. V I. 338. b.
X I. 473. b. D e l’adminidration des facremens. I. 140. b.
Adminidration deprecative. IV . 866. a. Obligation où font
les curés d'adminiftrer les facremens. 575. a. Les laïcs en
ont eu autrefois le droit. XUI. 789. n. Sacrement des
cophtes , V I. 175. a , b. des chrétiens de S. Thomas. XVI.
283. a. Doélrhie des fociniens fur les facremens. XVII .
390. b.
Sacremens, {H ijl. eccl.) variations entre les chrétiens
des différentes feéles fur le nombre des facremens. XIV.
478. b.
S A C R IF IC A T EU R , ( Thêolog. ) fonverain facrificateiir ,
foye^ Pontife & Prêtre (gruW). Sacrificateurs des Juifs,
royei^ pRÉTRES. Du titre de facrificateur donné aux prêtres
chrétiens. X llI , 343. it.
SACRIF IC E d'Abel, ( Crhiq. fijcr.') examen des trois
quedions fuivantes; 1°. en quoi confiftoit le facrifice d’A b e l,
z°. pourqui Dieu eut égard à fon offrande, 8c non à celle
de Ca ïn; 3°. comment Dieu fit connoitre que l’oblation
d’Abel lui ctoit feule agréable. X IV . 478. b. Idée ingénieufe
d’un profeffeurde Leide fur cette troifioinc quedion. Abel
profpéra 8t vit fon troupeau augmenter , Cam , au contraire
s’apperçut qu’il ne fleuriffoit point , & que la terre
na lui füurniffûit pas d’abondantes récoltes ; c’ed ainfi que
Dieu fit connoitre qu’il avoit agréé le facrifice d’Abel 8c
rejette celui de Caïn. Eloge du poëme de la mon d’Abel
par M. Gcfner. Ibid. 479. a. L’auteur alranfcrit ici le beau
morceau de ce poëme où font racontes les facrificcs de Caïn
& d’A b e l , Sc la mort de ce dernier. IbiJ. b.
Sacrifices du paganifme , {Mythol. Antiq. L in .) premiers
facrificcs que les hommes & particuliérement les
Egyptiens offrirent à leurs dieux. On ne vint à facrifier les
animaux que lorfqu’ils eurent fait quelque grand dégât des
herbes ou des fruits qu’on devoit offrir fur l’autel. Selon
O v id e , le nom de viéUme marque qu’on n’en égorgeaqu’a-
près qu’on eut remporté des viéloires fur les ennemis. XIV.
480. b. Pythagore s’éleva contre ce malTacre des bêtes.
Horace déclare que la plus pure maniéré d’appaifer les
dieux ed de leur offrir de la farine, du fel , 8c quelques
herbes odoriférantes. Les païens avoient trois fortes de fa-
crifices ; de publics, de domelliqucs , 8c d’étrangers. Les
facrificcs s’oftroient encore ou pour l’avantage des vivans ,
ou pour le bien des défunts. Les facrificcs étoient différens
par rapport à la diverfité des dieux que les anciens ado-
roiem. Ibid. 481. a. Defeription des cérémonies obfervées
généralement dans ces facrinces. Ibid. b. Lide des pêcheurs,
q u i, felon Ovide , ne pouvoient alTider aux facrifices. A u tres
perfonnes que différens peuples èloignoient des autels.
Ibid. 482. a. Apulée rend à la déelTe ihs une aélion de
S A D
graces, que l’auteur a jugée digne d’être îcî rapportée , à
c-aufe de fa fingularité. Ibid. é. Ufages qu’on faifoit des
peaux des viéllmes , Ibid. 483. a. 8c de leurs entrailles.
483. b. Quatre parties principales que l’on didinguoit dans
la cérémonie des facrifices. Entre les facrifices publics , il
y en avoit de fixes, 8c d’autres extraordinaires. Auteur à
confulier fur les facrifices des anciens. Quatre fortes de facrifices
généraux chez les G recs. Ibid. 484. a.
Sacrifices du paganifmc. Origine de ces aéles de religion.
XI. 372. J. Des offrandes 6c facrifices offerts aux dieux.
VIII. 503. b. Les facrifices portoient toujours avec eux une
forte d’horreur, XI. 944. a. Ils furent plus barbares chez
les Grecs que chez les Romains. X IV . ^"è. a. Des perfonnes
employées dans les facrificcs. Roi des facrifices chez les Romains.
X IV . 324. a. Minidres nommés épulons , V . 840.
b. agones, I, 180. b. popa, XIII. 86. i. viéVimaires, X \ I1.
240. b. Jeune garçon qu’on nommoit Camille, qui fervoit
dans les facrifices. IL 572. a. Joueur de flûte employé dans
ces cérémonies. X V . 480. b. Officiers des facrifices nommés
céryces chez les Athéniens. II. 866. b. Injîrumcns des
facrifices. X V . 729. a. Vafes , X V I. 832. b. couteaux, IV.
405. a , b. flûtes des facrifices. V I . 895. a. Cérémonies pr.i-.
tiquées ; celles qu’on obfervoit à l’égard de la viélime. XVII .
242. b. Piométhée établit la coutume de n’en brûler qu’une
partie, 246. b. 6c dans la plupart des facrifices, i’autre
partie ctoit réfervée à ceux qui ne pouvoient travailler.
V l l l . 93. b. On employoit dans ces cérémonies des paroles
dont le lëns littéral étoit fort différent de ce qu’elles figni-
fioienc dans ces occalious. V I . 208, b. Libations qui le fai-
foient dans les facrifices. IX. 457. b. Offrandes qui les ac-
compaguolcnr. XL 428. a. Repas à la fuite des facrificcs.
X V ll. 228. b. Quelques-unes des occafions dans lefquelles on
f.icrfioh. Sacrifices funéraires. V IL 375. a. VU . 700. b.
XL 70. a. Sacrifices pratiqués dans la fondation d'une ville.
X V II . 277. b. 278. a , b. Diverfes fortes de facrificcs. Sacrifices
expiatoires, voyr^ Expiation. Holocaudes. VIII. 246.
b. Hécatombes. 94. a. Tauroboles. X V . 944. a , b. Sacrifices
oïl l’on offroit aux dieux une viélime artificielle. X V IL
243. ^.Sacrifices appcllés juovetaurüics. X V . 660. b.
S.icrifices humains , voye^ ViCTIME HUMAINE.
Sacrifices des Hébreux, (^Critiq. facr.) avant la loi de
Moïfe , tout ce qui concernoit les facrifices étoit arbitraire.
Trois fortes de facrifices fanglans chez les Juifs ; l’holo-
caude , l’hodie pacifique , 8c le facrifice pour le péché. X IV ,
484. a. Sacrifice non - fnnglaiit ou oblation que les Juifs
üftVoienc en liommage à Dieu. 11 y avoit des facrificcs où la
viflimc demeiiroit vivante &. en fon entier. Sacrifice perpétuel
des Hébreux. Pourquoi tous ces facrificcs avoient été
inditués,/Wi/. é.
Sacrifices des Hébreux , ceux qu'on appelioit de propitiation
, XIII. 465. b. d’expiation , voye^ es mot. Tables qu’ils
dreffoient dans leurs repas de facrifices. X V . 803. b.
Sa cr if ic e s des chrétiens, {Critiq. facr.) s. Paul nous les
indique en deux mots, louanges du feigneur, confcflïon de l'on
nom, beneficence 6c communion. XIV. 484. b.
Sacrifices que pratiquent les chrétiens de Mingrclie. X.
548.
SACRILEGE , ( Jurifpr. ) lignification 8c ufage de ce
terme. Peines de la profanation des hollies 8c vafes lucres , de
celles des facremens, de celle des images 8c reliques des
faints, 8c deséglifes. Ouvrageà confulter. XIV. 483. a.
Sacrilege, voye^ DÉGÂT des cliolês facrces. IV. 731. b.
C e qui pouvoit judifier les païens du crime de facrilege,
lorfqu’ils pilloient les temples des dieux qu’ils rcconnoif-
foienc pour tels. 732. a. Comment les facrileges devroient
être punis. IX. 638. a.
Sacrilege , (Cririq.facr. ) larcin des chofes faintes. Etymologie
du mot. Ce mot fc prend encore pour la profanation
d’une chofe ou d’im lien facré , par l’idolâtrie. Quelle doit être
la nature de la peine des facrileges , felon les principes de la
jufliceSede la raifon. Le magillrat ne doit point rechercher
lefactilege caché.XIV. 483. <j.
SA CR IST AIN , ( terme d’Egllfe ) officier eccléfinflique.
Sacriflain de la chapelle du pape. Scs fonélioiis 8c privileges
X IV . 483. tf.
SA C R IS T IE , {Hifl. eccl.) différens noms qui ont été
donnés à ce lien. Le premierconcile de Laodicée défend aux
prêtres de vivre dans la facriffie. Ufages auxquels ce lieu cil
confacré. X IV . 483. b.
SACRO -LOM BAIRE , (^Anatom.) defeription du muf-
cle de ce nom. X IV . 485. é.
SA C R UM , (Anatom .) defeription de l’os facrum. XIV.
485. b.
Sacrum , os. Fauffes vertèbres qui le compofent. XVII.
171. b. Cornes de l’os facrum. Suppl. IL 607. a.
SA D A R ou Alfador , ( Boian. exot. ) nom donné par les
Arabes au lotus. C e buiffon efl nommé par quelques-uns acanthus
, fon fruit eff le nabac des Arabes. Divers auteurs qui en.
ont parlé. XIV. 486. a,
SAD-D E R ,
S A F SA D -D E R , (H ifi.an c .) un des Ih'resqni contiennent la
religion des Parfis ou Giiebres. Origine de Ion nom. Son auteur.
Contenu de cet ouvrage. Suppt.YV. 692. a. Voye^Xil.
423. b.
SADLER , (Jean ) né ù Bruxelles , graveur. V IL 870. a.
Sadler, ( Jean ) né en Angleterre , jurifconlïilte. X V .
703.i-704.rf.
S A D O C , Jufie , ( Hifi. facr. ) fils cl’Acliitob , grand-prêtre
de la race d’Eléazar, qui fut fubflitué à Acliimélcch ou
Abiathar, mis a mort par les ordres de Saul. Hilloire de fon
lacerclüce, Autrespeifonnages de ce nom. Suppl. IV. 692. a.
Sadoc, auteur de la feéle des Saducéens , fa doffrine. IX. 30.rf._
S A D O L E T , (Jacques) obfcrvatioiis fur fa vie 8c fur fes
ouvrages. X. 600. b.
S A D O U R , (Pèche) forte de filet tramaillé à l’tifage des
pécheurs. Defeription de dillérentes fortes de fadours. XIV.
486. a. En quel tems fe fait la pêche du fudour. Und, b.
SADU CÉ EN , (Hifi. des Jeéles juives) origine de cetre
feflc. En quoi elle différoii de celle des Epicuriens. Doélrinedes
Inducéens. X IV . 486. i . PalTages des évangiles qui prouvent
que les luducéens n’admettoient que le Pentateiique pour livre
liicré. Différence entre les faducéens 8c les efféniens 8c pha-
riliens fur le libre arbitre 8c la prédellination. Les faducéens
avoient pour partifans les gens de la premiere qualité. Cette
Icéle finit par la de/lruélion de Jérnfalcni. Ibid. 487. a.
Saducéens, fondateur de leur feite. "V. 61. a. Hilloire ,
moeurs Sc doélrine de ces fcélaires. IX. 29. b. 30. a , i. 3 1.
a , b. Les faducéens mis au nombre des Caraïtes. IL 670.
a. Pourquoi ils font confondus avec les Hérodiens. VHI.
180. b.
S A D Y , poëte perfan , obfervations fur fes ouvrnees ;
efiime qu’en font les Orientaux. XII. 839. b. X \ \ '.G y b ..i,
b. 763. a. Defeription de la grandeur de Dieu , traduite en
vers blancs, d’un paffage de ce poete. XII. 840. a. Exordede
fon rofariuin. X IV . 676. a , b.
SÆ M U N D , auteur irlandois; fes ouvrages. VIII. 916. a.
9i8.rf,
SÆ T A B IS , (Géogr. anc.) ville d’Efpagne. Sa fituation.
Ouvrages qu’on y trav.-iilloii. XIV. 487. 'a. Sestabes , nom
d’une riviere d’Elpagne. Ibid. h.
S A F R A N , ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plante.
Delcription du fafran ou crocus des botanillcs. XIV. 487. b.
Lieux oil il croit. D ’où l’on tire le meilleur. Manière de le
multiplier. D e la culture & de la récolte du fafran. Ses ufages.
Maladie la plus pernicieufe de cette plante. Ibid. 488. a.
Unique moyen d’en arrêter Icsrav.iges. Caufe de cette maladie
lèion M. du Hamel. Autres plantes qu’elleattaque. Ibid. b.
Safran. Plaute parafite qui s'attache .à l'oignon de cette
plante. X VI, 733. b. Safran de la province de Walden en A ngleterre.
X V ll. 384.^.
Safran , ( Hifi. mod. Comm.) maniéré de le cultiver dans
la province de Cambridge en Angleterre. Opérations de la
récolte. Produit d’un acre de terre planté de fafran. Suppl. IV.
692. b.
Safran, ( Chym.Dicte, Mat. médic.) choix du meilleur
fafran. Son analyfe. XIV. 488. b. Propriétés 8c ufages de
cette plante ou de fon produit. Ibid. 489. a. Ses qualités perni-
cieufes. Circonfpeélion avec laquelle il faut ulêr du lafrau.
Ibid. b.
Safran, emplâtre de. V . 389. a.
Safran , ( Teintur, ) (on ufage pour la teinture. X V I. 12. b.
Safran bâtard, ( Boum. ) defeription de cette plante.
XIV. 489. b. Lieux oil on la cultive. Scs ufages. Choix de
les graines. Leur vertu purgative./iiW. 490. a. Voyez Car-
thame.
Safran des Indes, (B o t .) defeription de fa racine. Ca-
raélere.s de la plante. Üfages qu’on en tire dans leslndcs.XIV.
4<;o. a. Autre cfpecc de lafran des Indes. Sespropriétés.//-ii, b.
Safran, ( Chymie ) fafian des métaux. I. 506, a , b. El'-
peccs de chaux qui portent le nom de fafran. IL 343. a.
Safran de venus. 1, 133. b. IV. 345. b. Safran de mars.
VL 496. il. V IL 69. é. X. 1 32.rf.
Safran de L'étrave, ( Marine ) XIV. 490. h.
Safran , ( Charpent. ) X IV . 490. b.
SAFRANIERE , (Agriculc. ) plantation de fafran. Labours
qu’on lui donne. Durée d’une fafranierc bien travaillée.
Ufage qu’on fait des oignons 8c cayeux qui ont produit
dans la fafranierc. Méthode que quelques cultivateurs ob-
fervent dans leurs plantations pour plus de commodité Sc
d’economie. X IV . 490. b.
SAFRE , Saffre, Zafire ou Smalte. Verre coloré en bleu
parle moyen ducobalc, pour faire du bleu d’empois, 8c peindre
en bleu fur la porcelaine, la fayaiice 8c l’émail. Depuis la
publication du volume qui contient l’article Co balt, les
chymilles ont fait fur cette fubllance diverfes expériences
que Ion a cru devoir rapporter ici. X IV . 490. b. Il fuit de
tomes ces experiences que la vraie nature du cobalt n'eft point
encore parfaitement connue , que l'on ne coimoîi point tou-
lomc II, ^
S A G 621
tes (es mjMs & qn'il poiirroit y avoir plnfieurs manières
e taire dn latrc Ddcription de celle qui fe pratique à
b.lmecbcrg en Mifnie, qui eft l'endroit de to,.te I'EuroJe oi,
' ‘V ’ “ I®’ '; ‘»fr«- Maniéré don, on répare
le cobalt du bifmuth. U,J. 49,, J, Obfervations fur une
frfré' "-;S“ 'me qui s a,naireau fond des crcufetsoli l'on cuit
'es Allemands nomm^m/p,:£ Comment on
l-pare e e „e maticre du bifmuth auquel elle eft attachée.
Uid. 49a. i Auieiirs qiu ont doimé des détails fur la manière
dont les Saxons préparent le fafre. Uid. 49t. a. Autres
beux ou 1 on fait cette compofition. Attentions qu'il fau-
dioit avoir dans la preparation du l'afre pour itarvcnit dans
au meme fuccês que les Saxons. Jéif/. é. Voye^
SA G A C IT É , différence entre fineffe 8c fugacité. V L 8 i6 .
b. Sagacité delprii dans le raifonnement. l l l . 8.ii. a.
SAGALASSH , (Géogr. anc.) ville de Pilldie, Détails
quont donnes fur la fituation de certe ville Strabon , Ar-
nen 8c Tite-Livc. XIV. 493, b.
SAGAPENÜM , (Hifi. des drogues exotiq. ) Sue qui tient
le milieu entre la gomme 8c l.i réfme. Ses carafferes. Q uel
Lit le plus cllimé. Les anciens Grecs connollToient le fa-
gapciuim, La plïuue d’où il découle nous efl inconnue. X IV . 494-
^ ) riviere de la Sarmatie. Vers
mention duSagaris. XIV. 404. a.
SACjL, (P/iilojbph.) Portrait du fage. Détails de fa vie
^ tic la taçon de penlër. X IV . 4(^4. b. Peimiirc qu’en a
tanc un do nos poètes d’après ce vers d’Horace , irnpavidum.
jenem ruina:. Ibid. 493. a.
Sage, ponrait du fage felon les Stoïciens. X V . 330. b.
■ ]y.a b. Pourquoi le fage s’abtlienr des chofes pernüfei.
Suppl. I. 63. a.
Sages , (Littér.) nom fous lequel les Grecs défignoienc
les phi ofophes , les orateurs , k s hifforiens , 8cc. Principal
objet de la doélrine de ces fages. XIV. 493. b.
m. qU'Jlcs jicil'onnes les anciens donnoiem ce titre.
. Sages de la Grcce. V IL 909. b. 910. a.
Sages -g r a n d s , (Cour de Venife) maglflrats de ce nom
dans le gouvernement de Venile, Fone^ions des lix fages-
gi.mds. Sage de la femviine. Sages de terre-fcime. Coidcil
des dix lages. Sages des ordres. XIV. 495. b.
Sage , ( Maréch. ) Cheval fage, X IV . 493. /•.
Sage , ( Pùm .) tableau fage. Peimrc fage. \ l \ ’. 493. b.
Sa g e , ( George Louis le ) de Geneve : a'iiteiir d’un iiou-
ycau fyfiême lur la gravité. VU. 874. a. Son hypothefe
fur les affinités. Suppl. 1. 183. b.
Sa ge s , chiens, (Vénerie) X IV . 493. é.
Sage-Femme, (C/ür.) D e la inanrife des'f.iges-fcnuncs
de Paris, Apprentilfage 8c c.xamen qu’elles doivent fubir.
X IV . 493. b. Serment qu’clJcs doivent prêter. Conditions
rcquifcs pour être reçue fage-femnie de viüa'e. Fcindariori
laite par M. de la Peyronie do deux profoffcûrs 8c démon-
llrateiirs pour les accouchcmens. Evénement qui engagea les
Athéniens à permettre que les femmes éiudlaffent hi médecine
ÔC l’art des acconcliemcns. Ibid. 496. a. Voyez ACCOUCHEUSE.
Sage-femme, impudence de ces femmes ; barbarie que queU
qiies-uncs ont exercée pour gagner de l'argcm. I. 85. b.
Comment elles niiifent qiiciquctois aux enfans. V, 639. b.
Du rapport des fages-femmes dans les cas où leur examen
eff requis par le magillrat. Suppl. 111. 882, rf.
SAG E S SE , Vertu, (Synonym.) Diftérence encre la fa-
geffe 8c la venu. XIV. 496. a.
Sagesse , (Alorale) elle confifie à remplir avec cxaéli-
tiidc tons les devoirs que la morale nous impofe. Mais nous
ne trouverons des motifs à lui être fideles , que dans le
lèntiment' de notre immortalité. XIV. 496. ii. Il n'v a que
l’homme immortel qui puilfc braver la mort ; lui fcul par
conféquent peut s’élever au-deflus de tous les evenemens,
fe monirer indépendant des caprices du fo r t , 8c plus grand
que toutes les dignités du monde, 8ce. Un tel homme peut
remplir l’idcc 8c le plan de la fupréme valeur , lorfque fon
devoir l’oblige à s’exppfer aux dangers de la guerre. Ibid,
b. Il faut , obferve Séneque , apprendre chaque jour .à le
quitter , il faut apprendre à mourir. Ce fentimont tout-à-
fait ridicule dans la bouche d’un .Stoïcien 1, n’oll noble 8c relevée
que dans celle d’im homme , qui perce au-delà d©
cette vie , 6c qui fait par l.i révélation qu’il furvivra à la
perte de fon corps. Ibid. 497. a.
Sagejfc , regies de fiigeflê développées à l’article Bien.
Sagesse, (Critiq. facr.) différences acceptions de ce mot
dans l’écriture. XIV. 497. a.
Sageffe de D ieu , fes preuves. IV. 980. a.
SaGE.sse , ( Mytbol. ) Les Grecs ne l’ont pas diviniféc
mais perfonifiée. Comment ils la repréfciuoienc. X IV
497. b.
Sagejfe , fymbole qui la repréfente. X V . 733. b.
S S S s s ss