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If.
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770 T H E
Î2-J, b. Comment la récolte s'en fait au Japon. Thé impérial
, qui fort à la cour de rempereur. Soins 6c précautions
avec iciquels on le cultive. IbiJ. 224. b. Etat dans lequel
on l'envoie à la cour. Thé de la l'econde efpece ou thé
chinois. Thé de la troificme efpcce. Préparation que l’on
donne au thé. Ibid. 225. j . Manière dont les Japonois con-
fervent leurs provifions de thé. Delcription de l’arbriiTeau
de la Chine qui porte le thé. Ibid. b. Récolte de ce thé.
T h é roux ou bohé. Maniéré dont les Chinois préparent Si
boivent le thé. Propriétés du thé. Précepte lur fon ulage.
Conlommation annuelle qui s’en fait en Europe. Ibid. 226. j .
The de la mer du fud nommé calïïue. II. 747. J , b. Thé
du Paraguay. X L 899. b. Caiffes dans lefquelles on apporte
le thé de la Chine en Europe. II. 587. a. Plante de thé
reprél'entée vol. V I des planch. Régné vég é ta l, pL 100.
Comment les Hollnndois boivent le thé. Suppl. II. 199. a.
Subftituiion des feuilles de fainfoin au liié vercL XIV. 620. b.
D.inger de l'ufage des infiifions théiformes. V. 194. a.
T hé des' Antilles, {^Botun.) deferiptionde cette plante.
Lieux où elle croit. On l’arrache comme une inauvaife
herbe. X V I. 226. u.
THÉ.A., (^Boun.) caraéleres de ce genre de plante qui
porte Je thé. Voyei^ à l’-irticle T h é , la dcferlption de l’ar-
briileau. X V I, 226. j .
T h é a , (AîyfA. ) femme d’Hyperion, fi'c. X V I . 226. b.
T H E A C H I , (Géogr. ) ifle de la mer Ionienne près de
Céphaloiiie. On croit que c’d l l’ancienne Itaqiie. Ses diffé-
rens noms. Son état préfent. X V L 226. b.
TH E A G EN E , détails fur cet athlete. IX. 760. a. XV. 500.
a , b. X V ) . 222. b.
TH E A N D R IQ U E , ( Hro/og.) mot qui exprime les opérations
divines 6c iuim.aines de Jeliis-Clirift. Abus que les
monophyfites firent de ce terme. Exemples des opérations
théandriques du fils de Dieu. Les opérations thémdriques
examinées avec foin dans le concile de Latran tenu en
649. X V I . 226. b. Foyr{ DÉlviRiL.
Thésndriijue. Quoique Jcfus-Chrill ait deux natures, il ne
fait cependant pas deux pcrlonnes. XU. 432. b.
TH EA T IN S , ( Hijl. ecd. ) ordre religieux de prêtres réguliers.
Origine de leur nom. Commencement de cet ordre.
Aullérité de fa regie. Miflions des théatins. Hifloirc de cette
congrégation. X VI. 2 27. u.
TH É A T IN E S , {Hifl. c cd.) religieufes fous la direâlon
des iheaùns. Deux congrégations différentes fous le nom de
thèatlncs de la congrégation , 6c de théaünes de l'herniicage.
Leur fondatrice. X V I. 227. a.
T H E A T R A L , l^Lictérat.) danfes théâtrales. IV . 627. b.
628. a. VIII. 231. a. Déclamation théâtrale. IV. 680. b.
Décor-uions théâtrales. 700. b, &c. 703. b. Loix théâtrales
chez les Romains. IX. 677. a ,b- Machines théâtrales. 798. b.
TH É Â T R E , {Archit.) différentes parties dont les théâtres
des anciens ctoient compofés. X V L 227. a. Ce qu’on
entend aujourd’hui par théâtre, jbid. b.
T héâtres des andens, (^Archit. & Lïttér.) leur deferip-
tion. X VI. 227. h. Ordre que les anciens établirent pour les
places des fped iteurs. Defeription de l'orcheilre. Celle de la
feene. Ibid. 228. b. Décorations des théâtres. Machines
qu’employoient les anciens. Ibid. 229. a. Comment fe fai-
foient les changemens. Pluie artificielle par laquelle on tem-
péroit la chaleur dont les fpeélateurs étoient inco.mmodés.
[bid. b. Portiques qui étoient derrière les théâtres, 6c où le
peuple fe retiroit lorfque quelque orage en interroinpoit les
repréfentations. Hifloire des progrès de l’architeélurc dans la
conffruéHon des théâtres. Ibid. 230. a. Divers théâtres bâtis
chez les Romains. Rideaux, tapifferies, voiles de ces théâtres.
Incor.vénlens attachés au peu d’étendue de la feene des
modernes. Avantages que procuroit la valle étendue de celle
des anciens. Ibid. b.
Théâtres des jnciens. Difpofition du lieu où l’on repréfen-
toit les pieces avant qu’on eût conliruit les théâtres. XIV.
752. L\ Parties du théâtre appellées l'orcheflre. X L 378. a.
Profeenium. X III, 493. Pulpitum. 566. b. Théologium. X V L
231. b. Lieu d’où Jupiter lançoit fa foudre. II. 833. b. Toile
de théâtre. X V L 381. a. Vales pour favorifer la voix. V.
264. b. X VI. 834. .i,b . Décorations. IV. 700. é. Machines.
l.X. 800. a. Sieges des théâtres. X. 8<j. b. Piuies artificielles
pour rafraîchir les fpeélateurs. XII, 797. a. Dépenfes excef-
fives que les Romains taifoient pour leurs thiatres. X V . 446.
b. 447. U. Marques que l’on diftribuoit pour l'entrée du tlica-
tre. X V L 188. Théâtre trouvé dans Herculanum. VIII.
130. b. Suppl. III. 331. b. On le voit repréfenté dans le
vol. X des planch, article Théâtre, Défauts des théâtres des
anciens. Suppl. IV. 939. b. 963. a. Comment leur genre de
tragédie étoit afforti à leur théâtre. 937. a. 959. a.
"iHÉATRE de Scaurus, (^Archit. Décorât, des Romains)
théâtre de charpente élevé à Rome pour fervir à l’ufage des
fpeflaclcs pendant le cours d’un feul mois, quoique ce théâtre
ait lurpaffé en magnificence des édifices bâtis pour l’éternité,
Hifloire des deu.x Scaurus pcre6cfils. Defeription du
T H E
théâtre que le fils fit bâtir , & de fes décorations. X V I . 231 . j .
T héâtre de Cunon. {Archit. Décor, des Rom.) Ce théâtre
eu tenoit deux confiruits de bois près l’un de l’autre, &
fl egalement fufpeudus chacun fur fon pivo t, qu’on pouvoir
les faire tourner , en réunir les extrémités, 6c former par ce
moyen une eiiceinie pour des combats de gladiateurs. M. le
comte de Caylus a donné ciaoN le recueil de Liiiénit. toin.
23 , un mémoire plein de lumière fur cette éionriante machine.
Réflexiôns de cet auteur fur les machines des anciens,
6c leurs cohnoifl'ances 6c ouvrages en méchaniqiie. X V L
231. b. Hilloire de C. Scriboniiis Curion. laid. 232. j . D e feription
du théâtre qu'il fit bâtir. RéfLxions de Pline fur la
témérité du peuple romain.,affemblé fur cette machine,uniquement
foutemie par deux points. Ibid. b. Remarques fur
cette forte de théâtre, 6c fur le paffage de Pline. Slm’ulier
contraile entre les jeux magnifiques de Cinjo n,8 c ceux que
donnoit en même tems l’édile Favonius. Ibid. 233. a. Le
peuple romain épris des fpeflacles raffinés, quitta cependant
les fêtes de Curion pour fe rendre à des jeux ridicules, où
il ne recevoir que des figues ou des concombres : c’eft que
Caton prêlidoit aux jeux de Favonius. Ibid. h.
T heatre de Pompée., {Arc/m. Décorât, des J?o«.)tliéa-
tre magnifique bâti de pierre , fur des fondemens fi folicles,
qu’il fcmblüit être bâti pour l ’éternité. Sa defeription. X V L
233. b.
Théâtre de Pompée, revêtu de lames d’or par ordre, de
Néron. V l lL 639. a.
T heatre de Marcellus, {Archit. Décorât, des Rom. ) théâtre
coiifâcré par Airgulle , à la mémoire du jeune Marcellus,
fon ne v eu , ton fils adoptif 6c fon gendre , qui mourut à l’âge
de vingt ans. Eloge qu’en fit Horace dans le lems qu’il vivoit
encore. X V L 235. é. Obfervaiions fur celui que Virgile en
a fait dans le lixieme livre de rEnêidc. Deuil d’ü c ta v ic ,
mere de Maiccllu^. Paffage de Séneque lur ce fujet. Dimeii-
fions du théâtre de Marcellus. Ibid. 234. a.
Théâtre de Marcellus, voye^ lesplandi. d’antiquités, vol. I.
T héâtre des Grecs. ( Archit. grccq. ) De toute;, les niaiic-
res dont les auteurs anciens ont traité, celle de la couflru-
êlion de leurs théâtres ell la plus obfcure 6c la plus tronquée.
Recherches faites par M. delà Guillctiere pour en tracer
un plan exaél. Defeription du théâtre de Bacchus con-
ftruit à Athènes, 6c de fes différentes parties. X V L 234. b.
Nombre de Ipeélateurs qu’il pouvoit contenir./éfa'. 23 3. L
Des machines que les Athéniens employoient. Ibid. 236.
a. Comment Us fe préfervoient au theatre de l’injure de
l’air & de l’excès de la chaleur. Moyen fingulicr que les
Romains employoient pour envoyer leurs ordres dans leurs
maifons, lorl'qu’ils étoient trop long-tems retenus au théâtre.
Ce que coûtoit le droit d’entrer au théâtre de Bacchus.
D ’où l’on tiroir l’argent iiécefTaire à l’entretien du théâtre.
Ibid. b. Obfervations fur les prix de poéfie 6c de mufique
par lefquels les poètes combaitoient au théâtre. C e ft fur les
théâtres que les philofoplies venoient expliquer ieurdoârine
à leurs écoliers. Les théâtre n’éioient pas fi décriés parmi
les premiers chrétiens que l’on veut nous le faire croire.
Artifice employé dans le théâtre de Bacchuspour la propagation
de la voix 6c des fons des infirumens de mufique.
Ibid. 237. a. Attentions de l’arehiteéle Philon à ce que la
fanté des fpcélateurs ne fût jamais expofee dans ce théâtre.
Portique d’Eumenicus qui étoit derrière la feene. Ibid. b.
T héâtres des modernes, {Littéral. ) confultez le volume
X des planch. S die de l’opéra de Paris. Ibid. Partie du
plancher de cette falle, appellee ceinire. III. 457. i . Salles
de théâtre. Suppl. IV . 710. b. Parterre d’un théâtre. XII.
87. a. 1 béatre élevé à Paris dans le grand manege par
M. le maréchal de Richelieu. V L 382. a , b. Théâtres élevés
en France pour les fêtes de la cour fous le regne de
L .u is X V . Pid. Moyen employé pour chauffer les falics
de théâtre. Suppl. III 483. a. Rapport entre la forme de
nos théâtres 6c le fyftênie moderne de tragédie. Suppl. IV .
939.
T heatre, {A rchit.) l’état de vctuflé & de (lépérifTc'-
ment où fe trouvoit la fidle de la comédie françoife à Paris,
rendoit néceffaire nue nouvelle conftruflion. Cette néceffité
enfanta pluficurs projets, 6c nos architeéles fe fignalercnt
à l'envi les uns des autres, faififfant l’occafion de déployer
leurs talens, 6c de bien mériter de leurs concitoyens, en
leur préfeniant des plans d’un théâtre national qui réformaf-
fent les abus 6c les inconvéniens de l’ancien. Defeription
du nouveau théâtre projette par M. de Wailly 6c P e y r e ,
architeCfes du ro i, pour être exécuté fur le terrein de l’ancien
hôtel de Coudé. Suppl. IV. 937. a , b.
T héâtre, hifloire du {Littér.) voye^ les articles T ragéd
ie , Comédie, Drame, Ballet, Opéra.
T héâtre anglois, {Hifl. mod.) obfervations fur Th o mas
Betterton, le meilleur aCieur qui ait paru en Angleterre
avant Garick. XVII . 603. b. Réflexions d eM , Fenton
fur, l’état du théâtre anglois après la mort de Charles I.
X V l l . 64t.
T H E
T héâtre, {Linér.) décorations de théâtre.IV. jo o .b,6>c .
703. b. Diveriiffemeiis de tliéatrc. 1069. a. Machines de
ihé.atre. IX. 798. b, &>c. Pieces de théâtre, voye^ Piece.
Coup de théâtre. X V . 232. b. Des cabales de théâtre. Suppl. II.
88. b.
'1 HÉATRES d’artifice. I. 742. a. Difiribution des artifices
fur les théâtres. 743, a , b.
T héâtre anatomique. {Archit. ) X V I . 237. b.
T héâtre d'c.iu. {Archit. hydr. Décorai.) X V I. 237. b.
T héâtre, {Marine) X V L 237. é.
T héâtres de jardins , {Décor, de jardin.) X V I . 237. b.
T héâtre , ( F.ibriq. de poudre à canon ) dans les moulins à
poudre. XVI. 238. a.
T héâtre, {terme de riviere) X V I .238. <t.
TH EBÆ , {Géogr. anc.) i ' ’, ville de la haute Egypte.
Sa erandeur 6c fii magnificence. Le nom de cette ville de
Tkebcs UC fe trouve pas dans le texte de la vulgate : on
ignore cominenc les andens Hébreux l’appelloient. 2®. Ville
de Grece clans la Béotic. Evénemens qui la mirent au nombre
des villes les plus renommées. Hifloire de cette ville.
X V L 238. a. Obfervations fur la vie 6: les ouvrages du
poète Pindare , né à Thebes en Béotie. Ibid. h. Ouvrage
qui nous relie de lui. Poèfies de Pindare dont il ne nous
reffe que des fragmens. Auteurs qui ont écrit fa vie ou fait
fon éloge. Ibid. 239. a. Caraficres de fes ouvrages. Autres
perfonnes célébrés nées à Thebes. Céb è s , philofophe p y thagoricien.
Tableau de Cébès. Raifons qui prouvent que
cet ouvrage ne peut être du philofophe thébain. Clitoma-
que , athlete. Crates , difciple de Diogene. Autres villes d’Italie
, de Grèce 6c d’Afie , appellées Thebes. Ibid. 24O. a.
Theba, i". ville d’Egypte. XL 163. a. Obélifques 6c autres
monumeiis de cette ville. 279. b. 2” . Ville de Béotic:
elle fut affiégée 6c prife par les Epigones. V . 793. a. Statues
remarquables de Vénus à Thebes. XVII . 36. a. Ma-
giffrats de Thebes nommés béotarques, IL 203. b. téléarques.
X V L 33. b. Thebes détruite par Alexandre le grand.
Suppl. I. 266. a. Nom moderne de cette ville. X V L 280. a.
Foye^ T hcbes 6-Thébains.
TH É B A ID E , ( Géogr. anc. ) grande contrée de l’Egypte ,
vers l’Ethiopie, Sa divifion en occidentale 6c orientale. Ses
nomes ou provinces. Différentes divifions faites de la Thé-
baide dans la fuite des tems. Solitaires retirés dans cette contrée.
X V I, 240. b.
Thébaïde : grottes qu’on y remarque. VIT. 960. b. X. 862.
c. X V L 241. 793. d. Ruines d’un temple d’Ifis dans la baffe
Thébaïde. X V I . 73. a.
T hébaïde, ( Géogr.mod.) grande contrée d’A frique dans
la haute Egypte. Son état & fon gouvernement aéluels. X V L
240. h.
T nm A io iL , bajfle, fes grottes , {Géogr.) concavités formées
par art dans les carrières de ce p a y s , d’efpace en ef-
pace , 6c dans un terrein de 15 à 20 lieues d’étendue. Les
pierres qu’on a tirées de ces carrières, ont laiffé , pour ainfi
parler, des appartemens vaftes, obfcurs 6c bas, qui forment
tineefpece d’enfilade fans ordre 6c fans fymmêtric. Solitaires
retirés autrefois dans cesgrottes. X V L 241. a.
T hébaïde, ( Lut. ) poème héroïque de Stace fur la
guerre entre Eiéocle 8c Polynice. Defauts de cet ouvrage,
roëtes grecs qui avoienc compofé des Thébaïdes avant Stace.
X V I . 241. a.
TH ÉBAINS , le s, ( Hifl. des Grecs ) caraiffere greffier ,
intelligence épaiffe des Béotiens 8c des Thébains. Hifloire
de ces derniers. X V L 241. É.
T hébains , ( Hifl. anc. ) tems de la fplendeur de leur
république. V IL 914. a. Guerre des Thébains contre les
Phocidiens appellee guerre facrée. XII. 521. b. La ville de
Platée détruite par les Thébains en deux occafions. 739. a.
TH É B É EN N E , légion. IX. 335. i . 336. Suppl, i l l .
720. a-.
THEBES , ( Géogr. anc. ) v o y e z Th e bæ .
THEBES , le lac de, f Géogr. mod. ) communication qu’il y
avoit autrefois entre ce lac & celui de Copaïs. Etendue de ce
lac , 6'f. X y i . 242. b.
T hebes, ( Litt. ) conffru-ffion mervcilleiife de fes murailles.
Ses guerres célébrées par les poètes. X V L 242, b.
T hebes, marbre de, {Hifl. nat.) on le tiroir de la haute
Egypte. Ses caraéleres. X V L 242. b.
TH E B E T , {Hifl.jud.) mois des Hébreux. Fêtes que les
Juifs célèbrent en ce mois. X V L 243. a.
T H E C A , ( Boian.) arbre des Indes orientales. Ufages
que les Indiens en tirant. X V I . 243. a. Foye^ T h é k a .
TH ECN IQU ES , termes. Obfervations fur leur ufage. I.
716. b.
TH É ISM E , ( TAso/og. ) fentlment de ceux qui admettent
l’exiffence de Dieu. Le théifmc plus avantageux que
l’athéifmc, foit pour les princes 8c les fociétés, foit pour
les particuliers. 1". Une fociéié d’athées a un principe de
moins pour arrêter la corruption des moeurs, qu’une fociété
de théiffes. X V L 243. a. a®. Des fujets religieux feront plus
T H E 771
fournis :'i leurs princes que des fujets athées. 3'’. Rien de
plus coufolant ni de plus avantageux pour les particuliers que
ie théifme. Ibid. h.
Théiftne des anciens philofophes. XII. 960. b , &c.
TH E K A , ( Botan. exot. ) grand arbre du ^Ialabar. Sa defeription
6c fes ulages.XVl. 243. b.
THEL.A , rival du calife A l i , protégé par Aiesh.1, femme
de Mahomet. Suppl. IL 1 26. b.
THELEBOQi. , {Géogr, anc. ) voye^ Teleloïdes infuhe Peuples
infulaircs au voifinage de l’Acarnanie. 1 Lffoire de ces peu-;
pies. X V L 244. <2.
TH EM A , {Géogr. anc. ) X V L 32. rt.
TH ÈM E , ( Gramm ) étymologie de ce mot. Les grammairiens
en font ufage dans deux fens clifférens. f . Thème
d’un verbe radical primitif, d’uù il a été tiré par diverfes
formations. Manière de trouver le thème en grec. Invcffi-
gation du thème-dans la langue hébraïque. XVI, 244. b.
2°. T h èm e , pofition de quelque difeours clans l,i langue
naturelle , pour être traduit en quelque autre langue, Ré flexion
contre la méthode des théines pour étudier une langue.
Comment cotte méthode peut devenir mile. Ibid.
143. a.
Thème , voyr^ COMPOSITION. Réflexions contre la méthode
des thèmes. X. 447. 0. 4 3 1. i.
T hème, {Aflrolog.) voye:^ Suppl.lW. 835. a.
TH ÉM IS , ( Mythol. ) fille du ciel Sc de la terre , foeur
aînée de Saturne, 6c tante de Jupiter. Elle a établi tout ce
qui fort à maintenir l’ordre 8c la paix parmi les hommes. Son
regne en TheffaJie. Temples qui lui furent confacrés. Jupiter
l'ayant forcée de l’êpoufer, elle lui donna trois filles,
l’équité , la loi 6c la paix. Exercice de fa divinité lur les hommes.
XVI. 243. L
Thémis , temples de.X V I . 79. a , b,
TH ÉM IS C YR E , { Géogr. anc. ) ville de l’Afie mineure ,
dans le Pont , fur le fleuve Thermodonte. XVI. 243. b.
Campagne 6c v ille de ce nom. Promontoire de Themlfcyre.
Ibid. 246. a.
TH ÉM ISO N , médecin, fondateur de la feéle des méthodiques
: fon fyfféme. X. 268. b. 269. a. 291. a. 461. a. Sa
doélriiie fur la faignée. XIV. 501. b.
TH ÉMISTOC LE. Services qu’il rendit à fa patrie. Suppl.
I. 670. a. 674. d , b. 675. <3. Ufage qu’il fit du produit des
mines de Laurium. IX. 321. b. Le port de Pirée bâti par
fon avis. XII. 633. b. Statue appcUée hydrophore qu’il fit
conftnùre. V IU . 376. a. Honneurs qu’il reçut à Lacédémone.
X V II . 633. h. La Grece entière regardée comme le
monument de Thémiffocle. X. 697. h. Son banniffement d'A-
thenes. X L 693. b. 694. a. Sa retraite chez le roi de Perfe.
Suppl. I. 397. b. 398. <2. Pcnfion qu’Artaxerxes lui accorda.
IX. 233. b. 23Ö. a. XII. 313. a. Tombeau de Thémiffocle.
XII. 633. É 634>^.
TH EN A R , ( Anatom. ) mufclc qui fert à éloigner le
pouce du doigt indice. Mufcle femblable dans le pié. D e feription
de ces deux nuifcles. X V L 246. a.
THENSE , ( Annq. rom. ) cfpece de châffe ornée de figures
dans laquelle on portoit les ftaïues des dieux , 6-c. X V L
ï c f .a .
TH EN SY , ( Lithol. ) pierre connue des Chinois. Ses caractères
8c fon ufage. X V L 246. b.
TH E O B R OM A , ( Bot. ) caraéleres de ce genre de plante,
qui renferme le cacao 6c le guazuma , felon le P. Plumier.
X V L 246. b.
TH E O C A T A G N O ST E S , {Hifl. ecd. ) feéle d’hérétiques
ou plutôt de blafphémateurs, qui blâmoient pliifieurs chofes
rapportées dans l’écriture.XVI.24Ö. b.
'THÉOCOS.M E , fciilpieur de Mégare. X. 303. b.
T H É O C R A T IE , {H iß . anc. & Polit.) hiffoire du gouvernement
théocratique des Hébreux. X V L 246. b. Menaces
que Dieu fit à fon peuple, lorfqu’il voulut fe Ibiiffraire
à fou pouvoir pour fe foumeitre à un homme. La théocratie
finit par l’éleftion de Saul. Impoffeurs , qui , fans avoir
la miffion de Mode , ont établi fur des peuples ignorans 8c
féduits, un empire qu’ils leur perfuadoient être celui de la
Divinité. X V I. 247. a. Efforts de quelques pontifes chrétiens
pour établir leur puiffance fur les ruines de celle des
rois. Le facerdoce s’eft toujours efforcé d’établir fur la terre
une efpece de théocratie. Un auteur moderne a regardé la
théocratie comme le premier des gouvernemens que toutes
les nations aient adoptés. Précis du fyffême de cet auteur.
Ibid. b.
Théocratie. O rigine 8c abus de cette forte de gouvernement.
XI. 367. <2, b — 383. é. XVII . 862. <2, b.
TH EO C R ÎT E . Obfervations fur ce poète 6c fur fes ouvrages.
V . 428.^2. 819. é. VIII. 303.<2. XU. 1 38. é. 1 39- 'î- X V .
^^THÉODECTE de Phafelis , orateur 8c poète. XII. 496, /*.
TH É O D O L IT E , {Arpent.) infiniment dont on fe fert
pour prendre les hauteurs 6c les dillances, Sa defeription. X V L