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652 s c y
aujourd’h u i, u'iiolt du tens J’Aunuftc qu’un village. Llcl-
iVms beaii-frcrc clc Cotiftantii:, fiu tait pnfonnier dans cctce
Ville! Etat préfc.u de Scutari. X IV 844-
Scutari, ( Gca^^r. ) ville de la Turquie européenne, üi-
verfes obfervacions fur ce lieu. X IV . 844. a. V ScoDA.
Scutari , U c.ip de ( Geogr. ) fa fituation à l’entrée du
Bofphore. Origine: du nom de Bofphore, & de celui de ƒ
de L Vache, donné à ce promontoire. Evéïiemens qui l’ont
rendu remarquable. Serrail bâti dans ce lieu. X IV . 844. b.
SCYLAC(EL'M y {Géogr.) ScvlaCE dans FEncy-
clopédie ; ville du midi de l’halie dans le Brutium. Danger
de la navigation du goUe. Defcvipiion de Scylace. Agrément
de fa fituation. SuppL. IV.
S C Y L A X , périple qu’on lui attribue. XII. 374. b.
S C Y L L A , ( Myih.) defcrlptions qu’Homere & Virgile
font de ce moniire , mfils ont placé entre l.i Sicile & I’lcalie.
X IV . 84c. U. Voye^ C h aRYBDE.
Sc y l l a , ( GsVgr.u/ti:. ) r . Defeription que fait Strabon
de l’écueil appelle Scylla. X IV. 845. a. Courant obfervé dans
ce lieu , aujourd'hui nommé Sciglio. Goufre que les anciens
oppelloient ChaiybJe. Dans un lens figuré , Cliarybdc Sc
Scylla fc prennent pour im pas fâcheux , dont il eft difficile
de fe fauver. a'^. Ville desBrutiens, appellee 5r:y//.i. 3°.lfie
défertc de même nom , près de la Clterfoiinele de Thrace,
Ibid. b.
S C Y L L IA S , macédonien , tr.ajet qu'il ht fous l’eau. XII.
^^SCYLLIS S: Dipcene , fculpteurs. X IV . 820. b.
SCYR OS , ( Géogr. aric. ) iik de la mer Egée , Tune des
Cy c lad e s, Sc qui conferve encore fon ancien nom. XIV.
04s. b. Elle fur ainfi anpellée parce quelle eft toute iiériirée
de pierres de rochers. Les chevres de Scyros plus eftimées
que celles des autres illes. Elles avoient le défaut de renver-
fer fouvent d'un coup de pié le vafe rempli du lait qu’on
venoit de leur tirer. Efpeces d'hommes que les anciens com-
paroieiit à ces chevres. Premiers habitans de Scyros. E x il,
mort & fépulture de Théfée dans cette ifte. Amour d’Achille
pour Déidamie , fille de Ly comede , roi de Scyros. Obler-
vations fur Pyrrhus , qui naquit de leur maiiage. Temple de
Pallas, dans la capitale de cette ifte. Ibid. 846. a. Ruines
encore fubllftantcs de ce temple , ou de celui que Neptune
avoir dans le même lieu. Les habitans de Clialas s’établirent
anciennement à Scyros : ce fait confirmé par une médaille.
Car.Tftores d e sDolopcs, autres habitans de cette ifle , qui la
livrèrent ù Cimon , fils de Mihiade. Recherche que les Athéniens
firent dans S cy ro s , du tombeau de T lié lé e , donc ils
tranfporterent cnfiiite le cercueil à Athènes, ou ce qu iis
crurent è f e fon cercueil. Ibid. b. Révolutions de l’ifle de
Scy ro s , depuis qu’elle ont été enlevée aux Athéniens. Obfer-
vations fur le philofophe Phérécyde , né dans ce lieu, qu’il
ffiut diftinguer de Phérécyde l’athénien , poftérieur à ce piu-
lolophe. Ibid. 847- r .
Scyros , ( Géogr. mod. ) me de 1 Archipel. Sa delcnption.
Port de Sc>TOS. Habitans de cette ifle. Elle ne contient qu'un
feul village. Cadi ou gouverneur qui y eft établi. XIV. 847.^.
Evêque de Scyros. Le nom ^’Achille encore connu , & en
honneur dans ce lieu. Obfervations fur une paftorale de
Bonarelli, poëte italien, intitulée Phylis de Scyros. Ibid. b.
S C Y T A L E , de Sparte) delcription de cette lorte
de rouleau, en ufage parmi les Lacédémoniens. Quelle en
éioit rutilité. X IV. 847. i. _
ScytaUs des Lacédémoniens. I. 297. a. 111. 1334. a. IV.
666. b.
S C Y T H E S , ( Géogr. anc. ) on donna anciennement ce
nom à tous les peuples du feptenirion , principalement à
ceux du feptentrion de l’Afie. Particularités les. plus remarquables
fur les moeurs des anciens Scythes. X IV . 848. a.
Ouvrages à confulter fur ces peuples. Etendue & fituation
de leur pays du tems d'Hérodote. Ibid. b.
Scythes: différens peuples dont ils étoient compofes.XIV.
472. b. Les Scythes, appelles Monocules. X. 667. a. Nomades
Scythes. X L 202. a. Peuples Scythes, appelles Gelons,
VII . 544. a- & Getes. 653. a , é. Colonies de Scythes , nommées
Aorfi. Suppl. I. 479. b. Femmes Scythes d’une figure
hideufe. H. 267. u. Moeurs des anciens Scythes. Suppl. III.
482. b. 483. a. Ufages que les anciens Scythes tiroient des
chevaux. V . 885. b. Ufage barbare que quelques peuples
Scythes pratiquoient à l’égard des étrangers. V I . 71. a. Efca-
drons des Scythes. Suppl. IL 869. a. Elpece de combat en
ufage chez certains Scythes , par lequel on décidoit qui
fercic le maître du mari ou de la femme. X. 102. a. Sermens
des Scythes. X V . 100. b. 101. a. Cérémonie par laquelle ils
fe procuroient le moyen de fe venger d’une injure. II. 294.
a. Le vol éioit rigoureufement puni chez eux. XVII . 438. b.
Colonnes qu’ils élevoient en l’honneur de leurs dieux.
720. a.
Scythes , Thraces, & Getes. Philofophie des ( Hifl. de la
philojoph. ) les peuples dont il eft parlé dans cet article , font
les habitans les plus voifins du pole qui aient été conuiis an-
S E C
ciennement d.ans l’Afle St l’Europe. X IV , 848. b. Moeurs de
ces peuplc's. Comparaifon des moeurs des Scythes groflîers
avec celles de la Grèce polie & favante. Religion qu’ils pro-
fefToient. Obfervations fur Aharis le Scythe , & fur Pytha-
gore , fur Anacharfis. Ibid. 849. a. Toxaris , Zamolxis le
Gete , & Dicereus. Ibid. b.
S C Y T H IE , ( Géogr. anc. ) étendue de ce pays. Sa diviflon
par Ptolemée , en Sarmatic Afiaiique , en Scythie , en-deçà
de rimaüs , & en Scy thie , au-delà. Montagnes de ce pays
les plus remarquables. Defeription que Virgile fait de la
Scythie comme d'un pays affreux. X lV . 8^0. a. Obfervations
fur Abaris le Scythe. Ibid. b.
S C Y T H O P O L IS , ( Géogr. anc. ) ville de la Palefline ,
autrement nommée Nyfa 8c Bethj'an. Sa fituation. Etat pi é-
fent de cette ville , aujourd’hui appellee Bcifan. Beauté de
fon territoire. Obfervations hiftoriques fur l’aiicieune Scytho-
polis. X IV . 850. b. S E
SÉANCE , ( Jurifpr. nce de jug es, voye[ A ssise.
Séance aux prifons. XIII. 873. b.
SÉANT . Il n’ert pas féant d’accepter quelque chofe pour
un fcrvtce_rendu , à moins de plufieiirs circonftances. Quelles
font CCS circonftances. X IV . 851. a.
S E A U X , ( Géogr. ) bourg de l’iflc de France , renommé
par fon château , qui a fervi de lieu de plaifance à M, C o lbert.
Ouvi aees de fciilpture 8c de peinture renfermés dans
ce lieu. X IV . 851. b.
Seaux , école de ( Epicur. modem. ) V . 78^. b.
SÉBA CÉ ES , ( Anatom. ) glandes febacées. Différentes
parties du corps oh ces glandes fe font remarquer. Obferva-
tlons fur leurs conduits excréteurs. X IV . 851. b. Foyes^ C utanée
, Glande, 8c Follicule.
Seb.\cée, ( Phyfiolog.) nature 8c ufage de cette
humeur. XIV. 851 . Effets de cette humeur delféchée, ou
retenue dans la follicule oh elle fe dépofe , ou dans les glandes.
Celle qui fort du conduit de l’oreille. Ufage de celle que
filtrent les glandes méibomlennes. Ibid. 852. a.
SEBA ST E, {^Géogr. anc. ) cinq différentes villes de ce
nom. Obfervations fur Atticus , patriarche de Conftantino-
ple , né à Sébafte , fiege épifcopal de i’A fie mineure. X IV .
852. a.
SEBASTIEN , ( Géogr.) ville d’Efpagne. Sa defeription
8c celle de fon port. Son commerce. Autre ville de
ce nom en Amérique. X IV . 852. b.
Sebas iien , roi de Portugal, ( Hifl. de Ponug. ) fils poftlui-
me de Jean, Sc de Jeanne , fille de l’Empereur Charles-
Quint : il fuccéda à Jean I I I , fon a'ieul. Hiftoire de fa vie
8c de Ibn regne. Suppl. IV. 756. b. Ignorance oh l’on a été
fur le fort de prince, après la bataille en Afrique , entre
Mahomet, auquel il donna du fecours, 8c Abdemclec. Opinions
fuperftitieufes Sc impoftiires auxquelles cet événement
donna lieu en Portugal. Ibid. 7^8. a.
Sébaflien delPiornbo , peintre. V . 332. b.
S E B A S T IO N IQ U E , ( Art numïfm. ) joueur de flûte aélio-
nique 8c fébaftionique. infeription d’où ces mots ont été tirés.
X IV . 8^2. i.
SE B A T , ( Calend. des Hébreux ) mois des Hébreux. Fêtes
qu’ils cclébroient dans ce mois. XIV, 853, b.
SEBENICO , ( Géogr. ) ville de la Dalmatie, patrie d’A ndré
le Schiavone, peintre célébré. Caraélere de fes ouvrages.
Ifle San Nicolo di oebénico fur la côte de la Dalmatie. X lV .
B „ . a.
SEBESION , ( infeript. Aatiq. ) Explication donnée par
M. Maffei, de ces mots nama febeflo , trouvé dans le dernier
fiecle fur un marbre antique confacré au dieuMithra. XIV.
833. i.
SEBESTES , ( Hifl. des dog. exotiq. ) defeription de ces
fruits étrangers. Leurs noms grecs ôc arabes. XIV. 833. t.
Defeription de l’arbre qui porte ce fruit. Principes contenus
dans les fébeftes. Leurs propriétés Sc ufages en médecine.
Ibid. b. .
SEBURÉENS, ( Hifl. juive) nom que les Juifs donnoient à
ceux de leurs doélcurs ou rabbins qui enfeignereni quelque
tems après la compofition du lalmud. Etymologie du mot qui
figmüg un homme attaché à fesfentirnens. Pourquoi ces dofteurs
furent appellés de ce nom. C h e f 8c durée de la feéle des
Séburcens, auxquels les Gaons fuccéderent. X lV . 853. <1.
SÉBUSÉENS , {Hifl. ju iv e ) feéle particulière parmi les
anciens Samaritains , que S. Epiphane aceufe d’avoir changé
le tems preferit par la loi nour la célébration ^es grandes
fêtes annuelles chez les Juifs. Origine du nom de cette
fe âe . Son exiftence peu démontrée. X lV . 833. a.
SEC ; divers ufages de cet adjeélif. Echange fee. Vaiffeau
à fee , en terme de marine. Acception de ce mot en peinture
fie en fculpturc. X lV . 833. i.
Sec 6- aride, ( lieu ) coinincnc on y fupplée au défaut de
fources. XIII. 832. b,
SECAN FE
SEC
SE C AN T E , {Géom.) Définition. Quelques propofltlons
fur cette forte de lignes, X lV . 833. b.
Sécante, {Trigonom.) Définition. Sécante du complément
on cofécante. Méthode pour trouver la fécantc d’un
a r c , fon fimis étant donné. Méthode pour trouver le logarithme
de la fécante d’un a r c , le finiis du complément de
J’arc étant donné. Ligne de fécante. XIV. 856. a.
Sécante : ufages des lignes des fmus , tangentes , fécantes:
tracées fur le compas de proportion. III. 734. b.
SE CH E , os de , ( Comm. ) os qui fe trouve fur le dos de
ce poiffon. Ses ulàges chez les orfèvres 8c chez les chymi-
ftes. XlV. 836. a. Voyei Seiche.
SeCHE , voie, {Méiallutg.) XVII . 422. a.
S ecHES de Barbarie , ( Géogr. ) autrefois fyrtes. XV. 776. b.
SECHEES , ( Pêche ) defeription de cette forte de filet, &
de la maniéré dont les pécheurs en font ufage. X lV . 836./».
SE CH ER , en terme de batteur d’or , d'épinglier-aiguille-
tier, d'épinglicr 8c de potier. X IV . 833. i.
Secher , ( Pharmac.)àz la maniéré de fécher les plantes
& de tenir lèches certaines drogues. VII. 248. d. 248.3.
a , b. Phénomène remarquable dans la dcflication des fleurs
au foleil. VI. 838. b. Manière de féclicr divers fruits. VII.
2^7. b. Voye^ Dessication.
SÉCHERESSE , ( Phyflq. ) De fes caufes. Suppl. IV. 419.
a. Qualité des jiluies qui tombent après de longues féche-
reffes. Ibid. Changemens que la féchereffe 8c riuiniiditépro-
duifent clans ratmofphtre. I. 233. i. Fontaines qui ne coulent
que pendant la féclierefl'e. VII. 97. a. Etangs qui fe rem-
pliiîent dans le même tems. 100, b. D e l’arrofemcm des
plantes dans la fécliereffe. Suppl.l. 377. a.
SECKER, {Thomas) phyflologiftc. IV . 336.^1.
SE C K IN G EN , ( Géogr. ville de Souabe dans une ifle
forniéc par le Rhin. Obfervations fur les ouvrages de Jacques
K -lier ou Ccllarius , jéfiiite, né dans ce lieu. X lV . 837. a.
S E CO N D terme, ( A/geb. ) art de chalTer le fécond terme
d’une équation. XIV. 837. b.
Se c o jo , ( A n milit. ) compagnie , capitaine , lieutenatit
en fec-'iid. X IV . 837.
SLCOhD, {/eu de paume) partie du bâtiment du jeu de
paume-, joueur qui ne prime point. X lV . 837. b.
Second , ( .Jean) poète latin né à la Haie. VIII. 24. b.
SE CO N D A IR E , {Aflron. ) cercles fecondaires de l’écliptique.
Par ces cercles on rapporte à l’écliptique tous les
points du ciel. Deux étoiles qui fe trouvent dans le même
cercle fecondaire ,font en conjonélion ou en oppofition. X IV.
S37. b. On peut appciler en général cercles jecondaires tous
ceux qui coupent à angles droits un des fix grands cercles.
Planètes principales & fecondaires. Le mouvement des planètes
principales eft trè.s-finiple, étant compofe feulement d’un
mouvement de projcélion en ligne droite , Sc d'une tendance
vers le foleil. Mais celui des planètes fecondaires fe
compofe extrêmement, & s’affeéle d’un grand nombre d’irrégularités.
Points collatéraux fecondaires./éid". 858. a.{Voyei
Collatéral. ) Cadrans fecondaires.
S E C O N D A T , {Charles voyez Montesquieu.
SECOî'JD E, ou tiene-bajfe, ejlocade de {Ejtrime) maniéré
d’exécuter cette eftocade, Manière de parer en féconde
ou tierce-baffe. X lV . 838. a.
Seconde , ( Géom. Aflronom. ) Une fécondé de tems
dans le mouvement diurne de la terre équivaut à quinze
fécondés de degré. Longueur d’im pendule à fécondés.
L ’efpace que parcourt un corps pefant dans une fécondé,
eft à la longueur du pendule à fécondés , comme deux fois
le quatre de la circonférence d’un cercle eft au quatre du
dianieire de même cercle. Ibid. b.
5cco/it/e •• grandeur d’une fécondé de minute d’un méridien
terreftre. IV . 762. b.
Secondes, montre à ( Horlog. ) X. 691. b. 692. a , b.
Seconde , {Mufiq. ) quatre (ortes de fécondés ; la fécondé
diminuée , la lèconde mineure, la fécondé majeure , 8c la
fécondé fuperflue. Il y a dans Pliarmonie deux accords qui
portent le nom de fécondé : l’un s’appelle accord de fécondé ,
l’autre accord de fécondé fuperflue. X lV . 838. b.
Seconde , ( Muflq. ) addition confidérable à cet article de
l’Encyclopédie. Réglés fur l’iifage des différentes fortes d’accords
de féconde. Suppl. IV. 738. i j , h.
Seconde, accord de. Voyct^ DISSONANCE. IV . 1049. a , b.
Secondes noces, {Jurifpr. ) les fécondés noces ont toujours
été regardées peu favorablement, foit par rapport à la
religion, foit par rapport à l’intérêt des familles. Tertullien
s’eft efforcé d'étabiir comme un dogme , qu’elles étoient réprouvées.
Doftrine des Ruffes fur les fécondés 8c troifiemes
noces. Efpcce de peine que l’églife romaine y a attachée.
Loix romaines qui ont établi des peines 8c des conditions
pour ceux qui fe remarient. X lV . 839. a. Difpofitions de 1 édit de François I I , appellé communément Edit des fécondés
noces. Ordonnance de Blois , citée fur ce fujet. Coutumes
qui renferment des difpofitions fur les fécondés noces. Difpo-
lition de l’article 279 de la coutume de Paris. Ibid. b. Des
Tome IL
S £. C 653
peines des fécondes noces, dans l’ancien droit, 8c dans celui
qui eft établi en France. Peines des fécondes noces contractées
par une veuve avant l’année du deuil. Ibid. 860. a. Et
après ce terme écoulé. Ouvrages à confulter. Ibid. b.
Secondes , ( Gravure en. cuivre ) tailles qui croifent les
premieres tailles. XIV. 860. b.
SECOND INES, {Médecin.) membranes dans LTqueiles
le foetus eft enveloppe dan.s la matrice. Il eft dangereux d’en
laiffer dans la matrice la moimlrc partie. Secondine , quatrième
6c dernicre tunique des graines des plantes. XIV. 861. <1.
SECONDUS , d’Athenes, philolophe pythagoricien. X III.
626. a.
S ECOU RIR, Affifler, Aider, {S y non.) I. 7 7 t .
SECOURS , ( Hifl. ccd. mod. ) nom que les fanatiques
modernes de France , appellés convulfionnaires , donnent à
divers tourmens que l’on fait endurer à ceux qui font fiijets
aux convulfions, 8c qui dans le* inftans où ils prétendent en
être faifis, affurent que ces tourmens leur procurent un vrai
foulagcment. Couviilfionnaires mis en croix. X lV . 861. a.
Jugement qu’ont porté fur tout cela les gens éclairés. Ces
abus arrêtés par les foins du gouvernement. Ibid. b.
Secours , ( Art miHt.) parti que doit prendre une année
affiégeante , lorfqu’une armée vient fecourir la place affligée.
Examen des différentes circonftances, felon lefquelles elle
doit différemment fe déterminer. XIV. 861. b.
Secours. De la guerre de fecours. VII. 991. b , Sic. Des
moyens de donner des fecours à une place affligée. XII.
673. .J. Cotifidérations à faire lorfqu’il s’agit de fecourir un
allié. Suppl. II. 133. i>.
SECOUSSE , ( Denis-François ) fon recueil d'ordounanecs.
XI. 393. <1. 394, h.
SECRET , {Morale) divinité du fecret chez les Romains,
voyeir Ta c it A. Motifs qui nous engagent à garder le fecret
d'autrui. Nous devons fur-tout prendre garde à nous dans
certains momeus de foibleffe , dans la chaleur de la haine , ou
dans l’emportement du plaillr. X lV . 86a. b.
Secret. Un fecret utile dans les arts doit être publié. I. 717.
b. Difficulté de pénétrer dans les fecrets desarriftes, V. 647.
b. Du fecret de la diffimulation clans la fociété. IV. 1048. b.
Secret, ( Medec. ) réflexions fur la confiance aveugle
que quelques gens accordent à de prétendus fecrets de divers
charlatans. XIV. 862. b.
Secret , panfer du. { MéJec.) X V . 606. b.
Secret, adj. Cabinets fccrcts. U. 492. b. Confcll fecret du
roi. IV. 22. a. Faits fecrets. V I . 386. a. Scel fecret. XIV.
731. a. Ecriture fecrete , voyer ECRITURE.
SECRÉTAIRE. Différentes fortes de fecrètaires, dont
les fonélions font expliquées dans les articles fuivans, XIV.
863. .7.
Secrétaire. Des fecrètaires des empereurs romains. X IV .
813. rt. Secrétaire qui écrivoit les lettres de l’empereur. IX.
834. b. Secrétaire à qui le prince donnoit la ceinture dorée en
le créant. 833. a. Clercs fecrètaires. III. çz ç. a. Voye^CllRC
Si Greffier.
Secrétaire d’académie : connoiffances 8c talens qu’il doit
pofféder. V . 328. a.
Secrétaire d'ambaffade. Différence entre un fecrétaire d’am-
baffaeîo, 8c un fecrétaire d'ambaffuleur. XIV. 863. a.
Secrétaire de confeiLler, Secrétaire du confeil. X lV . 863. a.
Secrétaires de la cour de Rome. Secrétaire du facré college.
Secrétaire du pape. Autres fecrètaires. XIV. 863. h.
Secrétaire d'étal : l’office de fecrétaire d’état a quclqdc rapport
avec celui des officiers que les Romains appelloient
magiflri facrorum feriniorum. X lV . 863. b. Mais U parait que
l’on peut plutôt comparer les fecrètaires d’état aux officiers
appellés tribuni noi.irù, feu notariorum. Hiftoire de l’office
des fecrètaires d’état en France , depuis le commencement
de la troifieme race. Ibid. 864. a , b. Maifons diftingtices de
France qui ont fourni des fecrètaires d’état. Privileges attachés
à cette charge. Ibid. 866. a. Fonélions de chacun de ces
officiers felon fon département. Ibid. b. Ouvrages à confulter.
Ibid. 867. a.
Secrétaires d’état : leur premiere origine. III. 326. b. Leurs
dàpartemens. IV. 836. a. Intendance du commerce extérieur,
appartenant au fecrétaire d’état qui a le départeracnf
de la marine. VIII. 811.
Secrétaire du roi. Hiftoire de cet office dans le royaume de
France. X IV . 867. a , b. Diftribution des fecrètaires du roi en
fix différens colleges. Ibid. 868. h. Leurs habits , réception ,
fondions, Ibid. 869. a. Si bourfes. Ibid. b. Honneurs 8c privileges
attachés à leur charge. Ibid. 870. a , b.
Secrétaires du roi dans le grand confeil du roi. IV . 10.
Colleges des fecrètaires du roi. III. 63a. b. Secrétaires du roi
près la cour des aides. IV. 363. a. Secrétaires de la chambre
du roi. IX. 906. b. 907. a. Notaires-fecrétaires du roi. XI.
246. b. Notaires-fecrétaires du roi prés la cour du parlement
de Paris. XII. i8. a , h. Secrétaires du r o i, autrefois nommés
clercs du fecret. III. 326. b. Droit de collation que poflédent
les fecrètaires du roi. 624. a.
C C C C c c c c