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apjjovtsr dans la recherche des vérités philofophlques. V l ï .
485. .J. Regies générales qn'oii doit oblcrver dans cette re-
tlierchc. X'iII. 394. ^ Qnel ciirexereice le plus propre
à nous la taire découvrir. X V . 723. Du plaifir qu’on
éprouve dans la redierciic & la connoilTance d e là vérité:
cxenii)le de M.ilebranclie. IV. 885- é. 886. u. EiFets de la
paiHon dans la rccliordie de la vérité. Suppl. III. 603. u. Com-
]ncm les pallions nous en écartent. XII. 146. b. S' ^ 1 article
E rrhuk. Perfécuiions au.xquellcs l’anii de lu vérité doit sat-
lendre. XVH. 182. b. Toute vérité n’ell pas :t la portée
d'un enfant. V. 400. a. Pliilofophes qui ont cru que la vérité
n’étoit pas faite pour le peuple.Xlî. 963. u. Examen cie
leur femimenr. X V . 28. a. Conduite que doit tenir le fage
pour établir la vérité dans le monde. VIU. 768. U , é. La tolérance
favorable :i fes progrès. X%’ 1 . 392. i.
J'éiiré méiup/iyjicjus ou irj/ifce/iaantc. On appelle alnfilor-
dre qui rogne dans la variété des diverfes choies,tant limiil-
tanées que l'ucceflîves, qui conviennent à l’être. Tout être
ell v r a i; cette vérité ell imrinfcque à l’être, & ne depend
point de nos connoilTances. X V ll. 70. b. Les deux grands
principes, l'un de contradiflion , l’autre de raiion lutHlaïue ,
l'ont la fource de cette vérité univerlelle , fans laquelle il
n'y auroic point de vérité logique clans les propofitions uni-
verfelles , 6t les fiiigulicrcs 'elles-mêmes ne feroienc vraies
que dans un inllani. Car fi un être n’efl pas tellement ce
qu'il crt, qu’il ne puiiVe être autre chofe , comment puis-)e
former les notions de.s genres & des efpcccs , 8c compter iur
elles? Ibid. 71.0. Férité mctaphyjique. X V II . 182. b. Différence entre la
vérité 8c la réalité. Suppl. II. 931. u. Rétléxions fur h v é rité.
930. a , b. 8cc. Doi^rlne des anciens académiciens fur
la vérité dans les chofes. I. 30. b. Principe fur lequel Dci-
cartes établit cette vérité. II. 718. u. Immutabilité de la vérité.
XVII . 182. b.
VÉRITÉ curuelle, {Logiq. Meuphyf. Morale') c’eff une
propoiiiion générale 8c certaine , qui depend do la convenance
ou diffonveoance qui fc rencontre dans des idées abllrai-
les. Pourquoi les propofitions qui en découlent, font nommées
éicrnelles. X VII. 7 1 . J.
VÉRITÉ foridamvttaU , { Logiq, Métapltyf.) celle qui dans
un an fert de bafe à phifteurs antres : XVII . 71 . a. Telle
cit cene découverte que tous les corps pefent les uns fur
les autres. T e l cft en morale le précepte d’aimer le prochain.
Les vérités fondamentales font les plus dignes de notre étude.
Jbid. b.
VÉRITÉ métaphyfique , ( Mèiophyf. ) exiftence réelle des
chofes conforme au.x idées au.xquelles nous avons attaché
des mots pour défigner ces chofes. La polfeflîon do la vérité
ell le plus grand bien auquel on pulffe afpirer ici-bas. XVII,
y i. b.
VÉRITÉ morale , ( Morale ) conformité de la perfuafion de
notre efprit avec la propofitionque nousavançons.XVII.71, b.
Viriié morale. XVII . 184. u , b. Suppl. II. 931. a. Elle ell
fiifccptlble d'une dcmonllration aulTi rigoureufe que la vérité
niaihémaiiqiic. III. 895. a.
VÉRITÉ, Arts & Sciences') examen critique des vérités
qu’enfelgnent les fcienccs. IV . 490. Vérité mathématique.
X V II . 183. .J , b. Suppl. IL 93 t. a. Vérité pliyfiqne. Jb:d.
D e la véi'icé dans les beaux-arts. X V II . 184. b. Les beaux-
arts doivent tendre à nous faire aimer la vérité. Suppl. \. 388.
a. 590, a. Vérité relative qu’on exige dans les poèmes épiques
6c dramatiques. Suppl. III. 906. b.
VÉRITÉ relative J (Belles-letir.Poéf.) elle confillc dans ce
qui ell .conforme à l’efprit 8c au caraftere de celui qui
parle. Suppl. IV. 983. a. Dans l’imitaciou poétique , la v érité
relative ell fouvent contraire , Sc toujours préférable a
la vérité abfolue. Divers exemples qui le prouvent. Cette
vérité relative dépend en grande partie des différences nationales
: aufll pour juger les moeurs du théâtre, il faut
avoir étudié ces différences. Ibid. b. C ’ell par la connoiffante
des moeurs locales qu’oii peut juger de la vérité du caractère
qu’Homere donne à Achille , lorfqu’aprés la mort
d’Heélor , il lui fait tenir dans fon entrevue avec Priam ,
un difeours , ici rapporté, qui dans nos moeurs paroitroic
bien étran ge , 8c qui dans les moeurs antiques cA fi macurel
6c fl beau. Quels font les cas où le poète nous doit la vérité abfolue.
Ibid. 984. a , b. ^
VÉRITÉS religieufes, ( Théolog.) celles qui font l’objet de
la foi. VIE 8. b. & c. Vérité théologique. Suppl. II. 93 1. a.
VÉRITÉ , { Cr'itiq.facr. ) divers fens de ce mot dans l’écriture
fainte. X V IL 7 1 . é. Réflexions de Tertullien fur la vérité ,
6c fur la doflrine de vérité que le fils de Dieu nous a fait con-
noixxs.lbid.jî.a.
VÉRITÉ, (^Autiq.égypt.) nom de la pierre précieufe que
portoit au col le chef-juge des égyptiens. Tribunal ohl’onren-
doit la juflice parmi eux. Comment il étoit repréfemé fur le
tombeau d’Orymandias. X V II . 72. a.
VÉRITÉ, [Myt/iol. ) fille du tenis, mere de la juAlce, C omment
on la repréfemoit. XVII. 72. a.
VER VÉRITÉ, {Peinture ) e.xpreiîion propre du carafterc de
chaque chofe. X V II . 72. a.
/'■ 'è/’Jrè.Lcs Romains lui donnoient pour compagnie l’Honneur
& le dieuFidius. V I. 688. a.
Vérité. Son immutabilité. Perfécutions auxquelles l’ami Sc
le défenfeur de la vérité doit s’attendre.' Différens afpefts
fous lefqiieis 1a vérité s’oftre à nos recherches dans les divers
oniics de nos connoilfances.
De il vérité méi,:phyfi(jue. Simplicité 8c fécondité du principe
de Léibniiz, licn ne peut cxijicr jans raij'on fuffij'ante.
XVII . 182. b. Divifion des êtres en certaines claifes, fondées
fur les roffemblaiices Sc les différences de ces êtres
emr’eux. Ces divifions font l’ouvrage de notre ef’prir. Nos
abllraélions n’exKlent point dans la nature. Abus que les
•phiiofophes ont fait de leurs abArnélions. Principe nictaphy-
llque propre à convaincre tous les efpriis , 8c à expliquer
tous les problèmes phyfiques 8c métaphyfiques.
De la vérité rnathém.itiqiic. Les gcomctres parlent tous une
même langue ; mais les liornmes eu traitant de la morale,
ne prononcent que les mêmes fous. D e là vient qnc ies premiers
font toujours d’accord, au lieu que ceux-ci difputenc
toujom-s fans s’entendre. Ibid. 183. u. D e l’application des
principes mathématiques, U réfulic quelquefois dans la pliy-
fique des approximations fi volfincs de la précifion, que la
différenee cü nulle pour l’expérience 8c l’utilité. Réflexions
fur la quantité de cette différence , affez confulérahle quelquefois.
Il faut f’oigneufemenc diflinguer en mathématique,
1.1 fiinplicicé évidente de la vérité, de la dilRculté de la méthode.
De U vérité phyjiquc. La vérité phyfique fe réduit à la
réalité de nos fenfaiions , à l’aéVion à à la réaélion des fub-
Aancesfimples. Si non contens d’éprouver les effets, nous
cherchons à approfondir les caufes, 8c à développer la nature
des fubftanccs, tout devient conjeéluie 8c fyflémo.
Ibid. b. Mais nos fenfations font-elles produites par les objets
extérieurs, ou ceux-ci ne font-ils que des phénomènes
inrcllcéluels? Barclay a bravé l’opinion générale. Raifonne-
mens fur lefquels il a appuyé la fienne. Croyons donc avec
lu i, que nos fenfations n’o n t , ni ne peuvent avoir nulle
forte d’analogie repréfentative , avec les objets extérieurs ;
mais ne doutons pas que les {Jubilances Amples, douées de
force , n’agiffenc 8c ne réagilTenc continuellement les unes
fur les autres, 8c que cette aflion toute différente de nos
fenfations, en cft cependant la caufe. De la vérité morale. C ’eft dans -la volonté de l’homme ,
8c dans fa conflitiition , qu’il faut chercher le principe de fes
devoirs. Les préceptes moraux portent leur fanélion avec
e u x , font le bonheur de qui les o b fe rv e , & le malheur
de qui les viole. Ibid. 184. a. Principe de la fenfibilité, de
la juflice, de l'amour paternel ; récompenfe de ces vertus
dans leurs effets propres. Pratiquer toutes les vertus , ou
choifir avec {bin les moyens d’etre heureux, c’efl la même
chofe. Par ces principes tout s’éclaircit, & la vérité moral*
devient fufceptiblc d’un calcul exaél 8c précis.
De la vérité dans les beaux-arts. Deux fortes de vérités;
l’une d’effet 8c de détail, qui donne l’exiflence 8c la vie à
chaque partie; l’autre d’entente générale 8c d’enfcmble , qui
donne à chaque perfonnage l’aéVion Sc l’expreflion relatives
au fujet choifi. En poéfie , la magie de l’aélion pittorei'que,
eft la vérité de détail ; la vérité de relation 8c d’enfembie
confifle dans la correfpondance des paroles, des feniimens
8c de l’aélion , avec le fujet. Ibid. b. Par-tout dans le rôle
fublinie, le feniimcnt fe développe; jamais il ne s’annonce :
cc principe fondamental s’étend jufqn’aux plus légers détails.
Ibid. 183. a.
“VERJUS ou Bourdelas , {Agric.) gros raifin, qui ne mûrit
jamais parfaitement. XVII , 72. a. Ufages dece raifln. Ibid. b.
Verjus. Nouvelle variété provenue de cette vigne. Suppl.
IV. 969.it.
V erjus , ( Chymie) obfervaftons fur l’acidequ’ll renferme.
X IV . 904. Verjus , ( Liqueur) ufages de cette liqueur. X V I I . 72. h.
V e r ju s , {Mat.médic.des anc. )commQ\n les anciens pré-
paroient leur verjus. Ufages qu’ils en tiroient. XVII. 72. b.
V E RM A N D O IS , le, ( Géogr. ) pays de France, en Picardie.
Origine de fon nom. Anciens comtes dc .Vermandois;
C e pays réuni à la couronne fous Philippe-Augufle. Précis de
la vie de Pierre de la Ramée , connu fous le nom de Ramus,
né dans un village du Vermandois en i î 1 5. Scs ouvrages. A nciens
peuples du Vermandois. X V II . 72- b.Voy. VEiiOMAt^ioui.
Vermandois , pairs XI. 766. b.
VE RM EIL , ( Dorcurendétrempe) compofition&ufagc dece
vermeil. XVII . 73. a.
V eR-MEIL doréJ Orfev. ) XVII . 7R. a.
VERMEILLE , mer, { Géogr. ) X. 369.^.
V E RM IC E L L I , ( Mets tTitalic ) préparation de cette pâte.
Difterentes formes qu’on lui donne. XV II . 73. j . Voyer^ V er-
MICELIER.
VERMICELLIER , {Artméch.) pâtes Amples $c compofées
i l '
VER fées du vcrmicelller. Suppl. IV. 236. a , b. Comment il
broie la pâte. Suppl- II. 32. b. Comment il fait les lazagnes.
Suppl. III. 719. Pûtes du vcrniicellier appellees noiidle 8 c
vermicelli, vo ye z ces mots.
V E RM ICU LA IR E , ( Anat.) niouvementvermiculaireou
périflaltique des intellins. Eminences vermiculaires du cervelet.
Mufcles vermiculaires. XVII . 73. b.
VERMICULAIRE OU Vermifonne, appendice, { Anatom.) \\\.
389. a. Suppl. III. 636. a.
VERMICULAIRE brûlante ^ {D otan.) efpece de joubarbe.
X V I I . 73. b. V E RM ICU L IT E S , {Hiß. nat.) vol. V I des planch. C o quilles
fbllUcs, planche 3.
VERMIFU GE, {Alciüc. & Mar. médic.) énumération des
principaux remèdes vermifuges, tirés delaclaffe des acides,
des amers, des fubflaiiccs Imileiifes , falines, des gommes*
du regne végétal 8c du minéral. XVII . 73. f. Leurs effets, Ibid.
7 4 .J. Topiques à employer contre les vers des eiiinns. Ibid.
74. a, b. Voyei V eR 8c A^THELM1NTIQUES.
V E RM IL LO N , \ C’/jy;//.) manière de le préparer, Sc d’em-
pèclier qu’il noiteiffe. X V ll. 74, b.
Vcimillon, voyei A lkermèS , K er.MES & MiNlUM. Efpece
de vci millon dont les femmes grecques Sc romaines fc
coloroicnt le vifage. X IV . 40 1. b.
VERMISSEA'U de mer, ( Conchy!. ) caraéleres de ce genre
de coquille de la claffc des univalves. Différentes dalles de
vermiffeaux de me r, 8c leurs efpeccs. Vermiffeaiix de mer
difpofés en ligne droite Si ondée. X V ll. 74. b. Vermiffeaux
contournés 8: courbés. Vermiffeaux difpolés en plufieurs
ronds ou cercles. Ces coquillages s’attachent aux rochers ,
6c à la caréné des vailTeaux , & y font fl intimément joints
enfemble , qu’ils ne paroiffent qu’une malfe confufe ; ce qui
a fait que quelques auteurs les ont mis parmi les imiltival-
ves. Deux fortes de vermiffeaux habitans de ces coquilles;
leur dclcripdon. Ibid, y x,. a. Comment ces coquillages le collent
à la lutface des corps où ils font appliqués. Ibid. b. Voye^
IV . 189. U.
VERMOULURE les membres ,{C hir.) lefeulrcmede
à ce mal d l l'amputation. 11.683..?.
VERNIS de la Chine , ( A n s étrang. ) gomme qu’on tire
par incifion ÖC qu’on applique avec art liir le bois pour le
conlcrvcr , 6c lui donner un éclat durable, Province où l'arbre
du vernis fe trouve. Age de l'arbre propre à fournir
ce vernis. Defcriptlon de l’arbre. Sa culture. X V l i . j6 . a.
Saifon du vernis. Sa récolte. Précaution néceffaire à cette
récolte. Vaf'es dans lel'queis on reçoit le vunis. Ibid. b. Atte-
licr du vernis. Efpece de lepre qui attaque les ouvriers qui
négligent dans la récolte du vernis les précautions néceflai-
ic s. Reinede à cette maladie. Propriétés du vernis. Maniérés
de l’appliquer. Jbid. 77. a. Moyens de rétablir le vernis.
Ibid. b.
Vernis de /.i Chine. Arbre qui fournit aux Chinois la liqueur
dentils font les vernis fl eflimés en Europe. XVI.
406. b. 730. a. Détail fur cet arbre Sc fur ce vernis.
Suppl. I. 848. b. Scc. Vernis des Chinois pour la porcelaine.
,V li. 219. b. X lll. 108. 113.^. XVI. 729. b.
V ernis du Japon , ( A n exociq.) provinces où croît l’ar-
bre qui le fournit. Sa defeription. Récolte 8c préparation du
vernis. X V ll. 77. b. Maniera de le rougir. Précaution à
prendre en recueillant les vernis. Ibid. 78. a.
V ern is , {Peint. u/je.) vernis encauflique des anciens,
décru par “Viiruve. V . 607. b. Vernis d eM . deCayluspour
une nouvelle maniéré de peindre en cire. 610. f. 6 1 1. b.
V ernis d'ambre jaune , (Chymie) dilToluiion d’ambre à
petit feu , enfuite pulvérifé 8c incorporé avec de l’huile
ieche. Procédé pour la préparation de ce vernis. Efpece de
réfine dans laquelle on trempe les corps des inicéles que
l’on veut conferver. X V ll. 78. a. Obfeivacions l'ur la nature
de l'ambre 8c l'ur les moyens do le diffotidrc. Ibid. b.
V ernis, ( Imprim. ) celui donc on fait l'encrc d’imprimerie.
XVII . 78. b.
V ernis < i {Peinture ) maniéré de le préparer.
X V ll. 78. b.
V ernis pour les pUtres , ( Arts ) maniera de le préparer.
XVII . 78. b.
V ernis ) fa préparation 8c fonufage.Les
anciens ont connu le vernis de plomb. X V ll. 79. a.
V ernis , (A rts) vernis pour la gravure à l’eau-forte. VII.
878. a , b. 8tc. Maniéré de vernir les tabatières. X V . 794.
a. Vernis pour préferver les bois des vaiffe<aux 8c les pilotis
de la vermoulure. Suppl. I. 383. b. Vernis de colle de poiffon.
Suppl. III. 314. U.
■ Vernis , {Poterie de terre) voye^ Plom b - en POUDRE 8c
Poterie.
VERNON-y«r-5«/77e, ( Géogr. ) ville de France en Normandie.
Princes qui l’ont poffèdée. Defeription do cette ville.
X V ll. 79. U. VE RO LAM IU M , ( Géogr. une. ) ville de la Grande-Bretagne,
aujourd’hui “Werlam ; elle étoit près de S. Albans ,
Tome II,
VER 843
qui s’efl accrue de fes mines. Ses révolutions. Monumens d’antiquité
qu’on a trouvés dans fes mafures. Evéncmciis remarquables
arrivés à "Werlam.XVll, 79. b.
V É R O L E , petite, ( Médec. ) il ne s’agit ici que de l’iiiflo-
que de cette maladie. On a tout lieu de préflimer qu’elle
été inconnue aux Grecs Sc aux Romains. X VU . 79. b. Les
Arabes l’apportèrent en Egypte lorfqu’ils en firent la conquête.
Progrès qu’elle fit dês-lors. Premier auteur qui en a
traité. Quels font les fiijets qui , felon Rhazes , y font le
plus e.vpofés. Symptômes, pronoftics & traitement de cette
maladie félon cet auteur arabe. Ibid. 80. a. La defeription
de Rhazès eft fi fidellc , que depuis le tems où il a é c r it , on
n'a prefqiie rien découvert de nouveau à ajouter à la bonne
pratique des Arabes. Découvertes que Sydenham , Helvétius
8c Boerhave ont faites fur cette maladie. Ibid. b.
VÉROLE, petite, ( Médec. ) caiifc de la rougeole 6c de la
petite vérole. Deux efpeccs de petite vérole , la diflinéle Sc
la confluente. Leurs fymptômes. Saifons où régné l’épidémie
de la petite vérole. XVII . 81. a. Quatre périodes diflinguées
dans le cours de cette maladie. Quatre degrés de malignité.
Détails fur les caufes 8c les fymptômes de petite vérole.
Ibid. b. Pronoilic. Traitement. Ibid. 82. a. Inoculation. Petite
vérole volante. Ceux qui nient que l’on piiiffe avoir la petite
vérole deux fo is , difent que la vérole votante n’arrive
que par un défaut d’éruption ûiflîlaïue de la petite vérole
qui a précédé. Caufe de la vérole volante. Ibid. b. Son traitement.
Suites fâcheufes que laiffent quelquefois les petites
véroles. Moyens de les prévenir. Ibid. 83. a.
Vérole, petite. Caufe de fes ravages on Amérique. Suppl.
I. 330. a. Danger auquel elle expofe. VIII. 739. a , b. Proportion
entre le nombre des perfonnes fujetees à la petite
v éro le , 8c celui des hommes qui iiaiffent. 760. a , b. D iverfes
obfervaüons fur cette maladie. 762. a , b. &c. Epidémies
de petite vérole fréquentes 8c meurtrières. Suppl.
III. 603. b. Terme de fon cours où elle ell le plus con-
tagieufe. 73 3. a. Pronoflic tiré du piffement de fang. XIV.
6 1 3 . Les médecins alfurenc qu’on n’a pas deux fois la
petite vérole. XV . 204. b. Réflexions fur fes prétendues récidives.
Suppl. III. 60.;. b. De l’iifage des topiques dans cette
maladie. X'V I. 419. b.
VÉROLE, grojjc, maladie vénérienne , (Médec.) pian qu'il
faudroit fiiivre pour former un traité de cette maladie. Symptômes
de la maladie vénérienne inflammatoire. De la maladie-
vénéiienne chronique. Ses caufes. La guér'ffon de la vérole eft
très-rarement parfaite. X V ll. 83. a. Après la guérifon, le corps
refte toujours plus foible 8c plus fufceptible de recevoir le virus
vénérien. Différens effets que produit fur un homme fa cohabitation
avec une femme infeflée , felon qu'il fe trouve
d’une conftiturion robufle ou foihle. Signes par lefquels la v é role
s’annonce. Maladies caiiféesparune vérole invétérée. Ibid.
Symptômes de la vérole dans les femmes. Paffage tiré de
Levinus-Lemnius où fe trouvent décrits les terribles effets des
maux vénériens. Ibid. 84. a. Maladies dont les enfansnés de parens
iiifeélés fe trouvent ordinairement sttaqués. Defeription
du remede le plus connu jufqu’à préfent 8c le plus utile pour
guérir ta vérole. Ibid. b.
Vérole, voyrç VÉNÉRIENNE , maladie, Sc ViRUS VÉROLI-
QUE. La vérole nommée i'yphilis par <(uelques auteurs.XV.
763. a. Rapports de la lepre avec cett-e maladie. IX. 393.
b. 8cc. Epigrainme de Martial d’où quelques-uns ont conclu
que la maladie vénérienne exilloit dans Rome. VI. 676. a.
Epoque de fon entrée en Europe. Remedes dont l’art s’efl
enrichi à cette occafion. X. 272. b. Douleurs noélurnss des
maux vénériens. XI. 183. b. Maladie nommée gonorrhée
qui les accompagne ordinairement. VII. 740. a , b. En quel tems
doit être traitée la femme enceinte qui a la vérole. VI. 432.
a. Des différens remedes employés dans cette maladie. Ufâge
de l’arcane corallin. I. 604. a. Du gayac. VIL 331. a. D e
la raiponce d’Amérique. XIII. 766. b. D e la renoncule de
Virginie. X IV . 1 1 3. j . De la fquine 8c du gayac. XV . 483.
a. Des dragées de Keiler. X. 373. a. Du mercure Sc des
friélions mercurielle.?. V l i l . 360. a , b. X. 374. b. Scc. X V .
48. a. D e la falivation dans le traitement delà vérole. VIII.
360. a , b. XIV. 571. b. 8cc. Pourquoi les fuciorifiques font
moins efficaces que le mercure. XIV. 372. a. Spécifique contre
les maladies vénériennes. XV. 443. b. Nouveau remede
contre le virus vénérien. IV . 989. a , h.
V E RO LI, ( Géogr. ) ville d’Italie dans la Campagne de
Rome. Obfervations l'ur deux hommes de lettres de cette
ville. Aonius-Palearins, l’im des plus vertu eu x , des plus
malheureux hommes de lettres, &. en même tems l'un des
bons écrivains du Ibizieme fiecle. Ses ouvrages. X'VII. 8^.
b. Jean Sulpitius , flirnommé , rétablit la mufique
8c donn.t le premier des opéras furies théâtres. Ibid. 83. a.
V E R O M E TU M , {Géogr. anc.) ville d e là Grande-Bretagne,
autrement dite Signification de ce fécond
nom. Débris encore exiflans de cette ville. X V ll. 83. a.
V E R O N A , (Géogr. anc.) ville d’Italie fur 1’Adige. Scs
fondateurs. X'V II. 83. a. Cette ville honorée du titre de co-
E E E E E e e e c e