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Aio. />. S'U cA vrai qvi'elle n'ràt 6tj atti-.buèe qu’ aux Atiguftcs
& non aux Cofars. X . 137- I’ - Bi'anclie de laurier , figure lym-
boliciie. X V . 728. A. 731. .1, Porcc-laiiriers, tête. X lll. i 4\-
142. l)i\inution pr.r le laiuicr. I \ . 631. Hymne quo«
chantoit eii portant des lamieri au temple d’Apollon, iiuppl-
L a u r ie r , ( BLifon.) c a te plante eA le f>unboIc de k
viilo ire & de l'immortalité. Pourquoi les divmucs qui pre i-
dent aux ans libéiaiix font couronnées de laurier. Suppl, lu .
7 1 \ -l"
L A Ü R iE R E , {Eußc-Jucoh de) fon recueil d’ordonnances.
XI. S13. a. <^9-|. b. ^ .
L AU R lU A l, ( üAçr. J/7C.) montagne de G rece ou ctoient
les mine.s d'argent de l'Attique. Leur fécondité. ThénuAocle
les unit au domaine de la république. Premier ufage qu il ht
de leur produit. IX. 321. ■
L A U SAN N E , (Géoc-r.) ville de SuliTe, C e lieu ddigne
dans l’itinéraire d'Antonin. D e l’origine de Laufanne. Revolutions
d e cette ville. Cliangcmcns t[ue les Bernois y apportèrent
lorl'qii’ils l'enrcnt conquile Air le duc de Savoie. Eia-
bliircment de l’académie de Lauùnne. Sort de l’évéque, oblige
de quitter cette ville. Fondation de ce fiege cpilcopal par
l’évêque Marius. Dédicace de l’églife cathédrale en 127^.
IX 3 ' t h Concile de B â le , continué à Laufanne en 1449.
C c A à Laufanne que Félix V céda la ihiare à Nicolas. Beauté
& faiilité du territoire de Laufanne. Sa fituanon. Les Icien-
ces cultivées dans cette ville. Obfcrvations fur M. Jean-
Pierre Crouzas, né à Laulaniie, & fur les ouvrages. Ikd.
^^LAÛTERBRUNNEN , ( Gwgr. ) vallée du canton de
Berne. .Wp/. III. 630. é.
LA U T l.A , ( LiiUr.it. ) dépenfe de l’entretien que les Romains
faifoieiu aux ambadacleurs des nations étrangères à
Rome. IX. 322. J. .
L A X U R E , {Monn. & Orfev.) opération pour retirer 1 or
Se l’argent des cendres , terres ou creulets , & des inAriimens
qui ont fervt à l’iifage de ces métaux , par le moyen de l’a-
malgamstion avec le mercure. Details des difierens procédé’S
néccllaitcs dans cctie opération. IX. 322. b. & juiv. D e ltn-
ption du nouveau moulin chymique ou moulin à lavure.
Ibid. '^24. b. 6* fuiv.
Liivurc, dans les fonderies de canon. 11. 6 12. , b. Lavure
à la monnoie. V o l. VIII. des planches, Momioyage , p'anch.
Î - . Machine aux laviires. Vol. V llI . des planch. Ortevre
groiTier , .planch. 19. Uf.ige du mercure dans les lavurespour
fo r &. l’argent. X. 374. J. ,
L A W ( Jean ) écolî’ois. Réflexions fur fon fyA-cme établi
en 1720. V . 598. i. X V . 78 1 .^ , b. Bievet que lui donna la
focieté de laCalotte. IL m î AL
AW F E L T , (G.o gr. ) ville de l’état de L ie g e , en
■ WéAphaUe. Bataille de law fe lt en 1747-
LA.WIEL ,font.iine de, (GJogr.) la plus remarquable de
toutes celles d’Angleterre. \ IL 99. b.
L AW IN G E N , {Géügr.) ville d’Allemagne , en Souabe.
Albcrt-le-grand étoU de L.,-R'ingen. Übfervations fur les ouvrages.
IX. 326. b. T.
L A W K S , ( Comm.de RuJJle) marche public établi a Pe-
tersbourg. Marcliandifes qui s’y débitent : dcfcription de ce
marche. Le fouverain en loue les boutiques aux marchands.
Inconvénlens d'un tel établiflémcnt, Incendie de ce marclie en
ly io .lX .a a ? .* ? . , -r t i
L A X A T IF , voyei Purgatif. Apozeme laxatif. 1. 3 4^' ‘’ ■
L A X IT É , ( A/fi/fc. ) laxité des fibres. Et.at de débilité ex-
ceflîve des fibres. Comment on connoit que la laxiré cA trop
grande. Caufes antécédences de cette laxité : qui en refiikent
IX. 327. a. Caufes particulières de laxité : maladies
qu’elle produit. Remedes à employer contre un tel état. Ibtd.k
Zuari/«'des fibres : détails fur cette maladie. V L 6 7 1 .K IX .
- '• j .a , b. L'humidité y contribue. 233. i. Utilité de la coni-
prelTion dans les maladies qui naiffent de cette laxité. III. 776.
b. Maux qui proviennent de la trop grande laxité des fibres :
remedes. 607. — roycj Débilite.
L A Y E , ( A h ô''orgiie) dcfcription dc cette partie de 1 orgue.
TX. 327, b.
L A Y E R , {Droit féod. franc.) terme de iiirifprudcncc des
eaux 6- jurées. Article 75 de la coutume d’Ürleansfur ce fujer.
IX . 328. H.
L ayer , ( Coupe des pierres) IX. 328. a.
LA YE T ER IE , ( A n méchan. ) métier des layetiers. Né-
cdTité & commodité de cet art. IX. 328. a.
LA YE T IER , {Ouvrier) obfcrvatioiis fur la communauté
des layetiers dc Paris, & fur leurs Aatuts. Outils des layetiers.
IX. 328.6. , ,
Znyctif.'. Planches de fon art dans le volume V.
l a y e t t e . Coupe & façon des pieces de la layette. Suppl.
III. 7^6. H, 6.
Layette , ( ICmpyrie ) aiTcmblage de tous les vetemens &
les uAciîfiles nécelfaires, tant à l’enfant qui vient de naitre ,
iqu’à fa mere pendant le tems de fes couches. Etat d’une
L E C
layette : pour la mere , pour l’cnfain. T é tc ; corps. Sitppi ITT.
718. J. Pour le berceau. Le maillot, ou la diflribucion de la
iiiyette fur l’enfant. C e qu’on met le jour de la nahrunce ; au
bout dc quinze jours; au bout de fix femaines; au bout de
trois mois. Ibid. b.
L.AZAGN E, (Eco/Jow. domeß. Cuf. P.ii{(fer. ) efpece depâce
moulée en forme dc rubans ou degr.uids lacets plats. Maniéré
de la préparer. Suppl. III. 719. h.
LA ZA R E , Jaiiir, {I lijl. mod. ) ordre militaire : fon infli-
tution. Fondions de cet ordre. HiAoire des chevaliers de l’o rdre
de faint Lazare. Etat préfeiit de l’ordre. IX. 328. b. Marques
extérieures que portent les chevaliers. Ibid. 329../.
Lazare , ( les Ordres royaux, hoJpiraUc.-s & miitt.iircs de
flint-) 6’ de Notre-Dime de A/u/if CHime/. HiAoire de l’ordre
de faint-Lazare. Infiitution de l'ordre dc Nocre-Daine de
Mont-Carmel. Réunion de l’iin & de l’aurre. Suppl. III. 719.
a. Marque dilVméUve que portent les clievaliers tk commandeurs.
Devife. Souverain ch :fÔC proreilenr, gr.-iiul-mnitrc &
oAiciers de ces ordres. Ouvrage à conlulter. ibid. b. Voyeii
vol. IL des planch. Bi.ijon, pl. z j.
L.\Za r e , ( O: dre Je Jaint-) fa réunion à celui de S. Maurice.
X. 211..7.
Lazare , ( Saint ) fête qu'on célébroit à M arfcille la veille
de faim Lazare. IL 397. b.
Laz a r e , mal Je J.iint , {Médec.) V. 503.H.
L azare , ( Hôpitaux de Jaint-) IX. 394.6. 393. b. 396. a.
940. a.
Lazare , {Prêtres de faint-) on Lararfes. IiiAitution de
cette congrégation. D ’où ils tirent leur nom. But de cet
inAiiiit. Mailon de faim-Lazare. Cures que ces pretres dirigent.
IX. 320. a.
LAZARISTE S , ou prêtres de congrégation de la miiiion.
X. 578. b.
L A Z A R E T , {Hiß.mod.& Marine) édifice
deltiné à faire faire la quarantaine. 11 y a des endroits où
les hommes & les marchandifes paient un droit pour leur lé-
ionr au Lazaret. Réflexions contre cet ufage. IX. 329. a.
LA ZE ou Leffi on Lefyui, ( Géop;r. ) peuple tarcare. Defcrl-
ptioii de la figure de ces hommes. Leurs armes ; leurs pillages.
IX. 3 20. a. Coin ment ils font gouvernés. Ibid. b.
L A Z IV R A R D , ( Lirholog. ) cet ancien nom défigne également
la pierre lazuli & la couleur qu’elle donne. Autres nonw
qui en font dérivés. IX. 329. I>.
L A Z ZA R E L L I , { Jean-Erancois) poète. VTI. 978.6. L E
L E , la , les , ( Gramm, franc. ) obfervations fur ces articles.
I. 72a! 6. 723. a. 726. a , 6. 727. a. 730. a. IV . 744. 6.
LEÆNA. Héroïfine dc cctcc courtifanne : ftatue qui lui fut
drcffée.XIV. 828.H.
LÉ AN D RE la tour de, ( Gèogr. Lin. Antiq. Medaill. ) tour
(PAfie, en Natolie. Pourquoi cette cour fut bâtie. Divers
noms qu’on lui donne. Autre tour qui eft la véritable tour de
Léandre & de Héro: hiAoirede ces deux amans. IX. 329. h.
Auteurs anciens qui en ont parlé. Epitres de Léandre & de
Héro. Médailles qui ont rendu célébré la tour dc Léandre. Ibid.
Léandre. Des amours dc Léandre & de Héro. X\^. 128. 6,
Sh/’^Z. 111. 366. 6 .Tour de Léandre. XVI, 461../.
L É A O , ( Hifl. nat. Minéral.) efpece de pierre bleue des
Indes orientales. Ufage qu’en font les Chinois pour leur porcelaine.
Comment ils la prépa'ient. IX. 330. a.
L É A O T U N G , {Giogr.) vaAe contrée de la Chin e; fa
fimation. Caraftere de fes habitans. IX, 330. a. Obfervations
fur la montagne de ce p a y s , nommé Changpé. Produflions de
cette coiurée. Révolutions du royaume de Lcaogund. Conquêtes
de Taitfou : celles dc fon fils Taiefong. Doarine 8c
religion dc ce conquérant. Suite des conquêtes des Tartares
dans la Cliine. Ibid. b.
LÉ AUM O N T , {Jean de) feigneur de Puigaillard, baron
de Brou & dc Moré. Suppl. IV. 296. 6.
LEBADÉE , ville de Béotie. X V I . 707. <x.
LEBF.DUS, {Géogr. anc.) ville ancienne de l’Afie , dans
rionie. Jeux qu’on y célébroit en l'honneur de Bacchus. Cette
ville renversée par Lyfimaquc, Son état nùfcrable exprime par
Horace. IX. 331. a.
LEElfCP., j'orét de , {Géogr.) en Afrique. Suppl.l. 83.6;
86. H , 6.
LEBRETON , pcrc 8c fils : leurs talons à faire le papiett
marbré, X. 72. 6.
LEC , ( Natk.in.tël ) XVII. 603. a.
L E CAN OM AN CIE , ( Divinat. ) forte dc divination.'
Roi d’Egypte qui en fit ufage. Peuples qui 1a pratiquent. IX.
^ \ e C C É , {Géoar.) ville du royaume de Naples, Olifcrva*
tion fur deux hommes de lettres nés dans ccue ville ; Ammi-
rato {Scipione) , 8c Palmis {Abraham) , ju i f; 8c fur leurs
o u v r a s c ..IX .3Î .O .
LEC LECHER » ( Peitu. ) forte dc défaut dans le travail du pein-
''"^'l e 'c i I e &• LE CHO , ( Monnoie ) efpece de vernis de lie
que l’on donne dans le Mexique aux piultres qui s’y fabriquonr.
Pourquoi les pinfircs colonnes font préférées à ces pial’tres
mexicaines. IX. 332. it.
LE CK , fondateur du royaume de Pologne. X ll. 923. 6.
^^LECLERC, {Pierre-Jofeph) capucin.5H/ip/. IV . 689.6.
LE ÇON , ( Gramm. Mor. ) aflion d’iiiAniire. Directions fur
la manière d’inllruire avec fruit. IX. 332. 6.
Le^om do la méiliode dans l’artd’onfeigncr.X. 460. a , 6,
Le ço n.s , ( Théulog.) termes difteronsdans lefqucls Je texte
d’un mémo .lutour oA rendu dans différons maïuil'crits anciens.
Ces dlfforciiecs reconnues d.ans plufieurs palî'agcs do récriture
fainco. Moyen de déterminer laquelle de plufieurs le^'ons eA
la meilleure. IX. 3 3 2. 6.
L e ç o n s , en terme dc bréviaire.IX. 332.6.
Leçons ( M.iréeh.) celles de l ’académiAe au ch e v a l, Sc du
maître àV.acadénnAe.iX. 332. 6. _
LECTKUtv , {L in . mod.) injiiAice Sc incompetence du
jiiFcmem de h plupart des leétciirs. Caufes qui concourent à
leur faire porter ces faux jiigeiuens. Nous ne jugeons d’un
ouvrage que par le plus ou le moins de rapport qu’il a avec
nos façons de penfer. Souvent la partialité nous aveugle : on
déprife par air , par méchanceté , par jirétcmion à l’efprit
des ouvrages nouveaux qui font vraiment dignes d’éloges.
IX. 333. On manque d'actomion , 8c l’on a une répiign.mce
naturelle pour tout ce qui nous attaciic long-tonis fur un même
objet. Le différent degré dejuneA'e d’cfprit dans les leéteurs
forme auAi la différente mefure de leur difceniemem. Influence
de notre imagination fur nos jugemens. Autre caiifc
très-commune de nos faux jugemens , la jaloufic : baA'effe
d’un te! feiitiment. Plufieurs leéleurs luperticiels condamnent
ce qui excede le petit cercle de leurs connoifl'nnces. Plufieurs,
enfin, nepenfent que d’après autrui. Ibid. b. — L ecture
, O uvrage d'efprit.
Lecteur , (L in . ) domefiique, chez les G recs Sc chez les
Romains , deuiné à lire pendant les repas. Quelquefois le
maître de la maifon pronoit cet emploi. Lecleurs confacrès
au tiiéairc chez les Grecs. Maitres qui enfcignoienc à lire.
Q u e l ètoit le tems de la leéhire : avidité de Caton pour
cette forte dc nourriture. Atticus loué pour le choix des lectures
qu’on faifoir à fa cable. Leéliircs que promet Juvenal à
ceux qu’il invite. IX. 334.*-’. Auteurs à confulrer./6t'(/. b.
Lecteurs , ( Tkéolog.) dans l’églife romaine. Les leAcurs
étoient anciennement les plus jeimes des entans cjiii entroieiit
dans le clergé: il y en avait aiifli qui demeuroient leélcurs
fonte leur vie. Néceflîté des leiAeiits dans i’éghle. Diverfes
leéliires qu’on y faifoit. Autres fonélions des lefteurs. Ai clii-
ledeurs qu’il y avoir dans quelques églifcs. Ordination des
leéleiirs permife aux abbés. En quel tems la ciiarge de leéleur
fut établie : méthode que fuivoit l’églife chrétienne avant que
cct emploi eût lieu. D e la cérémonie de l’ordinatien des
Icflcurs. IX. 334. 6. En quelle place fe faifoit la Icélure.
Des perfonnes de confidéraiion fc faifoieiu honneur de remplir
cette fonélioii. Do l'âge requis pour l’exercer. /6t<f. 333. a.
LE CT ICA IR E ,{H ijl. eccl. ) en quoi confiAoit cette fonction
dans l’églilc grecque ; fonélion de cc nom chez les anciens
Romains. IX. 333. a.
Lecticaire , ( Litt.) porteur dc liticre. Deux fortes de
Icflicaires ejiez les Romains : quartier de Rome où ils demeu-
roienc. IX. 333.h. Voyci CoPlATE.
L E C T IST ERN E , {A/triq. romain.) cérémonie religieiife
pratiquée dans des tems de calamités : LnAitiition de cette
cérémonie. En quoi elle confiAoit. IX. 333. a. MagiAratsqui
en avoient nnccndance. InAiuicion des jeux fcéniques pour
iiipplécr à l’inutilité des leétiAerncs. Peuples de l’antiquité d'où
cette dctii'iOie cérémonie avoir été empruntée. Figure d’un
lecliAcrne vu à Athènes par M. Spon. Ibid. b.
Lectistekne , {H ijl. anc. ) coiiflin ou oreiller que les
païens incttoient fous les fimnlacres de leurs dieux. 5Hgi/i/, 111.
719. 6. Cet ufage pratiqué par les peuples de la Grece. Doferi-
ption de la fête des IcéiiAeines, L’nfagc des IcéHAcrncs Introduit
autrefois dans les agapes des chrétiens. Ibid. 720. a.
Ledijlernes. Prêtres établis pour les arranger. V. 840. 6. XV.
7 1 . H. Solemnité de la foce des IcéliAerncs. VIII. 3 1 3. h. Figures
des Icéf.Acrncs. XV. 732. a.
LECTORI A , loi. IX. 664. u.
LE CTO U R K ou Lcidourc , {Géogr.) ville de France, en
Gafeogne ; elle étoit le chef-lien du peuple Latloratcs. Ob-
lervations fur le nom de cc peuple 8c dc cette ville. Infcri-
ptioiis tauroboliqiies trouvées .à Lciloure. Auteurs à confultcr
luv Lüétoure moderne. IX. 333.6.
LEC r u i lE , ( A n s ) qualités exigées dans un lefteur. Plai-
lirquc donne la bonne déclamation. On juge plus falnemcnt
de CS 9« 011 lii que de ce qu'on écoute. Avantages qui naiffent
de la leéturi.-. Cet exercice eA une peine pour la plupart
des hommes. IX. 3?6 a * » 1 1
Tome II.
L EG îos leéf.irc, voyci LtCTEüR S- L iv r e . Réflexions furla Icclnre.
IL 228, a. Du goût de la Icélurc, voyc^ Etude. Livres dont
on doit faire choix ]ionr fes Icélures. XL -722. 6, Quel elt ie
vrai qu'on doit chcrdicr dans les auteiiis pour les lire avec
fruit. X V i l. 482.6.
L ecture , ( Education ) des leçons de Icélure .'i donner aux
ciifans. V I. 90..1. Jeu pour enfeiguer la Icélurc. XIV. 792. a.
D e la maniéré d’en enfeigner les élémens. X V . 713,
h , 6 . 713.^..
Lectures ou dlfcours de Eoylc, (Théolag.) But de ccue
fondation. iX. 336. u.
L E D A , {Mythol.) tableau de la Leda du Correge. IX.
3 36 .6 .
LEDE , (.ffu/.î/i.) efpece de ciAe qui porte le hdainuu.
Divers noms que lui ont donné IcsbotaniAcs ; fii defcriiuion.
Lieux ou il croît. Variété de cet arbrlAeau , obfervée dans le
Pont. Réfine qui découle de fes feuilles, vojrr Lada.vu.m.
CiAe ladaniferc tl’Efpagne. IX. 3 36. 6.
LEDERMULLER, ( Manin-î'',obenius)muton\iOic. Suppl.Xi
413. 6.
LE ERDAM , ( Géogr. ) petite ville de la Hollande , patrie
de Corneille Janfen ou Janfenius. Obfervations fur cet évéquii
8c fur fon fameux ouvrage. IX. 337. h.
LÉG AL . Condition légale. III. 837. 6. Hypotheque Uwale*
VIII. 416. 6. Augment légal,douaire légal, peine légale, vjyt^
ces mots , &c.
LÉ G A L ISA T IO N , ( Jurifpr. ) effet de la légaiifiition. Origine
dc cc mot. Définitions défcélueufes données des mots
Ugalifaùon Sc lég.ilifer. IX. 337. a. Les iégalil'ations ne s’appliquent
qu’à desaiAes émanés d’ofliciers publics- La légalifaticn
n’efl pas toujours donnée par un officier dc juAic c, ni iminie
de l'atteAaiion 6c de la fignaturc ^dii niagiArat. La légalifa.lou
ne rend point un aélc tellement :uithcmic[ue ,que l’on y ajoute
foi par tout pays. Les loix romaines ne parlent en aucun endroit
des légalifiicions, ni d’aucune form.ilité qui y air rapport.
Comment les officiers publics, les parties comraétanres, ou les
témoins , marqiioient leur confentement aux articles d’im
aéfe. Ibid. b. Il n'cA poinenon ])lus parlé des iég.alifations dans
le droit canon. On ne fait p.as précifement dans quel teins on
a commencé à légalifcr. Deux légalifatlons datées de l’an
i323.Doéi:cur.s ultramomaiils qui ont parlé des légabi'ations.
Ce qu'ils en ont dit. Ibid. 338. a. Différences entre les léga-
lifations & les lettres de vidimus , anciennement ufitées en
France : pourquoi ces lettres étoient appellees de ce nom.
Quelle cA l’authenticité des aéles d’écriture privée , lorfiqu’il
s’agit dc conAater la vérité. Des faits qui y font contenus.
Pourquoi ou ne légalife point ces aéles. Pourquoi les afleJ
émanés des officiers publics ont été nommés authentiques.
Ibid. b. D e l’authenticité des aéles de notaires, grefiâers ou
procureurs. Dans quelle vue l'ufage des légalifatlons a été
établi. Efl'et des légalifations. Dlfl'éremes maniérés dont les
légalifacions fe pratiquent en Italie , Allem.-.gno, Hollande,
Angleterre, Efpagne, Pologne. De l'ufage de France dans les
légalifations. Ibid. 339. a. En quel cas cette formalite eA né-
cefl'aire. Devoirs des officiers qui ont cnraélerc pour légaiifer.
Par qui doivent être légaüfés les aélcs émanés d'oAicièrs publics
ecdéfiaAiques, Ibid. b. ik ceux qui font émanés d’officiers
publics fecuiiers. Par qui font iégalifés les Aatuts des
tailleurs dc Montpellier. Pourquoi on avoit imtoduii l'iifiige
de faire légalifcr par les officiers eccléfiaüiques toutes fortes
d'aélcs. C c t Lifiige aboli par l'ordonnance de 1339. Par q»i
doivent être légalilés les aclcs reçus par des officiers de jiiAice
feigncuriale , Ibid. 340. a. 8c les acAes émanés d'ofliciers publics
royaux, üi-donnnnce de Léopold 1 , due de Lorraine
fur les légalifations. Par qui doivent être légalifés les aéfe»
émanés d’oAîciers publics des finances, d’oAiciers militaires
& les ailes concernant la marine, le commerce , les univer-
fités , Légaüfation employée pour faire connoitre l’authenticité
d'an aéfe en pays étranger. Ibid. b. Formalité obfér-
yée en France , lorfqii’on produit des ailes reçus en pays
étrangers, Sc légalifés par l'aiTibaffadciir ou autre ininiAre do
France. Moyeu de faire valoir en France un aile reçu en
pays étranger, où le roi n’a point de miniArc. Formalité' pratiquée
pour les jugemens qu’il s’agit de mettre à exécution
hors de la jurifdiillon dont ils font ém.més. C e qui fe pr.ui-
qiie à l’égard des jugemens rendus dans une foiiveraineté
étrangère , que l’on veut taire valoir dans une autre fouve*
raineté. Etais qui ont avec la France nu droit réciproqiicd’en-
tre-coiirsdc jiu'ifdiélion. Ibid. 341. u.En quels cas les juyemens
rendus dans une jurif'diiiion étrangère devroient éire légalifés.
Loix à confiiltcr. Ibid. b.
L E G A T , {Jurifpr.) légat du pape ou du faim fiege. Ce
titre paroit emprunté du droit romain. Légats qu'eiivoyoietu
les empereurs 8c les premiers inagiArats. Premiers légats d-t
pape , dont l’IiiAoire fait mention. Légats envoyés en dii''^;-
rentes occafions depuis le quatrième ficelé. IX. 341. 6. Les
papes envoyoient quelquefois des évêques, 8c même de fiin-
pies prêtres dans les provinces éloignées, pour examiner es
qui s’y palToit dc contraire à la difeipliuc eccléf'uAiniic, Séance
D d