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p ,5;
44
^•cm cxnmii
»luns I
Oiivniiics i
1 M b :r nu niicrolcojic. X. 494. Infcilcs obfcr-
.•:ui »Ie puivre. Xll- «-/■ •« , l’- — t i'lc ik s
(.1. VI des plumb- lepiic unimal, [)l, 75. — ^5-
: M. C.iiuiles Bonnet lïir les inl'eiles. buppl. 1 .
iNSKcrr-tm/’/o/’K-, ( /fip.rut.) Les infe^les que l’on cotifi-
«lere comme umphililcs , ne le loin pas tous de la meme ma-
iiieve, VUI.78---/.
In s ic t is . {J.irJln.6-^t^'ic.) Du tort »pic divers mfeilcs
font aux l.lés, Suppl, i. 914. l>. Suppl. 11. 74<;-
les déirniie. Suppl. 111. ^oi. />. Les luhotirs d’.nmunne les dc-
tniileni. fu;i. b. Ai voleiiuns jiropre.s à lucv les inleiles. Suppl.
1. 178. U , InCeitesuii.uiiiels les pomnners loni injets.
■ IV. >;02. .1.
IN.Si'.NSATI, ( Ac.ulcmic de pli ) S u p p iV ^ .u .
lN S i :N S lü im É . {Plulof. Morulc) l/inrenriMlité cA à
r.ime , ce »pic la Ictliurgie e(l au corps. L’inlcnfibilité cA l’e xcès
de l'iiulilVétencc. l'.nois de l'imc & <lc l’aiirre-Lindilfé-
lencc fait des fig e s , & l'inrenfilnlité fait des immArcs. Noiis
confervons toujours de la l'enlibilité pour iious-mcmcs , &
même elle s’augmente de tout cc <pie perd celle cpie nous dc-
x riiüis avoir pour les autres : ])reuve qu’en tournifTent les
gl ands. De rinfoiifibilué Aoiciemie. V lll. 7H7. /’. Lfpece d in-
iènribÜ'ité cpic ])roduit qnelqiiel'ois l’excès de la douleur. Celle
<pie (picUpies perlonnes (out paroiireau milieu des plus grandes
lc>uilr;mecs, n'eA fonvent qu’extérieure. Aujourd’liui dans le
pays des l ro(pi»)is, la gloire des femmes cA d accoucher (ans le
jil.iiiulre. Ibid. 788.
Infenfihilue. D e it»)tre infenfiliillté à nos propres maux. III.
^. ,1. Ce cpi’on doit faire à l’égard d’un enfant qui manque de
(enlibiliré. VIII. 656.
In.si Nsmii.iTi:. (Afo/fc. ) Maladies qui rendent la peau in-
feniible. XII. 219. />. Foyc^ Pa u a l y .sie.
IN.SÉPARAliLE. Ricnn’cA infcpavablc dans la nature. Les
qualitéseA'enticllcs «l’im lujet n’en lont inléparablcs, queparee
»[u’elles (imt le fujet même. V l l l . 788.
INSLSSION, {Méd.-c. C/ihurp.) demi-bain qu’on fait prépa-
Tcr avec de.s lierbes. Maladies pour lefquelles 011 le |)rclcrit.
.V lll. 768. b.
INSINUANT. F.lotpience de l’homme infnuiant. Cet art eA
pt)flédc par les gens de cour &. les autres malheureux. Dériance
(ju'il fuir en concevoir. V l l l . 788. b.
lf».SlNUAT10N. (./iirijpr.) l ,a premiere origine de l’infi-
iniaiion vient des Romains. Fonélion du feribe que les gouverneurs
des provinces avoient au]>rès ti’eux. bonnalitcs
«bfervées parmi les Romains au l'u|et des infinuations. (.om-
lueni elle le ]'rati(pioit avurclois en France, T rois fortes d’inli-
miaiions. Les regiAies des infinuations font publics. V l l l .
789../.
]i:Ji/:u.nion. Fn quoi le icgiArc des liirmuations diA'crc de
celui lie tomrùlc. IV. 148. h. GreiVe des iiirmiiatioiis. V i l .
2«;i. b. V lll- 92t. 1-. Gieflierdcsinlinuaiions. 927. />.— F’»'yi^
F niu' r,tSTR53U.NT,
In/iuu.uiori des don.tiions. Prniique des Romains à cct égard.
A’ iil. 789. .1. Celle qui étoit reçue en France dans les ]>ays de
droit écrit. Oïdomiaiicc »le Françans I <pii éiablir rufage des m-
finuatioii.s en pays eoiutimier. I )ifpofitions île difiérentes loix
fur ce fujet. Article 28 de rordoimaiicc de Moulins. Déd.ira-
tion du i-J novembre 1690. FiUc du mois de décembre
i-o-j- Dé».lar.ition du 17 février 1731. IbiJ. b. I'oyc:^ D o n a .
TION.
In(iriii,iiion ccclèfi./lliquc. GrefTos d’infumarions ccdélltiAitpics
créés en chaque (iiocefc par Henri II. Ces greftes érigés par
Henri IV en ollices royaux féciilicrs & domaniaux. Autres
changemens faits dans la iiiitc à ces greffes. Edit de Louis X IV ,
<]ui en reeréanr de nouveaux oAices de greftiers, règle les afles
fiijets à inhnuaiions , & la maniéré donc cette fornuilité
feroit remplie. V l l l , 790. w. Voyc^ Edit des Insinuations.
lufinu.irioi! l.iïquf. Iiifinuation dont la formalité a été preferite
par féilic de décemhic 1703 appelle l'cdit de.< infinu.itions l.ii-
Règles établies par rapport à cette formalité. Loix à con-”
fiiher. V'ill.79o.i. Poye^ EoiT DES Insinuations.
!uJ'inu,uion des jub(l\iutioiis, établie par l’anicle 157 de l’orclon-
nance do Moulins. Déclaration fur ce fujet du 17 novein-
bre ifq o . Article 10 de l'édit des infinuations laïques qui
traite de riiifiiuiaiion des fiibAitiitions. V o y e z l’ordomuince
des AibAkutions. VIII. 790. ü. b. P"oyc:;_ auAi Substitution.
[INSINUER , Perfuader , Suggérer , ( Synonyme. ) XII.
43g. a.
INSIPIDE. {Pbyjîq.') Les fubAanccs deviennent infipi»lcs
fur les hautes montagnes.I. 230. <». Pourquoi Venu, les huiles
douces, la terre font infipides. VII.7f)0.^.
IN SO L A T IO N , (C’/iym. ) digcAion exécutée à la chaleur
du folcil. Quelle forte d’aélion le folcil exerce clans cette opéra-
ti»m. V l l l . •’ 91,
IN SO LENT, qui fe croit, & ne cache point qu’il fe croit
plus grand que les autres. Un fauvage ni un pliilofophc ne lim-
I N S
être iiiAAens. Portrait de l’homme inlblenr. Infblence de
I. & Finances ) L’établjf-
mcntil l’a rendu véritable-
[ ces inlpeélcurs eiilfent
infominent les nianufaduroioiu
dilléieiis éiats. VUI.791..;.
IN SO L IT E , IV. 1096. »i, b. Fruits infolites. V IL
3^8./>.
IN SO LV AB ILITÉ du débiteur. IV . 700. Foye:^ D ldi-
TEUU.
INSOLUBILITÉ. ( Chymic ) Quels font les corps clans
Id'qiiels cette propriété doit étreconliciérée, & fur lelquels la
ehy mie s’exerce en travaillant à les remire ibhihles. VIII. 7^1.
a. Infblubilité abfolue & relative. La thymie ne coiinoît plus
d’infohihilité abfolue dans les objets [rropres. L’infolubilité relative
réfule dans tous les fiijets cliymiques, aulli bien »{ifiiiic fo-
Uibilitérelative. V l l l . 791. E
IN.SOLUBLE, propoJiiion.W. 502. a.
INSOMNIE , /c/’n/i', ( ) il paroîr qu’elle proccdiî
fur-tout »les commentemens d’une légère inllanmutioii du cerveau,
(àmmient 011 parviendra à la diAipev. V l l l . 791. /i. L,^;s
poètes plaçoient à Ventrée du palais de Morphée les plantes
ibnmifercs. Moyens auxquels on peut recourir iiulépciKiam-
ment des icnie»lcs pour provoquer le limmieil. Lieu de la
demetire du »lieu »lu (imimeil. Bruit du fleuve Léihé ipi’on y.
cntcndüir. Defeription du domicile de ce »lieu , ])ar O vid e.
Ibid. 792. a. ProgiiofUcs qu’on peut tirer de l'infoinnie fébrile.
Ibid. b.
infomrne. D e Vuf.ige des narcotiques contre les infomnics.
X L 24.
IN.SONDO , ( ) infefic qui fouvent fait périr les
éléjrhans. (Comment il les tourmente. V'ill. 792. b.
INSPECTKUR , (///ƒ/. oHiciers de ce iiohi che?. les
Romains. Infpcéleur que les Juifs ont dan.s Ictirs lynagogues.
V l l l . 792. b.
iNSi'tCTKUR. ( Anmilit. ) FomAIons de ces officiers crt
France. VIII, 792. b.
Inspecteur de manufablurcs. ( Cor.
f'emciu en eA du à M. Colbert. Coin:
ment utile. Il feroit defirable epu
voyagé dans tous les |)ays oii fe c<
res qu’ils font dcAiiiés à coiuhiire. (JIrfcrvatioiis fiir les amendes
décernées par M. Colbert contre i'impéritic des ouvriers.
Ibid. 7(^3,
Injpctleurs des m.tnufaélures : iiiAriiflions que M. Colbert
leur donna. VIII. 801. .1, b.
Inspecteur »/«J- eonjlniBions , ( Marine) (es foiiiAions. VIII,
793../.
InfpeHcurdes corvées : fes foiliAions, IV. 286. fon autorité:
compte qu'il doit rendre. 287../.
IN SPIRAT ION , ( Théolog. ) qiicAion qui partage les théologiens,
favüir fl le S. Ffprit a inf|)iré les auteurs faerés , 6c
([liantaux cliofes & ([liantaux ternic.sdont ilsf’e font fervis pour
l.'s énoncer. .Sentiment des laciiltés de rhéologie de Douai 6c de
Louvain. CX'hii de Lelhus 6c de M. Simon. Celui de Holtloii.
(Xlul de M. le Clerc, Sentiment le [iliis conimuncmcnt reçu.
()[>inion des [laiens fur Vini'piration des prêtres & des
lyhillcs rendant des oracles. Inlpiration des poètes. VIH,
7<;3- É
lufpir.uion. Origine de la fiufTc ojiinion fur l’inf[>iration
]>nrini les païens. IV. 1072. b. Divers fentimens fur
l'iiifpiration des écrivains faerés. V . 363./>.— 363. k Erreurs
qui font venues de l'opinion ([ue tousles mots de Vécriiurc
croient inf[)irés. VI. 763. b. Infjjiration de l’homme de génie.
V K . ^83../. Efpeced’infpiration que donne une prudence particulière
6c extraordinaire. X V I , 233. /’.Celle dont lesthéolo-
phes fe vantoienc. 260. b.
In s p ir a t io n . (P/iy/o/og. )LamafTe de V.at;nofphcrc paroît
être le véritable antagoniAcde tous les mufclcs qui fervent à
l’infpiration ordinaire 6c à la contraélion du coeur. III. ^96. ,1,
Fondions du diaphragme dans Vinfpiration. IV. 946. a. Suppl. IL
716. b. Suppl. IV . 616. a. — /A>yc^ POUMONS, RESPIRATION.
In s p ir a t io n , {Jurifpr.) cc qu’on entend par-là dans Vé-
Icélion d’un pape. VIII, 793./>.
IN SP IS SA T IO N , operation thymique. XI. 300. a.
IN SPRU CK , {Géogr.) ville ((’Allemagne. Ktymologiede
fon nom. Ohfervntions fur les ouvrages du P. Adam T anner,
jcfiiitc , né à Inffiruck. VIII. 794. <1,
IN ST A L LA T IO N , { Jurijpr.) trois aftes à remplir avant
de parvenir à l’exercice d’un office. Q uel eA le fiipérieur qui
fait VinAallation. VIII. 794. a.
IN STANCE . ( Jurifpr. ) InAancc appointée. InAance d’ap-
pointé à mettre. InAancc de licitation ; d’ordre ; de partage.
InAancc périe ou périmée. InAancc de préférence. Premiere
iiiAance.InAancc fommairc , 6-e. V l l l . 794. b.
Inflance. Pércmptic.n d'inAancc. X ll. 330. b. InAancc de pré-*
férenco. XIII. 283. h. Reprife d’iiiAance. X IV . 147. a.
IN ST AN T . i^Mtétaphyf.) Aucun effet naturel ne peut être
produit en un iiiAant. Trois fortes d’inAans ; l’inAant de temsi,
î’inAant de natuve, 8c riiiAant de raifon. Aélion inAantanée.
V l l l . 794./-.
In s t a n t , numentA Synon. ) X. 633./’.
INSTIGATEUR,
I N S INSTlf.^ATEUR , au parlement de Provence, c'oA la
même diofe lUie délateur. IV . 777. b.
IN.STINCT , ( Metaphyf & Hiß. nat. ) [)i incl[)C qui dirige
les l'étes dans leurs aiAioiis, Ame fenfitive ijiie les périjiatéti-
cieiis leur doniioiem. Seiitimenr de LaiA.mce Air les béies.
lly[)C)thefe des Cartéfiens. Plulieurs théologieirs ont cru la
religion imérelfée à nr.ùncculr riquiiion du méthanifine des
bèrc(. Non-feulement il eA certain (jue les bêtes fencent, il
i’eA encore qu’elles le reiroiiviennem. VlH. 7(93../, De plus 11
eA certain qu’elle .jugem. Les bétes ne doivent pas feulemeift
à la rétlexion des limples idées de relation, elle.-.tiennent encore
tl'eile des idées indicatives plus com|)li([uées , fans lel-
quelles elles tomberoientdans mille erreurs fimeAcs pour elles.
Comment le forme le fyAéme des connoiAanccs de l'animal ,
6c la chaîne de fes liiihirudes. Parmi les animaux , ceux qui ont
des licfüiiis plus vifs ont plus de comioiirancesacquifès que les
auirc.s. Comioiffunccs bornées des animaux frugivores. Pourquoi
celles de-; animaux canuicicrsfoni l)eaiieoiip[)hi.s étendues.
Ibid. h. InAiiiil & riifes du loup clans l'a cbaffe. Celles du renard.
Ibid. 796. a. Les aiiiinaux fiugivoies fouvent chaffés acquerront
relaiivomeni à leur défenle , la coniioilTancc d’un nom-
])re de faits, 6c rbabiiiide d'imo foule d'iiKliiélioiis c[ui les égalent
aux carnaciers. Un lievre pourfulvi l'emble epuifer tout cc
(|uc la fuite peut comporter d'intentions & de variétés. Les
jeunes animaux ont beaucoup moins de rides que les vieux.
ibni. b. Les animaux doués de vigueur ou jjourvus de défenfes
duivem être moins incluArieux ([ue les smtres : aulA voyons-
nous que le loup 6c le Ainglicr ont peu recours à riiuluflric
lorfijii’ils four chaffés. Les animaux ont beaucoup moins de
riifes dans les pays oii les piégés n’ont jias été employés que
dans celui oiiils l’ont été. Preuves du ridicule du fyftéme de
r.iiitoniatifme- Idée des nombres »pie la nécellité f.ùt acqnérir
niix animaux. Preuve tirée de la maniéré dont on cb.aA'e
aux pies. Ibid. 797. De la peif'eélioii doni les animaux
font f'uf'cepiibles. P»)ur([uoi malgré leur jierfeifibilité les
animaux ne font pas de progrès. IbiJ. h. Il f.iiit »[lie le loi-
fir , la foclécé 6c le langage , fervent la [lerfeflibilicé ;
fans ([uoi cette difjiofitlon rcAe Aèrile. Or premièrement le
loifir maii»|iic aux héics. Seconclemein la (ihipart vivent ifo-
lées 6c n’ont ([u'uiie l'ociété paff.igcre, S\. Société des fe-
jiielles des Ainglievs avec les jeunes mâles.... Troiliémement
le langage des liètos [lavoît fort borné. Réflexions fur ce l.ui-
gage. ibid. 7198. a. On peut donc [ivéfumer »[uc les bétes ne
fei ont jamais de grands j iio g iés , cpioitpie relativement à eer-
tainsarts, elles [uiiffeut en avoir fait. Des ]):lAioll^ des bérvs.
<ies paiTions tÜAinguées en naturelles , 6c eu laéliccs ou de
reflexion.//ic/. b. Avarice 6c [trévoyance des animaux. Leur
jaloufie en amour, foie dans les d'pcccs iloiir les mâles fe
mêlent indifiércmmoiu avec toutes les leinelles, loit dans
les cfpcccs qui s’accouplent. Infidélité des tourterelles. L’amour
n’étant chez les bêtes qu’un licfoin palV.iger, ne peut les
élever à des progrès bien fcnfibles. Seiilemciir l’expérience
iîiAruir les meres fur Icschofcs relatives au bien de leur famille.
Exemple tiré de la perdrix. Effets de la tendreffe maternelle
dans les animaux. Ibid. 799. a, La mere ne s’abandonnejamais
entièrement i dans le chinger extrême le moi fe fait toujours
fciitir. C c t amour produit une jaloufie »[iii va jiiApi’à
1.1 crnaiiié dans les cfpeccs oîi il eA au [tins liant degré. Ibid. b.
J/tjli/h'-l. Extrait »l’im ouvrage de M. Reimar, [nofefleur
de piillofophlc .'1 Hambourg, intitulé : Objervaiions phyjiqucs
mor.iles fur les inßinbls des anim.:ux , leur indiijinc 6' leurs
ma-iirs. 11 entend par iiiAinél, clans le f'ens le plus étendu, tome
inclination n.ituiclle [lOiir certaines aiAions. DiAinétion qu il
f'.iir de dilféraues l'oites d’inAiiiiAs, qu’il ajipelle mécliani-
»[ues, reinéfeiunilfs , 6c fpoiuanésoii volontaires. Ces derniers
fe diAiiiguent en inuinél unlverfel de l’amour de foi-
inéme , 6c iiilüuéls particuliers, qui font, ou des iiiAiuéls de
ji.iffions, ou des iiiAiiiiAs iiuluArieux. M. Reimar dillinguc les
juAinAs indiiAricux en dix clalVes, T. Ceux ipii contenieiit
le moiivenieitt, comme le moyen le [iliis unlverfel pour par-
% eniv à toutes les fins. Il, Ceux qui tondent à faiisAiiveaiix premiers
.befoius [irlnclpatix, i’av o ir , Pair f.ilubi e , l’élémeiu véri-
' i;ible 6c la contrée eonveii.ible. Suppl. \l\. 6c8. E lU. Ceux qui
coucentent le fécond befoin principal , fa v o lr , rac([uilliion
d'une nouniiure f.iine Sc ftiAifaine. IV. Ceux par lef'qiiels
l( S animaux éloigiieut le mal que pourrtAent leur caufer les
objets inanimés. V. Ceux par Icfqucls ils évitent ou repoiil-
feiic les auai[uesdes créamicb animées. VI, Ceux (jui tendent
à leur proem er le bien être , 6c par Icfqucls ils iiniUi|ilicnt Sc
confcvvcnt leur efpccc'cn s'accouplant. Ibid. 609. a. V i l. Les
inlliiiA.s qui portent les animaux à urcmh e les foins les plus
affiilus pour leurs couvées 8c pour leurs [ictits. V l l l , Les inf-
tiiiAs indiiAiieiix des petits en naiffant. IX. Les iiiAinAs de
l'tciété. X. La détermination & la variation des itiAiiiAs natii-
J'cls. Ibid. b. Différentes propriétés de ces liiAinAs indtiAriciix ,
développées dans l’ouvrage de M. de Reimar. Leur but. Leurs
bornes. Leurs moyen.s. C ’eA dans les bcioitis des diftérens
genres de vie ([lie rcficle la vraie caiifc des iiiAiiiAs iiuhif
ii icn'x’ des animaux , & pouf laquelle ils ont tel ou tel inlUiiA
Tome II,
1 N S 4 5
à rexclufiüti de tel autre. JiifL|ii’.i (piel point tes mliliiff-;
coiurllnient à la coufeivatiun de refjiece. Commem lU foin
mis en ucHoti. R:i|>|)ort du méihanifjiic du corps des aniin.mx
avec les opérations de l’inAiiiéi. Uniliu nuié d.ins les déterml-
nations ([lie l’iiiAliiA leur inf[>ire. l.’iniliiiA s'eveice a la premiere
occafum , f.ms leçon , fins ex|iériente. Ibid. 610. a.
Une partie des iuAinéfs imJiiIlrieux ne fe m.mil'eAi.; ([u'.i un
certain âge , dans certaines circonfhuiccs. On découvre dans
»[iielques animaux , l’iiiiliiiA de faire un ein|)loi déterminé
de leurs organes , même avant ([ue ces organes exiflcnc réellement.
Les animaux font obligés qiioltjiieiois de déierminer
leur iiiAinél Aiivaiu le.sdifi'éieines circoiiAaiiccs. Des nivrages
([ue cet inflinA leur fait conAi iiire. L’inAinA peut être étouffé,
dirigé, dreffé, pai l'éducalion des hommes. Ibid. b.
lufUnél : diflércncc (jii’il y a dans l’homme entre l’iiiAiiiA 8c
renteiulemeni. VI, 362. b. Différence entre l’inflinA ôc les
indinatious. VIII, 651. b. L'infliilA n’eA [HiiiU pour l’homme
un guide alTuré. XI. 218. b. De l’InAinA moral. XV. 28./.
XVII . 177. a. A quel point il [lem conduire à la venu. I. 803.
b. Il ne peut avoir dans l'iiomme la même forte ([iie l'iiiAinét
animal dans les brutes. 8of>. De rinAiiiA des bétes, 11. 214.
b. XL 263. a.
Instinct , {Matécb. Maneg.) Moyen d’actiuérir la con-
noillance de l’inAinA ou du naturel d’un cliev.d. V l l l .
7.9(9. b.
IN ST ITQ R , (in/cV.) Auteurs dans lef<[iiels cc mot fe
trouve. Difléreiucs acceptions qu’il reçoit. V l l l , 799./>.
IN S T H U T de Bologne, {H,fl. L in .) HiAoire de la fondation
de cette fociété. S.i forme 6c fon régime. Objets dont
elle s'occupe. VIII. 800. a.
INSTIT UTES , I^Jiirifpi. ) abrégés ([ui renfermciu les premiers
élémens de la junfpriidence. Les jjlns célèbres foin
celles deCai'iis, de Jultinien, 6c de Tliéo[)lille. IiiAiiutcs de
Cams. Nous n’eu avons ([ii’un abrégé f.iit [nir Anieii. Fiaginens
de ces iiiAltmcs recueillis 6c rétablis en quatre livres [>ar Oifc-
lins. Iiillitutes »le JiiAiiiicii. Jurif’conAiltes qui y UMvaillcrent.
Leur diAribution en qmitrc livres. Preemiurn de ces iiiAituies.
.Sujets de diacim des livres. Les itiAitlircs de JuAinicn font
regardés comme le meilleur des ouvrages publiés finis (<)Ji
nom. Abrégés 6c paraphrafes de ces itiAitures. V iü . 800./’.
Iiifiitiues de Lancelot. liiAitmes de Tliéopliile. liiAluiies de
Vinniiis. Ibid. 801. .;. Fayr^ Droit romain.
INS r iT U T F U R . Taleiis qu'il doit avoir. V. 398. b. Ob-
fervations générales fur la maniéré dont il doit enfeigner.
399. b. 400. a.
IN ST IT U T IO N , (.fiirifpr.) Différentes ncccjulons de cc
mot. Inflitution en matière bénéfidale. (iette iiiAitution eA
de (jiiairc fortes , l'avoir collative , amorif.iblc , canonii[ue ,
6c corporelle. V l l l . 801. a. Ouvrages à coiiAiliei. Ibid. b.
luflituiion eontraéiuelle. Elle n’empêchc [>as (l’eng.igcr, h y pothéquer
, aliéner les biens en tout ou en partie, 6't. L’iié-
riticr comr;iAuel cA tenu des dettes inclélinimeiu. Traités à
confiilter. V l l l . 801. b.
Infldurion couiumice. VIII, 8oi./>.
Inflitution au tiroir canonique, au droit c iv il, au droit fran-
Çois, 6' autres femblables. VIII. Soi. b.
Inflitution d'Ijc’ irier. Jüllc peut éri e faite par contrat (le mariage
ou par leAamcnt. La [diipart des coutiiines [inrient
([ii’iuAiuuion d’héritier ii’u lieu, c ’eA-à-dirc ({u’ctle n’eA ])as
néceffairc pour la v.ilidiié du teAamein ou codicile, S'c. V l l l .
801. b. En [lays de droit écrit, riiilVitiiiion d’iiériiicr eA la
baie du teAameni. On peut donner tous fes biens à fon héritier
: exception. Ceue inAiimion fe peut faire fans exprimer
jii'écifément le nom de l'héritier, 6'c. Ceux qui ont droit de
légitime doivent être iiiAiuiés héritiers au moins en cc que
le tcflatciir leur dimne. En cas de préiérition d’aiicim de ceux
qui ont droit de légitime, le ccAamciu doit être déclaré nul
([liant à l’inAitution d'iicritier, 6v. Loix â confultcr, 6x. Ibid,
802. a.
Institution , ( Polit. Morale ) Diffiailrcs attachées à
l’exécution d’un pl.ui d'iiiAinition pubikpic. V . 308. a. De
rinAitmion de la jeimeffe. VI. 87. a , b. &c. IX. 332. b. X.
460. a , b.
Inflitution d'agriculture. C cA en Angleterre que fe font formées
les premieres fociétés qui ont tourné leurs travaux vers
ragriciihure. Académie de gcorgophilcs établie cnfuiio à Florence.
Société d’agricuhurc établie en Breragne. (miles de
Paris 6c de Siiiffc. Objet des ti avaux de ces foeiétés. Etabliffe-
ment formé en France d’une école d’agriculture, où de jeunes
laboureurs peuvent recevoir fans frais les iiiAriiAions qui
leur font néceffaires. ProfpcAiis de cctie inAitution , tel
qu’il a paru imprimé en 1771- Terreins près de Compiegne
que le propriétaire dcflinc aux cnfcigneuiens 6c aux expériences
de cette école. Suppl. 111. 6 t i . a. Soins 8c iiiAruc-
tions que le fieiir Siuccy de Sutieres , membre de la fociété
d’agriculture de Paris, confacre chaque année à douze laboureurs.
Differens objeis des leçons qu’il leur donnera. Ibid. b.
Conditions aux(|iicilcs on fera admis dans cette école. Ibid.
61 3. a.
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