ICO L A R
LA R G E , ( Peint. ) C e qa'on cntciul par peindre br^e. IX.
*93'
Laro-c, ternie de mar'me , de draperie, de marècliaücrie Sc
de vénerie. IX. ^c)\. b
l a r g e s s e s , (_Hifl.') Elles s’introdiiirirent à Rome avec
U corriiption des moeurs. En quoi confirtoicnt celles que les
afpir.ms aux charges faifoient au peuple. Exemple de Jtiles-
Cé far, qui montre .à quelles ibmmes exorbitantes clics alloieut
quelquetbi'. LargelTcs des eirpercurs. Largeiîés qu’excrccrcnt
les rois de France dans certains jours iblemuels. Dtlcominua-
tiou de cet ulage. IX. 193. b.
bi'gejjb y Présens. ILpas que Céfar donna aux Romains
après Tes triomphes, IX. 5S3. u. DiAributions de blé
qu’on t'ai [bit au peuple, 661. </. LargeiTes au peuple dires mtj/Vi'b/.
X. 377. b- Celles qui le pratiquoient quand remperctir de
Conllamiuople (brtoit de l’églilc. V . 779. b.
LA RG EU R , ( Géom. ) Les géometre.? appellent luiuteur ce
que l’on nomme communément brgeur. IX, 294. a.
L a r g iu R , ( Rnbjr.n. ^ Loi Ique les foies après être paflees
en lilTcs bc en peigne , 1cm toutes prêtes à être travaillées.
Details fur ce fujer. IX. 294. a.
L.‘3.RGILL1ERE , (N ico b s de) peintre. V . 322. a.
L.-^RGUE , ( Muiir.c) veut largue. Il eAle plus favorable
pour le Gllage. Ljrgue, liuute nier. IX. 294. j .
L A R G U E R , (b/.mbc.) Divers ufiges de ce mot. IX, 294, j .
L.ARIN , (Morin, c'irorif.) Pays ti'Afie où cette monnoie
regne. Origine de fon nom. Sa ligure. Titre de fon argent.
Sa valeur. IX. 194. b.
LARISSE , ( Gco‘’ r. ar.c. ) DiAerentes villes de ce nom en
Grece. Lurille de ThelTahe. Divers liommes célébrés qui ont
illiiAré cc-te Lariffe 3 Pliilipi>c , pere d’Alexandre , Scipion ,
Pûmjiée. Elle fat la patrie d'A chille. IX. 294. b. Etat préfent
de cette ville , aujourd'hui Lor^c. Ibid. 293. u.
L arissu, (Uéogr.) montagne de l’Avabic pétrée. IX. 293.*/.
La RISSE, (Géogr.) riviere de la Turquie Européenne.
IX. 293. m
L A K iS FAN , ( Géogr. ) contrée de Perfe. Ses réi'olutions.
IX. 29^
LA R IX , (B o t.) Tour bâtie du bois de ce nom à laquelle
Céfar lit mettre le feu , mais qu’il ne put réduire en cendres.
Incertitudes fur la nature de ce bois. On ne peut affiirer que
ce foit notre mèlcfc. IX. 293. j . fbyt-,^lNCOM ju st ib le , Bois.
LA RM E , ( A n j i ) Caufe de la traiifparence iU. du poli
de la cornée de l’oeil. IX, 293. u. Source des larmes. Com-
nieut elles font répandues fur toute la lurtace antérieure de
l’oeil. Point lacrymal. Sac Sc conduit lacrymaux. PalFagc des
larmes dans le nez. Comment les larmes parviennent du nez
dans la bouebe. Caufes de répanchement extérieur des larmes
d’admiration; e.veniplcs. Ibid. b.
L arme , ( Phyjîot. Médcc. ) Caufe phyfiquc des larmes. III.
432. J. Flux de larmes habituel : fa caufe ; fon traitement. "V.
81C..1. Fourquoi l’un pleure à force de r ire .X IV . 299. a. Caufes
des firmes involontaires, de leur àcreté , de leur épaiffeur.
X V l î . 370. rt. Foyei Pleurs i- L a c h r 'ïm .\l.
La r m e , (B b jo n ) meubic d’armoire. Suppl. III. 706. a.
Son uf.igeb< fa fignilicution. Jbid. b.
Larme de vigne, (L d t .) Ui'a-os de cec:o eau qui coule
de 1.' vigne au piimems. Suopl. III. 706. b.
L arme de Job , (B o t.) Caraftcrcs de ce genre de plante.
IX. 293. é.Sa defcript'.on. Lieux don:elleoAoriginaire. Ufage
qu’en lire le peuple d'Itaüe & de Portugal en lems de difette.
Les rcügieufcs fc fervent de fa graine pour en faire des chapelets.
Ibid. 296- n. P'oyei G r lMiL.
Lonne de Job. Efpece de ce gern e appelle cairicondj. Suppl.
IL 271. é.
L a rm e s , pierre de, (H iß . na:.) Lieux où on la trouve.
IX. 296. <7.
L armes de verre, ( Phyf. ) Maniéré dont on les fait. Expérience
fingulierc faite avec ces larmes. Explication qu’on en
a imaginée. InfuiRfauce de cetie explication. IX. 29b. n.
L a rm e s , ( f'errene) gouttes qui tombent des parois & des
voûtes des fourneaux v-'trifiés par la violence du feu. Inconvénient
de ces gouttes. Moyen de les rendre rares. IX. 296. b.
L armes , ( Chaffe ) Larmes de cerf. Ufage de cct onguent
pour les femmes qui ont le mal de mere. IX. 296. b.
L armes de plomb, (ChuJJ'e) IX. 296. b.
LARMIER denikubire, (A r ch il.) IV. 847. b.
LARMOIE.MEN T, (Séméiotique) Caufc du fréquent larmoiement
des enfans. C e que prélage le larmoiement dans les
maladies aiguës. IX. 296. b. C e qu’il préfage lorl'qu’il fe rencontre
au commencement d’une tievre aiguë avec des nau-
féës , maux de tête , douleurs de reins, &c. Ibid. 297. a.
L A R R IC C IA , (Géogr.) ville d’Italie, anciemicnient Ari-
cie. Suppl. I. 336. a.
L A R R O N S , (H ß .a n c .) braves qu’on engageoit par argent.
Origine du mot latrones. La corruption fe mit enfuiie dans ces
troupes. La Judée du tems de Jefus-ChriA, & les environs
de Rome InfeAés de voleurs. Différence entre btrones &
grjJJuiores. IX. 297. j .
L T
L a r r o n , (Imprlm.) Signification de ce mot. IX. 297. «.
Larrons, ijledes , (Géogr.) l'oye^ IsLES Marianis.
Luirons. Habitans de ces liles. V U l. 343. b. D>-fcr:piion
des chaloupes donc ils font ufi’.ge. X I ll. 492. b.
L-'s.RROQUE , (Miithku) niiniArc piote.Aant. IX . 380. b.
LA RYN G IEN , ( Aruu. ) Dcfcrlprion des arteres 6c des
veines laryngiennes. Suppl. 111. 706. b.
L A R Y N X , (yJmr.'e/:;,) Dltïé rens diamètres du larynx fiii-
vanc les âges. Caufe des dificrcnces entre les iion mcs 6c
les fcmmc.s , entre les hommes faits & les enfans , par rapport
à la voix. Pourquoi le laiynx pareil moins dans les
femmes, Mouvement du larynx dans le tems de la déglutition.
Cartilages du larynx, IX. 297. b. Scs imifcles, Scs
membranes. Se.s nerfs. Ses gh.ndcs. Uiilhe du larynx pour l.i
compreifion des poumons au moyen de l’a ir , comprcllloa
qui fort à brifer les globules du lan g , 6c à produire le mélange
de l'air avec ce liquide. Ibid. 298. u. Quaiii à l’aélioii du
larynx dans la formation des lens , voy«-,;; Glotte , SCN ,
Epiglotte, T rachée_artere.
La r yn x , (A n a i.) Dcfcviptlon de cette partie fupérieiire
de la t ra chée-anc re. Ctmihigcs du larynx. Scs ligamcns.
Suppl. III. 707. a. Ses mufclcs. Ibid. b. Mitfclcs du larynx
qui ne le trouvent que rarement dans l’homme. Glandes de
cette partie. Ibid. 708. b. Scs nerfs. Ibid, 709. u. Expériences
fur le nerf récurrent. Defeription du larynx de l’oie. Ibid. b.
Lurynx. Cartilage de cette partie appelle feutiforme ou thy-
ro'ide. XIV. 844. b. X V I . 3 1 1. é. Autre dit cricoïde. IV. 463.
U. Glande thyroïdienne du larynx, X V I . ■ )\i.b. Mufclcs du
larynx cricoarithénoïdiens. IV. 463. a. Crico - thyro'idiens,
cticü-pliaryngiens, ibid. Iiyo-ihyroidiens. V l i l . 397. k. Couvercle
du larynx. V . 792. b. Fente du larynx. VII. 722.
Double larynx des oies 6c des canards, XVII . 432. b. 6c
des autres oifeaux. 433, a. Larynx du cochon. 434. b. Larynx
du cheval. Suppl. 111. 384. a. 387.
L a r y n x , ( PhyJioL ) Comment il contribue à la formation
de la voie. XVII . 430. u. 431. a. Son ufage dans la déglutition.
Suppl. II. 688. h.
Larynx , ( Chk. ) Corps étrangers arrêtés dans le larynx
qu’on ne peut ni retirer, ni enfoncer, opération en pareil cas.
II. 433. b. Maladie du laryn x, dite efqulnàiKie. V . 976. b.
LASCAIUS , (Jeun) furnommé RUyndacene : fervices
qu’il a rendus à la ihtcratiire. IX. 409. >1.
L A S C IV E T É , (Mor.de) La lafdvcté cA à proiircment
parler, un vice qui blclTe la pureté des moeurs. Caraélcrcs
6c effets de ce vice. IX. 298. a.
Ldfciveié diAingiiée de l'impudicité 6c de la lubricité. IX.
709. b. DanfeS lafeives. IV. 626. b.
L A S E R , (B o t .) Nombre des efpeces de plantes de ce
nom. Defeription de celle de Maifeille qui eA la plus commune.
Propriétés de cette plante. IX. 298. b.
L aser , (Bot. enc.) plante que les Grecs nommoieut j'I-
pkium, & le s Latins laferpitium. Suc qu’elle répand. Lieux où
elle croît. IX. 298. b. Foyer A ssa foetida 6> Sil ph iu .m.
Laser , ( Mut. médic. ) Pourquoi l’oii a cru dans ces derniers
ficelés avoir perdu ]c filphiu/n des anciens. Deux îones
de lafer anciens, dont l’ime mamjuoit déjà du tems de Pline.
Saumaife croit que toutes les marques du lafer de Syrie le
rencontrent dans la gomme u£it foetidu. IX. 298. b.
LASNE , ( Michel) graveur. VII. 868. a.
LA S SA , (Géogr.) pays dans la Tartarie. Sa capitale. Ses principaux
lieux. Celui de la réfidence du Dalai-lama. LX. 299. .2.
L a s s i t u d e , ( A/fi/r!:.) Deux efpeees; l’une etl'ec d’un
mouvemeiu exceffif, l’autre fpontanée. Attention de ne p.cs
manger durant la laffuiide. Bains ou demi-bains ju-opres à dé-
lalTer. LaAitudes fpontanées confidérées comme lignes de maladie.
Différens degrés de lafiiiiule , lafiitiule ulcéreufe , ten-
five , 6c gravative. Divers prognoAics iiré,s des lalfLudes dai s
l’état de maladie. IX. 296. b. Précautions à prendre loifque li.s
lafTiuides fpontanées annoncent qitclquc maladie. C e que doit
faire k médecin lorfqiie les laffiiudes accompagnem une maladie.
Ibid. 300. a.
Lujfitude. Celle qu’éprouve un homme long-tems debout.
IV. 637, a. Frictions employées contre certaines haffiiudcs.
V IL 307. b.
LA S SOIS , ou LA ÇO IS , (Geogr.) pngiis lutiocenjîs. Canton
du mont I affois , au bailliage de la Montagne en Bourgogne.
Château de Gérard de Rotiffillon. Etymologie du nom
de ce paeus. Chef-lieu du canton. Dlvcrfes obfervatious finie
pays Laflbis. Suppl. III. 710. u.
L A S T , (Commi) mefiire de coiuincnce en ufage pour le
feigle. XIV. 894. a. — Foyeii L ei'H.
LA S T -G L L T , (Comin.) d.’-üit qu’on lève en Hollande
fur un vaifleau qui entre ou qui fort. Ce droit ne fe paie
qu’une fois l’année. IX. 300. u.
L.ijl'gelt, droit qu’on levé à Hambourg fur les vaiffeaux.
Les vailfeaiix françois décharges de ce droit. IX. 300. <t.
L A T A K IE , ou Lutuquk ècLatichci^, (Geogr.) ville de
Syrie. Obfervatious faites dans ce lieu par Paul Lucas. IX.
300. J. Par qui cctie ville a été rebâtie. Ibid. b.
^ L.ATANIER.,
L A T L â TANIER, (B o u n .) forte de palmier d’Aincriqtie. Sa
defeription. Ufage de fon bois , de fes feuilles , 6c de fes
branches. IX. 300. b.
L A T E N T , ( ) Des fervitudes latentes. IX. 300. i.
L.A TÉR A L , ( Géom.) Equation latérale. IX. 300. b.
Latéraux , ( Sinus ) Defeription des Anus latéraux 6c de
la dure-mere. IX. 301. a.
EATHYRE, (Ptolomcc) voycç Ptolomee.
L A T IA R , (L u t. ) fête en rhomieur de Jupiter-Latial. A
quelle occsfiori Tarquin-le-fuperbe l'iriAitua. Comment le
nombre des jours dcAinés à cette fête s’augineiua peu-à-peu.
Ces jours de fetes étoient .appcll-és ferics lutines. IX. 30 t. u.
L A T iC L A V E , (L itt.) habillement de diAim.Aion 6c de
dignité chez les Romains. Ilccliercbes fur la forme du l.uidave.
6c'^tlel’angullidave. Tunique appellee m/7tc.7 clavata. iX. 301.
U. Sorte de tunique appellee lunku recla. C oA à tort nu ou
a confondu la prétexte avec le laticlave. Singularité de Céfar
dans fa manicrc de porter le laticlave. Mot de Sylla fur Céfar.
MagiAiats appelles UikUivU. A g e auquel les fils de féna-
teins portoient le laticlave. Quels furent ceux à qui Oélave
permit de porter cette tunique. Cet liabit prodigué fous les
autres empereurs. Ibid. b. Les dames même ne furent point
privées de cette décoration , qui pail’a jufqii’aux éci.mgcrcs.
Ouvrage a confuher fur le laticlave & l’anguAidavc. Ibid.
502. a.
L.uichvc. Il eA parlé de cct habit romain. V llI . 13. a.
L A T IN E , tangue. Ouvrage où l’on inoiure qu’elle ne lauroit
être une langue mere. XV, i.ii,.b. Commentrufage du latin fut
infenfiblement réduit en France aux aAes publics & au cuite.
X V I . 736. b. En quel tems cette langue cclfa d'etre employée
dans les affes judiciaires. IV . 637. b . \ . 704. VU . 286. b. Singulière
allégorie fur le fort que cette langue tievoit éprouver.
X V . 2i.*i,i>. Des curuHereslutins. U. 646. i . Rapports de ces ca-
raéleres avec les orieniaux. VIII. 77. b. Du c.iruHcrc de U Unguc
l.tùnc. I.X. 262. a. 263. a. Défavantage qu’elle a furies langues
quiontdesarticks. 1.738. é.Del'harmouie des langues grecque
6c latine. IV . 690. u. Le latin eA prefque tour elliptique. IV.
76. b. V. 319. b. Cette langue contient une imilritude de mors
phéniciens. VIII. 87. b. Son énergie dans les inferiptions. 777.
b. Analogic curie le latin 6c le grec. X. 448. Utilité de la
langue latine. IX. 263. b. De la grummairc latine , & de l'urt
de ienjeigner. D e la cotnpofition be dérivation des mots latins.
V II . 1^4. a , b. Le tourpaffif cA plus dans le génie de cette
langue'que le tour adif. IV . 862. a. Verbes latins qui, par
leur compofition , renferment des fous graduels. X V . 667. b.
Recueils -à confulier fur la propriété des mots latins. 738. b.
Différences délicates entre quelques fynonymes latins. !bi.i.
a , b. Analogie des tems dans la langue latine. X V I . 103. b.
Latinité du f ”. Porée. IV, 690. a. Nouvelle méthode d’en-
feigner le latin. 400. b. Obfervation fur les coiiipofiiions latines
qu'on fair au college, l i l . 636. u. IV. 690. a. Direélions fur
h manière d’enlëigncr k latin aux jeunes gens. VI. 87. b. &c.
X, 448. b. Méthode raifomiée de M. du Marfais. V II . jx. Méthodes
de MM. Pluchc 8c Chompré.VIlI. 86o. b. &c. Jeu royal
de la langue latine. X IV . 792. a. Confultez fur la grammaire
do cette langue tous les articles de grammaire , nom , adjcHif,
verbe , conjlruÜion , ccnjiig.zifon , declinuifon, ô-c. De Li piu-
rionci.ition de l.i Lingue l.iiine. Des accens. 1. 63. b. IV. 690. u.
D e la maniéré dont nous prononçons le latin, l. 66. u. Ignorance
des modernes fur fa vraie prononciation. IV. 690. a.
L iiin c , éghfc. V . 423. VIII. 302. u. Liturgie de l’églife
latine. IX. 398. a. Scliifine de l'égUfe d’occident. X IV . 763. b.
Lutines fériés. VI. 307. u , b. Voie latine. X VU . 420.
L a t in e , (M.irine) Voile latine. IX. 302. .1.
'I.ATINISMES, exemples de. VIII. 498. b. 499. 396.
LA T IN IU S , (L itin u s ) favant Italien. XVII . 339. b.
LA T IN S , empire des , ( Hiß. mod. ) efpece d’empire que
les croifés fondcrciit en 1204 fous le regiie d’Alexis-Coinncne.
HiAoirede la fondation de cet empire, ciiii ne dura que 38 ans.
RctablifTemeiu de l’empire Grec qui dura prés de 200 ans.
Conquêtes de Maliomec II, qui mit fin à l’empire Grec. IX.
302, u. Voye^ Royaumes du monde.
L atin s , ( H ß . ccel. ) Conciles où l’on travailla :i la réunion
des Grecs 8t des Latins. Empire (les Latins. IX. 302. u.
LA TM ’UDE , (Goesr. ) Latitiuk fcptcntrionalc 6c méridionale.
Paralleles de latitude. C'cA (ur k méridien (|u'on
mcfiire l.i huituclc d’un lieu. Cette latitude cA toujours égale à
l’élévation du pole. Méthode pour mefurer fur lafurface de
la terre la (|unmité d’un degré de l.ititude. Comment Fe rn el,
médecin du roi Henri 11 , inefura un degré de la terre. Tous
les degrés de latitude ne font pas égaux. Foyc^ DtGRÉ lÿ
Figure de la terhe. IX. 302. b. Moyen de déterminer l'clé-
vation du pôle tant fur mer que fur terre. La connoiffance de
la latitude donne le moyen de monter k globe horlzontalc-
lucnt pour un lieu . pour répondre aux qiieAions qu’on peut
faire fur l’heure aftkiclle, fur le lever ou le coucher du Ibteil
dans cct horizon un tel jour de l'année ; fur la cliitéc des jours,
des nuits, des crêpufcules. Ibid. 303. a. Moyen de trouver
k différence d’heures entre deux différens lieux ds la terre.
L A T loi La connoiffance de la latitude d’un lieu donne celle de l’élévation
de l'équateur pour l'horizoïi de ce lieu. Ibid. b.
Latitude. Degré de latitude terreAre ; leur inefiire 6c leur
grandeur. IV . 762. a. Egalité couAaine entre la latùude 6c k
haiircur du pole. V. 304. b. V l l i . 73. b. Solutions de quelques
problèmes fur les latitudes 6c longiiiuies rdaiivemcm à la
navigation. XI. 36. u , b. ifc. Parallèles de latitude. XI.
906. I l, b.
L atitudes croiffuntes. Latitudes réduites. Ou Parties méridionales
, (Navigue.) Parties du méridien iiir une carte réduite ,
qui augmenrent comme les fccantes des latitudes géographiques.
Utilité des tables des latitudes croiffantes. On ne fait
ordinairement ces tables que pour le rhumb de 45 degrés.
Suppl. .111. 710. b.
Latitude, (Ajlron.) Ce qu’on entend par cercles de latitude
ou cercles fccondaires de l’écliptique. Différence entre
la hnitiule 6c la cléclinaifon. Laiiiudc gcoccmrlque d’une planète.
Largeur que l’oii donne au zodiaque. Latitude héliocen-
trique. IX. 302. b. Quand on dit que le folcil n’a point de
latitude, cela ne doit pas s'entendre à la r.gueur. Foye:^ l'article
Ecliptique à la fin. Phénomènes remarquables lorfque
les plane-es font dans leurs noeuds. Cercle de latitude. La
latitude peut erre feptciurionak afc:;ndaiite ou defeendante.
Foyer ASCENDANT 6< DESCENDANT, übfcrvation fur les latitudes
des étoiles fixes. Ibid. 204.
L a t itu d e s des étoiles , ou leurs dlffances à l’écliptique,
( Ajlron ) Changement qui arrive d.ms ces latitudes par l'eft'et
de l’aitraflion des planètes fur l’écliptique ou l’orbite terreAre.
Mouvcniens en latitude , particuliers à arAure 6i à fyrius.
Suppl, in . 710. b.
Luùuide. Argument de latitude. I. 649. a. Cordes de latitude.
II. 833. b. La Litiiude des étoiles ne change pas fenA-
blement. V ! . 64. a. Latitude gcocetiiriquc d'une planete. VU ,
606. a. Latiuule héliocentrique. VIII. 102, .7, b. Latitude de
la lune. IX. 728. b. Parallèles de latitude. XL 906. a , b. R i-
fraélion de latitude. XIII. 90O. u. Quelle cA la plu> grande
latitude héliocentrique des diftéi entes p ianotes, voyet^ Incli-
NAI.SON DES orbites. XH. 692. a , b. 706. b. Articles tirés
des Supplémens. Différence entre la htitnrle géocencrique 6c
la latitude hclioccntricpic des planètes. Suppl. lU . 370. i. Varia-
t'ons dans la plus grande latitude héliocentrique. Ibid. Points
où lu latitude d’une pl.uicic eA la plus grande. 748. b. Cumnient
on cléicrminc par les obfervatious les latitudes cLs planètes 6c
de.s étoiles, 773. a , b. D e la dérerminatiun de celle de la lune.
813. u. D e l’aberration des étoiles fixes en latitude. Suppl. IV .
902. a. 903. b. Influence do la variation de l’obliquité de l’cclip-
cique fur leur latitude. 917. u. Tables qui indiquent leurs variations
en latitude. 917. a , b. 918. é. 9I9. n. Table pour trouver
dans les points de la fplicrc où le cercle de cléclinaifon c il
pcrpendicul.iirc au cercle de latitude , 1°. la latitude , A la
longitude eA donnée ; 2". la longitude , A la latirude cft donnée.
921. b. Tables des longitudes 6c latitudes pour les dlft’érems
degrés d'afcenfion droite 6c de cléclinaifon. 924. <7.
jL A T ITU D lN A lR E , ( Géogr. ) nom donné à une certaine
efpece de tolérans. Lie mimllre Juricu étoit de ce nombre.
Ouvrage que Bayle a publié contre lui. IX. 304.
L A T IU M , ( Géogr. une. ) Or igine du mot Latium , & du
mot latin. Rien de plus incertain que l’ancienne liiAoire du
L.ti-nm. Accroiffement du Latium par les viéloircs de Rome.
Différence entre l’ancien 6c le nouveau. Férocité des anciens
peuples du Latium. Leurs fttcrifices humains abolis par Hercule.
IX. 304. b.
L a t iu m , ( Géogr. ) Etendue de l’ancien Sc du nouveau
Latium. Etat inculte où ce pays le trouve aujourd’hui. Suppl.
III. 7 1 1 . .7.
Latium. Guerre des peuples du Latium contre lès Ramains.
X V . 231. b.
L A TM O S , (Geogr. anc.) ancienne ville de I'lonic clnns
l’A ile mineure. Révolutions de cette ville. Launos, montagna
de ce iior.i. IX. 304. b.
LA TO BIU .S, (L i i i .) dieu des anciens Noriqiies. Inferiptions
oii il en eA [larlé. IX. 303. a.
LA TÜ BRIG ES , les , ( Géogr. ) ancien peuple de la Gaul*
au voifinagc des Flelvéticiis. Recherches lur le pays qu’ils
occiipoicnt. Paffage de Céfar oii il en eA parlé. IX. 303. u.
L a t o m i e s , ( Geogr. Hijl. ) lieu oîi l’on coiqioit les pierres.'
Les anciens nommcrcut latomies divers endroits de l’Italie , de
lil Sicile, 6c de l’Afrique. Obfervaiions fur celles de la S icile.
Grandeur de celle que Denys fit creufer. Le poete Philoxene
concl.rmné aux latomies. IX. 303- a. Foye;^ pRlsON.
LA TÜ N E , ( Myth.) HUlolre de cette déeffe. IX. 303. .1,
Elle avoit un temple en E g yp te, à Délos , 6c. dans Argos.
Autres peiqiles qui riionorereiit, Déeffes les plus honorées
des (lames Romaines. Ibid. b. _
Latone. Rencontre qu’elle fit du ferpent Pitlion. XI. 741 .
b. Le coq attribut de Latone. XV. 730. a. Ses temples. X V I .
73, b. Cette divinité nommée SoAcne. X \ 'll. 744. b.
LA TK AN , ( Théolog. ) originairement, nom d’homme ; 8c
enfuite, palais 6c égUfe de Rome. CoïKilcs de Latrau. Ciia-»
C e
M