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154 M O R
V I 106 h. Morts fuMtes causes par quelque blclTure cle la
moelle cpinicre. IV. 854.^- par violence extérieure 843.-
bar (les caiifés légères en apparence, ib,d. par luftocation.
842. b. Dclcription de la mort par liériiorrhagie. biippl. iv .
7Ô. a. Ce qui conflitue la caufe eflentieUe de la vic , «nd
de plus en plus à devenir la caufe qui la iait celTer, VI. 66b.
b. Proportion dans laquelle les perlbnnes meurent dans es
Villes & à la campagne. X IV . 18. b. Sur la proportion (les
naiiVanccs & des morts, Naissance & A riteimeti-
QUE POLITIQUE. Auteurs qui ont écrit iur ce lujct. bupyi.
IV 359. b. 360. b. 362. Pourquoi les parties des animaux
morts de mort v iolente, conCervent pendant quelque tems
uli relie (le rentoilitc.XV. 42, é. 50. u. Des moyens donc on
fc (en pour salVurer fi un homme vit encore. Suppl. IV. 70.
b Etat des cadavres de ceux ([ui font morts d excès de chagrin
ou de joie. 856. h. De l'état de la prunelle dans les morts.
632. b. Voye^ C a d a v r e .
iVÎORT , /tt, ( Criùq. Jucr. ) ce morc dont il eft parlé Daiter.
xiv. I. ert Adonis. Les Juifs regardoient comme fouilles
ceux (jui habitoient dans la maifon d’un mort ou qui le tou-
choiem. X. 718. So uil lu r e .
Mort , ( Myr/wl. ) comment les anciens ont parle de cette
divinité. Comment ils la repréfentoient. Sacrifice qu'on lui
ofi'roit. Vers de Malherbe fur la Mort. Son temple en Phénicie
Defeription du temple de la Mort par Buckingham.
X . 718. U. , , .
M o r t , ( Liirir.) fymbole par lequel les anciens reprefen-
toicm la féparatioii de l'anie & du corps. XI. 876. u. Ftar-
jmiles confacrccs en latin pour éviter le mot de mûri. XII.
76. b. Comment les anciens Romains confidéroient la mort.
Siipp!. II. 902. J. , V O ,
Mo r t , ( Mcdcc. ) fymptôme de l’état de mort. X. 71b. b.
Deux degrés remarquables de mort, qu’on peut diflinguer
Ëar les dénominations de mon imparfaite Bc de mort .thjalue.
)u tems qui fe pafle entre ces deux différens états. On a vu
des pci-ronnes imiter une mort imparfaite, par le feul aéie
de leur volonté, & fufpendre toutes leurs fondions vitales.
Traité fur l’incertitude des figues de la mort. Divers exemples
de réfurreéhons naturelles dues à d’heureux hafards, ou
à des circonf-iiices inattendues. Jbid. 719. a. Exemples de
morts relfufcites qui ont perdu la vie fous le couteau anatomique;
d'aunes perfonnts que l’on alloit enterrer ou qui
l’étoientcléjà, que la tcndrelTe offideufe ou l'incrédulité d’un
amant, d’un parent, d'un ami, ont retiré des bras de ja
mort. Quelques morts dont I’enterrcment avoir été di0éré ,
font revenus à la vic dans cet intervalle. Ibul. b. Enfin il y
a eu des perfonnes , qui rnppcllccs à la vic dans le tombeau,
xim été allez heureufes pour faire entendre leurs cris à des
gens que le hafard amenoit dans le vmfmage. Il arrive donc
que pluüeurs meurent .tbfolurtient, qui auroiem pu revivre li
(jn eCu apporté a propos des fecoiirs convenables. Mort terrible
que CCS gens-là doivent éprouver. Exemples. ILid. 720.
a. Lon«’ imerv-allc qui peut s’écouler entre la mort imparfaite
■ & la mort abfolue. Cette afl'eriion , démontrée particuliérement
par l’exemple de plufieurc noyés. Maladie dont les
anciens ont parlé fous le nom da7rv>tç , qui veut dire fans
rejptrauon. L’hiÜoire naturelle fournit dans les animaux plii-
feu rs exemples de la polTibilitc d’un tel état. Ibid. b. Caitjes.
Fonaions effcniiclles à la vie. Néceffité de la rcfpiiation.
Q u e lq u e foit le méchanifme de l’aéHon du cerveau fur les-
^ganes de lu refpir.ition & de la vie , il eft certain qu’elle efl
néceiTaire au jeu des nerfs. Cependant le coeur continue c{uel-
quefois de battre affez long-tcms, malgré la ligature ou la
feéfion des nerfs cardiaques. Ibid. 721. a. L'ingémeufe dif-
linélion des nerfs qui nailfcnt du cervelet , d’avec ceux qui
tirent leur origine du cerveau , ert purement arbitraire &
abfoliiineni nulle. La caufe du mouvement du coeur ne réfide_
point clans les ncif's qui s’y diflribuent. Unique moteur aélif
de ce vifeere. Toutes les caufesde mort tendent à fufpendrc
les mouvemens du coeur. Quatre façons particulières de mourir.
1 '. La mort de la vieillelTe. Caufe de cette cxtinélion.
Jbid. b. La mort violente. Ses différentes caiifes. 3". La
mon fuhitc. A ne confidércr que le préfent, c’eft la mort la
moins dél'agrcable. Jbid. 722. b. Caufes diverfes de ce genre
(le mort. Ibid. b. 4®. Mort de maladie. On peut la regarder
comme une des lerminnifous des crifes de la maladie , oii la
nature a eu le delTous. Différentes terminaifons des maladies
ai'HÙs. Catifes de la more dans ces maladies. Signes généraux
qui chez ces malades annoncent la mort prochaine, /fia'.-23.
a. Defordres dans les vifcercs qui ont fouvent accéléré éc
déterminé la .mort. Caûfes cie mort dans certaines gangrènes
internes. Autre caufe, la trop longue abffinence d’allmens
(|ui détruit les forces. De la mort à la fuite des maladies
chroniques. Comment ces maladies tendent ;i h mort. Pourquoi
la Icfion d’im vifcerc particulier entraîne la cefTation
des mouvmcns vitaux, Ibid. b. Défordrcs obfervés dans le
corps f - <.,us qui font morts de maladies chroniques. Dans
les ma',-diîsaigues, il arrive rarement que la guérifon foie
l'cuvragv du médecin , & au coutrauc la mort doit fouvent
M O R M O R
être imputée à fon imprudence. Au lieu que dans les maladies
chroniques , les reinedes font quelquefois curatifs, Sc
la mort y eft ordinairement l’effet de la maladie abandonnée
à ellc-méme. Exemples. Jbid. 724. a. Effets de la mort
appellee impat'faite. Ibid. b. Dans cet é ta t , le coeur peut
encore, étant irrité, recommencer fes battemens : Bc c’eff
dans là coniinuatioli de cette propriété que confifle la mort
im parfaite, dont il eff polfible de revenir, fur-tout lorfqu«
la mort doit être attribuée au fpafme du coeur. Caufes de la
mort abfolue qui vient enfiiitc. Quels font les cas où elle luit
de près. L)t.ienoJlic. Tentatives qu’on doit faire pour s’aflurer
fl le fujet qu’on examine eff véritablement mort. Signes de la
mort abfolue. Ibid. b. ü n doit être très-circonlpcél à décider
que ce dernier terme eff arrivé. J^rognojhc. Il cft des cir-
coiiAances où l’on peut alTiircr que ce que nous appelions la
mort imparfaite , elt avantageux pour le rétabliffement de la
machine. Quelles font les cl'peces de morts où les efpéranccs
qu’on peut donner font les mieux fondées. Quelles font
celles où le retour à la v ic ell impoffiblc. Jbid. b. Curation.
Julqii’à ce que la purréfaélion nianifeftée faffe connoître que
l'iir.tabilité eff anéantie , on peut clpércr d’animer ce principe
, Bc on ne doit rien négliger pour y réiiffir. Célébrité
que fe domicrcnt Empédocle , Apollonius de Tyane,/fi</.
726. a. Si. Afclépiude , en opérant des réfurreélions très-naturelles.
Moyens auxquels doit avoir recours un médecin qui
fe propofe de rappcllcr un mort à la v i c , après s’ètre affuré
que la mort n’efl qu'imparfaite. Comment une fage-femme a
r.appcllé plufieiirs eiifans nouveau-nés à la v ic. Ibid. b. Secours
imaginé par la tendreffe, & conlacté par beaucoup d’expériences
Bc d’übfcrvations. Moyens particuliers de rappcllcr à
la vie ceux qui font morts cie froid. Secours avantageux aux
pendus qui n’ont pas été luxés. Comment on peut cliffiper la
m o rt, lorfqu'elle n’eff qu’ une aft'cclion ncrveulc. Quels font
les cas où les fecours ne doivent pas être trop prompts. Jbid.
727. a.
Mort. Caufe de la mort en ce que l’exercice de la fenfibilitc
dans une partie efl trop long teins lufpendu. X V . 42. b. Mort
apparente, l. 761. a. D e la mort apparente Bc des moyens à
employer en ce cas. Suppl. IV. 70. a. Suppl. III. 883. a. Exemples
de gens ramenés à la vie après avoir été fous les eaux
pendant un tems confidérable. XI. 269. a , b. Maniéré de
rappeller à la vie un homme que le froid femble avoir fait
mourir. V . 682. a. VU . 331. u , b. 471. 541. a. X I.
88. b. C'eff un précepte très-dangereux que de dire vague-
menr que la puiréfaélion eft le figne infaillible de la mort.
XIII. 589. rf.
Mo r t , {M-fralc) Comment Marc-Antonin combat k
crainte de la mort. 1. 329. a. Doflrinc d’Ariftote , d’Epic-
tete , de Séneque Bc de Cicéron fur la mort. 339. b. Fes-
fée d’Arcéfila, lùr le même fujet. XII. 662. ü.Paiïage d’Hc»-
race fur la néceffité de mourir. III. 569. b. Mort philofo-
phique , felon les principes de Pythagore. X llI . 617. b.
Les anciens Scandinaves mouroienc avec joie dans les comb
ats, Bc craignoient de mourir de maladie. VIII. 918. b.
919. il. Peuples qui fe rejouiffoient à la mort de leurs proches,
il. 783. a. V. 106. a. X V I . 572.' b. Combien le fort
de l’homme vertueux eft préférable à celui du méchant
Bc du voluptueux aux approches de la mort. II. 244. a , b.
X. j i j . a. Réftexion fur ce pro verbe, on ne doit appeller
perfonne heureux avant fa mort. VIIL 193. a. D e l'iiiiré-
pidité à l’égard de la mort. 843. a. X. 716. b. 7 17 . a. llé-
fignation à l’ordre de la nature qui nous appelle à lui rendre
ce que nous en avons reçu. X V II . 234. b. Vers d’Ad-
diffon fur l’horreur que les hommes ont de la mort. V I .
123. b. Vers de l’abbé de Chaulieu fur le mépris de la morr.
XV II . 223. b. 11 n’y a point de chrétien qui ne dût fe réjouir
à la mort de fes enfaiis. II. 7^']- H n’y a que ic
chrétien qui puiffe braver la mort, XIV, 496. é. 497. u.
M o r t civile^ {Jurijpr. ) Trois caufes différentes de mort
civile chez les Romains. Changemens qui étoient appelles
maxima , minor, & media capitis diminutio. Le czar Pierre
I , condamnoit des gens à être fous, ce qui étolc une forte
de mort civile. Divers cas dans lefquels la condamnation
emportoit mort civile avec perte de liberté, chez les Romains.
X. 727. b. Quels étoient ceux qui perdoient le»
droits de cité fans perdre leur liberté. Effets qu’opéroit la
mort civile. De la mort civile en France. Efclavcs dos colonies
(lui ne joiiiffent , ni de la liberté , ni des droits de
cité. iJilférentes caufes de mort civile. Peines qui opereur
cette forte d’état. Ibid. 728. a. Droits que perd Bc ceux:
que conferve un homme mort civilement : divers eifetsde
la mort civile. Lettres [^ar lefqiielles l.i vie civile jieut être
rendue. Ibid. b. La prefcriptioii ne la rend pas. Loix Bc autres
ouvrages à confulter./W. 729. a.
Mort civile des religieux. V. 367. b. XIV. 78. a , b.
Mo r t -n é , enfant, {Jurifpr.) V. 633. b.
M o r t , adj. ( Idif. thcolog.) impureté cjue les Juifs con-
traélolcnt par la mort. X. 718. .1, X V I . 79 1 . b. Ufage des
Roinaiix» d’appellcr trois fwo par fou nom celui qui étoU
mort. in . 819. b. Refpeél religieux que les païens avoiertt
pour les lieux où l’on croyoit que les aines des morts er-
roicnr. XI. 292. a. Prières pour les morts. XIII. 361. b.
Viatique mis dans la bouche des morts pour payer le pnf-
fage à Caron. IV. 620. b. XVII . 229. b. Fêtes des Romains
2 i'iionacur des morts. V I. 303. b Sacrifices qu’ils cclébroieiu
pour les morts. VIII, 700. b. X IV . 481. a. Des morts dans
la religion mahoméiane. Examen que deux anges font des
morts dans le fépulcre, félon l’alcoran ; état des aines des
morts , fclon le même livre , en attendant le jugement. XI.
89. a. Férc japoimoife en l’honneur des morts. II. 320. a.
Fête des morts parmi les Ihiivages d’Amérique. VI. 372. é.
Prières pour les morts chez les chrétiens. 1. 482. h. XIÜ.
362. a. Du baptême pour les morts. II. 63. b. Dans quelques
pays catholiques on tliftribue Bc on mange des fèves
le jour delà commémoration des morts. V I . 630. b. Fête des
morts. XVI, 393, b,
MO RTAISE. ( Charpent. ) Comment on fait les mortaifes:
affemblage à moitaife. X I I 1 .3 i .u , é . A s semblage ,
Bcles planches de charpenterie, vol. I I , pl, 3.
M O R T A L IT E des beßiaux. Ses caufes. Symptômes de la
maladie qui entraine mortalité dans les beftiaiix. L>efcription
de la mortaitié la ])lus remarquable dont nous ayons con-
noiffancc, Bc qui le réjiandit en Suiffe, Allemagne, Pologne
, 6t . Quelles en furent les caufes. Remedes qu’on
mit en iifage. X. 729. b.
M o r t a l it é , {F J iß.n at.) comparalfon des différentes
tables qui ont été faites pour montrer l’ordre de mortalité
du genre luiiuain. XVII . 2 3 1 . .; , b. 2^1. a , b.
M O J vTA RE, ( Géogr. ) ville du Milaner. Suppl. III.
7 13 .E
M O R TE L , péché , ( Théolog. ) XII. 226. a.
MO R TEM ER , {Géogr.) abbaye de Bernardins en N o r mandie.
Sa fondation. Evénement remarquable arrivé près de
ce lieu. Suppl.Wl. 963. b.
M O R T -G A G E , (Jurifpr.) Le mort-gage eft oppofé au
v ’if-gage. X. 729. b. Dans quelques coutumes , les peres
avantagent leurs enfans par des morts-gages. Difiérentes acceptions
du terme morl-g.igc, Ibid. 730. a. P'oye^ Gage-
Mort.
Alun-gage , mariage à. X. 1 11. <7.
M O R T IE R , ( ) Exccll eut mortier qu’avoient les
anciens. Divers auteurs qui ont indiqué les meilleuies maniérés
de faire le mortier. Choix du fable. Sa proportion
avec la chaux. Maniéré de mêler le mortier. X. 730. a.
Différentes efpcces de mortiers , favoir le blanc , celui dont
on fe fert pour les aqueducs , Bc le mortier pour les fourneaux.
Caufe du ])cu de foliditè des bâttmcns modernes.
D ’où (lépt-nd la bonté du mortier. Les liabitans des côtes
de Barbarie bâtiffent avec la même foliditè que les Carthaginois.
M onier qu’ils emploient. Ibid. b.
Mortier. IX. 823. b. Travail du mortier ; fes différentes
qualités. Suppl. II. 380. b. Manière de faire le mortier, la
chaux étant préparée. III. 263. b. De la formation du mortier
: la théorie de cette formation peu connue des eby-
miftes. 266. b. Mortier fait avec le marbre. X. 71. a. Efpcce
de mortier que les Latins nommentfigninum opus.XW 190.
a. Mortier fait av tc la terre de Pouzzole. X V I . 174, b. E.'pece
de mortier appLÜé torchis , 422. a. boufillage. Suppl. II. 42. b.
Des moniers pour les couvreurs. 648. a.
Mo i '.t iek , ( Jurijpr.) Le mortier a été porté par quelques
cnipcrau-.s de C^oniianrinopic. Les rois de France s’cii l'ont
aufli fervis. X. 730. b. Origine du mortier des préfidcns au
parlement. C.elui du thimcelierBc du garde des fceaux. Celui
(lu ])renilcr préfuiem du parlc-meiit Bc des autres prélldens.
M.inieicde le porter, ou fur l.i tête , ou à la main. Les
barons le pcTiem au-dellusde leur éeuffon. Ibid. 731. a.
AU nier. D ifé ienc c qu’on mettoit autrefois entre les bonnets
Bc les moniers. 11, 324- a.
M ortier , ( Chymic ) Les cliymifles fc font fait des mortiers
(le beaucoup de différciues maricres , pour y traiter
fans inconvénient les clift'erens fiijcts- métalliques. Leur ufage.
Cl,uul mortier du laboratoire. Petit mortier : métaux dont
CCS moniers doivent être faits. X. 731. a.
Mortiers de cuivre des apothicaires. IV. 347. a.
Mo r t i ir de veille, {Hiß. mod.) jictlt vaificau d’argent
rempli d’eau , fur laquelle i'urnageun morceau de cire ayant
xin lumignon pour éclairer la cliainbre du roi de France,
lorfqii’il eft couché. X .y ^ l.a .
Mor tier, {J rtillcr.) Ancienneté de l’iifage des mortiers.
Premières bombes jettées avec le mortier. Ingénieur qui a introduit
en France l’iifagc des bombes. Différens diamètres des
mortiers.^ Explication d’un mortier de douze pouces, contenant
fix livres de poudre. Mortiers à cliahibre cylindrique , à
diaml.'re concave , fphcriqiie , à poire , Bc à cône tronqué.
Idiambres les plus avautageiifes. Ce que dit Belidor fur les
différentes chambres des mortiers. X. 731. E Table des dimcnfions
du mortier de douze pouces de diametre , à chambre
cylindrique, & du mortier de huit pouces trois lignes ,
M O R Z35
a,uffï .*1 chambre cylindrique. Table des dimenfions du mortier
de 1 2 pouces de calibre, à chambre-poirc , contenant cinq
livres Bc demie de poudre. Table du prix desfaçonsdes mortiers
& pierriers, à Paris, D o u a y , Strasbourg , Lyon Bc Perpignan.
EJes inltruinens ncceffaires pour charger le mortier Bc cie
la maniéré de le charger. Ibid. 733. E De la pofition dû mortier
pour tirer une bombe , Bc de la ligne qu’elle décrit pendant
la durée de fon mouvement. Maniéré de pointer le mortier.
Ibid. 734. a.
Mortier. Chambres dans les mortiers. III, 63. b. 63. a.
Lumière du mortier. IX. 724. Defeription de fon affût’.
I. 164. a. Manière d’éprouver les mortiers. V . 839. a. Batterie
de mortiers : inftruéUon pour le fervice d’un mortier
de douze pouces à un fiege. II. 150. E Du fervice des petits
mortiers 6c de ceux à grenade. 131. b. Tirer un mortier.
X V I . 343. E royei(_ particuliérement l’article Bombe.
Des balles à feu qui fe jettent avec le mortier. Il, 41. a ,
E Mortier pour éprouver la poudre. V . 839. XIII. 193.
a. Mortier pour jetter les perdreaux. XII. 333. Pierrier,
cfpece de mortier. 601. a. Lu catapulte des anciens regardée
comme fupérieure à nos mortiers. IL 768. b. Foyer les
planches de l’art militaire , vol. 1 , 6c celles de fonderie , vol.
V . Pointer un mortier, Jbid.
MoRTi£R-perdreaux , {Fortifie. ) en quoi confifte le fervice
de cette machine compofée. Origine de fon nom. Ufage qu’on
en fit dans la guerre de 17 0 1 .x . 734. E
Mortier J la Coehom , ( Fortifie. ) X. 734, E
Mortier pelotes , ( Fond, en fable ) X . 724. E
M O R I IF IC A T IO N , Macération , ( Syrio/i. ) IX. 790. b.
Mortification, {Midec.) Gangrene , Sp h a -
CELE.
M O R T IM E R , explication de la chaleur animale felon ce
doéleur. III. 33. a.
MORT OISE , ( Charp. ) Foye^ Mo r ta ise .
M O R T O N , ( Thomas) théologien Anglois, X V II . 672. a.
M O R TU A G E , N eufme. XL iiG .b .
M O R TU A IR E , drap, ( Antiq. ) nommé peplus paries
anciens. X il. 324. E
M o r tu a ir e , (7i/r9^r. ) Rcgiffre mortuaire. Extrait mortuaire.
Droits mortuaires. Celui que cjuelques curés pre-
noient anciennement dans la fucceffïon de chaque défunt. X*
7 3 3 . -rt.
Aiortuaire. Préfent mortuaire. XIII. 214. a. Rcciftre mortuaire.
X IV . i 8. i. “
M O R V A N , ( Géogr. ) canton en Bourgogne Bc en Niver-
nois. Suppl. III. 963. E Ancien nom de ce pays. Evénemens
remarquables qui y font arrivés. Principaux lieux qu’on y
rtimarquc. Qualité du pays. Son commerce. Hommes célébrés
nés dans le Morvan, Ibid. 964. a.
MORUE ou A/u/«e, { Ichthyol.) defeription de ce poiffon
de mer. Abond.ince des morues au grand banc de Terre-Neuve.
Forte digeffion de cet animal. La morue eft lui poilîbii très-
goulu. Morue blanche , morue verte , Bc merluche. Quelles
loin les meilleures morues. X. 733. E
Morue, voye:^ C a b l ia u . Efpeces de morues dites baard-
man , Suppl. I. 740. b. barbeau d’Aroiike. 803. b. Morue re-
préfentée vol. V I des planch. Régné animal, pl. 34,
M o r u e , {Pèche) Lieu où s’en fait la pêche. Découverte
du grand Bc petit b-anc des morues. Tems Bc maniéré de la pêche.
X, 733. E Préparation de la morue auffi-tôt après qu’on
l’a pêchée. Q ui font les plus liabiles pêcheurs de morue. Ibid.
736.^.
Morue. Inftiument appellê faux, dont on fc fert pour la
pêche de ce poiffon. V L 442. E Poignées de morues, terme
de falines. X IL 863. a. Obforvations fur la pêche de la morue
près de Terre-Neuve. XVI. 181. E
M O R V E , mucofitédu nez. X. 847. a , E
Mo r v e , {Marcch.) maladie des chevaux. Defeription da
nez de l’animal Bc de fes dépendance.s. X. 736. </. Pourquoi le
cheval vomit Bcrcfpire par les nafeaiix, Bc jette par les na-
feaux le pus qui vient du poumon. Ibid. b. Defertpston de la
maladie diftinguée en morve proprement dite , Bc morve improprement
dire. La premiere diftinguée à raifon de fa nature
, en fimpleSccii compofée, primitive Bc confêcutive ;
à raifon de fon degré , en commençante , confirmée , Sc invétérée.
La fécondé diftinguée en morve de morfondure , 8c
morve de pulinonie, 6'c. Ibid. 737. a. Caufes de cette maladie.
Symptômes. Ibid. E Caufe de l’engorgement des glandes de
deffous la ganache dans la morve proprement dite. Ibid. 738. a.
Pourquoi dans la gourme , dans la morfondure , Bc dans la
pulinonie, les glandes de deffous la ganache font quelquefois
engorgées, quelquefois ne le font pas. DiagiiojUc. DitHculté
de bien diftingiicr cette maladie. Jbid. b. ÜM'ervations qui
pourront fervir de regie à cet égard. IbiJ. 739. a. PrognoJUcu
Symptômes. Jbid. b. Recherches fur le fiege de cette maladie.
Ibid. 740. a.
Morve , Suppl. III. 393. a. 406. E 407. a , E Sur la
caufe de cette maladie , voyer III, 307. a. Différence entre
morve 8c goqrme. Suppl. III. 419. a.