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576 R E L
aviga'.cnte. Variety Infmii: dans la ciiiaiuite prcclfc do ccttc
reciotioii. Abfoiptioii qui <o fait dc hi panic la plus aqueufe
tie I'lirine dans la nüilîc dii fang. Ihul. 602. .t.
Ràiis , leur defoription. VIÜ. 272. b.S u p p t.ll. 614. l>.
Ball'm des reins. Ü. 1 24. a , h. Suppl. 1. 826. <i, h. VaiiToaux
qiii aboufilfetic aux reins. V. 602. a. Caroncules papillaires
«les reins. XI, 872. b. Jeux de la nature fur les reins. Suppl. III. 552. b. 5^^. .2, b. l'oyc{ Lombaire & Rénal.
Rci/is , jeux de la nature fur le nuinbre , la fmiation, XIV.
4^. .2. la grandeur des reins, leur connexion , leurs vailfeaux
éc leurs canaux excrétoires. Concrétions pierreufes dans les
reins. Anatomilles qui par leurs découvertes ont fait con-
noitro de plus en plus cette partie du corps humain. Ibid. b.
Reins , aHions des, ( Phyfwlos. ) ils font deftinés à rece»
voir la matière de riiiine. 'XIV. 46. b. Raifons qui font
füiipçomier à quelques anatomiftes qu'il y a d’autres conduits
que ceux dos reins qui fe déchargent dans la velhe.
Ühfei-vations qui combattent ces raifons. Examen de la maniéré
donc les reins filtrent l’urine. Ibid. 46. a. Pourquoi
lorfqu’on a jeûné long-tems l'urine efl fort jaune tk fort
acre. Caiifc du pufement de fang. Celle de la lupprcllion
d'urine par le gonllement des ancres , &. par le retrécille-
jnent des vailîeaux. Ibid. b. Caufe des concrétions dans les
tuyaux qui filtrent I'niinc. NéceiTué de cette partie qui
forme une efpcce d’égoiu où fe rendent les urines. Ibid.
47. .2.
Rei/is, état & iifage des reins avant la naiirmice. VII.
5. b. Sympathie qu'ils ont avec d'autres parties. X V . 739.
.2. Obfcrvaiions forces organes à l'article U rine.
Reins, Iii.iludics des, (^Médee.) Énumération de ces maladies,
de leurs fymptdmes & de leurs effets, avec un court
expofé de la maniéré de les guérir, ou de les adoucir fi
elles font incurables. X IV. 47. u.
Reins , jnsUJics des. Remedes contre leur foibleffc. XVII .
338. .2. Uf.ige du bois néphrétique dans les maladies des
reins. II. 309. Spécii'ique contre la difjjofition des reins
à former la pierre on le gravier. X V . 443. b. Opération par
laquelle on tire la pierre du rein. XI. 98. u. Vers dans les
reins. XVII . 44. .2.
'Kwas ,fuccenturi.uix, {A n iit.) Jeux variés que ces corps
oîfrcnt aux anatomiftes. Leur defeription. Leur ufage ell encore
ignoré. X IV. 47. b. Fayei RÉNALE, G landes , &
C apsule atrabilaire.
Reins fuccenturies, cjpfulcs atrabil.ùres ou rénales. Glandes
qu’on rencontre d.ans les quadrupèdes Scies oifeaiix. Leur
Jiiuaiion, figure. Suppl. IV . 602. a. Sc llru<Sure. Leurs vaif-
feau.x Sc nerfs. Ibid. b. Découverte que quelques anatomises
ont cru avoir faite d'un conduit excrétoire de la cap-
fulc rénale. L'ufage des capfules eiuiérenient inconnu. Hy-
pothefes fur ce fujet. Ibid. 603. a,
Rei.vs du cheval, ( Maréeli. ) bonnes 6c mauvaifes qualités
des reins du cheval. X IV. 48. a.
Reins du chev.zl. Suppl. III. 3 98. b. avoir des reins ou du rein.
IV . 269. a. Efforts de reins. V. 410. a , b. Pierre dans les
reins. Suppl, lü . 394. a.
Reins, (^Criiiq. jder.) acceptions de ce mot dans l'écrl-
liire fainte. X IV . 48. a.
Reins , pierre des , {HiJI. nai. ) pierre d’aigle. XIV. 48. a.
Reins de voûte, [^Coupe. des pierres.') X IV. 48. a.
R É iN T É G R AN D E , l^Jurifpr.') aélion par laquelle celui
qui a été fpolié par violence de la poffedion d'un immeub
le , fe peut peurvoir, afin d’être réintégré dans fa polTcf-
fion. Origine dc cette aflion. Maxime de droit fur laquelle
la réintegrande eft fondée. X IV. 30. b. En quoi la réinié-
grande différé dc la complainte. Deux maniérés de poiir-
f'uivre la réintegrande, favoir civilement 6c criminellement.
Juges devant Icfquels fe fait cette pourfuite. Antres détails fur
les cas au-xquels cette aélion peut donner lien. Ouvrages à con-
fiilrer. Ibid. 5 i.a.
Reir.tègrnnde, aSlion de. XIII. 163. a , b.
R ÉINTÉG RER, ( Jurifpr. ) réintégration des meublesd’un
locataire , réintégration d'un prifonnier , réintégration d’un
OiHcier. XIV. 3 i. ^ , i>.
RÉJOUISSANCE , Récréation , Diveriijfement , Amufe-
ment : fignirications deces mots.IV. 1069. b. Déeffe de la ré-
jouilTancc. XVII. 367. b.
REIS-£ F F£Ni)I, officier turc. X VI. 736. b.
REITA , ( k Pere) capucin allemand : fon ouvrage de diop-
trique. IX. 744. a.
R E L A CH A N T , ( Thérapeiu.') différence entre les émoi-
liens 6c les rdàclians , confidérés dans l’ufage intérieur. Relà-
clunsconùdérésdansl’ufage extérieur.XIV. 32. j.
Relâchant, voyr^; D elayant , NARCOTIQUE, Ramollissant.
Des émolliens relâchans pour les inflammations.
V l î l . 719. b.
P1.ELACHEMENT, i^Médec.') caufes d e là maladie défi-
gn ;e parce nom. Ses fuites funeflcs.Moyens deguérifon. X IV.
52. J , b.
RcLihcment des fibres , détails fur cette maladie. VI.
R E
fiy i. b , &c. IX. 317. a , b. Ccttc maladie caufee quelquefois
]>ar riuimidité. I. 233. b. Maux qui proviennent du rc-
lâclieniein des folidcs, Remedes. III. 607. b. Utilité dc la
compreffion dans les maladies qui nailTcnt du relàchcnicnt des
fibres. 776. /’. Effets de réi[uilibre rompu dans l’économie ani-
maic par le rohidicmcm dc qiiebjiie partie. V . 873. u , Z>, 6cc.
Sur le relâchement, D ébilité.
Relâchement , {Ahrale ) IV. 917. b.
RÉLAN D , ( Adrien ) éloge de cct auteur : fes ouvrages.
VI. 421. .r.XlV, 430, .J.
R E L A T IF , ( Gr<r;nm. ) divers iifages que les grammairiens
font du terme reUtif. i. On appelle relatif tout mot
qui exprime une relation à un terme conféquenc donc U
fait abftradion (voyt^XVI. 136. i ) . Il y a des mots deplu-
fieurs cfpcces qui font relatifs en ce feus , favoir , i '‘. des
noms, parmi Icfquels les uns font fimplement relatifs, les autres
le font réciproquement ; XIV. 3 3. /t. 2". quelques adjeélif's, Sc
ce font ceux qui défigneiu par l’idée précife de quelque
relation générale, comme utile, nécejfaire. Sic. 3". des verbes
, favoir ceux qui expriment l'cxiftoncc d’un fujet fous
un attribut dont l’idée eff celle d’une relation à quelque
objet extérieur. SanéKus 8c plufieiirs autres grammairiens
ont prétendu qu’il n’y a point de verbe en latin qui ne foie
relatif, 6c que par conféqueiu il n’y a point de verbe neutre
: examen de ce fcmimeiu.— Obfervations furies verbes
relatifs vers la fin de l’article P.ar tic ie e . Ibid. b. 4''. Il y u
des adverbes relatifs. 3". Enfin toutes les prépofuions font
elfentiellemcnt relatives.
II. Les grammairiens difliiiguent encore dans les mots
le fens abfolu 6c le fens relatif. Cette dlffinfllon ne peut
tomber que fur quelques-uns des mots dont on vient de
parler , parce qu’ils font quelquefois employés fans complément.
Jb:d. 34. b.
III. O-.i difiingue encore des propofitions abfolues Sc des
propofuions relatives (v ityq IV . 82. b). Obfervations fur
ccite tlHlinélion. JéhJ. 33.22.
IV. Le principal ufage que font les grammairiens dti
terme relatif, cft pour üéfigner l’adjeftif conjonélif , <7222 ,
çuc, k.jueljCn latin ^222, ^uec, tjuod ; c’e ft , dic-oii communément,
un pronom relatif. L'auteur prouve ic i, i". que ce
mot n’efl point un pronom , Ibid. b. 2°. qu’il n’efl: point
relatif, 3“. qn'U eff un véritable adjeélif, & il réfute les
raifonnemeiis rapportés dans la grammaire générale , en
preuve de l’ancienne doélrine fur ce prétendu pronom. Ibid.
36. <2, é. Après avoir montré que la dénomination d'adjeélif coit‘-
jonü if ell la feule qui convienne à ce mo t, l’auteur ex-
pofe les legles de fyntaxe qui lui font propres. Premiere
regie. L’adjcélif conjonélif s’accorde en g enre, en notnbre,
6c en ca s , avec un cas répété de l’antécédent, foit exprimé,
fuit fous-entendu. Ibid. 38. a. Seconde réglé. L’adjeélif con-
jonélif appartient toujours à une propofition incidente, qui
ell modificative de ramécédent ; 8c cct antécédent appartient
par conféquent à la propofition principale. Ibid. b. D ’oii
il fu it , i ” . que dans la conftruélion analytique , l’adjeélif
conjonélif doit fuivre immédiatement l’antécédent , 8c être
à la tête de la propofition incidente ; 2°. que l’antécédent
doit être envifagé fous le point de vue dcmonflratif dans
ia propofition incidente , 8c dans la propofition principale.
Ibid. 39. a. 3°. que c’eft une erreur de croire que l’adjeélif
conjonélif puilfe être emploj'é fans relation à un antécédent,
8c fans fuppofer une propofition principale , autre
que celle où entre cet adjeélif. Examen de quelques exemples
par lefquels M. Reftauta prétendu prouver la proptift-
tion contraire. Ibid. b. Autres adjeélifs latins également
conjonétifs, 8c fiijets par conféquent aux règles qui portent
fur cette propriété. Qualis , tjuantus, quot , cujus , cujas ,
quotas , &c. Ibid. 60. b. Adverbes conjonélifs clans la langue
lutine. Conjonflions qui fuppofent un terme antécédent. Ibid.
()i. a. Adverbes conjonflifs en françois. Ibid. b.
Relatif, {Logiq.') idée relative. Suppl. I. 63. a. Termes
relatifs. Ibid, b, L’oppofé de relatif eft abfolu, voye^ ce dernier
mot.
Relatifs , modes , ( Alu/Îq.) ceux dans lefquels on peut
paffer dans le courant d’une piece en y formant une phrafe
6c une cadence parfaite. Règles générales fur ce paffage.
Suppl. IV. 603. a. Diefes ou bémols qui caraftérifent les modes
relatifs. Ibid. b.
R E L A T IO N , ( Philofophie ) comment nous nous formons
l’idée d’une relation. Deux maniérés dc confidérer la
relation, ou du côté de l’efpric qui rapporte une chofe à
une autre, ou du coté des cliofes relatives. X IV . 61. b.
11 n’y a pas d’idée qui ne foit fufccptiblc d’une infinité de
relations. Les idées des relations font beaucoup plus claires
que celles des chofes même qui font en relation. Les fa-
' cultes de juger & de railonner dépendent de celle de percevoir
les relations. Origine des idées de caufe 6c d’effet.
Les dénominations des chofes tirées du tems ne font pour
la plupart que des relations. Les termes jeune Sc vieux,
grand, petit, fo n , foible, Sc autres fembUbles, font tous
relatifs.
R E L
relatifs. Ibid. i)2. a. DifFérciites manières dont les auteurs
tliv-ifent les relations. Métliode particulière de M. Locke
par rapport à cette dlvifion. Relations proportionnelles ,
relations naturelles , relations morales./é/.h b.
Relation entre nos idées. III. 744. b. Comment nous découvrons
les relations des êtres emr’eux. Suppl. 1. 68. b.
Coininent nous en mettons encre nos idées. 69. é. Relation
de préfence qui s’établit entre les objets 6c nous. VI. 262.
a. Relation que la mémoire établir entre Jious Ôc les objets
ahi'ens. Ibid. b. La vraie philofo|>hie conftfte à découvrir
les relations des objets eiur’e u x , VII. 616. L à les combiner
, ibid. Sc à les génèralifer. 617. b. Convenance de re-
jiiion. III. 890. a. Nous ne découvrons dans les objets que
leurs relations 8c non pas leur elfence. V . 831. é. 832.12, b.
Con-clation. IV. 274. <j.
Relation , {Logiq.) accident de fubftance que l’on
compte pour une des dix catégories ou prédicamens. Cba-
que fubltance eft fufccptiblc d’une infinité de relations. XIV.
62. b.
Relation , ( Théolog. j ce terme s’emploie pour defigner
certaines perfections d ivines, qu’on appelle perfonnelles, ô'c.
Q jtttic relations en Dieu. X lV . 63. a.
Relations en Dieu. X V I. 646. a.
Relations morales. VI, iS. b.
Relation, (^Géom. Anthm.') Raison.
Relation , ( Gramm. ) relations irrégulières, vice dans le
difeours. XIV. 63..2.
Relation fe prend quelquefois pour an.alogie. XIV. 63. a.
Relation , ( Jurifpr. ) différentes acceptions de ce mot.
X IV . 63. a.
Relation hiflorique. (Hifioire) C'eft fur-tout dans ces
relations qu’un liifforieu ne p eu t, fans fe manquer à lui-
même , trahir la vérité , parce que le fiijcceft de ion choix.
XIV. 63. a. Comment il eft poftiblc dc faire des relationscxailes
avec des mémoires infidèles. Ibid. b.
Relations : obfervations fur celles des voyageurs. XVIJ.
477. b. D c la crédibilité qu’elles méritent. Suppl. I. 334. a,b.
Relation , (C'e/22/n. ) différence entre correfponclnnce &
relation.IV. 274. a.
Relation, {M i/ fq .) relation jufte. Relations fauffes.
Regies de compofition fur l'ufage des relations fauffes dans
la mélodie 8c dans l’harmonie. Relation enharmonique.
X IV . 63. b.
R É L ÉG A T IO N , ( Jurifpr. ) ce que les Romains enten-
doient par ce mot. En quoi la rélégation dlffêroit de la deportation.
X IV . 63. b. Lettre ou ordre du roi par lequel il
relégué. Défenfes faites à ceux qui font relégués de forcir de
leur exil fans permiilîon. Ibid. 64. a.
Rélég.ition. Différence entre la relegation 8c la déportation
chez les Romains. IV. 863. a. Deux iftes où les Romains
reléguoient : celle de Pontia , X llI . 79. a. Sc celle de
Sériphe. XV . 98. b.
RE L E V É E , {Jurifpr.) origine de ce terme. Signification
de ce mot du palais , quand la cour fe levé marin , elle dort
l'après-midi. Procès qui ne doivent point être jugés de relevée.
X IV . 64. ,2.
RELEVER , ( Jurifpr. ) relever un fief. X IV . 64. a. Relever
fon appel. Origine des reliefs d'appel. Relever , en parlant
d'une juriltliftion qui reffortii par appel à une autre fupé-
rieure. $e faire relever d'un aêle. X IV . 64. b.
Relever : acceptions de ce mot dans l'arc militaire 8c dans la
marine. XIV. 64. b.
Relever un cheva l, ( Manege) moyens employés pour relever
un cheval 8c le faire porter en beau lieu. X lA . 64. b. Airs
relevés. Ibid. 63.12.
Relever, terme employé en divers arts 8c métiers. XIV.
Cq.a.
P.ELEVEUR , {Anatom.) nom donné à différens nuif-
des. Rclcvcurde la paupière fuperieure. Relevcurdc l'omoplate.
Rdcveiirs dc l’anus. Releveur de l’oreille. Releveur de
i ’ccil. Relevcurs du fternum. X IV . 63. a.
Releveurs des côtes ou de Scenon. X V . 685. i.
R E L E VO ISO N S , {Jurifpr.) étoic une cfpece de relief
ou de rachat. XIV. 63. a. Il en eft parlé dans les établiffeniens
de S. Louis. Dans la fuite , ce droit ne s’eft confervé que dans
la coutume d’Oiléans. Relcvoifons à plaifir, au denier f ix , 6c
telles que le cens. Ibid. b.
RELIÉ , livre, à la camelote , II. 371. i . à la grecque , VII.
920,/>. en veau-fauve. X V I . 867. <». Pieces d’un livre relié,
vuyrî LiVRn , {Relieur).
RELIEF ou Rachat, ( Jurifpr.) droit qui eft dû au fel-
gneur pour certaines mutations de vaft'al. Origine du ntot
reliej. X IV . 64. h. Divers cas dans lefquels ce droit a lieu.
Ln quoi conftfte le paiement de ce droit. Ibid. 66. a. Ouvrages
à coufiilcer. Ibid. b.
Relief en matière féodale. XIII. 741. b. Aide-relief. I.
193-
- Relief Différentes fortes de reliefs : abonné, d'adreffe ,
d'appel, de bail de mineurs ou de garde, des bénéficiers ,
R E L 577 do bouche, de chambcllagc, de ciiev.al 8c armes, double
de fief , X iV . 66. b. dc girdc , d’héritier, d'Iioirmic , (ïilliclj\
de bps de tems , ( voyez Lettres de relief en laps de tun.u i x ’
427. b), de mariage, à merci, de monnoycr, denoblcffê,
de plume , principal , Ibid. 67. a. de projnicté, reiicomrc ,
de rente , fimple , de fucceffton , de ftiramuuion. Ibid. b.
il-HLiLF, ( Arebu.) X iV .67./’.
R cLIEF , {Sculptlire) XIV. 67. i .
R elief , {Peinture) paffage de Pline, fiinm tableau d’A-
pclle ou Alexandre ctoicp«:im , la fondre à la main ; & ftu-l’art
avec lequel le peintre Nicias donnoii du relief à lés ficures.
X IV .6 7 . <!>.
R e lie f que donne aux objets du table.au la fage 8c favantç
cliffribucion des couleurs. Suppl. II. 633. a.
Relief d’une médaille, {Art nuinifm.) le relief eft une
beauté cffentiellc aux médailles du haut empire. Dift'ércncc
confidérable entre le relief de ces médailles 6c celui de nos
monnoies. Dans nos greffes médailles nous égalons ou même-
nous furpalTons quelquefois les Grecs 8c les Romains. XIV.
68. a.
Relief , Bas-relief, ( Sculpt. ) diftinélion. de trois fortes
de baS'reliefs. Monumens qui prouvent que les anciens ont
fouvent obfervé les règles de perfpcélivc dans leurs bas-re-
licts. 11 eft vrai néanmoins que les modernes ont mieux
connu l’arc des bas-reliefs que les anciens. X IV . 68, a. Entre
les ouvrages modernes dignes d’etre ici rapportés , fe pré-
fente fur-tout le grand bas-relief de l'Algarcle rcpréleniam S.
Pierre 8c S. Paul en l’air, menaçant A it ila , qui venoit à
Rome pour la laccager. Idée ingénieufe du clievalicr Ber-
nin , pour exprimer dans une ftacue du Nil en b.is-rclief, que
fa fource eft inconnue. Ibid. b. Réflexions de M. Etienne
l'alconnei fur cette partie de lafculpturequi concerne les bas-reliefs.
Diftinéfion d’im bas-relief faillant Sc d’un bas-relief doux.
Qucllcsfont les places où ces deuxfoiïesde fculpturcs peuvent
être le plus avantageufement employées. Jugement de M, Fal-
connetfur les Jias-reliefs a n t i q u e s . 69. a. Harmonie qui
doit être entre les moindres faillies 8c les plus confidérables.
Accord qu’on doit mettre entre un bas-relief 8c l’arciiitefture
qu'il eft deftinc à orner. Regies particulières fur les bas-i'cliefs«
Ibid. b.
Relief. Ouvrages en bas-relief exécutés fur la nacre. V .
336. b. D e la Iciüpture en plâtre , tant en relief qu’en
bas-relief- X IV . 842. b. Bas-relief. Suppl. 1. 819. b. Relief
en boffe. 820. a. Exemples qui prouvent que ceux qui ont
copié les bas-reliefs antiques , les ont fouvent altérés. Suppl.
III. 38.b. 39.a.
REL IEU R, ( Libraire ) principaux outils du relieur de
livres. XIV. 70. É
RELIEURE, ( Art méchan. ) explication des principales
opérations dans lefquelles confifte l'art du relieur, X IV . 70.
b. Defeription des différentes preffes dont il fait ufage.//>/(ƒ.
71. b. Defeription de l'inftrnment qui fert à rogner les livres.
Ibid. 73. a , b. Suites des opérations du relieur. Ibid. 77. a.
Relieure. Inflrumens du relieur. Ais , I. 239. b. bnmif-
fo i r , IL 431. a. chevillette , III. 520. <2. comp.as, 760. <7,
b. coufolr, IV . 404. a. couteaux , 408. b. fers à polir , à
dorer, V I. 303. a , b. frottoir , V i l . 333. a. fuft , 401. æ.
giTxttoir, 863. a. grecque, 920. b. preffes , XIII. 321. a ,
b. temploie, XVI. 89. b. Opérations du. relieur. Battre les
livres ; battre les cartons, les ficelles , les plats. II. 160. .2.
Coefiêr un liv r e , 111. 390. a. le couvrir, IV. 423. b. en*
dofi'er, V . 630. a. paffer en carton , en parchemin , en
mord, XIII. 140. a. tirer les armes, XVI. 343. b. rogner
les liv re s, X IV . 320. a , b. jafper, V I ll. 4O7. è. dorer fur
tranche, V . 53. a , b. coucher l’o r , IV . 321. b. brunir la
tranclte. II- 430. b. Matières dont fe fervent les relieurs. Blanc
d’ccuf, II. 272. a. colles , III. 626. b. eau-forte, V. 212. b.
huile , VIII. 34O. a. couleurs, voyei co mot. Relicures ,
v o y e i R elié. Planches du relieur au nombre de fix dans le v o lume
III.
RELIGIEUSE, {H ijï.eccl.) trop fouvent Ie.s rcligieufes
font les viêlimes du luxe & de la vanité de leurs propres
parens. Les rcligieufes font mortes pour la patrie; les tombeaux
où elles vivent font très-pauvres. XIV. 77. b. Il n’y
eut jamais d’afyle confacrè à la virginité dans toute l’A fie.
Oblêrvations !ùr les veftalcs dc Rome. Ibid. 78. a.
Religtciife. Différences entre nos rcligieufes Sc les veftalcs
romaines. XVII . 216. b. Pourquoi, felon une loi des Lom*
bards, le mariage eft défendu aux religieufes. IV . 643. a.
Tranftation d’une religienfe. XVI. 333. i. Religieufe ca-
loyerc chez les Grecs. II. 363. <2. Sur les rcligieufes , voyez
Célibat, Monaflerc de filles , Vierge, Virginité , Vertu , Voile.
REL IG IEU X , {Jurifpr.) formalités qui précèdent l’ad-
miftion d’un religieux à faire fes voeux. Age auquel on
entre en religion. Il eft défendu de rien recevoir des religieux
pour cette entrée. Mort civile des religieux. X IV .
78. a. A qui appartient le pécule d’un religieux après fa
mort. Exconimunicaùon de celui qui quitte l’habit, Le pape
peut foui accorder à un religieux fa tranftation d’un ordre
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