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Iio L E N LÉMURES , ( f iiji.a n c .) génies malfaifans , ou âmes des
morts qui revenoient tourmenter les vivans. Fêtes inftituées
à Rome pour les chaffer. Quel ctoit le jneilleur moyen de les
écarter des niaifons. Diffiiiition que les anciens faifoienc entre
les lares familiers & les lémures. Etymologie du mot lémures.
ÏX .3 8 4 .a . _
LEMURIES, (.Wÿî. a/ic.) fête qu’on célébroit a Kome.bon
origine. Details fur cette fête & le s cérémonies qui s’y prati-
quoient. IX. 384. a. Sur l’iifage que les anciens faifoient des
fèves pour évoquer les m orts, voye^ Feve.
LE N C LO S , (A fiW z ) V. 785. i .
LENE , lac d’Irlande. IX. 699. m
LÉNÉES ou Lénéennes, ( Liit. ) fêtes qu'on célébrolt dans
rAiiiquc en l’honneur de Bacchus. Prix de poéfie , difputés
dans ces villes. IX. 384. b.
LÉNÉON , ( Lin. ) mois des anciens Ioniens. Recherches
fur le tems de l’année où tomboit ce mois. IX. 384. b.
LENG LET du Frefnoy , ( Nicolas ) fon éloge. VI. ij. iij.
Préface.
LÉNIT IF , éleéluaire, {Pliarm. Mat.médic.) maniéré de le
préparer, felon la pharmacopée de Paris. Propriété de ce purgatif.
IX. 384. b.
LENNE P, (GJog-r.) ville d’Allemagne, dans le cercle de
Weftphalie , la premiere du duché de Berg. Religion des habi-
tans. Leur commerce. Suppl. III. 721. b.
LEN OX , ( Géogr. ) province d’Ecoffe. Pourquoi elle eft
appellee Lenox. Ses produirions. IX. 385. a. Voye:^ Suppl. II.
^"^LENS , {Géogr.^ ville de France , en A rtois. V ers de D ef-
préaiix, par lefquels a été immortalifé la gloire dont fe couvrit
le prince de Condé en 1648 , dans la bataille de L en s , contre
lesEfpagiiols.lX. 385. a.
L E N T E , fievre, V I. 736. b. Celle qui accompagne le ma-
rafme. Suppl. I. 681. a. D e l'ufage du lait dans cette maladie.
IX. 20}. a.
L E N T IBU L A IR E , (Bocan.) caraéleres de ce genre de
plante aquatique. Deux efpeces de ce genre : lieux où elles fe
trouvent.Botanillesqui les ont obfervécs.Pourquoi cette plante
a été nommée lentibulaire. IX. 385. b.
LENTICULAIRES , pierres, ( Minéral. ) leurs noms latins.
Defeription de ces pierres. P ierres de ceue efpece , appellées
numifmales (vi>y«çce mot). Divers fentimens des naturaliffes
fur la formation des pierres lenticulaires. IX. 38^. b. Divers
endroits de l'Europe où on les trouve. Différens noms qu'on
leur a donnés , fuivant les différens afpeéts qu’elles préfen-
toient. Mine de fer en petites maffes, femblables à des lentilles
, qui fe trouve en Suède dans le lac d’Afnen. Pyrites lenticulaires.
Ibid.}Z6.a.
L enticulaire, couteau,l^Chirurg.') XW.^oS.a.
L enticulaire, vêrrc, {Optiq.) X V I I .97. b. L entille.
L E N T IL L E , {Botan.') caraôere de ce genre de plante.
IX. 386. a. Defeription de la petite & de la grande lentille de
terre. On en feme beaucoup dans les champs. Peuples quis’en
iiourriffem. On les eflimoit beaucoup dans la Grèce. Defeription
delà lentille de marais. Lieux où elle fc trouve. Efpece
d’oifeau qui s’en nourrit. Ibid. b.
Lentille , ( Diete 6* Mat. médic. ) mauvais effets des lentilles
, félon R iviere & felon les anciens médecins : fentiment
des modernes fur ce fujet. IX. 386. b. La premiere décoélion
des lentilles eft laxative , felon Galien , & la fécondé affrin-
cente. Vice qu’on peut reprocher à leur écorce. Obfcrvations
ïur l’ufage de la décoftion de lentilles dans la petite vérole &
dans la rougeole. Ibid. 387.4.
Lentille de marais, ( Mat. médic. ) fes ufages extérieurs.
IX. 387.4.
Lentille d’eau, ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plante.
ÏX .3 8 7 . 4.
L entille d'eau , la grande, ( Botan.') caraâeres de ce genre
de plante. IX. 387. a.
Lentilles, {Médec.) petites taches rouffeâtres répandues
fur la peau. Comment elles fe forment. Pourquoi l’on
trouve plus de lentilles amour du nez qu’ailleurs. On ne peut
guere trouver un remede sûr pour en garantir. Q u el eft le
meilleur remede , felon M. Homberg. IX. 387. b. Poye^
Rousseur.
Lentilles. Comment on peut remédier à ces taches de rouf-
feur qui viennent du haie. V . 769. A. X V I I . 336. 4.
Lentille , ( Optiq. ) différence entre les lentilles & les
verres lenticulaires ; lentilles foufflées , leur imperfeftion ;
lentilles travaillées. Petiteffe extrême dont on a trouvé le
moyen de les faire. Combien elles grofiiffent les objets : maniéré
de les travailler. IX. 387. b. Troifieme efpece de lentille
, formée par une goutte d’eau. Formule générale pour
trouver le foyer d’une lentille. Ibid. 388. a. Différens cas dans
lefquels les rayons fortent d’une lentille divergens ou parallèles.
Lentille appellee loupe. Pourquoi les lentilles à deux fur-
faces etmvexes ont le pouvoir de groflir les o’ojets. Ailleurs
qui ont donné des formules pour le foyer des lentilles. Ibid.b.
L E O Poyei la conféquence de la formule du P. Malebranche aux
mots Ménifque, Perre, ^c.
Lentille , V erre ardent. I. 623. é. 626.4 , b. Lentille
convexe de Tlcliirnhaufen : fes effets. Ibid. Lentilles d'caii
glacée. Ibid. b. Axe d’une lentille. I. 90^. b. Du foyer des
lentilles. V II . 263. a. D e la propriété de groffir les objets
par les lentilles. 966. b. Des lentilles microicopiques. X. 491.
b. 492. 4, b. Réfraftion des rayons dans les lentilles convexes
& concaves. X l l l . 897. b. D e la maniéré de travailler les
verres convexes , d’en déterminer le foyer , du tems de
l’invention des verres lenticulaires propres à aider les vues
affoiblies. X V l l . 94.4 , é. •— 98. b. — Poye;^ aufli Convexe*
verre.
Lentille. D efeription d’une machine propre à tailler & polir
les lentilles paraboliques, hyperboliques & elliptiques. Suppl.
III. 721, i . Poye^plarich. 1. d'Optique , Suppl.
Lentille , \Horlog.) defeription. IX. 388. b.
L entille , (^Poids ) poids de la lentille des Romains. V IL
832.i.
LEN T ISQ U E , ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plante :
lieux où cet arbre croit naturellement. Sa defeription. Soins
de culture. Maniéré de le multiplier. Divers ufages de la
réfme qu’on tire de cet arbre par incifion. Huile qu’on tire de
fes fruits. Propriété de fon bois. Différentes efpeces de ce
genre. IX. 389. 4.Lieu où 011 les cultive pour en tirer le niaftic.
Ouvrage à confulter. Ibid. b.
Lencifque , qui produit le maftic. X. i8o. h. D e renireiien
de cet arbre. 181. a. Lentifque du Pérou, appelle mole. 630. b.
631.4. Pistachier.
L entisque, (A/4r. médic. ) vertus médicinales de fon bois.
Décoélion de ce bo is , célébrée fous le nom d’or potable végétal.
Maladies qu’on a cm qu’il pouvoir guérir. Venu s des
cure-dents faits du bois de lentifque. Propriétés de l’eau dif*
tillée de ce bois , & de l’huile qu’on tire par infufion & par
décoélion avec fes baies. IX. 389. i. Sur le maftic que cet arbre
fournit, veye^ MastiC.
L E N T Z BO ü RG , ( Géogr. ) petite ville de Suiffe. Obferva-
tions fur le château. Puits taillé dans le roc. Etendue Si richeffe
du bailliage. IX. 389. b.
Lerit^^bourg. Les Bernois la conquirent en 141^- Son gouvernement
& fes privileges ; fes fabriques 8c fon commerce.
Suppl. III. 722. 4.
LEOBSCH UT Z ou Lubfclnui, ( Géogr. ) ville de la haiite-
Siléffe. Sa religion. Produélions de fes environs. Ravages qu’ils
effuyerent pendant la guerre de trente ans. Suppl. 111. 722.4.
LE O CH A R È S , fculpteur. X IV . 821.4.
L É O C O C R O T T E , ( Hijh nat. Fabul. ) defeription que
Pline a donnée de cet animal, dont l’exiftence eft très-fufpe-
éle, o u , pour mieux dire , fabuleufe. IX. 389./’.
LEOd-ANE , ( Géogr. ) ville 8c plaine de l’Amérique.
Etendue 8c defeription de cette plaine. Ses produélions. Chaleurs
qu’on y éprouve. Maiivaifcs qualités de l’air. IX. 3 90. a.
Léogane. Defeription de cette ville. Sa ficiiation. Etat florif-
fant où elle fut autrefois. Tremblement de terre qu’elle a
effuyé en 1770. Sucreries de la plaine. Population de la plaine
8c des hauteurs qui compofent le quartier de Léogane. Son
étendue. Qualité du pays 8c du climat. Principales productions
de ce quartier. Suppl. III. 722. b.
L E O N , ( Géogr. ) ancienne v ille de France dans la baffe
Bretagne. Fondateur 8c premier évêque de cette ville. Etendue
de l’êvcché de Léon. Situation de la ville. IX. 390. a.
Leon, ( Géogr.) province d’Efpagne. Diverfes obfcrva-
lions fur cette province, IX. 390. a.
Leon , royaume de, ( Hijl. ) mis à l’interdit par Rainier au
nom du pape Innocent 111. VIII. 816. b.
Leon , Saint-Pol-de, ( Géogr. ) voye{ SAINT, 8cc.
Leon , ( Géogr. ) ville d’Efpagne. Fondation Sc premier
nom de cette ville. Obfervaiions fur fon évêché 8c fa cathédrale.
Cette ville enlevée aux Maures en 722. Sa fituation.
IX. 390. 4.
Leon , le nouveau royaume de , ( Géogr. ) dans l’Amérique.'
IX. 390. b.
Leon de Nicaragua , ( Géogr. ) ville de l’Amérique fepten-
trionale. Cette ville pillée en 168^ Sa fituation. IX. 390. b.
Leon I , ou Saint-Léon , pape. Examen de fes ouvrages 8c
de fa morale. XII. 346. a. Il refiifa le titre d’évêque iiniver-
fcl. XL 383. b. 384. 4. XV II . 406. b.
L eon IV , pape. Eloge de fa concliiite durant le fiege de
Rome ])ar les Sarrafins. IX. 867. a , b.
Leon IX , pape. Elu à "Worms en 1048. XVII . 642. a.
Leon X , pape. Concordat dreffe entre lui 8c François I.
Poyc!^ Concordat 8c Pragmatique. Bureaux des indulgences
fous ce pape. VIII. 691. a. Célébrité de fon fiecle.
934. a. Paffage de Pafquier fur l’abus qu’il fit de fon droit
d’indulgences" XI. 933. 4 , h. Le temple de faim Pierre de
Rome bâti par fes foins. XIV. 524. b. Cas qu’il falfoit de
Tacite. X V I . 1Ö2. 4.
Leon l’ancien, {N iß. du bas emp. ) principaux événemerls
du regne de cet empereur. Suppl. 111. 722. b.
LEP Léon l ’anden.Son de la flotte qu’il envoya contre îesVan-
dalcs. VI. 880. 4.
Leon II ou U jeune j fils de Zenon 8c d’A riadne, fille de
Léon l’ancien. Courte durée de fon regne, fous la régence
tie Zenon , qui lui fuccéda. Suppl. III. 723. a.
L eon III ou l'Ifaurien. Defeription du regne de cet empereur.
III. 723. 4. ^
Leon l'Ifaurien. Bibliothèque, college 8c favansquil tait
brûler dans Conftantinople. V . 915. 4 . IX. 895. 4.
Leon IV , fils de Conftamin Copvonymc, fut l’héritier de
fa puiffance 8c de fes vices. Précis de fon regne. Suppl. III.
723. b. . . I r
Leon V ou Arménien. Principaux evenemens de Ion
regne. Suppl. 111. 723. b.
L eon V I ou le pbilofophc, fils 8c fucceffeur de l ’empereur
Bafile. Principaux événemens de fon regne. Suppl. 111. 723. b.
L eon de Cutanée, (S4t4t ) dit Thaumaturge. X V I. 223. b.
L eon , ( Louis de) poète Efpagnol. Suppl. III. 821. f».
L E O N A R D , { P a u l ) fa patrie 8c fes ouvrages. VIII.
912. 4.
LE O N B E R G , ( Conrardde ) X V II . 643. b.
L E O N C E , ( H'iß. rom. ) pairice d’Orieiu , du tems de
Juftinien H. Principaux événemens de fa vie. Il force fon
maître d’abdiquer l’empire , 8c monte fur le trône dont il eft
bientôt précipité. Sa fin malheureufe. Suppl. III. 724. a.
LEON ID A s , roi de Lacédémone, fon mépris pour la vie.
Son éloge. IX. 138. a. Combat de ce roi contre les Perfes
aux Thermopyles. X V I. 273. b. Lieu de fa fépulture. X V .
430. b. Fête en fon honneur. IX. 390. b.
LEONIDE d’A lexandrie, chef des médecins épifynthcti-
ques. X. 462. a.
LEONIDÉES , ( Lin. ) fêtes inftituées en l’honneur de
Leonidas, roi de Sparte. Scs dernières paroles à fa femme
avant que de partir pour les Thermopyles. IX. 390. b.
LE O N IN , forte de v e r s , qui rime à chaque hémiftiche.
Exemple. Divers fentimens fur l’origine du nom léonin donné
à cette forte de vers. IX. 390. b. Fauchet prétend que la rime
léonine eft la même chofe que ce que nous appelions rime
riche. Poème de Bernard de Cluni en vers léonins. Ces vers
fort admirés autrefois. Ibid. 391. a.
Léonin, vers. X. 669. a. Origine de cette forte de vers.
X IV . 2 9 1.4. 436. b.
LEONINE fociété. X V . 239. b.
LEON T ER E SE , ( Lhholog. anc.) efpece d’agate, ainfi
nommée par les anciens. Vertu imaginaire qu’ils lui attri-
buoient. Ses couleurs. C e qui la rend précieiife. IX. 391. a.
LEON T IN I , {Géogr.) ancienne ville de Sicile. Auteur
qui l’a décrite. Ses campagnes. Golfe Léontin. Médailles des
anciens Léontins. IX. 391.4. Foye;^ Lentini.
LEONT INS. On les a confondus avec les Leftrigons. IX.
403. .U
LEO N T IQ U E S , ( Litter. ) ou mithriaques ; fêtes en l'honneur
de Mithra. Pourquoi ces myftcrcs furent appelles léon-
tiques. Voyc{ MlTHRA & M it h RIAQUES. IX. 391. b.
LEONT IUS , fculpteur. X IV . 821. 4.
LE O N TO P E T A LO ID E , ( Botan. ) caraéleres de ce genre
de plante. Sa defeription. Lieux où elle croît natiirclleraeiit.
IX. 391. é.
LÉONTOR IUS. Poye;^ CONRARD DE LeoNBERGH.
L E O P A R D , {Hifl. nat.) defeription de la robe du léopard.
En quoi elle différé de celle du tigre. IX. 391. a.
Lcopar.i. Décrit. VI. vol. des planch. Regne animal, pl. 9.
L eopard , ( Mat. médic. ) fa graift'e paffe pour un bon
cofmétlque. Conftdérations qui doivent le rendre recommandable
fur la toilette des dames. IX. 392. 4.
Leopard, ( .ß/.j/on) manière de le repréfenter dans les
armoiries. Suppl. III. 724. a. Voye^ vol. II. des planch. Bla-
fon , pl. 3.
LEOPOL , ( Géogr.) v ille de Pologne. Diverfes obfervaiions
fur cette ville. IX. 392. a.
L eopol. Obfervaiions hifforiques fur ce lieu. Suppl. 111.
724. 4. Eloge de StaniflasLeezinski, roi de Pologne , né dans
cette ville. Scs ouvrages. Ibid. b.
LEOPOLD d'Autriche, fils ôc fucceffeur de Ferdinand I I I ,
{Nifl. d'Allem, de Hongrie & de Boheme.) trente-fixiemeempereur
depuis Conrad 1 , trentième roi de Hongrie, treme-
fepticine roi de Boheme. Principaux événemens de fa vie &
de fon regne. Suppl. 111. 724. b. — 726. a , b.
L eopold. Etat de la Hongrie fous fon regne. VIII, 286.4.
Il érige la Pruffe ducale en royaume. XHI. 332. b. Siege de
Vienne fous fon regne. XVII . 262. b. Caraélere de cet empereur.
263. b.
Léopold, code-. III. 279. b.
LEOVIG ILD E , roi des Vifigoths, {H ifl. d'Efpagne.)
grand prince, habile général, légiftateur , mais en même tems
homme dur & fé v e re , ennemi formidable ; ami fu r , allié
fidèle : ce prince réunit les qualités les plus oppofées enir’cl-
regne. Suppl. III. 727, a , b.
LEP A N T E , ( Géogr. anc. &mod.) ville de Grcce. Noms
LEP îîi de cette ville en différentes langues. Sa fiturtion. Temples
célébrés que les anciens Grecs avoient à Naupaffe, Lieux
facrés que les Grecs modernes, les Turcs Sc les Juits y pof-
fedent. IX. 392.4. Révolutions de cette viWn.Ibid. b. — Poyc}_
Naupacte.
Lepante , golfe de, ( Géogr. ) différens noms que les auteurs
lui ont donnés. Obfervaiions fur ce golfe. Impôt fur les
marcliandifes qui en fortent. Extrait du chapitre de la bataille
de Lépante dans M. de Voltaire. Viéloirc de Lépantc 8c conquête
de Tunis par don Juan d’Autriche ôc les Vénitiens.
IX. 392. b.
LEPAS , ( Conckyliolog. ) genre de coquillage. Signification
8c origine du nom de ce coquillage. IX. 392. b.
Lepas. Coquille de mer, IV. 189. a. X. 860. b. XI. 373. b.
3 9 6 .4 .XII. 16 7 .4 , b. Efpece de ce genre , appellee concLo-
lepas. Suppl. II. 337. 4.
LEPIÉ)IUM , {Botan.) vtjycç Passerage.
LEPIDOPTERES , ( InfeHol. ) le chevalier Linntcus a
diftribué les infeéles en fepe ordres, dont l’iin dc^ plus curieux
, 8c qui orne le plus un cabinet, eft celui des lépidoptères.
Caraderes des infedes de cet ordre qui comprend les
papillons, les phalènes , les teignes , les fphinx , & tous les
pterophores, auxquels le vulgaire donne indiftindemciu le
nom de papillons. Poufliere colorée dont leurs ailes p.irolf-
fent couvertes. Examen microfeopique de cette efpece
d’écailles dont cette pouffiere eftcompofée,5«/»;?/. III. 728.4.
Defeription des Icpidoptcros 8c de leurs différentes p.irtics.
Ibid. /-.Leur claffific.ation. Imperfcdton qui refte encore dans
cette diftributioii. Méthode de Linnæus. Ibid. 729. 4. Méthode
de Gcüffroi. Ibid. b. Foye^ V I ll. 786. 4.
LEPIÜUS , ( Af. Æmiiius.) V o y e z fon hiftoire dans celle
du fécond triumvirat. X V I . 673. a , b. — 677. 4. Suppl. I.
703. 4. 707. 4. Son carndere. X V I . 680. b. 681. a.
L E P O N T I I , { Géogr. anc. ) ancien peuple aux confins de
l’Helvetie , de la Rhétic 8c de ritaiie. Contrée qit’habicoient
les Lépontiens, felon M. Sanfon, IX. 393. a.
L e p o n t j i , {Géogr.) obicrvaiions fur le pays liaLiié par
ce peuple. Suppl. III. 732. a.
LE PR E , ( Médec. ) étymologie de ce mot. Deux efpeces
principales de lepre ; la Icpre des Grecs 8c celle des .-^rabes^^
appellee élephanitafe ; ce mot. Ces deux maladies 6c
Yimpetigo des Latins paroiffenc n’ être que dift'érens degrés de
la même maladie. Caufe des variétés qu’on obferve dans les
auteurs qui en ont parlé. Symptômes de cette maladie. Peuples
qui y étoient autrefois fujets. Rapports de la lepre avec
la vérole. Maladie connue dans la Nigi itie , fort analogue à
la lepre. IX. 393. b. Le teins auquel on a ceffé d'obfcrvcr la
lepre , eft à-peu-près l’époque de la premiere invafion clc la
vérole dans notre monde. Réflexions fur ce fujet. Obferva-
tions fur le fentiment de ceux qui ont confondu la lepre avec
la v é ro le , 8c celui de ceux qui en om fiiic deux maladies
totalement differentes. Ibid. 394. a. Caufe du virus leprcux,
félon les anciens. Contagion de cette maladie. Loix de M oyfe
pour en prévenir la propagation. Hôpitaux de Saint-Lazare ,
bâtis pour donner retraite aux lépreux. Différentes maniérés
dont la lepre fe communique. Efpece de régime qui y ciif-
pofe. Différentes caufes de certe jnaladie. Ibid. b. F-.-temple
d'une vérole extérieurement fcmblable à la lepre. Il feroit
peu dangereux de la confondre avec d’autres maladies cutanées.
Malgré l’appareil effrayant de la le p ie , elle eft rarement
mortelle. Les remedes contre cette maladie (ont plus
ou moins efficaces , felon fes diflcrcns degrés. Traitement de
la lepre felon les anciens. Ibid. 393. a. Quels font les remedes
qui lui conviennent le mieux. Ibid. b.
Lepre. Symptôme de cette maladie dans la rudeffe 8c 1 inégalité
de la peau. I. 298. a. Comment la chair de cochon
peut caufer la lepre. 111. 363. a. Différetucs efpeces de Icpres,
nommées albova. 1. 246. a. Eléphamiafe. V. 303. a , b. jMal-
mort. IX. 948. b. Teigne. X V I . 7- dartre lepreufe qui
parut à Rome fous le regne de Claude. X. 343. a , /-. Q u elques
uns ont cru que la lepre des anciens répondoit à la v é role
des modernes. XVII . 1 .4 . , /■ .
LE PR EU X , {H if l.) cérémonies qu’on oblervoit amrctois
dans l'églife à l’égard des lépreux. Suppl. 111. 732. 4.
Lepreux. Article de la loi mofaïqiie fur ces malades ,
'^ T ^ E P R Ô s â 'lÊ 011 Maladrerie , {H i f l .) Matthieu Paris
comptoir dix-neuf mille de ces hôpitaux dans la chrétienté.
Legs de Louis VIH , en 1223 , mix maladreries de fon
royaume. La lepre originaire d’Egypte. D e quelle maniéré
Moïfe en traite. Comment cette maladie fe manifefte en
Orient 8c dans la Paleftine. Lepre des efclaves en Nigritie.
IX 393 4 Cette maladie apportée en Italie par les foldats
de Pompée. Loi de Roiharis, roi des Lombards ,• pour en
arrêter les progrès. La lepre renouvellée en Italie par les
conquêtes des empereurs G recs , & répandue cniuite par les
crolfades dans tous les pays de 1 Europe. Epoque de lèta-
bliffenient des léproferies. Pourquoi cette maladie dura long-
lems parmi le petit peuple. Ibid. 396. b.