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4■ I'Û1
5 4 O V I
O Ü -A R A C A B A , piece d'unc pirogue cara'ik*. Idole
peinte on Iciilptée fur ce morceau de bois. XI. 69g.
OUARINE , ( Zoolog. ) cfpece de fiiige qui ticiu des
babouins & des fapajoux, & l’im dos plus giaiuls de cet
ordre d’nmniaux. Defeription &. caradere de cet animal.
Suppl. IV. 208. .J.
O U -A llO U L Y , corbeille très-propremenr arrangée. Sa
defeription. Ufage qu’en font les Sauvages. X L 699. a.
O U A T E , ( Ccm’i}. ) efpcce do coton. Defeription de l.a
plante d'Egypte d’où on la tire. Autre forte de coron appelle
oUiUe , tiré de la bourre des coques de vers à foie.
Ufage des ouates. XI. 699. •». Ouate , fiicre qu'on tire de cette plante. X V . 617. a.
J OUATIER.
O U.AT IER, ( Boun. ) arbre qui porte la ouate , ou cette
efpcce de coton dn dont on fe 1ère pour remplir des couffins
, fourrer des habits, Sic. Suppl. IV . 208. a. Lieux où
H croit. Diliin.Ton de deux cfpeces de cet arbre ; la grande
& la, petite. Defeription de l’une 6c de l'autre, ibid, b.
O V A T IO N , ( Ântiq. rom. ) petit triomphe. Cérémonies
qu’on y pr.uiquoit. La même liberté qu’avoient les foldats
de brocarder leurs généraux dans les grands triomphes ,
régnoit auiîl J.ms les ovations ; exemple. Etymologie du
mot ovation. XL 699. b. Cette forte de triomphe accordée
pour la premiere fois à Poflhumius Tubemis , l’an 325 de
Rome. Quelles éroient les viéloires pour lefquelles on
ii’accordoit que I’uvation. Autres genres de fervices pour
Id ’quels on la décernoit quelquefois. Ibid. 700. a.
Ov.iiion, en quel cas on en décernoit les honneurs :
ovation d’Aulus Plaurius. X VI. 655. a.
O U - A Y C O ü , morceau d'étotîe dont les femmes caraïbes
couvrent leurs parties naturelles. X L 700.
OUBLI , ce font les hommes de génie qui préfervent
les grandes aftions de l’oubli. Penfées tirées d’une ode
d’Horace. Coir.paraifon de la gloire qui s’acquiert par les
lettres, Sc de celle qui s’acquiert par tout autre moyen ,
beau fujet de difeours académique. X l. 700. a.
O U B L IE , ( PdtiJJlcr ) trois cfpeces d'otiblics. Les pàtif-
fiers qualifies maitres-oublayeurs. Main d'oablies. X L 700.
O ublie , ( Jurifp.) définition. X L 7CO. b. f 'oye^ O b l ia g e .
Oublie., eiymologie de ce mot. X L 303.^.
O UBL IET TE , ( Hijl.moJ. ) forte de cachot. Origine.de
ce nom. Hugues Aubriot condamné à l’oubliette. X L 700. b.
OUCIN , ( Gad de ) poète. XIL 913. b.
Ü UD EN .ARD E, ( Gcegr. ) ville des Pays-Bas. Obfer-
vaiions hiiloriques fur cotte ville. Son origine. Eloge des
ouvrages de Jean Drufius , théologien né à Oiidenarde.
X L 701. a.
O U D EW A T E R , ( Géo^r. ) ville des Pays - Bas. Obfer-
vaiions fur la perfonne & les ouvrages de Jacques Armi-
niiis, natif de cette ville. XL 70t. ,i.
O V E R B U R Y , ( Thomas) XVII . 391. a.
OVER-ISSEL , f ( GJogr. ) l’une des fept Provinces-
Unies. Obfervation fur les gentilshommes de cette province.
En quoi confifle la cotte-part de l’Over-IlTcl , lorf-
que la république fait quelque paiement. XL 701. b.
OÜESSANT , (G éogr.) ifle de France dans l’Océan ,
fur les côtes de Bretagne. Eloge des moeurs du peuple
heureux qui habite cette ifle dans laquelle s’cR réalifée la
chimere de l’âge d’or. XL 701. b.
O U E S T , { Cofinograph. ) O u efi équinoxial. X L 701. b.
Ce mot principalement ufité parmi les marins. Ibid. 702. a.
Ouejl, vent d‘. Comment il peut contribuer à la rigueur
de rhiver. V IL 316. b. Comment les anciens lenommoient.
VIII. 438. a , b. Riviere de l’Oueft dans l’Amérique fep-
icntrionale. Supp\ I. 338. b. Diverfes confidératioiis fur
une mer prétendue de l’Amérique fepteiurionale appellee
mer ou baie de l’oueft. Suppl. IL 134. b. 135. a. Suppl.
III. 901. <z, b.
Ü Ü G E L A , ( Géogr.) ville du royaume de Tripoli. Defeription
d’un pays pétrifié nommé en arabe Ra^im, qu’on
trouve dans le défert, à deux journées de Ougela. Principales
pétrifications qu’on en a tirées. Plaine de Niirie en
Baffe - E gypte où l’on voit des merveilles de cette efpecc.
Le royaume de Séjara qui n’ell pas loin , contient des
pétrifications pins remarquables encore. Suppl. IV. 209. a.
O V l , { Langue franc.) origine de ce mot. I. 148. j.
O U IC O U , compofition de cette boiflbn des Caraïbes.
Fêtes tuir.uluieufes des Caraïbes dans lefquelles on fait un
ouicou général. Comment les habitans des Antilles ont
perfeôionné cette compofition. Agrément Sc propriétés fa-
lutaires de cette liqueur. X L 702. a.
O V ID E , N afo, {Publias) patrie de cep o ë te .X ll. 285.
a. Obfervaiions fur fa vie. X V . 634. b. Lieux où il pardr
qu’il a été enféveli. X IV. 434. b. Remarques fur fes ouvrages
; élégies, V . 484. a , b. 483. a , b. 489. a. héroides
Sc trilles. 486. *1, b. Epîtres de Paris à Hélène, & d’Hélene
à Paris dans fos héroïdes. Suppl. IV. 240. a. Autre de
Pénélope à UlylTe. 278. a. Mécaraorphofes. X IL 813. a.
O ü I
XV. [634. h. Défaut dominant do ce poète. Suppl. II.
690. b.
{ Phyjlolog.) trémoufi'ement de l’air , en quoi
confifle le bruit qui efl l’objet de l’ouie. Méchanifme de
l’organe par lequel les difl'érens fons parviennent jiifqu’i
l’ame. XL 702. Pourquoi les oifeaux ont üouje très-fine,
quoique manquant de cette partie elTentielle que nous .appelions
le limaçon. La qualité de muflciens qu’ant les oi-
ieaux , vient moins de la finelTe 6c du govit de leur oreille,
que de la difpofiiion de leur gofier. Scviiélure admirable du
limaçon. Ibid. 703. b. Artifice par lequel tout concourt à
faire entrer dans l’organe de l’ouïe 6c à y retenir l’im-
[)reinon des vibrations fonores. Le fens de Tome nous trompe
toutes les fois que nous ne pouvons pas reélifier par quelque
autre feus les idées qu’il produit. Ibid. 704. a. Mais
clés que nous pouvons favoir que le bruit qui nous frappe
efl de telle ou telle cfpece, nous pouvons juger alors à-
peu-près de- la difiance 6c de la quamiré d’aélion. Hypo-
thefes imaginées par quelques anacomilles pour expliquer
les fcnfailons de l’ouïe , avant que l’anatomie de l’oreille
eût été connue. Difficulté d’expliquer la fufeeptibilité à recevoir
des impreflions agréables qui fe font en elle , fui-
vant une proportion particulicre. La pcrfeilion de l’oreille
fupéricure à celle des yeux. D e tous les f a i s , il n’y a que
fouie qui juge non-feulement de la difiérence, mais encore
de la quantité Ôc de h raifon de fon objet. Ibid. b. Principaux
phénomènes de fo u ie , dont on trouve ici l’explication.
I. Si fon applique le creux de la main à l’oreille ,
de forte qu’il regarde le corps fonore , on entend mieux.
2. L’oreille externe étant coupée on entend plus difficilement.
3. Si fon préfenie obliquement le plan de forcillc
externe à un corps fonore, en tonrnaiu la tète vers le
côté oppofé , on entend mieux. 4. L’oiùe efl plus fine , quand
on écoute la bouche ouverte. 3. Pourquoi l’ouïe efl émouifée
quand on fouffle, qu'on bâille ou qu’on chante fur un ton
fort aigu. 6. Quelques fourds ciuendcm quand on leur
parle à la bouciic. 7. S’il arrive une oblii uélion à la trompe
d’Euflache, on devient iburvl. 8. On le devient fi le tympan
vient à fe rompre, g. Ü av ea u re par laquelle la fumée
ti’une pipe de tabac palfe de la bouche aux oreilles. Ibid.
703. a. 10. Quoique le Ion trappe les deux oreilles, on
n’enteiid qu’un feul fon. j i . Pourquoi l’on enrcn'd comme
fimple, un fon infiniment multiplié dans l’oreille. 12. Caufe
de la grande communication entre fouie ÔC la parole. 13.
Gaule des tiiitetnens d’oreille. 14. Celle du bourdonnement
qu’on éprouve en fe bouchant les oreilles. 13. Obfîruc-
iions dans foreille qui donnent la lurdicé. lu. Pourquoi certains
fourds entendent mieux quand on leur parle par-defTus
la tête. Jbid. b. 17. Pourquoi fon entend mieux, la bouche
ouverte 6c en retenant Ion haleine. Différentes efpeces de
léfions dans la lenfation de fouie. Cnufes de fouie ai-^uë.
Celle de fouie dure, 6c de la furdité. D e l’organe de fouie
dure , 8c de la furdité. D e forgane de fouie dans les animaux./
H4 . 706..».
Ouïe. Les fons qui naiffent fort prés du ce rv eau, n’ont
pas belôin de forgane de l’ouïe pour être apperçus. Suppl.
IV . 209. a. Defeription de la maniéré dont lè fon agit fur
cet organe , foit dans fhomme, foit dans les animaux, &
de quelques vices de l’organe qui détruifeiu l'oüis. Ibid.b.
D e la partie de foreille où fe trouve particuliérement le
fiege de fouie. Différences dans la ffruélure 6c les parties
de foreille des animaux. Beauté de la ftrufture du limaçon
, qui montre que la perfection de l’ouïe réfide dans
cette partie. 210. b. Pourquoi les dents font quelquefois
agacées par des fons aigus. Pourquoi on n’entend qu’un
fon par les deux oreilles. Examen de la raifon qu’on donne
ordinairement du phifir que fame éprouve dans la perception
des accords 6c dans certaines fuccefiions de fons. Ibid.
111. a. Des effets de lamufique fur le caraiRcre 6c l’humeur
des hommes. Ibid. b.
Ouïe. Comment les impreflions du fon fe communiquent
au nerf auditif. X V . 876. a. Les canaux demi-circulaires de
fos pierreux paroiflént effeutiels à l’ouïe. Suppl. II. 184. b.
183. a. Müuveinens volontaires dans quelques parties de
forgane. Suppl. IV. 634. a. Les fons qui fe fuccedent avec
trop de célérité ne peuvent être dillingiiés parfoni'c.V.263.
rf. Cornet pour l’ouïe. IV . 23 a. æ, b.
O u ïe s , {Ichthy.) organes des poiflbns qui leur fervent
de poumons. Scruéture de ces organes, felon M. Duverney ,
qui fit fur la carpe les obfervations ici rapportées. XL 706.
b. Diflribution des vaiffeaux que ces organes renferment.
Ibid.yoy. a. Ufages de ces parties. Circulation du fang dans
les poumons. Ibid. 708. u. Comment .s’opèrent les mouvcr
mens néceffaires pour la refpiration des poiflbns. Mémoire à
confulter. Ibid. b.
Ouïes despoiffons. X I I .888.EXIII. 242. a.
OuiE , ( Séméiotiq.) caufes par iefquelles foufe peut cefler
d'être dans fon état naturel. XI. 708. b. Prognoflics tirés de
fextréins fineffe 8c de la dureté de foreille dan» les maladies.
'14
O U R
Dépravation de fouïe : fes caufes : cfi’eis qu’elle .annonce. Ibid.
70g. a. Ouïes, (A fig ff.) ouvertures fur.la table des violes &
de quelques autres inflmmens. XL 709. a,
O V IE D O , les rois d’Oviedo, protedeurs des comtes de
Caflille. Suppl. IL 266. b.
O V IL IA ou Se pta, {Hifl. anc.) endroit du champ de
Mars dans l’ancienne Rome. Origine du nom. Defeription
de ce lieu. Origine & fignificarion du proverbe, de ponte
Jcjiciendus. '^\. 709. u.
O U IL L E , {Cuißne) mets délicieux que fon fert principalement
fur les bonnes tables en Efpagne. XL 709. a. Maniéré
de le préparer. Ibid. b.
O V IP A R E , {Hijl. nat.) animaux ovipares. Difi'éreiitcs
efpeces renfermées dans ce genre. XL 709. b.
Ovipares. Obfervations fur la diflindion d’ovipares 6c de
vivipares. Suppl. IV. 120.E 2 1 1.a. Analogie entre la génération
des ovipares 6c des vivipares. V I I . 368. b. Rapport entre
leurs oeufs. 369. a. Exemples d’animaux ovipares qui ont
produit leurs petits tout vivans, 6c fans oeufs. XI. 403. b.
Quadrupèdes ovipares, vol. V I . des pL Regne r.nimal, pl. 23,
OVI-POU , ( Diete ) efpcce de farine que font les iaiiva-
ges du Bréfil. Manière de la taire. Diftérences préparations
auxquelles on femploie. XL 709. b.
O V IS S A , {Hifl. mod. Culte) nom fous lequel les habitans
du royaume de Bénin en Afrique, défign.enc ferre fiiprê-
me. Idée qu’ils en conçoivent. XL 709. b. Pourquoi ils ne
rendent leur culte qu’aux efprirs mal-faifans. Opinions fu-
perflitieufes de ces peuples. Ce qu’ils penfent de fétat des
hommes après la mort. Comment les prêtres de Bénin pié-
tendent découvrir favenir. Defenfes rigoureules faites à ces
prêtres de fe mêler des aflaires du gouvernement. Détails
fur les facrifices humains qu’ils font à leurs idoles. Ibid. 710. a.
O V IS T E S , phyficiens, diftingués en infiifiroviftes & uno-
viftes. XVII . 408. Du fyAéme des ovilles. V IL 364.0,
b. 363. a , b. 367. b. 368. a J b. 369. a. h. Ce fyflême réfuté.
Suppl. III. 197. a , b.
O U I S l 'lT I , {Zoolog.) efpece de finge lapins pericede
toutes. 8a delcription 6c les moeurs, b«/»/?/. IV . 211. t). Voyez
vol. V I . des pl. Regne animal, pl. 23.
O U iT iK K A , principe mal-faifant, felon les Efqiiiinaux.
XVII . 371. h.
O U LO N G B E G , fuccefleur de Tamerlan, dans les états
de la Tranfoxane : fon application aux fciences. X IV . 393. .7.
O U R A G A N , {Pbyfiq.) différentes fortes d’ouragans; le
prelter , l’ecnephis, fexhydria, le typho ou vortex. Fréqueiis
orages fur la côte de Guinée en certaines faifbns. Efpeces
de tempêtes fur mer , que fon appelle proprement des ouragans.
Calmes dangereux, formés dans un grand efpace ,
autour duquel tournent des vents contraires. XL 710. b.
Ouragan, caufe des ouragans ;« lieux où ils font le plus
communs; terrible effet d’un ouragan. XL 343. b. Ouragan
appelle fendo , citez les Abyflius. XV. 10. a. Ouragan ap-
pollé oeil de boeuf, an cap de Bonne-Efuérancc. XL 396. a ,
b. Ouragans de la cote do Guinée. XVI. 369. A.
O U R A N , ou Uran Soangur , {Hiß. mod.) fcéle de
magiciens de l’ifle Grombocannofe, dans les Indes orientales.
Ces magiciens hais 6c maltraités du peuple. Préfent de douze
de CCS gcns-là que fit le roi de cette ifle , à un officier Portugais
Anecdotes fur ce fujet. XL 710. A.
O üR A N G - O U T A N G , {H iß. nat.) efpecc de finges.
Contrées qu’ils habitent. Auteur qui les a décrits. XL y ii.a .
Ourang-Outang, finge de Bornéo. IL 336. a. 1 1 1 . 78. a.
Cet animal nommé pongo. XIII. 23. a , b. X V . 208. b. &
jocko, vol. VI. dos pl. Regne animal, pl. 19.
O U R AN IA , {H iß. anc.) jeu de balle irès-ufité parmi les
anciens : en quoi il confilloit. XL 7 1 1. ,1.
O U R A Q Ü E , {Anatom.) conduit membraneux du foetus,
qui fait partie des vaiffeaux ombilicaux. Petite veflie urinaire
que forme l’ouraque, en fc terminant au placenta. Urine
qui s’y rafl'emble. XL 7 1 1 . a.
Ouraque , ( Anat. ) vaiffeau du cordon ombilical. Sa
flaiélure dans fhomme 6c dans les animaux. Sa defeription. Suppl. IV. 211. A.
Ouraque, membrane continue avec l’ouraque. I. 277. a , b.
Ouraque du cordon ombilical des quadrupèdes : ouraque dans
le corps humain. Suppl. I. 296. a , A.
O U R D IR , {ManufaR.) définition. X L 7 1 1. A.
O urdir une corde, {Corder.) En quoi confifle cette opération.
XI. 711. A.
Ourdir. {Maconn.) Ourdir un mur. X l . y i i . A.
O urdir à la tringle. {N atikr.) XL 7 1 1 . A.
Ourdir, {Rubann.) defeription très-détaillée de toute la
manoeuvre de fourdifl'age. XL 7 1 1. A.
Ourdir, {Soierie) c’efl diflribuer la quamitc de fils qui
doivent fournir la chaîne fur l’ourdiflbir. Defeription cette
operation. XI. 713,0,
OURDISSAGE ß,ies pour faire les chaînes des
étoffés. Defeription 6c ufage de deux machines nécef-
O U R 3 5 1
faires à l’ourdiffage, la canrre 8c fourdiflbir. XI. 713. A-
. Ourdiß'age dcs chaînes. IX. 188. a. XV. 283. a , A. Des
chaînes dans foiirdiflage. 1 1 1 , 9. a. La premiere panic ourdie,
appellee chef. 273. a.
Ourdiffage.tiiQ'i toiles de mouflblines. IV. 31 1. A. 31 2. , A.
OURDISSOIR. {Tifferand) Différentes fortes d’ourdif-
foirs. XI. 714. a.
Ourdiffoir du pafTcmcniicr, banc à ourdir. IL 34. A. Battant,
partie dn métier à ourdir. 147. a. Piece de fourdiflbir
nomme-e hlin. 283. a, A. Defeription de l’oiirdiflbir. XIL 127.
a. vol. XL des planch. Paffementier. pl. 1 , 2.
Ourdißoir chez les taifeurs de gaze. Defeription de ce moulin.
XL 7 14 li. G a z e .
OurdiJJ'oir rond ou moulin, {Soierie) XL 714. a. P'oye^
Ourdissage.
Ourdißoir long, qui n’eft guère d’iifage que pour les franges.
XL 714. a. Defeription de ceue machine, 6c de la façon
d’ourdir. Ibid. A.
OurJiffoir , {Rubann.) arbre du moulin de fourdlffoir. I.
391. A.Battant. IL 147. a. Piece de fourdiffoir app-.llée couronne.
IV. 393.77. Ourdiflbir des ctoflbs de foie. vol. XL des
pl. Soieries, pl. 23 , 24.
Ourdßoir , ( Tapßerie des Gobelins ) vol. XL des planches.
O ’U RS, {Zoolog.) defeription de cet animal. 0 -.i:s de Savoie.
XL 713. a. Ours doré. Ours blanc. Les ours bruns,
difterent des noirs par les inclinations, 6c par les appétits
naturels. Hifioirc naturelle de l'ours : fes moeurs. Saifon d<ms
laquelle les ours entrent en chaleur. Durée de la gellatlon
des femelles. Ibid. b. Chaffe de l'ours. Qualité de fa chair.
Ufage de fa peau. Comment on tire f huile de la chair 6c de
la graiffe de fours. Ufage de cette huile. Plulicur.-i ameurs ont
écrit que fours malade d'indigef’tion , endnir fa langue de
miel, l’enfonce dans une founnilliere , avale les fourmis, 6c
fc trouve guéri. Raifons de fiifpeffer la vérité de ces relations.
Ibid. 710. U.
Ours. Obfcivarions fur fes dents, IV . 836. A. fur fes ongles.
XL 379. a , h. Suppl. IV. 130.7;, A. Ours repréfenté,
vol. IV. des pl. Regne animal, pl. a.
O urs, {iiiuq. Jacr.) ce mot employé en fens figurés
d.ins l'écriture. XL 716. A.
O urs, {Pelleterie) ufage des peaux d’ours. XL 716. A.
O urs , {H iß. nat.) efpcce de crabe. IV . 424. A.
Ours, r.itfm d‘. X llI . 769. A.
O urs, {B lafon) maniéré de le repréfenter. Ours paf-
fant. Ours levé. Signification de cette figure fymbolique. Suppl. IV . 212. a.
Ours levé. {Blafon) Suppl. III. 7.33. A.
O urs, ou Samt-Gal, {H iß. mod.) nom d'un ordre de
chevalerie, inffitué dans fabbaye de S. Gai en 1213. But de
cette inflitution. Abolition de cet ordre. XL 716. A.
Oms, {l'ordre de r ) ou de Saitu-Gal, ordre dechevalerie.
en Suiffe. But de fon inflitution. D ’où font pris les chevaliers.
Marque de l’ordre. Suppl.IV. l l l.a .
O urs, {Alythol.) hifloire de Califlo nictamorphofée en
ours. Pourquoi le nom de Phcnice a été donné .à la petite
oiirfe. XI. 716. A.
O U R SE , {A ßron.) deux conflellations de ce nam. XL
716. A.
Oiirfe, moyen de connoitre ces conflellations dans le ciel.
Suppl. II. 366. a , A. 367. a. Les fimvages duCanada ont donné
le même nom à la conflcllation de fourfe. Suppl. III. 191;
a. Petite ourfe. IV . 600. A.
O URSIN , {B o t.) caraftere de ce genre de plante. XI,
716. A.
O ursin, hèrifon de mer, châtaigne de mer. Oh(crv3tions ds
MM. Gandolphe 6c de Reaumur, fur fufage des pointes , 6c
de certaines cornes qu’ont les ourfms; nombre de ces cornes
6c de ces pointes ; maniéré de marcher de cet animal.
XI. 717.
Ourßn de mer , ( Conchyliol. ) genre de coquille nniltivalve.
XL 717. a. Obfervations de M. D.irgenville fur un ourfm
de la mer Rouge. Tous les ourfms rapportes à fi.x genres.'
Defeription de fourfm , Ôc de fes principales parties?
ibid. A.
Outjins , hériffons de mer. V llI . 160. A. X. 860. A. Oiirfins
repréfentes vol. VI. des pl. 39 — 61. Ourfms pétrifiés : coquilles
folfiles, pl. 4. Ourfms de mer fojfiles ou pétrifiés, ou échinites , ( Hiß.
nat. Miner. ) Dlftérens noms que les auteurs ont donnés
à ces pétrifications. Leur defcr.ption. Divers fenti-
mens des anciens fur leur origine. Aujourd’hui tout le monde
reconnoit ces foflîles pour la pétrification d’un animal
teflacé marin inultivalve, qu’on appelle iiéiiffon de mer.
Delcription de ce coquillage. Suppl. IV. 212. A. Diflribu-
rion des ourfms pétrifiés en fix claffes. i.L e s échinites ma-
millaires. Variétés coniprifes dans cette clafTe. 2. Leséchi-
nkes fibulaires: leurs variétés. Ibid. 213. a. 3. Les échinites
en forme de cafque. 4. Les échinites en forme de difqiie :
leurs variétés. 5. Les échinites fpatagoides : leurs variétés.
*