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682 S I N
de Mackgafear , appelle fifac. X V . iS u a . Defcnptîons de
(Uveilcs cipeccs de fmges, vol. V I . des plancli. Régné am-
nial , pl. 18— 23. . , , , r
Singe , {J ic h it.) mr.clnnc qui fert a enlever des iar-
iicauN. X V . 210. b.
SifiS'} cette machine décrite. XIII. 69. a.
S^>’GE, {Pcrfpcbliv.) voyci PaNTOGK-^PHE.
SINGHILLÜS , {IJ'Jl ’iioJ.) nom que les Jagas , peuple
amhiü|)()plnige d’Afrique, donnent à leurs prêtres. Comment
iis coiiliiltent les manes de leurs ancêtres. C ’efl à leurs fiig-
geflions que font dues les cruautés que ces faiivages exercent
fur tous leurs voifuis. X V . 211. u.
S JN G ID IA UM , (Gcegr. aric.) ville de la Pannonie. Ob-
forvations fur le règne de rcinpercur Jo vicu , né dans cette
ville. X V . 2TI. U. ‘
SINGULARITÉ. ( Morale ) Singularité digne d'éloges.
Singularité videule. X V . 211. b.
Sir.^uLiiie. Pourquoi les Jiomines de génie palTent pour
aimer à fc fmgularifer. V. 72 1. b. 722. a.
SINGULIER. {Gramm.) Un même nom, avec la même
Jigniiieation , no laide pas très-fouvent de recevoir des lens
fort diilcrcns, félon qu'il cll employé au fingulicr ou au
pluriel. Obfervaf.ons fur rufage d’employer le nombre pluriel
au lieu du fuigulier, eu parlant à une feule perfomie.
Loemions irrégulières qu'un e-xcèsd’urbanite a introduites dans
les langues modernes, lorfquon s’adrede a cjuelquun. X V .
212. a .— Voyei NOMBRE.
SiNGULiLR, {Loyuj. Moral.) propofition fingulicrc. I.
720. a. XllI. 478. a. Amour de quelques perfoimes pour
les opinions fuigulieves. X llL 295. b.
SIN-KOO , {Bo:an.) arbre odoriférant du Japon. Sadef-
cription Rlon Keiiipfer, Lieux o\i il croît. X V . 212. b.
SINNIS , brigand puni par Thélèe. VIÎI. 930. b.
SINOPE , É.o e A {Hi;l.n.u. .i/:c.) terre rouge - brune
tic Nato'ie, qu'on ne connoit plus aujouid hui. Ce qui marque
que cette terre n’etoie autre choie que du bol , t ’eft que les
auteurs ad'urem qu’il étoit auHi beau que celui d'Elpagne..
Terre linopkjuc (|ui nous efl aujourd’hui connue, autrement
dite nibrhju:. Etymologie dos mots brique Sc rubrique.
Les rubriques, bols, craies, pierres Je mine, n’ont aucune
vertu en médecine. X V . 213. a.
SiNOPE, (G.’ogr. anc.) ville de Paphlagonie. Précis d’une
dllTertation fur cette ville. Fondatrice de Sinope. XV'’. 213.
t. En quel tems clic fut bâtie. Suite de fon liilloirc. Ibid.
214. a , b. Epoques de Sinope marquées fur quelques médailles.
Ibid. 216. J. Jupiter, Plucus ouSér.ipis, divinité m-
téjalrc des Sinopiens. Leurs mines de fer. Commerce qu'ils
failbient de ce métal, & du thon qu'ils péehoient fur leurs
côtes. El-vce de bol appelle terre de Sinope, dont ils fai-
foiciit aulfi quelque commerce, Oblervaiions fur Diogene ,
i;e à Sinope ; éloge de ce phllofophe fuigulier. Ibid. b.
Sincp:. ‘D i! culte de Sérapis chez les Sinopien.s. X V . 79.
b. 80. Profits qu'ils rctiioiem de h pèche du thon. XVI.
zrCi. a.
'^SiNOPE, ( Gregr. mod.) ville de l’Afie mineure. Abrégé
de rhilloire ancienne de Sinope. Son état préfent. Révolutions
de celte v ille , depuis que les empereurs en curent été
clépoTédes. Oliviers & autres aibres donc les campagnes de
Sinope font couvertes 3 iifages que les habitaiis tirent de
ces bois. Obfervaûons fur les vcrlions grecques de l’anden
îcllamcnc, faites par Aquila, né a Slnopc. X V . a ty . b.
SlNOPE, (GJt>:;r. anc.) ville du X V . 219. a.
S lN ü P L L , (ZfAjyô«)cou!cur verte dans les armoiries. Pourquoi
l'on l'cetlc vu cire verte Sc on lacs de foie verte les lettres
de grace, de iéghimaiion, Sec. Comment on repréfente
le fmopie en gravure. X V . 21S. n.
Sir.üpU. Maniéré de rcprcfeiiter cette cmilcnr. Sa fignifi-
catli n. Pourquoi les évêques ont prb le chapeaude fmoplc
fur leurs armoiries. Suppl. IV. 794. b. Etym. du mot f nt>plc.
SINTOS ou Sir.ioijme, {H ij l mod. Culte relig.) religion
Idolâtre, la plus anciennement établie au Japon, En quoi
elle confille. Ch e f de cette religion. Les piincipau.v: articles
du fincoifmc fc rcdiiifcnt au.x. quatre fuivans ; les cérémonies
lér’ aies, la célébration des fêtes, les péicrinages dans la province
d'isjé , les confrairics religieufes. X V . 218. b. Foyei
Jamm.^bos.
Sir.tos, fur cette doRrine Japonnoife. VIII. 436. b.
Te plus grand dieir des Siiuoùes. XVI. 140. b. Fêtes qu'ils
célèbrent. XIIT. 841. u. Leurs temples. X VI, 83. a , l.
SINTRA ou Cintra , ( Géo'^r.) moncaguc .'i fepe li.ucs de
Lisbonne. Sa deferiprion. X V . 219. .2.
SINUESSE, ( Gtvgr. j/ic.) ville d'Italie clans le nouveau
Latium. Cette ville fut aiiffi appellee Sinc.pe. Vertus qu'on
ateribuoit aii.x eaux minérales qu'il y avoir dans fon voifi-
naae. On voit encore aiijüurd’luti quelejues velliges de Si-
mieiTa. X V , 219. a.
SINUOSITÉS ifcr fleu^-es. {Gcoj;r.) V L 869. b.
Sinuosité, feiffute des es. {Anar.) X IV. 800. a.
SINUS. [Tri^onom.) Sinus droit. Sinus d’un arc, Sinus
S î P
total. Sînus verfe. Sinus du complément. Méthode pour avoir
en nombre la valeur des fimis. X V . 219. b. Solution de
quelques problèmes fur les fmus. Manière de conliruirc tm
canon des fmus. Ibid. 220. a. Sinus aitificiel. Ligne des fi-
mis. Formules des fmus. Ibid. b.
Sinus droit. IV. 204. b. Sinus verfe. IV. 204. b. VI. 84«;.
b. XVII . 162. b. Co-iimis, ou fimis du compléineiit. III.
763. U. Ufages des lignes des fmus , tangentes, fccances, tracées
fur le compas de proportion. 754. Un rayon étant
donné, trouver le firms d’un arc quelconque. 737. a.
Sinus, {C com.) démonfiraiion de deux théorèmes, Sc
folutioii de quinze problèmes touchant les fmus. Suppl. IV.
794. b. — 796. a , ù.
Sinus, ( Ofeolog.) cavité d’un os. X V . 220. b.
Sinus du cerveau. {Anatom.) Quatre finus principaux.
Obfervations de MM. Morgagni ék Garengeot, fur la prétendue
bifurcation du finus longitudinal fupériciir. X V .
220. b.
Sinus frontaux. V IL 340. a , b. Suppl. IV . l o i . u , b. Longitudinaux.
VIII. 263. a. Latéraux. IX. 301. u, Longitiuli«
nal fupérieur. 688. a. Sinus péireux de la diirc-mcre. XII.
468. a. Sinus fphénoïdaux. X V . 432. .1. Suppl. IV. lo i .
b. Sinus maxillaire , Suppl. IV. 102. pituitaire. Suppl.
I. 439. a. Sinus ou follicule. Suppl, llf. 82. a.
Sinus. {Chir. 6* Anatom.) Sinus lilfuleux : maniéré donc
Seuhet les guérit. XV. 221. a.
Sinus jijluleu.x, v o y e z U l c c r e fiinicux. XVII . 373,
a. Maladies du liiuis mtixillairc. V IL 346. b. 347.
Sinus. Sinus en terme do chirurgie. Ceux que forment les
ulcérés. Sinus en ten.ne d’anatomie. Sinus de la durc-mere.
Sinus de la faux. Sinus tranfverfaiix. Suppl. IV . 797.
Quatricme & ci.iquicme finus. Sinus pierreux. Ibid. b. Sinus
circulaire. Sinus occipitaux. Veines appellees émlfiiùres,
qui ctabiifî'eiu une communication cntie les veines extérieures
de la tète Sc les finus. Ibtd. 798. a. Sinus de la
moelle do l’épine. Tous les finus , toutes les veines du cerveau
& (le la moëlle de l’épine font dépourvus de valvules.
Les émilfaires peuvent donner une direélion contraire an
fang, felon la fituation de la tète. Les finus de la dtire-mere
paroiffent être placés dans les intervalles de deux lames de
cette membrane pour acquérir de la force. Ibid. b.
S IN U S G A L L IC U S , ( Géogr. ) partie de la mer Méditerranée
qui borde au midi la gaule Narbonnoife : c’ert ce
qu’on nomme aujourd’hui le golfe de Lyon. Origine de cette
derniere denomination. Defeription de ce golfe , felon Str.a~
bon. Cette mer partagée en deux golfes par la montagne
de Secte, ik par fifie de Brefeou. Uiminution confidcr.ablc
de la partie oi'iemale de ces deux g o lfes , qui s’étend depuis
Agri jufqu'au Kliône. La partie occidentale n'a pas ctf de
femblablé atternifement. Suppl. IV. 799. a. ^
Sinus , jurifconfiilte italien. XIL 660. b.
S i g n , {Géogr.) fametife montagne de Jérnfalem. Elle
efi aujourd'luii tellement dilronne, qu’on ne devineroit jamais
qu’il y eût eu deiTus une v ille , ik moins encore un
château royal. C e fut dans ce château que David commit
adultère, ék qu'il expia enfuice fon crime par les larmes de
la plus amere repentance. Lu maifon de Caiplic convertie
en églife. Ouvrage .à confulicr fur l'état aéfuel de la montagne
de Sion. X V . 221', a.
Sion. Obfervations fur i’évéché Sc fur le gouvernement
de cette ville du Valais. X V . 221. b.
Sion , ( College de ) mahbn religleufe à Londres. III.
63Î. b.
SIOUX , ( Géogr. ) nation de l’Amérique fcptentrionale.
S„ppL I. 355. t. 337. 4.
S IPHÆ , ( Geogr. anc. ) ville de la Béotie. Paulanias l’appelle
Tiphiz ou Tipha. Les Tiphéens fe vantoient de leur
habileté clans la marine, Sic. X V . 222. a.
SIPHANTO , ( Géogr. ) autrefois Siphntts , ifle de l'Ar-
chipcl. Ses produftions. Sa population. Principal ponde fille,
Olîl'ervation fur les dames de Sipli.into. X V . 222. </.
SIPHNIENS , ( Mythol. ) habitans de fille Siphnas. Calamité
qu’ils s’attirèrent eu niancjuant de foi .à Apollon Dei-
phicn. X V . 222. a.
SIPH N U S , ( Géogr. anc, ) idc que Strabon compte au
nombre des Cyclades. Les Slphnicns teiioicm leur trefor
dans le temple de Dclphe : mais ils furent punis pour avoir
celTc de payer .àjApollon la clixrne du produit de leurs mines.
Autre malheur que leur avoir prédit la Pyilionill'e, 6cqu’ils
s’attirèrent de la part des S.amiens. Sorte de! pierre de Sip/i-
nus dont on fornioit des vafes. On ne v d i plus aucune
trace de fes mines d’or 6c d’argent. Des médailles de Sip/i-
uus. Antiquités qui fe trouvctit aujourd’hui dans cette ifle ,
nommée Siplianto. X V . 222. é,
S lP ü N T li , { Géogr. anc.) ville d’Italie dam; la Pouille
Daunienne. Sa fituation décritep.ar Lucain : elle fittcolonie
romaine. En quel teins cette ville fut abandonnée. Ruines
de Siponte. XV. 223. a.
S IP Y L E , {Géogr. anc.) c.apitale de la .Méonic dans fAfie
S I S
mineure. X V . 223. a. Elle fut abymée par im tremblement
de terre. Monumens que Patifanias clic avoir vus fur le
niout Sipyle. Defoription de cette montagne par Toume-
fort. Cyb clc nommée Sipyléne, parce qu’on la révéroitfur le
mont SIpylus. événemeiis de l’antiquité qui ont rendu célébrés
les campagnes qu’nii découvre du h.itit de ce mont.
Conjeélures (ur la caufe du rcnvcrfcinent de ht ville de
Sipylus. Ibid. b. Rocher de Niobé fur le moiu Sipyle. Ouvrages
de Paulanias, né à Sipylus, ou dan.s quelque autre
lieu des environs. Obfervations fur fou voyage luflorique
de la Grèce. Éloge de ce précieux ouvrage. Ibid. 224. a.
S IR A F , {Geogr.) c’étolt une ville mariiimc fur le golfe
(le Perfo, fametife par fon trafic, mais dont on ne voit
aujouid’luii aucun veflige. Caufe de cette révohuiou. XV.
224. b.
S IR A T ICK , ( Hiß. mod. ) fouverain d’une nation de nègres
d’Afrique , appelles les faillis. Eloge de fou gouvernement.
Üificiers auxquels il commande. Loi fur la fuccclfion à la
couronne. XV. 213. a.
SIRBON , lac ( Géogr. anc. ) entre la Paloflinc & l’Egypt:.
Sables dont il cft couvert. Dangers au.xqucls s’expofent les
voy.igeurs qui ne le connoilTcnt pas. Erreur de Strabon fur
ce lac. X V . 225. a. Voyex^ Suppl. 111. 190. a.
S IRE, {Hijl. mod.) Etymologic de ce mor. Anciennement
on s’en fervoit dans le même fens que fieur 6c l'eigneur,
Ufage de ce mot, & de celui de ß r en Angleterre. Cérémonie
qu'obferve le roi d’Angleterre en créant un finiple chevalier.
X V . 223. b.
Sire. Seigneurs de Pons qualifiés de fires. XIII. 26. a.
SIRENÈS , {Mytholog ) Fable des firenes. Maniéré
dont on les rcpréfentc. Explication de cette fable. — Ifle
qu habiioicnt les firenes. XV.223. l’article Sirenuses.
•Sirene , ( UAi/o/r ) Manière de repréfenrer ce monflre
marin. Noms des trois firenes de la fable. Signiric.ation de
ces perfonnnges fymboüques. Suppl. IV. 799. b.
Sirene. L’une des firenes nommée P.utheuope, XII. 89. e.
Efpece de poiflbn qui peur avoir donné heu à I,i fable des
firenes, IX. 223.0. XIL 449, a. Sirene, figure fymfaoiique.
X V . 734. a. Sirènes dans les armoiries, Merlusine.
SIRENUSES , les {Géogr. anc. ) ifles fur la céite de la mer
de Tyrrhene. Les anciens k s appdloient//n7;r<yt’j , parce que
trois lameui'es cotirtifannes, Parthenope, Ligée 8c Leucofie
les avoieiu liabitécs. Pieges qu’elles tendoiciu aux namon-
niers. On dit que les anciens habitans de ces ifles rendoient
un culte à ces firenes. Noms que ces ifles portent aiijourd’iuii
X V . 226. d.
S IR I , ( Vitrorio ) anecdote fur cet homme de lettres. SuddL
ÏV . 3- 42-. - ^
S IR IC E , romain , premier pape qui a preferit le célibat
du clergé. X V II . 644.
S iR lS , ( Géogr. anc. ) i °. ville d’Italie dans la Lucanie. Ses
dift'érens noms. On prétendait quelle avoir été bâtie par les
Troyens. Statues de Minerve qu’on y voyoir. 2". Fleuve
d’Italie dans la Lucanie, aujourd’hui 5/>ro, Senno, ou Strio
X V . 226. b.
SIRIUS, ( ) voyei Canicule. Origine du nom
Sirius. X V . 93. a. Grandeur apparente de cette étoile. VI.
C i.b . Moyen de la connoitre dans le ciel. Suppl. IL 366. a. Méthode
employée par Hiiyghens pour déterminer fa dlflance.
V I . 60. a. Singuliers changemens dans fa latitude. Suppl. IL
890. b. 893. h. Suppl. III. 710, b. Changement qu’on a cru
voir clans fa couleur. Suppl. IL 896. b. Heures de fou paf-
fage au méridien. 894. a. Son lever hélinque. Suppl. III. 736.
b. Combien de tans elle eft cachée p a r le foleil. I.X. 443.
b. Sauvages d’Amérique qui règlent leurs années fur fon
cours. Ibid.
S IR LE T , ( F'/.tviw) graveur en pierres fines. XTI. 390. *2.
SIRM ICH, ou 5c>/7iiyi;A, ( Gf'ogr. ) contrée de la Hongrie.
Ses bornes. Obfervations fur fa capitale, X V . 11-’ . a.
SIRMIO , (Gtvgr. anc.) péninfulc critalie au territoire de
Verone dans le lac Benacus, du côté du midi. Vers de
Catulle fur ce lieu , dans leqtiel il pofl'écloic une maifon de
campagne. X V , 227. a.
SUiM IUM , ( Géogr. .znc. ) ville de la bafl'e Pannonie , aujourd’hui
Sfo/ticA. XV. 227. a. Réflexions fur l’enipcrcur Marc-
Aurele qui mourut à Sirmium. L’empereur Claude y finit aufiî
fes jours. Caraéfere de quatre empereurs nés dans ce même
lieu 3 favoir, Autélien, P robtis, Ibid. b. Confiance II 6c Gra-
lieii. Ibid. 228.
SIRM O N Ü , {J.icqucs) jefuite. X IV . 296. b.
S IS A K , Sifek, ou Sijfeg, auiretois Syjcia, ( Géogr. ) ville
do Pannonie. X V . 776. b.
SISARU.M , ( £ü/. ) genre de plante nommé vulgairement
chervi. Defeription de la feule efpece de ce genre', ccninie
de Tournefort. Scs urageseii médecine. XV, '228. b.
SISEN , prince philofophe du Japon. M IL 438. a.
S ISIMIFRE, rocher Je ( Géogr. anc.) roclîcr d’Afle dans
la Baélriune. Sa defeription. C« ft fin- ce lieu qu Alexandre
srouva la belle Roxane. X V . 228. t.
S 1 T 68 J
SISSEG ou S ifek, {Géogr.) bonne ville autrefois, »..
jourerhui bourg dans la C roatie. Cette ])lacccléHvrec parConf-
tamin des Sarmates cjiii en faifoient le liege. Lifcripiion d’une
niedaille que les habitans firent frapper en rcconnoifi'auce de
ce \é\oM.ér.Suppl. iV . 800.41.
S lS SO N E ,p ./ j de {D a u je ) manière de l’exécuter. X V .
229,
S I .S lE R O N ,o u Cijleron, {Géogr.) ville de France en
i rovenc-e. Princes auxquels elle a appartenu. S.i fiiuatlon.
Son évêché. X V . 229. übfervatîoiis fur Albcnct poète
provençal, né dans ce lieu. Ibid. b.
Stfleron, ancien peuple du diocefe de cette ville. XVI.
b._
S IS ! R E , {Mufqucanc.) infiniment qui étoit employé dans
les ceremonies rcHgicufcs des Egyptien-,. Sa deferiprion. O u vrage
à confliher. Les Hébreux fefervoieutaulli du fifirc d.;ns
leurs réjotlifl'ances. X V . 229. />.
Sijhe. Cet iiifiru meut dillingué du crotale. IV . <ie a.
Voyci Ci.STRE, ' ' '
SISYMBRIUM , ( Bot. ) Caraeflere de ce genre de iflanic.
Ses efiieces. Defeription de la plus commune, appellee
ffymbrtiim aquaticuin ,iéc tXüffymbriitm à feuilles d’abf'/iuhe
à la racine annuelle. X V . 230. n. ’
Sijymlnum.QrduK de fifymbrlum à feuille d’abryme. X V .
864. c.
SiSYPrIE , {Mythol. ) i ” . fÜs d’EoIe , Si. pciit-fils d’ilollen.
a®, dcfccndaiu d’Eolc , 6c frère de Salmonée cpii iv-’ iia à
Corinthe, après que Méciéc fe fut retirée. Carâélere^p.ici-
fique de ce prince. Suj)plice auquel les poètes l'oiu condamné
clans les enfers. Différentes raifons que les myiholo-
gues en ont données. Suppl. IV. 799. b.
Syfphe, premier infiitutcur d:s jeux ifliimiques. V llI .
'sisYRINCHIUM, {Bot. ) CaraReres Le ce genre de
plante. Ses efpeces. Deicripiion de la principale. XV , 230. a.
S IT E , (P e in t.) Sites de clitTérens genres. Sites infipidc.,
extraordinaires, communs, ikc. Règles fur le choix des
beaux fîtes. Moyens de les diverfificr. Les pnyfagcs du Pouflin
font remarquables par l’agrémci r , la mniveaiiré, la richeffo
& l’ingénicufe diverflté des fîtes. X V . 230. b. Vove-
T errein. ^
SITHONIE , ( Géogr. anc. ) partie de la Thrace. Ses villes.
Débauche des Sulioniens. X V . 231. a.
S IT Ü N S , /et {Géogr. anc.) l’un des trois principaux peuples
qui h,.bitoient la Scandinavie. Les femmes comm.in-
düieiu chez eux. Diflàércns peuples compris fous le nom
de Suons. Ils furent policé, par N oms, fils crHumblus, roi
de Suede, qui les fubjugua. X V . 231. h.
S IT U A T IO N , Etat, {Synon.) Difièrcncc entre ces mots.
X V . 2 31. i.
Situation, {Geom. & ) pofition rcfpeiflive des
lignes, fiirtaces, 6cc. Efpece paniculicrc d'analyle que J.eib-
nitz appelle analyje de ftuation. C ’efi parce que cette forte
d’analyfe manque à l'aigebrc ordinaire, qu’un problème
paroit füuvent avoir plus de folutlons qu’il n’en doit avoir
dans les circonflances limitées où on le confiderc. Exemple.
X V . 232. a.
Situation. {P o ife dramatiq.) Situation en fait cIc tragédie,
comradieflion de mouvemens qui s'élèvent à la fois,
6c qui fc bal.ancenr, indécifion do f'entimens dans les
perfonnages, 6cc. Exemple tiré du Cid 6i de la mort de
Pompée dans Corneille. Diftérence entre ce qn'on appelle
coup de théâtre 6c fituation. X V . 232. b.
Situation , {BdUs-Lctt.) moipent de l'aélion théâtrale,
oit de la feule pofition des perfonnages, réfitite pour le
fpciflateiir un fahliremenr de crainte ou de pliié, flTa fituation
cfi tragique ; de curicdiié , d’impatience ou de imli‘>ne
jo ie , fi la fituation efi comicpic. — Moyen de bien juger d'une
fituation.— Lalituation tragique e fi, tantôt un détroit dans
lequel l'aftçur fcrcit comme entie deux écueils, ou fur le
bord de deux abymes. Supp!. IV, 800, a. Tantôt elle ref-
fenible à la pofition d'un vailfcau battu par deux vents op-
poiés. T.auiôr c’efi un fimpie danger, mais prclllmt, terrible,
inconnu à celui qui en efi menacé. Tantôt enfin,
c’efi comme iin orage qui gronde fur la tctc du pafonnage
intérelFint, ou un naufrage au milieu duquel i! eil obligé de
péril. — Les fituations comiques font k s moiivemcns de l'action
qui mettent le plus en évidence raclrcile de fripons
la foirife deS chi])cs, le foible , le travers , le ridicule enfin
du perlonnage qu’oii veut jouer. — Le premier foin du poète,
dan.. Tun ou l’autre genre, doit cire de tonner fon intrigu
e, de fiiuaiions touchâmes ou p!aifance.s par elles-mêmes.
De l'art d’amener 6c de lier les fitiutions. Des moyens d'en
fonlr. Ibid. b.
Situation, {Archit.) voyer Exposition, A spect X V
282. b. . ■
Situation du terre.v:, {.Lirdin.) Conditions nécelTnircs
à une bonne fituation pour un jardin, roye:^ Exposition ,
A spect. XV. 232. é.