28 I M V I N C I N C I N C IMPRON'lSTKR , ( Or.vfn,:. ) |>;\rlcr en vers (nr Ic
ch;mi|) & Inr nil I'ujct donné, Quelc[iics Italiens polledcnt cc
talent à n.i tles-ré Inriirenant. V l l l . Ó31. è. Voye^ Im*
PRO.MPru.
lMi>;iOvisrSK.( A/h/A/. )C!iaiucr impromptu des chnnions,
airs & p:n o!e^ , i'e. Cetie lone d’impronipm tié([nciue en
lMtie.5.’.-;T/. M. 5Î9-
l.\iFRUi)l::NCfi. {Morak ) C c tp ie difoit M. dc Richelieu
des impui.lei-.cc; cn matière d'é-tat.Vlll. 631. .t.
I.MRUJ1:RE,S. {Janj\jr.) DilVérens degrés entre les im-
p'.iliere's. l’ oiivoir (jiie le droit romain leur accordoit. Etat
des impnheres eu l'iaiice. Dülinélion qu'on fuit à leur égard
eu matière criminelle. V l l l . 631.
IMPUDENCdè. (.Wiir.;/f) Diilcrens degrés ik nnanccs
(le ce vice lé Ion le caraélere des peuples. Celle d’un
E'raii'j'üis, d’un Ii.ilien , d'un lilandois , d'un A ng lois, Civ.
V l l l . 63 2. m
(MPUotNcr. {Antiq.^rtc.) L'impudence & l’outrage eurent
un temple daii.s Ailienes. lliltoire de ce temple. \ l i l .
63:. h.
lA lP U D IC lT É , L u b n à û , U fcWcù , {Synonymes) IX.
709. b.
I.MPUDIQÜES , ventures. XI, 272. b.
I.MPUISSANCE. (.'L.A-C.) Trois cfpeces pnrticulicrcs ik
trois cnulcs dilî'éicutes d’impiiUrance ; 1". le délant d’érection.
Ce qui peut avoir pour caille ; 1. le défaut ou lu rapidité
de la lu|ueur prolitique; V l l l . 632. b. ravcrliou , le
mépris, la crainte, ou d'autres caiifcs morales à-peu-ptès
femblables; 3” . la paralyse des mufclcs ércéleurs ; 6-c. tbU.
633. 11. Seconde caul'e d’impoiflanco, le defaut d'imromillion.
D ’oii provient ce délaiit. lil. Troifiemc caufe , elle
dépend de l'cj.iciilation 3 li elle ne le fait pas du tout , ou
autrement qu'i.l!c tloit. Détails fur ce lujer. lb;J. L Ditlé-
rencc entre rimpuiirance ik la llérilité ou infécondité de
l’homme. Curation de l’impuillaiicc. IbiJ. 63.1- a.
Impuissanck. {Hiß. Litiérai.) TmpuifTans nommés par
le.s Orientaux eunuques Ju ciel. II. 802. b. Congies employé
auticfüis potir répondre à l'aecufatioii d'impuilîaiice. III.
869. h. Melurc e.xpofée à l'hotel de ville de Copenhague,
qui déienuine l.i hauteur t[iie doit avoir un homme pour
n'étre pas co.ivaincu d'impuilTance. VI. 12. b. Haccidité .figue
d'inijuiiirance ; vers dc Juvénal fur t e fujet, 83 2. b. — Voye^
F k ig io it é <S’ S rtKiiiTÉ.
Impuissance. (-f"nypr, ) Ciufes d’impui.Tancc felon les
lolx canoniques, Celles qui l'ont propres tm.x hommes. Celles
qui ne coneerneiu que les femmes. Caufes communes aux
lieux fe.x..5. C.tsilés perpétuelles ou momentanées. VIII. 634.
/-. Impt.iifmce abfoluo , ik impuilTaiice relative. Frigidité
de ritomme. Défaut de fcmence. Stérilité de la femme.
Le malenve. Défaut de puberté. La vieillefre. Inlinnités liir-
veiuies depuis le mariage. Parmi ces ditVérentes caufes ,
l’auteur dilVmgne celles qui peuvent domier lieu à la dilî'o-
hition du mariage, de celles qui ne le peuvent. A quels juges
appartient la coimoidance des demandes cn nullité de mariage.
Formalités exigées de la part des )Uges. Cohabifation per-
uii'fe dans le cas dc nullité.' Loi.x & traités à conlulier. Ibul.
63 5. U.
I.MPUISSANCE, {Médcc. Ug. ) Lc petit nombre dc divorces
recheichés de nos jours pour caille dimpuiflance, fenible-
roit annoncer que les hommes font moins jaloux nujoiii-
d’hui d'avoir une poRérité. 111. 569. On remarque
comme une fingularité que les femmes ont prefque toujours
été deimiulerclfes & les liommes défendeurs dans les procès
pour Lût d’impuiilance. Moyens ridicules Jk cruels qui avoienc
été mis en ulage dans des tems barbares, pour attellcr l’im-
puifiuncc des acculés. Fpoqiie à laquelle on cclTa cn France
de les employtr. Übfervation fur les loi.x qui comptoient
les maléfices parmi les caufes d’impuilhince 8e de llérilité.
Itid. b.
LMPUL.SION. {P b y fq .) Sur les lolx de l’impulfion des
corps , voyiq PERCUSSION , COMMUNICATION , EQUILIBRE.
La propriété par laquelle mi corps eu poufTe un autre
ell quelque chofe de fort übfcur. C’eft une erreur de vouloir,
à l’exclufion de tout autre principe, regarder cette force,
comme la feule qui produile tous les cRcts de la nature. V l l l .
6 3 5 .i.
Impulßon , voy’cz fur ce fujet l’article C ause. II.
790.
IMPURETÉ , ( Médec. ) celle dc l’eflomac & des premieres
voies. Comment elle s’aimoiice. DiPiiiélions luiiiu-
tieufes c[i;l ont été établies l'ur ce fujet. Le palTagc des im-
piiretés dans le fang renferme prefque foute la théorie moderne.
VIII. 63^. b. Caufes des impuretés. Comment on travaille
à les (lllliper. Ibid. 636. </.
Im pu r e té , {M om ie) terme générique qui comprend
toil! les déréglemens dans lefquels on peut icmber , reh-
livcmeiu à la jonélion charnelle des corps, ou aux parties
naturelles qui l’operent. U ne lutiit pas d'etre marié pour
DO point commettre d’actions inîpiircs avec la perfoiltïe qtis
l'hymen fcmble avoir entièrement livrée i nos defirs. VIII.
63 6. U. Des impuretés légales cher les Juifs & les maiioniétans.
La religion des païens étoit remplie de divinités qui favorl-
ibiciit l'impureté. Celles qu’ils avcieiit créées pour préfider aux
fonéHons du mariage. IbiJ. b.
ywp/iri.'c morale, vo ye z Ch.tfleré , Adultere, Fornic.ition ,
PaULiidiJc. Impureté legale. XUl, 275. b. X V . 404. .;. Impureté
que coutraéloiuu les femmes parleur accouchement.
A l i l . ^80. b. ViéVmie d’c.xpiation pour les impuretés que
les Juifs contraéloicnt par la préfeuce ou ratiouchcmcut
d’un ii'.ort. XVI. 791. b. Celte foitc d’impureté reconnue
par d’autres peuples de raiitlquité. V. 103./>. La loi faliquc dé-
fciuloit le commerce des huimiics à celui qui avoit dépouillé
uii cacl.ivre, IL <; lO.L / SüUlLLURi:.
IM PU TA TIO N. {Droit yohr.l:.- Mor.ik) U ne faut pas
cont'omlie l’uupuiabilite des aélions luimaincs avec leur im-
['iitation aéliielte. V l l l . 636. b. Comment lé fait le jugement
d’imputation. Conditions dont,!« concours cft nécclTaire
pour qu'une adion mérite d’etre aébicllcnicnt imputée. Pour
rendie l’imputation julle , il faut qu’il y ait quelque liaifoii
enue le (pie l'on a lait ou omis , üt les fuite:; de cette aftioil
on (le cette omill'ion 3 éc que d’.iillciirs l'agent ait eu con-
uüilLance de cette liaitou , ou que du moins il ait pu prévoir
les ell'cts de Ion aélion avec quelque vraifemblaiicc.
Ibid. 637. Deux fortes d’iuipiitntioii ; Lune fimplc , l’aune
eflicuce. Dill'éreiice entre rimputation des bonnes Sc des
iiiativaifes aéVions. Application des principes précédons. Les
adions de ceux qui n'ont pas l'iifagede la railbn ne doivent
pas leur être imputées. Ibid. b. Des mauvailes adions coin-
miles dans rivrcifc. L’on n’imputc à pci fonne les choies au-
delLiis de fes Ibrce.s, non plus ipic l’omilLioa d’une choie
ordonnée 11 l’occafion a manqué : on n’ell point rcfpoula-
ble de ce qu'on a fait jtar une ignorance invincible. Le tempérament
, les habitudes ik les pallions ne faiiroient excu-
lor des adions inauvaifes. Ibid. 638. a. Examen de cette
qudllüiî ; les aélions auxqaclle.s on ed forcé , font-elles dc
nature à pouvoir être imputées ; & doivent-elles l’être cfl'ec-
tivement.^ Ibid. b. On doit fe réfoiulre ;'i foilftVir ik même à
mourir , plutôt que do manquer à fou devoir. Des adions
auxquelles pluiieurs perfonnes ont part 3 i". les adions d’autrui
ne fuuroicnt nous être imputées qu'autaiit que nous y
avons concouru 3 2“ . chacun eft dans une obligation générale
dc faire enforte , autant qu’il le p eu t, que toute autre
peribnne s’acquitte dc fes devoirs 3 3". on ed fur-tout
refponfable de ceux fur qui on a une infpcdlon particulière
3 4". pour être raifounablemcnt ceiifé avoir concouru i
une adion d’autrui , il fiifüt qu’il y ait quelque probabilité
que nous pouvions la procurer ou rempccher , cn faifant ou
en ne faifant pas certaines cliofes 3 3”. didinélions à ôbfcr-
ver pour edimer exadement le degré d’influence que l’on a
fur l'adion d’autrui. Ibid. 639. u. L’on peut ranger fous trois
clafTcs les caufes morales qui influent fur cette adion 3 tantôt
cette caufe ed la principale 3 enforte que celui qui exécute
n’ed que l’agent fubalterne t tantôt l’agem iinmécliat
ed au contraire la caufe pilncipale, tandis ([ue l’autre n’ell
que la caufe fubaltenie 3 d’autres fois ce fout des caufes
collatérales qui influent également fur r.iéIion dont il s'agir.
Ibid. b.
Imeueation. {Thcolog.) Imputation dit péché d’Adara.
De l’ituputation des mérites dc Jefus-Chrid. Dodriiie des réformés
& des luthériens fur ce fujet. Celle des catlioliques.
VIII. 640.-7.
Imyu'.dtion du péché d’Adam. XL 649.-7, b.
Imputation , {Jurifpr.) acquittement d’une fomme due
par le paiement d’une autre fomme. OhfervacioTis dc juriljrru-
deuce fur cette imputation. V l l l . 640. b. I N
IN , particule prépofitiveen françois. XII. lo i . É
IN ACH U S , {H iß . une. ) premier roi d’Argos. Suppl. I.
531. />. .[52.
Inachus, ( Gèo^r.) petit fleuve du Péloponsfc dans l’Ar-
gülide. Fondateur du royaume d’.Argos dont ce fleuve tire
fou nom. Le.s anciens ont dit qu’il avoit été entièrement defTé-
ché. Suppl, n i . 369. b
IN A C T IO N . ( Grumm. & Thèobg. ) Ce que les myftiques
entendent par ce mot. A parler cn générai , l’inaidion n’cd
pas un fort bon moyen de réuffir auprès de Dieu. VIII.
640.
IN .AD EQU ATE , notion. XL 25 2. b.
IN ADMISSIB LE,/bm .Vl. 385..;.
IN .LUGUR AT ION . Cérémonies d’inauguration pour les
docleufs en théologie, V . u. pour les doftfcurs en Droit.
Ibid. h.
IN C A , ( Hiß. mod. ) ancie'ns rois on princes du fang
royal du Pérou. Comment la chronique du Pérou rajrportc
l’origine des incas. Puidance qu’ils acquirent. Nombre d<S incas
connus datis Lhiftoire, Les perfonnes les plus confidérables
du
du pays portent encore ce nom. Titres qu’on clonuoit aux
ro is , aux reines îk aux princes du Pérou. Extréinc vénération
que les Cuiets avoieni pour eux. Des fuiiéradles des
iiicas. VIII. 641. b.
Inc.i. De 1.1 maniéré dont les Pértiviens im'iloicnt les corps
de leurs iiicas. V . 333. a. Chetnin des incas : hôtelleries
dont U ed garni par intervalles : foiiLs qu’on y prend des
voytigeurs. \ IL 974. ù. Richdîes des anciens iiicas. XII. 191.
b. l ’oyc:^ Y n cAS.
^ Incas , pierre des, ( Hiß. nat. ) Origine du nom de cette
pierre. Ufages qu’on en fait aiijourd’iuii, Préjugé fur ce’tic
efpecc de [-yriie. Mines connues qui la produifent. VIII.
642. ./.
Ine.is, pierre de faute , de la incnie cfpece que celle des
inc.is. X IV . 630. b.
IN C A PA C IT É , indignité, différence. VIII, 679. b. Foyer
Impéritie.
INC.LRNATIF , adj. {C/iirurg. ) Bundage ine.im.itif. Corn-
meut on l’applique. V l l l , 642. Precautions que le chirurgien
doit prendre avant que de l'apjjlitpier. Opération dans
laquelle il e!l Iiir-tout utile. Siiluie inearnuiioe. On a des
moyens plus doux , plus elficaces, que les ('utiiros pour hi
léiinion des plaies. Mémoire à confiilter à ce fujet, kemedes
inc.irnutifs ou farcoiiqnes. En quoi confide leur vérjt.ible
vertu. L’auteur examine s’il peut fe faire une véritable régénération
de chair.s. Ibid. b. Foyc^ Anapletorique iv
Sa KCOTIQUE , 6' Curticle INCARNATION
IN C A RN A T IO N . {Theolog.) Efpece de trlivté & d’incarnation
reconnue par les Iiidiciis. L’ere eu ufage chez les
chrétiens cd celle de l Incarnation. Auteur tie cette erc. Le
commencement de cette ere retardé euf.iitc d'une année.
Comment on compte les ann écs à R ome, en France, eu An-
g ie ten e , .à Florence. V III. Ö43. a.
Ine.irnution. Düétnnes de ditféientes fetdes fur le niydere
de Lincarmiiion : celle des G rec s, V l l l . 372. é. des Nedo-
riens, XL 106. b. des Sociniens. XVII . 393. b. Fêtes des
catlioliques cn mémoire dc i’iiKairnarion du verbe, l. 483.^.
Incarnation. ( Hifl. mod. ) Doéfrine de.> Imliens fur
les dix incarnations de l’un de leurs dieux. VÜ I.40 .6 .X V . 14a 4.X V I I .338.-7.
Incarnation, {Chirurg.) difl'érens états par lefquels
pafTenc les pl.iies ik les ulcere.s. C e : l un princijie certain
que les vailfeaux feufibles , les iierC remarquables, ix. les
tendons ne le répaient pas, non plus que les fibres charnues.
Comment fe fait la cicatrifanon d’im ulcere large &
profond à la partie antérlcuie dc la ciuffe. VIII, 643. a.
Cicatrifation de la plaie qui rede après l’amputation d’une
niamniellc cauccrciife. Ce que dit Van-Swiete.i fur la nature
dc la fiibdaiice qui croît dans les plaies. Obfcrvation
fur les plaies f.fitcs pour l'inoculation de la petite vérole qui
prouve la non-régénération. Ibid. b. Deux fortes de fiipjriira-
tioii qu’un auteur moderne dldingiie dans les plaies , l'une
qu’il nomme piép.ir.wie ik l'autre regênirMie. Médianifme par
Ictpiel s’opère la cicatiifation & la con'ülid.mon. Raifonno-
ment qui démontre qu’il ne jjeut y avoir de véritable r.gé-
nération dc cluirs. DéprelTion ik affailfemenr nécediiire des
Icvrcs dc la plaie pour Oj>érer la cicatriliitiuii. Kemedes qu’on'-'
emploie à cet elfet. Cas oii la grande mtiigrcut ed un obda-
cle a la réunion des parties divif^cs. Comment fe fait la réunion
d’une plaie ;'i la tête , dans laquelle il y a eu perte de légu-
mens avec une portion du crâne à ciécouveit. Ibid. 644. ,t. Foyer
Incarnatif.
IN C A T E N A T I , ( Hiß. Litt. ) fociété littéraire établie
à Vérone ; ce nom pourroit consens- à toutes les Ib-
ciciés des gens de lettres. Durée de cette ibciétc. V-iU.
6 4 4 - .
INCENDIE, (ohortes qui fervoient à Rome dans les
inceiidics. III. 60S. b. ülHcier prépofé dicz le. anciens pour
jirévenir les Inccniiics noélumei. XI. 291. b. Pompe pour les
incendies, VIII. 367. .1.
Incendies. {C .i.fed e s ) moyen imaginé dans phificurs
provinces d’Alleuragne pour empêcher ou réparer une paille
du dommage que les incendies pounoicnt cauler nui
particuliers. V l l l . 644. b. Autre méthode employée d.nis
quelques ])ay‘ .D c l’ufige d’affurei fes maifoiis,établie en A ngleterre.
J/d/. 643.-t.
Incendie unioerfel, voye;^ CONFLAGRATION.
IiKendie , opération diymique. XL, 301. b.
IN C E R T A IN , X, irréjolii, {Synon.) V, 90. .7.
IN C E R T ITU D E , cn quoi elle confifle. XIII. 394 In-
eertiiude de rhidbire. VU I. 224. ,1 , .b , ikc. Incertitude dans
les détcrmimuio.ns.dc conduite. 187. b.
INCESTE , ( Th.eolog. ) la comonélion mémo entre frcrcs
& fomrs , taifte & nev\.n, ik eoulins-gcnnalns a été pennife
au cainmcncemem. du monde Ôc encore allez Ion-»-tems depuis
le déluge. On dit que ces alliances fc pratiquent encore
chey les Gauus ou Guebres. V o y ez c«s mots. Du teins où
ces mariages ont commencé à être défendus. VIII. 643. n.
Quels four ceux que défend la lo i de Moiïê. Ces degrés
Tome II,
29
proliibés , exprimés en quatre vers latins. De la peine des
iucedes. Empêcltemens dirimaus du mariage parmi les dué-
licns. Incelle fpirituel, Ibid. b.
h cc jlt , itymologic (le co m,„. II.86ç,. i. De n,Kc(lc c„.
tre afecudans & dcfceiulans ; entre frere ik foem- X
103. b.
INCESTUEUX, ( Gmtnm. Jurifpr. ) Des bâtards Inccniiciix.
ne peuvent être légitimés par le mariage. V l l l
643. b. °
incefueux, mnriage. X. 110. L Enfaiis incedueux, IL 138,
<1 , b. Commerce incedueux dc ccrttiincs nations faiivages
Suppl.\.-^ge).a.
Incestueux, {H ip .e c c l.) nom d'une fcéfc qui s’éleva
en Italie vers l’an 1063. Hiduirc dc cette feétc. VIII.
646. a.
IN CH , mcfiire dont on fe fert cn Angleterre. Corrcfpon-
dance de cette mefure avec le ponce cn France. Dividon dc 1 incli. Mclurcs dont l’inch fait partie aliquote : rapjiorts dc ces
mefures avec celles de France. VII I. 646. ,1.
IN CHO AT Ih , ( Gmmm.) verbe caraidérifé par la tcrnii-
naifon/co on/cor. Il ne jiaroii pas que les bons écrivains
aient fuppolé dans cette forte de verbes l’idée d'inchoarion
que leur nom y femblc indiquer. VIH. 646. -7, Ces verbes
auruient mieux été caruaérilés fi on les avoit nommés pro-
grejjtjs. On ne pourroit les nommer augment.itij's , comme le
prétencloit L Vallc. Ces verbes ont tous la fignificarion paf-
iivc. Comment Servius les explique. Verbes progrefTiC cn
françois. Ihd. b.
Incho.itifs , verbi
176. a.
INCHOFER , ( Melchior ) jérultc allemand. XV II
263. b.
leur terminaifon ordinaire. V II .
IN CIDEN CE , {Méch.iniq.) VIH. 646. b.
Incidence, {Optiq.) Angle d’incidence. VIII. 646. b.
Propolitions démontrées en optique fur les angles d’incidence.
Catlicre d’incidence , Cathere & Réflexion. Ligne
d inci(lencceiicatoj)trique,&en dioptrique. Point d’incidence.
Axe d’incidence. Ibid. 647. n.
Incidence ; axe (l’incidence. I. 903. b. Cathere d’incicicncc.
IL 776. Réflexion. XIII. 886. a , b. 887. .1. 888.
b.— 890. a.
IN CIDEN T. Des incidens dans les poèmes dramatiques
ou héroïques. VIII, 647. a.
^ Incidens : ils doivent naître les uns des antres dans l’épo-
]>ée & s’enchnincr nnmicllcmcnt. V. 825. b. Foyer A ction
Episode, ’
Incident , ( Jurifpr. ) Ce qu'on emend par-là. VIII. 647.
-/. Demande incidente. Deux fortes d’incideus. Ibid. b.
Incident, aéfion incideiiie. L 123. n. Demande incidente.
IV. 804. a. Dépens de i’incident. 839. a. Faux incident.
VI. 441. h.
Incidente , ( Gmmm. ) Exemples de propofitions incidentes
renfermées dans une propodtion principale. Deux fortes
de propofitions incidentes, l'une explicative , l’autre déterminative.
La premiere peut être retranchée dc la principale
fans en altérer le fens 3 il n’en ed pas de même cfe la
fécondé. VIII. 647. b. Quand la propofiiion incidente cfl
explicative, on peut la transformer cn princijiale fans en
altérer la vérité ; mais cette même transformation ne peut
avoir lieu quand la propoftfioii eft déterminative. Ohferva-
tion fur hi définition qtic M. du Mtiifais donne dc la propofiiion
incidente. Pourquoi elle ed appellee de te nom.
I/biit. 648. n. Les pronoms conjonélifs qui, que, dont, lequel,
&c. ne fout pas tomme 011 le penfe ordinnireiticnt, les fciils
mots qui fervenrà lier les proportions incidentes déterminatives
à leurs antécedens Ibid. b. O blêrvations. i '’. La propofltion
inciticutc forme avec fon antécédent un tout, qui ed une
])ariie logique de la propofiiion principale ; l’antécédent cn
ed la partie grammaticale correfpondaiitc. 2". Il faut reconnoitre
dans toute propofiiion incidente, les mêmes parties
que clans la principale. 3". Lc mot conjonflifqui lie la propofiiion
incidente .à fon amécédent , doit toujours être ini-
inédiatcment après l’amécédent. 4". Règle de ponéfuation
par rapport aux propofitions incidentes. Ibid. 649. a.
Incidente , ( Gmmm. ) Propofiiion incidente. IV . 83. h.
XI. 306. h. X n i . 480. é. 481. -J , b. Maniéré dc ponétuer
les propofitions incidentes. XIII. 19. b. 21. a.
INCINERATIO N des plantes pour les verreries. X V I I
128.
IN C IS E , {Gmmm.) III. 683. b . lV . 83.-7. Suppl. III.
307,
IN (RSIF ,adj. )Dents incifives. .Mufdcs incififs.
Trou incifif. V lll. 649. b.
In c is if , ( Therapem.) rcmedesincififsivoyrçAtténuan t
& VICE DES humeurs.
Incisives tenailles , ( Chir. ) XVI. 123. b.
IN CIS IO N , {Chir.) DifTérenres vues dans lefquelles on
fait des incifions. VIII. 649. b. Différences entr’ciles. Des
iucifions dans les abcès, & des contr’ouvcrtnres néceffaires '
H
s | ,; .