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It I D O pathiquüS font oppofécs à celles qu’on nomme fympathiques.
VII I. 497. a.
iD Iü S Y N C R A S E , particularité de tempéra-
•jiieiu. Etymologie du mot. Les vices qui dépendent d’idio-
fyncralé paflbièiu quelquefois pour incurables. On prend
quelquefois pour innées des infirmités qui ne font que l’effet
de réducation. Cependant quand certe idiolyncrafe
cxille , il fam y avoir un grand égard dans l’ufage des remèdes.
V l l l . 497. a.
ID IO T , ( Gfjmw. ) différence entre l’imbédlle &. l'idiot.
Etymologie du mot. VIII. 497. u.
iD lO 'i IbME, ( Gramm. ) fa(ion de parler adoptée au génie
propre d’une langue particulière. L’idiotil'mc ii’efl point toujours
une locution incommunicable à tout autre idiome.
L’italien , 1'efpagnol, le françois, peuvent avoir des idiotii- ,
mes communs ù cbacunc de tes langues. Hellenilmes dans
le latin 6c dans le françois. Hcbrailmcs dans le françois.
Origine du mot tris qui marque le fupcrlatif dans notre langue.
VIII. 497. b. FaiilTe idée que bien des gens fe font
des idiotifmes. Il y a des idiotifmes contraires aux loix de
la grammaire generale ; mais il y en a d’autres qui ont avec
les principes fondamentaux de la grammaire générale toute
la conformité exigible. De-là les idiotifmes réguliers & irré-
guiieis. l. Les idiotifmes réguliers n’ont befoin d’aucune
autre attention, que d’être expliqués littéralement, pour être
ramenés enl'uite au tour de la langue naturelle que l’on parie.
Elpece de germanifme qui confilte à exprimer un attribut par
un adverbe. IbiJ. 49b. a. Examen d’un lafmifme régulier
exprimé dans cette pbrafe ; ntmincm reperire cjl id qui relit.
Lüifqu’on trouve un infinitif employé comme Injet du verbe
fum, 6c que ce verbe jum cfi pris dans un fens adjeélif,
cette façon de parler elt un latinifme. Autre efpcce de lati-
jîifnie dans un infinitif confidéré comme nom. il. Des idio-
tilnics irréguliers. Deux efpeccs d’écart dans cette forte d’i-
diotifine i l’un confille dans l’altération du fens propre d’un
m o t, l’autre dans une locution contraire aux loix générales
de la fyiuaxe. t'’. Lorfqu’im trope eft tellement dans le génie
d’ une langue,qu’il 11e peut être rendu littéralement dans une
au tre, c e ll un idiotiline irrégulier de la langue originale
qui l’a adopté. Exemples ; le v .rb e «.jCZj /v en latin , fignifie
augmenter davantage ,6c auquel on a donné le fensdej/àcri-
fier; ihid. 499. a. les verbes aller ik venir employés dans le
fiançois comme verbes auxiliaires. 2^. Lorfqu’une figure de
peut 1 rendue littéralement dans une antre
langue, elle ell aufli un idiotilme irrégulier. Exemples tirés
du françois; les mots mon, ton , fon joints à des fubllantifs
féminins; cette locution , j f ne laijje pas d'agir, on ne iaijjc
pas d'abandonner la vertu en la louant. Ibid. b. Quelle ell la
calife de ces écarts qui déterminent les différens icliotifmes.
Influence des ma-urs & du génie des peuples fur le langage.
Moy en de démêler dans les idiotifmes, ce que le génie particulier
de la langue peut y avoir contribué. En quoi con-
lifte une bonne interprétation littérale. Übfervations de M. du
Marfais fur rutilité des traduélions littérales. Ibid. ^00. «.
ID O LE ., Idolâtre , Idolâtrie , {^Linérat. Théolog.') étymologie
de ces mots. Signification du mot adorer. Obfervations
fur ce que dit le diéiionnaire de T r é v o u x , que cous les
païens écoient idolâtres , 6c que les Indiens le font encore.
En quel tems 8c pourquoi les païens furent appelles de ce
nom. Examen de la quefiion , s’il y a jamais eu un gouvernement
idolâtre. Le mot idolâtre inconnu aux anciens.
L’erreur des païens, n'étoic pas d’adorer un morceau de
bois ou de marbre ; mais d’adorer une fauffe divinité re-
préfentée par ce bois &. par ce marbre. Différence entre
eux & nous fur ce point. VIH. p o . b. Ni les derniers
teins du paganlfmc, ni les plus reculés , n’offrent pas un
feul fait qui puiiTe faire conclure qu’on adorât réellement
une idole. Nous avons confacré plufieurs coutumes religieu-
fes femblables à celles que pratiquoient les Grecs & les
Komains, 8c cependant nous ne fommes point idolâtres.
Il y avoir des temples plus privilégiés que les autres ; n’avons
nous pas eu aulli plus de dévotion ù certains autels
qu’à d’autres ? Les anciens ne croyoient pas qu’une ffatiie
fût une divinité, Sc ne lui rapportüient*aiicun culte. Si une
populace groflierc fe méprenoic fur l’objet du culte , la
même erreur a eu lieu parmi nous , 8c ce])endant nous ne
fommes pas idolâtres. Ibid. ço i. a. Les apoiliéofes des anciens
ne prouvent point leur idolâtrie. Lucreee ne reproche
cette foiiife à perfonne. Une plaifanterie d’Horace fur
la Ifaïue de Frlape, prouve afl'ez que cette ftaïuc n’étoic
pas fort révélée : ik au lieu d’en conclure, comme le fait
Dacier , que les Romains l'adoroieiit, n’auroit-il pas dû
conclure qu’ils s’en moquoient ? Painii tous les auteurs
qui parlent des ftatues des dieux, vous n’en trouvez aucun
qui parle d’idolâtrie ; ils difent expreffément le contraire.
Ibid. b. L’opinion fur les oracles étoir que les dieux avoient
choifi certains autels , certains fimulacres , pour y donner
audience aux hommes. La magic feule pouvoir faire def-
ceadre les dieux fecondaircs dans leurs liâmes ; donc ces
I D U ftatues n’étoient pas regardées comme dieux. Les Perfes ,
les Sabéens , les Egyptiens, les Tartares , les Turcs n’ont
point été idolâtres. Les Mufulinans brifereiu toutes les Ila-
tues qu’ils trouvèrent à Conllantinople dans les églifes ;
iis crurent les chrétiens idolâtres ; cependant il n’en eff rien....
Ibid. ^02. a. D e l'antiquité des fimulacres appelles idoles.
Les plus anciens auteurs, Sanchoniaton & Oiphéc ne nous
apprennent fur ce fujet rien de fatisfaifant. Origine du po-
lyihciline. D ’où vient le reproche qu’on a fait aux Juifs
d’adorer une tête d'ànc. Diverfes iniage.s employées dans
la religion juive , qui cependant n’en altéioient point la
pureté.... Premières idoles des Egyptiens, des Babyloniens
6c des Indiens....Les Grecs fur-tout muhiplierem les dieux,
les ffaïucs & les temples : Ibid. b. 6c les Romains imitèrent
les Grecs... Q uel fut le lieu où ils établirent le féjour des
dieux. Enumération des grands & des demi dieux des Romains.
Obfervacion fur les dieux pénates. Les idoles font
de l’antiquité la plus haute , preuve tirée de l’h ifioire fainte.
Notion qu’avoient les anciennes nations de tous ces fimula-
tres. Ce que penfoientles Egyptiens du culte qu’ils rendoient
à certains animaux 6c à certaines plantes. Ibid. 503. a. Des
paroles qu’on attribuoit aux idoles. Pourquoi il n'y eut jamais
de guerre de relig'on chez les nations idolâtres. Diverfes
offrandes 6c facrifices oflerts aux dieux. Des facrifi-
ces humains. Difiinélion de la théologie facréc 6c des erreurs
populaires cliez prcfqtie tomes les nations nommées idolâ^
très. On n’enfeignoit qu’un feul dieu aux initiés dans les myl-
teies , comme on le volt par un hymne d’Orphée que l’ati-
teiir rapporte, Ibid. b. 6c par un paffage du philofophe
Maxime de Madam e , tiré de fa lettre à S. Auguffin. Epiélcte
ne parle jamais que d’un feul Dieu. Marc-Aiirele ne recon-
noit qu’un Dieu éternel. Plufieurs philofophes admettaient
une nature divine 8c univerfclîe. Moreri dit que du tems
de Théodofe le jeune, il ne refta plus d’idolâtres que dans
les pays reculés de l’A fie 6c de l’Afrique. Cette erreur réfutée.
Ibid. 504. a.
Id o l â t r ie , i °. Son origine. II. 324. a. IV . 730. b. 983.
b. IX. 742. a. XI. 372. b. XII. 95^. <2, b. X V . 20^. b. Les
hiéroglyphes devenus fource d'idolâtrie. V . 360. a. 438.
b. V U i. 206. a. Les païens avoient cherché quelquefois
dans des aftions infâmes l’origine des êtres qu’ils dévoient
adorer. VII I. i i y . a. Origine du culte rendu aux arbres.
Suppl, l l l . 39. b. Comment le culte rendu aux grands hommes
fe contbndk avec celui qu’on rendoit aux allres. XII.
937. ,i , b. Première forte d’idolâtrie qui eft entrée dans le
monde. X IV . 453. b. 439. a, b. Le foleil premier objet d’i-
dolâiric. X V . 313. a. Origine de l’idolâtrie chez les Egyptiens.
498. a. La liberté de faire des ftatiies multiplia le
nombre des dieux. X V . 300. b. 2°. Des différens objets d'idolâtrie.
Efpece d’idolâtrie de plufieurs anciens peuples ,
qui confiftoic à vénérer ou adorer certaines pierres. II. 217.
b. VII I. 926. a. P ierre. Les enfeignes militaires furent
pour les Egyptiens 6c les Romains un objet d’idolâtrie.
V I . 41. a , b. Figures des plaiictes 8c des figues que
l’on faifoii anciennement lorfque le culte des aftres fut établi.
X V . 866. b. Culte que les païens rendoient aux animaux.
XVII . 743. b. 3°. Canjldérations fur l'idolâtrie. Divers
degrés d’idolAiiic , félon que l’idée du dieu qu’on adore
eft plus ou moins éloignée de la notion du feul 8c vrai
Dieu : doélrme de récriture fur ce en quoi confifte l’idolâtrie.
XVII . 801. a , b. Polybe regarde l’idolâirie des Romains,
comme une chofe qui fut avantagetife à leur gouvernement.
V . 672. a. Du crime d’idolâtrie : l’écriture
l’appelle une abomination, 1. 31. é. 8c une fornication fpi-
rituclle. V IL 189. a. L’idolâtrie confidérée comme pire
que l’athèifine. I. Sot. Z-. 802. a , b. 803. a , b. Réflexion
centre l’iifiige des ftatues dans le culte. X V . 498. a. L'églife
romaine juftifiéc d’idolâtrie. V l l l . 3 39. a. Sur l’idolâtrie, voye^
Pa gan ism e & Po l ïth é ism e ..
Idole. Les Grecs appelloient de ce nom l’un des principes
dont ils croyoient l’homme compofe. V I . 162. b. Sorte
d’idole appelle ihèraphtm dans l'écriture. X V I . 264. b. Les
païens mettoient fouvent dans la main de leurs idoles une
petite ftatue de la viétoire. XVII . 246. é. Idoles d’une grandeur
gigantefquedanslesIndesScà la Chine. Suppl. III. 191.
b. 192../.
ID O L O T H Y T E S , ( Théolog. ) nom que S. Paul donne aux
viandes offertes aux idoles. Doéfrine des apôtres 8c des premiers
chrétiens fur ces idûlothyccs. VIII. 304.2».
ID OMENÉ E, (AJyrA.) obfervation fur ce ^nnet. Suppl.
111.817. 2t.
IDRIA , ( Gt’og/-. ) v ille d’Italie dans le F rioul. Defeription
de la mine de vif-argent que cette ville poffede. Son produit.
La mine prefqueépuifée aujourd’hui. V l l l . 304. b.
IDUMÉE , (^Géogr. anc.j pays d’A fic , aux confins de la
Palcftinc 8c de l’Arabie. Étymologie du mot. Différente
étendue de ce pays félon les tems dans lefqiicis on le
confiderc. VU E 304. b. Ses villes capitales. Quelle eft cette
Idumée dont Strabon , Jofephe, Pline , Ptolomée , &c. font
mention
J E A 3 E C H
ntcnfion. Idumécns qui vinrent s’établir dans les contrées mé-
Hdionalcs de laJudée, pendant la captivité de B abylonc. Idu-
méens Nabatbéens. Diverfes puiffances auxquelles les Idu-
nicensontobèi.,/ii<f. 303. 2».
ID UM ÉEN S , en quel tems iis reçurent la circoncifion. III.
461. b. Hiftoiredece peuple. II. 195.^-
ID Y L LE , ( Poéftejvoyei Eglogue. Etymologie du mot.
Premier auteur d’idylles. Les Italiens en ont ramené l’ufagc;
Toyq Pastorale. Caraéleres des idylles de Théocrite.
On ne s’en tient plus dans les idylles à la fimplicitc originale
de Théocrite. Caraftere de l’idylle tracé par Boileau. VIII.
303. a. Légères différences entre ce poème 6c l’églogue.
Jbid. b,
Idylle, celle de madame Deshoulliefes intitulée les moutons
, examinée félon les principes de la conftruâVion grammaticale.
IV. S 8 .a ,b , &c. Maniéré de traiter l’idylle en tableaux
de peinture. VU . 398. b. J E JEAELLIS , pHyfioloeifte. Suppl. IV . 362. d.
JE AN -LE -B L AN C , (Ornitfi. ) oifeaudu genre des aigles.
Sa defeription. VIII. 303. é.
Jean-de-gand ,( Ornit/i.) oifeauduSpitzberg.Sa defeription.
Sa nourriture. VIII. 303. Z».
JzAtt,{EvangiledeSaint) à quelle occafion ôcen quel tems
î! fut écrit. VII I. 303. Principal but de cet évangile. Epîtres
de faint Jean. Ouvrages apocryphes qu’on lui a attribués. Ibid.
506. a.
Je an , {Sa in t) de fon évangile. V I . 114. b. Il nous a
dévoilé la divinité du verbe. XV II . 33. a. Obfervations
fur Jean , chap. VII I. ir 1. — i i . VI. 478. b. fur Jean ch.
X IX . 3^. 13. IX. 389. a. Obfervations fur le paffage des
trois témoins , X V I . 34. b. X V I I . 399. 613. Z». 738. é. fur
ime épître , ch. V . 3^. 16. XII. 226. L
Jean-Bapt ist e , {Hiß. facr.)précmCeur de Jcfiis-Chrift.
Merveilles qui précédèrent & fuivirent fa naiftance. Son
mlniftere. Suppl.lïl. 346. a. Sa mort. Ibid. b.
Jean-Baptiste, {Saint) des fauterelles & du miel dont
il fe nourriflbit. I. 113. b. X. 46. a. Nativité de ce faint.
X I. 37. a. Sa décollation. IV . 699. a. Suppl. III. 367. b.
Diverfes églifes qui fe vantent de pofféder fa tète. X IV .
90. b. Chrétiens de S. Jean. 111. 379. b. X IV . 460. <j. Fête de
S. Jean; feu de la veille. V I. 6 j j .b . Hermites de S. Jean. VIII.
174. a.
Jean l ’évangélifle , ( H ß .fa c r. ) né à Bethfaïde en Galilée ,
fils de Zébédée & de S alomé, 6c frere cadet de S. Jacques le
majeur. Hiftoire de fon apoftolat. Suppl. III. 346. b.
Jean , furnommé Af2trc, ( Hß.Jacr. ) d ifc çle des apôtres,
fils d’une femme nommée Marie. Ses voyages. Son féjour à
Rome. Conjefture fur le lieu où il mourut. Suppl. III. 347. a.
Jean. ( 5ainf) D es communautés eccléfiaftiques & reiigieu-
fes inftituées fous le nom de S. Jean. V I I I . 306. a.
IZAUdeJérufalem, ( Ordre de Saint-) dames de cet Ordre établies
à Sixena , village d’Efpagne. X V . 234. b.
JzAü S’ dcS. Thomas, {l'OrdredeSaint-) en Portugal. Son
inftitution. Croix de l’ordre. III. 346.22. vol. II
des planches , blafon, planche 24.
IZKtit de Latran, {l'Ordre de Sain t-) dit de l’éperon , à
Rome. Son inftitution. Croix de l’ordre. Suppl, l î l . 346. a.
Voye^ v ol. des planches , blafon , planche 27.
Jean, {maldeSaint) etlpeCQ de maladie convulfive, elle
a beaucoup de rapport avec la maladie appellee danfe de faint
JFir. V III. 306. >2.
Jean , faint, ( Géogr.) villedeFrance.VIII. 306.2t.
Jean, ( Riviere de Saint-) dans l’Amérique feptencrionale.
Obfervations fur cette riviere. Autre du même nom dans la
Louifiane. V l l l . 306.22.
Jean , ( Iße de Saint-) une des Antilles. X IV . 325. i.
Jean d'Angely , Saint- ( Géogr. ) ville de Saintonge ; VIII,
506.21. patrie de Priolo : caraélere de fon hiftoire de France.
Eloge de Henri de Bourbon , prince de Condé j qui mourut
à S. Jean d’Ang ely en ï ^88. Jbid. b.
Jean de Lône , Saint- {Géogr.) v ille de Bourgogne.
Obfervations liiftoriques fur cette ville. Origine du nom de
Lône. VIII. 306. b.
Jean déton e, {Saint-) Suppl.ïV. jo o .a ,b . Obfervation fur
le fiege de cette ville en iS ’iS.Suppl. IV . 33.22.
Jean de Lu z , Saint- ( Géogr. ) ville de Gafeogne. VIII.
506. b.
Jean de Maurienne , ( 522/n/-) v ille de Savoie. VIII.
_5o6. b.
Jean-pied-de-po r t , (5.2/nt-) v ille de Gafeogne. Nom
que lui donne Antonin. Origine du nom de cette ville. VU E
506. b.
Jean d’Ulu a , ( 5ai«t-) petite ifle de l’Amérique. VIII.
307- a.
Jean V I I I , pape: bonne intelllgei^ce entre ce pape 8c le
patriarche Photius. X IV . 766. b.
Tome II,
Jean X F I I , anti-pape : cruauté d’O iiion III à fon égard-
XIV. 374. é, 373.22.
Jean Paltologue ; fon tuteur lui enlevé l’empire. St/ppf II.
214. b.
Jean, furnommé X sh o n ,{H iß .de France) fuccelTeurde
Philippe de Valois. Principaux évenemens de fon regne. Suppl,
l l l . 3 19.2», b.
Jean. Bataille de Poitiers daris laquelle il fut fait prifori»
nier. XII. 892. b. XVII . 636. a. Son traité avec le roi
d’Angleterre. Suppl. II. 32. b. Aides pour fa rançon. IV .
338. a , b. 674. b. Aucun prince n’afl'embla fi fouVcin lés
états que ce roi. V I . 23.22.
Jean Sans-terre , ( Hiß. d'Anglet. ) fils du roi H enri I I ,
ufurpa la couronne d’Angleterre fur Artluis de B etagne ,
fon neveu , à qui elle apparcenolc , 8c fut foupçonné d'avoir
ôté la vie à ce prince. Précis de fon regne. Suppl. 111.
320. a.
Jean fans-terre , roi d’Angleterre. Les Juifs vexés fous
fon regne. IX. 23. a. C e roi condamné à mort par jugement
des pairs de France , ÔC fes duchés confifqués. X L
739. é.
Jean I , roi d’Aragon , {H iß . d'E fpagne) fils de doin
Pedre IV 8c de dona Eléonore , infante de Portugal. Principaux
événemens de fa vie 8c de fon regne. Suppl. IIL 320,
a , b.
Jean I I , roi d’Ara gon, {Hiß. d'Efpagne) fils de Ferdinand
, roi d’Aragon 8c de Léonore d’Albuquerquc ; premièrement
roi de Navarre , réunit enfuite à cette couronne
celle d’Aragon en fuccédant à fon frere Alfonfe. Principaux
événemens de fa vie ÔC de fon regne. Suppl. 111. 321. b.
&fuiv.
Jean I , roi de Léon & de Ca ftille, {H iß . d'Efp.)?i\s de
Henri II 6c de la reine Jeanne. Principaux événemens de fa
vie 8c de fon regne. St»;?/?/. III. 323.22, é. 326.Æ, b.
Jean I I , roi de Léon 8c de Caftille , { i l ß . d 'E fp .) fils
8c fucceffeur de Henri III Sc de Catherine de Lancaftre. Principaux
événemens de fa v ie 8c de fon regne. Suppl. IIL 327. b,
& fuiv.
Jean Ï , roi de Portugal. ( Hiß. de Portugal ) dit le grand
6c Ispere de la patrie, fils de dom Pedre le jufticier ÖC de
Dona Thérefe Lorenzo, Galicienne , d’une maifon peu il-
luftre. Principaux événemens de fa vie 8c de fon regne. Suppl.
lU . 331. é-ô* fuiv.
Jean H , roi de Portug al, {Hifi. de Portugal) furnommé
le parfait , fils d’Alphonfe V Sc d’Ifabelle. Principaux événe-
inens de fa vie & de fon regne. Suppl. III. 333. a , b.
336.22, b.
Jean I I I , r o i de Portugal, {Htf.dePortug.)fiïsà'Emim»
miel 6c de Marie de Caftille. Principaux événemens de fa v ie
8c de fon re^nt.Suppl. III. 337,2», é. 338.22, é.
Jean I V , r o i de Portugal, {Hiß. de Poriug.) fWsde Théo-
dofe V I I , duc de Bragance ,8c d’A n n e , fille de Jean Fernandez,
duc de Frias. Principaux événemens de fon regne.
Suppl.lll. 539-6’ fuiv.
Jean V , roi de Portugal , {Hiß. de Portug. ) fils du roi
Dom Pedre II 8c de la princeffe Marie-Sophie de Neubourg.
Principaux événemens de fon regne. Suppl. III. 342. b.
J e a n , {Hiß. du Nord) roi de Dartemarck , de Suede 8c
de N orwege , fils de Chriftiern I. Tableau de fon regne. Suppl,
III. 344. bé
Jean, roi de Danemarck. Sa conduite honteufe , tandis que
fa femme foutenoit les intérêts du royaume. Suppl. IL 416. b.
Jean , {Hiß. de Suede) roi de Suede , fils de Guftave-Vafa
Sefucceffeur d’Eric X IV . Principaux événemens de fon regne.
Suppl. III. 343. d ,
Jean-fans-peur, duc de Bourgogne. Lieu où il fut affafliné.
Suites de cetévénement.S/t/jp/. I ll, 939. a.
JE AN N E , iße de Sainte- { Géogr. ) ifle de la mer des Indes.
Son étendue. Ses produélions. Keligioii des Iiabitans.
Etat des femmes.de cette ifle. VIII. 307. a.
Jeanne, papeffe. X I. ** 834. a.
Jeanne d’A lb re t, mere de Henri IV. Obfervations fur cette
princeffe. X II. 192. a.
Jeanne , reine de Naples 8c de Sicile : précis de fa vie 2
portrait de cette princeffe. X. 876. b.
Jeanne d’A rc , pucelle d’Orléans , A rc ;
( Jeanne d ')
JEANNIN , miniftre d’Henri IV. Suppl.l. 726.22.
JE AN N O N , imprimeur : principaux ouvrages qu’il a imprimés
avec le caraftere nommé pariftenne. X I. 960. b.
JEBUS, qui btéprife, {H ß .fa c r .) troifiemc fils de Chanaan,
pere des Jébuféens, fondateur de la ville de Jébus , dite
dans la fuite Jerufalem. Suppl. IIL 347.22.
JEBUSES , {J Jß - t^od. Superß.) prètrefles de l’ifle de For-
qjofa ou de Tayvan. Comment elles fe mettent ert état de prédire
l'avenir 8c de faire desprodiges. Autres fonflions des jébu-
fes. VIII. 307. a.
JÉCHONIAS f préparation dufeigneur, {H ß.fa cr. ) fils d«
- 4 |f