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M A ZO V IE , ou , oil .U jp r a r , ( Gcogr. ) prov
nce de Pologne. Ses bornes. Sn divilioii géogrupliicjuc. |
Origine d ; fon nom. PuLiiin de Mazovie. Gouvcmcmenc
fpiiitiicl d.e cette province. X. 218. b.
MAZZUOLI, {FrMips) dit le Pnrmefan, peintre, V. 325.
b. & gr.avcur, V i l. 869. J , b. Pcnfce ou croquis d apres
un defl'ui à la plume de cet artiOe. 111. vol. des pl.anch.
Deffin , pl. 30. M E
ME , particule pr'lporuive en françols. XII. loa. rf.
M E A tÜ , ou Muet), (G.-'ngr.) ville impériale dans l’ifle
de Niphon au Japon. Le dairi y fait la réftdencc, Comment
elle elt bâtie. Sa population , fon commerce. Auteur â con-
fultcr. Pofiticn de I\léaco. X. 218.
MEAD , ( Rxh.irJ ) fa liiflénaiioii fur rinriiicncc du folcil
& de la lune fur le corps luimain. V i l '. 732. b. Ses ouvrages
philofophiqucs. Suppl. l~V. 354.^.
MÉ.ANDRE , ( ) riviere d'A fie.^Conrs du
Méandre félon Pline. Penmtre qn’cii a tait Ovide. Iraduélion
des vers d'Ovide par Thomas Corneille. Les contours du
Méandre n’approclioicnt pas de ceux que iait la Seine aii-
delTus de Paris. X. 119. u.
MÉAND R ITE , ( Minémlog. ) madrépore folTile plus connu
fous le nom de cciviitu lic Neptune. Ou en a dilbngué
plufieurs efpeces. Divers noms qu’on leur a donnés. X.
^ E A U X , ( Géopr. ) ville de France. Son ancien nom. A
quelle province le territoire de Meaux a appartenu ; cotte
vilie avüit une grande confidération fous la premiere race
des rois de France, & c . Sa fiuiation. X. 219. b.
MeuuXf canton qui avoir pour chef-lieu Meaux en Brie.
Suppl. III. 896. U. D e l’éceinluc de l’ancien p.ipus meldicus.
Suppl. IV . 539. b. Anciens peuples du diocel'e de Meaux. 5«;?/)/. III. 892. a. Uibge des curés de cette ville , de ne
baptifer en certains tems que dans la caihédrale. 1.-66. b.
Chancelier de la coutume de Meaux. III. 92. A Chancellerie
do l’églifc de Meaux. 113. b.
M E C A X O CH IT L , des drop.) petit poivre d’Amérique.
Ufage qu'on en fait. Defcripiion de la plante qui le
porte. X. 219. b.
MECENAS , ( C. Cilnius') fon jour de naifTance fêté par
Horace. XI. 9. b. Goût de Mécénas pour les partiims. 192.
Tour de Mécénas. X VI. 461. b.
MECHANEUS , {M y tli.) l'innom de Jupiter. Cippc de
bronze qui foutenoit la tlatiie de Jupiter Méchanéen a A r gos.
Serment que les Argieas prêteront devant ceite flatue,
a\ aiu d’allci'au tiege de T io y e . X. 219. b.
M É CH A N C E T É , {Morale) efpece de médifance débitée
avec agrément. Pafl'nge de l’auteur des moeurs fur ce vice.
Tort que la méchanceté fait à la fociété. Elle tient communément
lieu de mérite .à ceux qui n'en ont point. X. 219.
b. Maux que font les méchans fubaltcrncs &. ceux du haut
étage. Les François ne paroilTsnt pas ccpemlant être nés
avec ce caraélerc de méchanceté qu’on leur reproche.
Ibid. 220. a.
Mkh.inceté , différence entre méchanceté ic malignité. IX.
946. b. Méchanceté qui confiffe à agir contre f i confeicn-
cc. III. 903. U. Sentiment de Hobbes fur la méchanceté
de l'homme. V . 1003. a. Les hommes deviennent-ils méchans
à mefiire que leur efprit fe perfeélionne X IV. 849.
a. Exercice coniinuel de la méchanceté dans la fociété humaine.
V i l l . 277. b. Voye^ MÉCHANT.
MÉCHANIC IEN , (M</fr.) médecins modernes défjgnés
par ce nom. Selon leurs principes, le corps humain n’eil
confidéré que comme une véritable machine hydraulique ,
dont les effets font produits, confervés, renouvelles par
des forces femblables à celles du co in, du refibrt, de l'équilibre
de la pompe, & c . Hypothefes qu’on imagina pour
trouver dans cette machine une piiiffance motrice. Celles
de Defeartes. X. 220. a. D e Lower , de Vieuffens , de
Stahl. Principe de l’irritabilité. Quoique la caule des mou-
vemens des organes relie inconnue, les différences parties
du corps animal ne peuvent être mifes en aflion que felon
les loix du mouvement. Ibid. b. Cependant il faut convenir
aiilfi que ces loix générales ne font pas les feules qui dé-
tenuinent les mouvement de l’économie animale. Ainfi U
ell des phénomènes dans le corps humain , dont on ne peut
rendre railbn par les feuls principes méchaniques ; 8c il faut
diftlnguer foigneufemem ce qu’il a de propre 8c de relatif
à des loix p. rticuliercs , qu'on ne peut faifir que d’ajirés
d’exaéles obfervations. Ibid. 221. <1. Médecins méchaniciens
qui ont cm trouver l'exemple du mouvement perpétuel dans
la difpofition des parties du corps luunnin. DifRciilté de
coni;oicie 8c d'apprécier les j)oids 8c mefures de la nature,
&. de les exprimev par des nombres. Abus qu’on a fait du
calcul dans l'application de la nicchanique à la théorie. De
toutes les fciences phyfiques auxquelles on a prétendu appliquer
la géométrie , il n’y on a pas où elle puiffe moins
pénétrer que d.ins la médecine. En quoi l’el'pric géométrique
peut être utile an médecin. Ibid. b. L’étude de la G é o
metric recommandée par Hippocrate à (bn .ils l'heffalus.
L’impolfibilité d'appliquer avec liicccs la Géométrie à la
médecine , démontrée par M. d’Alembert. Lorfque les e.ffets
de h nature font trop compliqués, l’cxpcrieuce cil le feul
guide qui nous rcfle. Cenendanton ne l.uuoit oxeufer l’ignorance
do ceux, q u i, fans le fecours de la géométrie, croieiu
pouvoir pénétrer dans le méchanifme du corps humain. Sa-
vans ouvrages de ec fiede , qui répandent le plus de lumière
fur la théorie d é fa it . Auteurs 8c traités à confulter.
Ibid. 222. U.
AUchaniciens, médecins , leur fyfféme fur la digeilioii. IV.
1000. é. Surlacaufc des inflammutions . 8c en général fur
celles des maladies du corps huniaiu. VIII. 7 1 1 . , ii. Sur
féconomie animale. XI. 364. a. Sur le pouls. X l l l . 213.
b. — 220. a.
Mcchaniciens ,phibfopIics , CORPUSCULAIRE, PHILü-
SOPHit:.
M É CH A N IQ üE , Etymologie du mot. Partie de la mé-
chanicjuo appellée Si.itique. Deux fortes de méchaniques ;
l’ime |>ratiquc , faurre rationnelle. La géométrie c(l fondée
fur des pratiques méchaniques. Comment les anciens ont
confidéré la mcchanique. Premier ouvrage où fon a traité
de cette fcience fous une nouvelle face 8c avec quelque
ctciuliie. Secours que la géométrie tire quelquefois de la
méchaniqiic. X. 222. b.
Aléchanique, rang que cette fcience occupe dans l’ordre
de nos connoiffances. I. vj. Difc. prclim. Application de la
méchnniqite à la géométrie. I. 332. b. Ajiplication de la
géométrie 8c do l'algebre à la méchanique. Ibid. a. Réflexions
de M. Varignoii lur fufage que la méchanique peut avoir
en géométrie. IL 830. u. Réflexion fur les connoiffances 8c.
ouvrages en méchanique de ces anciens.-XVI. 2 3t. b. La
méchanique utile à farchlteéle. Suppl. I. 336. a. Ouvrages
de Galilée fur la méchanhiue. Suppl. 111. 174, a, b. 173.
a , b. Planches de méchanique. V . vol.
Aléc/ianiquc, né.]. X. 222. i . Afleélious méchaniques. Cnu-
fes méchaniques. Solutions méchaniques, Philüfophe méchanique
ou corpufculaire. Puillunces méchaniques : explication
du principe dont ces machines dépendent. Quantité du mouvement
d’un corps. îbiJ. 223. a. Fameux problème d’Arclii-
inede , di2tis viribus , datum pondus rnoverc. Problènie auquel
l)euveiic fe réduire toutes les méchaniques: un corps A ,
avec fa vitoffe C , 8: un autre corps B étant donnés, trouver
la viteffe qu’il f.mt tlonncr à B , pour que les deux
corps aient des mouvemens égaux. Solution du probl.l.)iLV
Dans quelque machine que ce fa i t , fi l’on fait que la piilf-
iâncc ne puilTe agir lur la rclillance ou le poids, ou les
vaincre afluellement, fans que dans cette aéîion,les vîiefibs
de la puiffance 8c du poids Ibicnt réciproques à leur inaffc ,
alors le mouvement deviendra impofiible. Ibid. b. Propofi-
tions que faifoit Arciilmcde d’enlever la terre , pourvu qu'on
lui donnât hors d’elle, un point fi.xe. Ce n’eft qu’aux dépens
de la vîtedb qu’on augmente l’effet de la puiffance dans quelque
machine que ce foit. Réflexion fur l’application que
quelques aiitcms ont faite des principes de la méchanique
au corps humain. Ibid. 224. a.
Méchanique, adj. Arts méchaniques. I. 714. a , b. &c. Pourquoi
ceux qui les exerceiit font moins honorés que ceux qui
exercent les arts Whcrnxnc. Suppl. I. 383. <7, i. Courbe méchanique.
IV . 381. b. 389. d , b. XVI. 346. n. Puiffances méchaniques.
V IL 120. .1.
M é ch a n iq u e , ( M.uhém. ) conffruélion ou folution de
quelque problème qui n’eff point géométrique. X. 224. a.
Combe méclianiqtie. Réflexions fur les principes de la mé-
cbanique. 11 fcmble qu’on n'a pas étéjufqu’ùpréfent fort attent
if, ni à réduire les principes de cette fcience au plus petit
nombre , ni à leur donner toute la clarté qu’on pouvoicdcfi-
rer. Plus on rédtiiroit ces principes à mi petit nombre, phis
on leur donneroit d’étendue. Le mouvement 8c fes propriétés
générales font le premier 8c principal objet de la méchanique.
De la nature du mouvement. L’ojjinion des Carté-
fiens, fur la nature de l’étendue , rend fidéc du motivement
très-diflicile à Concevoir. X. 224. b. Deux fortes d’étendue
qu’il faut diftinguer pour avoir une idée claire dti moiive-
niem , l’imc impénétrable, 8c qui conllitue ce qtfon appelle
proprement les corps ; future qui cil la niefurc de la diflance
d’un corps à un autre. Différentes nianicres de confidérer le
mouvement dans la géométrie pure , 8c dans la méchanique.
Mainiere de comparer en méchanique le rapport des parties
du tems avec celui des parties de fcfpace parcouru. Comment
nnive-t-il que le mouvement d'un corps lliivc telle ou
telle loi particulière l C ’o/l te qu’on peut regarder comme le
premier problème qui appartienne immédiatement à la mé-
chanique. Ibid. 223. <j. La loi la plus fimplc qu'un mobile puilTe
obfcrver dans fon motivement, eft la loi-d’uniformité , Scc’cft
par co.nféquenc celle qu’il doit ftûvre. Deux fortes de caufes
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canables de produire ou de changer le mouvement dans les
corps , les unes fe rédnllbm à l’imptilfioii, les autres ne fe
font connoitre que par leurs cftets; nous on ignorons la nature.
Principe de la compojltioa des rnouvemens auquel il faut
avoir recours pour trouver te qtii doit arriver, f: la_ caufe
motrice tend à motivoir le corps dans une diredlion diflcrcnte
de celle qu’il a déjà. Les loix cln mouvement changé par
quelques ob.flacles que te ptiii'fc ê tre , dépendent uniquement
lies loix du motivemcn:, détruit par ces mêmes ohftacles.
Ibid. h. Le principe de l’équilibre, joint à ceux de la force
d’inertie 8c du mouvement compolé, nous conduit à la fohi-
tion de tons les problèmes, oit fon confidéré le mouvement
d’un corps, en tant qu’il peut être altéré par un obftade impénétrable
8c mobile. Avoir établi fur ces trois princijjes
toutes les loix du mouvement des corps, c’ell avoir réduit
la méch.inique au plus petit nombre des principes poffibles.
Plan que l’on doit ftiivre pour donner à la démonflration de
ces principes toute la clarté 8c la fimplicité dont elle eA
luiceptiüle. Travaux des anciens 6c des modernes fur la mé-
chanujtie. Ibid. 226; a. Ouvrages à confuiier. Ibid. b.
M ECH AN iSM E, {Médecin. ) combien il importerolt au
luédeciii de connoitre le méchanifme des moiivemsns du
corps humain, donc la nature nous fait encore un fecrct.
Suppl. Ill- 876. n. Connoiffances qu’il faudroit avoir acqul-
fe.-i, übfcrvaiions qu'il faudroic avoir fades pour être iiiAruit
de ce méchanifme. — Erreur de M. de Sauvages fur la caufe
des rnouvemens du coeur. Ibid. b.
M E C H A N T , voye{ Méchanceté. Peinture que David
fait des médians. IV. 1062. b. Comment les loix humaines
rendent les liommes méchans. VIII, 333. é. Efpece de mé-
cltans qtfon peut corriger par le ridicule. Suppl, l, 3 3 9, j , Ä.
M.^CHAPOUX , dieu des Canadiens. Suppl. IL 164. b.
MECHE , ( Marine. ) mechc de mât, de gouvernail, cfiine
coede, X. 226. b.
M eCHes , ( Hiß. anc.) meches d'nmiame. L 3 58. b. mèches
perpétuelles. iX. 348. b. Celles que fou liroit du fcirpiis. X i\ '.
799. a.
M lCHE , ( A n rnilit. ) comment fe font les meches. Quantité
qii il en faut par mois dans un valiîeau. X. 226. b.
Meche appellee éioupillc. V I . 70. n.
MECHE , ( Arqiicbuf. ) X. 226. b.
Meche , ( drier. Chand. ) tordre la meche. XVI. 422, b.
Filer la meche. V L 794. <7.
M eche , ( Corderie. ) brins de chanvre au centre d’un l i l ,
qui ne font prefque point tortillés. X. 226. b.
Meche d'une corde , toron dans faxe de.s cordes qui ont plus
de trois torons. D e la grolTcur que cette meche doit avoir.
X. 226. b. D e la manière de placer la meche. Ibid. z x j . a.
M lCHE , { Perruq. ) IX, 227. a.
Meche , ( Vénerie. ) comment on fait fortir les renards de
leurs terriers avec des meches. X. 227. a.
M E CH Ü AC AN , /e, {Bot.m. ) racine d'une efpece de
liferon d'Amérique. Sa description. X. 227. a. Origine de fon
'nom. Diftérentes contrées d'Amérique cl’oii on nous l’apporte.
Q u el fut celui qui la mit le premier en ufage. 1 >ei'cripiion du
lilbroii auquel cette racine appartient. Récolte 8c tifages que
les habitaiis du Brcfil font de cette racine. Dillcrcnce entre
le mcchoacaiiica qii'Hcrnnndez a décrit tous le nom de tac-
naclie, 8t le méchoacaii de nos boutiques. Ibid. 227. b.
M eCHOACan , ( Mat. rnédic. ) racine aiiffi appcllée rhubarbe
hUnclie. Sa dofeription. Lieu d’où on la tire. Comment 011 doit
choifir le inéchoacan. Analyfe de cette racine. X. 227. b. Ses
propriétés Ses rapports avec le jalap. Matière qu’on apporte
«les Indes fous la forme de petit pain , 8c qu'on prétend être
préparée en épaiflllTant fur le feu une liqueur qui a découlé
de la plante de méchoacan. X. 228. .7.
Mechoacan , ( Géopr. ) province do l’Amérique fepten-
trionale. Son étendue. Scs produélioiis. Signirtcauoii de fon
nom. Sa principale ville. X. 228. a.
M E CH Ü PAN E , peintre célébré de la Grcce. XII. ;3<).i.
iVlECKEL, {/.Frédéric) de Weflar, anatomlAe. I.
412. a. 8c phyfiologiAe. Suppl. IV. 361. a.
M fX K E L B üU K G , le duché d e, ( Grogr, ) contrée d’A lle magne.
Ses produirions. Origine de fon nom. Provinces que
te duché renferme. Scs premiers habitans furent les Vandales.
Enfuitc les Wendes ou Slaves s’en emparerent. Enfin les
Obtrites engloutirent ces nations. Capitale de ce duché. A u teur
à confulter. X. 228. a.
ME CON IUM , ( i)or.i77. ) en quoi il différé de l'opium. X.
228. b.
M econium , ( Médec. ) X. 228. b.
Méconium, comment on en doit tavorifer l’évacuation. V.
• 662. a. Sa fortie n’eA pas une preuve de la vie de l’enfant.
isuppl. III. ^<,7. a.
MECONNOISS/^BLE , méconnoijfancc , meconnoßant,
méconnoitre, ( Gramm. ) Acception 8c ufage de ces mots. X.
228. b.
M E C O N T EN T , mécontenté, mécontentement, ( Gramm. )
acception 8c ufage de ces mots. Quelle quç foit la juflicc d’un
fou v e iaiii, il fera des mécontens. Quand on eA fans caraélcre
on mécontente également en faifiint bien ou mal. X. 2 28. h.
M E C Q U E , la ,{G éop r.) ancienne ville cl’AAc. Nom tpie
lui donnent les mahoméians. Sa grandeur 8c fa population,
Caufes qui font rendue famciife. Politique de Muhoinet par
laquelle il parvint à impofer aux Mecqiiois le joug de fa
domination. Temple ou maifun facréc d.ms la Mecque que
les mahométans difent avoir été bâtie par .Abraham, ruits de
Zeiurem. Scriph , finis la domination tluqiicl font la ville , le
temple,lamofqiiée 8c ie puits..Situation de la Mecque. X.
Mecque, la ,\>zwmç éro la Meet,'uc. IL 164. u. IV . 292. t7.
XI. 3 io .é , 311. <7. Fontaine de la Mecque pour laquelle les
niufulmans ont une vénération Angulicrc. XVII . 700. b. Souverain
de cette ville. X V . 63 3. b. Du temple cle la Mecque.
Suppl. I, 308. a. Suppl. 11. 88. a. AdminiAi ntcur de ce temple.
IV. 197. a. Vénération que les imifulmans ont toujours eue
pour ce lieu. XII. 283. Préfens que le fultan y envoie.
Suppl. I. 308. a, Pierre noire coniaciée d.ms ce temple. XIL
384, a. La ville de la Metque 6t fon temple attaqués par les
Gannaciens. Suppl. 1, 76. b. Pierres vénércc.s à la .Mecque
par les Arabes. VIII. 926. <7. Cheq ou chérif de la Mecque,
i l l . 296. b. Détails fur le pèlerinage de la Mecque. 11. 673. <7.
X. 358. .7, b XII. 283. a. Cérémonie fur le moiu Arafat ,
près de la Mecque, l. 371. b. Seélaircs mahométans qui fe
croient exemps du pèlerinage de la Mec.que. V, 213. b. Cérémonie
fanatique des mahométans Indiens à leur retour de ce
pèlerinage. X. 698. b.
M ED A IL L E , {Annumifm.) hlAoire des commeocemens 5c des progi ès de la fcience des méd.:i!les on Europe. Col-
leélions qui eu on: été faites. Ouvrages publiés fur cetto matière.
X. 229. b. Avantages que fhifloire oc la géographie
peuvent tirer des médailles 8c des inferiptions. Agrémens
attachés à l’étude de cette fcience. Ibid. 230. a. Divijion péné-
raie des médailles , en médailles antiques 8c en modernes. On
dlAinguc dans les antiques, les grecques 8c les romaines.Ca-
raéleres des premieres qui leur donnent unejuAe préférence
en beauté fur les romaines. Médailles romaines diAinguées
cil confidaires Sc eu impériales. Parmi les impériales on diAin-
giie le haut 6c le b.is empire. Les curieux en gravure n’e.'Hmcnt
que celles du haut empire. Des dijférens mét.mx qui compo-
jeni les méd.iUlcs. Le prix des médailles ne doit pas être con-
fidéré par la m.uiere. Obfervations fur le prix des oihons de
différens métaux. Ibid. b. Utilité de la connoiffancc des métaux
antiques. De fan-angeinciu des médailles par rapport
aux métaux. Du nombre des médailles antiques da.ns chacun
des trois métaux. Obfervations qui conduifenc à croire que
les médailles ctoient des monnoies c o u r a n t e s . 231. n.
Des diÿérentes prandeurs qui forment les fuites en brontyt. Ce
qu’on entend par médaillons. Ibid. b. Le.s tnid.iilles en bronze
féjiarées en trois grandeurs. Médailles du plus petit module ,
voye^ Q uinaires. Différens mérites des médailles de chacune
de ces grandeurs. La fuite completce du grand bronze
ne s’étend point au-deL\ des poAhiiincs. La fuite de moyen
bronze eA ta plus facile à trouver. Obfervations fur la uiite
du petit bronze. Ibid. 232. *7. Il ne fliut point cfpcrer d'avoir
une fuite completce de ch.aque inét.al en particuli'er. La fuite
des médailles nous trace l'hiAoire de plus de quinze Aecles,
Des fuites de médailles par les têtes 8c par les revers. Voyer^
Suite 6: Revers. De l'état iù de h bs.nuté des médailles. Les
antiques ne font les plus belles & les pins , précieufos que
lorfqu'elies font parfaitement confervées. Autre prix qu’elles
acquièrent par les belles couleurs que certa'm vernis fait prendre
aux médailles de bronze. O n ne doit point admettre dans
un cabinet une médaille fruAe ordinaire. Ibid. b. Quelles font
celles qui méritent d’être regardées malgré leurs défauts. D éfauts
qui miifent à la beauté des médailles, 8c qu’on ne peut
attribuer qu’à la négligence des monnoyeuis. Médailles qui
portent le caraAere du faux-monnoyeur. Des contre-marques
fur les médailles. 2 33..7. Du relief des médailles,
Relief. Des fourberies en médailles. Comment il eft facile
d’être trompé en matières de médailles. Deux fameux mé-
dailliAes qui ont fu imiter l’antique. Différentes maniérés dont
on a falfifié les médailles : moyens de reconnoitre ces falAn-
catlons. Ibid. b. CaraAere des faulTcs médailles du Pndoiian &
du Parmefan , par lefqucls elles font devenues une partie de
la curiofué. Ibid. 234. a. Arririce par lequel un fourbe Italien
vendit au pape Paul III une faiiAé méd.iilie de plomb, repre-
fentant le buAe de S. Pierre. Ibid. 233- a. Le moyen général
de fe précautiomier contre les fourberies des brocanteurs,
c'eA de s’appliquer à la connoiffancc de l’antique , qui comprend
le métal, la gravure des coins , 8c le poinçonnement
des caraAeres. Livres fur les médailles. Ibid b. Principaux
ouvrages où les médailles antiques de toute efpece font gravées
8c expliquées. Ibid. 236. a. Autres ouvrages particuJiè-
rsment dcAinés à expliquer les médailles rares, 8c à faire
connoitre le prix de chacune en particulier. Ibid. b. Livres
propres à introduire un nouveau curieux, 8c à lui donner
une connoiffancc générale des médailles. Ibid. 237. a. O u vrage
où font indiqués tous les auteurs qui ont écrit fur l’art