898 Y U C
scL'K aintfcliatka, &c!üs peuples l'aiivagcs quUemeu-
’onciu de la Sibérie. Maiiicic de la préparer. XVII .
671.^,
YO N , Siiiitr, { fJijî. monachiil.) ordre de féciiliers, ag-
grégé depuis l’ail 17-5 , nionafiiquc- Occupation des
tVeres de cette commimaiité. iMailon diet de l’ordre. XVII .
671 . a VÜ NG-CHING-FU , {H'iß.chin.) tribunal de la Cliine
dont la juriCdidion s’étend l'nr tout le militaire qui e llà la cour
de l’empereur. X VII . 671. <r.
YÜ R CIC , {Geogr.) ville trAiigleterrc daii.s h province
de même nom. Sa deCcriprioii. Obfcrvations fur quelques
favaiis dont Yorck efl la patrie ; Tlionias Herbert; André
Maiiiolî; X V ll, 671. b. Thomas Morton ; Matthieu Pook.
Ibiil. 6'ji. a.
Yorck. Obfervations fur l’ancienne l;orck. X VII . 674. â.
Sur les m.illbns d’Yorck & de LancaAre , voye z Rofe blanche
, Rofe :qu^c. X IV. 365. a. Origine des guerres entre ces
deu-K niaifons. Il- 7 7 1 .^ .0 0 l’arclievèché d'Yo rck.I.
6 11. b. Bibliothèque fondée dans cette ville par Egbert. II.
\ "O R C K , la nouvelle, {Geogr.) province dc l’Amérique
fepientrioiialc. Ses bornes. Découverte de ce pays en 1609.
Son hifloire depuis cette époque. X V i l. 672. é.
Y orck , ifle d‘ ( Geogr. ) ifle d’Afrique dans la haute
Guinée. Fort dc la compagnie angloifc dans cette ifle. X V ll.
672. b.
Y O R C K SHIRE , ( Géogr.) province d’Angleterre, la
plus grande du royaume. Ses produirions. Ses rivieres. Sa
population. Obfervations fur les principaux hommes de lettres
, & les perfonnages illuflres , nés dans cette province ;
Ftacciis Alcuin ; X V lI . 672. b. Royer Afcham ; Henri
Briggs ; Thomas Gale ; Ibid. 673. a , b. Samuel Garth. Ibid.
C74. a. Jean G ow e r ; Georges Hickes ; RobertSaiindcrfon;
Henri S.aville ; Ibid. b. Jean Sharp ; Jean Tillotfon. Ibid.
673. a. Brian Walton; Thomas Wharton ; Jean Wiclef.
Ibid. b.
Yorck-Shirc. Mines d’alun dans ce pays. I. 309. a , l>. AlTem-
blée du clergé de cette province. IV . 169. b.
Y P
Y P A W A , ( Hiß. mod. Superß. ) fête folemnelle que les
Mexicains célébroient au niois de mai en l’honneur de leur
dieu Viiziliputzli, Sa defeription. X VII. 676. a. V o y e z l’article
de ce dieu.
YPRES, ( Geogr.) vide des Pays-Bas, au comté de Flandres.
Ses révolutions. Sa population. Son évêché. L’auteur
parle ici de trois hommes de lettres, nés à Y p r e s , & de leurs
ouvrages; Gérard-Anilré Hypetius; Chrétien Lupus; X V ll.
676. À Rupert, Ibid. 677. a.
ITU P IA P R A , {Hiß- nat.) efpece de monftres marins
des mers du BréGl. Defeription qu’on en fait. X V IL (tj’j.a .
Y S
Y S S E L , 1’ (Gf'ogr.) riviere d'A llemagne. Defeription de
fon cours. Drufus, furnommé G ermanicus, joignit le Rhin 8c
rYlTel par uft canal qui fubfifle encore aujourd’hui. Mort dc ce
prince. Son éloge. X VII , 677. b.
Y -S T R O O M , poème d’Antonldes. Suppl. III. 436. a , b.—
438.^. Y T
Y T A H U , {Lythol.") nom indien d'une pierre quife trouve
dans le Paraguay. Sa defeription. X V l l . 677. b.
Y U
Y U C A , ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plante. V o y ez
à l'article C a s sa v e la maniéré dont on fait du pain avec
Y T Z
cette plante. X V II . 677. b. Defeription de cet arbrUTeau. Ma-?
mere de le cultiver. Ibid. 678. a.
Y U C A T A N , (Gcdgr.) province de l’Amériquefeptentrionale.
Découverte de cc pays en 1 317. Sa fertilité , fes productions.
Villes qu’on y trouve. X V l l . 678. a.
Y V E R D U N , (Gfogr. ) bailliage d’Yverdun. X'v’ll. 6 78 ./i.
Defeription de la ville. Ibid. b.
Y V l S tie Clurtres: übler vations fur la vie de cet évêque &
fur fes recueils des canons. IV. 708. b.
l'ves d’Ardennes , princell'e de qui font defeendus les ducs
de Bouillon. II. 33.é.
Y V E T A U X , ( Nicolai Vauquclain , feigneur des ) poète. I.
602. b.
Y V E T O T , ( Giogr. ) bourg de France en Normandie. Il
a le titre de feigneurie. Exemptions du fes liabicaus. Hiiloire
fabuleufe d’un certain Gautier ou Vautier, l'cigneui d’Y v e -
t o t , que Clotaire 1 tua de fa propre main, 5 : en réparation
tic q u o i, on a prétendu que ce prince avait érigé la
feigneurie d’Y v e to t en royaume, en faveur des fuccelieuis
de Gautier. Obfervations de M. l’abbé de Vcriot fur cette
hifloire. XVII . 678. b. Privileges dont la feigneurie d’Yv e to t
jouit encore aujourd’hui. Ouvrages à confuher fur le prétendu
royaume d’Yvetot. Ibid. 679. a.
Y V O IR E , [^Hiß. nat. ) moyen indiqué parDiofeoride pour
amollir Tyvoire. Lieux d’où l’on tire l’yvoire qui ne jaunit
point. Noir d’yvoire. X V II . 679. a. Voye^ IvoiRE.
Y V R E S S E , ( AféA'c. ) fymptôines ofafcrvés dans les trois
difterens états qu’on diflingue dans ryvrulle. Le premier ell un
état de vivacité & de gaieté. X V II . 679. b. Il dégénéré enfuiie
en une .altération vraiment maladive , qui efl le fécond degré
de l’yvrcffe. Enfin le troifieme degré confille dans l’apparition
de quelques accidens graves , tels que la folie , les convul-
fions, l'apoplexie , &c. Pronoflics fur ce dernier état. Ibid.
680. a. Diliérentesfubftances qui peuvent donner de l’yvrefTe.
Les fubflanccs narcotiques vénéneufes. L’yvraie. Ibid. b. Le
lait fermenté 8c diftillè. Les eaux dc certaines rivieres. D é tails
fur l’yvrelTe caufée par les liqueurs fermentées. Quelle
eft la partie de ces liqueurs où réfide la faculté d’enyvrer.
Ibid .G ii.a , b. Quelle eft la façon d’agir des liqueurs fpiri-
tueufes fur le corps pour produire cet effet. Ibid. 682. b. Dans
quelles occaftons l’yvrefîe exige le fecours du médecin. Par
quels remedes on peut en prévenir ou en diftiper les mauvais
effets. Moyens qu’on a recherchés pour châtrer la vertu eny-
vrante du vin. Remedes confeillés par quelques auteurs pour
infpirer aux yv ro g iics le dégoût duvm. Ibid. 683. a. Antidotes
fpécifiques de ryvreffe. Secours contre l’apoplexie & le
délire caulés par i ’yv rciîc. Ibid. b. Yoyc^ EnivRER & Ivresse.
Y VRESSI, ( Criüq. facr. ) fignlfications & ijfages de ce mot
dans récriture*l'ainte.XVII.683. b.
YV RO GN ER IE , ( Jurifpr. ) voyr^; IVROGNERIE. Les
nations qui ont permis l’ufage du vin , foit aux hommes ,
ou aux femmes, ont toujours envifagé comme un délit d’en
boire avec excès. L’yvrelTe n’exeufe point les crimes commis
dans cet état. La qualité des perfonnes peut rendre l’y -
vrognerie plus grave. D ’un témoin réputé yvroene. Ibid.
684.^,^. *
Y V R O IE , Zizanie , (Synon.\ différence entre ces mots.
XVII. 684.
Y vroie yhyv<j|’c , (^Botan.") defeription de cette plante.
Lieux où elle croit. XVII . 684. a. Voyei^ Ivroie.
Y v r o ie , {D icte) obfervations fur le blé Sc fur le paie
mêlés d’yvroie. X V II . 684, a. Effet de Tyvroie fur les chevaux
Scies mulets vicieux. Ibid.b. f'oyc^ilvROlE.
Yvroie : yvreffe caufée par cette forte de grain. X V l l .
680. b. Y Z
Y Z Q U IE P A T L , {Hiß. nat.)nom que donnent les Américains
â un animal qui a quelque reffemblance au renard. Sa
defeription. X V l l . 684. b.
Y Z T A C T E X , {Bot. exoï.) plante du Bréfd. Sa defeription.
Propriétés de fa racine. X V IL 684. b.
899
, ( Gramm. ) T^ , l’.v & le { , fervent
dans différens mots à marquer la même
articulation foiblc, comme on le voit
dansmf/ére, deuxieme, gele. Les deux
lettres s 8c x à la fin des mots fe prononcent
toujours comme 3;, quand il
faut les prononcer. Valeur du 3; en
différentes langues, Valeur mmiéralc
de cette lettre. Sa fignification (ùr les
monnoies de France. X V ll. 6S^.a.
Z. D e l’articulation exprimée parcette lettre. IX. 336./’. Affinité
du ç & dc l’f .X IV . 4 3 1. </. Z , ( Litt. ) comment on prononçoit cette lettre en grec 6c en
latin. XVII.683.<2.
Z, {Carafî.médicin.) ccxtQ lettre autrefois employée pour
marquer plufieurs fortes de poids. XVII . 685. a. Ufages des
deux^^, dans les écrits des médecins. Ibid. b.
Z, {Ecrit.) formation de cette lettre dans récriture. X V ll.
683. h.
Z A A R A , ( Geogr. ) voyrç Sa h a r a . Bornes de ce pays. Signification
du mot X VIL 683.
Zaara. Défert d’Afrique appelle Zuenzica , dans le Zaara.
XV II . 745.*/. Commerce du Zaara. II. 69. A Les femmes de ce
pays font confiftcr la beauté dans la longueur des mammclles.
X. 4. b.
ZAB ou Zeb , ( Geogr. ) contrée de Numldie. Qualité de ce
p ay'. Son étendue. XVII, 683. A
ZA B A CH E ;«êr ife, ( Geogr.) merd’Afoph , en latin , p.tltis
Meeotis. Son étendue. Ce lac ne peut porter que des barques.
X V I I . 683. A r r n
Zabache, merde. X. 569. j . V o y e z P aA i Afeofiiff. XI. 804,
a , A Suppl. IV. 228.1;, b. 8c A{opli,{ mer (Y)
ZABIANISME , {fîifl. des Orient. ) voye:^ Sa b a 'iSME 6c S a -
BIISME.
ZA B A R E L L A, ( .lacejues) profeffeiiràPadoue. I. 668. a. Ses
difpiites avec Piccolomini./AA b.
ZAC.A., la, {terme de Relation) aumône que les Turcs font
à leur volonté, d’nm' •-«'rtainc partie de leurs biens, en faveur
des pauvres. XVII . 686. a.
Z A C A T , {H iß .mod.) l’alcoran preferit deux fortes d’aumônes,
l’ime légale, appellée , l’autre volontaire appel-
XcQfadacat. XVII . 686. d. Rien n’eft plusexpreffément enjoint
aux mahomctaiis que la néceffité de faire l’aumône. Efpcces de
biens fur lefquels l’aumône doit être faite. Aumône à la fin du
ramadan. Ibid. A Z A
Z A C CH O UM , {Botan.) nom d’un arbriftean qui croît
à fix millesdu Jourdain, 6c à dix de Jérufalem. Sa defeription.
X V l l . 686. A
Z A C C O N , {Botan.) efpece de prunier qui croit dans la
plaine de Jéricho. Sa defeription. Huile qu’on en tire. Origine
do fon nom. X V ll. 686. A
ZA CH A RIE , (C'rirùpyùc;. ) chandelier de la vifion de ce
prophète. III. 124. a.
Zacharie 6c Elifabeth. Lieu OÙ l’on croit qu’ils demeuroient. Suppl. I. 233. rf.
ZA CHE T-LE LVEN , {Herman) peintre, fes payfages.
XII. iix .b .
Z A C O N IE , Z.icanie ou Sacanie , ( Geogr. ) province de
la Morée. Ses bornes. Dift'érens noms qu’a eus ce pays. Rochers
& cavernes de cette province. Les chiens de la Zaconie
cftiméî. XVII . 687. a. AbyqLACONlE.
Zaconie, fon état préfcnc. IX. 881. A 882. h. Repas publics
encore pratiqués dans ce pays. X . 36. A Capitale du p a ys , voyer MlslTRA.
Z A C YN TU S , {Geogr. anc.) ifle dc la mer Ionienne ,
affezprèsdu Péloponndê, aujourd'hui l’ifle de Zantc. Son
étendue. Qualité du pays. Origine de fes liabitans. Citadelle de
cette ifle. Ville de même nom. L’ifte de Zacyndie anciennement
appellee Z/yrir. X V ll. 687. a.
ZAG AIE ou Sagaie, {terme de Relation) dard ou javelot
des infidaires de Madngafcar. Sa defeription. X V II . 687. b.
Z A G A R A , ( Ge'ogr.) montagne de la Turquie en Europe
dans la Livadie , connue anciennement fous le nom d'Helicon.
Animaux qu’on y trouve. Defeription que Strabon nous a
laiffée de THélicon & du Parnaffe. X V IL 687. A Fontaine
d’Hyppocrene. Arbres qui cioiffent fur cette montagne. Vue
dont on jouit du haut du Zagara. Plaine au pié dc ce mont ,
q u is ’appelloit anciennement Laphyùus 6c Telphyßum. Fontaines
qu’on trouve en defeendant de la montagne ducôtédeLiva-
d ia ./A A 6 8 8 .^ ,A
ZA P
ZAGATAIS,/«,^(GcVÿ.-.) Tartarcs de la grande Boucha-
rie 6c du pays de Choralfim. Origine du nom de Z.tgauis.
X V ll. 688. a. Le nom dc ces Tartarcs englouti enfui te par celui
des Usbccks leurs vainqueurs. Ibid. b.
Z A G R I-P O R TÆ , ( Géogr. anc. ) pafTage étroit dans la
montagne dc laMédie appellée Zagrus. Ce paffage fut pratiqué
par Sémiramis , qui voulut par-là laifTcr à la poftérité
un monument éternel de fa puilTaiice. Ce chemin porte encore
aujourd'hui lenomde SV;;;'/-rf/7u'. Situation dumontZuyrui.
X V IL 688. A
Z A G U , {Botan. ) efpece de palmier des Indes orientales.
Divers ufages qu’on en tire. C ’eft cet arbre qui produit l.i fécule
appellee fagou. XVII . 689. V o y ez ce mot.
Z A IM , {Milice turque) chevaliers à qui le grand-fcigneiir
donne à vie des coinmanderies, à condition qu’ils entretiendront
un certain nombre de cavaliers pour fon fcrvlce. Ces
chevaliers reffemblentaffez aux timariots,àom ils ne different
que par le revenu. XVII . 689. a.
Z A lN , {Manege) efpccc de cheval. XVII . 689. a,
ZA IRAG IAH , ( Divinat.) forte de divination iificée chez
les Arabes , qui fe pratique par le moyen dc quchpicb cercles
ou roues.XVII.689. A
Z A ÏR E , ( Géogr. ) riviere du Congo : fes debordemens. VI.
870. a.
ZALEUCUS , Icgiflateur des Grecs. VII. 908. b. Ses loix
fompttiaircs. X V .343.
Z A M A , {Géogr.anc.) ville d’Afrique dans la Nuinidie propre.
Evénemens qui l’ont rciukie faineiife. X V ll. 689. A Elle
devint colonie romaine. Fontaine remarquable près de cette
ville. Ibid. (o<^o.a,b.
Zama, deux autres villes de ce nom, Tune en Cappadoce
Tautre en M éfopotamie.XVII. 690. a.
ZAM B A LE S , {Géogr.) peuples des Philippines dans la
province de Pampanga , dont ils habitent les montagnes. Relation
de Navarette fur ces peuples. XVII, 690. a. Deux différentes
races de noirs dans les Philippines. Ibid. b.
Z A M B L C C A R l, ( Jofeph ) anatomifte. Suppl. I, 401. a.
X AM O L X IS , {M ythol.) génie fupérieur, qui fteuriffoit
long-tems avant Pyehagore. Zamolxis devintlc grand dieudes
Thraces 8c desGetes. Hiftoire de ce pliilofophe. X V ll. 600. b.
(/^ye(X lV .8 4 ç,,b .)
Z AM O R A , ( Géogr.) ville d’Efpagnc , dans le royaume
de Léon. Signification de fon nom. Diverfes obfervations
fur cette ville. Deux autres villes de ce nom; Time dans
l’Amérique méridionale, Tautre en Afrique, dans la Barbarie.
Riviere dc TAmérique méridionale appellée Zamora. XVII .
6 9 1 .^ .
Z A N , { L in .) c’eft ainfi que s’appelle le Jupiter de la
fable , comme il paroit par Tépitaplie trouvée fur fon tombeau
, en Crete. Signification dc ce mot. Origine du mauvais
ménage entre Jupiter 6c Junon , d ontks poètes parlent tant.
X V IL 691, a.
Z AN A R D , ( Michel) philofophc. XII. 372. A
Z A N G U E B A R j/ r , {Géogr.) contrée d’Afrique , le long
de la mer des Indes. Royaumes qu’elle comieut. Qualité
& produélious du pays. Scs liabitans. XVII . 691. A Foyer
Z eng.
ZANH A G A , ( Geogr. ) défert d’Afrique en Ediiople. Son
étendue. Obfervations fur lefquclles les voyageurs dirigent
leur route dans ce défert. X V ll. 691. />.
ZANI ou Tr^ani, {Géogr.anc.) peuples des environs de
la Colchidc. Montagne d’où le Phafe tire fa fource. Moeurs
vagabondes des Tzaniens, qui n’ayant qu’un terroir ftérilc,
vivoientde pillage. Ces peuples p olicés, parleur commerce
avec les Romains. Le chriftiaiüfme introduit p.armi eux. XVII .
691. b.
Z A N O T T I , {Euflache) fes tables aftrononiiques. Suppl. IV.
893. b. 909. b.
Z A N T E , ( Géogr. ) ville capitale de Tifle de mémejiom ,
fituée au couchant de la Morée. Diverfes obfervations fur cette
ville. X V ll, 692. a. Etendue de Tifle. iVIédaille où on lit fon ancien
nom ZjcynM«/. Ses produiftions. Langue de fes liabitans.
F'ontaine remarquable dans cette ifte. Morcdii célébré V éfalc ,
après avoir fait naufrage fur lescôtes de Zante. Ibid. A
Zante. Culture & commerce des raifins de Corinthe dans
cette ifte. XIII. 771. , b.
Z A P A T A , {Hifl.mod.) efpece de fête ou de cérémonie
ufitée en Italie , dans les cours dc certains prinoes , le jour
de faint Nicolas. Son origine. Ouvrage à confulter. X V l l .
693. a.
ZAPORAVIEN.S ou Zaporoges, ( Geogr. ) peuples compris
parmi les Colaques ou ükraniens. Leur gouvenien.iont,
Ces peuples.ne foiiffrcnt j.\mais dc femmes parmi eux,