540 PU R
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Pureté dc flyU , ( BdUs-Unr. ) I ’oyci les .irtlclcs CORRECT .
D iction , & c . Réflexions fur le néologifnic. D e l’emploi des
vieilles exprefrtons. Elles ne font permifes que diins le rtyle
jparotiqiie. Comment un liomme qui le propofo d'écrire doit
énidier f;i langue. Suppl. IV. 554, j. Utilité de s'exercer à
ht poéi'ie pour fe former le llylc. IL'td. b.
PU K E T T E , ( Mine!-.}!. ) fable ferrugineux qui fc trouve
fur les bords de la mcditcnaiioo , ]>rès de la ville de Gènes,
io n origine. Sa nature ife fes propriétés. XIII. 570. u.
PU R G A T IO N , ( MJd. T/Urupeui. ) D e tous les remèdes
appelles univcvfels , on peut avancer que les
purgatifs fourniilent le rcmede le plus univerfel. Réflexions
lui' ce qu’on appelle purgation de précaution. De l ’emploi
des .purgatifs dans les maladies chroniques ,jSc dans les maladies
aigues. Ibid. b. Dlvifion que les anciens firent des purgatifs,
d’après leur fyrtème de quatre humeurs fecondaires
ou cxcrémentiiidles. Les modernes l’ont rejectee , pour n’ad-
inettrc que celle qui diflingue les purgatifs par les degrés
d'aélivite. Ibid. 577. u. Obfeivarions fur ces différentes ef-
pcces de purgatifs admis par les moderne.s. On ne doit pas
mettre au rang des purgatifs, ni les alimens mal digérés,
ni les matières qui excitent la purgation chez certaines per-
'Tonnes délicates, par la feule horreur quelles leur caufem.
Ibid. b. Médicamens purgatifs tirés du regne végétal , du
regne animal, & du reguc minéral. Attentions & foinsqu’exige
de la parc du médecin l’aciminillration des purgatifs, avant
qu'on donne le remede , Ibid. 578. u, pendant qn’ll agit ,
& après Ion aifion. Ibid. b. Reinedcs à employer contre la
fiiperpurgation & l’aélion cxccffive d’un purgatif. Ibid. 579. a.
Pu'p.uiou , erreur des anciens l'ur les piopriécés qu’ils at-
iribaoicnt aux purgatifs de n’évacuer chacun qu’une certaine
cl()ccc (I humcur.s. II. 77S. a. Ce qu’on doit obfervcr
avant &: après les purgatifs que l’on domie pour caiife d'im-
puretes dans les premieres voies. V llI , 636. a. Diverfes
confiuéraiions fur les purgatifs employés dans les maladies
indamniatoires. 726. j . l)es moyens de difeerner le tems
propre à adminirtrer les purgatifs dans le.s maladies aigues.
XIII. 253. />. Les purgatit's doivent être adminiftrés le matin.
X V. 307. b. Les purgatifs forts ont aiiffi la propriété de
fferniitatoiro. 51-7, , j , b. Rcmede contre les purgations e.x-
ceffives. 669. b. Purgatifs cholagogncs. III. 363. .r, b. Purgatifs
violens appellés dradiques. 1. 34. j. Purgatif univer-
iel. ÎV . 929. a. Purgatifs tirés des fubllances douces au goût,
■ y. 92. a. Ei-:éluaire purg.uif. Suppl. I. 874. a. Emulfion [Ji^r-
gative. V . 603. u. Purgatif violent appellé eUterium. 448. .1,
b. Purgatifs minoratifs. X. 537. u. Purgatifs par le fené. X V .
10. b. 1 1. ,i. Des purgatifs donnés en pluüeiirs verres. XVII .
102. b.
Purgation, {.lurifpr.) Il y avoir autrefois deux fortes
de purg.nlons ; la ])iirgation vulgaire & la purgation canonique.
En quoi confuloit h premiere, XIII. 370. d.
Purgation canonique , {^ITijî. mod.) cérémonie par laquelle
on fe jullifiolt par fcrmciu , de quelcjne .affion , en
préfeace dc témoins , qui alHnnoient eJe leur côté qu’ils
croyoienr le feunont véritable. XIII. 379.0. Extrait d’une
differration de M. Dudos fur ce fujet. Ibid. b. Foyer
EpPwEUVE.
PU R G A T O IR E , {^Thiolog.) doflriiie des catholiques fur
le purgatoire. Preuves qui étabüffcnc ce dogme. Efpece de
purgatoire reconnu par les Juifs. Trois fottes de purgatoires
admis par les Mufulmans. XIIL 380. a.
Purgatoire , voye;;^ PEINES purifiantes. Efpece de purgatoire
admis par les Juifs. X i l l . 362. a. Doilrine des catholiques
fur le purgatoire. V I . 304. a. Prières que les habitaiis du
Novarois aüreffent aux ames du purgatoire. Suppl. IV . 61. b.
PURGER , (/!•) d'un crime ,{Jurifpr.) Epreuves qui fe
pratiquoient dans ce but dans les tems barbares V 8 '? a
b ,i k c . ’
PURGERIE , ( Raffin. dufucre) efpece de bâtiment ué-
ceffairc dans le raffinage dufiicrc. Pieces établies dans Ibnvoi-
ffnage. XIII. 380. b.
Purscrics, inflriimens dont on y fait ufage. X V . 600. b
PURIF ICA T IO N , ( Hiß. des Juifs ) impureté qu’ayoient
contraclée les femmes par leur accouchement.Offrande qu’elles
dévoient porter au tabernacle ou au temple. Rachat des premiers
nés. XIII. 380. b.
Purification delà Sainte Ficrgc, (N if. eccl.) fête que
Péglife romaine célèbre tous les ans. Foyei^ Chanoeleuu.
Sa célébration fixée 6c ordonnée par Juffinien X llI
581.^.
Purification des trompettes , {H-fl. anc.) fête des anciens
Romains, appellee tubiluflrium. '>i.l\i. 381. a. Foyer
ce dernier mot.
Purification , {Hiß. des religions) Foyeq^ A blution
& Lustration. Expiation qui avoir lieu clicz les anciens
pour purifier les villes. VI. 303. b. XVII. 279. a. Purification
des arbres foudroyés. VII. î i 6. a .X \ . 348. <1, b. Purifications
lorfqu’on avoit eu des fonges eft'rayans. X V . 203.
h. Celle quon pratiquoit après tivoii alltllé k des fiinératlles.
P U T
633. Purification des ames avant que d’ètre reçues dans
le ciel. X V I . 337. a. Purifications des B.inians. IL 39,
Purification ordonnée par l’Alcoran , nommée Tayamoni. XV.
9.19. a. Purification appellee abdert , iifitce chez les Turcs
& les Perfans. I. 16. b.
Purification , ( Chym. ) Celle du nitre. Différentes ef-
peces dc purifications. XIII. 381. a.
PURIFIER , les met.iux, ( Metall. ) voycr l’article de chaque
métal. *
PÜRIM , {H iß. des Juifs) fête des forts. Son origine.
Comment on la célèbre. XIII. 381. a. Foyer SORTS , 6c
PlIURlM.
PURISTE , ( Gramm. ) portrait des puriffes par la Briiyere,
X llI . 381. b.
PURITAINS , {HIß. eccl. mod.) Coinmcncemens de la
réformation d’Ang letefre, fous Henri VII I & fon fils EdoitarcL
Perféauions dc Mario. Elifabeth favorable à la réforme. Origine
des puritains. Famitifme de Jean Kijox , canfe de tous les
malheurs de la reine Marie Stuart. XIII. 381. Conduite des
puritains en Angleterre fous le regne d’Elifabeth. Guerres
civiles qu’ils excitèrent fcMis Ciiarles I , dont ils cauferont
la mort. Leur pouvoir anéanti après le rèrabliffenient de
Cliarles IL Ils font aujoiird'luii connus fous le nom de pref-
byiériens. Ibid. 382. a. Foye^ auffi IndÉPENuans.
PURL IEU , {Jurifpr. angloij.) Comment s'introduifirent
les purliciix. Différences entre la foret 6c le purlieu. XIII.
382. b. Droit de cliaffe du propriétaire du purlieu. Ibid. 383.
a. Officiers établis pour veiller à la confervation du gibier
qui poiiiToit s’cdiap|jcr de la forêt dans les purlicux. Ibid. b.
PURPURISSUS , ( H:fl. anc. ) vermillon préparé dont les
femmes grecques & romaines fe coloroient le vifage. X IV .
401. é. - '
PURULENT , épreuves qui fervent à caraélérifer la purulence
des crachats dans les maladies de poitrine , & la
piirnlcncc des urines. X llI . 384. a. Cas oîi ime excrétion
jniiiilonte fiiinte par les porcs dc la peau fans exulcéraiion.
Traité fur U fuppuration purulente. Ibid. b.
PUb ( Chir. ) fuppuration louable , fup])uration pirtride.
Comment fe produit la fuppuracion qtii eff tme terminai-
ffm d'un engorgement inflammatoire , & celle qui réftilre
dune plaie-ou cl un ulcere. XIII. 384. b. Foyeg_ aux mots
D etersif & Ulcere , le traitement des plaies qui fup,.tirent,
6c des ulcérés.
Pus , voyei SUPPURATION. D c la formation du pus. V IIL
717 . a. Sa formation & fa nature. Suppl. III. 601. a. Cara-
é leredun pus bénin , II. 272. b. pus ichoreux. VIII. 482.
b. Certains cas où il finit retenir par la compreffioii le pus
dans les fimis où il s’dinafie. III. 77S. b. Relâchement que le
pus produit dans les chairs voiflncs de l’abcès. IV. 998. b. Re-
inedes propres k aider la fcnnaiion du pus. X. 208. i . X V .
681. b. Filhiles caufées par le féjoiir du pus. V L 823. b.
Comment on en procure l’évacuation. V l l i . 650. a. 'In jections
a faire dans les épanchemens de pus. 730. a. Piffement
de pus. XVII . 312. a , b.
PU S T E R TH A L , ( Gèo^r.) grand quartier du T y ro l , dans
le cercle d Autriche en Allemagne. Ses produéfions. Divifioiî
de ce quartier. Ses principaux lieux. Princes qui le poffedent Suppl. IV. 3 34. b.
V\JST\JLZ‘S fur la peau , {Médec.) appellees phlyftenes.
Ail. 3J.1, a. Foyeg_ EXANTHEME.
PU 1 £ A L , ( yintiq. rom. ) efpece dc puits couvert fur lequel
on avoit dreffé un autel où Ton prcioit ferment. XIII.
3S3. a. Cérémonie 6c formule de ce ferment. Putéal de Li-
bon. Ibid. b.
PUTEANU S , {E rycius) XVII . 16. b.
P U T E O L l, {Gèogr. anc.) ville d’Italie. Origine de fon
nom. Hillotre de cette ville. Catifes dc fa célébrité. Fontaine
célébré de les environs. XIII. 383. b. Ouvrages à coni'ul-
ter. Etat prelcni de Poiilfol. Foye^ l’article de cette ville. Ob-
lervations fur le poète Decimus Laherius , né à Ptiteoli, Ibid.
386. a. Foyci POUZOL & POUSSOL.
PUT ICÜ LI on pnticulat fo ffa , {Ansiq. rom.) foffes dans
Rome ou l’on emerroit les pauvres gens. Maifon que Mé-
Tcrralfe qu’on y voit atijourd’liiii. X ilI .
, ( Zoolog) defeription de cetanimai. XIII. 38(5.
Origine de Ion nom. Hifioire naturelle' du putois. Ibid. b.
Putois , voyer PuANT 6c CONEPATE. Picgc à putois vol
1 1 1 . des pl.ineb. Cliaffc, pl. 13. ’ *
'P U T N E Ï , ( Geogr.) bourg d’Angleterre, dans lequel naquit
fous le regne de Henri V l l i , Tiiomas Cromwel, fils d’un
forgeron. La tomme l’éleva au faîte des grandeurs pour l’cn
précipiter totit d'un coup, 6c le faire périr d’une mort tragique.
X l l i . 386. b.
PU T R E F A C T IO N , {Chymie) extrême diffolution des
corps qui fe corrompent. Quels font les fujetsque la putré-
faéfion einbraffe. Pourquoi les tas de paille qu’on entretient
humides fe réduifeni en potifiicre dans quelques jours d’été.
Eficts de la putreladion. Comment elle rend le fumier propre
P Y A
à la fécondité. Les fubffances qui fe putréfient par l’aftion de
la chaleur , ne fe raréfient point k proportion de cctre chaleur.
x i i l . 587. U. Pourquoi le fumier s’échauft’e davantage en
hiver. Etat de l ’atmofphere le plus favorable à la pmréfaéiion.
Comment l ’air en favorife le progrès. Il n’efi point de fub-
jlance animale dans laquelle le ici ainmonical, dont la putré-
faaion produit un fel volatil , foit aiilil développé que dans
l’iirme. Formation du léi urineux volatil, ibid. b. Suivant
les piintipcs de Stahl, il n y a point d’alkali volatil formé par
la nature , mais tous les Tels de cctre efpece fe produifent par
le feu ou par la putréfaélion. On a cru long-iems qu’il exifioit
im lel volatil tout formé, principalement dans les plantes an-
il-leorbuiiques ; mais Carihetifer a réfuté ce feinimciu. Ptitrc-
faélion venmble quefub itlo fel marin, /éit/. 3 8 8 . Pourquoi
les chairs, fur le point d’être dlflbutes par la putréfadion , y
Tombent trois fois plus tard fi on vient à les cuire. Le vin
mis dans un vafe inf'edé d’un peu d’autre vin corrompu, tombe
très-vite en putréfadion , fins palfer par l’état de vinaigre.
Pourquoi le l'el marin en petite dote hâte la putréfadion. Les
fels alkah-volatils , quoique produits par la puiréfadion
ont le pouvoir de la retarder , de même que les alkalis
fixes. Les fubffances putrides animales ont la vertu d’exciter
une fermentation vineiifedans les végétaux. Explication de
la vertu lepiique de la craie 6c des fiibitaiices tefiacces. Ibtd. b.
D u rapport dc la gangrene avec la putréfadioii cadavereufe.'
iwb. 389. d. fbyeç C o r r u p t io n .
^ Puuejaüion , caufes de la putréfadion des fubfiances v é gétales
6c animales. I. 233. a. La diffipacion de l’air fixe regardée
comme une de ces caufes. Suppl. I. 233. b. Expériences
lur la putréfadion. Suppl. IV. 338. b. 363. a. 364.
et, b. Putréfadion de certaines drogues caufée en Guinée
par la chaleur 6c l’humidité. 233. b. Putréfadion alkaline
dans le corps humain : comment elle fe maiiifdle. 273. b.
Putréfaction qu’éprouve l’eau fous la ligne. V. 192 a Ef-
pece de putréfadion qui ralfcmbie le feu dans les corps.
V L 602. d. VII. 321. a. Pourquoi le froid empêche la pu-
tretadion. 308. a. D e la puanteur qui s’exhale des cadavres
putréfiés. XL 337. a. Emanations qui s’exhalent de la pu-
iretadion des cadavres clans les cimetières. Suppl. II. 428.
a , b , 6ic. Diftérentes matières propres à préferver les cadavres
de la putréfadion. 800. a. Des effets dc la putré-
fiidion fur les cadavres , 6(. de fes différens degrés. Suppl.
IV . 66. a , b. Certaines terres préfervent les cadavres de
la putréfadion : exemple. Suppl. II. 93. b. Oblervation fur
fil maniéré de préferver les matières animales de la putréfadion
par le fel_. X IV . 920. a , b. On a cru que la matière
végétale , portée à un certain degré de putréfadion , paf-
loit dans le règne animal : ce feiiiiment réfuté. Suppl. I. 436. a. PuCréJaflion des parties du corps humain vivant. Foyer GANGRENE.
C e f f un précepte très-dangereux que de dire vaguement
cpie ^ putréfadion eff le figue inlkillible de la inort
Caraderes qui diffingucnt la pourriture qui attaque un corps
v iv an t , de celle qui s’empare d'un mort. XIII. 389. a.
P ut r é fa c t io n des humeurs , {Médec.) Caiife ; méthode
curative. XIII. 249, a. Cette piitrcfadion peut caufer l'em-
phyleme. V. 579. a. Spécifique contre la putréfadion des
luimeurs. X V . 443.0. Diverfes remarques fur la putréfadion
du fiuig 6c fes différens degrés. Suppl. IV. 724. b. 723. a.
P U T R ID E , {Chtrur.) Caraderes d’une fuppuration outride.
XUI. 389. o, ^
Putride, fievre putride. V I. 737. b. Colliquatlon putride,
III. 641. a. fievre fynoque putride. XV. 760. a , b. boiffbn
d’ufage en Angleterre dans les fievres putrides. XIIL i6g. b- Ulcère putride. X V II . 372. b.
PU Y , if {Geogr.) ville de France dans le gouvernement
du Languedoc. Etym. de fon nom. Evêché de cette ville.
Autres obfervatioHS l'ur le Puy. Obfervations fur la vie 6c
les ouvrages de Guillaume T a rd if, Sc du cardinal Melchior
de Polignac, né dans cette ville. XIII. 5 89. b.
PuY , {Geogr.) autres lieux de ce nom. Piiy-de-Domc,
montagne d’Auvergne. Piiy-Laurens, bourg du Languedoc!
Puy-l’Evéqiie , bourg du Quercy. Puy-Notre-Dame , boure
de l’Anjou. XIII. 390. a.
Pay dc la conception , cfpcce de tribime ainfi nommée
par l’académie de Rouen. XIII. 590. u.
PUY , Saint-M.tuin-du , ( Géogr. ) bourgade du Nivernois.
Oblervaiions fur la vie 8c les ouvrages de Gabriel Mnecle-
le iie t, poète latin 6c françois , né dans ce lieu. XIII. 390. b.
luY-MOissoN , {Geogr.) bourg de Provence au diocefc
de Bied. Obfervations fur Guillaume Durand , célébré docteur
, né dans ce lieu. Suppl. IV . 334. b.
Geogr. ) origine de ce mot employé comme nom de
lieux. XII. 81 i.û .
» , • » ' “ ) premier grand maître de l’ordre dc
Malthe. IX. 9^1. a^b.
P Y
P'Î^NEPSIES , {M yth .) fête des Athéniens. Son iiiIU- lome II,
P Y R 54Î
tmion. Divers femimens fur l’origine & U lignification du
nom donne a cette fetc. Mots attique quiprit fon nom de cette
lolemnitè. a IÜ. 390. b.
’ ( Gr/jyr/i. ) efpece d’aigle. Sa defeription.
P YGM A LIO N , {Myihol.) Amour de Pygmalion pour
a ffatiie. Deux princes dc ce n om , l’ua toi de Chypre ,
1 autre roi de Ty r . XIII. 391. é. ■ '*
PY'G.MÉES^, {H if.a a c.) peuples fabuleux de la Thrace,'
dont a tadle n avoir qu une coudée de hauteur. Détails fur cm
peuples. Ongme de la fable des P ygmées, 6c de leurs combau
contrclesgrucs.XIII. 391.I..
y y v S h''“ , le prophète Ezcchiel, chapitre
1 X ^ ^ ^ n t a g e s de la vill*
ÿ T y r 6c de les forces , ajoute fuivant la vukate • fed &
lygrnæi , qui erant in lurribus luis , phareuas J^is fufpendc-
runi inm ans tuis per gyrutu , ipfi compleverunt pukhritudinem
tuam. Recherches des interprètes fur ce qu’on doit entendre
par cespygmees , ôc par le mot^.r//wWbr employé dans le texte
liebreu. X lli. 591.
Pygmées ( Grogr. a„c. ) les anciens ont mis de tels peuples
da.isl Inde , dans 1 htliiop.c & aux extrémités de l.r Scy.hie.
Ues voyageurs modernes les mettent dans les pays les plus
iepteninonaiix. Les Pygmées d’une coudée n’exiflent que dans
les fables des poètes. XIII. 392. a.
Pygmees » peuples qui ont été appellés de ce nom. XII. 23 i .
b. Ongme de la fable des Pygmées , felon Wonderhart. X L
7 4 5 - é. Pygmees de l’Amcriquc feptentriomilc.i'ziOD/ I ■ ,ce
a , Reflexion contre l’cxillence d’un peuple de Pygmées!
TIXy LI AAUDLF ^, ’ ffa meux p“an■ tomime romain. *X• L 828-. a b X V .4 10 . ’
P I L Æ , (Geogr. ^«c.) paffages étroits entre les montagnes.
Etym. de ce mot. Pyloe perfdcs ou Sufades. PyU S a L ü ^
1 I LAGORE6 , {H if. anc. ) deputes que les villes grecques
tnvoyoïent a 1 affcmblée des Ampbyélions. Deux fortes
de deputes qu elles envoyoïem , les uns appelles pyiagores
ôc les autres Ineromnemons. Leurs fonélions. Eleffion des py-
Î 9 2 . b- P Y LO R E , {Anaiom.) orifice inférieur de l’cftomac. Def-
cnption 6c ufage de cette partie. Deux exemples dc bouche-
mont du pylore. AUI. 393. a.
Pylore. Suppl. IL 613. b. Valvule du pylore. 873. Du
paliage des alimens par le pylore, 877. a.
P Y LU S , {Géogr. anc.)uoh villes de ce nom dans le Pélo-
ponnefe. Quelle eff celle qui étoii la patrie de Neffor XIII
593. b.
P Y O U L Q U E , {Chir.) infirument de chirurgie. Invea-
tcur de certe machine. Son ufage. X lli, 393 b.
P Y R AM ID A L , ( Gtom, ) nombres pyramidaux. Triangulaires
pyramidaux. Pentagones pyramidaux. XIIL 394 / '
Pyratnidal, nombres pyramidaux. VI. 781. XI. 203. b.
Inangulaire pyramidal. A V I . 616. b. ^
Pyramidal, {Anatom.) imifdes pyramidaux du nez
Pyramidal du bas-ventre. Corps pyramidal. XIIL 394 a
Mamelons pyramidaux. Corps pyramidaux. Ibid b
Pyramidal. Eminences ou corps pyramidaux. Suppl II
6 r i . b. Suppl. 1 1 1 . 944. b. Mm'cle pyramidal de l’abdomen. Suppl. 1 1 . 613. a.
P Y R AM ID E , {Géom.) définitions de ce folide. Scs propriétés.
Métiiode pour mefurer la furface 6c la folidiié d’une
pyramide. XIII. 394. b. Comment on repréfente une pyramide
fur un plan. Maniéré de conffiuire une pyramide avec
du carton. Ibid. 396. a.
Pyramide, développement de la pyramide.IV. 908. a. T rouver
le centre de gravité d’un cône 6c d’une pyramide. IL
823. b. Comment les indivifibiliftes démontrent que les pyramides
qui ont meme bafe 6c même liaiitcur font égales. VIII.
683. i . Mefurer la folidité d’une pyramide tronquée. X V I ,
698. a. Pyramide tétrabedre. X V I . 210. a.
Pyramide o/ififue. {O piiq.)X l. 320. a.
Pyramide. {H ydr.) XIIL 393. a.
Pyramide. {In fr. de Chir.) XIII. 593. a.
Pyramide de Porfenna, {Aniiq. ro/n. ) ancien monument
dans l’Etriirie, qui fut le tombeau de Porfenna. Sa deferip-
lion. XIII. 393. a.
Pyramide de Cefius, {Antiq. rom.) monument qui fut
dreffé pour fervir de maufolée à C. Cefiius. Sa defeription.
XIII. 3,93. a. Il fut réparé par Alexandre VII. Ibid. b.
Pyramide de Cef 'ms. Foye:^ TOMBEAU. X V I. 399. a.
Pyramides d’Egypte) ( Antiq. égypt.) regumpecunia otiofsi
ac fuira ofentatio, félon la definition de Pline. On convient
généralement qu’elles furent bâties pour fervir de tombeau
à ceux qui les avoient élevées. Raifon qui porta les rois
d’Egypte à entreprendre ces bâtimens. Nombre de ces tombeaux
qui exifioient anciennement. XIII. 393. b. Pourquoi
on leur donna une forme pyramidale. Les autres nations ont
quelquefois imité les pyratiyijçs des Egyptiens danslacoR-
X X X x i t z
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