' t i l l
J'!
in'
a66 M U Q
MUNIA oil Minie, { Gcogr. ) ancienne ville d’Egypte.
V.ilHcaiix ileflinés à rafiaicliir l'eau, qui fe font dans cette
ville. X. 8 6i. h. Grottes de h Tliébaïde qui commencent
près (le M u n i a . 862. u.
MUNICH , (Géogr.) ville d'A llemagne. Son origine. Le
palais éleftoral. Eglil'e & college des Jèluites. Situation de
Munich. X. 862. j .
MUNICHIA,(Geogr.tf/2c.) fortereffeprès d’Athenes. XII.
484. h.
M U N IC IPAL , ( 7«n^r.) villes appellees miinicipia chez
les Romains. X. 862. a. Droit municipal. Officiers municipaux.
IbiJ. h.
Municipal, {Jurifpr. rom.iine)tlécunon municipal, IV .
727. b. Diuim-virs municipaux. V. 174. j . Juge municipal.
Villes municipales. IX. 13. u.
A/u/(ic/pj/, étymologie du mot. III. 199. u. Gouvernement
municipal: comment les monarques de France, d’Angleterre
& d'Allemagne formèrent vers les douze & treizième fiecles
fur les ruines du gouvernement féodal, une efpece de gouvernement
de villes & de boii^gs. V I . 693. a. Charges municipales.
III. 199. a, b, Office municipal. XI. 417. b. Officiers
municipaux. 427. a. Juftice municipale. 663. a. Loi municipale.
XVII . 280. b. Des fonftions des juges municipaux :
juges municipaux fous Cliarlemagne & fes liiccelTeurs ; quel
eft prefentement leur chef dans la plupart des villes. IX. 14. a.
Obfervations fur radminidration municipale propofée par M.
le marquis d’Argenfoii. X V i l. 881. b.
M U N IC lP E ,(G w g r . & Hiß. rom.) lieu appelle autrefois
municipium. En quoi il différoit de la colonie. Municipes qui
étoient compofés de citoyens romains. Culte religieux qui
étoit appellé municipalia J'acra. Droit municipal en France.
Trois fortes de municipes diftingués par Paulus. X. 862. b.
Le nom de mnnicipea eu des fignifications différentes, felon
les tems & les lieux. Ibid. 863. a.
MUNIFICENCE. Réflexions fur la munificence des fou-
Ver.ains. X. 863. a.
MU N IT ION S , ( Artmïlit.') munitions de guerre, & munitions
de bouche. Lorfqu’on a dellein de faire la guerre, les
munitions de toute efpece forment un objet qui mérite la
plus grande attention. Confeil de Sully à Henri IV fur ce fujet.
Préparatifs de Perfée pour faire la guerre aux Romains. X.
863. <j. L’dTentiel des préparatifs pour commencer la guerre
réduit à deux objets, l'argent 8c de bons généraux, Obfervations
fur le pain de munition. Projet d’aecoutumer les troupes
à fe nourrir de bifeuit. Portion de viande que l’on fournit
au l'oldat en campagne. Des munitions de fourrage. Précaution
avec laquelle on en doit former les magafins. Ibid. b.
Confommation journalière de farine par une armée de 1 20000
h o m m e s . S 6 4 . j .
Munirions d’artillerie: l’exportation des munitions fujette à
des reffriélions. IV . 130. Des convois de munition. 170.
t i,b . De la quantité de munitions dont une armée doit fe
pourvoir. X 'v l. 325. b. Munitions de bouche. X V . 582. b.
^°Vlî.' 3.7 >■
MU N STE R, {Ge'ogr.) origine de ce nom donné à quelques
villes. Mu/ijkr, ville de ce nom dans la Weftj)halie. Ses
commcncemens. Ses révolutions. Traité de Munftcr, Situation
de cette ville. Obfervation fur la vie 8c les ouvrages de
Mallinckrot né à Mimffer. Evêché de Munfter. X. 864. a.
Munßer, de fon évêque. IV. 68. b.
Munflcr,y\\\ie d’Allemagne en Alface. Son origine. X.864. b.
province d'Irlande, Mounster.
Murißer-t/iall, communauté de la Caddée dans les Grifons.
X . 864. b.
Munster, {Sebaßien^ favant Allemand. V I ll. 741, h.
MUNSTERBERG , ( Géogr. ) principauté de la Siléfie
pniffieniie. Ses produélions. Ses principales rivieres. Lieux
qu’elle renferme. Religion dit pays. Ses inaitres. Capitale de
cette principauté. Suppl. III. 974. a.
MÜ NT ER, Georges, ( Hiß. du Danem.') révolte qu’il exerça
dans le Danemartk fous le regne de Chrifliern 111. Suppl. III,
963. b.
A iU XUS, ( Lang, latin.') fignification de ce mot. III. 199. b.
M U N Y C H fE , {Gèagr. anc.') port d’Athenes. Bourg de
même nom. Ruines du temple de Diane Munychie. Deux
autres ports d'Athenes. Fèces appellées Munychie. Mois du
même nom. X. 864. b.
MUPHTI ou Mufti, i,Hiß. mod.) patriarche de la religion
mahomètane. Son rang 8c fon autorité. Refpeél du peuple
pour le muphti. Combien il a déchu de la coufidération
dont il jouiflbit auprès des fultans. X. 864. b. Inftallation de
ce patriarche. Sa penfion. Comment les particuliers le conful-
tent. Ses fonflionspubliqucs. Marque de fa d i g n i t é . 863. a.
MU QUEUSES, (^Anatom.) trois glandes qui déchargent
leur liqueur dans l’uretre. Leur defcriptlon Sc leur fituacion.
X.863.
MUQUEUX , co/yr, {Chymie) fujets du regne végétal Sc
du regne animal que les chymiffes ctaffent fous ce nom générique.
Leurs proptiéiès communes. X. 863. b.
MU R Mu q u eu x , ( Anat. ) couronne muqueufe, partie de roelî.
Sa defcriptioii. Animaux dans lefquels elle fe trouve. S.ippl.
III. 974. a. Glandes muqueufes ou de Cowper. Leur dei-
cription. Ibid. b.
Muqueux, cotps, c’ell dans lesalimens la feule partie alimentaire.
X L i l l . a. Voyes^ NOURRISSANT. l 6 l .b , &c. Corps
muqueux qui fait la liaifon de l’épiderme 6c de la peau. IV.
382. a. V llI . 163. a. La néceffité animale eft au fond une
même fubftance que les parties organiques des animaux. X V .
583. b. La chaux coagule les corps muqueux. III. 266. b.
Humeurs muqueufes, X. 846. b. leur préparation. Suppl. IV.
739./'.76i . a. Follicules muqueufes. Suppl. III. 81. i. Glandes
muqueufes. 234. a, b. Maladies qui proviennent de la
qualité viciée de riuimeur muqueufe du nez. XI. 127. b.
— Voyei Mucosité du nez. Vices de rinimeur muqueufe
de la veille. XVII . 207. b. Comment les humeurs muqueufes
peuvent être portées dans les inteftins. IV . 947. b.
M U R , {^Hydraul.& Jardin.) X. 863. b.
Mur , {Arc/iit.) mur de face. Mur de pierres feches. Mur
en l’air, Mur mitoyen. Mur de chiite dans l’architeéliire hydraulique.
Mur de douve d’un réfervoir. Suppl. III. 974. b.
Mur , ( Archit.) de la charge que peut fupporter un mur.
III. 634. a. Contre-forts de murs. IV. 134. a. Fruit 8c contre-
fruit d’un mur. Ibid. b. Contre-mur. 138. a. Tranchée de mur.
XVI. 339. b. Vuide dans un mur. XVII . 374. a. — Foyei
Muraille.
Mur mitoyen, {Jurifpr.)X. 382. b.
Mur ou muraille , tirer à la, parer à la (^EJerime) ce que doivent
obferver les eferimeurs qui veulent tirer au mur. X. 866.M
ur de recuit, {^Fonderie) fa conllriiélion. X. 866. a.
MURAILLE. [Minéral.) X . 866. a.
MVKAILLI,{Géugr. 6- Hijl.anc.) muraille de Céfar près
de Gciieve. ( Voye^ fur ce mur de Céfar, Suppl. III. 977. a. )
Muraille de la Chine. X. 866. a. Muraille des Piâes. Foye;^
ci-defTous Muraille d'Adrien. Diverfes murailles confidé-
rables élevées dans la Grece. Ibid. b.
Muraille, {Archit.) de l’art de bâtir les murailles chez
les anciens 8c les tnodernes. IX. 805. b. — 808. a. Vol. 1 des
planch, Archiieélure. Maniéré de les couvrir aVcc des tuiles-
Suppl. 11. 648. a. Pourquoi les anciens faifoient leurs murailles
d’une très-grande épailTeur. IX. 827, a. Comment ils for-
tifioient les murailles des villes. V IL 191. b. Murailles d’A drien,
d’Antonin le p ieu x , de Severe, de Stilicon. X V I .
823. b. 824. a. Celle de Severe. Suppl. IV, 755, b.
M v r AILLE, {ASaneg.) partie du pié du cheval. Suppl. III.
423. d.
MURAL,couronne murale chez les Romains. Arc mural
en aüronomie. X. 867. a.
AluraU,couronne, IV. 394. a. inffrnment mural, quart de
cercle affronomique. XIII. 667. b. — 671. a.
M U R A N O , {Géogr.) ifle d’Italie. Diverfes obfervations
fur cette ifle. X. 867. a.
MURCIE , ( Myihol. ) nom fous lequel la pareffe a été per-
fomiifiée. Ses ffatucs. Caraélere des gens fenfuels qui la cour-
tifuient le plus. Temple de Vénus Murcie. X. 867. u.
Murcie,/u , {Géogr.) petit pays d’Efpagne. Ses b oni»
8c fon étendue. Peuples qui l’ont habitée. X. 867. a. Ses principales
rivieres 8c cités. Productions du pays. Ibid. b.
Aîurcie, ville d’Efpagne. Ce qu'elle étoit ancicnnemenî.
Particularités fur cette ville. Sa fiiuation. X. 867. b.
M U R E , {Jardin.) trois fortes de mûres, les noires, les
rouges Scies blanches.Obfervations fur ces fruits. X .867. b.
Mure {D e la ) fes recherches 8c expériences anatomiques
fur le cerveau. iV. 933.4,
MURÉES, villes. XVII . 280. b.
MURENE, {Ichthyol.) defcriptlon de ce poiflbn de mer,
X. 867. b. Qualité de fa chair. 868. a.
Miirene des Moluqiies, appellée cambat. Suppl. II. 147. h.
M U R E T , ( Géogr.) ville du haut Languedoc. Cette ville
affiégée par Pierre d’Aragon. X. 868. a.
Muret , {Alarc-Antoine) éloge de fon génie 8c de fes
ouvrages. VU . 847. b.
MUREX , ( Conchyol.) forte de coquillage. Origine de ce
nom. Cara-5teresfpécifinues qui déterminent les (.fpeces elTtn-
ticlles dans ce genre. X. 868. a. On a fait du mot de murex
un nom générique, dont les pourpres ne font qu’une efpece.
DiffinCtion du pourpre 8c du buccin. Divifion des murex en
quatre ou cinq clafles. X. 868. Foye^^ Rocher. Pourquoi
les Américains donnent le nom isp ijfeurm murex. Il paroit
qi e l’animal qui habite la coquille du murex, eft le même
que celui qui occupe les cornets 8c les olives. Rapports &
différences entre la pourpre 8c le mure.x. Defcriptlon de celui
qu’on nomme belle mufique. Ibid.S6<^.a.
MOKlA.TlQlJE,acrimon:e,{Médec. ) I. 263. b. III. 389. a.
M U RIE, {H ifl. nat.) fel marin diflous. Üfages de cette
mûrie, felon Diofeoride. Six fortes de mûrie diflinguées
par Linnæus, la mûrie marine, celle de fontaine , la fof-
ftle , celle de fulsfeld, la lumineufe 8c la pierreufe ; aux-
MUS quelles on peut ajouter la végétale 8c l’animale. X. 869, h.
MURIER , {Bot. J,irdin.) caraélercs de ce genre de
plante. Ses trois efpeces. Defcripcion du mûrier noir. Lieux
& terreiiis qui lui conviennent. Détails fur les maniérés
de le multiplier, 8c de le cultiver. X, 870, a. D e la tranf-
plantacion dit mûrier noir.Qualité 8c iifage de la feuille. Ibid.
871. b. Obfervations diététiques fur l’ufage de fon fruit. Bols
du mûrier noir. Ouvrages auxquels on peut l’employer.
Ibid. 872. a.
Du mûrier blanc. Importance de la culture de cet .arbre en
France. Cette forte de mûrier tire Ibn origine de l'Afie.Cet
arbre connu en Grece dans le fixicme fiecle. X. 872. a. Il
apafféen France dans le quinzième fiecle fous Charles VII.
Hiffcjire de la propagation des mûriers dans ce royaume. Def-
cripiion du mûrier blanc. Ibid. b. Terreins Sc fituation qui
Im conviennent. Détails fur les moyens de le multiplier 8c
de le cultiver. Ibid. 873. a. Tranfplamation du mûrier blaye.
lUd. 874. a. De la maniéré de faire des plantations de mûriers.
Ibid. b. Ufages de fa feuille 8c de fon fruit. Qualités
du bois, fervices qu’on en tire. Defcriptlon du mûrier d’Efpagne.
Defcriptlon du mûrier de Virginie. Ibid. 875. a. Ob-
Ç-rvaiion fur la rapidité de fon accroiirement, De la maniéré
V f . f n i i i r i e r cle Virginie à feuilles veines.
ibiJ b. Du inurier noir à feuilles panachées. Ibid. 876.
M ûrier , {Bot. J.irdm. ) noms de cet arbre en difFé-
rcnies langues. Son cataâere générique. Enumération de
fept dpeces. Lieux où elles croilTent 5c terreins qui leur
conviennent. Leur dcfcripiion 6c culture. Suppl. III .9 7V a.
Mûrier blanc , onginnire de la Chine : diverfes contrées oit
il a etc mmfjwrtc. Suppl. I. 323, b. culture du mûrier blanc
en pepiniere. XII. 322. b. Do la greffe des mûriers. Suppl.
i l l . s6o. a ~ 262. 4. Efpece de mûrier qui donne ia meii-
leiire feuille : mconvéniens des mûriers greffés. XII, 221. 4.
M û r ie r , _ {Dicte & Alat. médic.) C e n’eff prefque que
, le mûrier noir ou des jardins qui elf d’ufage en médecine.
Frep.iiation du rob 8c du fyrop de mûres. En quelles occa-
lions le firop eff employé. Propriété.s des mûres. Remede
■ vcimifuge, lire de l’ecorce du mûrier, 8c fur-tout de celle
de la racine. X. 876. a.
' loïùcs homme de lettres. X IV . 439./.,
MU RM U RE, {Crit.facr.)‘‘°” efprit de défobéiffance 8c de inv“ ™ H X : '’■ '"‘■ 'ien»'- qu’il
M üR O , ( Géogr. j ville d'Italie au royaume de Naples
ICI (]ue pent en 1382 , Jeanne, reine de Naples 8c de
8-6 b ^ infortunée priiiceffe. X.
M Ù R S A , {Hiß. des T.irtar.) chef de chaque tribu des
peu|des tartares. Ordre établi dans la fucceffion à cette dignité.
Revenu du nnirfa. Les familles ne s’éloignent point
du gros de 1 horde, fans le communiquer à leur murfe. En
^101 confide la grandeur 8c la richeffe dn kan des Tarcares
A . 877. a.
Tartares. X V . 923. b.
, ('G fogr.) retranchement que conf-
tniilit Cefar pour fermer aux Helvétiens le pallagc dans
la province romaine. Sa longueur. Lieu où il fut élevé. Suvol
i l l . 977. a. •
M U S A , (^0/4/2.) ou B a n an ier . Caraaercs do ce cenre
de plante. X. 877. 4. ^
Aiigiiffe. X. 270. b.
Miifa , calife abaffide. Suppl. I. 4. b.
d'opiate. X. 877. .7.
MUSACH , ( Crinq./acr. ) divers feutlmeiis fur ce qu’étoit
le mufach au couvert du Sabath. X. 877. b.
M U SÆ UM , ouvrages fur les gravures antiques , intitulés
ro7«j/24/n, miifatum florencinum. XIII. ccii a
, “ USAGETES , (At,.,/,.) donné Y H e r e u k &
J Apollon. X. 8-77. b.
Mufagcics , furnom d’Hcrcule. VIII. le ç . b.
M U SAR A IG N E , ( Hiß. nat. ) animal qui a beaucoup de
rapport a la fouris 8c à ia taupe. Obfervations fur la mor-
nrede cet animal. Maladie des chevaux que l’on attribue à
cette morfme. Hllloire naturelle de la mufaraigne. X. 877.
F Lfpece de mufaraigne d'eau , découverte par M. Dau-
ûenton. Defeription de cet animal. Ibid. b.
JJ^S^AIGNE, {Aiaréch.) Suppl. III. 403. 4.
^ ‘Jcfcription. Véficule
le mufcle eff renfermé. X. 878. a.
XIIÎ s’ l’odeur que l’animal du miifc exhale.
fTiiVn d'A rabie qui le fournifl'ent. Uface
rorne Arabcs. Suppl. I. 306. b.— e o j.a . Différciis
Mus¥‘ IV. 102. b.
c-fliveni/nf Le nuifc a plu 8c déplu fuc-
• \ S-8 ficelés Sc cliez toutes les nations.
A . b ,a . 4. Ueimmon du parfum. L ’animal d’Afrique qui le
MUS 267
donne femUe mieux mériter le nom de miifc one cdni
d A le. Il en eft fort diSércnl. Sa defeription. Defeription
de lorgnne qui contient la pommade odorante. Ibid. 879.
4. Uette orgamfaiion n’éclaircit point le myflere de nos fe-
cretions. Le parfum n’eft jamais plus fort que quand il cR
recent. Ibid. b. Il refide dans le leul organe qui le filtre &
qmle contient. La ftruéhive particulière de l’organe forme
ce parliim. Il le trouve en très-petite quainité d.ms tous
les animaux mufqués. Notns de l’animal cl’Afie qui donne le
imifc (le l’onent. Ibid. 880. 4. Lieux qu’il habite. Sa dc-fci-ip-
uon. 11 porte le mufe dans une bourfe fous le nombril,
^•auffes idces de l’origine de ce parfum, Ibid. b. Comment
on le lophiltiqiic en Aile. On le vend en vclTie ou hors de
vcflie. Choix du mufe en v eflie , 8c de celui qiu en cR
lepare. Son prix en Hollande. Ibid. 881. 4. Violence de fon
odeur. Comment elle fe répare lorfqu’elle cR perdue. Subtilité
des parties volatiles qui conRituenc fon odeur. Le mufe
nelt plus d'ufage en médecine. Ibid, b
MUSCADE , / i . i x , {Bot. exot.) Scs diffé rens noms. Sa
defeription. DiRmaion de deux fortes de vraies noix muf-
cades cultivées, nommées noix mufeades femelles. Noix muf-
Mde faiivage , qu’on appelle aiuremeiu noix mufc.mc mâle.
A. 881. h. Choix des meilleures.il paroit que cette forte
de produélion a été inconnue aux Grecs 8c aux Romain'.
Comment on recueille 8c on prépare les noix mufeades,
cultivées dan.s les ifles de Banda. Ibid. 882. 4. Manière de
les confire. Comment on les fert aux Indes dans les repas.
Analyle 8c diftillaiion de ces noix. Méthode des chymif-
tes pour tirer par expreflion , l'huile de la mufcntic 8c du
macis. Auteurs à confulter fur cette matière. Ibid. h. La
compagnie liollandoife des Indes orientales cR ia maiirclîe
de toute la nuifcadc qui fe débite dans le monde. Ibid,
Mnfcade, fleur de mufeade. IX. 801. b. Manière dont fe
propage la inuicade. X IV . 943. a.
Muscade, n o ix , {Çhym. Alu . médic.) choix de cette
forte de noix. Principes qu’elle contient 8c qu’on en relire
par ia diRillation. Des propriétés 8c de l’ulage de cette fubftance.
X. 883. 4.
^^Mu s c a d e s , {Oryllol.) efpece de foffilcs. Suppl. ÎV.
MU SCAD IER , (Rer. caror. ) deux efpeces de nnifcadicrs,
le cultive 8c le fauvage. Defeription de la piemiere efpece.
bue vifqiieiix qui en découle par incifion. Tems de la
récolté des noix. IRes oit on cultive ces arbres. X. 883 b.
Du nuifcadier fauvage. Ibid. 884, a.
MU SCARI {B o t.) caraileres de ce genre de plante,
bes efpcites, Defeription de la principale, X. 884, 4.
M U S C A T , vin. Etymologie du mot. Maniéré dont on fai:
ce vm à Frontignan. X. 884. 4.
Alufcat, raifins imifcats. X llL 76 7 .^ .7 7 2 .4 . Vins muf-
cais du Languedoc. XVII . 291, b. Vin mufeat de Tenedos.
XVI, 133, b.
l’article
MU SCLE , {Anatom.) Etymologie du mot. Defeription
nu miilcle 8c de fes parties. Fibres nuifculaires. X. 883. b.
Nerfs 8c artères qui entrent dans les miifdes. Caufe de leur '
rougeur 8c de leur volume. Ibid. 883. a. lUfo in toujours
dans un certain degré de teufion , 6c doués d'une force
coniraéUve. Diverfes expériences fur les mufcles De leur
aéiton. Mufcles antagoniRes. Ibid. b. Sur le mouvemcni muf-
culaire , ^oye^ ce mot, Mufcles des mouvemens involoniaires
ou necelfiiires. Les mufcles ont difl'ciens noms, rehnifs à
leur nombre, à leur direélion, à leur figure, Ibia. 886. a.
à leur fituntion , à leur infertion , à leur ul'age, à leur
aétion, à leur compar.aifon, Ibid. b. à leur compofition , 6c
a quelque propriété finguliere. Du nombre des mufcles du
corps humain. Enumération des mufcles par rapport aux
régions dans lefqitellcs ils s’obfervent. Ibid. 887. a.
Muscle, {Anaiom.) de la couleur des mufcles. Leur
grandeur la même dans tous les animaux. Compoficion des
fibres , Suppl. III, 977. ék des imifdes. Leur membrane
commune, ou tilîu cellulaire qui le.« enveloppe & les attache.
GraifTe clépofée clans ce tiiîii cellulaire. Cette membrane
accompagne les nrteres, les veines 8c les nerfs qui
fe partagent clans les mufcles. Difiribution de ces nerfs 8c
de ces vaiffeaux dans les mufcles. Ibid. b. Fibres tendineufes.
Leur defeription, Leur origine. Elles ne font ni fenfibles ni
irritables. Leur intime union aux fibres charnues. Ibid.
978. 4. Dénominations particulières auxquelles ont donné
lieu les différentes maniérés dont fe fait certc union. Les
tendons changent fouvenc de cüreéiion , 8c paffenc à coté
des articulations , ou par des filions creufes dans les os
Bracelets ligamenteux qui preffent le tendon comre le fillon
de l’o s , 8c l’empèclient de quitter ce fillon 6c de fe re-
dreffer. Ibid. b.
Mufcles, \cüe formation dans le (attws. Suppl \ 129 h
Tems o u ïe mouvement de ceux des extrèmués commencé