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laxe. X I. 905. a. f ’oyci ABERRATION 6- NiTTATION. M.
Hcrrebow croit avoir fait des obfervacions qui prouvent cette
parallaxe ouvrage à confultcr. Ibid. b.
PAR AL LELE , (GiOOT.) detinition des lignes paralleles.
Ces lignes font d’un très-grand ufage en géométrie. Angles
formés par une ligne qui coupe tranfverfalement deux paralleles.
Un oeil placé entre deux lignes paralleles les voit
comme fi elles ètoient convergentes. Manière de décrire des
lignes paralleles. Plans paralleles. XI. 905. b. Rayons paralleles
dans l’optique. Règles paralleles; ufage de cet inllru-
inent. Ibïd. 906. j .
Parallele cquidiflant, différence dans la figiiification de ces
mots. V . 872. b. Cercles paralleles. II. 835, a. Regle à tirer
des paralleles. X IV . 35. b.
Paralleles OU cercles paralleles. ( Géogr.) XI. 906. a.
Paralleles de laiitudc, en aflroiiomie. XI. 906. a.
Paralleles de kauleur ou almicantaraths. {AJïrori.) P.ir.al-
leles de décUnaifon. Sphère parallele : mouvement apparent
des aflres dans cette pofition de la fphere t eftets qui en ré-
fiilrcni. XI. 906. a.
Parallele, fp kere.XY. 4 ’^'y b.
Parallele, ami- {Géogr.'j lignes anti-paralleles. La tlièorie
des paralleles cil peut-être ce qu’il y a de plus difficile dans
la géométrie élémentaire , à parler rigoureufement. XI. 906.
a. Obfervations fur la maniéré de delinir les lignes paralleles.
Ibid. b. Voyes^ Suppl. I. 462. a.
Paralleles Je latitude. ( Géogr. ) X L 906. b.
Paralleles de latitude, conftruèlion des paralleles fur la carte.
II. 707. a. Paralleles des climats, l l l . 533. a. Regle pour
trouver la grandeur du degré d’im parallele. IV . 763. a.
Peuples liabitans fous un même parallele. XII. 363. b. T a bles
où l’on trouve les degrés des différons paralleles calculés.
Suppl. IV . 882. b. 883. a. Degrés des paralleles mcfiirés.
878. .1. Degrés de Longitude.
Parallele , {Art. orat.) comparaifon de deux hommes il-
lurtres. Parallele de Corneille èc de Racine. X L 906. b.
P.iralleles, {Forriße.') ou places d'armes. X i. 907. a.
Parallèles , demi- IV. 813. b.
Pa r a l l e l e s anciens. {A n mi!it.)l\ paroîtpar quelques
paffages des auteurs de l’antiquité, que les tranchées, les paralleles
répétés, 8c les fappes couvertes, dont les modernes
s’attribuent l’invention, font uniquement dues aux anciens.
Citation d’un paffage de Céfar. Approches par Vineas. Suppl.
IV . 237. b. Les Romains n’employoient pas feulement les claies
8c fafeinages pour fe couvrir, mais ils fe fervoient encore de
gabions. Approches par galeries hors de terre. Sieges où elles
ont été employées. Ibid. 238. .1.
PAR.4 LLÉLIP1PEDE , (Gc'ow. ) propriétés du paralléllpi-
pede. Manière d’en mefurer la ftnface 8c la folidité. XI. 907. a.
Parallélipipede , trouver le centre de gravité d’un parallélogramme
6c d’un parallélipipede. i l. 823. b. Nombre paral-
lèlipipede. XI. 204. a.
PARALLÉLISME de l'axe delà terre, {Aßron.) le paral-
lélifmc doit arriver naturellement, fi la terre parcourant
fon orb ite, n’a d’autre mouvement propre que celui de
la rotation autour de fon axe. Ce parallélifme de l’axe 8c
fon inclinaifon , efl la caufe de l’inégalité des jours 8c de la
différence des failbns. XI. 907. b. Pourquoi les lieux de la
terre où l’on doit obferver en été les plus longs jours , 8c
les nuits les plus courtes , 8c en liiver les pliénomencs contraires
, font ceux qui font les plus éloignes de l’équateur.
Ibid. 908. a. Pourquoi il n’y a fur la terre que les habi-
tans de l'équateur quiconfervent leurs jours égaux aux nuits
dans toutes les faifons. Égalité des jours 8c des nuits par toute
la terre au tems des équinoxes. Phénomènes produits par
le parallclifme Sc la confiante inclinaifon de l’axe de la terre
durant fa révolution dans fon orbite. Ibid, b. Expérience fort
fimple qui fera comprendre Rs cflets de ce parallélifrae. Ibid.
909. a.
Parallélisme de la lunette. {Aflron.') La lunette d’un
mural ou d’im grand fefleur étant appliquée fur le limbe,
ell éloignée néceffairoment de quelques pouces du plan qui
paffe par le centre 8c par les divifions. Si elle n’efl pas exactement
parallele à ce plan, elle ne fera pas dans le même
vertical. Suppl. IV. 238. a. Moyen de lui donner ce paral-
îélifme, Seide s’en nnaver. Ibid. b.
ParalUlifme des rangées d’arbres. Pour faire que l’oeil placé
au bout d'une allée bordée de deux rangées d’arbres, voie
ces deux rangées paralleles, il efl évident qu’elles doivent
être divergentes ; mais fuivant quelle loi réglera-t-on leur
divergences La fohition de ce problème dépend d’une quef-
tion phyTique encore conteflée fur la grandeur apparente des
objets. Tous ceux qui ont anciennement écrit fur l’optique,
prétendent que la grandeur apparente eft toujours proportionnée
à l’angle viliiel : obfervations fur ce principe. l3ans
cette hypothc'le , les deux rangs d'arbres paroiironc parallele
s , s’ils forment deux demi-hyperboles oppofées. Auteurs
qui ont démontré cette propufmon. Recherclies de M. Va-
rlgnon pour la folution du même problème. XI. 909, b. Ce
P A R
géomètre imagine que l’une des rangées étant fuppofée en ligne
direéle, la rangée oppofée devra décrire une courbe
hyperbolique , 8c en ce cas les deux rangées feront vues
à l’infini fous des angles égaux. L’auteur de cet article penfe
que les deux rangs dont il s'agit, doivent être deux lignes
droites divergentes. Ibid. 910. a. D'où dépend la quantité de
leur divergence. Une allée d’arbres qui feroit parallele à un
certain point de v u e , ne le feroit plus à un autre. Ibid. b.
Voyei A llée.
ParalUlifme delà bafe de la touffe des arbres, avec la fur-
face du t c r rc in tl. 383. a. vous trouverez des obfervations
fur ce fujet dans le torn. 1. du fpeélacle de la nature, pag. 83 7.
PAR AL LÉ LO G R AM M E , {Géum.') différentes efpeces de
parallélogrammes, appellés reâangles , quarrès , rhombes &•
rhomboïdes. Ÿxo^nkihs du parallélogramme. XI. 9 1 1. <z. Proportion
lur les parallélogrammes, regardée comme une des
plus importantes de la géométrie : dans tout parallélogramme,
la fomme des quarrés des deux diagonales efl égale ■ à la fomme
des quarrés des quatre cotés. Trois maniéré de démontrer ce
théorème , lorfqu’il s’agit d'un parallélogramme qui n’eft pas
reéfangic. Regle imaginée par Newton , appellee regle du
parallélogramme : fon ufage : XI. 9 1 1 . b. maniéré de s’en fer-
vir. Ibid. 912. a.
Parallélogramme, trouver le centre de gravité d’un parallélogramme
8c d’un parallélipipede. II. 823. b. Dans tout parallélogramme,
les complémens font égaux. 111. 763. <j. Dans
tout parallélogramme la fomme des quarrés de deux diagonales
ell égale à la fomme des quarrés des quatre côtés. IV .
93 2. b. ConnoilTant un coté 8c une diagonale , connoitre Tau-
rrc diagonale. 933. a. Les côtés étant donnés, trouver les
dir^onales. Ibid. Nombre parallélogramme. XI. 204. a.
. ft^RALLOGISiME , { Logiq.) différence entre le parallo-
gifme & le fophifme. XI. 912. b.
P A R A L Y S IE , {Médec.) étym. de ce mot. Deux efpeces
de paralyfie ; celle du mouvement, 8c celle du fcntlmcm :
l’une 8c l’autre efpece peut être univerfellc ou particulière ;
on les diflingue par les noms de paraplégie 8c d ’haniptégic.
Symptômes de paralyfie. XI. 912. b. La paralyfie n’eft le
plus fouvent qu’une fuite de l’apoplexie incomplètement
guérie. Comment elle s’annonce lorfqu’elle n’a point été précédée
d’apoplexie. Caufes de la paralyfie. Ibid. 913. a. D ifférentes
maladies qui dégénèrent quelquefois en par.alyfie.
Ibid. b. Caufes prochaines. Ibid. 914. a. Obfervations faites
fur les cadavres de perfonnes mortes de paralyfie. Ibid. b.
Incertitude où nous laiffcnt les obfei-vations 8c les hyporhe-
fes fur les caufes prochaines de cette maladie. Prognoftics.
Métliodes curatives. Ibid. 913. , b. Deux exemples de paralyfie
fans fentiment, 8c fans deftruéHon de mouvement de
la partie infenfible. Ibid. 916. a.
Par.ilyfie de la langue. I. 324. b. Prognoftics qu'on en
tire. IX. 248. b. Les perfonnes c.xpofées à riuimidlté , fii-
jettes à certaines paralyfies. V . 193. a. Expériences entre-
prifes pour guérir les paralyfies par le moyen de l’éleélri-
cicc. 477. h. Ufage des fourmis dans cette maladie. VU .
230. b. Celui de l’huile de girofle. 672. b. des bains. X.
338. a. des topiques. X V I . 420. a. L ’opération de la tranf-
tiifion faite dans une paralyfie. 531. j , i . Paralyfie de la
veffie. X IV . 201. d , i . de la p.iralyfie des jambes. VIU.
441. a. Defeription de deux bandages , l’un pour la paralyfie
des mufcles poftéricurs de la tête , l’autre pour les
mufcles antérieurs de l’avant-bras. Suppl. IV. 612. b.
PA R A L Y T IQ U E S maladies. IX. 933. b. Efquinancic paralytique.
V . 979, a.
Paralytique , {Cruiq. facr.^ Obfervations relatives 'i
celui dont il eft parlé, Marc, ch. II. 4. XII. 740. a.
PAR AME SE, ( Muftq. des Grecs) nom de la premiere
corde du tétracorde diczeugmenon. EtymoIogR du mot.
XI. 916. b.
PAR AME TRE , ( Géom. ) ligne droite confiante dans
chacune des trois feéfions coniques , 6c en général dans
réquation d’une courbe. Quand il y a plufieurs confiantes
dans une équation , on peut toujours les réduire à une
feule. XI. 916. b.
PAR AN A , U ( Géogr. ) riviere du Paraguay. Habitans de
la province de Parana. Caufe de la guerre entre le Ponugal
8c les Indiens. XI. 916. b.
PAR AN A 1I3A , voye:^ Xingu 8c Chingou.
PARANETE , ( Mujiq. ane. ) troifieme corde de chacun
des tétracordes. XI. 917. a.
PARANGONS diamans. XII. 397. b.
Parangon , ( Caraü. tCimprim. ) exemples de ce caraélere.
II, 664.
PAK AN OM AS IE , figure de grammaire. VI. 771 a
P A R AN YM PH E , ( Hifl. grecq. & rom.) Les Grecs ap-
pelloieiu de ce nom ceux qui conduifoient l’éponfc dans la
maifon de fon mari. Les Romains appelloient promibns cc
conduéteur, 8c pronuba , fi c’étoit une femme qui eût cet
emploi. XI. 917. a. Cérémonies pratiquées dans cette conduite
, après que les fiançailles 8c les facrificcs d’ufaga
avüient
P A R avoient été accomplis. Pourquoi il étoit d'ufage que les
parens 8c le mari jettaifetit des noix aux enfans qui accou-
toient dans la rue. Ibid. 017. b.
paranympke chez les Hébreux , l’aini de l’époux. Quelles
éioient fes fijnftions. Quelques-uns ont ern que Vardùtri-
clinus , dont il eft parlé à l ’occafion des nôces de Cana ,
étoit ce paranymphe. X L 917. h.
Paranymphe , ( Hifl. ) officier chargé par l’empereur
de Conftaniinople , de conduire les priiicelTes mariées à un
prince étranger. XI. 917. b.
Paranymphe. cérémonie qui fe faifoit dans les écoles de
théologie ùc P.iris, après chaque cours de licence. XI.
918..;.
P A R A O U S T IS , ( Hifl. mod. ) chefs des iiabiians de la
Floride. Autorité qu'ils ont. Honneurs qu’on leur rend après
leur mort. XL 918. a.
PAR APET , ( Fortifie. ) divers noms qui ont été donnés
à cette partie de la fortification d'ime place. ConftruéHon
du parapet r o y a l, ou de rempart. XI. 918. a. Parapet du
chemin co i iv u r ; celui des tranchées. Ibid. b.
Parapet, cünllriiélion de celui qui fert à couvrir le canon
dans l’attaque des places. II. 149. a. Parapet de circonvallation.
III. 464. a , b. Parapet royal. X IV . 417. a.
S.îcs dont on borde les parapets. 469. b.
PARAPHE , {Jurifp.) ufages du paraphe. XI. 918. b.
PARAPHERNAL , ( Jurijp.) bien de la femme qu’elle
n’a pas compris dans fa conilitution de doc. XI. 918. b.
L ’ufage des paraphernaux vient des Grecs. Etymologie du
mot. A Rome la femme avoir un regiftre des biens réfervés
à fon ufage particulier. Trois fortes de biens qu’avoient les
femmes. Droits du mari fur ces biens. Il n’y avoir point
de paraphernal dans les mariages per coemptionem. Maintenant
en pays de droit é crit, tous les biens de la femme font
dotaux ou paraphernaux. Eu pays coutumier, ils font tous
réputés dotaux. Deux fortes de paraphernaux , les uns reconnus
par contrat de mariage, les autres acquis pendant
le mariage. La femme peut s’en réferver I’adminiftration
fans le confentement du mari. Ibid. 919. a. Le mari n’eft
comptable de ces biens que lorfque la femme lui en a confié
radmiiiirtration. Le mari peut cependant difpofcr des fruits
8c revenus fur le confentement tacite de fà femme : h y potheque
de la femme pour la reftitution des paraphernaux;
elle a lieu du jour que le maria reçu les deniers,
ou du jour du contrat de mariage , quand elle eft ftipulée.
Quelques difuofitions de la coutume de Normandie, d’A u vergne
ôc de la Marche fur les paraphernaux. Ouvmges
à coiifulter. Ibid. b.
Paraphernaux , biens. V . 63. b.
PARAPHIMOSIS , ( Chir. ) maladie du prépuce. Etym.
de ce mot. Caufes de cette maladie. Comment fe fait la
réduftion du prépuce. XI. 920. a. Voyc^ Prépuce.
pARAPHi.MOSis , ( Maréch. ) maladie du cheval. Suppl.
111. 404. a.
PAR APH O N IE , ( Muftq.) confonnance qui réfulte de
la quinte 8c de la quarte. XL 920. b.
PAR APHRASE, ( Gramm. & Théolog.) Eloge donné par
Colomiès à la paraphrafe d’Erafmc fur le nouveau lefta-
ment. X L 920. b.
Parap/irajes Chaldaïques. La premiere qui eft duPenta-
teuque , a été faite par Onkclos le profelyre. La fécondé
du l'entateiique attribuée à Jonathan , fils d 'U z ie l, eft regardée
par les (avans comme fuppofée. La troifieme finie
Pentateuque eft le targiim de Jérufalera. XI. 920. b. Pa-
raphrafes fur d’autres livres de l’ancien teftament. De l’an-
tiquite de ces ouvrages. Les Juifs modernes ont fur-tout
en grande vénération la paraphrafe d’Onkelos. iéit/. 921.
Voyci^ Chaldaïque.
PARAPHRÉNÉSIE , ( Médec. ) Etym. du mot. Caufe
la plus ordinaire de cette maladie. Ses lymptômes. Quoique
l’inflammation du diaphragme foit regardée comme la caufe
la plus ordinaire de la paraphréncfie , plufieurs obfervations
démontrent que cette inflammation__peut avoir lieu fans pa-
rnphrcnéfie. X L 921. a. Il eft certam cependant que fouvent
le déliré eft la fuite d’une affeéliou du diaphragme , 8c
que fouvent des phrénéfies qu’on croit idiopathiques , dépendent
d’un vice de l’aéHon de l’eftomac 8c des inteftins.
Influence réciproque entre les vifccres abdominaux 8c le
cerveau. Comment on peut diftinguer par l’oblervation du
pouls la phrénéfie idiopathique d’avéc laparaphrénéfie. Ibid,
b. Prognoftic. Méthode curative. Ibid. 922. a.
P A R A SA N G E , ( Mefure iiin.) niefiire qui étoit fort en
tffage chez les Perfes. Etendue de cette mefure. La para-
fange fixée à 40 ftades, lorfque les Romains fe furent introduits
dans l’Orient. On fe fervit de cette mefure à
c a i l l e de la facilité d’évaluer les milles en parafanges, parce
qu’un parafaitge répond exaélement à cinq mille pas romains.
XL 921. U
T*AKASCHE , { Hifl. Judaïq.) portion du Pentateuque
gue les Juifs lifüient chaque jour du fafabat. Comment ils
Tome II.
P A R 377 divifcuent le Pentateuque. Leélure qu’ils fiibftituercnt ;i celle
des livres de Muifc , pendant la perfécution d’Anuoclnis.
Signfficaiion du mot parafehe. Nom qu’ils donnoieiit à cliaque
parafciic. XL 922, b.
{Phyfique. ) faiiffc lune. XL 922. /■ , Liym.
du mot. Divers exemples de oarafélcnes./éi.i'. g i - ; . l'oyez
Parhélie.
P A R A S IT E , {Anîiq. grecq. & rom.) i’offranclc faite aux
dieux des premiers fruits de la terre étoit appellee [>ar les
Grecs ohü , & le miniftre prepofé à les recevoir mafi. >■
Prefque tous les dieux avoient leurs parafiics. Les
Romains fiiivirenc l’iifage des Grecs par rapport à ces offrandes.
XI. 923. a. On ne donnoit à Rome cet emploi
quanx affranchis , ou à leurs enfans. Ces miniftres s’avilirent
en fe ménageant par de baffes flatteries l’entrée des
grandes maifons. iEfpece de gens à qui l’on donna enfuite le
nom de parajiies. Ibid. b.
Parafite , deux fortes de parafites que l’on diftinguoit à
Rome. X IV . 843. b. Efpece d’habit que portoient Ls parafites.
XVI. 37371
Parasites, {Botan.) Les niouffes comptées principalement
parmi ces forres de plantes. Leurs nombreiifes
efpeces. Outre les moiiffes , on met dans la famille des
parafites les lidiens 8c le guy. Quels font les plus pernicieux
de ces parafites. Remede contre ces plantes. XI.
923. b. '
Parafites, plantes ,X\\. j z r . b. Caufes qui les font naître
fur l’écorce des arbres. Suppl. I. 523. a. Maniéré de les
combattre. Suppl. IV, jy z .h .
Parasite , Coquillage , ( Conchyl. ) XI. 923. b.
_ PAR AT IT L E S , ( Jurifp. ) ce terme employé par Jiifti-
nien. Diverfité entre les inteipretcs fur le feus dans lequel
il faut l’entendre. X L 924. a. Utilité des pararitles. Ibid. b.
P A R A V E N T , vol. IX. des planch. Tapiftier, pl. 7.
PA R A Y -L E -M O N IA L , ( Géogr.) ville de France en
Bourgogne. Gens de lettres nés dans cette ville. Pierre Moreau
, fes voyages ; ouvrages qu'il a publiés. François
Vavalfeur , jéfuite. Obfervations fur fes ouvrages. XL b.
P A R A Z O N IU M ,{Artnumifm. ) Le commun des antiquaires
a entendu par là un poignard ou une courte épée
que l'on porte à la ceinture. XL 924. h. Cependant la figure
du bâton appcllé parat^onium , 8t la maniéré dont on
le t ient, ne dit rien moins que cela. D ’ailleurs on ne fait
de quel ufage feroit une pareille arme , s’il eft v r a i, comme
on le d it , que c’étoit une petite épée fans pointe. C e qu’il
y a de plus vraifemblable , c’eft que le parazonium des
médailles eft un bâton de commandement. Peut-être ce
mot défigne-t-il quelquefois dans les auteurs, le pugio ou
l’épée efpagnole. Ibid. 923. a.
P AR C , ( Architeél. mod. ) plants qui doivent dominer dans
un parc pour la retraite 8c la bonté du gibier. 11 y faut aiifli
de petits étangs, ou le paffage de quelques eaux. Autres
foins à prendre pour la nourriture des animaux renfermés
dans les parcs. XI. 925. b. Les parcs doivent être fpacieux
mais les travaux de l’art doivent en être bannis. Ibid. b. »
Parc. IL 297. a. Château d’eau dans un parc. III. 241. a.
Ufage qu’on y pourroit faire d'un courant d’eau. X IV .
433-
Pa r c de moutons , {Agricult.) paliffade mobile pour enfermer
les moutons qu’on mène paître eu été. On parque
pour engraiffer la terre. Ces paliffades font de grandes claies
de bois pofées contre des pieux , 8c foùtenuesen dehors par
des piquets. Maniéré de les faire 8c de les établir. XL 923. b.
Pourquoi il eft d’ufage d’établir deux parcs contigus l’un à
l’autre. Cabane des bergers lovfqu’ils parquent. Façons à
faire à la terre avant que d’y parquer. Saifoii en laquelle on
parque. Ibid. 926. a.
Parc de moutons, fon utilité pour les terres. V. 683. b.
Prés auxquels il convient. 687. a.
Pa r c , {A n ill.) lieux où font raffemblées toutes les pieces
de canon 8c munitions de guerre qui font à la fuite
d’une armée. Où le parc doit être placé lorfqu’il fort à faire
un fiege. Sa figure. Arrangement de l’artillerie 8c des munitions
dans un parc. XI. 926. *j. Garde du parc. Dirpofitloa
de cette garde. Pieces d’artillerie appellées pieces d'alarme.
Ibid. b.
Pa r c , ( M.irine ) lieu où les magafms font renfermés,
8c où l’on conftruit les vaiffeaux. Parc dans un vailTeau. X L
926. b.
Pa r c , ( Marais falans ) defeription 8c ufage de cette forte
de baffins. XL 936. b.
Pa r c , ( pêcherie ) différentes fortes de parcs.
926. b.
Parc de pierre. V . 302. a , b. Parcs de bois 8c de filets r
parcs de pierre. Vol. VIII. des planch. Pèche , pl. 7. Parcs
à verdir les huîtres, ibid, planch. 3. Parcs que font les
habitans des Moluques avec les branches du tallam. Suppl. I.
772. b.
Parcs , bas-parcs. Parçs faits de bois 8c de filets. Parcs aux
C C c c c
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