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fcrr pour tracer les arcs des fignes. Principes fur lefqiicls il
«■ il conAinit. Sa defcripiion & l'on ufage. X V I . 6^9./’.
T rigone, {^jholog.) T rine & T kipi.icité.
T rigone , ( Aiujîij. ) ancien infiniment. Suppl. IV. 977. a.
T R lG O N Ü A l£ T R lE , ( Clom. ) art de trouver les parties
inconnues d’iin triangle par le moyen de celles qu'on con-
noit. Etymologie du mot. La trigonométrie cfl de la plus
grande iiécelTité dans la pratique de la géométrie Se de l’ailro-
jiomie. XVI. 640. h. Principe fur lequel toute cette fcience
eil fondée. Obfervations fur la méthode de réfoudre tous
les problèmes trigonométrlqiies par le feul fecours des triangles
femblables , fans employer les finus ©u leurs logarithmes.
Métliode de trigonométrie développée dans les Infli-
tuùons Je gcomùrie , qui fe vendent chez de Bure l’ainé , à
Paris. Diflérentes maniérés dont on exprime le rapport des
fimis & des tangentes au rayon. Ufage de la trigonométrie
refliligne & de la fphérique. Difficultés de cette dernicre ,
applanie par M, 'W olf. IbiJ. 641. Principe fondainental de
la trigonométrie reéliligne. Principes de la fphérique , fui-
v.ant la doélriiic de “Wolf. Ibid. b.
Trigonométrie, explication des carafteres iifités dans cet
art. II. Ö49. a. Ufages du compas de proportion dans la trigonométrie.
III. 7^4. b. Opérations trigonomotriques , vüyfç
A ngle. Opérations trigonomètriques pour mefurer les dif-
tances Sc les hauteurs, ces mots. Solution de divers
problèmes trigonomécriques.XVI.6iî. n , é. & c. Infiniment
qui réduit la trigonométrie reéliligne à une fimple opération
méchanique. Suppl. II. 692. a , b. Ufage des baguettes logarith-
miquesdans la trigonométrie. Suppl. 111. 769.f1.Ouvrages crigo-
nométriqiics de Al. l’abbé de la Grive. Suppl. IV. 880. a , b.
& c . Des oiivr.iges fur la trigonométrie fphérique. X V . 45 a.
T R IG O N O N , {^Mufuj. des <j«c. ) in llnimcnt de mufique
des anciens. Son origine. Auteurs qui en ont parlé. Sa heure.
X V I. 642. b. 1 r à
TR IJUM E A U X , ( Anutom. ) nerfe de la cinquième paire,
ou nerfs innominés. Leur defeription. X V I . 642. a. Leur
divifion en nerf ophthalmique, nerf maxillaire fupérieur, &
nerf maxillaire inférieur. Ibid. 643. a.
_ TR ILL , ( Mußcj. ) voye^ Cadence. Différence entre le
pincé 6c le trill. Suppl.W. 375. u. Chaîne de trills.
II. 302. b.
TR IL LO , ( Mußq. ) en quoi confiftolt cet agrément. Suppl.
IV . 977. b.
TR ILO G IE , ^ Litiér. ^ affemblage de trois efpeces de
théâtre , que les poètes dramatiques chez les anciens étoient
obligés de préfemer, lorfqu’ils vouloient difpucer le prix de
la tragédie. Dans la Iiiite on ajouta une quatrième piece.
X V I . 643. b. — Toye:' TÉTRALOGIE.
T R IN A C IA , ou Tiracia , (Géogr. anc.) ville de Sicile.
Affaires des Trinaciens avec les Syraeufains. X V I. 643. b.
TRINE ajpeéî. ( Aßrolog.) voye^ T riCONE 6c T kipli-
CITÉ.
T R IN IT A IR E S , {I/lß.ecc/.) différentes fignificatious de
ce mot. X V I . 644. b.
T rimtaires , ( Jdiß. eccl.)c\x Muthurins , ordre religieux.
X VI. 644. b. Habit 6c voeu des trinitaires. Hifloire de cet
ordre. Ibid. 645. a,
T rinitaires dcchuux ou déchouffés, ( H ß . tccl.') réforme
de l’ordre des trinitaires. Hifloire de cette réforme.
X V I . 645. a.
T rinitaires , religieufcs , ( U ß . eccl. ) hifloire de ces re-
ligieufes, 6c des trinitaires déchaulTées. X V I. 646. b.
TR IN IT É , ( T/iéolog. ) Doélrine des catholiques fur le
dogme de la Trinité. La théologie enfeigne qu’il y a en
D ieu une effence , deux proceffions , trois perfbuues , quarre
relations, cinq notions, 6c la circuminceffion. L ’auteur
donne dans cet article une idée de chacun de ces points ,
qu'on trouvera d’ailleurs traités chacun fous fon titre particulier.
X V I . 643. b. Différentes maniérés donc les hérétiques
ont attaqué ce dogme, Sabellius ôc fes feélateurs, les
Spinofiftes 6c les Sociniens en ont nié la poffibilité 8c la
réalité. Ibid. 64J. a. Jean Philopoinis eft le premier qu’on
connoiffe avoit multiplié la nature divine dans les trois per-
fonnes de la fainte Trinité. Erreurs d'Arius, de Macédonius ,
6c des Grecs fur ce dogme. Défenfe du dogme de la T r inité
par les ortliodoxes. Ouvrages à confulter. Ibid. b.
Trinité. Obfervatloiis fur le mot perfonne ^ employé pour
exprimer lemyffere de la Trinité.XII. 43a. a , i . Exiflence
intime 6c mutuelle des perfonnes divines l’une en l’autre. III. 47t. a. Ce qu’on entend par miffion 6c relation dans les
perfonnes divines. X . 377. h. X IV . 63. a. D e la fécondé
perfonne d e là Trinité ou Verbe divin. XVII . 32. b. D e là
génération du Verbe. V II . 338. b. Proceffion du Fils 6c du
S. Efprit. XIII. 405. h. Qneflion agitée, fi dans le myffere
de la Trinité , la paternité a un caraélere réel 6c fpécifi-
que , ou fl c'eft une pure relation d’économie 6c de fubor-
dination. Doélrine des théologiens catlioliques fur ce fujet.
XII. 169. b. Sentiment d’Eufebe fur le myflere de la T r inité.
X V II . 771. b. Paffage du dofteiir W ithby fur ce même
fujet. X IV . 441. , b. Des héréfies fur la Trinité,
Anthrinitaires y Trithéifme, Subellinn/Jmc , 6’c. Doélrine des
Ariens fur ce dogme du chvilliainfmc. 1. 631. a. Celle dos
Sociniens. X V ll. 393. a , b. Commciit ils prétendent que
le dogme de la Trinité cil; une fuite du platonifme des pores
de rEg life .X lI, 732. é.
Trinité philofophiquc : on entend par ce terme les divers
femimens répandus dans l’antiquité fur une Trinité d'hypof-
lafes dans la divinité. Obfervations qui prouvent que plu-
fieurs philofophes 6c même divers peuples païens ont eu
quelque notion de la Trinité. XVI. 647. b. Conjcdluvcs fur
la maniéré dont cette doélrine a pris naiffance dans le monde.
Explication de la maniéré dont les Pythagoriciens 6c les
Platoniciens la concevolent. Hypoflafes de Platon. Ibid. 648.
a. Les peres de la primitive églife jullifiés de raccufaiion qui
leur a été faite d’avoir puiléclans le platonifme leur dogme de
laTrinité. Doélrine des orthodoxes i'ur cette mutiere. W/t/, é.
Trinité philofophique : c’efl fans fondement que quelques
doreurs chrétiens ont prétendu trouver le dogme de la
Trinité enfeigné dans la cabale. II. 482. é. 483. b. Efpece
de Trinité reconnue par les Indiens. VIII. 643. n. Trinité
des Platoniciens, voyeg^ Platonisme.
T rinité, (Té/e de U très-fainte) hifloire de PinfUtutioa
de cette fête. X V I. 649. a.
T rinité, ) témérité d’entreprendre d’expliquer
ce dogme.' Chilpcric I voulut donner un édit pour défendre
de fé fervir du terme de trinité, 6c de celui de per^
ßonne, en parlant de Dieu. X V I . 649. a.
T rinité, {Critiq. fuer.) obfervations fur le pnfTage des
trois témoins, contenu J e a i il, chap. V , -jJ-. 7. XVI. 34. b,
XV II . 399. b.
Trinité y fraternité ou confrairie de la ßalnre , fociélé infli-
tuée à Rome eu 1 348. But de cette inflituiion. Devoirs que
rempliffent ceux qui compofem cette fociéié. Hifloire de cette
confrairie. X V I . 649. a.
TRINITÉ créée, filles de la ,{ Hiß. des ordr. re/ig.') nom des
religieufes de la fociécé de S. Jofeph, établies à la Rochelle.
Hiiloire de cet établiffenient. X V I . 649. b.
T rinité , maifon de U y ( H ß . mod. d’A n g l.) célébré
confrairie de gens de me r, à qui pluficuis articles de polies
ont été confiés, concernant la navigation des côtes 6c des
rivières, 6c particuliérement ce qui regarde le lamanage 6c
le leflage des navires. Hifloire de cette compagnie. Droits
qui lui ont été attribués. Comment elle efl compofée 6c goii-
veruée. X V I . 649. b. Hôpitaux qu’elle polfecle. Cl’.arités
qu’elle fait à un grand nombre de matelots , de gens cîe mer ,
6c de veuves. Sources d’où fortent les fonds qui la mettent
en état de faire ces libéralités. Les Anglois ne prononcent
point fon nom fans l ’accompagner de l’cpitliete d’éminente.
Ibid. 630. a.
T rinité, ß e de la ,(^Géogr.) 1°. iflc de l’Amérique équinoxiale.
Sa figure 8c fon étendue. Produélions du pays. X V I .
630. a. Mifere de fes habitans. 2°. Iflc de l’Amérique méridionale.
Son étendue. Mauvaife qualité de l’air de cette lûs.lbid. é.
T rinité , /<ï , ( Géogr. ) deux villes de ce nom dans l’Amérique
méridionale. Autre ville de même nom dans l'ifle de
Cuba. XVI. 630. b.
TR IN O B AN T E S , ( Géogr. anc. ) peuple de la Grande-
Bretagne. Affaires de ces peuples avec Céfar. X V I . 630. b.
T R IO , ( ) cette efpece de compofition pafPe pour
la plus excellente , 6c doit auffi être la plus reguliere de toutes.
Réglés du trio. X V I . 6 3 1. »7.
TR IO L E T , ( Poéfie franc. ) réglés de cette forte de pièce.
Exemples de deux triolets. X V I. 631.^.
T R IOM PH A L E , cû/onne, {Archit.) colonne élevée ca
l’honneur d'un héros, 8c dont les joints étoient cachés par
autant de couronnes qu’il avoit fait d’expéditions militaires.
Noms particuliers de chacune de ces couronnes, félon fa
forme , 6c le genre d’exploit dont elle étoit la récompenfe.
X V I . 631. é.
T riomphale, pierre , f^Littér.) pierre où les noms de
ceux qui avoient mérité l’honneur du triomphe étoient marqués.
Divers faits ou événemens que les anciens faifoienr
graver fur la pierre. X V I . 632. a.
Triomphal, couronne triomphale, IV . 394. a. robe triomphale,
'VIll. 13. b. XIV. 309. b. X V I . 369. b. pont triompluil
dans Rome. XIII. 7 1 . a.
TR IOM PH E , {H ß .r om .) Origine des triomphes. Etymologie
du mot triomphe. Aucun général ne pouvoir prétendre
au triomphe , qu’il n’eût éloigné les limites de l'entpire ,
8c tué au moins 3000 ennemis dans une bataille , fans perte
confidérable des fiens. Mais dans la fuite, l'honneur du triomphe
fut accordé à l’intrigue 8c à Ja fiéfion. XVI, 632. a. Il
falloir encore que le général eût les aufpices, 6c que la
guerre fût légitime 6c étrangère. Honneur du triomphe naval
accordé pour la première fois à C . Duillius. Lorfqu’il n’y
eut d’autre chef que l'empereur, les honneurs du triomphe
furent réfervés à lui feul. Et ce fut Agrippa , gendre d’Aii-
guffe , qui le premier renonça à cet honneur j préférant les
bûzines
bonnes graces d'Augufle à tous les triomphes. Mn'is en privatif
les p.irtlcuhci'j de cette pompe, on continua de leur
accorder les dillmélions, qui de tout tems en avoient été la
fuite. Le dernier des citoyens qui foie entré dans Rome en
triomphe, efl Cornélius Balbus, proconful d'A friq u e , qui
triompha en 733. Ibid. b. Tiiomphe fur le mont A lba in,
htrfqii'il manquoit au général quelque condition nécelTaire.
Lorf.juc les avantages remportés fur l’ennemi ne mériiolent
pas l- grand triomphe, on accordoic au général le petit ,
nommé ovation. On le déceriioit même quelquefois à ceux
qui n’étant c'iargés d’aucune magiffrature , rcndoieiu à l’état
dos lei'viccs fignalés. Ovation d’Anlus Plautiiis , fous l’empereur
Claude. On jugeote de la gloire d’un généra! par la
quantité de l’or 6c de l’argent qu’on portoit à fon triomphe.
Defeription de la cérémonie du triomphe. Ibid. 633. a. Ob-
fervjcions fur Tufage de chanter des vers libres, 6c fouveiu
fatyriques contre le général même. Autres ufages qui fe
pratiquoient pour que le triomphateur ne s’enorgueillit pas de
la pompe de fon triomphe. Ibid. b. Defeription des triomphes
de C é fa r , après la prife d’Utique, 6c de.s jeux qui furent
célébrés à la fuite de ces brillantes cérémonies. Ibid. 634. a.
Defeription du triomphe d’Augufle , après fes viéloires
d’Aélium 8c d’Alexandrie. Ibid. b. Jeux qui fuccéderent à
cotte fête. Depuis A u gu fle , riionncur du triomphe devint
un apanage de la fouverainecé. Il femble que les guerres
d'ii-préfent foient faites dans l’obfcurité, en comparail'on de
toute cette g'oirc ancienne, 6c de tout cet honneur qui re-
jailllffoit autrefois fur les gens de guerre. Ibid. 633. a.
Triomphe. Defeription que donne Plutarque du triomphe
de Marcellus , ap^ês qu’il eut défait les Gaulois. XI. 303. b.
306. a. En quel tems les généraux conituenccreiu à s'arroger
le triomphe fans le demander au fén.it. VII. 330. é. L’honneur
du triomphe accordé à qu-lques proconluls. XUl.
408. b. Cet honneur ne fut plus fous Augufle qu'un privilege
de !a fouveraineté. X IV . 334. b. Chars de triomphe, lil.
1S4. a. X V I. Ö33. b. Paroles qu’on prononçoit quand le
tiiomphat. ur momoit fur fon char. i l l . 184. a. Robe dont il
étoit revêtu. VHI. 13. b. X IV . 309. b. X V I . 369. b. Il y eut
des occafions où le triomphateur étoit porté par les prêtres
Mième. V I . 306. b. Acclamations ufiiées dans ces cérémonies.
I. 73. a. Le laurier employé pour orner le triomphateur. IX.
320. b. Ufage de la trompette dans les trioniphes. XVI, 693.
a. Brancard fur lequel on portoit les vales précieux. VI.
506. a y h. Trophées qui ornoient les triomphes. X V I . 704.
b. Arc de triomplie, voye^ A rC. Cérémonie du petit triomphe.
XI. 699. b. — Foye^ T uIO.MPHAL.
T r iom ph e , arc de , de Confitamm , ( H ß . anc. &• mud. )
C e t arc n'efl autre choie que le monu nenc de Trajan dégni-
fé. Caraéleres particuliers qui, chez le.s anciens, diftinguoienc
chaque arc de triomphe, 6c en faiiolent par-là des uionu-
mens hiûoriques. On mttnqua à cccio regle dans iaconflruc-
tion de l’arc de CoiUriantin. X V I. 633. é. Poye^ A rc.
T riomphe , ch.tr de, ( A^ùq. rom ) ce char étoit d’ivoire
de forme ronde , 6c doré dans le haut. X V I. 635. b.
l'oyeg_ Char.
'Tr io m p h e , { H ß . mod.) defeription de nos chars de
triomphe. III. 184. a. Réceptions fo'.vmnelles qu'on fait aux
rois , lorfqu’ils reviennent tnomphans de quelque expédition.
,V. 730. a ,b.
"Tr iom phe , jeu de la , { Jeux ) defeription de la maniéré
dont on le joue à Paris, 6c de deux autres façons de le jouer.
X V I . 636. U, b.
T R IP L E , {Mafia.) forte de mefure. Les mefures triples
réduites à deux clafYes générales ; favoir la mefure ternaire
ou à trois tems, 6c la mefure à deux tems ou binaire, dont
les tems font divifés felon la raifon fous-triple. Nos anciens
inuficlens donnoient à la mefure à trois tems le nom de mode
parfait. Comment fe formoient les cems de la mefure triple,
Subdivifion de.ces tems. XVI, 637. b. Différentes efpcccs de
mefures à trois tems, en ufage chez les modernes. Ibid.
€38. a.
T riple, {M u ß q .) obfervatlon fur quelques notes des
anciennes pieces de mufique , dont la mefure eff ternaire.
Suppl. IV. 977. a.
T riple droit, ( Jurifpr. ) XVI. 658. a.
T riple nécefué , {H ß . d'Angl. ) X V I . 658. a,
T R iP L IC l tÉ , ou trigone, { Aßrolog.) différence entre
-triplicité 8c trine afpcél. Signes de iriplicitè. XVI, 638. b.
TR IPOD JSQ UE ,/«, ( Géogr. uhc. ) village dans la Grece ,
fur le mont Geranien , avec un temple dédié à Apollon. Evénement
qui donna lieu à la fondation de ce temple 6c de ce
village. X V I . 638. b.
t r ip o l i , terre J e , ( Minéralog. ) caraéleres de cette terre.
Origine de fon nom. Ses ufages dans les arts 6c métiers.
X'V I. 638. b. Expériences chymiqiics fur cette terre. Ibid.
639. U.
T ripoli , état de, ( Géogr. ) fes bornes 8c fa divifion géographique.
Obfervations fur les femmes de ce pays. Commerce
6c pirateries d?S kabitans, X V I , 639. a.
Tome U.
T ripoli, ( Gt'o^r. ) ville d’Afrique. Tripoli a le titre de
royaume faiis en éne un Onguie >ic lô;i nom. Hifioire de
cette ville. X V I . 639, a. Son gouvernement. Qualité du terroir.
Etoffes qu’on y fabrique. Ibal. b.
Tripoli. Üblcrvations fur le boinbanlaincnt de cette ville
en 1728. Suppl. 111, 171. a.
T ripoli , ( Géogr. ) ville d’Afic dans la Syrie. Scs fortifications.
Ses habit.ms. Son commerce. Ancienneté de ceitc
ville. Origine de Ibn nom. Médailles de Tripoli. X V I ,
659. J.
T r ipo l i , {Géogr.) village d’Afie dans la Natolic. X V L
'RIPOLÏS, {Géogr. anc.) i ” . contrée du Pélopoiinefe
dans l’Aicndie ; 2°. contrée ou ville du Péloponnefc d.ms U
Laconie; 3“. contrée de la ThclTalie ; 4'. ville de l’Aile
mineure fur le Mcaudre ; 3 '. lieu forulié dans le Pont. X V I .
659. i.
T R tP O L lT A IN E , U , ( Géogr. anc. ) contrée d’Afrique
fur la côte de la mer Méditerranée. XVI, 660. a.
TR IFOL IUM , ( Bot.in.) genre de plante. Jé)efcriptlon du
tripnliiini. X V I . 660. a.
TR IPOS , ( Mußq. inßr. Antiq. ) defeription de CCC ùifiru-
ment. Suppl. IV. 977. b.
T R IP O T , ( ) lieu où l’on s’exerce à jouer à la
paume. Sa defeription. X ’V I. 660. a.
TR IPTO LEM E , ( Mytholog.) fils de Ccleus £c de Nérea,
ou deMétanire, 6c nnnillre de Gérés. Fable de Triptoienic.
Son explication. — Serpens attelés au char de Tripiolemc.
XVI. 660. b. f'oyr? Serpent, ( Mytholog. ).
TR IP YR G A y { Géogr. ) lac marécageux , environ à une
lieue d'A thenes , autrefois Ph.ilara:apalus. Origine du nom
moderne de ce lac. Son étendue. X V I. 66 i. a.
TR IR ÈM E , ( Unir. ) galere qui avoit do chaque côté
trois hommes fur chaque rame. Oijfervatious contre le fyf-
teme de ceux qui croient que les trirèmes étoient compofées
de trois étage* de rames les uns fur les autres. Rameurs employés
dans ces galères. X V I . 661. a. V o y ez Thranuce , Tha-
lamitcz , 6l Zigiia.
Trirèmes des anciens. Ouvragesà confulter fur cette matière
h. 239. É,
TR ISA C R AM EN T A IR E S , {H iß . cccl.) feeff.-s de rcli-
glonnaires ou proteffans qui admettent trois f.acrcmons. Les
Anglois conlidérés comme trifacr.inicniaircs.éÀ'Jl. 661. b.
T R IS A G IO N , {H ß . c c c L ) hymnes où le nom de/ùi/tt
eft répété tro'is fols. Addition que Pierre le Foulon fit an
trifagion , mais qui fut rejettéc comme autorifant les erreurs
des patripaflisns. Evénement miraculeux qui donna lieu i
rincrodii'ftion du trifagion àCom'laminople. X V I. 661. b.
T R IS E C T IO N , {Géom. & Algcbr.) de la trifeftion géométrique
des angles. C e problème, tel que les anciens le
propofoleiit, n’a point encore été réfolit. Sa folution dépcncl
d’une équation du troifieme degré. Ouvrages à confulter.
X V I . 662. a. Si on divifoit un arc en quatre parties, 011
trouveroit une équation du quatrième degré. Principe fur
lequel la démonftrauon générale de ces problèmes eft fondée,
Ibid. b.
TR ÎSMEGISTE , ( H ß . anc. ) quel eft celui des deux
FIcrmès ou Mercures, rois de Thebes , en E g yp te , à qui ce
furnom a été donné. Pourquoi il a été nommé Trifmegiftc.
XVI. 662, b. Voyei Hermès Sl Mercure.
T rismegiste , ( Fond. Je car.iH. d'Impr. ) proportion de ce
caraélere. C'eft le iieur Fournier le jeune, qui le premier en
a fait un corps dans l’Imprimerie. XVI. 662. b. J'oye- Ca ractère.
T R ISO L YM P IO N IQ U E ,(////?. athlète qui avoit
remporté trois fois le prix aux jeux olympiques. Etymologie
du mot. Récompenfes 6c marques d’honneur qu’on accordoit
à ces athletes. X V I . 662. b. J'dyei O lympionique,
T R îSSIN , ( Jean-George le ) favant littérateur & poëüs
italien, XII. 820. a. XVII . 236. h.
T R IS T A N , ( François ) poète. XV. 40Ô. h.
T R IS T E , l'arbre, {Botan.) arbre du Malabar. Origine
de fon nom. Sa defeription. X V L 665. b.
T ristes , ( Litiér.u. ) ouvrage d’Ovide. V . 4SÔ. a.
TR ISTE S SE , ( Morale ) téSexions de Cicéron 6c de Montaigne
contre cette paffion. X \ 'l. 663. a.
frißefii : en quoi elle différé de l’aiftiélion , de la douleur,
du chagrin , &c. V. 82. b. Réflexions fur la joie 6c la trifteiTe.
XII. 144. a. Cette paffion pernideufe à la famé. VIII.
386. b.
TR ITÆ OPH Y ES , ( Lc.xicog. méJic. ) étymologie de cc
mot. Sorte de rievre tierce. X V L 663. j . Foyeç FlEVRE.
VI. 740.
T R IT E , (Mußq. ) troifieme corde du técracorde , etl
comptant de l'aigu au grave. Ce nom n’étoit en ufage que
dans les trois léiracordes fiipérieurs. Explication que Boéce
donne de ce nom 6c de fon ufage. X V I . 663. a.
TR ITÉ E , ( Géogr. ) ville du Péloponnefe , dans l'Acha'ïc
propre, Moiuimqnt décrit par Paufanias , qui fe voit avant
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