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fcmc dnns une péniniere. Qualité du terrcîu propre cet
tifare. M I. 3-0- Quelle d l la meilleure cxpofition dune
péi>inicre. De l’étendue ciu’ellc doit avoir. //>id. b. Maniéré
d'en diArlbucr le terrein. Ddlinatiou de cjiacune de fes
parties. Obfcrvations üir le canton dcAiné .nu femis. D étails
Air le tems de lémcr & Air tous les A>ins qui doivent
précéder & Aiivre cette opération. a. Des
pêchers & des abricotiers que l’on fait venir de noyau.
Place qu’ils doivent occuper. Choix des Aijets propres h les
greffer. l é U b. Tems & manière de planter ces fujers. A qucl
tige on doit greffer les pêchers , abricotiers ik amandiers ,
ék les retirer de la pépinière. Choi.x des amandes pour for-
oner des liijets propres à la greffe. Sorte de greffe qui con-
vient à ces arbres. Détails femblable^ au.x précédens, lur les
ccriAcvs & les pruniers , Air les poiriers,/p/V. 332. u. & les
pommiers. Air les noyers, châtaigniers & autres arbres de
•ce genre , Air le mûrier blanc. Ibid. b. Elpece de mûrier qui
donne la meilleure feuille pour les vers & pour la foie. Inconvénient
à avoir des mùrieis grcAes. Détails lur la cul-
■ ciire en pépinière, de l’orme, du t illeu l, du niarronnier-
d'Inde , du peuplier , & c . Ib:d. 323. a. Culture Ck conduite
des arbres étrangers, des arbrilTeaux qu’on recherche par cu-
riofité , des arbres toujours v cvd s , & enfin des arbres io-
reAiers. Culture néceffaire à la pépinière. Ibid. b.
PépiMHRE , ( y/gric. ) les arbres forcAîci's , les
arbres de décoration , ne réulTiront parfaitement que lorf-
•qu’ils auront été élevés dans un fonds de terre analogue à
celui oii l'on fe propofe de les lixer. Avantages de l’établiffc-
ment d’une pépinière pour les arbres fruitiers. Suppl. IV.
292. ,i. l^our ceux qui font deAinés h l’ornement ou à tout
autre ufage. Los foins que les pépinières & les plantations
demandent, ft'umiüent à une foule de pauvres liabitansdcs
campasnes une des occupations les plus avanrageufes. Ibid. b.
Petites~pcpimeres qu'on appelle nourrices ou berceaux , oii
pliiAeiirs efpcces d’arbres délicats ik précieux doivent recevoir
leur première éducation. Traiifplantanon qu’on en fait
au bout d’im ou de deux ans dans les pépinières. Autre cf-
pece de terrein appelle b.itardiere, également deAiné à la
culture des jeunes arbres. Ibid. 293, ,i. Détails fur l’éta-
blilTement des pépinières. Ibid. b. Sur le tems de trnni-
plantcr les jeunes fujet-s des l'cmis dans la pépinière, l’àge
qu’ils doivent avoir , les diAanccs qu’il huit leur donner ,
v û jq P l a n t a t io n . Soins qu’exigent les plantes en pépinières
, félon leurs différentes cfpeces. Principales précautions
à prendre pour ne p='S confondre ces efpeces dans la greffe.
Ibid. 29^, ,2. Du loin de replanter les carreaux dégarnis
par la traiirplantation. Oblervations Air rétabliffcmeiit
di^s pépinières royales. Ibid. b. Comment clics pourroicnc
devenir véritablement utiles. Ibid. 296.
Pcpiv.iere , de la maniéré de femer en pepinierc. XIV.
.2, b. D e ia plantation en pépinière. Suppl, i l. 29. a.
DiAance à lac|uelle les poiriers doivent être plantés en pépi-
piore. Suppl. IV. 4^7. A Taille des arbres en pépinière. X V .
S34. A, b.
J^ÉPITES, {MinérJog.) d’or vierge que l’on trouve
dans quelques mines de l’Amérique. Poids de ces maffes.
Les plus greffes dont les Efpagnols coni'crvcnt la mémoire.
X II. 324. a.
Pépites, o\\ en trouve quelquefois clans les terres qui contiennent
de l’o r , XI. 522. a. & dans les fables de certains
Aeiives. 748. b.
PLPLUS minor, {Bot.') efpcce de tlthyinalc ; fa deferip-
tion. Ufage de fon lait. XII. 324. u.
Pl p lu s , {Aniiq. rom. ) maiKuau de femme ou de déeffe.
Comment il s’attachoit. Le nom de voile fut donné aux pe-
pli confacrés au.x divinités céleAcs, Si. le ciel a été appelle
peplos. Ces manteaux croient quelquefois retrouffés. Homere
cité Air le pcplus de Vénus Si fur celui de Minerve. XII.
324. a. Les pepii furent atiffi donnés aux dieux & aux hom-
jues. Etoffe Si couleur de ces manteaux. Le mot de pcplus
employé quelquefois pour figniher un drap mortuaire. Eloge
du fameux brodeur Acéfée , qui At le peplus de la Minerve
des Athéniens. Ibid. b.
Pcplus ou péplum , habit extérieur des anciens. I. 3 59. b.
Peplus de Minerve, ( Liit. ) fa dcfcription. Cérémonies en
ThonneurdecevoUe. Ces cérémonies imitées par les dames
romaines. XII. 324. b.
Peplus , il eA parlé de ce voile de Minerve. XI. 810. b.
PEP S IE, terme de médecine chez les anciens. III. ^64.
b. 6^8. J.
PEPUZIENS, forte d’hérétiques. Origine de
leurs erreurs. XIL 325. u.
PÉQÜIGN Y , {Géogr. ) bourg de France en Picardie. Evénement
qui le rend remarquable. Oblervation fur les ouvrages
de Bernardin de Pcquigny. XII. 323. a.
PéquiGNY, {Géogr.) camp de Céfar dont on volt des
traces fur le Ibmmet d’une éminence qui eA à une derni-
lieue de ce bourg. Légions qu’il avoir clans les contrées voi-
lînes,dont il avoir fait le centre à Amiens. Éviuemeut qui
P E R
a rendu remarquable le pont de Péqulgny. Médailles antiques
trouvées fur le terrein du camp dont on vient de parler.
Suppl. IV . 296. <2. Chapitre de S. Martin de Péquigny. Lesbiens
de la maifon de Péquigny fondus dans celle d’Albert. Les barons
de Péquigny déclarés vaflaux d c l’évéqiie d’Amiens. Ibid. b.
PER , particule prépofitive en Françoi.s. XII. 102. a.
FERA , {Géogr.) tribut que paient au grand - feignciir
les chrétiens de Péra. III. 183. a.
P É R A G R A T IO N , ( Comput) mois de péragratloii ou périodique
de la lune. En quoi il différé du mois fyuodique.
XII. 325. U.
PERCE, {Luth.) outil des faAcurs de imifecte. Perce-à-
main. Pcrce-boiirdon. XII. 323. b.
PERCE-FEUILLE, ( Bot. ) deux efpeces principales de ce
nom. Dcfcription de la perce-feuille vivace & <lc la perce-
feuille annuelle. Leurs propriétés médicinales. XII. 32^. b.
PEllCE-MOSSE, { B o t . ) eTpcce de capillaire. Sa def-
cription. XII. b.
PERCE-NEIGE, ( Bot. ) caraélcrcs de ce genre de plante.
XII. 326. U.
Perce-neige: {Mut.tnéd.) fon oignon cA im émetiqua,
doux. XII. 326. U.
PERCE-ÜREILLE, ( /«yé<,7o/. ) infefte coléoptère, félon
M. Liiinatus. Dcfcription de deux efpeces diAinguées par ce
nauiraliAo. XII. 32b. a.
Pcrce-oreHL-, dp cce de poux auxquels cet infeéle eA fu-
- jet. XVÎI . 810. b.
PERCE-PIERRE , ( Bot. ) autres noms de cette plante;
Sa defeription. Lieux où elle croit. XII. 326. u.
Perce-pierre ou fenouil m.irin , ( Dlac & Mut. rnédic. )
Différens affaifonnemens auxquels on l’emploie. Ses propriétés.
X ll. 326. a. Foyei Passe-pierre.
Perce-pierre , {Ichthyol.) poiffon de mer. Eh quoi il
différé de la coquillardc. Sa dcfcription. XIL 326. b.
PERCÉ , ( Bltjfon ) la forme d’un trou dont une piece eft
percée doit s’exprimer dans le blafon. Comment cela s’exprime.
Tout ce qui eft percé doit toujours être de la couleur
du champ ou de l’ècu. XII. 326. b.
PER C EM EN T , { Archit. ) percement d’un m ur, 6cc. XII.
3- 7-
Percement, ( Minéral.) galerie qui part du centre d’une
montagne, & va fe terminer en pente à la furfacc de la
terre ou dans un vallon , pour écouler les eaux. XII. 327. a.
P E R C E P T IO N , { Mét.-,p/iyf.) la premiere operation de
l’entendement, c’eft d'appcrcevolr. Mais ce premier degré
de connoiffance doit avoir plus ou moins d’étendue, feloo
qu’on cA organifé pour recevoir plus ou moins de fenfa-
tions différentes. Nos recherches font quelquefois d’autant
plus difficiles , que leur objet eA plus Ample ; les perception?
en font un exemple. Examen de la qucllion A l’ame prend
connoiffance de toutes celles qu’elle éprouve. XII. 237. *2.
Entre plufier.rs perceptions , il nous arrive fouvent d’avoir
plus confcience des unes que des autres. Plus même I»
confciencc des unes atigmcnte , plus celle dos autres diminue.
Ibid. b. Nous avons toujours confcience des imprcAions qui
fe four dans l’ame, mais quelquefois d’une maniéré A légère
, qu’un moment après, nous ne nous en fouvenons plus.
Pourquoi le tems nous paroît quelquefois s’etre écoulé avec
une vîteffe étonnante. Quelquefois nous oublions toutes nos
perceptions, lorfque nous n’avons Axé notre attention fur
aucune. Ibid. 328. U.
Perception, voye^ FACULTÉ , APPRÉHENSION. Différence
entre perception, penféc , opération , fenfation , confcience,
id é e , Sl notion. XII. 308. b. Des moyens par iefqiicls l’a-
me a la perception des objets. X V , 24. u , b. i-ir. Caufe
méchaniqiie des perceptions de notre intelleél. 31. Z». Selon
le P. Malcbranche , toutes les operations de l’amc fo ramènent
à des perceptions. XIII. 777. a. Nos perceptions de
plaifir 8c de douleur ne dépendent pas de notre volonté. X V .
24. b. Obfcurité dans la perception. XI. 309. b. La faculté
de percevoir diAinguée en infévieure ik en fupérieure. V I .
362. b De la faculté de rappcller nos perceptions. X. 327. b.
PERCER , ( Arts méchaniq. ) Voyc^ FoKER.
P E R CH E , ( Ichthyol. ) defeription de la jicrclic d’eau-
doucc. Qii.alité de fa chair. XII. 328. b. Defeription de la
perche de mer. Qualité de f.i chair. Ibid. 329. a.
Perche, {Arpent.) longueur de la perche des anciens
Romains, de celle d’Angleterre , & de celle de Paris. Perche
d’arpcntcur, defeription de cet inArumciit. X II. 329. a. V o y ez
Petcucu, 8c mefure des terres.
Perche, ([ni l'ert de mefure à Milan. Suppl. I. 366. b.
Perche métallique, ( Mines) defeription de cette mefure.
V i l . 638. b.
Perche, U , {Géogr.) province de France. Ses bornes.
Origine de fon nom. Réunion de cette province à la cou-
lonne. Trois diocefes auxquels elle appartient. Ses lieux principaux.
XII. 329. a. Obfervations fur Jacques de Lorens,
poète qui naquit dans le PercIic.Epitiiaplie qu’il 6c de fa fem-
! me. ibid. b.
P E R
V£VxCni.,coldela,{Géogr.)[>;iff3gQdc France en Efpagnc.
XII. 329. b.
PkrCHE , {Archit. gothiq.) XII. 329. b.
Perche, {Lainage.) X II. 329. b.
Perche de liffes , ( Naute-lijj. ) XII. 329. b.
Perche, {J .n d in .)X U . 329. b.
Perche, (Cum/K. de éuA. ) XII. 329. b.
Perche d'avaLins. XII. 329. b.
Perches à l’ufage des teinturiers S: blauchiffcurs d’étoffes.
XII- 3 ^9-
Perche, ( Tourneur) dcfcription Sc ufage de cette partie
apjjarteiiantc au tour du tourneur. XII. 329. b.
Perche, {Chajfe) tigs du bois du cerf. XIL 330. a.
PERCHET , {Pierre) chirurgien. Suppl. IV . 764. b.
PERCUNUS , ( Idoldt. ) faux dieu des anciens Pruffiens.
Culte qu’ils lui rendoient, A l’on en croit Hartfnock. XII.
330. b.
PERCUSSION , ( Phyfiq. ) pcrcuAîon direélc : pereuffion
oblique. D u rapport de la pefantcur à celle de la pereuffion.
XII. 330. b. Examen de la qucAion, A les loix de la pereuffion
des corps, telles que nous les obfervons , font des
loix néceffaires , tellen.ent qu’il n’eût pas pu y en avoir
d’autres. Cette queAion fe réduit à favoir A les loix de l’équilibre
font néceffaires. O r A les mouvemens ne peuvent fe
détruire que quand ils ont un certain rapport, par exemple ,
quand les malles font en raifon inverfe des vîteffes, il n’y
aura qu’une loi poffiblc d’équilibre, parconfeqiiciu qu'une
maniéré de déterminer les loix de la pereuffion. RéAexion
qui peut répandre quelque jour fur cette queAion très-difficile
à réfoudre. lb id .) t,t. a. Premiers auteurs qui ont donné
d’une maniéré exaêle des loix de la pereuffion. Des loix de la
pereuffion dans les corps fuppofés parfaitement durs. Selon M.
Jean Bernoulli , il eft abfurde de vouloir chercher 8c donner
ces loix , parce qu’il ne peut y avoir de corps de cette
efpece. Obfervations fur le Icntiment de ce géomètre. Ibid,
b. Formules dont il faut fe fervir pour trouver le mouvement
que doivent avoir après le choc • deux maffes qui fe frappent,
en feus contraires , avec des vitcA'es connues. Loix de ia
pereuffion dans les corps fans reffort. Ibid. 3 3 2. æ , Loix de I.1
pereuffion pour les corps élaftiques. Ibid. 333. a. D-éAnition
du centre de pereuffion. Traite à confulter fur les loix de La
pereuffion des corps irréguliers,élaftiques ou non. Ibid. 334. é.
PercuJJîon, voyez Impulsion , Com.munication du
mouvement , D ynamique. Loix du centre de pereuffion.
II. 826. b.
Percussion , ( Chir. ) effets de la pereuffion, voye^ Commotion
, C ontre-coup , Meurtris.suke, Fracture,
Plaie.
P ERD IC C A S , {Hijl. anc.) lieutenant d’Alexandre, affocié
à la gloire de fes conquêtes. HiAoire de cet homme célébré ,
auffi adroit ccmrtifan que brave guerrier. Suppl. IV. 296. b,
P E R D O T , {Emmanuel) phyuologiAe. Suppl. IV. 363. a.
P ERD O T T E , ( Idolât. ) faux dieu des anciens Pruffiens,
A l’on en veut croire HarAnock. XII. 335. a. Voye^ Per-
CÜNUS.
P ERDREAUX , ( ) defeription du mortier par le
moyen duquel on jette en l’air, la bombe & les grenades ,
qui prennent alors le noms de perdreaux. XII. 333.12.
PERDRIX , ( Orniih.) fyftème de quelques ornithologlftcs
fur la claffiAcation de cet oifean. Caradere des perdrix qui
les fair mettre au rang des gallinacés. Leurs moeurs, Suppl. IV.
207. a.
Perdrix , perdrix grife , gringeitc , goachc ou griéchc.
{Orniih.) dcfcription de cet oifcau.XII. -533, a. Variétés dans
cette efpece p.ar rapport aux couleurs. Fécondité de la fe-
inelle. Ibid. b.
Perdrix de la nouvelle Angleterre. Dcfcription. XII. 33^. b.
Perdrix blanche, arbenne, ou gélinote blanche. Defeription.
XII. 333. b. Voye:^ A rbenne.
Perdrix du Bréjil. Defeription. XII. 333. b.
Perdrix de la Chine. X ll. 336. a.
Perdrix de Damas , ou de Syrie. XII. 3 36. a.
Perdrix de la Guiane. Defeription de ces trois efpeces. X I I .
336.
Perdrix rouge. XII. 336. b.
Perdrix rouge de Barbarie, Deferiptions de ces deux efpeces.
XII. 336. b.
Perdrix du Sénégal. Defeription. XIL 337 it.
Perdrix , nat, ) perdrix de montagne ; perdrix du
Mexique, voy«^ O co coL iN . Tendreffe maternelle de ces
oifeaux. VIII. 799. b. InduArie de la perdrix à faire fon nid. 799- et. Effets des yeux d’un chien couchant Air ta perdrix.
IX. 94^. a. Abondance des perdrix dans l’ffie de NanAo , XL
*2. ê. Sl dans celle d’OEnopie ou d Angia , 402. a.
Perdrix , ( Chajfc , ) la perdrix grife 6c la perdrix rouge,
ne le mêlent point enfcmble. Efpece d’amour fans accouplement
qu on obfei-ve quelquefois entre ces deux efpeces.
Leur nourriture. HiAoire naturelle des perdrix grifes, XIL
337. a. §c des perdrix rouges. Maniéré de les chaffer, Ibid, b.
P E R 415
Perdrix , manière de tiraffer les perdrix. XVI. 340. b-'
Chaffe des perdrix à la tombcrclle. 402. a. Maniéré de les
prendre au trébuchet. 573. a. Chaffe du vol pour la perdrix.
XV II . 441. t.Cliaffc des perdrix à la tonnelle murée, vol. III.
des planch. Chaffe, pl. i i .A t i Alet Se à la chanterelle, pl.
13. Chaffe de nuit, pl. 14. Chaffe des perdrix à la tonnelle,
pl. 22.
Perdrix, {Econom. rußiq.) maniéré d’élever les perdrix
rouges 6c grifes. VI. 383. a. Quelle eft le meilleur moyeu
de fe procurer des oeufs de perdrix rouges; maniéré de les
gouverner : durée de leur v ie. Ibid. b. Soins qu’on doit picii-
dre pour la confervation des grifes 6c des rouges. VIII. 658.
b. 659. a. 660. <2.
Perdrix, {Diere) c’eft l’im des aümens les plus exquis
8c les plus falutaircs. X ll. 338. a.
Perdrix, analyfc de fa chair confidéréc comme aliment.
I. 267. b.
PERDU , ( Jurifpr. ) ebofes mobiliaires égarées ou perdues,
dont on ignore le légitime proprietaire. V . 754. a ,
b. VIL 426. b.
Perdu, {Peintur.) contours perdus dans un tableau. XII.
338. .1.
Perdu , bois , ( Comm. de bois) ce qu'on entend par faire
Aotter du bois à bois perdu. Différentes pratiques qu’obfer-
vent les marchands qui jettent leur bois à bois perdu dans le
meine tems 8c le même niiffeau. XIL 338. a.
P E R D U E L L IO , { Hijl. rom. ) différens cas où l’on fe ren-
düit coupable de pcrduellion. X ll. 338. b. '
PERE , obfervations fur ce mot : le titre de porc étoit chez
les Juifs iiu titre d’honneur. I. 6. b. 12. a. DilTérencc entre
les pcrcs 8c les ancêtres. 439. a.
Pere , ( Droit nat. ) relation la plus étroite qu’il y ait dans
la nature. On ne connoit jamais bien la joie des peres ni
leurs chagrins. Un pcrc de famille ne peut être niéoliant ni
vertueux impunément. Les pcrcs qui ont fait la fortune de
leur famille aiment plus tendrement leurs enfans. L’avarice
8c la dureté des pcrcs condamnable 8c mal entendue. Mau-
vaife coutume chez les pcrcs de mettre dè.s le bas âge entre
leurs enfans des diftinélions 8c des préférences. XIL 338. b.
Il eft lionteux de facritier des enfans à fon ambition par des
deAinations forcées. Obligation impol'ée aux peres d’élever
leurs enfans. La loi naturelle n’oblige pas les perts de faire
les enfans héritiers de leurs biens. Sur le pouvoir paternel,
confultez cet article au mot Pouvoir. Ibid. 339. a.
Perc , de l’ainour des peres pour leurs eutans. I. 369. b.
Cet amour prouve une providence. XIII. 313. b. Du pouvoir
des peres 8c des mores fur leurs enfans. 253. b. 360.
b. Droit de correftion qu’ils ont fur eux. IV. 273. a. l'éducation
eft le plus grand bien qu'ils puiffent leur laiAêr. V .
397. b. Devoirs des peres envers leurs enfans, IV. 919. b.
V . 634. a. Leur devoir par rapport aux choix d’une pro-
feffion Sc d'im état. XIII. 426. <z, b. D e la bénédiélion des
peres. IL 202. a. D e leurs im récations contre leurs enfans.
VIII. 603. b. 606. a.
Pere, {Jurifpr.) naiiirel, légitime , putatif, adoptif. Ali-
niens que fe doivent mutuellement les peres 8c les enfans.
Pouvoir des peres fur leurs enfans chez les Romains. Ce pouvoir
rcAreint par JuAinien. XII. 339. a. Obligation de doter
leurs enfans. Cas où le pere Sc le Als font cenfés une même
perfonne. A qui appartient la fucceffion des enfans , 8cc.
Ibid. b.
Pere de famille. V I. 391. b. Droits des peres Air les enfans
chez les Romains. V . 634. b. Des privileges qui furent autrefois
accordés en France à ceux cpû ont plufietirs enfans,
Ibid. Le pere civiteineiu refponfablc du délit de fon enfant
en fa puiffance : les enfans l’étoient anciennement du délit
du pere. Ibid. Droit que la loi des douze tables donnoit à
un pere fur fon enfant. IX. 676. a , b. Autorité des peres
fur leurs enfans en fait de mariage. X. 105. a. Foye^ Paternel.
Pere, ( Cmiy.yîicr.) Différentes AgniAcations de ce mot
dans l’écriture. XIL 339. b.
Peres conferipts, (iJiß. rom.) ce nom donné aux féna-
teurs par rapport à leur âge ou à caufe des foins qu’ils pre-
noient de leurs concitoyens. XII. 339. b.
Peres conferipts , origine de ce nom. III. 904. a. XII.
177. a.
Peres de Téglife , ( Hiß. eccl. ) éminiération des peres de
l’églife au nombre de vingt-trois, But des oblervations fui-
vantes fur chacun d’eux. XIL 339. b.
Jußin , Martyr, ( fa in t ) Ses ouvrages. Son fentimeat
fur le célibat 8c fur le mariage.
Irenée , { faint ) Obfervations fur fes ouvrages, 8c fur fa
doéirine.
Athénagore , philoAiphe chrétien d’Athcncs. Ses ouvrages.
XIL 340. a. Sa doiArlne. Roman qu’on lui attribue.
Clément d'Alexandrie, (faint) Ses ouvrages examinés. Ibid. h.
Teriullien, prêtre de Carthage. Précis de fa vie. Caraéleie
de fes ouvrages. Obfervations fur fa doélrine.