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V ie mor.tle , {Phiîofoph.) coUc cjni s’crencl avec gloire
au-ci.‘L'i ilii totiibcau. L'idée de vivre glorieiilemciit dans
la mémoire de la pollériié, cil ime choie ([iii tlacic beaucoup
dans !c tons ijii’on vit récllcmciu. C e ll imc efpece de
conlbhuiüii & de dédommagement de la n’.ort naturelle a laquelle
nous limimes tous condamnés. X V II . 154. j.
lMMO!tTAL!SER & IMMORTALITÉ,
\ 'iu , {Mor.iW) vie civile. Ordre des devoirs dclafociété.
Qu.Iles fortes de incciirséiendeiu la durée de l.i vie. Réfigna-
iiot) à l'üidre de lu nature qui nous appelle à lui rendre ceqnc
nonsenavons reçu. X VII . 2î;4. b.
r.w L'opinion d'unqreuple fur le malheur de la vio n’ell
que I’e lfa t fu n mauvais gouvernemert. V . 106. j . Rétlexions
jnorales fur les occupations de la vie, XVII. 743. ti. Pcrfeclion
morale do la vie de riiommc. XII. 351.^.
V ie privbi des Romjins , [fJIJl. rom.) vie commune que
les particuliers an-delTus du peuple menoient à Rome pen-
tlaiu le cours de la journée. Ils vivolent nu commencement
dans une grande fimpllciié -, mais leur commerce avec les
Allatiques, introdnifit le luxe parmi e u x , Sc les alTu'jetiit
aii.x vices d'un peuple qu'ils venolent d'ailnjcttir à leur empire.
XVII, 234. b. Les Romains ont été 4500115 fans con-
uoitre d.ms la )(Hiiiiéc cl’aiitte dlAinclion que le matin, le
midi Sc le foir. Comment ils eurent dans I.1 luite connoif-
fancc des heures. La ptemiere heure étolc confacréc nu.x
devoirs de la religion ; mais quelquefois aulR elle étoit employée
, ainfi que la féconde, à taire des vifites aux gens de
fiut on clpéroit des graces ou des bienfaits, Pour la troi-
Jiemc h eure , qui répondoit à nos neuf heiirc.s du matin ,
elle ctüit employée aux affaires du barreau; & cette occupation
s’étendoic julqu'à la ftxieme heure ou à midi. Autres
occupations qui rcmplilToicnt quelquefois cet intervalle. IbU.
255. J. A midi chacun fe rctiroit chei foi, dinoit légèrement
, & faifoit la méridienne. La paume ou le ballon, la
tlanfe, la promenade à pié ou en d u r rempliffoient leur
après-midi. Amufemens des bains auxquels chacun fe ren-
doic vers les trois heures après midi. Ibid. b. Vers les quatre
heures, on alioit foiipcr ; ce repas lailfoit du teins pour
fc promener & pour vaquer à des foins donielliqnes. Ibid.
250. J.
V ie s , [Hißohe ) \ cs anciens avoient un goût parùculier
pour écrire les vies des hommes illuflres. Ils fe faifoient un
j)!ailir & un devoir de leur alfurcr le feul bien qui leur reiloit
lur la terro qu’ils avoient quittée. Obfervations fur les vies
de Plutarque. XVII . 256. a. Caraftcrcs particuliers de chacun
do ces hommes illuAres dont cet auteur a fait le tableau. Ibid. b.
V ie des faints, {H iß. eccl.) vuyrj LÉGENDE. Utilité qu’on
peut retirer de la Icélure de ces vies, malgré les menfonges qui
s’y trouvent. XVH. 257. a.
V ie , ( Phyjiolop^. d Relig.) vie afceiique , cénobiûque ou
Iiérémiticjnc, voye z ces mots. Vie intérieure. VIII. 82c),
b. \'ie oiphique. I. 44. a. X L 663. a , b. -Vie ruAiqiie.
XII. 7 1 1. U,é. X V . 171. J. Celle des premiers Romains. X VII.
254./-.
V ie , {P/iUofoph.) efpece de vie fans connoiffance &
fans l'ciniment, aitrilniée efrentlelleraent à la matière par lé
])lnlofoplie Straton. VIII. 391. a , b. Vie desvégétaiix, X V I .
953. .1 , V.
V iE , {Jurifpr.) vio naturelle. Vie civile. XVII. 237.
\ i z , l'ivre , Hivant,{ Critiq.ficr.') fignification Sx. ufages
d-e ces mots dans les auteurs facrcs. X V IL 257. b.
V ie , ( Myr/tol. ) dieux qui préfidoient à la vie des hommes
felon les Grecs. X V II . 722. b.
V ie-, arbre de, ( Boian.) I. 389. a. X V I . 306. b. Suppl. I.
323. 327. .r.
ViE,/.j ,{G iegr.)dcux petites rivieres de ce nom en France.
X V I I .2 3 7 .A
V IE , ( A'. ) homme célébré dans la marine. Suppl, IV. y. b.
V IE IL , Fieux, ( Gramvu') fignifications 5 c ufages de ces
mots. X V II . 237. b.
\'lE]L de la AJoniagne, {terme de Relation') prince des If-
maoüens de l’Iraque perfienne , dont les fiijets fc dévoiioienr,
pour afTafliner fes ennemis. X VII . 237. A ( Foye^AssAssis).
Fromicr prince de ce nom. Pourquoi ces Ifmaclicns furent
appellés arfacides 6c. afTaffuis. Conrard, marquis de Mont-
forrat, aAaAiné en 1191 dans la place, publique de la ville
de T y r par un fatcllite du vieil de la Montasne. Ibid.
233.0.
VIEILLAPiD , ( Morale ) défauts des vieillards. Obfer-
vatîons lur le tableau qu’en fait Hor.acc. Caraélere de l’ad-
miniArationd’im vieillard à la tête d’nn état. XVII. 258. o. D e voirs
d'un vieillard. Ibid. b.
V ie il l a r d , {H lß .a n c.) icIWn fnnebre que les Romains
faifoient aux vieillards. X'V. 194. b. Refpeél des Lacédéjiio-
nieiis pour 1 -os vieillards. IX. 137. o. 138. b.
V ieillards, {Pbyfiobg.) exemples de quelques-uns qui
ont eu des enfans dans un âge très-avancé. X. 1 1 7. b.
V I E ^ V ieillard , ( Mèdee. ) maladies de la vieillefle. Dicte 6c,
regime propre à cet âge. Remèdes dont les vieillards peuvent
fe loti lager. XVII . 23S. b.
VIE ILLESSE, ( ) peinture de cet âge par M. de
Voltaire. Dofeription de la maniéré dont arrive le depériAe-
ineiit de la machine. XVII. 239. o , b. Perte de hibeaiité, triAe
fiijcc de gémir pour celle chez qui cet avantage fut le feul
prol'cnt do la nature. Mais que l'hiver de la vieüleAe n’al-
l.ii-me point c a ix dont la vie s'ofl paAoe dans la culture de
l’efprit, dans la bionfail'ance 6c la pratique do la vertu. Ibid.
260. a.
FicilUJfe. Dofeription phyfiologiqiie de cet âge. Suppl. I.
200. b. Divers eflets de la vie'.lleife fur le corps humain.
Suppl. IV. 74. a , b. Dofeription do la décrépitude dans la
vieillcAe. IV . 707. b. Incommodités do cet âge , courbure
du corps. I. 88. b. DoAéchemem clos partios du corps. V L
662. b. XI. 261. ADuvoto qu’acquierent les os. XL 688.
SiibAances molles qui ont été trouvées oAifiées dans les
vieillards. V I . 669. a. Décroilfcment dans la vieilleAe. XI.
290. b. IV . 727. a. Marafnie , voye^ l’article ATROPHIE.
Qualité faline annnoniacale que contraélent les humeurs. XL
289. b. Diminution de l'enhbiiito, X V . 47. a. fnrdité. II.
866. b. i i l . 4-3. a. cécité, 1 1 1 . 388. b. tête chauve , X IV .
939. b. rctreciAemeiu du prépuce. VII. 700. b. Etat des facultés
de l’elprit dans la vieillcA'e, X llI . 764. b. Caraélere
do la vue dss vieillards. XIII. 309. u. Premiers Agnes du
dopcrlAoment du corps do l’homme , fa vieilleA'e, fa caduc
ité , fa mort. VIII. 260. b. Cuufes de la vicüleAc. I. 88.
b. \ I 1 . 339. b. Suppl. IV . 73. a. Caiifenaturelle de la mort
dans la vieilleAe. 1 . 80. a. X. 721. b. Rien de violent n’ac-
compagne cette mort. 7 17 . b. Defeription des maux de l.i
vicilloAc par l’abbé de Chaulisii. XVII . 223. b. Exemples
de vieilleAe c'xtraordinaires. 249. b. Les femmes en général
vieilliAent plus t|ue les hommes. VIII. 260. />. Caufes de la
vieilleAe pièmauirce, l’exercice-coniinu, V I. 243. 1'. l’abus ,
des alimens. X!. 222. a. 6cc. Moyens de retarder lespro-
grè,s de la vieilleAe. Suppl. IV . 75. a.
V ieillesse, {Morale) la longue iiabitude tient la vieil-
lefle comme enchaînée ; elle n’a |)ius de reAources contre l'es
délaiits. X V II . 260. a. On doit cependant fe confoler des
rides qui viennent fur le vifage , puifqu’ellcs font l’cAei iné -
vitable de notre exiAence. Le peu d’années de vie qui reAent
aux vieillards doit les avertir de ne pas faire naufrage au port. Ibid. b.
FieilUjfe. Caraélere moral de cet âge. Suppl.\\\.()^^. a ,
• b. Oppofition de la vieilleAe & de la jeuneAe. V l l l . 344.
b. Le tems de la vieillelîê eA le vrai tems de la retraite. X IV .
213. i.
V ieillesse , ( A/et/tc.) maladies de cet âge. 1. 1 7 0 . 17 t.
a. XVII . 238. /’.Régime des vieillards. X IV . 12. a. Confeiis
qui leur font adreAés. I, 170. b. 171. a. Des moyens propres
à réchauAer les vieillards. V i l , 331. b. D e l’iifage qu’ils
doivent laire du vin. X L 222. b. S’il eA vrai qu’il leur eA fa-
lutaire de coucher avec les jeunes gens. X V . 47. b. XVI.
360. a.
V ieillesse, (%//£>/.) AlleclerErebe& d e laN u lt .X V I I .
260. b.
VIEISSAN , {Gèogr. ) fontaine de ce nom dans le diocefe de
Béziers. VII . 100. b.
V IE L A N D , poète allemand. Son talent dans la plaifante-
rie. IV. 397. a , b.
V IE L IT SK A , montagne de, {Géogr.) en Pologne. Saline
de cette montagne. XVII . 260,/. Fc/yitjXIV.'yi 3. /. 6cc.
Viélitska, vojf^; ViLLUZKA Ôt WlÉLITZCA.
VIELLE , ( Ichthy. ) poiAon de mer. Sa dofeription. Q ua-
liié de fa chair. XVII . 260. b.
V ielle , ( Luth. ) defeription de cet iiiArumcnt, X V IL
260. b. Voyei les planches de lutherie dans le vol. V . M,miere
de l’accorder. Ibid. 261. a. Ouvrage à confultcr fur le doigter
de la vielle. Divifion du mouvement de la roue. Cadences fur
cet inArument. Ibid, b,
"V’iELLE, ( Géogr.) petite ville de la Gafcoguc. XVII .
261. b.
VIELLEUR , ) ver hiifant de Surinam. HiAoire
naturelle de cet animal. X'V II, 261. /.
V IE N N E , ( Géogr. anc.) ville de la Gaule narbonnoife
fur le Rhône , & la capitale des Allobroges. Les. belles-lettres
y étoient cultivées, 6i on s’y faifoit un plaifir de lire les vers
des poètes de Rome. Martial fe félicitoit de ce que fes ouvrages
feroient lus à Vienne. Dans le moyen âge , certe ville devint
la métropole d’une province des Gaules à laquelle elle
donna fon nom. XVII . 262. a.
VIENNE , métal de , ( Aiétallurg. ) aUiage dont fe fait ce métal.
X V II . 262.
V ienne, ( Géogr. mod. ) ville (rAllcmagnc, capitale de
l’Autriche. Ses anciens noms. XVIf. 262. a. Sa dofeription.
Archevêché de Vienne. Ses habiians. Mauvaife qualité de
l’air de cette v ille. HiAoire abrégée du Aegc qu’elle foutiut en
1683. 7 / ii./ . Obfervations fur deux liomiuss de lettres, nés
V I E V I G à Vienns ; GaleaAo Gualdo , & Melchior Inchofer. Caraélere
de l’empereur Léopold , fous le regne duquel arriva le ficge de
Vienne en 1 6 8 3 . 2 6 5 . / .
Vienne en Autriche , autrefois Vindobon.t. XVII . 308.
« , / . -Bibliothèque de Vienne. II. 234. b. X V II . 739. . t , /.
V ienne , ( Géogr. mod.) ville deFraiice dans le Dauphiné.
Sa dofeription. Archevêché de Vienne. Chapitres do cette
ville. Concile qui y fut tenu en 13 11 . Son commerce.
X V IL 264. b. FliAoire de cette ville. Réflexions fur ce qui
nous reAe dos cmbelliAemens que les Romains y avoiem
faits. Pyramides que l’on voit dans la plaine en fortant d-e
la ville pour aller en Provence, übfervacions fur quelques
perfonnes célébrés, nées à Vienne ; Trebonius Rufiiuis ; Nicolas
Chorier ; IiinocentGoiuillec ; Jean-Elie Lcriget de la
F'ayc. Ibid. 264. a. Hughes de Saint-Cher , dominicain. Ibid. b.
Fu’nne en Dauphiné. Obfervations fur Vienne ancienne,
X V IL 261. a. SiippLlV. 10. b. Ancienne comeliation entre
l ’évêque d’Arles & celui de Vienne, terminée par le concile
de Turin. X. 471. a. Courier de l’archevêque de Vienne.
IV . 392. a. Chancelier de l'églife de Vienne. III. 98. d.
Mitral de Vienne. X V I . 873. a.
V ienne, U {Géogr.) rivière de France. Defeription de
fon cours. XVII . 264. b.
V ien n e , une {Fourbijf.) efpece de lame d’épée qu’on
fait à Vienne en Dauphiné. X V II . 264. b.
V IE N N O IS , ( Gtwr. ) pays de France dans le Dauphiné.
Ses bornes. Jiirifdie^ion qu’il comprend. Il a eu autrefois
des feigneurs parficuliers. X V l l . 264. b. Voye^ D au ph in é .
V ie n n o is , (AU««, anc.) deniers viennois. IV. 827. b.
Franc viennois. V ll. 281. b.
VIENNOISE. {Etoffe) Cette éroAe diAere du doublcté,
en ce que le doAiis contient des fujets plus grands, foit en
feuilles, foit en fleurs. Defeription du travail des viennoi-
fes. X V n . 264. b.
V IE R G , {H tfi. d'Autun) premier inaglArac de la ville
d’Aiuun. Célàr en parle fous le nom de Vergobretus. Etymologie
de ce ni'or. Pouvoir qu’avoit ce magiiirat du teins
de Céfar. En quoi conüAe .-nijoutd’liiii cette niagiArature.
X V I I . 262. d.
VIERGE les Hébreux. {'Critiq.ff.scr.) Elles ne paroif-
foienc à découvert que devant leurs prêtres. C ’étoit chez
les Juifs une forte d’opprobre pour une fille , de n’étre pas
mariée. Il ne faut pas croire que les apôtres aient élevé
rétat du célibat des Ailes au-delfus de celui de leur mariage.
Explication de cette paroje de S. Paul , que celui qui marie
fa Aile fait bien , mais celui qui ne la marie pas fait
niieux. X V I I . 263. a.
Vierges che:^ les Hébreux, ne paroiAoient pas en public.
X I .1 8 1 . b.
V ierge chc^ Ici premiers Chrétiens. ( Critiq. ffacr. ) Les faux
afles de Paul & do Thécle contribuèrent beaucoup à faire
goûter le célibat des vierges dés le fécond fiecle. Comment
les vierges confacrées paroiAoient en public. Cérémonie de
leur conlécration. Tcriiillien repréfenre les vierges de fon
tems beaucoup moins modeAes que les femmes mariées.
X V IL 263./.
Vierges c/ie^ les premiers Chrétiens, nommées agppetes. I.
165. b. Quatre états dlAércns des vierges dans les premiers
fieclcs de l’églife. X V II . 328. b.
V ier ge . (AUr.t/. Hijl. ) Des vierges confacrées à Dieu ,
veyrç Ktligieujc, Virginité, Voeu, Voile, Célibat.
des paies lur les vierges qui fe tuent pour conferver leur
challeié. XII. 349. a. Défloration des vierges. IV. 749. b.
Vierges gaiiloilcs confacrées au célibat. II. 802. a. — Voye^
Virgiruié, Fille.
V lERGE jaune, la. ( Hifl. & Critiq. ffacr. ) Origine du culte
de la Sainte Vierge. Joie fuiguliere que témoigna le peuple
d'Ephefo lorfqu’il eut -appris que les peresdu concile avoient
décidé qu’on pouvoir appcllcr la Sainte Vierge , mere de
Dieu. X v I I . 2Ö5. b. Dés-lors on lui rendit des iiommagcs
fuiguliers. Dévotions à la Sainte Vierge dans le royaume de
F r a n c e . 266. <2.— No tre-D ame.
Vierge-Sainte, Sa conception immaculée. VIII. 369. b. Sa
nativité. XI. 37. a. Préléntation : piiriAcation de la Vierge.
XIII. 314. 381. «. Vifite qu’eile At à Elifabeth , fu confine.
X V I I . 3 3 3. .2, Son fepulcre. X V . 74. a , b. AAomption
de la S.iinte Vierge. I. 772. b. Titre de mere de ILeu qui
lui a été donné. X. 380. b. Les NcAoriens le lui refulènc.
XI. 106. a , b. 6cc. D e l’oflÊce de la Vierge. 413. b. Des éloges
outrés qui lui ont été donnés : réflexions fur le culte
qu’on lui rend. XVII . 6oo. a , b. Article fur ce culte. IV'.
531. a. Evangile de la naiAance de la Vierge. VI. 113. b.
V ierge-Sainte. ( ) Vierge de Raphaël. Son chefd’oeuvre
en ce genre. XVII . 266. a.
V ierges. {Hijl. nat. ) Exemples de foetus formés dans des
vierges. Suppl, l i l 63. a. 66. b.
V ier ge s , mères- {HiJl. turq.) XI. 97. a.
V ie r g e , {Ajhonom.) conAelIation & fignc du zodiaque.
'59 Qui à o i t cette v ierge, félon les poètes. Comment elle eft
leprèléntée. XVII, 266.«.
^ ï'ierge. Moyen de connoitre l’étoile appellee épi de la
vierge. Suppl. II. 367. b. Etoile double ;t l'épaule de la vierge.
8 9 7 ./ . Etpccc de licorne reprèfentée dans quelques antiques
auprès de cette conAellatlon. Suppl. III. jo . a.
\lERCE Saliennc , {Antiq. rom.) prétreAc de la fuite des
Saliern. X V IL 266. b.
V ierges , iße.< des , ( Géogr. ) amas des petites Aies fi-
tiiées près des Antilles. XV'Il. 266. b.
V I E I L , (François) célèbre géometre. I. 260. b.
VIEUSSE^ S, {Anatom.) aiiatomifle de ce nom. Valvule
de VieuAens. XV II . 266. b.
ViEUSSENS. (Raimond) Son fentiment fur PuAige de l'a-
me. 1 . 341. a , b. Il a découvert le premier rinflanimarion
caufee par erreur de lien. VIII, 714, «. Son hypothefc pouf
expliquer la puiAance motrice du corps humain. X. 220. b.
Scs ouvrages. Suppl. I. 401. b. Suppl. IV. 36. b. 333, b.
V IE U X , Ancien, Aniuque : {Synonym.) iWScrance':. c n m
CCS m ots, dans leur AgniAcaiion ik dans lotir ufage. XVII .
267. a. — Voye^ ANCIEN.
V ie u x , Vieil. (Synon.) a VII, 237. b.
V ie u x , {Antiq. jacr.) vieux leAament, vieil homme,
vieux' levain. XVII. 267. a.'
V i e u x , (Géogr.) village de Normandie . ruines prés de
ce lieu. XVII . 24S. .2, /.
V ieux de la Montaene. (terme de Relation) I. 76c. b.
XVII . 257. b.
V I F , Vivacité : {Gramm, franc.) SigniAcatlons dé cc»
mots. XVII. 267. a.
V if : ( Gramm. ) penfée v iv e. XII. 309, b.
V if -c a g e . (Juriffpr.) VU , 418. b.
V i f , Vivement. (Mii/iq.) X \ il. 267. a.
V if . XVII. 267. «.
V if de l'c.m ou haute marine. (Marine) XVII . 167. i.
V1F FEM EN T .(A,2 «) Suppl. 1 1 . 733.«.
V iG A N D , (Jean) théologien. X. 30. b.
V IG EN E R E , (Blaiffc) littérateur. XIII. 244. «.
VIGIE. { Hydrographie ) V ig ie s , fommecs des rochers ifo-
lés au milieu tic la m e r , hors de la vue des terres. Danger
de ces vigies pour les vaiAeaux. DhHculté de Axer leur A-
tuarion for les cartes. X V II . 267. b.
V IG ILAN C E : ( Gramm. Litter.) différence entre vigilanc
e , attention & :exaélitude. I. 840. b. Symbole de la vigilance.
X V . 733. b. Cette qualité Agurée par la grue 8c par
le coq. Voyei les articles ( Blaffon ) de CCS animaux.
VIGILES ou Veille. (H iß. ccd.) Le jour ccdcAaffique
commence vers le coucher du foleil. X V Ii, 267. b. Exercices
de piété chez les premiers chrétiens dans cciio panic
des jours de fête , qui commençoit dès le foir de la veille.
Origine desvigiles. Ces veilles défendues en 1322. Jeûnes
qui leur ont fuccédé. Ibid. 268. a.
Figilcs, matines 6c laudes de l’office des morts. X V IL
268. a. — Voyer VEILLE,
V IG IN T IV IR A T , le (H iß. rom.) magiAratiirc romaine.
Perfonne ne pouvoic en-être exempt fans une difpcnfe du
fénat. Le vingintivirnt devint eiiAii l’office de gens de la lie
du peuple. C c college étoic compofé des triumvirs monétaires,
des triumvirs capitaux, des quamorvirs noélurnes,
6c des décemvirs. X V ll. 268. a. Voye^ ces articles.
V IG N E , ( .Fo7«/2. ) caraéleies de ce genre de plante. Ses
efpeces. X V ll. 268. a. Del'cription de la vigne commune,
cultivée. Facilité avec laqitclle d ie s’élève. Ibid. b.
V ig n e , (A gric.) choix des terres les plus propres aux
vignes, 5 c de rexpoAiion la plus favorable. Dét.ûls fur la
manière de imtltiplier , 6c de cultiver la vigne. X V ll. 268./.
Vignes de jardin ; leur culture. Ibid. 270. /. Ouvrages à con-
fuher fur la culture de la vigne. Ibid. 271. u..
Vtgne. Sa ciiUure par les anciens Gaulois. Suppl, l. 214. a.
Obfervation fur la culture de la vigne. VII. 821. /. Accolage ,
I . 73./ . éboiirgconnemeiit, V.2Z3. a. quatrième labour. II.
-06. é.Rueller la vigne. XIV. 431 .6. Elever la vigne par fau-
tclles .XlV . 723. /. 'Terrer la vigne. X\' 1 , 184. u. ib6. a. Façon
de la multiplier par provins. X llI . 3 i8.u. Ufage de la Itouilie
dans la culture delà vigne. VIII. 324./. De rtifagedes nianiers
pour fon engrais. Suppl. III. 834. a , b. Goût particu.ier que
les vins prennent de la qualité de l’engrais S: du terroir des
vignes. XVII . 283. b. Pleurs de la vigne. XVI. 960. Ufages
qu'on en tire. Suppl. 1 1 1 . 706. b. Vents qui lui font contraires.
X V ll. 23. b, Vigne dont on taille le farmeiu de trois
ou quatre doigts de longueur. Suppl. I. 896. a. Etentiue de
vigne défignée par le nom d’hçmme de vigne. VIII. 281.
J. Ouvrages fur la culture de la vigne , projettés ou publiés
en France. Suppl. I. 223. a. Sur la culture de la v igne,
voye:- les planches d’économie ruAiqiic dans le volume I.
ViONE . {Alat. médic. ) ufage que la médecine tire de cette
plante. X V ll. 271. a.
Fisntt blanche , voyeç^ B r y ONE.
V igne t/r Judée,(Botan.) efpece de morelle. X V IL 271. <r.