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b. Ce n’eft pas l’èglife msi doit fc régler Air l’évèché où eA
Ic faint fiegc ; mais c’eü cet évêché qui doit regarder les
dogn’.cs Sc fe conformer aux regies de légiile. C e qu on
•entend par la cour de Rome. Ikui. 173. u.
Sicce, L- fittni. DiAinéAoii qu’on doit f.ûre entre la cour
de Rouie, le pape & le faim fiege. V IL lij. D ij. prélun.
Siege , { A n mihV.) Aeges les plus célébrés de l'antiquité.
'Pittétentes efpeces de Aeges, Aiivant la nature des villes
qu'on attaque, Sc la méthode qu’on y emploie. Siege royal.
Attaque. Il ne faut pas confondre les Aeges avec les blocus
ou les boinbardcmcns. X V . 173. D ’où dépend le fuccés des
Aeges. Moyens de l’ennemi alAégé. Melurcs les plus propres
à faire rciiliir un Aege. Ibid. b. Etat des pièces d’artillerie
& munitions de guerre qui ont été menées devant différentes
places, pour en faire le fiege. Ibid. 174. 176.*?,^.
S iege : ( Hiß. >uk. 6> mod. ) machines des Romains pour
les Aeges. X. 508. a. TcrralTcs dans les Aeges des anciens.
X V I . 165. b. Tours. X V . 454. b. Evocation que faifoient les
Romains des dieux tutélaires de la ville dont ils laifoientleAege.
V I. 161. b. Approchés par Fi/ieas dans les Aeges des Romains.
Suppl. IV . a}8. J. Madiine dont les Turtares Monguls fe A>m
fervis dans les Aeges. XII. 192. a. Efpeces de tours dont Us
François fe fcrvoic-nt aiiîtennemcr.r. X V II . 762. b.
S ie g e : { A n mUic.) de la guerre des Aeges. VII. 992.
a , b. InArumens néceffaircs dans l’attaque 8c la défenfe des
places. Vol. I. des planch. Art miiitaire, pl. 15. Equ'i'age
de hege. Suppl. H. 846. b. Manière de camper devant une
place donc on fait le Aege. i 53. ./. 154. </. Une des premieres
opérations du Aege cA de reconnoitre la place. X I1. 673. u.
InveAiirement de la place , VIII. 862.3. de la tranchée, XVI.
■ J39.3. 543.3. des lignes, veyrr C irconvallation , Contrevallation
8c Lignes. Service des batteries. IL 148.
b. 8ce. Leur conAriiAion. 149. .1 , b. Service des mortiers,
1 50. 3. des pierriers. 15 1 .3 . Batteries à ricochet. 152. .r , 3.
Du travail 8c de l’iifage des falcines. V I . 418. u , 3. Des
quartiers dans un Aege. XIII. 688. 3, PoAe du lieutenant-général.
IX. 513. 3. Fondions du lieutenant-colonel, 5 14-
celles du major-général. IX. 883. d. Différentes attacpies. I.
825. 3, 8:c. 829. b. — S39. a. Attaque de baAion.825. 3, 8cc.
FaulTe attaque. V I . 450. a. Parti que doit prendre l’année
aAiégeante , lorfqu'une année vient fecourir la place. XIV.
861. 3. 862. a. Siege d’une place où il y a citadelle. I. 828.
h. Siege par blocus. IL 286. 3. Bvufquer un Aege. L8 2 5 . 3.
Dcfcente du folié par l'afTiégeant , IV . 877. a , 3. de la breche.
IL 409. 3. Capitulations dans les Aeges. 634. u , 3. Ulage des
galeres dans les Aeges des places inaricimes. 5.'/pp/. III. 169.
a , 3. De l.i défenfe de l.i place. IV . 737. 3. Lignes de contre-
approches delà part dcsafiiégcs. 129..;, 3. Sorties.XV. 831. ri,3.
Diverfion pour obliger I’ennemi d’abandon.nerlefiegc.IV.io68.
a , 3. Maniéré de mettre hors de fervAce I'aniUerie des aflié-
eoans. V . 624. 3. Service de la cavalerie. V . 923. Des
moyens de donner des fecoiirs aux alAégés. XII. 673. a. De
la levée du Aege. IX. 4.14. a , 3. Monnoie frappée dans une
ville alTiégée , pour fuppléer au défaut de la véritable. X. 648.
h.Voye^ les planches4 4 , 1 7 , de l’art militaire contenues
dans le vol. J.
Sieges, ouvrages de menuifcrlc. Vol. VII. des planch.
Memfiferie en meubles, pl. i — 10. Et de taplAier , vol. IX.
des planch. TaplAier, pl, 5 , 8 — 14.
S iege. {Potier de terre) Siege fur lequel cA afTis le potier
lorfqu'il lé feri du tournoir. X V . 177. a.
S IEM IEN OW IC Z , ( 6 ) fon ouvrage intitulé le grand
art de l’artillerie. XIIL 6c6. 3.
SIEM ENTHAL , g/jchr de la vallée de ( Géogr. Hiß. nat. )
VU. 692. b.
SIEN NE, {Géogr.) ville d’Italie dans laTofcane. Sa def-
cription. Son liiAoire. X V . 177. a. Obfervations far quelques
perfonnes célébrés nées dans cotte ville. Quatrep.:pes ; Alexandre
I I I , Pie I I I , Paul V Sc Alexandre VIL Hommes de lettres.
Bernardin de Sienne, Ibid. 3. Ambroife Catbarin , Jean-Bap-
fjAe Ferrari, Ibid. 178. a. Bernardino Ochino. Ibid. 3. Fran-
eifeo Patricis, Alexandre 8c François Piccolomini. Ibid. 179.
Sixte de Sienne. Mariamis Socin, deux hommes de ce
nom. Leliiis Socin, Alexandre Socin. Ibid. 3. FauAe Socin.
Ambroife Lorenzetti, François Vanniiis. Ibid. 180. a.
Sienne : académie des Intronati fondée dans cette ville. VIII.
846. 3. Beau pavé de fon égUfe cathédrale. XII. 599. a , 3.
S ienne, Li , ( Geégr.) riviere de France. X V . 180. j .
SIENNOIS, {Géogr.) province d’ Italie. Scs bornes 8c fon
étendue. Ses révolutions. X V . 180. .t.
SIEOUTSA.I, {Hiß. mud.) premier grade des lettrés à
la Chine.Examen pour l’ofateiiir. Privileges qu’ilprocurc. XV .
180. a.
SIERRA , ( Géogr. ) terme que les Efpagnols 8c les Portugais
cmploientpourAgniherun pays-montagneux. Enumération
de pluAeurs montagnes dèfignées par ce nom. X V . 180, b.
SIERRA-H Ü N E , Rio de, ( Géogr.) grande riviere d’Afrique
dans h Haute-Guinée. Sa defeription. Ses autres notns.
Sierra-Lione, negres de. VIII. 347. a. Tribunal qui décide
de toutes les affaires parmi eu x ; maniéré de plaider devant
ce tribmial. X IV . 581. 3.
S iE U R lE , ( /«r/yjù/-.) efpecc de propriété. X IV . 897. a,
S IF A N , {Géogr.) vaAe pays de la Tartarie Afiatique,
Etendue, bornes, figure de ce pays furies cartes. X V . i8 ï .
a. Etat préfent de fes habitans. Droits qu'ils paient aux lamas.
Quelques ufages de ces peuples. Les mandarins Chinois peu
refpeélés des Afans. Ibid. b.
S IF F LA N T E S , lettres , {Gramm.) IX. 556.3.
SIFFLEMENT , {Phyßolog. ) caufe méchaniqiie de cette
forte de fon. X V I I . 431. a.
SIFFLER une piece : ( Litiérut.) l’iifage de fiffler aux repré-
fentations publiques n’eA pas d’inAiuiiion moderne. Délica-
teflé de goût des Athéniens. X V . 181. 3. Leur maniéré de
Adler une piece. Mot dont ils fe fervoient pour AgniAer le
Afflec des fpeétateurs. Ibid. 182.
SIFFLET de Pan, {Lutk. anc. 6* mod.) fa defeription.'
Uiùges qu’en font les chaucleronniers ambiilans dans nos provinces.
X V . 182.
Sißiet de P a n , voye z Cerodetos, Pandure, Syringe, Syrinx ,
Sc les planch, de Lutherie, vol. V.
SI-GAN ouSi-GAN-FU , {Géogr. ) ville de la Chine. X V .
182. a. lufcription qui s’y trouva en 16 25 , qui nous apprend
que la religion chrétienne eA entrée à la Chine en 63 i. Cette
piece a été démontrée iiianifeAemcnt fuppofée. Ibid. 3.
SIGEBFRT ou SigibertI, roi d'AuArafie. Suppl. II. 238.3.
SiGEBERT, I I , C tO v r s II , rois de France, {H iß . de
Fr.inc. ) le premier en AuArafic , le fécond en NeiiArie 8c en
Bourgogne, Als 8c fucceAcurs de Dagobert I. HiAoire de
leur regne. Suppl. IV. 789. 3.
SIGÉE , ( Géogr. anc. ) promontoire , ville Sc port de l’AAe
n’ ineiire, aujourd’hui le apjanit{ari. V illage qu’on y trouve.
Denrées du pays. Exclamation d’Alexandre , en voyant à
Sigée le tombeau d’Achille. X V . 182. 3.
SîGÉE, (Zo/nyi) femme célébré dans les lettres. X V I . 389.3.
S IG E FR O I , {Hiß. de Danem.) roi de Danemarck, qui
v ivoit du rems de Charlemagne. Suppl. IV . 790. 3.
SIG FU SSÜ N , {Sémond) iAandois, fes ouvrages. V IIL
916. a. 918. a.
SIGILLA , (Liitér. ) Aatues de ce nom. X V . 503. 3.
S IGILLAIRES, SigilLirites, {Myth. Antiq. rom.) fête des
anciens Romains. Son inAitmion. X V . 182. 3.
SIGILLÉE , terre , ( Hiß. nat. Mat. rnédic. ) nom que l’on
a donné à des terres bolaires auxquelles on attribuoit de
grandes vertus. Pourquoi on les appella figülées. Terre Agil-
lée de Lemnos. Vénération qu’on avoir 8c qu’on a encore
pour elle. X V . 183. a.
Sigillée, terre, BOLAIRE. Terre Agilice nommée 3w-
fU'r>r. II. 454. 3.
S iG iSM O N D , Saint- {Géogr.) voye^ SaiNT-SiGISMOND.
SlGlSMOND , roi de Hongrie tk empereur. VIII. 285. 3.
X V IL 720. a. Siglfmond Aegean t au parlement de Paris, donne
la nobleiîé :’i un fujet du roi de France. X L 175. 3. 176. a.
Combien il paya chèrement la violation du fauf-conduit qu’il
avoir donné au chef des HuAites. VIII. 357.3.
SiGisMOND I , {Hiß. de Pü/pg.) fuccefleur d’A lexandre,
roi de Pologne. Defeription de fon regne. Suppl. IV . 790. 3.
Sigifmond I. obfervations fur fon regne. XII. 933. 3. Son
intolérance. 930. 3.
Sigifmond-Augufie ou Sigifmond I I , Als 8c fucceAbtir do
Sigifmond I. Evénemens de fon regne. Suppl. IV . 791. a.
Sigifmond I I , furnommé Angüße. Changement arrivé dans
les AaroAic-s fous fon regne. X V . 493. 3.
Sigifmond 111 , roi de Pologne ÖC de Suede ; il étoit Als
de Jean, roi de Suede , 6c un parti puilTam l’appella au trône
de Pologne, après la mort d'Etienne Battori. S«/)/’/. IV . 791.
a. Principaux événemens de fa vie 8c de fon rogne dans ces
deux royaumes. Ibid. b.
Sigifmond III. Obfervations fitr fou règne. XII. 933. 3.
SiGiSMOND, {Saint ) roi de Bourgogne. 'Suppl. IV . 704. a.
SIGLES romaines. {Littéral.) X V . 183. a.
S IGM A , {Antiq. rom.) table cn fer à ch e va l, dont fe
fervoient les Romains. X V . 183. a. Lit pofé autour de cetta
table. Amufemens dotjt Eliogabale égayoit fes repas, Ibid. b.
,valvules{Anatorn.) Acuées à la nailî'ancode
l’aorte. Leur ufage. XV, 183. 3.
Sigmoïdes , valvules. XVI. 827. a.
S IG N A , {Art milit. des Rom.)nom générique de différentes
enfeignes romaines. Leurs deferiptions. XV, 183.3.
S IG N A L , Signe, {Syrion,) différences entre ces mots;
X V . 183. 3.
Signal , ( Aßronom. ) mamére de faire les Agnaux , pour
marquer les teins à de grandes diAanccs, 8c pour prendre
des angles. Suppl. IV. 792. a.
Signal, ( Géométr. Aßron. ) abaifTement des Agnaux dans
les grniules ojiéraiions trigonoinétriques. Suppl. I. 8. a. Table
de ce qii’U faut corriger aux angles obfervcs depuis un
Agnal éloigné de cent toifes de l’objet obfervé , quand le
S I L
Icentre
du quart de cercle n’çA pas dans celui du Agnal.
Suppl. IV. 884. 3.
Signal U feu , ( in r e r j; . ) comparaifon qu’emploie
Homere, tirée de ces Agnaux , dont l'ui'agc étoit déjà établi
de fon cems. C e qu’Hoinefe n’a fait qu’indiquer affez légé-
rcmeiK, Efchyle l’a remarqué fort au long en pluficiirs endroits
de fa tragédie. X V . 184. a. Ceire inveniipn des Agnaux
odmirnblemeiitperfecHonnée paries Grecs.Defeription d’une
forte de Agnal, qui conAAoic à f.iire lire peu-à peu, à un ob-
fcrvateur ce qu’il était important d’appruxlre : cette defeription
tirée de Poiybo S: de Jules Africain. Ibid. b.
Signaux, { A n milit.) trois fortes de Agnaux; les v o caux
, les demi-vocaux 8c les muets. X V . 185. a. Nouveau
moyen de commander les évolutions Sc les mouvemens qui
fe pratiquent parmi le fracas des armes , felon M. le chevalier
Folard. Signal de guerre pratiqué par les anciens, un
prêtre couronné de lauriers, précédolt l’arméj avec une torche
allumée à la main. Auteurs qui ont expliqué les Agnaux
par le feu. Ibid. b.
Signaux qui précédoienc les armées dos anciens dans leurs
marches. Ceuxquidirigeoientles Il'raélitesau défert. X I. 279. a.
Signaux , {.Aarine) inllruélions qu’on donne fur mer
par quelques marques diliiniiives. Signaux généraux. Signaux
particuliers. X V . 185. 3. Les articles fuivaiis donuem l’explic.
ition d’un projet imiverfel de Agnaux, imaginés par le
P. H ô te , pour fe faire entendre fur mer. Signaux de co.m-
mandement pour le jour. Signaux de commandement pour
1.1 nuit. Signaux de partance. Signaux pour les o.'dres. Signaux
pour les mouvemens de l’année. Signaux de cliaA'e
& do combat. Signaux de confeils 8c de confuliation. Ibid.
186. a. Signaux pour faire venir à l’amiral. Signaux de
mouillage. Signaux des particuliers pour avertir le général.
Ibid. b.
Signaux fur mer, vol. V IL des pkiicli. Marine, planches
2 3 - 2 5 .
Signaux dan.s les p-tiAcs des gardes - cô te s , en tems de
giterre. V IL 486. a.
S IG N A L EM EN T , ufage de ces defc riptions d’une per-
fonne iiourfuivie. X V . i86. i .
S IG N A TU R E , {Jutijpr.) méthode employée avant l’ufage
des Agnatures. La Agnature donne la perfeélion à l’aéle. Elle
Axe la date du jugement des procès écrits. X V . 187. a.
Signature. Comment les empereurs romains Agnolent les
refciits. X IV . 748. 3. Comment les rois de France des deux
premieres races Agnoienc dans les chartes. IV . 1023. n. Signatures
dont les ordonnances de la troificme race étoient
munies. XI. 588. 3. Anciennement, les pttirs étoient appelles
aux aâes publics de leur l'eigneur , pour les rendre j)lns
authentiques par leur Agnatuie. Le roi failoit de même
Agner des chartes & ordonnances par fes pairs. 761. a. Signature
par tine c ro ix , IV. 510. 3. par nionograme. X.
667. a , b. Signature par aval dans le commerce. I. 858.4.
D e l’ufage de contre-Agner les pieces qui ont été Agnées.
IV . 141. 3. Examen des iignatures des anciens ailes. IV .
1023. a , 3. Reconnoiffaiicc de Agnature. XUI. 861. 3. Vérification
d’une Agnatiire. X V i l. 68. 3. Sling 8c Sous-
SIGNER.
Signature de cour de Rome, en matière de bénéfice. D ifférentes
fortes de Agnatures. Leurs effets. Date de la Agnature
, 8cc. X V . 187. J. Ouvrage h confulter. J3it/. 3.
Signature. Deux fortes de Agnatures en matière bénéfi-
ciale ; le f i .u , qui ell celle du pape, 8c le concejfum, qui
eft celle du préfet. III. 804. 3. V I . 661. 3. Dans le concours
de deux Agnatures, laquelle doit être préférée. III. 804. 3.
C e qu’on pratique à Rome pour éviter l’inconvénient du
concours. 828. a. Voyeg_ Provifion de cour de Rome.
Signature de grace : Agnature de jiiffice , en chancellerie
romaine. XIII, 282. 3.
authentique. Signature ht forma Jigr.urn novifjlmâ.
Signature in forma dignurn antiquà. Signature en forma gra-
cieufe. Signature de juAice , originale, o r iv é e , ouMiciuc. XV .
187. b. es . I ^
Signature, {Imprimerie) forte de marque employée au
bas des pages. Son ufage. X V . 187. 3.
SIGNE , ( Mecaphyj. ) diAinilion de trois Ibrtes do figne.s ;
les Agnes accidentels , naturels 8c d’iiiAiturion. X V . ib8. a.
Sig n e : {Liuèrat. Beilcs-leit.) différence entre figue 8c
Agnal. X V . 183. 3. Nécellké des Agnes pour la dilHnition Sc
la clarté des idées. III. 796. 3.Du grand ufage que les Orientaux
faifoient de divers Agnes pour communiquer leurs idées
dans la conyerfation. IX. 242. 3. Figure par laquelle le ligne
eff employé pour la choie Agnitiée. X. 468, 3. Signes plus
puiffans que tout l’arc du dil'cours. Suppl. iU. 566? 3.
Signe, {Algèbre) x v . 188. a.
Signe , {Ajlronom. ) diviAon du zodi.ique en douze Agnes.
Ces Agnes ne répondent plus aux confleilations dont iis portent
les noms. Signes particulier.s à chaque faù'on. Signes
leptentrionaux 8c méridionaux. X V . 18S. a.
%«.■ < A lodiaquc. X V ll. 710. i. Signes aleendniis. 1. 748.
679
Signes defeendans. IV . 873. 3. DiviAon des Agnes dans i’af-
trologic. VI. 356. U. Leur diilinéiion en malcuHus 8c l'éml-
mus. X. 171. b. Succeffion des lignes. X V . 597. a. Acctoif-
Icnienc des jours dans les lieux feptemrionaii.x, tant que le
foleil avance dans les Agnes afcencians. Phénomène contraire
jiüur les lieux mérulionaiix. XVH, 730. b. Trigone des Agnes,
initriimciu de gnomonique. XVI. 639. 3
Signe. Sànüon,. ) C e l l à Hippoennn que b
Ic.encc des figues a le plus d’obligation. Trois Ibnes de eon-
noillances qn on peut acquérir à la b v eu r des figues. Signes
anamneftiqiies. Signes diagnoAics. Signes prognoflics. Parmi
les lignes, il y en a de communs à pluln.ur.s m.il;ulies, 8:
quüii appelle équivoques. Il y en a de plus diAinciifs, qu’on
a nommas p.tthognomoruques.XY. 188. 3.
Signes , jcunce des {Mé.lec.) voyei SiMÉlCTlQUE.
!mg.nes, {tomm.) ceux par lefquels les hommes ont
imagine de repréfenier l’argent. V. 965. 3.
Signes, {M u fq .) caraiiercs employés en mufiduc. XV.
189. a.
Signes, eemure par {LUtéi.it.) voyer ABRÉVIATION,
Caractère, Note. D e cet ufàge parmi les Romains.
Ilaxter a du penchant à croire que cette maniéré d’écrire
etoit generale , avant qu’un nuiucien eût inventé l’alphabet.
Signes lacres des Egyptiens. X V . 189.4.
S IG N E R , ( Orfev.) c’eft marquer l ’argenterie & l’orfévre-
n e ,d i i poinçon. Obligation de l’urfevre de Agner les uuvia-
ges. X V . 189.3. ®
Signer. X V . 189. 3.
S IG N IA , ( Geogr. anc. ) ville d’Italie dans le Latium, Paf-
lage de quelques auteurs fur cette ville. Moiua^iie de câ
nom en Phrygis. X V . 189. 3.
S IG N p IC A F IÜ N , {Gramm.) Di.ffércnce entre AgniA-
cation, lens 8c acception d’un mot. X V . 16, 4, 3, Si"aiA-
cation objeélive 8c Agnification ibnncllc dans les moi° X.
761. 3. 762. 4. CJinngement infenfible dans la funiification
des mets. IV. 862. a. ^
) littérateur. V I . 421. 4. X. 600. 3.
S IG O V E SE , chef des Gaulois : lès conquêtes. V IL r iS . 3. Suppl. IL 2S0. 4.
S IG O V IE , p.ùn 4 la. XL 749. 3. 750. 3.
S lG n iU G , {H iß . de Suède) roi de Suede qui vivoit
vers la tm du premier Aede. Suppl. IV . 793. 4.
SIHUN , ( Géogr. ) nom moderne du fleuve Jaxartes. VII I
478- 3._
SJIKOGGI , {B o t.) arbriffeau du Japon. Sa defeription.
Deux luîtes d’arbres de ce nom. X V . 190. 4.
» (Grog/-.) ifle de h mer Égée , autrefois (Knoé,
I illc au vin. Origine du nom Sikino. Aventure de Tliors
roi de Lu u n o s, dans ccite ilU. Foyer S i c i S L s , bourg de’
Sikino. X V . 190. 3.
SILAHD A R A G A , ou SdiHArag.,, (H iß . ,„ad.) porro-
epee du lultan dans les cérémonies publiques. Ses fondions
oc fon automé. XV . 190. 3.
S ILAN IO N , fculptcur de l’nmiquicé. X IV . 826. 3. Statue
de Sapho par cet artiAe. VU . 442. 3.
S IL A i , compagnon de S. Paul dans fes travaux 8c dans
les voy.igcs. Mipp/. W . 260.
, . ’ (Géogr.) ville détruite d’Anglc'erre. Son
lufioire. Monunieiis d’antiquité trouvés dans ce lieu. X V .
191. 4. — Foyei Fin d o s u m .
S ILENCE, {Art oral.) le Alciice fait le beau, le noble,
le pailiétique dans les penfees, parce qu’il cA une image
de lu grandeur d’ame. Exemple tiré d’Homerc 8c de V ir gile,
Sorte de Aicnce qui conlille à mépriler une aceufa-
uon a laquelle on ne poutroit répondre fans s’abaiffer. Le
premier Scipion l'A fricain cité en exemple. Autre tiré de
la tragédie de Nicomede, Silence par lequel Agis répond à
la harangue d'un ambaifadeur d’Abdere. Un pliilofop.'ie op-
polant aux chrétiens la patience 8c la fermeté d’EpicIete,
lorlque fon maître lui caifa la jambe, votre Jefus• CliriA
a-t-il rien fait d’aufl'i beau à fa mort, î t - i l? O u i, répondit
S. JuAin, il s’eft ui. XV. 191. 3.
Silence, avantages que quelques grands aéleurs ont Ai tirer
de certains Alences. IV . 685.3. Silence improl ateur,
V i l l , 630. 4. infultaiu , 804. 3. inanjue de polùelfe. XII.
916. 3. Silences par lefqiicls on fiippléoir ancicimcmcnt aux
tems qui manquoient à un vers. Suppl. IV. 984. 3. Letircs
prefcrivanc le fitence, qui étoient écrites fur les pones des
falles à manger des Romains. XV. 486. a. Vertu qui con-
AAc à garder le lilence à propos. 819. a.
Silence, {Critiq. facr.) Acceptions figurées de ce mot
dans l’écriture. X V . 192. a.
.Silence , dieu du , {Myth. ) vo ye z Sigation, Harpocraïc ,
A/igenora, Tacit.t.
Silences, {Mußq.) énumération des divers Alences.XV
192, 4.
Silences marqués en miifique par le baron. IL 144. 3,
SILENE, {B o t .) caraélercs de ce genre de plante. YFd.
192. 4.