8o4 T R E T R E
T u Ép a k e r , {_Mdrèch.) ufagc (iii trcpnn dans certaines
maladies du cheval. III. 3 9 5 .-J. 4MT
répan, ( Fortifie. ) inftrumcnt (tondes mineurs le fervein
pour donner de l'air à une galerie de mine. Manière de s’en
T ré^^n ^(^ounl deSeu'.pt. 6- Je M.irbncr) il fert à forer &
percer les marbres & pierres dur'es. Defeription de trois l'ortes
de trépnns.XVI. 393.0.
TR É P A S , Mort, Déecs , ( Synon. ) différences dans la
fignificaûon & l’uiagc de ces mors. X V I. 393. b. Voycp_
Décès.
T répas de Loire , {^Finances de Frjncc'^ bureau Ou Ion
fair payer le droit de la traite-foraine , à l’cmboucluire de
La Sarre dans la Loire. Etymologie du mot trimas, \c\ employé.
Origine de ce droit. Mauvais effets de Ion établilTe-
ment, 8c de l’extenfion arbitraire que les engagiftes lui ont
donnée. X V I. 393. b.
TR É PASSÉS, (Hifi.ec cl.) fête de l’églife romaine. Son
origine. X VI, 393. b.
T R É P ID A T IO N ou Tifubotion, {dtfironom. anc. ) efpece
de balancement attribué aux cieux cle cryffat. Piiénomenes
que les anciens expliquoient par cctie hypothefe. XVI.
'^ T rI p IÉ , ( Ar.ùq. grecq. & rom. ) I'or'igine des trépiés fe
perd dans les teins les pins reculés. OtVrandes cle trépiés
en ufage chez les Grecs 8c les Romains. Les trépiés étoient
auffi donnés par récompenfe aux talens. Grouppede marbre
alTez indécent pour les dieux , mais qui fait honneur
aux trépiés. X V I. 394. 0. Trépié trouvé dans la inaifon
de campagne d’Adrien. Différentes formes de trépiés lacrés.
Les Grecs les embellirent plus que les Romains. Ibid. b.
Trépiés trouvés à Hcrculanum. V llI . 133./'. Suppl. III.
3 33.U.
T répié , ( Médaill.) les médailles prouvent que les tre-
piès étoient d'un grand ufage dans les lacrifices. Méd.ailles
de Vérus & (le Vitcllius où l’on voit des trépiés reprefentés.
X VI. 394. b.
T répié de U Pythie, {^Mythol.'] cortin.i , origine, de ce
trépié , dreffé fur le trou d’où fortoit l’infpiratiun divine.
X VI. 394. b. En quoi confiftoit cette exhalaifon. lin e faut
pas confondre ce trépié fur lequel s’afieyoir la Pythie avec
le trépié d'or qui écoit placé auprès de l’autel dans le temple
de Delphes-, voyr3;^c\-defrousTRÉPlÉ d’o r . On donnoit
aiilTi le nom de trépiés aux divers autels d’Apollon. Ibid.
593.
T répié Je U Pytbic.Son couvercle. Suppl. I. 488. b. Sa clef-
crlption. Ibid. & 4 8 9 . Son ufage. Ibid. û‘, b.
T répié d'or, \ Litt. ) defeription de ce trépié, dont les
Grecs firent prélùnt à Apollon après la bataille de Platée.
C e trépié tianfporré, à ce qu’on c ro it , à Conilantinople par
ordre de l’empereur Conflantin. X V I. 393. .i.
TKi.-9ii.sde Dodonc, {L it t .) conjeéture fur l’airain qui ré-
fonnoit dans le temple de Dodone. X VI. 393. a.
T répié , ( i ù f . ) grande marmite ou chauderon à trois
piés. Deux fortes de vafes de ce nom. Anciennement on
faifoic préfent aux héros de baflins & de trépiés. XVI.
dont les anciens fe fervoient pour chauffer leurs
chambres. II. 31. A
T répié , ( A n numifm. ) figure fymbolique fur les me-
dailles.XVI. 393, A
Trépié. Emblème repréfentant un dauphin joint à un ire-
pié dans les médailles. XIII. 7 1 5 - X V . 729. b.
T répié , ( Ciritr ) X V I . 393. i-
T répié, \March.defe') X V I . 593. A
TR ÈS , ( Lauo. franc.) Tris, Bien , Fort, fignes du fuperla-
t if ; en quoi ils different dans l’ufage. II. 244. A Origine du
mot /rèr.VIIl. 497-
TR È S-CHRÉ TIEN, ( Hifl. de France ) origine de ce titre
donné aux rois de France. Premiers rois qui font porté. Il
n’eft devenu permanent que depuis Louis X I , qui l’obtint du
pape en 1469 X VI. 396. a.
TRES TAD ERNÆ ,{Géop,r. anc.) lieu d’Italie dans la
Campagne de Rome, aujourd’hui Cifierna. Il en efl parlé
au livre des Aéles xxvUj. 13. Autre lieu de ce nom en Macédoine.
X V I. 396. a.
T R É SO R , ( Droit nat. é* civil) un tréfor eff un argent
trouvé , felon la définition du digefte , & dont on ignore le
maître. A qui appartient un trélor trouvé. Variations des
loix fur cette queftion. X V I . 396. b.
T rzsOK public , {Antiq.d'Athcn.) fomme mife en réferve
dans ce tréfor. Fonds de fubfide qui l’eniretenoient. Trois
fortes de dépenfes auxquelles il étolt employé. Tréforiers publics.
X V I . 397. a.
T résor public, {Antiq.rom.) il y avoir dans le temple
de Saturne trois tréfors publics. Différens revenus qui les
entreienoient. Ufages auxquels ils étoient deflinés. XVI.
597. J. Etymologie du nom ararium donné à ces tre-
fors. Tréfor particulier d’Augufte , défigné par le nom
de fife. Tréfor militaire. Tréfor des pontifes. Ibid. h.
TRÉSOR^ui/ic , {H ijl.) Voyc:^ Æ r a RIUM. Dépi^ts où les
Romains confervoient les deniers publics & les chofes la-
crées. VI. 434. a, b. Tréfors des temples des païens.XVI.
66. il. XVII . 413. A T ré fo r des pierreries du grand-feigneur.
III. 270. b. Chambre du tréfor du ferrail. 224. a. Chambre
du tréfor, en France. III. 30, b. 37. A T ré fo r , voyrç
F is c 8: Ep a r g n e .
T r é s o r , (C'n/ù/./ucr.) cllffércmesfignifications decemot
dans les amenrs facrés. Tréfor de l’épargne. Tréfor du temple.
Tréfor de Dieu. Tréfors d’iniquité. X V I. 397. A
Tréfor des chartes du roi , dépÉit des titres de la couronne.
Les pins anciens titres perdus, fous le régné de Philippe-
A u gu fie ,en 1 194. Recherches ordonnéespar.cc rot pourrem-
placer les pieces perdues. X V I . 397. A Lieu du dépôt qui
fut alors fixé à Paris. Chartes ou titres recueillis dans ce
dépôt. Création qui fut faite dans le même tems d’nn gardien
du dépôt, que l’on a depuis appelle tréforicr-parde des
chartes & papiers de la couronne ou garde du tréfor des chartes.
Fondions qui furent attachées à cette charge. Enumération
(le quelques lins de ceux qui eu ont été rcvcius. Qualification
qu’ils reçurent de gardes du tréfor de lettres du roi,
Ibid. 398. a. 8c de gardes des privileges du roi , Scc. Inventaires
du tréfor des chartes. Ibid. b. Coffres des chanceliers
portés au tréfor fous François I. Défordre dans ce tréfor
des cliartes, caufé par M. du Tillet , greffier en chef du
parlement, & par M. Briffon , la premiere année-qu’il fut
avocat du roi. La charge de rréforier des cliartes réunie à
celle de procureur général en 1382. L’ordre rétabli dans
les chartes en 1613 par MM. Dnpiiy & Godefroi. Les titres
du roi pour la province d’Auvergne mis au tréfor des chartes.
Autres titres Si papiers qu’on y a ajoutes. Ibid. 399.
a. Pieces anciennes très-importantes mifes à ce tréfor par
les foins de MM. Joly de F leury , pere &. fils. Pour ce qui cil
des pieces modernes , il y plus de cent ans que l’on n y en^ a
mis aucune. Travail entrepris par les commilTaires au tréfor
des chartes. Ibid. b.
Tréfor des chartes. Son établilTemcnt. III. 223. h.
TRÉSORIER en fous-ordre , ( Hifl. rom. ) les officiers de
ce nom étoient des particuliers qifi levoienc & portoienc
chez le quellenr du proconful , l’argent nécefl'aire pour la
paie des troupes. Confidération qu’ils acquirent. X V I . 600. a.
T résorier , ( nrme d’Eglife) le tréforicr a fuccédé en
quelque forte aux anciens diacres à qm les tréfors de l’églife
étoient confiés. XVI. 600.
T résoriers de France, ( Jurifp'. ) mngiltrars établis pour
connoitre du domaine du roi. Pourquoi ils ont été nommés
tréforiers. Lieu du tréfor Si chambre du tréforler , du tems
de Clovis I , 8c dans la fuite. X V I . 600. a. Officiers chargés
de la recette Si de l’adminiUrarion du tréfor ou domaine.
HiAoire de ces tréforiers. Ibid. A Leurs fondions Si
pouvoirs. Ibid. 601. a. Leurs privileges. Auteurs à conful-
ter. Ibid. b.
Tréforiersde France. Leurs fonflions.' II. 4Ô3. Tréforiers
du tréfor. IV . 133. a , h. Chevauchées des tréforiers de
France III 313.^. Ces officiers autrefois juges du domaine.
V. 26.^.
T-éforier-garde des chartes. X V I . 398. a.
T résoriers Je l ’extraordinaire des guerres , (^Finances)
X V I 602. J.
T résorier de province, {_Uijî. d'Anglci. ) X V I. 602. a.
Tréjorierdç l’épargne en Angleterre. V i l . 309. b. Sous-tréfo-
rier d'Angleterre. X V . 421. A
T résorier de lempire, grand, ( Hifl. mod. ) I. 618. A
T résorier, (Hifl.turq.) tréforier des menus phùlirs du
grand feigneur. III. 270. b. Grand tréforier de l’empire ottoman.
IV. 730. d , b. Premier des deux eunuques cpii ont foin du
tréfor. VIII. 432.d.
TRESSAILLEMENS que les païens regardotent comme des
préfiges. X l l l . 308. a , A
TR E S S E , {Boutonn.) tiffu de foie ou de fil , d’or ou
d’argent, de différente largeur , & fait au boiffeau. Manière
dont ce riiTu fe travaille.XVl. 602. A
Treffc , boutonnier en. Son moulin. X . 813. d.
TR.ZSSZ de cheveux, { Perraq.) tiffu de cheveux atta<:hés
par uiiDout fiiriin long fil de foie. Manière de faire cette forte
de treffe. X V I .602. b.
TRESSURES o^Treflons montés fur piquets ,{P ich e )((nv i
de pêcherie en ufage dans le reffort de 1 amiramé de S. Malo.
Sa defeription. X V I. 603.«.
TR E V E , {Droitpolitiq.) la trêve n’cA point une paix,
8c la guerre que l’on recommence après la treve n’eff point
une nouvelle guerre. Conféquences tirées de ce principe.
Différentes fortes de treves. XVI. 603. A Effets de la treve.
Examen de la queffion , fi ceux qui par quelque accident
impaévu 8c infurmontable, fe trouvent malheureufement
fur les terres de l’emicml après la trêve expirée , peuvent
être retenus prifonniers. Ibid. 604. a. Treves particulières
ou déterminées à certaines chofes : leurs effets. Loix on
maximes
T R E
maximes qu’on obferve dans «ne treve. Ibid. b. Voye^ A rmistice,
T reve , ( Jurifpr.) différentes fignifications de ce terme.
X V I . Ö04.A *
Treve de D.eu OU Treve du Seigneur. C ’étoit anciennement
un abus invétéré chez les peuples du Nord, de v enger
les homicides 8c les injures par la vole des armes.
Cette coutume fut apportée dans les Gaules, 8c dura fous
les deux premieres races. Moyens qui fiitcnt employés
pour adoucir ce mal en attendant que l’on put y remédier
entièrement ( Pdye^ F a id e ). Loi générale contre les guerres
privées, faite par Charlemagne , mais qui fut fans effet. Suf-
penfion d’hoffilités , ordonnée enfmte par le.> évêques pour
les tems ou il falloit vaquer au (crvice divin ; c eli ce qu’on
appella treve de Dieu. Premier réglement qui en fut f.it dans
un fynode tenu au diocefe d’Elne en Rouihllo.) en 1027.
X V I . 603. a. Cette même treve obfcrvée dans le tems du
concile de Bourges en 1031. Excommunication qui lut lue
alors contre les chevaliers du diocefe de Li.mogcs, qui rc-
fufoicnc de l'e foumettre à cette treve de Dieu. Guerres
priv ée s , défendiie.s en 1032, à l'occafion d’un écrit qu’un
évêque d’Aquitaine dit avoir reçu d'un ange pour engager
les hommes à la paix. Enfin en 10 4 1 , la treve générale tut
acceptée en France. Quelle étoii chaque femaine la .iiuée
de cette treve. Réglement des rois Edouard le co.ueifeur ùc
Guillaume le conquérant fur cette paix de Dieu- Ibid. b.
Cette treve confirmée par plufieurs conciles. Perf^'Unes auxquelles
on en faifoit jurer robfcrvation. Peme de ceux qui
enfreignoient ce ferment. Autre efpece de treve appellee
l a quarantaine le roi, établie parPhilippe-Auguffe pou. remédier
plus efficacement au défordre. Rois fuivans qui la cou
firmerem. Ouvrages à confulier. Ibid. 606. a. yoyc? T reve
ÔcPa ix .
Treve de Dieu. XI. 7 7 1 . a. Tre v e dc quarante jours appellee
quarantaine le roi. XIII. 638. A
Treve marckandc.Wll.%\i^. b.
T reve pécherefe, {Jurifpr.) faculté qu'un fouverain accorde
aux pêclieurs de quelque autre nation , de pécher
en toute liberté dans les mers de fa domination, nonob-
Aant la guerre qui fubfiffe entre les deux nations. Ces
fortes de traités étoient anciennement d’une pratique aflez
commune. De la part de la France, l’amiral étoit autorifé
a ie s conclure, 8c cet ordre a fubfilU jufqu’en 1669. Les
treves pèchcrelTes n’ont prefque plus été pratiquées depuis
long-tems par l’infidélité (le nos ennemis. X V I . 606. b.
T re%’'£&paix , ( Hifl. mod.) décrets portés vers l’an 1020 ,
contre les violences qui fe commettoient publiquement de
particulier à particulier. X V I. 606. b. Peines des violateurs de
ces décrets. La treve de Dieu prolongée par le concile de Clermont
en A uvergne tenu en 1093. Ibid. 607. a. f^oyer T reve
DE Dieu.
TRF.VES, {Géogr.) ville d’Allema gne en deçà du Rhin.
Sa firuation 8c fa population. Obfervations fur Treves ancienne.
Momimens d’antiquité qui fe trouvent dans cette
ville. Remarques fur quelques perfonnes célebve.s dont elle
a été la patrie. Salvien, prêtre de Marfeilleau cinqnii mefieclc;
X V I . 607. a. Julie Drufille , fille de Germanicuj 8c d'Agrippine.
Ibid. b.
Treves. Anciens peuples de ce pays. X V I . 608. h. La ville
de Treves rendue parlagarnifonque coimnanduii le maréchdl
de Créqiii. III. 230. b.
T reves, arckevéchéde, {Géogr.) fes bornes. Obfervations
hiftoriques fur cet archevêché. Qualité du pays. Comment les
archevêquesde Treves fe font rendus maîtres de la ville. XVI.
éo7. A Evêques fuffragans de l’archevêque de Treves. Ses privileges.
O uvrage à confulter. Ibid. 608. a.
Treves, éleéleur de.TW. 63. 4 .Son titre de grand-chancelier
dans les Gaules : III. 98. A il eft titulaire de l’abbaye de Prum
XIII. 328. A ^
TR E V IE R , aiguiltede, {Marine) I. loa.b.
TR EV IE Z , {Bernard de) IX. 862. a.
TR EUIL ou A xis in pcritrochio, ( Médian. ) mémoire de
M. Ludot à confulter fur la théorie de cette machine. XVI.
608. a. Leviers fnbffitués à la roue du treuil./i/./. h.
Treuil, voyeil CABESTAN, II. 487. A Sc T o u R X V I
462. h.
^ ) peuples de la Germanie en deçà
“ i>R^"'-Leurhiffoire. Etendue du pays qu’ils occupoient. XVI.
T R E V IR S , capitaux, {Hiß. rom. ) magiffrats chargés de
vtJÎller à la garde des prifonniers , 8c de préfider aux ftip-
plices capitaux , s-c. Tems de leur iiifiitution. Liéleiirs qui
leur étoient fiibordonnés pour faire les exécutions. X V I . 608.
b. PafTages de Terence 8c de Cicéron où il eff parlé des trevirs.
Ibid. 609. a.
T revirs monétaires , ( Hifl, rom. ) furintendans de la mon-
noie. Ils ne furent que tro is, jufqu’au tems de Jules-Céfar,
qui en créa un quatrième. Gcértan pofféda cet office. X V I .
609. a.
Tome II.
T R î 803
7'/«’V/r4 Q uartumvirs 6- T riumvir.,
MONETAIRES.
Morch,. (G r à f . .) X. 87, l. 1’oyc.^To.i-
TR É V ISO , ( Giol,. ) ville dans les ii-its de Venife.
Obftrvat.ons lur le 1 , evifaa don. elle ell la capitale H d b ire '
d . T l evdo. Precis de la vie dc T o i.la . ro. des Gmits , né dans
cejieu, XVt. 609. d.
TilÉVOUX,/(N/r/ia/ & journali(îesd< ( L in .') VIII r i f
b. 8i)8. a.Suppl, lil, 639 b. * '°
T 9,ë.\jwé. {Simon-Michel) doffeur en théologie X I '
273, A ®
î K ^ î x l - anaiomiffe. 1. 403. A
TR EZA IN . ( Monn. ) ana-jiiiie petite mimn,.ie de France.
Youiume ohiL-rvée autrefois de donner un trézalnala mciîe
des .•poufailles. XVI. 609. A
T R [A ! ) £ , ( Mufiq.) ce qu’on entend par-là. Swer/ IV . 874.
J-Trois lortes de triades. 7Aù A
TnaJe enlurrnonique , accord compofé de tierce 8c de
qmnre, mais dont la quinte eff faiilTe ou fiipeiflLie. Obfcr-
varoiis fur l’iif.ige de ccr accord. Suppl. IV. 976. A
TR i A C E , terme de marchands. XVI. 610. a.
T r ia ge , ( Jurifpr. ) portion ou canton de bols fé-
pate (lu leffe par quelque marque. Etymologie du moi. Dif-
pofitions (le rordomiaiicc des eaux 8c forêts fur ce triag.-.XVI.
T r iage , ( Mctallurg.) ophrmon par laquelle on fépare à
coup> de marteau la partie méiatlique du mh'erai d’a''ec la
roche ou la matière dont cette partie eff enveloppée. X V I .
T riage d« p.ipicr, {p.ipcterie) X V I .6 10.a.
TR rA lR E , { Art mita, des Rom.) les tnalres étoient de
vieilles troupes romaines mli'es fur les dermer.'s l.gn e s , & qui
ne combattoieni que lorfi,|us les premieres lianes étoient 1 cun-
pues. XVI, 610. a. P.iflages de D enys d’H-ilicarnaire 8c de
Tiic -Live où il en eff parlé. Ibid. A
T'iaires, foldats romains. IX. 337. a. Suppl. IV. 673. a.
Leurs armes. 670. a , A Ufage qu’ils f.iifoient de la pique. XII.
627. a. Leur place dans l'ordre de bataille. Suppl. IV . 174.
b. 670. a.
1 RIANGLE , ( Géométrie ) différentes efpeces de triangles.
ConffrucTiOns de triangles. XVI. 610. A Maniéré de les mefu-
rer. Propriétés des triangles plans. J i ii . 6 1 1 . a , b. Sur les propriétés
des triangles fphériques, voye^; Sp h ÉRIQUE.
T riangle, ( 7'/-/^onon«'rr. ) fohuion des triangles plans. XVT.
612. a , b. Solution des triangles rcélangles fphoriques par les
regies commune-,, Ibid. 613. a. par imeregie univerfflle. Ibid,
A Solution des triangles obliquangles fphéi iqiies. Ibid. 614. A
T riangle , ( Géom. & Tngonom.) bafe d’un triangle. II. j 16.
ij.Conllniire un triangle fembl.ible à un triangle d >nné £>c triplée
en fu.face. Ill, 73 3- b. En tout triangle reffiiigne , deux
cotés étant donnés avec l’angle compris , trouver le trot-
ficme côté. L’angle au foinmet 8c l’on des an-gles à la bufe
étant donnés avec le côté commun, trouver la bafe. Les
tiois angles étant donnés, trouver la proportion des côtés.
Les tro.s côtés étant donnés, trouver un angle. 111. 733,
-i. Maniéré de divifer un triangle en raifon donnée. 'VTL
607. a. Trouv er le centre de gMvité d’un triangle. II. 823.
A Rapport d’cgahté entre un cercle 8c un triangle. 834. A
Trouver la iurfacc d’un triangle par les côtés. Suppl. I,
388. a , b Si_ im tri.ingle a un angle donné , l’excès du
quarré de la fomme des deux côtés' qui forment cet an gle,
l,ir le quarré dc la bafe , eff au triangle en raifon donnée.
386. A Problèmes de Newton qu'on réfout par cette pro-
politron. 38-/. a , b. Piopofitions fur les triangles à l’article
Pa r a l l é lo g r .amme. XI. 91 1. a. Des triangles ifopéiime-
tres. V i i l . 927. A Triangles plans. XII. 696. b. Triangles
fembl.ibles. X iV . 936. è>. Triangles dans une pofition fous-
contraire. X V . 416. b. Doélrine Jes triangles ifoceles, VIII.
928. a. rectangles, XIII. 8ô6. A fphériques. X V . 434. A
Vüve{ T r igo n omé trie .
T riangle carutlériflique eTune courbe, {Géorn. tranfeend.)
II 669. a.
T riangle, ( Aflronom. ) deux conffcllatlons de ce nom.
XVI, 616. A
T r iAUGLE différentiel d'une courbe , {Géom. tranfe.) XVI
616. A
T riangle arithmétique , ( Arithm. ) figure de ce triangle.
Figure, T riangulaire, Pyramidal. Ouvrage à
conffilter. XVI. 616. A
T riangle, {L u t.) différentes chofes fignifiées par cette
figure fymb olique.XVI.ôid b.
T riangle , {Blafon ) manière de reprefenter cette figure.
Suppl. IV . 977. a.
T riangle, (Aort/^c.) X V I .616. A
T riangle, {Marine) X V I , 6 1 7 - i*.
T riangle, {înflrument d'ouvriers) triangle Ongle. Triangle
quarré. Leurs ufages. Inffrument du fieur Hulin appelle la
piece quarrée. XVI, 617. û,
S S S S s s s s s
i 1