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Ni' aSo N A V
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■ pcrie , rcpréfentces vol. III. des pl. Draperie. PI. 4. Navettes
du tiiTerand. vol. XI, des pl. TiiTerand. PI. i.
jylate. Defcriptlon & iifage. XI. ^o. .1.
N a v e t t e , (M in n e .) N a v e t t e , (Plombier.) XI.-^o. b.
N a v e t t e , (Ruban.) Dclcripiion ik. ufage. XI. 50. b.
N.iveucs nomméc.s fubot. X ÎV . 468. b. Flûte. VI. 902. a.
N A U F R A G E , droit de ( Ufage des Barbares. ) Comment
s’ établit clic-t les Barbares qui envahirent l’empire romain
en O cciden t, cette forte de brigandage. Soins que prirent
les Romains de le réprimer. XI. 50. b.
N.iufragc , droit de bris 011 de naufrage : hiftoire de ce
qui concerne ce droit chez les peuples qui fe le font attribués.
II. 423. b. IX. 173. a , b. Loi.x de file de Rhodes par
rapport aux naufrages. IX. 668. b. X IV . 238. a , h. Tableuu.x
que montroient ceux qui étoient éciiappés d'un naufrage. XV .
803. b. Efpece de droit de naufrage reçu en Normandie. XVI.
S39. b. Loi à confulter fur le droit de naufrage. IV . 658. a.
V . 26Ö. U , b. XI. 3 i.,r.
Naufrage, (Jurifp.) Difpofuions de l’ordonnance de
la marine fur les effets naufragés. Celle de l’ordomi. des cinq
groffes fermes de 1687 , fur le meme objet. XI. 5 1. a.
NAU FR AGÉ S , (H iß. a ne. ) C e que pratiquoiciit autrefois
les gens échappés du naufrage. XI. 31. j .
N A V ÎCU L A IR É , o s , (Anatom.) Deux os de ce nom.
Pourc|uoi ils font aiiiii défignés. Leurs deferiptions. XI. 31. a.
N A \ IG A T E U R , ( Marine. ) Comm eut la nature a pu aider
les hommes découvrir l’art de la navigation. Premiers
eflais qu’ils en firent. Navigations des Phéniciens. Celles des
niodetncs. Ce fut dans le royaume de Portugal que s’é lev a,
au commencement du 13'-. lleclc , cet cfpnt de découverte
qui a jette dans l'Europe des richefies inimenfes. Premieres
découvertes que les Portugais firent fur mer. Ce fut à l’infant
dom Henri qu’ils furent fur-tout redevables de leurs vaf-
tes entreprifes. XI. 31. A Gama, ( Vafco de) hilloire de ce
navigateur portugais. Magallucns, (Ferdinand) Magellan , ob-
fervations hifforiques fur ce navigateur. Mendes Pinto, (Ferdinand)
fon liilloire. Colomb, (Chrijlophe) précis de fa vie Sc
de fes voyages. Ibid. 32. a. Pcfpucci, ( Amcrico) mêmes ob-
ferv.atioiisfur ce navigateur. P iiaro, (François) Cartel, (Fernand)
deux navigateurs connus par les cruautés qu’ils exercèrent
fur les Indiens. Des navigateurs Hollandois. Ibid. b.
Des navigateurs anglois ; leurs voyages & leurs découvertes.
Jean Cabot vénitien , au fervice du roi d’Angleterre. Parmi
les navigateurs anglois de nation, il y en a quatre fur-tout qui
font célébrés & dont on donne ici l’hiftoirc abrégée , favoir
Drake, (François) Forbijher, (Martin) XI. 53. a. Rawleigh,
( IHilta^ An fon , ( Georges) Ibid. b.
N A V IG A T IO N , ( Hydrograph. ) Trois parties renfermées
dans l’art de la navigation. L’art de naviger diffingué en navigation
commune ou le long des côtes, & en navigation propre
, quand le voyage fe fait en plein océan. Quatre objets
fur lefquels roule tout l’art de la navigation, X L 34. a.
Navigation. Son origine. Navigation des Phéniciens, celle
de Carthage & d'.Alexandrie. XI. 34. b. La navigation abandonnée
après la chute de l'empire romain. Cet art rétabli en-
fuite par les plus fenfés d'entre les Barbares. Q uel peuple
de l’Europe a commencé le premier à faire le commerce Sc
la navigation. Origine de la république de Venife. Commerce
& navigation des Vénitiens. Ibid. 33. a. Rivalité entre Gènes
& V en ife , terminée en faveur des "Vénitiens par la bataille
de Chioza. Ligue des villes Anféatiques. Union de la navigation
avec le commerce. Fameu.x aéle de navigation palî'é
én Angleterre, confidéré comme ic dieu tutélaire du commerce
de ce royaume. Ibid. b.
Navigation. Ses commencemens. IL 89. a. Ses progrès.
Ibid, f Navigation le long des cô te s, Voyei Cabotage.
Navigation des anciens privés de la boufible. 373. a. D e la
navigation des Syriens. X VI. 783. a , b. Les mythologues
ont attribué à Ofiris l’invention de l’art de naviger. XI. 683.
h. Navigations des Carthaginois. 939. b. 960. a. Celle de
Hamion , le long des c ite s de l'A frique. XII. 374. b. Journaux
de navigation des anciens. Ibid, a , b. 6lc. Navigations
de Pyehéas de Marfeille, & d’Arrien de Nicomédie.
576. a , b, & c. D e la navigation fur le Pont-Euxin. XIII.
78. b. Jufqu’oîi s’étendoit la navigation de ceux qui cô-
toyoient la cote d’Afrique. 447. a. Progrès des Romains
dans la navigation fous Augufic. VIII. 661. a. Hiftoire des
progrès de cet art : auteurs qui en ont traité. X. 49, a.
Na v ig a t io n , (Littér.) Son origine felon les mythologues.
XI. 683. b. S’il eft vrai que le cheval ait été le
fymbole de la navigation. Suppl. II. 391. a. Rapport que les
anciens ont établi entre la navigation & l’équitation. Suppl.
III. 376. b. Dans le langage des Grec s, un grand nombre
de mots deftinés à l’équitation étoient adaptés à la navigation.
V . 338. a. L’ignorance de la navigation fit naître
chez les anciens une infinité de fables. VI. 344. a. La navigation
contribua beaucoup aux progrès de la géographie.
V IL 608. b.
■ A , art de naviger. Trois efpeces de naviga-
N A V
t lo n , la navigation plane, celle de Mercator & la circiia
laire. Par qui les cartes planes ont été mifes en ufage. Ob-
fervations lur les carte,s de Mercator. XI. 35. b.
Navigation, fix problèmes dans la folution defquels con-
fiftc roue l’art de gouvetner les vailTcaux, X. 48. b. D e là
loxodromie & dcTulage des tables loxodromiques. IX. 708.
i2. X IV . 264. b. 263. a. De l'iifagc des échelles logarithmiques.
Suppl. IL 731. a. Cartes employées dans lu navigation.
Suppl. IL 231. b. Navigation oblique. XL 307. a.
Obfcrvation fur l i m.micre donc le partement eft reprefen-
té dans la navigation de Mercator. XII. 87. a. Pourquoi la
navigation eft en général plus prompte vers l’occident que
vers l’orient. VI. 903. a. D e la navigation fur la mer Noire.
X, 367. a , b. XIII. 78. b. Fauffe route dans la navigation.
X IV . 416. d. D e la navigation par le Nord. Suppl. IV. 230.
a , b , Sec. Des vents par rapport à la navigation. X V II .
22. a , b. Ufage de quelques inftrumcns dans l’art de naviger
: du luk. IX. 680. a. D u quartier anglois & du quartier
de réduélion. X llI . 684. a , b. 683. a , b. Inftrument
au moyen duquel on tient compte du fillage & de la direction
du vailîtau. X IV . 105. a. Inftrumenr appellé irocho-
metre. Suppl. IV. 977. b. Sur les autres in ftrumens, voyei
Injirumens afironomiques. Des évolutions navales. VI. 201.
b. Sur la navigation , voye^ Hydrographie, P.-otage , Route ,
Paijj'eau. Les planches relatives à la navigation , fe trouvent
dans le volume V.
Navigation pl.me. Problèmes I. La longitude & l.i latitude
de deux lieux étant données, trouver les lieues mineutes de
longitude. La iongitude Sc la lariuide étant données, trouver
le rluinib de vont qu’un vaiffeau doit fuivre pour aller
d’un de ces lieux à l’autre , & la longueur de la route. XL
36. ƒ . Un rluurib étant donné avec la diftance qu’on a couru
fous ce rbumb , trouver la longitude ôc la latitude du lieu
où l’on eft arrivé, Ibid. h. Les latitudes, tant du lieu d’où le
vaiiîeau eft p ani, que de celui oii il eft arrivé, étant données
avec le rhumb qu’il a fu iv i, trouver la diftance & la
diftérence en longitude. Les latitudes des deux lieux étant
données , avec leur dift.ince , trouver le rhtimb & la différence
en longitude. La difference en longitude des deux
lieux étant oionnée, avec la latitude du premier & la diftance
parcourue , trouver le rJnunb & la latitude du fécond
lieu. Ibid. 3 7 . La différence de longitude des deux lieux,
2k la latitude de l’un étant données, avec le rhumb, trouver
la diftance parcourue & la latitude du fécond lieu. La
folution de chacun de ces problèmes eft donnée, pour la
navigation plane, fuivan: Mercator, & par les tables loxo-
droiniques. Foyci PtAN.
Théorie de la navigation, circulaire. Connoiffant la latitude
2k la longitude , tant du lieu d’où l’on eft parti, que du
lieu où l’on eft ar r iv é , trouver l’angle fous lequel le chemin
du vaifteau, qu’on fiippofe faire une courfe circulaire,
coupe le méridien du lieu de départ. Ibid. h. La latitude
& la longitude du lieu d’où l’on eft parti étant données , ainft
que la diftance parcourue , & la latiiude du lieu où le vaiffeau
eft arriv é , trouver la longitude du lieu, & l’angle compris
entre le chemin du vaiffeau & le méridien./éief. 58.V Foyer
C ir c u l a ir e .
Navigation droite, celle par laquelle on fait voile direéle-
ment vers un des quatre points cardinaux de l’horizon. XL
38. 5.
N a v ig a t io n , (Jurifpr.) Foyei M a r in e .
N a v ig a t io n , ( Médec. ) Des effets que la navigation produit
relativement à la famé. C aufe des vertiges & des naufé-cs
qu’éprouvent fur un vaiffeau la plupart des perfonnes peu accoutumées
à la mer. XI. 38. a. Voyei Me r , ( Médec.)
N A V IG E R , (Marine.) Naviger dans la terre, /.frme t/e
ta g c .X I .fè .b . ^
Naviger. Maniéré extrêmement véloce de naviger. Suppl
I. 813. b.
N A V IR E , navire en guerre & marchandife. Navire à fret,
enviélitaillé, en charge , chargé ; navire terre-neuvier, navire
banqué 6c débanqné; navire de regiftre. XI. 38. b. Foyei ce
dernier mot.
N a v ir e A r g o , (Myth. ) vaiffeau des Argonautes. XI. 38.
b. Foyei ce dernier mof.
N a v ir e d’A r o O-S , (AJlron.) Détermination que quelques
aftrouomcs ont faite de la longitude, latitude, afcenfion droite
6c décliiiaifon de plufieur.s étoiles de cette «onftellation. Ori-
Navire PrOFONCIÉ, (Marine.) XI, 39. a.
_ Navire Sacré, ( Antiq. égypt.grecq. & rom. ) bâtimens dédiés
aux d ieux, chez les Egyptiens. Galeres facrées d’Athènes,
la parale 2k la galere falaminienne, ou déliaque. XI. 39. a.
Les Athéniens conferverent celle-ci pendant plus de mille
ans. Autres vaiffeaux facrés des Athéniens ; l’Antigone, le
Demetrius , l’Ammon 6c la Minerve. Ufage qu’on faifoit de
ce dernier. Navire facré des Egyptiens Ibid. b. Foyci Isis.
Na v i r e , mod.) Ordre de chevalerie, autfement
A X
^nmmk Tordre d'outremer, OU du double croijfar.t. Son inftitll-
tioii : marque de l'ordre. Cer ordre confervé dans les royaumes
de N.iplcs 6c de Sicile. XI. 39. b.
N a v ir e , ou du croijfant ( Tordre du) fon inftitution. Ce
que fignilioient les fymfaoles du navire 6c du croiffant. Collier
de l’ordre. Révolutions que cet ordre a éprouvées. Suppl. IV.
23. a. Foyei\o\. IL despl.Blafon , pl.26.
N a v ir e s , (Hifl. anc. ) Enumération de différentes efpeces
de navires que les anciens ont eus. XI. 59. b. F o y c iG \ -
LERE.
N A V Iü S , (A u îu s ) augure. X V I . 620. <r. Prétendu miracle
qu’il ht devant Tarquin. II. 860. a , b. Figuier de Na-
vius. V I. 747. b.
N A U LA G E , ( Myth. ) Droit de paffage de la barque de
Caron. Piece de monnoie que les anciens mettoient fous la
langue du défunt. Oûgine 6c univerfalité de cet ufage. At-
teftation de vie 6c de moeurs qu’on metcoit aulfi dans le cercueil
du défunt. XI. 60. a.
N A UM A CH IE , (Antiq . rom.) Combat donné fur l’eau.
Cirque plein d’eau dans lequel ces combats fe livroient. Jules-
Cefar cfi donna le premier Iv divertiffenient. Autres nauma-
clùes exécutées fous le regne d’Augufte , de Claude , de Néron
6c de Domitien. X L 60. a.
N.A.UMBOURG, (M.irché de.) X. 84. b.
N A VO N N E , place de Rome. X IV . 352. a. Fontaine de
cciie place. 314. b.
NAU Pà C T É , (Géogr. anc.) ville de la Locride. O rigine
de fon nom. Ses révolutions. Nom qu’elle porte aujourd'hui.
XI. 61. a. Foyei LÉPanTE.
N A U P A L IA , (Géogr.) bourgade de la Morée , dans le
meme lieu où fut anciennement la ville d’Argos. Suppl. I.
N A U P L IA , ( Géogr. anc.) ville 6c port de mer dans l’Ar-
gie. On a jugé que ce devoir être Napoli de Romante. Fontaine
de Casiathus dans fon voifmage , d'où Jimon fortoit
totijours en état de vierge. XI. 61. a. Voyci Canathos.
NAU ROU SE , (Géogr.) Lieu de France où l’on fait le
p9im départagé des eaux, pour fournir aux canaux qui joignent
la Méditerranée à l’Océan. XI. 6 i . a. Comment on ell parvenu
a faire cette jonftion defirée. Ibid. b.
NAUSÉE , (Medec. ) Différens remedes à employer contre
les naufees, félon la divcrfité des caufes dont elles proviennent.
XI. 61. b.
N A U T E , (Littér.) Significations de ce mot. II paroît que
les n.mta compofoieni un corps confidérable dans l’état. X L
6 i . b. Ce que nous apprend fur la compagnie des nautes
établie à Paris, une infcrlption trouvée eh 17 1 1 . Société
de négocians qui leur fuccéda. Origine du corps municipal
, connu fous le nom d’hôtel-de-vilie de Paris. Ibid. 62. a.
N A U T IL E , (ConchyoL) Caraélere générique de ce coquillage.
Origine du nom de nautile. Defeription du coquillage.
Ses autres noms. Deux genres de nautile; le p:^py-
r a c i ,S c l e nautile à coquille épaiffe. Leur defeription. Lieux
où ce teftacé eft commun. XI. 62. a. Difficulté que les pécheurs
trouvent à prendre ces poiffons avec leur coquille.
Quatre principales différences d e là daffe des nautiles. Di-
verfes efpeces de nautiles. Ibid. b.
Nautile. Singularités que préfente la navigation de ce coquillage.
Lieux oil fe trouvent le nautile papyracé 6c le nautile
chambré. Suppl. IV . 23. a.
Nautiles, rang qu’ils tiennent dans la diftribution des coquilles.
IV . 189. b. Nautiles papyracés 6c nautiles chamin-és :
mers que ces deux fortes de coquillages habitent : c’eft de
leur pétrification que viennent les cornes d’Ammon. 248.
a , b. Foyei vol. VI. des pl. Regne animal, pi. 68.
N AU TILITES. ( Hiß. nat. ) V o l. V I des planch. Coquilles
foffiles , pl. I.
NAU TO NNIERS D ’ATHENES , (Hiß. grec.) matelots
employés au trajet d’Athenes à Salamine. Loi contre ceux
qui culbutoient la barque. Allufion que fait Efchine â cette
lo i, en parlant d’un homme qui auroit culbuté volontairement
Athènes 8c toute la Grece. XI. 62. b.
N A X O S , (Géogr. anc. & mod.) Pofition de cette île de
l’Arclùpel.Xl. 62. é.Sa grandeur ; qualité du terroir. Cette ile
appellee Dionyfia à caufe de Bacchus. Principales chofes qui
rendent Naxos célébré. Hiftoire de cette île. Ibid. 63. a. Son
étatpréfent. Obfervations fur le vin de Naxos. Son commerce.
Quelles font les chofes qui abondent dans cette ile. Archevêques
de Naxos. Sa population. Impofuions fur les habiians.
Ibid. h. Obfervation fur les gentilshommes de cette ile. Ses
principales montagnes. Education de Bacchus dans Naxos,
liifcripcion qu’on lit au bas de la montagne de Zia. Grotte
quon remarque dans cette île. Obfervations d’hiftoire naturelle.
Ibid. 64. a.
N a x o s , ( Géogr. anc. & mod. ) Capitale de l’ile de ce nom.
Sa fondation. Château fitué fur le liaut de la ville. Haine de
la nobleffe grecque 6c de la latine, qui habitent datis ce lieu.
XI. 64. it. Coimnent les nobles plient devant les T u r c s , 2k
donnent effor à leur orgueil quand ils en font éloigné^ Va-
Tome II.
N E C 2 8 1
iiité des dames. Pompe ridicule avec laquelle elles rciitrcn! en
ville après la vendange. Leur habit. Religieux qui y exercent
la médecine. Ibid. b. n -1 j
I Na x e , ( Ducs de ) princes de l’Archipel. Suppl
dnc.) ancienne ville de la Sicile. Autres
Villes de meme nom. XI. 64. b.
N A YB ES , ( H/ß. mod. ) prêtres des îles Maldives qui réunifient
la puiffance temporelle !k fpiriiuelle. Magiftrats qui en
dependent. Ch e f dos naybes. XI. 64. b.
N A Y S , (Hiß. mod.) officiers qui commandent aux troupes
dans le royaume de Siam. Le fouverain ne leur donne
point de folde. Leur charge n’eft point héréditaire. Commenc
ils s’eni-ichiffem. XI. 64.A
r la nazalité de
Na za l e s , ( Gramm.) Voyellesnazalcs. Comment l'organe
de la VOIX en forme le fon. Suppl. IV. 23. .t. Différence entre
les nazales françoiles 6c les nazales grecques 8c latines, qua
les Italiens ont jirifes. Obfervations fur l’effet du fun nazal par
rapport à l'agrément du chant 2k de la parole. Ibid. b.
N A Z A R D , jeu d'orgue. V m . 541.,,. Quane de UimarJ.
AIII.676-O.
N A Z A R E A T , ou Nazareïsme, (H iß . ju d .) En quoi
confiftoit le nazaréat. Deux fortes de nazaréac ; Lun pour na
tems, 6c l’autre pour la vie. Comment les rabbins prétendent
avoir trouvé la durée du premier. XI. 63. a.
NAZARÉEN , ( Hiß. jud. ) Etym. du nior. On trouve le
détail des voeux des Nazaréens. Nomb. V I. Cérémonies qui
fe pratiquoient lorfque le tems du nazaréat étoit accompli. C e
que pratiquoient ceux qui ne poiivoient arriver au temple
à la fin (les jours de leur voeu. Comment on avoir part au mérite
du nazaréat d’un autre. XI. 63. a. N.ii.ircen fignifie auf-
fi un iiomme élevé en dignité. Différences maniérés d’expliquer
ce terme en ce cas. Jofeph appellé Niiaréen entre fes
frères. Gen. xlix. 26. Ibid. b.
N.tiaréens -.lewx célibat. II. 803. a. D e l’évangile félon
les Nazaréens. V I . 114. b. 113. a. Foyei Nazir.
NA ZA RÉIT ES, ou Nazaréens, (Hiß. ecd.) hérétiques,
dans les premiers tems de l’Eglife. Leur doftrine. Autres noms
qu’ils eu'rent. Deux fortes de nazuréites , les uns pu rs , les
autres étoient les Ebionites. Obfervation fur l’évangile félon
S. Matthieu , dont les N.izarécns 6c les Ebionites faifoient
ufage. Guerre que fit Mahomet aux Nazaréens. Les chrétiens
appelles Nazaréens par leurs ennemis. XI. 63. b.
N A Z A R E T H , ( Géogr. )' Etat préfent de ce lieu. Ce qu’il
étoit du tems de Jefus-Chrift. Voyageurs qui l’ont décrit.
XI. 66. a.
NAZI.A.NZE , (Géogr. anc.) Petite ville d’A fie dans la
Cappadoce. Ce lieu illuftré par faint Grégoire & fa famille.
Obfervations fur ce faine & fur fes ouvmges. Perforine n’a
mieux connu que lui, les abus qui régnent dans les fynodes
8c conciles: fes paroles fur ce fujet rapportées.XI. 66. a.
Foyc{ Grégoire de Nazianze.
N A Z IR , ou Nézir , (Hi fl . anc.) terme d’honneur parmi
les anciens Hebrenx ; exemple. Signification de ce mot.
Le furintendaiit de la maifon du roi de Perfe , défigné par
ce nom. Quelles font fes fondions. Ce nom donné en deux
endroits de l’écriture du patriarche Jofeph. XI. 66. b. Foyer
ci-deffus Nazaréen. N E
NÉ , N a tif ( Synon.) X L 36. a. Premier né , ( Tiéohg.)
XIII. 290. a , h.
NE AGH , lac d’Irlande. IX. 699. b.
N É AL C È S , peintre célébré de la Grece. XII. 260. a.
NE.^NDER, (Michel) deux auteurs de ce nom. XV . 367.^.
N E ANMOINS, cependant, pourtant, toutefois , (Synon.)
N E AN T , rien , ou négation , (Métaphyf ) Impoffibilité d®
fe repréfenter le rien , 6c de concevoir ce néant qui précéda
la création du monde. XI. 67. b.
Néant, comment nous en acquérons l’idée. I. 46. a.
Néant, (Jurifp.) terme qui fert à exprimer qu’une procédure
eft rejectee. XL 67.
NE BNE B, (B o t.) efpece d’acacia. Suppl. L 80. a , b.
NÉ BULEU X, (Aflronom.) Etoiles nébuleufes; leurs apparences.
Elles paroiffent être un affemblage de plufieurs petites
étoiles. XL 67. b. Mais en fe fervant de bons tclefcopes,
plufieurs de ces apparences n’ont paru être que de grandes
aires ovales , lumineufes, ou d’une lumière plus claire que
celle du ciel. Conjeffure de M. de Maupertuis fur cette forte
d’aftres. Réflexion fur l’impuiffance où nous ferons vraifem-
blablement toujours d’expliquer plufieurs phénomènes du ciel»
Ibid. 68, a. Foyei' Suppl. IV . 916. a , b.
NÉCESSAIRE , (Métaphyf.) L’être en général eft nécef-
faire. XI. 68. <1. La fource de cette nécefficé fe trouve dans
l’mfiquc décerininabilyé dont les chofes néceffaires font fiff-
B B b h