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534 P R O
Diminution continuelle des fonrees de l’opulence des Pro-
vlnces-Unies. Ouvrages à conliiltcr. ibid. 522. a.
Provinces-Unies. Leurs états qualifiés de haiites-puiflanccs.
XIII. 563. .J. Prince à qui les états des Provinces-Unies
tlonnenc le commandcircm des troupes & une grande part
dans les atfairesdu gouvernement. X V . 494. b. 493.1i. Princi-
j>n!cs révolutions des états généraux fur le fait du commerce.
X IV. 180. b. Voyci Pays-bas.
P r o v in c e , [Gcogr.Gouv. Firanc.) dlvifion des provinces
de France en généralités & éleélions. V . 467. a , b.
V i l . 556. Provinces des cinq grofles fermes : provinces
réputées étrangères. V . 143. h. VI. 513. , b, Inrenclaiis
des provinces. V l i l . 807. h. Provinces de France
appellees pays d’états. VI. 26. a. Obfervations fur le droit
que certaines provinces ont de s’impofer elles-mêmes. XV II .
880. b.
P ltO V IN C U ,{G co p .) contrées auxquelles les Romains
donnèrent originairement le nom de provinces. En quel tems
les contrées d’Ijalie reçurent ce même nom. Gouvertiems des
provinces romaines. Leur divifion fous AtiguAe , 6c fous fes
liicccflcnrs. Difi'érentcs divifions des provinces admifes par
les t'iiciens. Aujourd’hui la plus commune divifion d'une province
eft en haute & en baffe. XUI. 522. b.
Provinci.i. Changemens que les Romains faifoient dans le
gouvernement d’un pays qu’ils réduifoient en province.
XÜI. 407. b. Divifion des provinces par A ugufle, en con-
fulaires , légatoires & préfldiales. IX. 346. b. Provinces appellees
fuburbicaires. X V . 393. a. D e radminiftr.ttion de la
juflice dans les provinces. IX. 91. b. Police que les Romains
y établiiroieni. X ll. 908. b. Vexations exercées dans les provinces
par ceux qui les gouvernoient. XIII. 407. b. 410.
tf. Provinces qui prenoient le titre d’heureufes. VI. 467. .1. Figures
fymboliques qui repréfentoient les provinces. X V . 732.
a. Foyc,'Pr o v in c e .
P R O V IN C IA L , {Jw ifpr.^ cliancellerie provinciale. III.
119. Cominbrûres provinciaux dans l’artillerie. 709. b.
Conciles provinciaux. 818. a , b. Confcil provincial. IV.
16. .2. Edit provincial. V . 139. a. 393. a. Etats provinciaux.
VI. 20. b , &c.
PROV INS , ( Géogr. ) ville de F n n c e dans la Brie ciiam-
penoife. Obfervations fur fon ancienneté. Etablilfemens religieux
: prélid al de cette ville. Commerce de l'éleélion dont
elle eftle fiege. Remarques fur la v ie & les ouvrages de Giiior,
moine bénédiftin , & de Nicolas-Durand de Villegagnon,
chevalier de Malthc, l’un Sc l’autre nés à Provins. X l l l .
523.
Provins. L epréfidentRofe , de l’académie françoife, étoit né
dans cette ville. Obfervations fur fa vie. Anecdote qui lui fait
honneur. Suppl. IV. 342, a.
PROVISEUR , ( tiifl. Lin. ) ce titre en iifage dans certaines
fociétés ou colleges. Provifeur de Sorbonne. Dift'érentes acceptions
du mot provifeur. XIII. 523. b.
PROV ISIO N , ( Jurifpr. ) clifForentes lignifications de ce
inor. L ’auteur s’arrête particuliérement à la fuivante ; Pro-
vi/icn : fbmme de deniers que l’on adjuge à quelqu’un pour
fervir à fa fubfifiance , & fournir aux frais d'un procès ,
en attendant que l’on ait Aatué fur le fond des conceAa-
tions. Maximes de droit fur Ce fujec. XIII. 323. Provif on nlirncntairc. XIII. 324. »2.
Provif on de corps. XIII. 324. a.
provif on en frit de bénéfice. XIII. 3 24. a.
Provifon en fuit de bénéfice. Formalités à fuivre pour les
provifions. 1 1 1 . 626. a. Provifioit d'un bénéfice par devo-
.luiinn. IV . 918. é. PolTefiion provlfionnelle , dite recréance
ou état. V I . 28. a. X l l l .864. b.
Provifon c.-.r.onique. XIII. 3 24, a.
Provifiton colorée. WW. 324.^2.
Provifion en commende. X lll. 524. a.
Provifon de cour de Rome. Comment on obtient cespro-
vifions. XIII. 324. -2. Maniéré dont elles s’expédient. Jour
où commence leur elict. D e la formule de ces provifions.
Supplique de rimpéiranr. Ibid. b. Caufes de nullités dans les
provifions. Comment on rcélifie une provifion déclarée nulle.
Enrégifirement des provifions. Ibid. 323. <1.
Provifon de cour de Rome. Celle que îc pape donne d’avance
d’un bénéfice non vacant. V i l . 804. b. D e l’expédition
des provifions en chancellerie romaine. 111, 120. b.
Provifion en forme commilToire & en forme gracieufe. V i l.
178. b. Claufe appellee nonobfances, ufuce dans les provifions
de la cour de Rome. XI. 225. n.
Provifon cuipniis. XIII. 3 23. *i.
Provifions pro cupiendbusprofilcri. XIII. 3 23. b.
Provifion jur dates retenues ou petites dates. XIII. 323.
Provifion fur date courante. XIII. 323. h.
Provifon par dévolut. XIII, 323.
Provifon par dévolution. ( DÉVOLUTION )
Provifon in forma dignum. XIII. 323. b.
Provifion en faveur gracieufe. XIII. <z6. a.
Provifonp.ir mot.XlU. 326,«.
P R O
Provifon nouvelle ^noMVilic grâce pour rcvalider une premiere
provifion. XIU. 326.it.
Provifon de l'ordinaire, conditions pour qu’elle foit valable.
Du concours de deux provifions pour le même bénéfice.
Provifion qui n’cmpêchc p.as la prévention. X l l l . 326. tz.
Provifion en régale. X lll. 3 26. b.
Provif on en titre. XIII. 326./».
Provifion en f û t de charges &■ d'oficcs. Depuis Louis XI ,
les provifions font regardées comme un titre perpétuel. Lci
provifions du roi ne confèrent que le titre de l'ofilce. Oppol'i-
tion au titre de l'office. X lll. 3 26. b.
Ptovifon en fait de banque. III. 7 1 1. /•.
Provifion, billet de ,KnTiC de douane.II. 254. a.
P R O V ISO IR E , demande, (^Jurifpr.') IV.8 o4 .é.
PROU VLR , Z)c:'/«t)/2//-«r , (S'yne/z.) Suppl.W. Ce)i.b.
P R O ü V lL L E , {^Alexandre de") gouverneur du Canada. Suppl, il, J 66. b.
PRO X EN E , (A/itiq.grccq.) Ics proxenes étoîcnt des m.a-
gifirats de Lacédémone établis pour avoir l’a-ii fur les éci angers.
L ’tif::ge des proxenes commun parmi les dlffiércns peuples de
la Grèce. XIII. 327. a. Voye[ fur la fin de l’artidc XÉné-
LASIE.
PRO.vENE TE, {Jurifpr. ) celui qui s’entremet pour faire
conclure un mtu'iage ou qnelqu’autre affiuirc. Salaire qu'on lui
alî'ignoit chez les Romains. X l l l . 327.^2.
PROXIM ITÉ , ( Morale ) effets de la proximité de fang,
de nation , 6c de prof'efTion. 1. 372. b.
PRO Y ER , ou Pruyer , ou Prier ( Oniith. ) oifeaii de
pafTage. Sa defcripiion. Moeurs de cet oifeau. Suppl. IV .
542- b.
P R U D E N C E , {Morale") la prudence cA tellement la
compagne des autres vertus , que fans elle elles perdent
leur nom & leur nature. Regies de prudence à obfcrver
pour prévenir le repentir en chacune des démarches ou des
entreprifes de la vie. Se piopol'er un but louable, & qu il
foit en notre pouvoir d’arteiiuire. A]ipliquer à l’avenir l’ex-
pericncc du palfé. Apporter tellement a ce qu’on fait toure
fon application , qu’au même teins on reconnuifre avec cela
qu’on peut fc tromper. X l l l . 327. b. R^egles do prudence
par rapport aux autres. Ne s’entremettre des affaires d'autrui
que le moins qu’il cA polTible. Leur donner à comprendre que
nous agiA'ons uniquement pavcondefcendancc à leur volonté ,
fans leur répondre du fuccés. Ibid. 328. a.
Prudence , celle de quelques hommes privilégiés. X V I.
23 3. é. 234. d. Symbole de cette v enu. X V .734. a.
Prudence , ( Aurdius-Prudentius Clemens ) poète. X IV .
643. b. 644. a.
P R U D E R IE , ( Morale ) imitation grimacière de la fa-
gefî'e. Parallèle entre la femme prude ôc la femme fage. XIII.
328. .2.
PRUIM ou Prum , ( Géogr. ) abbaye d’Allemagne. Sa
fondation. Princes qui ont fini leurs jours dans ce lieu. XIII.
328. a. L’archevêque de T r e v e s , aujourd’huititulaire de cette
abbaye. Singularités de ce lieu. Ibid. b.— Foyci Suppl. I.
343. b.
PR U N E , {Jardin.) différentes efpeces & qualités de es
fruit. XIII. 328. b.
Prunes, gomme qu’elles jettent. V I I . 736. a. Signe de
leur maturité. X. 209. b. Maniéré de les fécher. VII .
337. b.
PRUN EAUX , { P harm.) éleéliiaire dont ils font la bafe
IV. 946. b.
PRUNELLE, (/urrfi/z. ) fruit du prunellier. XIII. 328. b.
P run e l le , {Anatom. ) voy^jPu pille : forme d e là prunelle.
Humeur qui fe prépare dans les vaiA'eau.'c de l’iris.
Etat de la prunelle dans le.? cadavres humains. XIII. 328. b.
Prunelle. Ss. defeription. Swpph IV. i i o . a. Defeription
de l'irLs qui entoure la prunelle. V I I I . 903. a. Obfcrvation
fur la prunelle des chats. III. 234. b. Des mouvemens de
la prunelle ; fa dilatation & fon rétreciffement. Suppl. III.
624. b, 8cc. Recherches , obfervations & expériences fur
l'état naturel de la prunelle, fur les caufes de fa dilatation
& de fon rétreciffement. Suppl. IV . 624. b. — 639. b. Examen
de divers phénomènes , concernant ces mouvemens.
Ibid. Maladie de la prunelle nommée mydriafe. X. 912.«.
VR.V'HH.h'S.,fel de , {Pkamiac.) IV . 327.<1.
PRUNELLIER, {Jardin. ) arbriffeau épineux qui eA l’ef-
pece fauvage du genre des pruniers. Lieux où il croit. Sadel-
criprion. Parti qu’on en pourroit tirer, üfages de fon fruit,
XIII. 329. a. F'oyeçci-defibusPRUNlER SAUVAGE.
Prunellier, fuc qu’on tire de fon fruit. Suppl. I. 80. a.
PRUNIER , ( Botan. Jardin. ) caraéleres de ce genre
de plante. Defeription de cet arbre. Terrains Sc expolitions
qui lui conviennent. XIII. 329. a. D e la manière do le
greffer. Différens arbres auxquels il peut fervir de fujec
pour la greffe. Culture des pruniers dans les jardins. Dif*
tance qui leur convient. Ibid. b. Tranfplantation de ces arbres.
Taille du prunier. Divers ufages des prunes. Qualité
du bois du prunier. Différentes çfpeccs 6c variétés de pru-
P R Y
r.es. Efpeces de pruniers qui peuvent intéreffer les curieux
par leur fmguhn hc ou leur agrément, Ibid. 330, a.
Prunier. Noms de cet arbre en difi'ércmes langues. Son
caraAere générique. Enumération de trois efpeces. Suppl.
IV. 342. b. Variétés agréables ou fmgulieres. Variétés cultivées
pour leur fruit, rapportées d.ms l’ordre de leur maturité.
Prunes de vacance ou de retenue. Autres efpeces
qui ne fc trouvent pas dans le traité des arbres fruitiers.
Ibid. 343. a- Defeription de ces arbres & de leurs fruits.
Obfervations fur la manière de les cultiver. Ibid. b.
Prunier. Cu 'airc des pruniers en pépinière. XII. 322. a.
Expolùion qu’ils clentandcnt. I. 737. a. Différentes efj)eces
de pruniers, favoir , des Indes occidentales, nomme hobus,
VUE 241. b. du Brchl, nommé Iba-jjaranga , 479. a. des
Indes orientales, appellé idon-nionlly , 304. b. du Bréfil ,
noimiié mangaiba , X. 18. a. de la Chine , nommé miiin-
g inli, 833. d. des Indes orientales, appellé nilica-maram.
Xl. 141- b. autre , dit tani, X V . 886. b. du Bréfil, appellé
umbu. XV II . 379. a. Prunier de Jéricho. 686. L Remarque
fur la greffe des pruniers. Suppl. II. 294. b. 295. a.
Prunier , ( Dicte, Mat. médic. ) les prunes fraîches ont été
toujours regardées com'mc un des fruits d’été les moins faliitai-
res. XIII. 530. a. Qualité des prunes feches. üfuge médicinal
des pruneaux noirs. Ibid. b.
Prunier fauvage ou Prunellier, ( Mat. médic. ) divers
uf^es de ce fruit en mèdecme. XIII, 3 30. b.
PRURHEIN, ( Géogr. ) contrée d’Allemagne dans le cercle
du bas-Rhin. Princes qui la poffedent. Evénemern qui a rendu
remarquable la ville de Bruchfal, qui appartient à ce pays. Suppl. IV. 349. k.
PRURIT , ( Econom. an, •m. ) c’eA de toutes ics fenfarions
la plus gracieufe. Douleur prompte à fuccéder au prurit. XIII.
331.<2. Voyei D ém an g ea iso n .
Pr u r i t , {Chir.) comment on remédie au prurit caufé
par la tranfj)iration arretée ou retenue fous les pieces fl’ap-
pareii dans les fraélmes. Comment on delTeclie l’excoriacion
qui fuit le prurit. X l l i , 331. J. Voyc:^ DÉMANGEAISON,
Prurit duvagir. V II . jyS .a .
PRUSE ou B w fe , ( Géogr. ) v ille autrefois capitale de la
Eiffiynie, 6c aujourd’hui la plus belle de la Turquie. Sa
defeription. Ancienneté de cette ville. X l l l . 331. .2. Son
hifioire ài fc ' revolutions. Captivité & mort tragique de Zizim,
fils de Mahomet II. Ibid. b. Obfervations fur la vie 6c les
ouvrages de deu.x hommes célébrés, nés à Burfe , Dion , &
Af-'lépiade./üi/. 332.12.
J R ü S iA S , {H ifl. anc.) roi de Bythinie , furnommé le
(hafeu;. HiAoire de ce prince. Suppl. IV . 3 30. a.
PRUSSE, ( Géogr. ) bornes de ce pays. Les Pruffiens
n’érolent point connus anciennement. Origine de leur nom.
XIII. 352. a. Leur liiAoire. Pruffe polonoife. PrulTe ducale.
A quelle occafion celle-ci fut érigée en royaume. Frédéric,
éleéhnir de Brandebourg, reconnu roi de Pruffe en 1713 ,
m r le tr.iitc_ d’Utreciit. Régnés de fes fucceffeurs. Ibid. b.
Eloge de Frédéric H 6c de fes ouvrages. Ibid. 333. a.
Prujfe. Droit de Pruffe; état de la jurifprudence dans ce
royaume. III, 573. a , b. Armes du roi de Pruffe , vol. II des
planches , Blalon, pl. 13.
PRUSSIENNE, (Aîjnufaélureenfoic) efpece de tafi’etas
ou gros-de-Tours. Defeription du travail de cette étoA'e.
X I I I .5 3 3 .t f. Pruffiennes de 30, 60 dlxaines dchaïueurau
bouton, en deux lacs. Travail de cette étoffe./i/i. b.
P R Y T AN E , {Antiq. grecq.) fénatcurs d’Athencs défi-
gnés par ce nom. X l l l . 333. b. Cér'émonies par lefqiielles
on ouvroit l’affemblée de chaque tribu dans Athènes. Fonctions
des prytanes. Repas que ces magiArats avoient au p ry-
taiiée. Comment les citoyens s’impofoient à eux-mêmes des
taxes dans les tems difficiles. Toutes les grandesvillesgrecques
avoient auffi des magiArats nommés prytanes. Remarque fur
ceux de Cyziquc. Ibid. 336. a.
Prytanes, d’où étoit tiré leur confeil. I. 844. a. V . 816.
it. Durée de la prytanie. V . 816. a. XII. 537. a. D u gouvernement
de ces magiArats. IX. 836. b. Amendes qu’ils
payoieut lorfqu’ils ne gouvernoient pas felon les loix. X V I.
64, b.
, ^ PRY TANÉE , {Anûq. grecq.) vnAe édifice d’A thencs 8c
A autres villes de la Grece. Cétoic dans ce lieu qu’on fai-
foit le procès aux cliofes inanimées qui avoient fi.rvi d'inf-
trument à un crime. XIII. 336. a. Salle du prytanée où
wangeoieni les prytanes. Ambaffadeurs 6c ininiAres qu’on
y recevoit. C ’étoit un honneur fingulicr que d’être admis
au repas des prytanées hors des tems de la fonélion des fé-
nateurs. Marque de confidéraiion qu’on accorda à Démof-
thene 6c à fes enfans dans le prytanée. Les vainqueurs aux
jeux olympiques avoient part aux diAributions 6c aux repas
des prytanes , de même que les orphelins dont les peres
etoient morts au fervice de l’état. Secours qu’on y donnait
aux familles indigentes. La petite-fille d’AriAide affiAée par
tes prytanes. b. La plus grande partie des villes de la
w e e e 6c de 1 Orient avoient des prytanes 6c un prytanée.
P S O 53 5 Celui de Cyzlque paffo il, après celui (l'Arlrenes , pour le
le plus beau de tous. Tous les lieux où l’on confervoû un
feu perpétuel furent dans la fuite .nppcllée prytanées. Ibid 337.-2.
P R Y T A N IE , gray. ) tems de l’cxercicc des fonctions
des prytanes. XIII. 337. a. Poye^ Prytane.
P R ZE p L IC E , ( Géogr. ) village de Bohême, qui 3 donné
fon nom a la faiiglanie l>uta.l!e que les Huffites gagnèrent en
1426 fur les Allemands. Conféquence immédiate de cette bataille,
y/zppf. IV. 330.tf.
PRZEMISLAS I , ( Ilif, de Pologne ) duc de Poloon •. Service
important qu'il rendit à fa patrie, 5c en rcconnoiffance
duquel il fut placé furie trône. Suppl. IV. 330.-2.
Przemislas I I , roi de Pologne. Sa fin malheureiife après
un regne d’etiviron un an. Suppl. IV. 530. b. P S
P S A LM O D IE , voye^ C h an t sa cré . Inflexions eupfal-
inodiant. Suppl. I, i jo .t f , b.
P SA L T ÉR IO N , inArument de mufique förr en nfage
chez les Hébreux. Defeription du pfaltérion moderne. X l i î .
3 3 7 - 1'.
Pfaltérion, baguettes de cet inArument. II. 14. b. Pfaltérion
repréfenréplanche 16 de Lutherie, vol. V.
P SAM M ITH ICU S, roid’Eg^^pte.XIV. 326. tf.
PSEAÜxME, {Theolûg.) diflércnce que les anciens met-
toienc entre pfeaume 6c cantique. Divifion que les Hébreux
font du livre des pfeaumes. Nombre des pfeaiimes canoniques,
Principal auteur de la colleélion des pfeaumes. Hérétiques
qui en ont nié l’authcmicicé. XIII. 338. tf. On ne convient
pas généralement fi les pfeaumes font l’ouvrage d’un
ou de plufieurs écrivains. Raifons en faveur de ces deux
fenttmens. Difputcs entre les critiques fur les titres des pfeaumes.
Ouvrages à confulter. Ibid. b.
Pfeaumes , ils ont été de tout tems divifés comme aujourd’hui.
X V II , 163. é. Obfervations fur Pf. x v , •jJ'’. 3. IV .
346. t f , b.
Pfeaumes graduels, l’Jiébreu Ic.s nomme cantiques des montées.
XIII. 336. b. Poyei G rad uel . Pourquoi ces pfeaumes font
ainfi nommés. Ibid. 339. a.
PsEAUME, {H iß.eccl.) le chant des pfeaumes introduit
en Occident par faint Ambroife. I. 326. b. Ufage de chanter le
gloria patri à la fin de chaque pfeaume. V I I . 721. a.
PsEAUMEy {Lirtérac.) ce nom eA demeuré affeâs aux
pieces que David compofoit pour être chantées au fon des
inAriimens , &c. Ufage qu’en faifoient les enfans d’Ifraél.
Style des pfeaumes. Il feroit difficile, dit M. Fourmont,
de trouver chez les païens des ouvrages auffi beaux que les
pfeaumes. XIII. 340. a. Ils fourniffent une infinité de traits
admirables pour tous les genres d’éloquence. Ibid. b.
Pjeaumes, acroAichcs qu’on y vemarque. I. 234. h.
P SEAUT IER, ( Théolog.) divifion du pfeautier dans J’é-
glifé latine, & dans l’églife grecque. Edition dupfeaucicr. Efpece
de chapelet appellé pfeautier. XIII. 3 39.
Pfeautier ,CQ\m d'Augulliii JiiAinien, imprimé on quatre
langues. XÏI. 940. a. Plcaurier trouvé par Trithéme àStraf-
bourg. X V . 8 16. J , é. Verfion fyriaque du pfeautier. II. 22 3.
é. Verfion arabe. Ibid. Verfion latine dont les catholiques fe
fervent. X V II . 576. i.
PSEPHISMA , {Hiß. anc.) efpece de decret chez les
Athéniens. XI. 306. é.
PSEPHOPHÜRIE , {Littér. ) arc de calculer avec de petites
pierres. Etymologie du mot. Ufages que les Grecs faifoient
des pierres. Alliifion que l’auteur de l’upocalyfc fait à
ces jettons. XIII. 339. b. Ufage qu'en firent les Romains
dans leur maniéré de compter. Ibid. 540. a. Voyr^ Je t to n ,
C a l cu l .
P S EU D O A C A C IA , ( 5üt-2/2. ) caraélercs de ce genre de
plante. Ses efpeces. Defeription de l’efpcce commune de
Tournefort. Le premier de ces arbres en France , planté ijar
les foins de M. Robin. Utilités qu’on en peut tirer. XiII.
540. a. Comment on le multiplie. Terreins qui lui conviennent.
Récolte de fes feuilles pour la nourriture des bcAiaux.
Ibid. b.
PSE U D O D IC TAM N U S, ( Botan. ) caraflcres de ce genre
de plante. Ses efpeces. XIII. 340. b.
PSEU D O D IP TE RE, ( Archit. anc. ) temple. X V I . 61 . b.
PSEUDOREXIE, {Médecine) fniiffe fiiim. XIII. 340. b.
Ses caufes. Maladies dans lefquelies elle a lieu. Remedes à
employer contre la pfeudorexie. 34>-f.
PSI des Grecs, ou ( Littér. ) lettre que l’empereur Claude
vouloir lui fubAituer. 1 . 316. b.
PSOA S, {Anatom.) defeription de deux mufdes de ce
nom , nommés le grand 6c le petit pfoas. XIII. 341. a.
PSOPHIS , ( Géogr. anc.) ville du Péloponnefe en Arca-
d'ie. Trois autres villes de ce nom. Tombeau d’Alcméon ,
fils d’Amphiaraüs & d'Eryphile, à Pfophis en Arcadie. Ville
bâtie fur ies ruines de cette Pfophis. XIII. 341. b.