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J^fonh-s , pour les pains d’cpice. X. 789. a.
M o u L t , ( Potier de terre ) X. 789.
Moul£ , \Luitctier') moule pour clrdTer les tubes des lunettes
de longue vue. Manière de faire les tubes qui s emboîtent
les uns dans les autres. X. 789. a.
M oule de p.iJUlle , ( P.irfumeur ). X. 789. b.
M o u l e s , ( A j/w â t ) X. 789. b.
M oulp.s , {Plombier') didercntcs fortes de moules des
plombiers, X, 789. b.
Moules , maniéré de les préparer pour les ligures de plomb.
V l i l . ^29. /’.
M o ule, ( Fondeur en petit plomb ) X. 7S9. b.
M o u l e , {Potier.) X. 789. b.
Moules de poterie en étain , détails des opérations né-
celf.iircs pour jetter l’étain en moule. VII. 80. b. 81, u. Chape
de moule. III. i6o. b.
Moule ,2 fr.inze, ( Rubur. ) petite planchetrc de bols
mince , longue de douze à quatorze pouces & de diftéremes
largeurs felon la hauteur que l’on veut donner aux franges.
Defeription des differeutes fortes de moules &. du travail
de l’ouvrier. X. 786. b.
M oule J pUtine, {Serrurier) defeription & ufage. X.
790. b.
iMoule , {TMetier-Cornetier) X. 790. b.
M oule à faire des mottes , ( T.inueur ) X. 790. b.
M oules , ( Tireur d’or. ) X. 790. b.
M oule , ( Vannier ) X. 790, b.
Moule ou lirzotiere des vitriers. X. 701. a.
MOULEAU', paffer an ,{A r t rnleh. j V. 572.
MOULER , pot j , ( Chandelier) X. 791. a.
M ouler , Us plaques, ( Épinglier ) defeription de cette
mananivre. X. 791. a.
M o u l e r , {Jardinage) X .7 9 1 . a.
M ouler , {Potier) mouler les anfes : comment fe fait
cette opération. X. 791. a.
M ouler en plâtre, {Sculpture) détails fur cette manoeuvre
de l’artilfe. X. 791. b.
M ouler une faueille , ( Tailland. ) X. 792. a.
M OULEUR en plâtre, voyt,-^ ce dernier mot.
M O U L IN , {Eeon. rujliq.) defeription d’un moulin à bras
pour iroiidre lefromenr. Ancienneté de l'ufage des moulins à
bras. On s’en fert encore dans le levant. Comment les hommes
font venus par degrés à l’iifagc de la farine. Le trav,ail
de tourner la. meule anciennement réfervé aux efclaves ou
sttx criminels. Origine des moulins à vent. Suppl. I ll, 965.
a. Pourquoi l'on n’en voit pas en Italie. Ibid. b.
M oulins , ( Arts ) defeription des moulins qui fe meuvent
par l’aélion du veut. X. 792. a. D e la maçonnerie qui
fouticin la cage du moulin. Ibid. 795. b. Explication des pieces
qui font au fécond Sc dernier étage. Ibid. 796. a. Explication
du com’üie. Explication de l’engin à tirer le blé. Ibid.
797. b. D e l’engin ou cabeilnn à virer au vent. Ibid. 798. a.
Deferiotion des moulins à eau. Ibid. h. Noms des pieces qui
entrent dans la conflruftion d’un moulin. Ibid. 801..7.
Moulins à vent & à eau décrits dans les planches d’agri-
cuimre , vol. I. Moulin à vent de Meudon , voya^^ M eudüN.
Moulin à e a u , voye;^ Planches d'hydr.iulique, vol. V.
Moulin à eau monté fur un bateau. X lll. 66. a , />. vol. II.
des plancli. Charpenterie, pi. 32 & 33. D e l’invention des
moulins à moudre le blé. Suppl. III. 919. a. D e quelques
défauts des moulins. 912. a. D e la quantité de mouture que
fait un moulin dans un tems déterminé. Ibid. b.
Obfcrvations fur les moulins à vent & à eau avec leur théorie.
Conftriiflion fommairc du moulin à v en t , confidcré relativement
.a fa théorie. Théorie du mouvement des moulins
à v e n t , & de lapofuion de leurs ailes. X. 801. Théorie du
mouvement du moulin à eau. Mémoire inliruélif poiirl'intei-
ligence d'un moulin à vent qui éleve l’eau au jardin de
madame P. Ibid. 803. a. Des ailes. Ibid. 8oç. a. Des parties
qui donnent le mouvement à la pompe. D e l’économie
des forces du moulin. Ibid. b. Des parties de la machine.
Ibid. 806. h. Du frein de l.a pompe. Ibid. 807. b. Développement
du corps de la pompe de cuivre. Ibid. 808. <3. D u produit
de la pompe. Ibid. 809. a. Moulin pour élever l'eau
d'tm puits de 130 à 200 piés de profondeur. Ibid. b.
Moulin, des moulins defines à élever les eaux. XIII. 8.
h. Du travail des chevaux dans les moulins & les machines
hydrauliques. "VIL 123. b.
Moulins â blé, du chommage des, ( Jurifpr. ) ITI. 366. b.
Moulins à bras, defeription de deux différentes fortes de
moulins à bras. X. 810. a.
Moulin à bras du levant, ( Médian. ) defeription de cette
machine. X. 8 1 1. d.
Moulin pour exprimer Ihuile des graines. Defeription de la
machine & de la manoeuvre à laquelle elle e f employée.
X . 811. b. Voye^ Planches d'agriculture , vol. I.
Moulin à tabac , defeription de ce moulin 6c des opérations
qui s y rapportent. X . 8 ia . b.— Planches d’économie
ruftique.
Moulin à grand banc, pour exprimer l'huile des^graines.
Explication de cette machine & de ton ul'age. X. 812. b. P'oye;^
Planches d'.agriculture , vol. I.
Moulin à débiter Les bois. XIII. 30. b.
Moulin d yéicr/e Z’orr , defeription 5c ufage. 813. j .
vol. II. des planch. Charpenterie, pi, 3.]. 35. vol. I.
Moulin à Jcier les pierres, voye^ vol. I. des plancli. Ar-
chiictfure.
Moulin à foulon. IX. 191. b. vol. 111. des pl. Draperie,
pl. 6.
Moulins pour les papeteries. XI. 833.
. 836.
volume V . des planches, papeterie.
^ Mo ul in , ( Epingl. Aiguilktier ) defeription & ufige. X.
Mo u l in , {Batteur d’or) defeription ôc ufage. X. 813. d.
— Voye^ B a t teur d’o r .
Mo ulin , {Bimbloner) , machine clefiince à adoucir les angles
des dragées. Defeription & ufage de cette machine. X.
8 1 3 .d.
AlOULlN , ( Bouionnier en trcjfes ) defliié à fouler les
trefl'es pour les réparer. Deferip:ion de cette macluiic. X.
Mo ul in à pierres précieufes , ( Diamantaire ) Explication
Sc ufage de cet in f ruinent. X. 813. b.
, {Marmfiélurcs en Joie, f l , lain e,) moulins
quarrés defincs à retordre le fil. VI. 787. d. M<îulins ronds
pour le meme ufage. A id. b. 6c 788. a. zMoulin o v a le , vol. IV.
des planch. fil 6c laine, pl. 4. X V . 281. a. Mouim à mouliner
les foies. X V . 27S. d , />. Moulin à filer la ibic. 280. a ,
b. Chevilles de moulins appellécs encroix. V . 633. a. Moulins
des manufaélurcs de ibie repréfeiués vol. XL dea pl.
article Soierie.
M o u l in , {Fourbifjeur ) explication des moulins defiinés
à faire les lames d'épée, tels qu'ils font confniits à Vienne
en Dauphiné. X. 8i6. a.
M o u l in , {Lapidaire) defeription. X. 816. h.
Moulin , ( Pondeur de plomb à tirer ) X. 816. b.
M o ulin , {Potier de terre ) X. 816. b.
M o u l in , ( lanneur) vol. IX. dca plancli. T anneur, pl.
7.— 12.
Moulin , à tirer l’or. Defeription 6c ufage.— X. 816. b.
Voyei les planches 2 , 3 , 4 du tireur d’or dans le vol. X.
Moulins ,i toile. Voyc^ Blan ch is ser ie .
Moulins à cuir, defeription & ufaac. X. 8 17. a. ï'ovcr
B ufle.
^ Moulin à poudre à cd.-io«. Explication de cette machine. X.
Moulin à pondre. XIII. 194. a. vol, I. cle.s planch. Art
militaire, vol. V i l. des planch. Travail du falpètrc.
M o ulin à moutarde, (, Z^/7d/ffn'er) pour b royer le fenevé
avec le vinaigre. Defeription 6c ufage de cette machine. X.
817. U.
Moulins des fuercrics. X V . 609. a.
Moulin des verreries, voyi^ cc dernier mot.
M o u l in , {Pierredu) théologien réformé. XVII. 223. d.
ÎMOULINAGE des Joies, X V . 278. a , b. &-c.
M O U L IN E T , faire le moulinet , { Art milit. ) X. 817. b.
M o u l in e t , {Charpent.) Voyet^ T o u r n iq u e t .
M o u l in e t , ( Marine.) X. 817. b.
M o u l in e t , {Métier à bas ) X .8 i j . b .
M o u l in e t , {Plombier) X. 817. b.
M o ulinet , ( Tireur d'or') defeription Sc ufage. X. 817. b.
Moulinet , ( Tonnelier) inüriiment deftiné à tirer les tonneaux
des caves. Defeription. X. 817. b.
M O U L IN IER , 011 fileur de foie. X V . 283. b.
M O U L IN S , ( Géogr. ) ville de France. A q u i elle doit Ton
agrandiircmcm. Origine de fon nom. Sa fituation. Obfcrv.a-
tions fur les ouvrages de quelques hommes de lettres nés à
Moulins -, favoir, Jean deLingendes, G ilbert Gaulmin, Claude
Berigard 6c Nicolas de Lorme. X. 818. a.
Moulins, ordonnance de Moulins , ordonnance des quatre
nK i'^ X l. 394. a.
M O U LU R E , {Archit.) trois genres de moulures dans les
ouvrages des anciens. X. 818. b. Parmi ces moulures, les unes
font unies , & les autres figurées. Moulures employées par les
modernes. Differentes réglés 8c obfcrvations fur remploi de
certc for-e d’ornement, ib'id. 819. a.
Moulures,, dans les ornemens d’arcliitcélure. vol. I. des planches
, Archireâure. Moulure appcllce cavet. II. 787. a.
M ulures en menuiferie. X. 349. b. 330. a. vol. VII. des
plarivilies. Menuiferie en bâtimens, pl. 2. n". 3 6c 4. pl. 3.
Moulures, machines pour faire des moulures fur toutes
lottes de pierres dures & précieufes. ( LapidairJ) X. 810. b.
M o u l u r e , {Fourb'iJf.)X. 819.
Moulure, en termes de glaces & de miroùicrs. X. 819. b.
M o u l u r e , {O r jé v r e )\ .8 n ) . b.
Moulures droites , contournées , { Bijoutier) X . 819. b.
MOUNGALES , Tanares. Voyei^ MONGULS.
MO UN STER , ( Géogr.) provkice d’Irlande. Son étendue.
Ses
xVl
Scs p;iuclpal-5 rivières. Qualité 8c produéHons du pays. Villes
cor.lidérailcs. Peuples anciens. Ibid. 820. a.
iMOURlNGOU , ( Botan. exot. ) arbre des Indes orientales
qui produit la grofi'e efpece de noix ben. Sa defeription.
X. 820. a. Lieux oii il croit. Ufages qu’il fournit dans la médecine
indienne. Ufage que font nos parfumeurs de l’huile de
fon fruit. Ibid. b.
.MOURIR , les anciens cvltoient en plufieurs occafions de
prononcer ce mot. VI. 208. a. Ahurir de mort, force de cette
expreilion dans la langue fainte. XII. 738. A
M O U R O N , ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plante.
Ses principales el'peces. Defcripiions du mouron mâle , du
mouron femelle , 6c du mouron aquatique. Sel effeniiel du
mouron femelle. X. 820. b.
Mouron, {Alat. méd'ic.) mouron mâle 6c femelle. Ses
propriétés poui l’intérieur 6c pour l’extérieur. Son fuc 6c fon
iidbfioii ne font cependant pas des remedes éprouvés, 6c fon
eau dillillée cft ablblument inutile. X. 821. a.
Mouron d‘e.w, ( Botan. ) caraéleres de ce genre de plante.
X. 821. a.
M O U R R E , {Jeux anciens.) en quoi confifie ce jeu. Ce
jeu inventé par Hélene étoit en ufage parmi les dames de
Lacédémone , 6c prit ^ande faveur chez les autres Grecs
6c chez les Romains. Proverbe auquel il donna lieu. X.
M O U S Q U E T , (^ r t mil'it.) en quoi cette arme différé
du fufil. Calibre , longueur 6c portée des moufquets ordinaires.
Defeription des parties du moul'quet. En quel tems
les moufquets ont été en ufage en France. Soldats appelles
rr.oufqueta'ires. Compagnies de ce nom. Tems auquel on fubfti-
tua le fiifil au moufquet. X. 821. b. Incouvéniens attachés à
l’ufage de ce dernier. Arme propofée par M. de Vauban , qui
réiinilToit les avantages de l’un 8c de l’autre. Voyer Fusil-
mousquet. Mousquet-biscayen 3 cette efpece de moufquet
eff fufceptible d’une plus grande charge que les autres.
Utilité de cette arme dans une place de guerre. Pourquoi
l’on devroit lui fubllituer la platine de fufiîà celle de moufquet.
Ibid. b.
MOUSQ UETAIRES , corps de la niaifon du roi. Compagnies
de moufquetaires gris 6c de noirs. X. 822. b. Leurs
armes 6c uniforme. Leurs étendard 8c drapeau. Des officiers.
Les moufquetaires ont même rang que les gardes-du-corps.
Inllltution de la premiere 6c de la fécondé compagnie.
Ib'id. b.
Moufquetaires, partie de leur habillement, nommée fou-
brevefte. X V . 383. b. — 'Voyez Maison du roi.
M O U SQ U E T E R IE , {Art. milit. ) fouvent rien de plus
incertain , do plus nuifible , de plus dangereux que l'ufage du
feu de la moufqueteric. Suppl, i l l . 966. b. Différentes caufes
qui concourent à déranger la jufleffe du t i r , & à diminuer
confidérablement le feu 6c fon effet. Peu de cas que le maréchal
de Saxe faifoit du feu de l’infanterie. D ivers exemples
qui prouvent que fon effet eil très-peu confiJérable, que
même des troupes peuvent faire leur décharge de pié-ferme
fans^ eff'ec. Quelquefois il ne faut qu’un feui coup eu préfence
de l’ennemi, pour faire tirer en i'air un bataillon , une brigade
, une ligne , une colonne eutiere. Ib'id. 967. a. Le genre
de combat qui fe fait par le feu de la moufqueterie n’a
jamais convenu aux armées françoifes. Elles ne l’ont jamais
exécuté que par liafard 6c machinalement. Comment lo feu
mal exécuté peut devenir dangereux 6c nuifible , caufor meme
une déroute entière. Ibid. b. Cette maniéré de combattre
devenue quelquefois ridicule. Quels fout les cas auxquels
elle doit être réfervee. Genre de combat qui convient à la
nation françoife. Ait/. 968. a. Piq u e .
M O U SQ U E TO N , ( Art milit. ) carabine , efpece de
moufqueton. 11, 642. a , b.
iMOUSSE, {Hi/l. liai.) les mouffes d’arbres ne font pas
des plantes moins parfaites que celles qui s'élèvent à la plus
grande hauteur. Les botanilles divifent ces plantes en divers
genres, fous lefquels ils confiituent plufieurs efpeces différentes.
X. 822. b. To rt qu’elles font aux arbres. Moyen de
les extirper, 8c de prévenir cette maladie des arbres. La
mouffe fleurit, fur-tout dans les pays froids, au milieu de
l ’hiver, 8c c’eff-là qu’elle nuit davantage aux arbres frui-
ïie rs , plantés trop piès les uns des autres. Ibid. 823. a. Re-
oeede à ce mal. Ibid. b.
Mousse, {Botan.) prcfquc perfonne ne connoîc cette
claffe de plante 8c n’y prend intérêt. ImperfeéHon de la
botanique de Tournefort fur les moufi'cs. Ouvrage plus ex a ff,
mais encore imparfait de Dillcn fur ces memes plantes. Il
refle encore beaucoup de recherches à faire fur leur organi-
lation Sc ieur fruélificatîou. Leurs carafletes. Suppl. IH, 968.
a. Nombreufes efpeces qui conipofent cette famille de plantes.
Leur diftribuiion , felon Liniiæus,en onze genres. Ibid b.
1-ieux ou elles croiffent. Dtiréc de leur vie. Faits fmguliers
que pre ente leur développement. Faculté qu’elles ont de
le ranimer en quelque forte après avoir été long tems féchées.
U u r s ufages en médecine, Ibid. 969. .2. 8c dans les arts. Leurs ■
Tome ƒ/. ^ ^
M O U 261
utilités dans b nature. Leurs qualités nuifibles dans l’africul-
^ !-® Maniéré de les détruire lorfqu’elles s’établificiit
lur un arbre. Récolte 8c préparation qu’on en fait en
tinlande pour la nourriture du bétail. Ib'id. b. Autres ufages
qu’on en tire dans les pays les plus feptemrioiiaux de l’Europe.
Ib'id. 970. a.
Mouffes. Caufe des mouffes des arbres. Suppl. I. <23. a.
Elles font comptées parmi les plantes parafices : leurs nôm-
breufes efpeces : moyen de les détruire. XI. 923. i . Tort
qu’elles font aux arbres , opération très-fimple qui les en
délivreroit. I. 584. b. Tems qu’il faut choifir pour emouffer
les arbres. V . 372. a. Du foin d'émouffer entaillant. X V .
836. b.
Mouffes. Leurs efpeces connues fous les noms fuivans :
hypnum , VIII. 407. b. jerth , mouffe de Laponie, 310. a , b.
no'ioch , XI. 232 , ^ pié de loup , X ll. 360. a. porella ,
XIII. 123. b. lelago, X IV . 928.^. ufné e , X V II . 322.
grecque, {Botan.) plante bulbfiufe très-baffe. Ses
efpeces. X. 823. b.
Mousse, {ch'irur. ) efpece de bandage. Maniéré de le
faire. X. 823. b.
Mouffe, les Indiens emploient en qualité de cautere
aétuel. VI. 623. a.
Mousse , ( Marine. ) apprenti matelot. X. 823. b.
M O USSEL INE, {Comm.) origine du nom donné à cettç
toile. Mouffelines des Indes. X. 823. b.
Mouffelines. Dift'éreiues fortes , nommées caffes bengales,
IL 743. i . chites des Indes, III. 337. b. coffas, IV . 298. a.
foucis oufou tis , X V . 387. a. tangs, 883. a. tanjebs, 887. a.
tarlatanes , 915. a. D e la fabrique des mouffelines. IV.
307.
Mou^ eline, (Confifeur.) ouvrage en pâte. Comment il
fe fait. Différentes couleurs qu’on lui donne. X. 823. b.
M O USSEM BREY, ( Botan. exot.) defeription de cette
herbe potagère de l’Amérique. X. 823. b.
MO U S SER O N , ( Botan. ) efpece de champignon printan-
nier. Lieux Sc tems où on le trouve. Defeription de cette
plante. Différences maniérés de l’apprêter en cuifine. X .
824. a.
MOUSSONS , ( Phyfiq. c5> Géogr. ) vents périodiques, qui
fouffleiu fix mois du même côté , 8c fix autres mois du côté
oppofé. Enumération des principaux. X. 824. a. Recherches
fur leurs caufes. Autres vents mouffons dont les anciens G recs
ont parlé. Conjeftures fur leur caufe. Ibid. b. Sur la caufe des
vents mouffüiis, voye{ I. 271. a. X V II . 18. b.
M O U S T A C H E , ( H'iji. mod. ) b mouftache confidérée
comme une raifon de retufer aux laies la communion fous
les deux efpece.s. La plus grande menace qu’on puiffe faire
aux Turcs , eft celle de leur couper la barbe 8c la mouftache,
Tems où tout le monde portoit la mouftache en France. Q ui
font ceux qui b portent aujourd’hui. Mouftaches des Chinois
8c des T.irtares. X. 823. a.
M.aijlashe mife eu gage. VII. 413. a.
Moustache, ( Tireur d ’or. ) X. S ie .a .
M O U T , voye z vin m u ß , X V II . 298. a. 8c vin muet
300. b. Comment on pourroit exciter la fermentation du
moût. Suppl. III. 738. 4. Cotignac qu’on tire du moût. IV .
303. b. L liiimidite du moût, en augmentant la fermentation
produit un vin plus auftere 8c plus acide, X V I I . 286. a\
Moyen de réduire la fubftance qui compofe le vin à un
très-petit volume pour en faire du mo ût, en y joignant de
i’e.ui à mefiire qu’on en auroit befoin. XV II . 294. b.
M O U T A R D E , (Au/un.) caraéleres de ce genre déplanté.
Ses efpeces. Defeription du fenevé ordinaire. Lieux où il
croît. Cette plante particuliérement cultivée parles Anglois.
Defeription du fenevé blanc, Ufage de ces deux efpeces en
médecine. Analyfe de ces plantes. X. 823. b.
Moutarde, woeffm d , ( Vtnaigr. ) X. 817. a.
Moutarde , ( Chym. D ieu & Mat. méd'ic. ) ufage diététique
de la moutarde. Emploi de cette femence à titre de
remecle. Huile par expreffion qu’on en tire. Cette huile ne
participe point du tout de l’âcreté de la femence. Quelle en
eft la raifon. X .8 i6 .a .
Moutarde, compofirion pour l’affaifonnement des ragoûts.
Moutarde de Dijon. Ufage de la graine de moutarde pour les
préparations des peaux de chagrin. X. 826. a.
M O U T AR D IER , ( Or/j/rAef ) grand martinet^ defeription
de cette efpece d’hirondelle. X . 826. a.
Moutardier , ( A n méch. ) de la communauté des moutardiers
8c vinaigriers. X. 826. b.
MOUT IER-EN -PUISAYE, {Géogr. ) village de France
au diocefe d’Auxerre. Il y a beaucoup d'apparence que c’eft
dans cc quartier-là que les druides faifoiem leurs affemblées
annuelles. Hôpital 6c monaftere fondés autrefois dans ce lieu.
X. 816. b.
Moutiers en Tarentaife, ( Salints de) X IV . 333. a
b. 6cc. *
M O U T O N , ( H'iß. nat. Econom. ruß'iq. ) animal qui ne
différé du belier qpe par la caftration. X. 826. b. Détails fur
V V Y