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^<'inc do lour éUfticitc piir Ic mmivcnicnt <lcs vibration«;.
Experience qui le protivc.//’/j'. t. Ressort 6 'R é g u la
rfUR.
S P IR A C i'L A on C/i.nonctz fcrobi's , {Gcofir. ^snc.) cavernes
([iii cxhaloicnt d'es vapeurs cnipenées. Grotte du chien
près (le Naples. Caverne tin territoire de Pouzzcil, dont Pline
tait mention. X^^ 4-'?. j .
S P IR A R E y lMORES ^ ( Zi/c. ) explication de cette e.\-
jirelTion, Vers d’Hovace oi: elle e ftemployée. X V . 477,
iP ÎR A T lÜ N , ( ThioUp') l'piration aelive Ôc pallive dans
le myllere de la Trinicé, relativcincnc à la proccflion du
S. Elprir. Doèlrine ries fcholnfiiques liir ce iiijet. X V . 477. ,1.
ƒ T ium té .
Sp i r e , (.,^/c/i//. e/tc. ) étymologie Sc figiiification de ce
mot. X V . 477. b.
Sp ir e , ( Gcl)^. ) ville d’Allemagne. Son hifloire. Obfer-
vations liir la vie & les ouvrages de Jean Joachim Cedier ,
fliym ifle , né à Spire. XV, 477. t>.
Spire. .Ancien nom de cette \\Wi. Suppl. IV.62.
S p ir e , AA/t!;'c/f, (Geup-.) cvencmens o,ui la concernent.
OMcrvationsfiiv la qualité &. l'étendue cUipays qui lui appar-
renr. Chapitre de Spire. X V . 477. b.
Spire, dcl'cvSp.H-Je.W'.ù^. a.
SPIRE.A , (Z'j.'jrr. ) carafleres de ce genre de plante.
Dclcription de hi principale cl'pccc tic ce nom. XV. 478. .1, b.
S P I lllO U E S , /.'g'ti-.t, {Giüm.) el'pccc'i de combes inventées
par Perlais. Génération à. nature de ces tourbes, félon
M. Montiida. X V . 4->8.
SPIRI i UALI T É , ( Métjphyf. ) prcuve.s de la fpirirna-
lité tic l’ainc, I. 331 a , b. &ic. V. 400. b. VI, 154, b. VIII.
370. a , b. — 374. b. Suppl. IV. 332. J. Les anciens n'en
avoient aucune idée. 1. 327. b.
Spir/tuu'hi de l’ame des bêtes. I. 348. a , b. &c.
SP IRITUEL , feKs. { Thcol.) XV. in. b. Livi es fpirituels.
IX. 604. b. Concert fpirimei. 111. 803. b.
Sp ir itu e l , {Ju.’ ifpr.) AlH.iité IpiruucHe. I. 16 1 .E Frcrc
fpiritiiel. VU. 3CO. b. Pui'lsncc (i)ii-icuclle. XIII. 338. a.
XI\' 8.^8, t. ”
SPIRI rUr.L^X , (^Pluirm. D ieu ) voyc^ LiQUEUR. Eiuix
rpirimeufes. V. iy 7. b. Leurs propriétés. i^S. b. De Pillage
des hoilTons fpiritiienfes. XL 252. , h.
SP ITZB ERG, le (GJogi.) p.-.y,; de la terre aréiique, dé-
converr en 1396. Defeription de ce pays. XV. 479.
Spu:^hers. Defeription de cette terre. VU . 687. b. Glaces
que les vaiüe.aux trouvent auprès. 688. j . Montagne de glace
du S]Mtzberg, Suppl. III. 232. Oifenux du Spitzberg connus
lüus les noms fiiivans : lumb , IX. 717. .i. malemuck,
943. b. oifeaii de neige, XL 88. b. radsliècr, X l l l . 734.
<î. roA-gnns, X IV, 361. Arund-j.iger. X V . 34S. b.
SPLANC.HNIQUH, nerf. (Au.rr.') Suppl. II!. 623. h.
S/'Li'NDI'.LR. , Lueur , Eciui. (Syr.on.\ V, 260, b.
SPLÉN’É T iQ U E . ( Médec. ) edui qui ell attaqué d’o-
pih.tions c i d'obAruèlions dans la rate. Caraftere des fplé-
nétiques. Rernedes Iplénétiques. X V. 4-9. a.
SPLENIQUE. ( Ansiom.) Defeription des vnilTeau.x de ce
nom. X V . 479. -J.
SpUriiijue , iir(cre. XIÎI. 823. j. Suppl. II. 489. .7, é. Veine
fpléniquc. II. 8-3. b. Suppl. III, 77. a. Artere & veine
Ipléniques. Suppl. IV . 376. a. Rernedes fpléniques , vt-j t-
X'i.SCrJRAU.X.
SPLENIUS, {Anatom.') defcript'on d'uHe paire de muf-
cles de ce nom. On les nomme aulfi triangulaires «S- mjjloi-
àicns pojUricurs. X V . 479. b.
SP Ô D E , {M.U. médic.) voyc^ T a b a XIR.
SPO D IUM , {Miniral.') efpcce de chaux ou de cendie
des métaux. Defeription du [podium des anciens g rec s , de
celui des modernes, Si de celui des médecins zxuüa.Auti-
[podium des anciens. X V . 479. b.
SPOLETE , duché de ( Gécgr.) duché dTtalie, Ses bornes,
fes rivieres Si principaux lieu.x. Fondation de ce duché en
372 , Chailcmagnc en Ht préfent à l’églife en 7S0. X V . 470. a,
S PO LE T IUM , {Géogr. anc. ) ville d'Iralie. X V . 480. a.
S P Ü L E TÜ , {Geogr. mod) ville tl’Iialie. Sa fituation.
Productions de fon territoire. Ses révolutions. Defeription
de fon aqueduc. X V . 480. <1.
SPO L IAT IO N , {Medec.) l’un des effets de la faience,
felon M. Quefnay. IV. 861. b.
SPON. {Jacob) Sa patrie, fes ouvrages. IX. 777. b.
SPONDAIQUES,//rffrj-. {Litter.) IV. 610. b. Suppl. W .
826. a. Air fponciaïqne nommé neniation. Suppl. IV. 23.
b. Vers fpondaïque. 984. b.
SPONDE. ( Henri) Sa patrie , fes oiivr.igcs. X. 210. ^7 b.
SPONDÉE : {Lniér.) obfervations fur le daélyle & le
fpondée. IV. 6io. a.
SPON DY LE , ( Conchyliol.) ou pic d’âne, cfnece d’Iuiitre.
En quoi elle différé de l'huitre ordinaire. VarKtés dans les
fpondylcs. X V. 480. b.
Soimdyles, coquilles, vol. IV. des pl. Reg. anim. pl. 72.
5^ 0^570 , Fadus, ( Juri[pr. ) différence dans la AgniHS
T cation de ces mots. XVI. 33 3- é. Sponlloii, voyer G a g eu re
^ » { L i tu n .) figniiicatioii de ces m ots
^ SPO N TAN É S , mouvenic/is. {Phy[olog.) Leur principe.
) favam écoffois. VII, 704, b.
SI ÜR.ADES , {Ajlivuon!.) nom que les anciens tloii-
noient aux étoiles , que nous nommons aujourd’hui iufdr-
tnes. Plullcms des fpoiades des anciens ont depuis formé de
nouvelles confiellations. X V . 381. b.
Spo r a d e s , ijh-.ç, ( Gc-egr. rf/tc. )ifle s de l’Archipel. X V
SPORAD IQ UES , ( aW . ) Etymologie
nihcation du mot Jpoi.:dlquc. X V . 481. b. ° a
Spcuidique , clitiinéLon des mal.idies fporadiques & des épt-
dénuques. V. 788. <j. Fièvre fporadique. VI. 720. a
i-PORTULA , {[.Itrcra t. & H i[ . a n c .) différentes fnmifi-
cations que les Romains attacheront à ce mot. X V . .1S1 b
SPRESIGER , ( B a h h a ja r ) pliyfiologlffe. S u p p l. IV. 262' a
SPRINGER, { I c l u h y . ) r o y e ^ BONTE SPRINGER.
SITUEGEL, {Adnen Théodore) phyfiologiüc. IV .
36
bPUM A LÙ’P l , {Hiß. nat.) mine de fer arfenicale ■ elle
fe trouve fouvciu dans les mines d’etain. X V . 482 a S Q SQ U A L U S , ( Ichthyol. ) efpece de chien de mer. Dlinen-
uon des plus confidérabies de ces animaux. Organe fmgu-
Her de cet animal , qui lui fort comme de magafin d'une
matière huileufe. X V . 482. i.
SQULLET E ; {Anat.) deux fortes de fqiieletcs, le naturel
6c rartificiel. D e la manière de les préparer. X V . 482. b.
Une remarque fmguliere , c’eft que quand les os du fqueiete
lont rédiiiis d.ins leur fitiiation naturelle, il i f y en a pref-
i[ue pas un l a i l qui foit placé perpendiculairement fur un
autre. Propriété par laquelle nous nous tenons fermes fur nos
jambes, 6c qui facilite nos divers mouvemens. Pourquoi
nous nous lalîbns dune même poAure fouteniie pendant
quelque tems. Détails lur toutes les didérences qui fe trouvent
entre les os des femmes &. ceux des hommes, Ibid.
Squeletes qu’on faifbit en Egypte. Suppl. 1. 393. b. Rc-
m.irqucs fur celui du fcctiis. V i l . 6. bqiielotes d’enfans,
dont les vertébrés étoient courbées pendant leur vie. 636.
b. Détails fur le fqueiete de l’homme. V I . 773. a y b. Sque-
Ictes de boflus. VU. 636. b. Précautions à prendi-e pour que
les os du fqueiete ne jaiinüLent pas. X. 603. b. 606. a. Foyer
les premières planches d’anatomie, \oiume I. des pl.mch.
b Q U lL L A C i , {Géogr.) ville du royaume de Naples,
bon origine. Obfervations liir la vie 6c les ouvrages de Caf-
liodore né dans cette v ille , fecrécaire d’état de th é o d o r ic ,
lui des Goths. XV. 483. b. Peinture qu’il a donnée de la fi-
tnaiioi) de Sqviillaci. Defeription qn’il tait de la fitiiation du
monaPere qu’il avoir fondé. Golfe de Squilhei. Ibid. 484. a.
SQ Ü iLLE , (////?. 7tj/.) cruftacée. Squilles d’eau douce,
bquilles de mer. X V . 484. a.
i>Q,\}\LLE aquatique, {JnJeéiolog.)\n(ç^t extrêmement v o race.
X V . 484. a. Organes que la n.iture a donnés à cet
animal pour lacisfaire ia voracité. Ibid. b.
SQ U ILO N E , { I ch ih y .) efpece de poiffon d’eau douce.
Qualité (le fa chair. X V . 484, b.
SQ U iN E , ( Hip. des drog. Exoliq. ) racine exotique,
nommée chinua. Deux efpeces de fqnine, l’orientale 6cI’oc-
cidcntale. Caraélercs de la première. Defcrmtion de la plante
a laquelle elle appartient. X V . 484. b. Hiuoire de cette racine
par rapport à la mériccine. D e l’iifage de Ja fquine 6c du
gayac clans les maladies vénériennes. Caraéleres de la fquine
d Occident. Lii.ux d’où on l’apporte. Ses vertus. Ibid. 483. es.
Squine, fnbffitution des racines de bardane 6c de bénoite
à la fquine. 11, 400. b.
S quine bâtarde. ( Bot.) Ses noms botaniques. Lieux où
elle croit. X V . 483. b.
S S
SSI ou G v s , {H iß . nât. Bûtan.) oranger fauvnge du Japon,
dont le fruit cft de très-mauvais goût. Sa dclcription.
Ulagc de fon écorce. X V . 483. b.
Sji ou Kut[pinas, efpece de nefflier du Japon. Sa deferiu-,
tion. XV. 483. b. ^
SSIO , ( Bot. ) efpece de laurier du Japon , qui donne du
camphre. Sa defeription. Qualité & ufage de fon bois. X V , 483. é.
S S IBU -K A K I , {Botaniq.) efpece de figuier du Japon,
Ulage de fon fru it, qu’on ne mange point. X V . 486. a.
S T
S T , fignificatien de ces deux lettres qui étoient écrites
lur les portes des lalles a manger des Romains. X V . 486. a.
St , ( Gramm. ) origine de pUiôçyfj mots qui commencent par
S T A ,par ce caraffere, 6c (jui font deffinés à inartmcr la fermeté
6c la fixité. XI, 483.
S T A B IE , {Géogr. anc.) ville cl’Icalie. Elle ne fublifioit
plus du toms de 1 line. Le lait des vaches de Stabic étoit en
uf.ige dans l.i médecine. XVL 486. .1.
b T A C iî , { P. Papinius) pacte ; obfervations fur fes ouvrages.
X li, 819. a. X\T. 24t. a.
ST A C .U i S , ( ) carafleres de ce genre do plante.
^c^efpeces.^Delcriptiüii de la pimcipale. Lieux oii elle croit.
. > { ^ [ - ust. des drog.) les anciens nommoient
ainn la jilus precicule forte de inyrriic liquide. On la mè-
loic dans les vins de liqueur, 6c on en faifoit plufieurs ati*
très eompufitiom.. Quel cft aujonrcl’hui le llaffé de nos par-
fiimcurs. XV, 486. b. Siaclé, ooyc^ St o r a x .
STADE,(A/,;/ûrrffm. des une.) évaluation du llade des an-
tiens. Syllénie de M, rie Barre fur ce fiijet. X V . 487. a.
Stade. Ditléiciucs efpeces rie llaries. Stades Romains. Stades
Grecs, Stade Pyehique à Delphes. Stade dont p.ule Xenophon
: celui d’Alexandrie. Static plus petit que les précé-
dens, dont parle Ariffote. Suppl. IV. 826. b.
St.idc : comjr.ir.nifon 6c rapjjort ries diftérens flaclcs etitr'enx.
C.omparaifon des fladcs au mille, aux fdueiies 6c aux para-
l.-mges. VUE 933. Termes qui fervoient à marquer les Rades
fur les chemins. X V I . 138. b.
St au e dolimpic. {Aniiq. Grecq.) Sa defeription. Dciïin
qu'en a deinné M. le chevalier de Folard, X V . 487. .j.
S T A D E N , {Geogr.) ville d’Allemagne. Ses révolutions.
XV, 487. b.
S T A D IU M , {Jeux de l.i Grèce) carrière pour les courfes
publiques dans l’ancienne Grece. Etemluc du ftade fimple,
du ffade cloiililé 8c de l’Iiippudromo rie Néméc. Le plus beau
Rade étoit le p.;/ij/ér/m/Vü7tid'Athencs. Sadcfcrii)tion.XV,487.i.
S T A D O X ISU S ou St.idinifus p.igus, {Géogr.) difféicns
fontlmcns fur ce lieu défigne dans les capitulaires de Cliarlcs-
le d lm iv c . Suppl. IV. 826. b.
ST A D T -AM -H O F , {Géogr.) ville de la baffc-Bavierc en
Allemagne, OMcrvations fur fon hôihtal. Suppl. IV. 826.
STAD TI Iy^GEN, {Géogr.) ville d’Allemagne, dans le
cercle de 'WeRphalic. Sa clefcripiion. Suppl. IV. 827. a.
ST yE VO N S , {Géogr.) voyc{ UisiENS.
STA IT -ARD E , ville du Piémont. Bataille de Staffardc en
1690. Suppl. II. 814. h.
S T A F FO R D -S illR E , (GJugr.) province d’.Angleterre.
Ses bornes 6c fon étendue. Scs villes 6c riviere; principales.
Qualité 6c prodiiffions du pays. Ouvrage fur fon lûRoirc
naturelle. Anciens peuples qui l’ont habité. Obfervations ftir
les favaiis diRingués que ce pays a prochiits; Thomas AI-
leyn , X V . 488.4. Jean Liginfo o t, Guillaume WoIlaRon,
Ibid. b. 6c Gilbert Sheldon. Ibid. 489. a.
ST A G IR E , {Géogr anc.) ville de la Macédoine. Sesdif-
féreiis noms. HiRoivc cl’A riRo ie , né dans cette ville. XV.
489. a. Auteurs qui ont écrit fa vis. Ibid. b.
Stagirc: honneurs que les habitans de cette ville rendirent
à la mémoire d’AiiRotc. 1. 634. a.
STAHE LIN, {Jean Rodolphe) phyfiologiRe.^wpp/, IV. 361.
•St a h e l in , {Benoit) anatomiRe. Suppl. I, 403.1».
STAHLl.ANISME. {H ß . de la Chymic &■ de l.i Médec.)
Obfervations fur la vie 6c les ouvrages rie Gcor<’ e - ErneR
Stahl. III. 436, b. Suppl. I. 401. b. Suppl. IV. 333. 4, b.
Etabliffemcnt rie la doffrine cliymiijiie en France, lil. 437.
U. Specimen bcchcriar.itm do Suh\. 111. 436. b. Hypothofe tie
ce philüfoplie lur le feu. IV. 609. 4. Son fcmlmcnt fur l'orl-
gme des métaux. X. 430. a. Caufe à laquelle il attrihue leur
Jufion. VIL 399. b, C ’eR à StalR que la métallurgie a les
plus grandes obligations. X. 433. 4. Son liypoiliefe fur la
caiife dc.s jnouvemens vitaux. 220. /».Obfervations fur fon
Jyiieme d économie animale. XL 364. b. Remarques contre
te fy-Réme. Suppl. ÎV. 654. b. Principe bieufaifmt qu i, l'e-
lon ce merieem , préfei ve des maladies ou tend à les guérir.
VÜ l. 712. DoiRrine de Stahl fur les crifes, IV. 4-77.
i\ fur l'exj'cétation, V L 321./».— 324. /». fur la caufe des
inflammation',, VU I. 712. 4 , /». fur les maladies inflammatoires,
722. a lur 1,( laignce. XTV. 306. a. Ouvrages do
quelques ihiiilianiRcs. Suppl. IV. 333. a. 338. a. 339. 4
j f 'i - b. SurleR.ahliani< me , voyc^ ÉCLLCTiq u i s , V. 270. 4.
& dans l’article MÉDECINE. X. 269. b.
SJ AL.\C,TITE , {H ß . r,.u.) coiicréiicTi pierreufe qui fe
tonne clans ceriaines grottes. Forme 6c naiure de ces con-
nctions. Leur origine. X V . 489. h. Elles font de toutes les
lubdances minérales, les plus pioprcs à nous donner une
idée delà formation des pierres. Elles parviennent quelquefois
])ar leur accroilîemom jouinalier à former des mafl'es
très-confiJcrables, & -i boucher des endroits oîi l’on poii-
voitpaffer librement. Formation des albâtres d’Orient. Pourquoi
les Ralaélites ne font pas toutes également tranfparcn-
tes. AlTemblagc rie petites Limes ou feuillets dont plufieurs
font formées. Ligure extérieure des Ralaffiqucs, Leur couleur.
Ibid. 49O. 4t,
Tome JK
S T A 705
Stabnites : {oUY.râon des Ral.,élites d i riifi'éreiues cfjieccs
felon iM. (le BiuTon. II. 333. 4. .bt.ilaéllic.s de la grotte d’An-
tiparos. V i l . 967. b. Stalaffites appellees fleurs de 1er. VI.
838. b. Stalaélltes repréfentées vol. VI. des planch. Crvf-
tallifation , |>1. 9.
b T A L lM E N E , /ƒ.■ , {Géogr.) autrefois Lemnos 6c Hyp-
fipy/ee. Origine de ces deux noms. Elle étoit confaerée à
Vulcain. X V . 490.4. Son étendue. NLllcs qu’elle avoit au-
ciennement. Dctcripiion do cette iflo. Volcan (jii’un y re-
nuirque. Scs pioduélioiis. Remarques fur la terre Leniiiicn-
nc. L ombre riu mont Ath o s , (irojetiée fur cette ifle vers
l'Iionre du coucher du foleil en été, Labyriiulic de Lemnos.
Lcs Turcs devenus maîtres de Stalimene en 1637. Ibid. b.
Defeription de la capitale de cette ifle. Ibid. 491. 4. — Foye-
L emnos. ■■
•ST.ALLE. {terme d'Egiße) Defeription de cette forte de
Rege mobile. 11 y a deux rangs de Ralles ou formes dans
le.s églifes, l'im plus hattt que l’autre. XV. 491.
STA.MicN, SUB lEMEJ^ : { LittCiat.) diflérence dans la
Rgnification de ces deux mots latins, qui fervent à déligner
deux fortes défi! d.ins le métier des tifferands. bons ligures
de ces mots. XV. 491, 4.
_ , {Géogr.) ifle de l’Arcliipcl. Scs noms anciens.
Acliille étoit révéré d:my cette ifle. X V . 491. b.
STAN C E , ( Poéfie) regies lur rarrangement 6c la furme
des Rances. Stances régulières 8c Rances irrégnlicres. XV'.
491. b. Les Rances n’ont été introduites dans là poéfie fi an-
çoile que fous le regne de Henri I I I , en 18S0. .Maniéré
d’.-iccqmmoder les Rances à la nature du fujet (loiir lequel
elles font faites. Etym. du mot flanee. Ibid. 492. a.
Stances des odes , voyci Strophe 6c Aniijhophc. Stance ap-
petiée épode, qui fe th.imoit après la Rrophe & lanilRro-
plie. V . 823. a. Stances appellees llxains. X V , 234. a. .Stances
couronnées. IV. 393. b.
ST ANCH IO ou Stancou, ou I.ango, {Géopr.) ifle de
l’Archipel. Sa fituatiun S: fa longueur. Qualité du |>ays. Oh-
lervatioiis fur fa capitale : f-n nom ancien eR éoe. XV . 491, a.
STANISLAS L E S eZ IN SK Î , (//,'//. de Pologn.) roi de
Pologne , duc de Lorraine 6c de Bar. Hiliuirc de fon l O-iiie.
Suppl. IV, 827. 4 , />.
St a n i.slas Le[e\inski , roi de Pologne. XII. 93,3, a. Tn.it
de libéralité de ce piir.ee. VU . 374. 4 , b. note. De fes bienfaits
public.s. Suppl. IV . 413. b. Son éloge ; fes ouvrages.
6'4/7_'/. II!. 724. b. Anagramme de fon nom exécuté dan; une
daiite. Suppl. 1. 382. b. Son maufoléc. Suppl. IV . 6. a.
St a n isl a s , ( S.iint ) évêque de Cracovie. Suppl. 11. 7. b.
S T A N L E Y , {Thomas) favant anglois. VIII. 137. b.
S T AN T É . {Peint.) Tableau Ramé ou peiné. L ’air de
gene 6c de travail nuit beaucoup aux produélions d.-s aus
d’agrément. X V . 492. b.
S TA PH ILÉ E , neq_ coupé ou [aux pißjchicr. {Bot. J.trd.)
Noms de cette plante en difiérente.; langues. Son caraétere
générique. Stippi. J V. S28. b. Defeription de trois clpeces de
ce genre. Lieu.x oit clics cruilTeiir. M.iniere do les cultiver.
Leurs qualités ÔC ulages. Ibid. 829. 4.
ST.APmS.AIGRE, {Bota.n. ) efpece de ddpliinlum. Def-
crlprion de cette plante. Lieux où elle croit. Ufages de fa
graine. XV. 41.12. b.
STAPHYLi'NS, infccTe.s qui gâtent les blôs.Suppl. I. 023 4
S TA PH Y LO D EN D RÜ N , '{B o ta n .) caraélcres do ce
genre de plante. XV. 492. b. Ses clpeccs. Defeription de U
plus commune. Lieu.x où croit cet arbrilTcau. Etym, de fon
nom. Ibid. 493. a.
S F A PH Y L ü .M E , ou châte de Tuvée, {Chir.) mal.îJie rie
l'oeil. Etym. de fon nom. Do la nantie éV du iraitcmoiu de
cono maladie. Efjiece do tumeur do l'iivée, appellee myod-
ph.tlon. Manière de la guérir. X V . 493, 4.
St.rphylome, maladie decettccfnece api)dléc clou. lü . 331,/».
S T A R K E Y , favon de. V l i l . 333. b.
ST A R Ü ST E , {H ß - mod.) gouverneur de ville ou de
château en Pologne. XV. 493. b.
S rA R O S T IE . {Hiß. de Pologn.) Autrefois les Raroflies
ffifoiein le domaine des rois do Pologne. Changement arrivé
dans les Rarollics fous le regne de Sigii'mou'd AuguRc.
Doux fortes de RaroRies -, les unes Rmpies, les autres à
juvifdiélion. X V . 493. b.
S E A F E R , {Monn. des Hcbr.) piece clemonnoie qui va-
loit un fiele , on quatre dracinnes. Miracle qu’ojJera Jefus-
ChriR pour pay'Cr le didrachme aux receveurs du icmijlc.
M jih .x v ij. 24. 27. X V . 494. 4.
S T A T E R A: {Lin . Aniiq. rom.) différence entre ßater.i,
finnina 6c libra. Deferiptiou que donne Vitruve de la balance
romaine, appellee ßaie-e. X V . 494. 4.
STA T ERE, {Monn. anc. de Grece) Staiercs d’or rie C y ll-
(juo, X V . 494. 4. Celles d’Ailioncs. Statere d'argent. Evalu.i-
tioii (le ces moiinoies. Ibid. b.
ST A T E U R , {Mythol. ) temple 5c Ratue de Jupiter Statciii,
érigés par Romnhis. Accident arrive devant ccite Raïuc au
conRil Flanünius, marchant contre Ânnlbal. X V 401 h
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