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2 1 4 M E R
McrJi Tofc.inc.\. 369. a.
McrFcrmcille. X. 369. ,t.
Mcrl'ate. X. 369.
Mcr dc Zabjche. X. 369. a.
Mer , ( BLifon ) Comment on reprcfcnic la mer dans les
armoities. 111-90I.1J.
M t 'llC A D O , (^Louisdc') médecin. X V I .821.
Ml'RCANTILh. J}yk. X V . 337. .7.
M 1'.RCA8T E L , {Jcan-B^pnjkdc) S uppl.W. a.
MER CA TO R , ( G éw d ) gco-raphe. X IV . 439.^.
Mercator , {N tcohs ) mathématicien. VIII. 247. Cartes
tc navigation tie Mercator. II. 710. <2 , b. XI. 33. b.
Suppl. II. z<,2. a , b. D e la manière dont le parcement ctl
repréfenté dans la navigation de Mercator. XII. 87. a. Poyc^
les planclies de la navigation , vol. V.
MERCENAIRE.' Caraflere mercenaire. Métiers qui ne
devroient jamais être mercenaires. Divers inconveniens du
grand nombre des troupes mercenaires. X. 369. b.
Mercenaires , troupes, voyet^ iiir ce lujet. X VI. 713. æ, i.
M E R C I , Us peres de la , ( Hijl. ecclef.) Hiftoire de cet
ordre qui prit naüTance à Barcelone en 1218. Suppl. III.
905. i7.
MERCIE , ( Géo^r. ) grande contrée d’Angleterre. De
l'ancien royaume de Mercie Sa delcription. Origine de Ion
nom. Durée de ceroyaume. X. 363. b.
MERCIER , ( Nicolas ) littérateur. XII. 892. a.
Mercier, ( Jean U ) homme de lettres. X VII . 581.^.
Merciers , rois des , ( Jurifpr. ) X IV . 3 i j .
MER CKL IN U S , (George Ahraham)mi<lsc\n. X V II . 396.71.
M ER CR ED I, ( Chronol.) X .3 6 9 .i.
Mercredi, ce jour confacré au dieu de la guerre chez les
anciens Saxons.XVII. 629. 77.
Mercredi r/ïi ce/i<irei , ( i ï t j ï . ecc/. ) origine de ce nom.
Cérémonie pratiquée dans ce jour. X. 370.77.
M ER CU R E , {AJlron.) la plus pente des planètes inférieures,
& la plus proche tlu Ibleil. Moyenne dillance de
mercure au folcil. melinaifon de ibn orbite. Son diamene.
Degré de chaleur &. de lumière du ibleil fur la lurl'ace de
mercure. Révolution do mercure autour du folcil. Son
mouvement autour de Ibn axe encore inconnu , de même
que rinclinaifon de cet axe. D e la dcnfncde cette planete.
Phafes de mercure. X. 370. 77. Excentricité de fon orbite.
Son apogée & fon périgée. Le fyllème de Ptolomée démontré
faux par l’obiervaiion du mouvement de «lercnre.
Diamètre du folcil vu de cette plancce. Sa plus grande élongation
du foleil par rapport à nous. Patlagcs de mercure
fur le difqiie du Ibleil. Mouvement des taches du foleil
aux yeux d’un habitant de mercure. Phénomènes des autres
planètes du fyftême folaire aux y eu x de ce même habitant.
Théorie de mercure perfeélionnée par les obfervations de
fon paffage fur le difque du foleil. Ibid. b. Manvement de
l’aphélie de mercure felon Newton. Mouvement de Es
noeuds. Quelle eft fa plus grande équation du centre. Incli-
naifon de fon orbite. Dift'érens palTages de meicure fur le
foleil jufqu’au fiecle prochain. Mémoire de M. le Monnier .
fur la théorie de mercure. Jbi.l. 571. a.
Mercure, lu denfiré. Suppl. II. 698.-7. Pefanteur des corps
fur fa furface. Suppl. IV . 308. b. Sa dillance au Ibleil 6c
à la terre. Suppl. II. 730. b. Teins qu’il mettroit à tomber
fur le foleil. 703. a. Son diamètre apparent , IV. 942. a.
Suppl. W. 713. 77. fes phafes, X ll. 493. a. fon excentricité.
Suppl. II. 909. b. Détermination de fon aphélie. Suppl. I.
482. b. Son noeud , Suppl. IV . 37. a. fon inclinaifon , Suppl.
III. 370. b. l'on aberration , Suppl. IV. 906.77 , é. fa plus grande
élongation, V . 328. b. Suppl. II. 721. a. fes conjonélions
au foleil. III. 874. b. De les paflages fur le foleil. XII.
114. b. Suppl. \N. 243. i , &c. Planete.
ÀIercure , (,PbyJîq.^ mercure du baromètre. Il peut fe
fontenir à la hauteur de 72 pouces , au moyen de certaines
précautions. Explication que Mufehembroek. a donnée de ce
phénomène. X. 371. .7.
Aiercure. Sa dilatation par la chaleur. Suppl. I. 8 11 . a ,
b. Obfervations fur fon ulâge pour les thermomètres.
Suppl. IV . 939. J. Son élévation dans les tuyaux capillaires.
981. a , b.
Mercure , ( Hijl. nat. AVméral. Chym. Métall. Pharm. ) ca-
rafteres de cette fubUancc. Elle paroît n’appartenir ni aux
métaux , ni aux demi-métaux. Deux états différens où le
mercure fe trouve dans le fein de la terre , ou comme
mercure v ierge, ou comme ciniiabre ; on ne parle dans
cet article que du mercure confidéré dans ce premier état.
Les mines de mercure les plus remarquables en Europe ,
font celles d'Ydria dans la Carniole. Comment elles furent découvertes.
Defeription de ces mines , & delà maniéré de les
travailler. X. 371.77. Etat des végétaux 8c des animaux qui font
dans le voifinage de ces mines. Effets du mercure fur les
ouvriers. Quelle eff la quantité de mercure qu’on retire
tous les ans des mines d’Ydria. Maniéré de tranfporter le
mercure ©btenii par la dilüUaùen. Ibid. 372. a. Rareté des
M E R
mines de mercure vierge. Découverte d’une mine fembh-
ble qui fe trouve fous la ville de Montpellier. Divers lieux
de l'Europe où l’on a trouvé des mines dc mercure en cin-
nabre. Le meilleur mercure pour la pharmacie 8c la métallurgie
ell celui qui a été tiré du ciimabre. Propriétés du
mercure lorfqu’il ell pur. Ibid. b. Amalgames du mercure
avec divers mit.iux ou minéraux. Sa combinaifon avec le
foiifrc. Il fe diliout par tous les acides. Le mercure plus
pefant en hiver qu’en été, Lumière phofphorique du mer-
cuic. Expérience dans laquelle on ell parvenu h geler le
mercure. Que! eff le degré du thermomètre auquel cette
congelation ell arrivée. Etat du mercure gelé. Comment
on purifie le mercure avant dc s’en fervir. Uid. 373. a.
Moyen de reconnoitre qu’il a été falfitié avec d’autres fnb-
llances métalliques. Philieurs phyficicns ont cru qu’il con-
tenoit beaucoup de p.'.nicules d’air , mais ces piétendues
particules font de l'eau dont il le cliargc en attliant l’humidité
de l’air. Quelques chymihcs ont foupçoniié qu’il con-
tenoit une terre arlénicale. Mercure animé qu'iL ont obtenu
en i’epurant de ce principe écninger. Chymllles qui
le regardent comme un arl'enie tluidc. D..{inition dit mercure
lelon M. Newman. Il cil impoiîible d’en faire une ana-
lylè exaéte. Ce qu’on emeiul par mercure précipité par
lui-même. Chymllles qui ont prétendu qu’on poiivoit tirer
du meccure de tous les métaux, 8c qu'il en étoic la bafe.
Ibid. b. Pollibilité de fixer le mercure felon quelques chy-
milles. Des ufages du merenre. Comment on l’emploie dans
le traitement des mines d’or 8c d’argent de prerque toute
l’Amérique. Ulage du mercure dans les lavures des orfèvres
, 6c des autres ouvriers en or Sc en argent. Maniéré
de convertir le merenre en une pondre rouge que l’on
nomme mercure précipité per je. Diverfes expériences chymi-
qiies par lelquelles on transforme le merenre de différentes
maniérés. Mercure précipité rouge. Ibid. 374. 77. Mercure
précipité blanc. Sublimé corrofif. Mercure d oux, 011 panacée
mercurielle. La caloinelle. Ethiops minéral. Ciniiabre artificiel.
Revivification du cinnabre. Ibid. b.
Mercure. Minéralil'.ition du mercure. X. 341. i . Détails fur
la mine de ce métal qui fe trouve en Amér.ique auprès de
la ville de Guançavelica dans le Pérou. VII. 977. a. Mine
de mercure dans le Frioul. VUE 304. b. Chaleur des mines
de mercure en Efdavonie. X. 779. a. Maniéré de tirer le
mercure du ciimabre dans les mines d’Almaden en Efpagne.
III. 453. a. Maniéré de s’affurer fi un minéral contient du
mercure. Ibid. b. Union de cette fubffance avec le foufre.
IV . 921. b. Son iifage pour féparer le loutre de l’arl'enic.
Suppl. I. 382. h. D e la fluidité du mereuxt. Suppl. IV. 337.
tj. Moyens de le dépouiller de fon phlogifliqne 8c de le lut
rendre. Ihid. a , b. Moyens de féparer le mercure de fort
fou fre , ou revivification du mercure. 111. 434. i. IV. 921.
b. X IV . 236. 77. Obfervation fur le rang qu'on lui a donné
entre les métaux. IV . 813. a. Amalgamas & amalgamations
du mercure. I. 313. b. 314. a , b. Ses rapports avec l'antimoine,
I. 503. a. avec les fucs arféiiicaux. X V . 396. 4. Recherches
pour faire du mercure avec l’antimoine.!. 303. é.
D e la lumière que donne le mercure dans le vuide : maniéré
dc faire un phofpliore avec cette luSftance. 11. 86. a.
V I. 615. a. Facilité avec Lquelle le mercure comrade des
faletés par le contad de l'air. IL 84. h. D e la tixation du
mercure ; le mercure fixé per je n'a pas acquis à bermeonp
près une fixité abfolue. IV. 832. a. Pourquoi il a été jnl-
qu’à préfeni inconcrefcible. IX. 369. b. 370. a. Moyen par
lequel on eft parvenu à le congeler. XIII, 904. b. Falfiti-
cation du mercure avec le bifmuth , II. 263. a. avec le
plomb. XII. 773. b. Cryflallifation du mercure diiTous en
eau-forte , vol. 111 des plancli. C h ym ic , planche 17. Travail
des mines de mercure, vol. V l des planch. Métallurgie.
Ajlrum mcrcurii. Suppl. I. 666. b.
Mercure , ( Chym.) l’un des trois fameux principes des
anciens chymifles. X. 374. b.
Mercure. Terre mercurielle de Bêcher. X. 429. b. XVI,
172. a. Mercure du métal, mercure des philofophes, principe
de Paracelfe. 1. 912. b. XIII. 373. b. Obfervations fur
le mercure des métaux. Suppl. I. 737.77, h.
Mercure , ( Mat. médic. Pharm. ) Remecles mercuriels
communément employés en médecine ; compofitions pliar-
maceutiques dont les remedes mercuriels font la baie. X.
373. b. Pillules mercurielles de la pharmacopée dc Paris. Pillules
de Bellofte. Dragées de Keyfcr. Sucre vermifugè.
Opiate m'tfentérique. Pommade mercurielle. Onguent gris.
Ibid. 373. a. Onguent mercuriel citrin pour la gale. Tro-
chifques efeharotiques. Trochifques de minium. Emplâtre de
"Vigo , voye^ ViGO- Le plus ancien ufage médicinal du mercure
a été borné à l’application extérieure. Adminiftration
du mercure contre la maladie vénérienne. Foye^ Maladie
VÉNÉRIENNE. Pour ce qui regarde la propriété des remedes
mercuriels d’exciter la falivation, vuye{ Sialagogue, De
l’emploi de ces remedes contre les maladies de la peau , tant
à l’intérieur qu’à l’extérieur. D e leur ufage contre les vers.
E R
Ibid b. te s remedes mercuriels, dont l'aftion efl tempérée,
Ibiu de très-bons fondans. Les remedes mercuriels propolés
foiurc la rage. Le mercure eft le fouveraln remede tics
affeélions écrouclleufes. Ufage des remedes mercuriels cauf-
tiques Sc corrofifs. Ufage .du mercure ernd clans la maladie
appcilée pajjton Ui.tque. Examen de la qiieftion , fi le mercure
pris imérieurenient peut pafl'er dans les fécondes voies.
Ibid.'^yC. a.
Metcure. Conjeélures fur la maniéré dont il agit dans
les m.aladies où il efl employé. Suppl. IV . 337. i. 338. 77.
D e Ibn ufage contre les maux vénériens. X. 272. b. Examen
d e là propriété qu’il a d’exciter la falivation. X IV . 371. h.
Pliintc du Pérou , qui après le traitement de la vérole pafle
pour attirer le refle du mercure qui peut fe trouver dans le
corps. X V II . 197. é. Inconvénicnsde ibn ufage dans les maux
vénériens. Suppl. IV. 989. a. Ufage du mercure contre les
vers. X V II , 74. a, b. Mercure doux fiiblimè, nommé c.tlomd. 11. 363. b. Ceinture de mercure. 797. b. Foye^ Mercuriel.
Mercure de vie, OU poudre â'Algarolh. (^Chymie) — Foye^
A lgaroth.
Mercure, ( Myih. ) diverfes fonélions de cette divinité.
Des filouteries de ce dieu. Interprétation que les allégoriftes
leur ont donnée. Comment on reprefente Mercure. Animaux
qu’on lui donnoit pour fymbole. Fête en fon honneur que
célébroient les ncgocians de Rome. Lieux où il étoit principalement
.adoré. IX. 376. b. OftVandes qu’on lui faifoit. Ode
qii’Horace adreffe à Mercure. Divers enfans que les mytho-
logiflos lui donnent. Le nom de ce dieu efl d’origine Egyptienne.
Éloge de Mercure Trifinégiftc. Mercure efl un des
dieux que les anciens ont le plus multiplié. Ib-id. 377. a. De
la mere de Mercure. Monument qui avoit été confacré à
Mercure , trouvé à Langres en 1642. Ibid. b.
Alercure , diftérens noms de cette divinité , Mercure antédiluvien
, félon Manéthon. III, 424. a. b. Mercure Egyptien.
Hermès 8c T hot. Mercure adoré à Samos fous le
nom de Charidotès.111. 203. é. Mercure Criophorc. IV. 471. .7.
Mercure adoré des Celtes fous le nom de Teiitath. XVI.
2 78 .é. Le nom dcT riceps donné à ce dieu.633. .7.Oracle
de Mercure à Phares. XL 339. b. Ses temples. X V I. 76. a.
Statues qu’on lui drefl'oit fur les grands chemins. Ibid. Statues
de ce dieu connues fous le nom d’Hermès. V l l l . 168.
a , b. Statues de Mercure 8c de quelque autre divinité jointes
cnfembte , voyrç Hermanubis , Hermathenes , Her-
meros , Hermharpocrate , Hermheracle , Hermosi-
Ris. Statues de Mercure placées à Rome dans le cirque.
VII I. 174. b. Statues de ce dieu dans la galerie de Verrès.
VU . 442. a. Comineiit les Errufqiies le repréfentoient.
IL 902. é. Fûtes qu’on célèbroic en fon honneur. VIII.
167. b. Celles qu’on cclébroit en Crete. X. 378. b. Caducée
de Mercure. II. 326. b. Ses talaires. X V . 860. a. Hymne
d'Horace à ce dieu. VIII. 396. a. Traits de conformité entre
ce dieu 6c Aaron. Suppl. 4. a , b.
Mercures, (Aniiq. Grcc^,.) jeunes enfans employés dans
la célébration des m yfteres. Services que les enfans rendoient
à ceux qui alloient confulrer l’oracle de Trophonius. Les Latins
les nommoient CamiUes. X. 377. b.
Mercure, ( L i t i .) difi'érens journaux de ce nom que
l’on a eus en France. IX. 377. 77.
Mercure, (B la jo n ) . X. 377. b.
MERCURIALE , (Bot. ) caraéleres de ce genre de plante.
Ses el'peces. Defeription de la mercuriale mâle. X. 377. b.
Lieux où elle fe trouve. Utilité de fon fuc contre les v er rues.
Defeription de la mercuriale femelle. D e la-mcrcuriale
fauvage. Ibul. 378. a.
Mercuriale , ( Pharm. Mat. médic. ) on fe fert indifféremment
de la mâle 8c de la femelle. Propriétés de cette plante.
Son ufage intérieur. Miel mercurial. Compofition du firop de
mercuriale compofé , ou firop de longue vie. X. 378. Maniéré
d’en faire ufage. Ses propriétés. Ufage extérieur de la
mercuriale. X. 378. b.
Mercuriales , ( Myth. ) fêtes qu’on célébroit en Crete
en l’honneur de Mercure. X. 378. b.
Mercuriales , (^Jurifpr. ) cérémonie qui a lieu dans les
cours fouveraines. Par qui elle a été établie. X. 378. b.
Alcrcuriales , voyei^ fur cette cérémonie. XII. 24. a.
MER CUR IAL IS , (Hieronymus) fon traité de gymnafli-
qne. V IL 1016. b. V l l l . 387. b.
MERCURIEL , ( Chym. ) terre mercurielle , troifleme
terre de Bêcher. Ses propriétés fondamentales' 6c caraétciif-
tiques. X. 378. b. Réflexions fur le fyftême de cet ingénieux
chyinifte. Jugement de Stahl fur cette iroifieme terre de
Becher. X. 379. a.
Mercuriel, terre mercurielle de B ê ch e r ,X . 429. b. XVI.
172. 77. Friftions mercurielles. V IL 307. b. F'nmigation mercurielle
, 367. a , b. Utilité du camphre djns les remedes
mercuriels. IL 380. a. Salivation mercunelle. X IV . 371. b.
M ER CU R IF ICA T IO N , ( Chymie ) tranfmutation des fub-
flances métalliques en mercure. En quoi ce prétendu mercure
des métaux eft précieux aux alchymiftes. X. 379 .77, Doétvuie
MER 2 1 5
de Bêcher 8c des chymifles, qui l'ont précédé, fur la mer-
curification. Celle de Stahl. Jugement de l’auteur fur ce
fu je t , 6c lur les ouvrages dc Bcchcr qui en traitent. Ibid. b.
M E R C Y , tiers, d ( Jurifpr.) XVI, 323. a.
M lRCY, (^François dc ) général dc l’armée du duc de Bavière.
Suppl. III. 777 . a.
M ER E, (^Morale) raifons qui doivent engager une mere
à allaiter fes enfans, X. 1 19. ti , é. XI. 261.77. Foyer Nourrir.
Amour des meres pour leurs enfans. Suppl. 111. 393. b.
933. a. Les défauts d’une mere ne peuvent difpenfer un
fils de fes devoirs envers elle. X V . 262. a.
Mere, (Jurij'pr.) meres adoptives chez les Romains.
Eglilés-meres. Mere dc famille chez les Romains. En qTioi
elle dift'éroit de celle qu’on appcllolt mairona. X. 379. b.
Mere de famille felon notre ulage. En quoi la nobleffe de
la mere peut fervir aux enfans. Devoirs d’iine mere. D e voirs
des enfans envers elle. Obligation de la mere de doter
les filles. La mere cfl la tutrice des enfans lorfque le
pere meu rt, 8c la tutelle finie , elle en eft la curatrice. D e
la luccelTion de la mere à fes enfans. Ibid. 380. a. Des
fucceffions des enfans à leur mere. Ibid. b.
Mere , fuccelTion des meres. X V . 399. b. Edit des mercs
touchant cette lucceflioii. V . 393. a.
Mere , {^Anat. ) defeription de la dnrc-mcrc. V . 17 1 . a ,
b. VIII. 624. b. IX. 301. a. Comment elle accompagne les
nerfs. Suppl. III. 36. b. Sans s’attacher à eux. Suppl. iV . 26.
b. Des nerfs de la dnre-mere. 36. b. 37. a. Pie-mere. III.
374. a. VII I. 263. a. XII. 334. b. Membrane entre la dure-
mere 6c h pie-merc. I. 371. a , b. Sinus caverneux de la
diire-mere. II. 787. a. Suppl. IV. 797. a , b. Procès dc la dure-
mere appelle faulx. V I. 433. a. Pie-mere 6c dure-mere de
la moelle de l’épine. Suppl. 111. 943. b. 946. a. Foye:^ Méninges.
Mere de D ieu, ( Théolog. ) origine de cette dénomination
par laquelle on défigne la See. Vierge. Difputes auxquelles
donna lieu le décret qui auiorifa cette qualification. Comment
les Grecs & les Latins fe font accordés à appeller
la Vierge mere dc Dieu. Pafl'age de l’écriture fur lequel fe
fonda S. Léon, qui le premier donna cette qualité à la Ste
Vierge.— Fciye^; V ierge. X. 380. b.
Me r e ou mere-foLie, mod.) fociété facétieufe
qui s’établit en Bourgogne dans le quatorzième ou quinzième
fiecle. Epoque la plus reculée qu’on en peut découvrir.
Semblable fociété établie autrefois dans les états du
comte de Cleves. X. 388. h. Sentiment du P. Meneflrier fur
l'origine de la compagnie Dijonnoife. La plupart des villes
des Pays-Bas dépendantes du duc de Bourgogne, célébroient
de femblables fêtes. En quoi confifloit cette compagnie
Dijonnoife. Fêtes qu’on célébroit en tems de vendanges
8c fur la fin du carnaval. Conftitution de cette
compagnie. Ibid. 381. a. Etendard ou guidon de l’infanterie.
Drapeau qu’on portoit. Lettres-patentes que l’on expédioit
à ceux que l’on recevoit dans la fociété. Formalité obfer-
vée quand les membres de la fociété mangeoient enfemble,
Defeription de la maniéré dont la compagnie marchoir dans
les occafions folemnelles. Ibid. b. Lorfqu’il arrivoit quelque
événement fingulier dans la ville , on faifoit marcher la
mere-fülle. Amende que payoit un aggrégé de la compagnie
lorfqu’il s’en abfcntoit. Détails fur la réception d'un nouveau
membre. Aéle de réception de Henri de Bourbon ,
prince de Coudé , en la compagnie de la mere - folle de
Dijon l’an 1626. Ibid. 382. 77. Abolition de cette fociété
par Louis X l l l , en 1630. Cette fociété paroit avoir tiré fon
origine de celle que les cccléfiafliques célébroient fous le
nom à t fête des fous. Réflexion l'ur ces fociétes burlcfques.
Ibid. b.
Mere , {Jardin). X. 382. b.
y[iVC'E-perle, {Hiß. nat.) X. 382. b.
Aiercs-perlcs, leur divifion en trois genres. IV. 188. a.—,
Foyei Peignes.
Mere des dieux, voye;^ Cy BELE.
MERGELINA villa , ( Géogr. anc. ) XVII . 274. b.
M E R l, (7r<7/2) Chirurgien. XVI. 838. 77.
M ER IAN , {Marie Sibille) femme célébré dans la peintu
re , & c . V . 313. ^
Merian, {Matthieu) graveur. VII. 869. a.
M E R ID A , {Géogr.) ville ancienne d’Efpagne bâtie par
Angufte. X. 832. b. Ouvrages dont il l’embellit. Etat de
Merida fous les Goths. Tems auquel les Maures l’ont poffé-
dée. Fertilité de fon territoire. Ibid. 383. 77.
Merida , ( Géogr. ) deux villes de ce nom en Amérique;
X. 383. rt.
M ER ID AR CH E , {Critiq. facr.) emploi dont Jonathas;
frere de Judas Machabée, fut honoré auprès du roi de S y rie.
En quoi il confifloit felon Grotius. X, 383. a.
M ER ID IAN I, {Hiß. anc.) gladiateurs qui combattoient
vers le midi. Comment fe faifoient leurs combats. X. 383. a.
MERIDIEN , {A ßron .) cercle dc la fphere. Origine de
f©n nom. X. 383. a.