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4 ^ 6 P L mortelles. Principaux objets à remplir dans rexnmendiine
blclTure ou d'une léfion. Suppl. IV. 390. b. Des accidens
f]ui peuvent caufer une nioti prompte , quoique la blellure
ii'ait pas été mortelle. Ibid. 391. b. Importance d’un ouvrat'e
qui expoferoit lur ce ûijet les principales découvertes ajoutée
s , les rcélitications que l’on a laites à l'arc de guérir.
Kxamen de la queAion , li la guerifon des bleOures cll fou-
mife à des crifes à-peu-près conime les maladies internes.
Des précautions qu'exige l'ouverture d un cadavre exlui-
mé , pour en examiner les plaies. Défauts ordinaires, foie
dans les ra]iports des experts chargés de cet examen : Ibid.
39a. b. foicd.ins les moyens donc on fe fert pour le faire ,
dans le choix des perfonnes qu'on emploie en qualité
d’expeits. Des moyens de s’aflurcr dans certains cas equi-
S'oques, fi un homme s’eft poignardé lui-méme, ou fi, ayant
été empoifonné ou mis à mort par une autre caufe non-
cvldcnce , on l'a enfuitc percé de coups pour faire croire
qu’il s’cfl oré la vie à lui même. Ibid. b.
Pluies d'E^ypu, ( Hiß. ß.Kr. ) Enumération de CCS plaies.
XII. 683. a. Elfet que prodiiifii la derniere. Ces dix plaies
exprimées dans cinq vers latins. Ibid. b. Eoyc^ Suppl. III.
973- «•
P LA IGN .^N T , roycï P lainte.
PL AIN , Uni , Simple , {Syriùri.) X V II . 380./>.
P L A IN -CH AN T , ( ) ce chant, quelque défiguré
qu'il l'oit aujourd'hui, d l encore préférable à ces mufiques
cfîéminécs 6c théâtrales qu’on y fubftiiue en quelques égliies.
Orid ne du plain-chant. Son caraélerc primitil offre aux con-
noiffciirs de précieux fragmens de l’ancienne mélodie & de
fes divers modes. Mais rien de plus ridicule que les j)lains-
cliants accommodés à la moderne. Suppl. l \ . 393- A L ’églife
gallicane n’admit qu’en partie, avec beaucoup de peine , &
prefque par force , le chant grégorien, Détail d’une ancienne
querelle fur le plain-chant, tiré d’un ouvrage imprimé en
1 3 9 4 ,3 Francfort. Ibid. 394. u. Vvyer PlEIN-CHANT.
PLAINDRE , /écg/ft/er, (Sy«o//.) difiérences dans l'iifage
6c la fignificacion de ces mots. Différence entre plaindre 6c
je plaindre. Divers exemples qui tuontreiu la manière d’employer
ces cxprcffions. XII. 083. b.
PLAINE , {Blafan) OU point de Champagne. Manicie
de la repréfenter. Suppl. IV . 394. b, Uoye^ Püjnt-Ch am -
PAGNE.
P L A IN T E , {Jurifpr.) de la plainte chez les Romains
pour les délits priv és, 6c pour les crimes publics. A qui
appartient parmi nous le droit de rendre plainte. Diftcrence
entre la phiinte 8c la dénonciation. D e la maniéré de rendre
plainte. XII. 686. a. Les piaignaiis ne font pas réputés
parties c iviles , à moins qu’ils ne le déclarent formellement.
Peines des plaignans mal-fondés. C e que doit faire le juge
lorfqu’il y a plainte rcfpeéVive. L'accufaieur ne peut conclure
qu’à la reparation civile du délit. Ouvrage à confulter.
Ibid. b.
Plainte, aélion par laquelle celui qui eft troublé en la
poffclfiond’nn droit r ée l, fe plaint à la jufficede ce trouble.
ÏJI. 763. a , é. Plainte criminelle. IV . 469. b.
Pl a in t e , on querelle d’inoßicioßte, (^Jurijpr.) 3.Cilon que
l’on intente pour attaquer un teftament, par lequel on eA
prétérit ou cxliérédé. But de l’établiffcment de cette plainte.
Toutes fortes de teAamcns y étoient fujets. XII. 686. b. Des
perfonnes à qui elle étoit accordée. Comment on pouvoit
prévenir cette plainte. Délai fixé à cette aéllon. Quel en
étoit l'effet. En quels cas elle ne pouvoit avoir lieu. Pourquoi
cette plainte ne peut plus être élevée aujourd’hui. Ibid.
687. a. Ouvrage à confulter. Ibid. b.
P L A IN T IF , c r i, en quoi confiAe cette exprcffiondc douleur.
X V . 4 1 1. b.
l’L A lR L , origine de l’art plaire. "l’ I. 844. b. Du defir de
plaire. VII. 796. a.
P L A ISAN C E , {Geogr.) origine du nom de cette ville
d'Italie. Sa defeription. Sa population. Obfervations fur l’ou-
vra«e intitulé AJànoire Storichc di Piacen\a. HlAoire de l'errante
PalUvicino, né à Plaifance. Edition de la vie 6c des
ouvrages de cet homme célébré. XII. 687. 'b. Précis d’un
ouvrage intitulé divorrpßo celeße, dont le premier livre lui
eA attribué. Edition de cet ouvrage. TrnduAions du premier
livre en différentes langues. Petit ouvrage fait à l’occafion
de la mort de Pallavicino , intitulé l'anima di Ferrante Palla-
vicino. Additions qui y ont été faites. Ouvrage qui caufa la
perte de cet auteur. Obfervations fur fes moeurs 8c fur le
caraflere de quelques-uns de fes écrits. Ibid. 688. a. Coii-
fidérations fur Laurent Valla , & fur le pape Grégoire X ,
l'un 6c l’autre nés à Plaifance. Ibid. b.
Plaifance ancienne , voye^ P la cen tia : huile minérale
qu’on retire dans fon voifuiage. XII. 472. b.
Plaifance , plaine dans fon voifinage où Annibal défit
les Romains. Evénement remarquable arrivé en 1746,
près de Plaifance. Suppl. IV . 394. b. Obfervations fur le
cardinal AJbéroni, né dans une chaumière à l’extrémité de
c«Uc ville, Ibid. 393. a.
P L A P laisanc e , ( Gèogr. ) haie 6c port d’Amérique. XlT.
■ 688. b.
Pl a is a n c e , {Archit. anc.") defeription de la maifon de
plaifance d cP iin e le jeune. X ll. 688. b.
PLAIS.ANT 8c Plaifmterie., (^Morale ) objets fur lefquels
la plaifantcrle ne doit jamais s'exercer. Il en cA des plaifan-
teries comme des ouvrages de parti, elles font toujours' admirées
de la cabale. De la piailanteric du Ayle. Les plaifans
de profcffion ont prefque tous l'efprit faux 8c l'uperficicl. XII.
688. b.
Pl a i s a n t , {^Ddles-lct. Poe/îe) dift'érence entre comique,
rifiblc , ridicule , plaifant Sc bouA'on. Le bon comique eA
naturellement plaifant : mais le plaifaiu n’eA pas toujours
comique. Suppl. IV. 393. a. Exemples du plaifant. Ibid. b.
Plaifant, académie de plaifans dans Athènes. XI. 937.
PLAISANTERIE , { A n de la paiolc) Agnihcaiion du
mot plaijdnterie. Motifs qui portent à la plaifaïuerie. Suppl.
IV. 393. b. De ce qui peut engager à la plaifantcrie dans
les affaires férieufes. Ses ufages clans les beaiix-arts. En quoi
confiAe h différence entre le plaifant 8c le ridicule. Setui-
nicnt de Cicéron fur la manière donc on doit iifer de la piai-
fanrerie. Ibid. 396. a. Eloge de la gaieté 6c des ouvrages
qui rinfpirem. Moyen de l’acquérir. Les meilleurs plaifans
font ceux qui , par leur caraiAere grave 8c réilcchi, ibnt
portés à des occupations importantes. Force invincible que
la plaifameric a fur les efprirs. Du vraie genre de plaifan-
teric convenable aux beaux-arts. Ibid. é. Différentes cfpcees
de inauvaifes plaifanteries. Auteurs 8c poètes allemands qui
ont excellé dans la maniéré délicate de plaifanter. Obfcr-
vacions particulières fur Viéland. Ibid. 397. a.
Plaifant, différence entre plaifamerie & moquerie. X. 698.
b. En quoi conAAe le Ayle de la plaifantcrie. Suppl. IL
370. b. Des plaifanteries originales 8c d’un ton fingulicr.
'V'III. 333. a , b. Q u o lib e t , forte de plaifantcrie. XIIL
728. J. Mauvaife plaifantcrie. X V I. 734. u,i>. R a il lerie.
PLAISIR, Délice, Uolupté, {Synor..) difi'crences dans
la AgniHcation 8c l’ufagc de ces mots, pris, foie au Angulier,
foit au phuicl. X ll. 689. u.
P l a isir , {Morale) ce ifcA que par l’attrait du plalAr
que la nature conduit les humains. X ll. 689. a. 1''. il y a
un agrément attaché à ce qui exerce les organes du corps,
fans les aAoiblir. Ibid. b. rE. L’efprit a aulA les plaifirs. Les
occupations, foit férieufes, foit frivoles, qui exercent fa
pénétration fins le fatiguer, font accompagnées d’un feiul-
mcin agréable. 3". Le coeur cA fou des plaifirs, dés qu’ils
ne doivent point leur naiffance à la vue d'un mal préfent
ou à venir. 4°. Enfin , il y a du plaiAr attaché à l’accom-
pliffemcnr de nos devoirs envers D ie u , envers nous-mêmes,
Sc envers les autres. Ibid. b. Moyen de réfoudre la qncf-
tion , A les plaifirs des fens l’emportent fur ceux de l’ainc,
8c A ceux de l’efprit font préférables à ceux du coeur.
L’amour de la gloire 8c la crainte de rinfamic , peuvent
nous faire braver les plus cruels tourmens, ou renoncer aux
plaifirs les plus vifs. Ibid. 391. j .L a beauté de l’efprit, quelle
qu’elle fo it, eA efi'accc par la beauté d e ram e ; 6c celle-ci
touchera toujours plus que la première : tant il eA v ra i, ([ue
les fentimens du coeur Â.attent plus que les plaifirs de l’efpïit.
A infila beauté de l'efprit donne plus de droit à la félicité,
que celle du corps , ëc elle en donne moins que celle de
l’ame. Il y a des jilaifiis qui font tels par leur jouilTance, que
leur privation n’eA point douleur. Ibid. b.
Plaijir, différence encre le bonheur 8c le plaifir. II. 322.
a. V L 463. b. VIII. 194. b. Comment fe font formées nos
idées de plaifir 8c de douleur. I. 46. b. La douleur 6< le plaifir
feniblent ne différer que ]>ar des miances. V III. 277. a. Ré-»
flexions fur le plaifir 8c le bonheur. IL 322. u , A II y a
des plaifirs qui n’ayant d’abord excité que notre iiulifl'érence,
n’en font enfuite devenus que plus vifs. V IL 768. b. Du
plaifir attaché à certaines émotions. IV . 630. a. Noiisn’ac-
qiiérons guère de connoiflances nouvelles qu’.aux dépens
de nos plaifirs. VII. 770. a. Nos perceptions de plaifir ne
dé|)endcnt pas de notre volonté. X V . 24. b. Il n'y a prefque
point d’objet qui ne foit pour l'ame qui s’en occupe ,
uii objet de plaifir ou de inal-aifc. Ibid. Etat de l’ame fenfi-
tive dans le plaifir. 42. a. Il-faut balancer la fenfation du
plaifir avec les maux qu’il peut entraîner, pour en connoître
la valeur. IL 143. h. Les vrais defirs font la mefure du plai-
fir qui en eA l’objet. VII. 738. a. Dangers attaciiés à l’excès
des différentes fortes de plaifirs. X ll. 145./-. Quatre
différentes fourccs de plaifirs , ceux des feu s , de l’elprit ,
du coeur, 8c ceux qui réfulteiit du bonheur d’autrui. XII.
142. a , b. 143. rt , é. Des plaifirs dû l’aine : plaifirs de l’ordre
, de la variété, de la fymmétrie, de la furprife. VU.
762. a. 763. b. 764. <1, b. 763. b. 766. b. Des plaifirs di>
l ’cfprir 8c de l’ame, que procurent les arts. Suppl. II. 13- a.
Des plaifirs de l’efprit, de l’imagination 8c du femimeut,
que certains ouvrages de littérature font éprouver, Suppl.
IV . 16. d,Plaifir que l'on goûte au fein d’une fociété éclairée
Suppf
P L A
Suppl II. 433- b. RéAexion fur les plaifirs des pafllons. II.
243. a. Des plaifirs des fens. XII. 142. a , h. X V . 31. b.
Voyc[ V o lu p té. Plaifir de l’amour , voyei^ ce dernier
mot.
Pl a is ir s , déeffe des {Myth.) X ll. 332. b.
VLA.\T,{ JuriJpr.) droit feigaeurial connu particuliérement
en Datiphiné. Trois fortes de plait; le conventionnel, le
plaît accoutumé , 6c le plait à merci. Auteurs à confulter.
Xll- 691. b.
PLAN , {Géomét.) en géométrie , en aAronomie, on fe
fort fort fouvent de plans, pour faire concevoir des fur-
faces imaginaires , qui font l'uppofées couper ou paffer à
travers des corps folides. Exemples. Inclinaifon du plan de
i ’orbice de la lune au plan de l'orbite de la terre. Mouve-
inciu des noeuds. Inclinaifons des plans des orbites des autres
planètes. XII. 692. a. Apparences qu’offrent ces inclinaifons
obfervécs depuis la terre. Ibid. b.
Plan, horizontal. VIII. 298. a. Plan de projcfHon pour
les phmifphcres 8c aArolabes. I. 779. b. Mefure d’une fur-
face plane. X. 409. a.
Pl a n , ( Gno«o/i. ) déciitiaifon , inclinaifon, réclinaifon
d’un plan : voycç ces mots.
Pl a n : (A/tcAd/?.) plan horizontal, plan incliné. Machine
du P. Sébalüen pour mefurer l’accélération d’un corps qui
tombe fur un plan incliné. Loix de La dejeente des corps fur
despLrns inclinés, i'^. Si un corps cA placé fur un plan incliné,
fa pefantcur abfolue fera à la pefanteur relative , comme la
longueur du plan cA à fa hauteur. Corollaires. XII. 692. b.
2“. Méthode pour trouver le Anus de l'angle d'inclinailbn
que doit avoir un plan , afin qu’une piiiifance donnée y
puiA'e 'foutenir un poids donné. 3“. Si un poids defeend
félon la direélion perpendiculaire , en élevaut un autre poids
dans une direétion parallèle au plan incliné, la hauteur de
l’élévation du fécond poids fera à celle de la defceine du
premier, comme le fu)u.s de l'angle d’inclinaifon cA au Anus
tot.il. Corollaire. 4*'. Deux poids Aifpendus aux extrémités
d’un même fil , pefant également fur des plans inclinés op-
pofé^, l’un à l’autre 8c de même hauteur, font l’un à l’autre
comme les longueurs de ces plans. Ibid. 693. a. 5". Un corps
pelant dd'cend lur un plan incliné avec un mouvement uniformément
acccLié. Corollaires. 6". Si un corps pefant def-
cend fur iiii pian incliné, fa viccfi'e à la fin du tems donné, eA
a la. vitefic qu il acquéioit en tombant perpendiculairement
dans le même ic tus , comme la hauteur du plan incliné cA
à fa loi;gueur. 7“ . L’el'pace parcouru par un corps pefant
lur un pian incliné, cA à l’clpace qu'il purcouroit en meme
tems dans un plan perpendiculaire , comme la vitefié du
corps fur le plan incliné au bout d’un tems quelconque , cA
à la viteffe que ce même corps auroic acqulfe en tombant
perpendiculairement durant le même teins. Corollaires. Ibid,
b. 8". L’efpace parcouru fur un plan incliné étant donné,
determiner Icfpace ijui feroit parcouru dans le même tems,
lur unautre plan incliné. 9°. Les vîteAcs acquifes dans le
jncuic tems lur différens plans inclinés, lont comme les cf-
jiaces parcourus dans le même rems. 10". Quand un corps
qui defcciul fur un plan incliné , arrive à la ligne horlzon-
la le , il a acquis la mciTic viteffe qu’il auroit acquife en def-
cendanc verticalement jnfqu’à la même ligne horizontale.
II" . Le tems de la del'ceiiie le long d'un plan incliné , eA
au tems de la defcciue perpendiculaire , comme la longueur
du plan cA à fa liauteur. 1 2". Si le diamètre d'un cercle eA
perpendiculaire à la ligne horizontale q'.ii touche ce cercle,
un corps defeendra cl un point quelconque de la circonfé
rcncc le long des plans inclinés, qui viennent aboutir au
point de contaél, dans le tems qu'il defeendroit par le diamètre.
Ibid. 694. a. Loix de l'afcer.Jion des corps jur des plans
inclinés. 1“ . Si un corps monte dans un milieu qui ne réfiAe
point, fuivant une direélion perpendiculaire, ou'le long d’un
plan incliné, fon mouvement fera uniformément retardé. Co-
lüUaires. 2". Etant donné le tems qu’un corps emploie à
monter à une hauteur donnée , déterminer l’el'pace parcouru
a chaque iiiAant. 3". Si un corps defeend perpcmliculaire-
incnt ou dans toute autre fuiface , 8c qu’avec la viteffe qu’il
y a acquife , il remonte le long d'une autre furfacc op]>o-
l'éc, à des points d’égale hauteur, il aura la même viieffe.
Ibid. b. Plan de gravité ou de gravitation. Plan de reflexion.
Plan de réfraélion. Plan du tableau,en perfjicélivc. Plan géo-
iiiétral, en pcrfpcélive. Plan vertical, en pcripeélive. «Plan
de projeélion. Plan d’un cadran. Ibid. 693. a.
Plan : des plans inclinés. VUI. 631. b. 632. a. Accélération
des corps fur ces plans. I. 62. <t, é. VUI. 632. Plan de
gravité. 11. 824. b.
Plan , lever un {Arpentage) m.aniere de faire cctic opération
avec le graphometre. Uliigc de deux inArumens nécef-
füircs dans cetie opération , le rapporteur 8c. l’échcIle. XII.
693. a. Méthode de faire un plan, quand on a fait ufage
lur le icrrcin de planchette ronde. Ibid. b. D e la méthode
<lc lever des plans quand on a pris les angles av-ec le graphometre.
Ibid, 696. b.
Tome II,
P L A 457 Plan ^ lever un , de la maniéré de faire cette opération.
IX- 443. />. Ufage de la bouffole pour lever un pian. II.
377. b. Ufage du cercle d’arpenteur. 836. b. Ufage de la
chaîne. III. 7. a. Divers inArumens de l’arpemcur. V IL
626. a. Lever des plans par le moyen de la plancliettc. XII.
700. b.
Plan , adj. {Géom.) figure plane. Angle plan. Triangle
plan, Trigonométrie plane. Verre ou miroir plan. X ll. 696. é.
Plan, adj. angle plan. I. 462. h. Etant données deux figures
planes femblahles, trouver le rapport qu’elles ont emr'elles.
ill. 733. /-.Triangles plans. X V I . C i l . a , b. Miroirs plans.
X. 364. a , b.
Plane , c./rjf, {Navigat.) ohfervations Air la navigation
plane. X ll. 696. b. Foye^ Navigation.
Plan, nombre, (G cc/h. ) lieu p im , problème plan. XII.
697. .i.
Nombres plans. XL 203. a. Nombres plans femblahles. X IV . 937- U. Problèmes plans, comment on les réfoui. IV. 1079. b.
Plan , ( Dioptnque) plan concave 8c plan convexe. XII.
697. .7.
Pl k 's . {Archil, civil.) plan géométral, plan relevé, plan
pcrfpeiAif, comment on en rend les parties intelligibles. Plan
régulier, irrégulier, figuré. X ll. 697. a. Plan en grand. Ouvrages
à coniulter. Ibid. b.
Plan d’un bâtiment. XI. 670. a. Plan perfpeéHf : obfcrva-
tlon fur la manière de tlelfincr les diff'éremes parties d’un plan
pour le rendre intelligible. XII. 433. b.
Plan , ( A'chit. miiu. ) définition, Manière de rendre intelligibles
les diAércmes parties tl'nn tel plan , p.ir la diverfité
des teintes Sc des couleurs. X ll. 697. b.
Plans, de la maniéré de les laver. IX. 3 13. 314. a ,b.
P l a n , {Jardin.) XII. 697. i.
Plan, {Peint.) XÜ. 697. b.
Plan à vue d’uijeau, {Dejfin) X ll. 697. b.
Plan {Defln dt p eijpc{l.)Xi\. 697. b.
Plan , {Bellcs-lctir.) en quoi coiifiAc le plan d’im ouvrage
d’e fprittcc : doit être le premier travail de tout homme qui
fe propol'e de fiiirc un tout qui ait de l’enfeinhle 6c de la régularité;
Exemple du travail 6c de la méditation d’un poète
tragique occupé du choix Sc de la difpofition d'un fujet. Suppl.
IV . 397. b. Déf.iuts qm réfultent d'un plan qui n’a pas été
aAez profondément médité. Suite 8c liaifon que le poète doit
obferver dans les événemens, s’il veut leur donner de la
vraifemb'rmce, 6c foutenir i'i'ùufion. Ibid. 398. a.
P LAN CH E , (Ce,71,7t. de bois) X ll. 697. b.
Planche à pain, {Blanchifj.) XII. 697. b.
Planche r / f , {Cehuurier) XII. 698. a.
Planche, {Charron.) XII. 698.,?.
Pl.ANCHE ,i fonder, ( Ch.uuir.) X ll. 698. a.
Planches à moules, ( drier ) XII. 698. a.
Pl a n ch . {Comm, de cuiv.) XII. 698. a.
Planche de bois gravée , { Doreur jur cuir. ) X ll, 698. a.
Planche rayée, {Eveniaill.)W\. 698. .t.
Vlak ch e de cuivre, (Grav.) choix du cuivre pour cette
forte de planches. Manière de les préparer. XII. 698. a.
Planche, (Gr.tv. en bois) X ll, 698. b.
P lanche de jardin, {J.iidtn.) X ll. 69S. b.
Planche de jardin, planche on baiiu. IL 13. a. Opération
de rayonner les planches. X lll. 836. b. Terres labourées en
planches. Suppl. 11. 778. b.
Planches, (AIw;/t.) ufage de ces planches. Planches g ravées.
XII. 69S. b.
Planche t/c harnais, {terme de rivière) X ll. 698. b.
Planche fur bord, ( Foiiur. des coches) XH. 698. b.
Planche, {Sernirer.) petit foncée qui fe place tians les
ferrures beuardes. Différentes fortes de planches. Obferva*
lions fur leur ufage 8c leur fabrication. X l l 698. b.
Planche, {.Marine) mets 1a planche, commandement à
l’équipage de la chaloupe. La planche eft halée : fens de cette
cx])reil'ion. X ll. 698. b.
Planches, ( .Çe/m'e) X ll. 698./-.
Planche , ( Ilnaigrier) X ll. 698. h.
PLAN CH ER, { A ’ chitctI.) dcfciiption de deux différentes
manières de faire un pliticher. Méthode que fuivoient les
Grecs dans la conflruéllon de leurs planclicis. A qui l’invention
en eft attribuée. XII. 699. Plancher afl'aili'coii aréiié.
Plancher creux. Plancher enfoncé- Plancher limirdé. Pianchèr
plein. Planch r ruiné 8c tamponné. Ibid. b.
Plancher. Danger du plafonnage pour les planchers. I. 239»
a. Faux plancher. VI. 449. Noyau de plancher. XI, 268.
a. Pavé des planchers. XII. 194. a. Conflruéllon des différentes
fortes de planchers. XIII- 3 3- reyr^vol. IL desplindi.
Ch.irpcntcric, pl. 3 ,6 .
Plancher de pLue-forme, {.-Jehit. hydr.) XII. CcjC). b.
Plancher, charge de {Maçonn.) x n . 699. b.
Plancher, af.troia {Luter. ) clpcce de piaiidier noir des
fallcs à manger des Grecs. Avantage do cette forte de plan-
ciier. Etymologie tie ré|)iihctc .ij.iiotJ , non balayés, les
Grecs lui doimoient. XU. 699. b.
Z Z 7. Z Z
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