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!es fjkimaniltes m.’ ljs & 1'o.nolläs. Llenx qoc C25 nniiiiaLix
iiabitent. Obfervations lur l'efpecü dc vol:c 3; cle laltqul
fuime dc leur pe.ni. IbiJ. n 3 - anatomique
de la fnLwiamirc. Dc5 parties de la génération de l;i lala-
ïnandrc mâle , IbU- i>. Sc île la falainaiidre femelle. Ibid.
^34. ,1. La falam.aiidre n 'd l ni dangereufe ni venimeule.
Préjugés des anciens fur cec animal. Expérience que quelques
modernes ont faites, qui démontrent que la fnlàman-
dre cfl l’animal du monde le moins nuifible', le plus timide
, le plus patient, le plus fobre , le plus incapable de
mordre. Elle ne vit point dans le feu. Devifes auxquelles
cette erreur avoii douuè lieu. Ibid. b. Phénomène alîéi fm-
çulicr qui a pu donner lieu de croire que la falanumdre
droit incombiiflible. La falamandre v it dans l’eau glacée:
fiibfilk long-tems fans manger : elle change fréquemment de
peau ; elle a des ouies qui s’effacent au bout d’un certain
teins : Ibid. 333. .1. elle périt fi on lui jette du fel fur le
corps, L’Iiidoirc naturelle des falamandres demande de nouvelles
recherches. Cet animal a fourni à la fclencs liormé-
tique de nouveaux termes inintelligibles. Les vertus médicinales
qu’on lui a attribuées fout im.iginaires. Auteurs .à con-
fulter. Ibid. b.
S a lam an d re aquatique, (H iß .n a r .) D e la régénération
des membres de cet aninial. Suppl. IV. 608. b. 60p.
4 , b. 643. b.
SaLimandre fo ß le , c'eft I’amiantlic. X IV . 336. n.
S a la m a n d r e . {B b fo n ) Maniéré de repréfemer cet animal.
Pourquoi les anciens ont cru qu’il vivoit d.ins les
flammes. Suppl. IV. 707. a.
SA.LA.VîAN'QUE , ( Gîogr. ) ville d’Efpagne : fa deferip-
tion. Chemin de Salamanque à Merida , fait par les Romains.
Evêché de Salam.anquc. Sou univerfité. OblervatioHS lur
les ouvrages de Jofepli Saéns de Aguirre, cardinal, né à
Salamanque. X IV . 336. a.
S.ilam.inque, bibliothèque de cette ville , fondée par Nonius.
II. 236. a. Pont que les Romains bâtirent à Salamanque.
XIII. 71. b.
SALAMINE, (Géo^r. anc.) 1°. petite ifle de Grece. Sa
loneueur. Deux villes du même nom dans cette ifle. Noms
nnciens & modernes de Salamine ; événcir.cns qui l’ont rendue
fameufe. 2'’. Ville de l’A lie mineure , dans l'iAe de
Cypro : elle fut bâtie par Teuc tr. Son port 8c la fituation.
Ancienneté de fou églil'c. Elle a etc nommée enfuite Conf-
taniia. X IV . 336. b. Ouvrages d’Hevmias Sozomene , né à
Salamine de Cypre. Übfervaiions fur la vie & les ouvrages
du poète Euripide , né dans l'ifle de Salamine , du
golfe Saroniqiie. Parallele entre Euripide 3c Sophocle.
Pourquoi les poètes latins n’ont guère parlé d'Euilpidc.
Sentence de l'oracie de D elphes, fur Sophocle, Euripide
Ec Socrate. Le bonheur d'être immortalifé par les poètes,
dépend quelquefois de la nature des fyllabes de non e nom.
Ibid. 337. J. Service fingulicr que les vers d’Euripide rendirent
une fois auxlblJats d’Ache.ies : combien les Siciliens
faifoient cas de ces vers. Quoique les pieces d’Euripide aient
joui d’une approbation merveilleufe , néanmoins elles remportèrent
le P rix afi'ez rarement. Chagrins qu’il éprouva de
la part de Sophocle 6c d'Arillophane. Ibid. b. Editions de
fes ouvrages. Obfervaùons fur le caraétere des pieces de ce
poète. Ibid. 338. a.
Sa lam ine , journée de , {Hiß- anc.) Suppl. I, 67O. a.
674. b.
SAEAMIXIENNE , s:alcre , ( Antiq. grecq. ) XI. 39. a , b.
SALANKEMEN ou Z alonkemen , Géa^r.) ville delà
Hongrie. Fameufe bataille entre les Turcs 6c les Impériaux ,
donnée en 16 9 1 , devant cette ville. X IV . 338. fi.
S A L a P IT IUM , ( Lhi. ) obfervations fur l’orthographe
& la fignitication de ce mot. Pourquoi les bouffons étoienc
appelles ftlpiiones. X IV. 539. a.
SALASSE S, Us, {^Géogr. anc.) anciens peuples d’Italie
dans les Alpes. Defeription que Strabon donne de leur pays.
Hiftoire des SalalTes. Fondation de la ville d’Aoufle. X IV. 3 3 9. b.
_ SA LA THIE L , près de DUu, (Zf//?. facr. ) fils de Jecho-
nias 6c pcrc de Zorobabcl. Obfervation fur les généalogies
de I . C . qui fe trouvent dans S. Matthieu 6c dans S. Luc,
oil il eft parlé de Salathlel. Suppl. IV. 707. a.
S A L A V A T , {Hiß. mod.) confeffion de foi preferite par
l’alcoran. Peine décernée dans l’autre monde, contre les Mahometans
qui la .négligent. Suppl. IV. 707. a.
SALBANDES , {H iß . nut. Minéral.) parties de la roclie
d’une montagne,qui touchent iminédiatemeut à un filon métallique.
X I V. 339. b. Chaque filon réglé a quatre falbandes
ou côtés, par Icfquels il fe diftingue de la roche qui l’environne.
Caradleres des falbandes qui annoncent une mine de
bonne qualité. Ibid. 540. a.
SALBER G en Susde , ( Géogr. ) mine d’antimoine trouvée
dans ce lieu. X IV. 38. b.
SALÉ , ( Géogr.) ville d’A frique.Diverfes obfervations fur
cette ville. Conful de France à Salé, X IV . 340.4. Population
de ce lieu. Ibid, -b.
SA L
Sali. Commerce dc cette ville. IL 69. h.
Salé , ( D:sic, Médec.) alimens falés. I. 265. b. Eaux mlné>
raies falées. X. 334-^. — 339. a.
SA LEN C Y , ( Géogr. ) village de Picardie , près de Noyon,
Obfervations fur S. Godard 6c S. Médurd , tous deux fils de
Ncéfar, feigneur du lieu, Suppl. IV. 707. a. Détails fur la
fête de la rofe, qui fe célébré chaque année <à Salency. ibid,
b. Eloge des moeiirs des iiabitnns dc ce village , dont le principe
doit être particulicremcnr attribué à la fageffe de cet
établiffement. Genérofiié de M. Pelletier de Morfontainc en-
ver., l.i rofiere de 1766. Pareil trait dans un établiffemenr
femblablc , fondé à Neuilly en Bourgogne, voyet^ N eUilly.
Pieces de poéfie auxquelles cet iifigc a donné lieu. Ibi.i.
708. a.
SALEP , S.ilop & Siilap y ( Diece & Mat. médic. ) forte de
racine farineufe ou goimiieufc , fort en ufage chez les Turcs.
Defeription de cette racine. Son ufage médicinal. Manière de
fe fervir du falep. X IV . 340. b.
Salcp, comment M. Geofl'toi le cadet a imité le falep
des Turcs. X iV . 704. b.
SALER U poijj'on. II. 393. a.
SA L E ilN E , {Géogr.) ville du royaume de Naples. Hif-
toirc de cette ville, X IV . 54t. Son état prcfcnc. Obferva-
tions fur Giégoire V I I , mort à Salcme , 6c fur Robert ,
prince de Salernc , dont ce pape mourut le captif. Ouvrage dc
Mafuccio , auteur du quinzième llecle , ne à Salerne. Ibid. b.
SA L I '.Y T , efpece d'arek. Suppl. 1. 349. b.
SALEE D A N , d e Turin, ( Gei)»/-. ) caverne remarquable
dans le volfinage de ce lieu. V ll. 101..
SA L IC A IR E , {Bot.tn.) caraéleres de ce genre dc plante.
Scs efpeccs. Defeription de la principale. Origine du nom
J.iUcaire. X IV . 342, b.
SALICES , ( Géogr.) ancien peuple de Provence. XIIL
309. b.
S.ALICORNIE, ( Botan.) cnniéleresdcce genre de plante,
dont on ne connoît qu’une efpece. Ufages dc Ds cendres.
X IV . 342. b.
SA L ICO T S , ( ) forte de poiffons. Defeription de
leur pèche.XIV. 343.4. Poyc^ vol. VIII. des planch. Pèche,
planch. 2.
SALIEN S, {Hifl. anc.) prêtres de M a r s , inffitués par
Niima. Leur habillemcnr. Origine de leur nom. X IV . 343.
Deux colleges de falieus à Rome. Cérémonies qu’ils pra-
tiquoient. C h e f de leur corps. Filles fatiennes qui le joignoient
aux faliens dans les cérémonies. Figure que M. Patin a cru
être celle d’un prêtre falien, fur une médaille de la famille
Saquinia. Choix que l’on fail'oic de ceux qui éroient admis à
cette prêcrife. Différences forces dc Salicns. Ibid. b.
S,itiens, leur danfe. IV . 627. b. Vierge falienue. X V II ,
266. é. Vers falieus. Suppl. I. 727. a.
SALIERE, ( Z/r/rV.) Le fel etoic confacré aux dieux chez
les anciens. Oublier la faliere fur la table , mauvais préfage
felon eux , auffi bien que la laiffer fur table 6e s’endormir.
Hiftoire d’un potier qui avoir été puni de cette faute. A Rome
on mettoic toujours la faliere fur table, avec l’afftetre dans
laquelle ou préfemoit aux dieux les prémices. Souvent les
falieres avoient la figure de quelque divinité. On croyoic
cette divinité offenfée, lorfqiie fans refpsél on renverfoir.
le fel. Ibid. 344. a.
SALIERE. {Di.imaut.) X IV . 344. a.
Sa l u r e s , {Maréch.) XIV. 544. b. Voyc^ Suppl, III.
497. b.
S A L IN Æ , ( Géogr.) ville que Ptolomée donna aux Guetn. 11 parole qu’on doit la rapporter à Saillans, dans le diocefe
de Fréjus. Suppl. IV . 708. a.
SA LINE S, ufmes où l’on fabrique le fel. Détails pour
la conftruéllon des marais liilans. X IV . 344. b. Formation du
fel. Ibid. 346. 4, b. Explication des outils. Ibid. 347. a. üu
charrois du fel. Ibid. b. Explication du marais, jas 6i couches,
/éiù. 348. 4, é. Explication de l’édufe ou vareigne. Defeription
abrégée de la maniéré dont fe font les Tels blancs
artificiels dans les fauneries de la baffe-Normandie. Ibid. 349.
fi,b. Enumeration des infirumens nécelLiires aux fauniers, fa-
bricateurs de fel blanc ramaffé des grcve's. Ibid. 330. é-
Eprouvette. Des fontaines falaïues. Le travail de cette der-
ni-ere forte de faillies , n’eft pas le même par-tout. L’auteur
parle dans les articles fuivaus des falines qui ont le plus été
à fa portée, décrivant fur quelques-unes toute la m anoeuvre,
expofant feulement dc quelques autres ce qui leur eff particulier.
Ibid. 331.4.
Salines, voyez Marais falans, Etangs falés. Sel marin i
Sels foffiUs y 6e le vol. VI. des planch, article Minéralogie-
Réfervoirs d’eau dans les faliiles. II. 23. b. Banc. 34- b.
Chèvres , efjiecc d’échafnudage. III. 322. b. Bâtiment de
graduation. VII. 807. b. Mtré^-haiix chargés dc rciureticii
des chaudières. V I . 637. b. Opérations nommées brifées, IL
424. 4. écaill.age, V . 218. .t. effaler. V . 993. b. Salines craga-
féemics. X V I. 313.4. Saline la plus fameufe que l’on con-
noiffe. Suppl. I- 316. .t.
S A L Saline de Moyenvic yZ&x licue.s dc Metz. XIV. a ,b ,&
fuiv. Droits qui fe lèvent fur le: fels de cette faline. Ce qu’on
entend par embauchure. Fondions du diredetir receveur.
Autres officiers employes à cette faline. Sel en pain. Gros
fel d’ordinaire. Petit fel d’ordinaire. Petit fel de poffe d’ordinaire.
Sel roture ou d'extraordinaire. Sel marque de rede-
^ ancs. Sel rofiere de redevance. Gros fais de la grande faline
à huit pour charge. Ibid. 534, b. Gros falé de la giande faline à
douze pour charge. Sel de Fribourg./é;ù. 333. a.
Satine de Moyenvic, fevres de cette faline. VI. 637. b.
Salines de Bexvieux & d'Aigle, & celle de Moutiers en Ta-
icntaife, oii il y a des bàtimens de graduation. X IV . 333. a.
Sahne de Dtctiic. X IV . 336. 4.
Saline de Rofieres. Particularités des poêles de Rozicres,
Sc de la fabrication du fel dans ce lieu. XIV. 336. é. Addition
à ce qui a été dit des bàtimens dc graduation. Ibid.
Saline dc Rofieres, exhalatoire dont on y fait ufage. VI.
= !ï - *•
Salines dc Franche-Comté. Saline de Montniorot. Saline de
Salins. Deux régies dans cette faline; celle de l’entrepreneur,
& celle de la ferme générale. Outre la defeription du travail
de ces falines, l’auteur entre dans de grands détails fur leur
produit , <ur les ouvriers qui y font employés , 6c fur les
officiers pfépofés à ces falines. X IV . 3 38. 4, , 6-y«iv.
Saline de Monimorot, entre la v ille de Lons-le-Saunier,
6c le village de Monemoror. Détails femblables à ceux de 1 article précédent. X IV . 364. b , & Juiv. Explication des jilans
des nouvelles étuves établies aux lâiinos de Montmorot./Aù.
568. 4.
Salines des ißes AnfilUs. XIV. 368. b.
Sa l in e , { Cemm.) poiffons de mer que l'on a fait faler.
Poilfons qui font en France, le principal objet du négoce de
faline. X lV . 368. b.
Sa l iNESj la vallée des {Géogr. facr.) vallée de la Palef-
tine. Plaine remplie de fcl d’où l’on en tire oour tout le oavs.
X IV . 368. h. ,
Salines de Rcichenhall 6c de Frauenßein en Alleinagnei
Suppl. Iv’ . 396. b.-
SA L IN S , {Géogr.) ville de Franche-Comté. Sa defeription.
X IV . 368. b. Obfervations fur la vie 6c les ouvrages
de François, baron de Lifolas, né à Salins en 1613. Ibid.
569.
Salins: defeription do cette ville. Evénemens remarquables
concornanr ce lieu. Siqipl. IV. 708. a. Le ^filege régi
par MM. de l'Oratoire. Defeription du puits à imiirc^ ou d’eau
grafi’e 6z pleine de fel. Obfoivations fur quelques hommes
diftingués dans les lettres, dont Salins efi la patrie. L ’abbé
d’Olivet. Pierre iMatthieii. Ouvrage hifiorique fur Salins, par
M. l’abbé Guillaume. Ibid. b.
Salins: defeription des falines de cette ville. X IV . 338.
4 , b. ikc. L’eau du puits des Cordeliers de Salins devenue
falée en 1736. Suppl. IV . 332. 4, é. Du pays de Salins.
IV. 750. b.
Sa l i n s , {Péehc) defeription des rets appelles dc ce
nom, 6c dc la pèche à laquelle ils font employés. XLV.
569. 4.
Sa l in s , cour des, {Hiß. de la Rochelle) établilTement 8c
fuppreffion de cette cour, dont le droit neanmoins i'ubfiffe encore
piefqu’en entier. X IV . 369. a.
S A L IQ U £ S ,( / / i / ? .W . ) origine des lolx faliques & de
l’épithete par laquelle on les défigiie. Deux exemplaires de
ces loix encore exiilans. Confidérations d'après lefquelles
MM. dc Vertot Sc dc Foncemagne fe réuniffent à penfer que
ce n’ell pas précifément en vertu de hi loi fnlique que les
fiiies de France font exclues de la couronne. X IV . 369. b.
Exemples qui démontrent que par im iifige confiant, depuis
la monarchie, les biles de rois étoient exclues de la couronne.
Cette exclufion, felon M. de Foncemagii' , n’a donc été
fondée que fur une coutume immémoriale , Ibid. 370. a. empruntée
des Germains, chez qui on la trouve établie dès le
tems dcTaciie. Réfutation d’une opinion erronée d c l’liillorien
Diiliaillant, fur ce fujer. Ouvrages à confulter. Ibid. b.
S.iUques, loix. IX. Ö70. a , b. Gjz. a. Du tems où elles
furent rédigées en France. Suppl. II. 354. .s. Moeurs des François
qui doiinoreiu lieu à ces loix. Suppl. III. 4. b. Leur réfor-
ination fous Clovis. V . 699. b. Additions qui y furent faites
par Childebert 6i par Charlemagne. 700. a.
Sa l iqu e , len e, {Htfl. de France) terre eleftinée aux militaires
du lu nation , & qui paffoit à leurs héritiers. X lV . 370.
L Difiinélion que fait M. le préfident Hainatilt, des terres pof-
ledées par les Francs dans les Gaules, en terres faliques 6c en
benefices militaires. IbiJ. 371. a.
Salique, terre. V I . 690. b. 694. b. IX. 671. a.
SA Ü SBU R ’Sf, {Geogr.) ville d'Angleterre. On difiineue
dans Ih'fiüiro deux villes de Salisbury , randemie Sc la moil
'nie. Obfervations fur les ouvrages de quelques hommes de
ictires n ésdanscctteville;ThomasBemiet,Humfrüi Dicton,
X lV . 371. a. 6c Phil.ppe MaUmger. Ibid. b.
S A L 6 2 * ?
Sa lisÛu r ÿ , ( Géogr. ) ville d’Angleterre. Sa defcriprioin
Sa population. Remarques particulières fur fa cathédrale.
IV. 708. b. Obfervations fur le vieux Sarum, le Sorbiotlumim
des anciens, qui efi im bourg fitué fur une hauteur voifine.
Fondation de Salisbury par les habitans de ce bourg. Privilege
que le vieux Sarum s’efi toujours refervé. Ibid. 709. a.
S.ilisbnry , ville ancienne, fur les ruines de laquelle Salisbury
a été bâtie. X V . 382. é.Amas dc pierres dans le comté
dc Salisbury , fur lequel on a formé diverfes conjeAutes. VIII.
186. b. XV. 334. b. 333. a , b.
SALISSA , efpece de plante. Suppl. I, 1G6. b.
SA LIVA IRE , ( An.ït. ) defeription des principales glandes
falivaires: la parotide ; Suppl. IV . 709. a. conduit excrétoire
de cette glande , connu fous le nom de Stenon. Glande maxillaire.
Partie profonde cle cette glande , qui a été appellee fub-
linguale. Ibid. b. Glandes nombreufes, pl.icées entre les joues
6c les lèvres, qu’on peut regarder comme auxiliaires des
falivaires. Glandes molaires. Liqueur exhalante artérielle c!e
la bouche , qui augmente la qnamitc dc la fidive. Nature 6c.
propriétés de la liqueur falivaire. Son uriliré. Ibid. 7 10 .4 .
Sa l iv a ir e , {Chhurg.) VI, 823. b.
SALIVANT , {Ther.tpciitiq.) Deux efpeces de rcmedes
falivans ; lavoir les mafticatoires , 8c le mercure avec fes
diverfes préparations. XIV. 371. é.
SA L IV A T IO N mercurielle, { Pkyfolog. ) le mercure efi de
tousles corps, celui qui produit lafalivation la plus abondante.
On demande pourquoi ce métal fluide, qui efi entré par les
pores cle la peau , détermine les Inmieurs à couler par les
glandes falivaires. Réponfes les plus plaiifibles à cette quefiion
c-mbarralTante. X lV . 371. l>. Selon toute ajiparence , la vcrrit
qu’a le mercure de procurer la ûlivation , dépend de l:i grande
(Jiviiihilitè 6c de l’a figure toujours fpliérifiqus. Pourquoi les
fudoi iriquos font de moindre utilité que le mercure dans les
maux vénériens. Pourquoi un purgatif arrête la falivation.
ibid. 372..;.
Salivation dans le traitement de la maladie vénérienne.
VIII. 360. a , b. XVII . 2..r.
Sa l iv a t io n . ( M.iréch. ) Suppl. III. 420, a.
SA L IV E , {Phyfiolüg.) caraéteres dc cette humeur. XIV.
372.4. Elle n e fi, à proprement p arler, qu’un favon fouetté Sc
attémic. 1“. La falive doit être fort délayée 6c fort tranfpa-
rente. 2". Ecmneule. 3°. Elle ne doit pas s’épaiffir fur le feu.
4'\ Elle n’a jrrcfque ni goût ni odeur. 3°. Dans ceux qui
jeûnent, clic doit être â c re , déterfive & réfolutive, 6“. Eltè
peut contribuer à la fermentation. 7 ” . Obfervation nficrol’co-
piqiie dc la fàhve. 8“. Dans les maladies, le goût de la fidive
efi mauvais. Ibtd. b. c f . Et par conféquent les alimens doivent
être délâgréables. Ufages cle la falive. O u a tort de la
rejetter. Sa trop grande excretion 6cfa fuppreffion ,produifent
également cle mauvais effets. Expériences par lefquelles on
fait ceffer dans l’auimal, ou couler en abondance la falive. Pourquoi
il coule moins de falive dans la bouche la nuit, que pendant
le jour. Ibid. 373. a. Poui-qiioi dans certaines maladie.s, d ie
coule en grande quantité. La falivation peut être caufée par
les matières âcres. Singuliers exemples de falives viciées par
différentes maladies, ibid. b.
Salive i elle efi nécelTairc pour exciter rappétir. V I. 374.
b. U faut en réparer le défaut par la boiffon. Ibid. Eficts de
la bonne falive dans l'eftomac. 526. 4. Stomachiques les plus
propres à fuppléer au défaut dc falive. Ibid. b. Tumeur fous
la langue, caufée par l’amas de la falive dans fes réfervoirs.
VII. 944. a , b. Exemples qui prouvent que le defaut de
falive clans la digeftion procluir le inarafme. X. 6S. a. Maf-
tientoires employés pour la faire couler avec abondance.
183. a. Voyc:^ Sa l iv a ir e .
Salix’e , maladies de la {Médec.) caufes de l’abondance
de la fidive. Prognofiies tirés de cette falivation rrop abond.mte.
XIV. 3 7 j. b. Reuiedcs aux maux qu’elle produit; rcmedes à
une falive épailfe 5c glutineulè, à une falive âcre, feiide ,
amerc, douçâtre, 6cc. à une falive mêlée de pus. Ibid.
574-
S A L L E , {Archit. antiq. & mod.) trois fortes cle falles
dc>nt parle Vttruve ; les falles téiraéliles, les falles corimiiien-
ues 6c les falles égyptiennes. X IV . 374. a.
Salle. Salle d'affemblée , des gardes > d’audience, de b a l,
à manger, du commun , cle bain , d’eau, dc jardin. Etymologie
du mot falU. XIV. 374. b.
Salle f))acieufe dans une bafilique ou clans un temple. III.
19.,é. Salie de concert. II. 488. b. Salie à manger ou cenacle ,
813. a. oit triclinium. XVI. 634. b. Salle de fefiins chez les
anciens Grecs. IV. 606. a. Voyci F estin . Planches dos fiillcs
à manger des Grecs. XII. 699. b. Petite falle à manger des
Romains. IV. 972. b. Salles à manger de Néron 6c d’Elioga-
bale. XV. 408. b. Lettres écrites fur la porte des falles à manger
des Romains. 486. a. Salles dc bofqiiet, manière de les
tracer. XVI. 303. b.
Salle de Jpeâacle, ( Archit. A rt dram. ) L’architeff ure théâtrale
peu coanue 6c pratiquée en France. Comment furemt
coiifiruitcs les falles des deux troupes de comédiens françoi»
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