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P ENITEN CIER, ( Junjpr. ) Co nom tlonné amrcfols à
tous los prciros établis pour ouïr les coiitéirions. A qui le
f.iiroiomaiicionncmciu les confoirioiis. EtnblifToment que tirent
les oveques d’un pénitencier en titre , qui fut nommé grand
péiiiiencier. Difpofitions des conciles , de Latiiin tenu eu
1215 , & d'Arles en iz d o , fur ces pénitenciers. Fonctions
du i!,r;md pénitencier du pape. X ll. ■ ^o^. .1. Officiers _q^'E''
appartietmem en fous-ordre. Importance de fa dignité. Des
pénitenciers en France. Caraflere ([u’il faut avoir pour en
obtenir le béiiélice. Obforvations fur ces bénéfices 8c finies
devoirs qu'ils impofent. JbhL b.
PÉNITENS , {Théûb^.) confréries de pénitens en Italie.
Orii'ine 6c progrès de cette coutume. DitTérences couleurs
des'pénitens en France. XII. 30^ b. Le roi Henri III. ag-
gréL;é à une confrérie de pénitens. Ibid. 306. Voye^ F la-
Ct-LLANS. ......................
Plnitlns , i^Théoloÿ.') Lieu féparé de l’églifo ou salTem-
bloiein chez les Grecs les pénitens liu fécond ordre. V L
557. a. 558. J. De rimpofition des mains qui fe pratiquoit
à l’égard des pénitens. VIII. 600. n. Cérémonie que les
confeircurs de l’églife grecque exigent de leurs pénitens. X.
45Ö. .1, b.
pLNiTENS 5 ( Théoloo.) nom donne à certaines commit'
iiauiés où l’on expie les défordres de fa vie paifée, 6c aux
perfonnes cuii le dévouent à la converfion des gens de maii-
x'aiie vie. Inltitution de l’ordre de la pénitence de faintc
Magdeleine par un bourgeois de Maricille en 1272. Origine
de la congrégation des pénitens de la Magdeleine à Paris.
Quelles perfonnes y font reçues. Congrégation de pénitentes
du nom de / cfiis, établie à Séville. Pénitentes d'Or-
viete. XII. 30Ö. û.
Pé.MTEoS indiens , {H iß . mod. Superß.) Defeription des
aufférités que quelques bramines exercent fur eux-mêmes.
Ces bramines divifés en plufieiirs fcéles qui ne different
que par le genre de vie qu’elles embralTent. Defeription de
la façon de vivre des vjna praßus , tics ßnn^aß ou fani.ts
6c des avddout.is , 8c de leurs penitences. Vénération qu'ils
s’attirent. XII. 306. b. Foye^ ÈiCARS.
PÉN ITEN T IE L, ( Thiolog.) Livre eccléfiaffique en ufage
chez les catholiques. Principaux ouvrages de ce genre. Et-
fets que produilit l'abondance de ces livres , 6c la liberté
que cliacun fe donna d’y inférer des pénitences arbitraires.
X ll. 306. b.
PémuntielU ^jurifdiblion. IX. 80. a , b.
P EN N , {Guillaume) léginatcur dcs trembleurs établis en
Amérique: hifioirc de fa vie, XllI. 649. a , b. Suppl. IV.
322. b. Parallele de Penn 8c de Lycurgue. XII. 314. a. XIII.
630. a.
PENNES ou penes , ( Geop/. ) ancien village entre Aix &
Marfcille , oîi Cybele étoit lionorée. Infcription qui leprouve.
Suppl. IV . 282. il. Infcriptions modernes qui le prouvenr.
Ibid. b.
PENNON , { A n mll'u. Hiß. jnod.) forte d'étendard. XL
822. i.l^ennon royal : différentes lottes de pennons. V . 710.
b. Pennons, cajiitaines de quartier à Lyon. XI. 822. b. Pennon
généalogique. Af/. Pennon de 32 quartiers. Vol. 11. des
pl. lll.ifon , pl. 20.
PÉNOMBRE , ( Aßronom. ) La pénombre eff principalement
fenfiide clans les écliplcs de lune, Au contr.iirc , il n’y
en a point , à ])iopremem parler, dans les éclipfcs de fo-
Icil. La pénombre vient de la grandeur du dil'qiie du folcil.
X il. 307. Le degré de lumière ou cl'obfcurité cfi différent
, dans les différentes parties de la p-énombre, felon que
ces p:u ti font édaiiécs par une partie plus ou moins grande
du loleü. 11 doit y avoir de la pénombre dans toutes les
écliplcs , mais Ion effet cfi principalement remarquable dans
celles de foleil. Dans les écliplcs de lune , la pénombre.ùie
nous cil fenfiblc que proche de l’ombre totale. Quelle en
cfi la laifon. Nous avons des éclipfes de foleil , quoique
l’ombre de la nuit n'atteigne pas la terre , pourvu ([ue la
pénoüibie feulement la touche. La penonibre s’étend à l’infini
cil longueur. Ibid. 308. u. Figure que forme la pénombre.
Reprélcmatioii géométrique de fes dilVérens degrés d’ob-
feurité. Les ombres d’un corps & leur pénombre, telles qu’on
les obferve , ne fuivent point les loix qu'elles paroinoient
devoir fiiiv r c, en confidérant la choie mathémaiiquemcnt.
Ibid. b. Foyei O mbre.
Pénombre , ( Aßion. & phyßcj.) Effet de la pénombre
terreffre au commencement de l’édijife de lune. V. 293, u.
Diverfes obfervations fur la pénombre des corps opaques
expofés à un corps lumineux , & fur la pénombre de la
terre dans les éclipfes de lime. XI. 462. a , b.
PENSA , {Muinis) X V , 749. u.
PENSÉE, {Métaphyfiq.) Différences de fignification entre
le mot penfée 8c les mots upc,'ation, perception, fcnfaùun , conf-
cier.ee, idée , notion. XII. 308. b.
PcnJ'êe, la faculté de penfer eff toujours la même , toujours
également fpiriuielle fur quelque objet qu’elle s’exerce,
î . 333. b. Chaque a6le particulier de la faculté de penfer efi
P E exciié en nous en un inffant, fans divifion , 8c par une fimple
afteflion intérieure de nous-mêmes. IV. 73. b. 694. a. Nature
du principe auquel appartient la faculté de penfer.
Foye^ Spiritualité. N’avoir pas la force de penfer à rien ,
penfer à trop de chofes , deux états également pénibles. V .
694. a. Les penfées heureufes ne font point en notre pouvoir.
VIII. 193. J , b. Comment Campanella prétendoit con-
noitre la peniéc tic quoiqu’ un. II. 376. b.
Pensée , Sentiment , Opinion. {Synonym. ) Nuances qui
dlfiinguent la fignification de ces mots. X ll. 309. a.
Pensée , ( A n orut. ) Les penfées doivent être confidérées
dans l’arc oratoire comme ayant deux fortes de qualités ,
les unes logiques 6e les autres de goût. Qualités logiques. Di
penfée doit être vraie 8c jiiffe. X ll. 309. a. Enfuitc elle doit
être claire , nette 8c dillinéfe. Qualités de goût. Toutes les
règles de l’élocution fe rédiiifent à ces deux points ; choi-
fir 6c arranger. Différentes efpeccs de penlées qui doivent
erre miles au rebut. Parmi celles qui doivent être employées,
s’oftVeiK d’abord les penfées communes , enfiiite viennent
celles qui portent en fol quelque agrément , telles font les
penfées v iv e s , fortes, hardies , Ibid. b. brillantes , riches,
celles que caraâérii'e la fineffe. Penfée poétique. Penfée
naïve. Penfées qui fe caraétérifent par la nature de leur objet.
On entend auflï \y.\r penfées, àss réflexions de l'auteur,
enchàlTées avec art dans le fujet qu’il traite. A toutes ces
efpeces de penfées répondent .amant de fortes d'exprefFions.
Ibid. 310. Car l’exprelfion pour être jufte , doit être ordinai-
remens dans le même goût que la penfée. Cependant, quelquefois
l'art a fes raifons pour en ufer autrement. C ’efl le
génie & le goût qui feuls peuvent inftruire du choix des
penfées dans l’clocution. Ibid. b.
Pensée , ( Art orat. & Mufiq. ) penfées dans les ouvrages
de liiiéranire 8c dans l’arc oratoire. X V . 33. ^ , &c. Analogie
entre la penfée 8c l’expreflton. Suppl. I. 384. a. Modes
que la penfée reçoit de l’expreflion. Suppl. IV. 933. a. Figures
de penfées. V I . 77 1 . a , h. Développement des pen-
lées. Suppl. II. 708. a. Clarté clans la penfée. 919. a. Pré-
ciûon. Suppl. IV. 323. b. Scc. Penfée de génie. Suppl. III.
203. b. Enflure dans la penfée. V . 673. b. Affeilation. Suppl,
I. 180. b. 8cc. Penfée délicate. IV. 783. b. Penfée grande.
VII. 763. a. La plupart des grandes pcnlccs prennent le tour
de l’aiitiihcfe. Suppl. I. 464. a , b. Penfée b'illante- Suppl.
!I. 33. Affoiblilîément que foiiffre une penfée exprimée
dans une langue étrangère. Suppl. I. 384. b. Jufleffe des penfées.
IX. 87. b. 88. a. Moyen de l’acqnérir. XIII. 777. b.
Pourquoi le retour de la même penfée plaît en mufique ,
Sc déplaifoit dans les ouvrages de poéfle 8c d’éloquence. X.
767. b. Foyci^ Réflexion.
Pensée , ( Critiq. facr.) Différentes acceptions de ce mot
dans l'écritnre faiiite. X ll. 310. h.
Pensée, {Peinture) différence entre croquis , penfée 8c
efiniiffe. Xll, 310. b.
Pensée , ( J.udin ) Defeription de la fleur qui porte ce
nom. X ll. 310. b.
PENSER, Songer , Réver, {Synonym.) Différences entre
ces mots. X ll. 3 11. a.
Penser , liberté de {Droit nat.) Foye^ Liberté.
PENSHURST , ( Géogr. ) bourg d’Angleterre où naquit
Philippe Sidney , favori d'Élifabeth , couronné des myrtes
des amans , du laurier des guerriers 8c de la palme des
poètes. Principaux événemens do ffi vie. Grandeur de fen-
timens qu’il fit paroître , lorfqu’U fut blefTé à mort au com-
bat de Zutphen en 1386. Obferv.itlons fur fon roman phi-
lofopiiique intitulé l'Arcadie. Autre ouvrage de Sidney. XIL
3 1 t. />.
PENSION , ( Jurifpr. ) différentes fignifications de ce mot.
XII. 311. b.
Pcnjion alimentaire. I. 263. a.
Penfton ecctéfiaflique, ou fur un bénéfice. Ce qui doit relier
au titulaire, la penfion payée. Ancienneté de l'ufage de
ces penfions. Q ui font ceux qui peuvent les poffeder. Par
qui elles font accordées. X ll. 311. b. Caufes légitimes ad-
mifes en France pour la création des penfions. Penfion fans
caiife. Ufage de renvoyer à Rome pour faire créer 8c au-
torifer la penfion. Différentes maximes de jurifpnidencc pour
l’explication de tout ce qui concerne les penfions fur bcué-
fice. Ouvrages à confiilter.//i/i/. 312.^1,/'.
Pen.sion, { L iu .) penfions que les rois d’Orient accor-
düiciu à leurs favoris ou à leurs femmes, fur certaines villes
ou fur certaines provinces. Celle qu’Artaxerxès accorda à
Thémiffoctc. XIL 313. a.
PENSIONNAIRE , WJ0(/.) obfervations fur les penfionnaires
fur bénéfices admis dans l’églife romaine. XIL
3 ‘ 3- “ ■
Penftonnaire, premier mlniflrc des états de la province
de Flollande. XIL 3 1 3 - bcs fonélions. Durée de fa commif-
iion. En quel teins ce miniflre reçoit le nom de pcnjîo/inairc.
Ibid. b.
i ! i
P E N ville dans la province de Hollande. Fonélions de cette diarge.
XII. 313.
Pen.siONNA1RES , gentilshommes, ( PUj}. de Fr.mcc ) éca-
bliffemcnt de tcttc compagnie. Obligations impo.fées à c .s
gentilshommes. Leurs officiers , leurs armes 6c leurs fonctions.
Prix (le leur penfion. Xll, 313. b.
P E I\ SÜM , ( Langue latine) lignification propre de a
jnot. XII. 3 ’ 4. b.
PENSY LV A N IE , ( Géogr. ) province d’Américjue. Ses bor
nés. X il. 313. b. Son étendue. Qualité Ôc prodiuffions du
pays. Partie que les Anglais occupent. Indicn.s qui occupent
J’iméneur du pays. Reffembhiiice entre leur légifiateur 8c
celui des Spartiates./é-n'. 314. a.
Penfylvanle ,Jo:uhx\on de la colonie de cette province.
XIII. 649. b. État de l’agriculture en Penfylvanie. VI, t-la.
Z2. 336. É
P EN T A CH O RD E , ( liluflq. anc. ) lyre compoféc de cinq
cordes. Confonnances qu'elle donnoir. Ce que les anciens
cmendoienr par h.irnwnie.W\. 314. Pentacurdc.
Suppl,
P EN T A C L E , {M ag ie ) fccaii imprimé qui contient les
noms de Dieu , pour exorcifer les efpriis. Deferijition
de ce fceau , 6c de la maniéré de lui imprimer fa vertu. X il
3 1 4
PENEAGI , {Géogr. ) ville ruinée dans la Livadie. Ob-
fervarions de M. Spon fur cette ville. XII. 3 14. b.
PEN T A G O N E , ( Gtv^'r.) étymologie du nun. Pentagone
régulier. Un côté de cette figure efi égal en pulffance aux
côtés d’un angle 6c d’im décagone inferit dans le cercle. Le
côté du décagone étant trouvé , trouver le côté du pentagone.
XII. 314. b.
Pertragonc ,c\rcon(a\\-c un pentagone à un cercle. III. .x.
P EN T AM ETRE, ( Liu. ) étymologie de ce mot. Nature
du vers pcmamecro. M.uiiere de le fcaiider. On le joint 01-
dmairement aux hexameires. XII. 314. b.
Pentamètre , voye^ É lÉGIAQUE. Vaines recitcrches fur l’in-
ventctir de cette forte de vers. XV II . 161. a. On a prétendu
les imiter en françois. V i l l . 113. b.
PENT APHILLOIE'E , ou PentatilU, ^ Bot. .lardin.) caractère
générique de cfcite plante. Énumération de dix efpeccs
renfermées clans ce genre. Suppl. IV. 282. b. Lieux oii elles
croilfent. Leur defeription 6c ciiltuce. Leurs qualités 6c nia-
gcs. Ibid. 283. a.
Pantaphdloide, ( Bot. ) genre de plante dont la principale
cfpece le nomme argentine. 1. 643, a.
P EN T A PO LE , {Géogr. ) ce nom donné aux villes de la
plaine où eft à préfent le lac Afphalticc. Pentapole Cy ré naïque
ou d’Egypte. Autres Pcnt.ipoks. Pentapole du Jourdain.
Pentapole de Lybic. Pentapole des Philiftins. X ll.
PüN T A T E U Q U E , étymologie de ce mot. Raifons de
quelques nouveaux critiques, tels que M. Simon 6c M.
Lcclcrc , qm ont comellé cet ouvrage à Moïfe. Quelques-
uns ont cru que le lévite envoyé par Afl'aradoii aux^Cu-
théens établis dans la Sainarie, pourroît l’avoir compofé , 6cc.
D autres ont cru que cet ouvrage n’étoic que l’abrégé d’un
plus grand , compofé chez les Jiufs par des écrivains pubii.s,
X ll. 315 b. Reponfe de dom Calmée aux raifons de cciix
qui ont contefié le Pcntaceuqiie à M oïfe. Autre difiàculcé des
încrccliiles; fi l’on accorde qu’Efdras, après la captivité, ait
retouché les livres faims , quelle preuve a-:-ou cju’il ne les
ait pas notablement fuppofés ? Rèponfe cl’Abbadie. Onfeiva-
lions fur les deux éditions du Pentateuque, favoir, k Pen-
tatcuque I-Iébrcu , 6c le Sam.iritain. Ibid. 3 16. .r. Paflage de ce
dernier qui nefe trouve point dans l’Hébreu. M, \1’’iiiflon ne
regarde point ce paffage comme une imcrprétatioii. Différence
entre ces deux Pentateuques par rapport aux leures
g
ou car.aélcrcs. Conféqiicncc qu’on en peut tirer fur l’autorité
de l’un à l’égard de l’autre. Sentimens d’Uircrius 6c de D upin
lurTc Pentateuque famaritain. Caufes auxquelles la plupart
attribuent les difTérences qui fe trouvent entre les deux
textes. Ibid.b. Récit (le ce que pratiquent les Juifs dans la
Icélurc du Pentateuque. Comment ils le clivifent. Ce qu’ils
entendent par feélions ouvertes Sc ferions fermées. Leélv
dii Pcnmteuquc dans les fynagogucs. Les livresprophétiques
auifi divifcs en fcélions par les Juifs. Ibid. 317.
Pentateuque, voye:^ L o i , ( Théolog.) il paroit que Moïfe
le lcrvit de récriture ponélucc dans l’exemjjlaive du Penta-
tcuque qu’il donna à l’ordre facerdotal. VIII. 8r. b. Par qui
peut avoir été ajouté le morceau qui contient le récit de la
TOort de Moiie : il paroit que ce récit appartient plutôt au commencement
du hvre de Jofué. IV . 924. m Moïfe ni les Juifs
1 on point admis les divifious du Pentateiuiue reçues iiarmi
"°"’,’ ■(Tl T litres q’u“e fni ous leur d»o n‘n1'o“n“s." 9 >21«3. léi.v Irmes-
E 413
Parapirays cliaklaïqucs du Punrateuque. XI. nao. b. XV
’’ " ' i f ■■■ ^ ‘ v i n ’ ' Commentaire fur le Penijicutiue
.ap|ie le lia.uooih. XIII. 73 Traclufiio.'ts de cc sllv res , .én -
b e . l l . a a j .u , i Samamaine , ,t,d. Perfane. X V . . . . ,
Deux eànous du Peu,ate..i|t.e que les Juifs de
p e ont fait imprimer en quatre hngues. XII. .u c ■ Fx<-m-
pl-urc m.'uniferu du Pemateuqiie à lîoloitue. II . . . b Di
v.l.ou uuelcs Juifs taifoieu, tie ces livre? eu ... feStous ,m
parafeltes. XI ça e. b. XVII . td ,. „. D e la lefiure qu 'é lê
1 ÜW 1 A i HLE , ( Jeux des Grecs & des Rom. ) „om des
cinq exercices qui compofoient les jeux publics. Le principal
bu: de ces ,cux ctoit d’endurcir les c<,rp.s au irav ul ék
au merier des armes 6c de leur donner des forces 6c de l’a-
gilite. XI!. 317. U.
’"‘'■’7 V H , '" ''" ' I 1“ portoicut ce
nom , IV. 103 t. i- V i l . 47>. 1 eut, oi, Pou l.c couronita
plus que ceu.s qm fe diftug.toieut dans ces cinq cscrciccs
IV. 103 I. é. ^
P EN T E , (/ÿ/c/dr. ) contrc-pentc. X ll, 317 b
Pente de chencau. X ll. 317. b. ^
Pente de comble. X ü . 317. b.
Pente, bande d’é toffe, 6cc, XIL i i - j .b .
Pe n t e , taFic mis à U { Fabrique de ubac) but de ceue
preparation. XII. 317. b.
P£KTe-cON-T,vcoRDE , ( Luth. ) i„ft„,ment i cinquante
cordes tuegalcs de l inveutiou de Faitio Colo tma, noble
iNapomain. ira .tc q iul compoia liir cet inflnimcnt Monocorde
du meme auteur. Diviiion dos tons dans ces deux
initrumcns. IV. 283. b.
P EN fE CO bTA LE S ,o ffran d es , {Hiß. eccl. d'AriAcicrre 1
XII. 317. Zi. ' ®
PENTECO.STE, ( 7'/jro/o«,)étym. de ce mot. XII 317 i
Pentecôte chrétienne. X il. 317. b. D,ns la primitive égli-
fe , a Pentecôte fimlloit le teins pafchal. Pentecôte des Jififs.
Ils la nomment la icte des femaines, ou le jour d.'s prémices.
Comment les Juifs modernes la célèbrent Le Ic«ir du
Iccond jour on h k ï'Habdub. Jbul. 318. u. Fovez ce mot.
Pentecôte , Parlancnt de-,{Jurilbi.) x\\ 61 b
P E N T B r a i tW Ü E , ( ) .iédtiuc ril: Pou' entravoir
chez les Grecs difterente, [tames du cor|is des criminels. Ce
mot employe avec elegance en Cns lignré dans la lanvtie
grecque. X li. 3 ib. a. °
PENTIGAPÉE , {Géogr. anc.) ville capitale du Bûfphore
Cimmericn. Oofervanou Uir le monogramme d’une méd.ntle
qui f.iit le cc)minenccment du nom de cette ville, Sinniiau
de Penticapée exprimée au-dcfi'oiis du nioiioerainme par un
trident. X ll. 518. é. ' ^ ’
PENTLAbrO-FIRTH (G b ^ . . ) paaie de la mer entre 1 Ecofie 6c le^ Oicacics. Violence des marées qu’on y ob-
lervc. Naufrage que ht à ce détroit la flotte des Piffes d'où
ha efl venu le nom de mareplüicum. Deux tans ou l'oii peut
traverfer ce détroit fans tlaimer. XK. 31S é
PENTURE , ( W r . ) X ll. 319. ■ ■
Pen t u r e , {flamande. )X l\ . 3 1 9 . -z
P entuRE, {Marine.) X ll. 319. a.
P E N U L A , (L iu . ) eljioce de manteau des Romains. Son
ufage. ’Vers ({Horace, ou ie poète en parie. Heureux pré-
iage qu Adrien , tribun du peuple, tira de k perte de ce r>-
nul.i. X il. 319. U. " ”
Pen-ala , le droit de porter ce manteau n’appartenoit qu’aux
Citoyens Romains. XÎI. 497. b. 498.
PEÜN (Poc/tc'g-a-c.y ) quatre forces de piés appelles péons.
U ry in c de ce nom. X ll. 319. a. Foyer Péoniciue.
P É P A R E iH E , {Geogr. anc.) ifle de la nier E»ée. Ses
produéfons. Ses noms modernes. Obfervations liir'Dioclés
^ Peparethe. Autres écrivains de ce nom , connus parmi les
Grecs. X il. 319. b.
PEPASME , terme de médecine chez les anciens. III. côç.
a. 368. a. ’
PÉPIE , maladie qui attaque la volaille. Ses caulis. Maniéré
de la guérir. XII. 320. a.
PEPIN, {Jardin.) fruits à pépin. V IL 336. a. Obfervations
fur les pépins de poires. X ll. 881. a. D e la maniéré
de feiner les pépins. XIV. 941. b.
Pep,n le vieux , maire du palais fous Dagobert I. Réflexions
fur fon carafferc 6c fur fa conduite. Suppl. IV. 24S.
a , b. Pépin F/ériJl.il, nuire 8c duc d’Aullralie. 285. Z-.— 287, b.
Pépin le Br e f, roi de France , ( Hiß. de France ) premier
roi de la l’econde race, Sc le vingt-deuxieme depuis la
fondation de lu monarchie. La premiere partie de cet article
rcnfcniie l'Iiifloirc des ancêtres de ce roi depuis Pépin le
v ie u x , maire du palais fous Dagobert I. La fécondé partie
prefente l'hilKiirc de ce chef de la race Carlovinçiennc. SuvoL
IV. 283, b. ^
Pqun le Bref, rautorité du pape 6c celle de Pépin foiite-
nues l’une par l’antre. XI. 834. b. 833. a. Aifiires de Pépin
avec Aflolphe , roi des Lombards. 833. u , b.
PÉPINIÈRE , {J.udin. ) (lili'éremes efpeccs d'arbres qu’on
M M m m m