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610 R O U R O T R O U , {Chymk) alk.ili de Rotrou. I. 176. l\ Fondant
de Rotrou. VU. 64.
R o t u l e , {Jnmom.) os qui couvre la partie antérieure de
• hjointure dit genou.Sa ddcripcion & fes iil'ages. X IV . 38-5.^.
R o tu le . fuiîlure de U ( chirur. ) caufe la plus ordinaire
de l.n fVai^liire tninrverfale delà rotule. Diagnoftic.Prognollic.
]^u la lunniere de contenir cette fraélure par un bandage.
X IV. 38.J.
R o t u l e , {M jr k h . ) G ra sset .
R o tu l e , ( /’/iirm. ) (brte de tablettes. Détails fur la maniéré
de les préparer. X IV . 384. b.
R O T U N D i’S , ( Lmèr. ) fignification de cet adjetflif dans
les auteurs anciens. X IV . 384. b.
R O TU R F , ( Jurifpr. ) étyniologie de ce mot. To ut bien
de roture c(I dans la ccnfive d’un feigneur. Toute terre tenue
en roture paie un cens, &.c. X IV . 383. <r.
Rotme^ tenure en roture, nommée bordelagc. II. 333. b.
ValTa! qui poffede en roture quelques liéritages .à la charge
du cens. 819. a. Coiiverfiou d’un fief en roture. V I . 698. j .
Origine des furnoms de la roture. XI. eoo. a.
I lO TU R IE R , {Jurifpr.) la qualité île roturier a été défi-
gnée par le. terme de noble homme. V . 387. a. Autrefoisiin
roturier qui étoit franc dims un lieu , devenoit quelquefois
ferf dans un autre. 719. n. A quel titre faint Louis ou Philippe
111 permit aux roturiers de polTédcr des fiefs. V I . 696.
a , b. Des rotuiiers achetant fief noble. 704. b , 6'c. Fie f
rorurier. 71 a. SiiccefTion roturière. X V . 600. .r.
R O T W Y L , ( Géeg;. ) ville libre ou impériale dAlIema-
gne , autrement dite RotweH. Tribunal établi par l’empereur
dans cette ville. Obf'ervations fur deux hommes nés dans
cette ville , & célébrés ; l’un ,■ par une fuite d’infortunes, c’efl
S 'baflien S.clcr ; l’autre , par fori favoir , c’eft Melchior
Wolmar. X IV. 383. j.
R O U A G E , ( Hotlog. ) difilnflion que font les horlogers
entre le rouage de fonnerie , & le rouage du mouvement.
Principales qualités d’un rouage bien fait. X IV . 385. b.
Rouage. Des révolutions d’un rouage de pendule ou de
montre. X IV . 238. j , é .
R o u a g e , {Jurifpr.) droit de rouage. Bois de rouage.
R O U C Y , ( Cféogr. ) ville de Champagne, ancien domaine
de l’églife de Reims. AiTcmblée de la nation , tenue à llou cy
en 831. Sa forterelTe afliégée eu 948. Anciens comtes de
Roucy. Suppl.Vd. 682. b.
RO UE , ( AU'chan. ) la roue efl une des principales puWTan-
ces employées dans la mcdianiquc. DilTméLon des roues en
finiples Sc dentées. Mouvement de la rou e , compofé du
mouvement progreiTif, & du mouvement circulaire. Dans
les roues fiinples , la hauteur doit toujours être proportionnée
à la hauteur de l’animal qui la fait rougir .• regie à fuivre
à cet égard. De la force des roues funples. Une roue qui
tourne doit être regardée le plus fouvent comme un levier
du fécond genre , qui fe répété autant de fois qu'on peut
imaginer de points à la circonférence. Difficultés attachées à
la conflruélion S< à riifagc des roues, qui contribuent confi-
dérablenient à en diminuer la force. X IV, 386. b, On prévient
en partie ces dlfficulté.s en employant de grandes roues.
Des roues dentées. C e font des leviers du premier genre
multipliés, & qui agilTent les uns p.ar les autres. Petiies roues,
appellees pignons ou lanternes. Regie qui reiifarme la théorie
des roues dentées. Ibid, 387. a. Développement de cette
théorie. Ibid. b.
Roue. Articles fur les dents de la roue. IV . 840. b. — 843. b.
Suppl. I- 3 1 3. b.
Roue d'Ariflote. Nom d’un fameux problème de méchani-
q u e , fur le mouvement d’une roue amour de fon ailTieu.
X IV . 388. a. Obfervaiions fur les différentes foliitions qui en
ont été données. Ibid. b.
R o u e perfmc ou perfquc, ( Agricult. hydr. ) XIV. 389. a.
R o u e à fe u , ( A rd jk .) X IV . 389. a.
Roue des carriers. X IV . 3S9. a.
Roue de carrojfe ou de charriot. Réfultats de quelques expériences
qu’on trouve dans les traiifaélions philofopliiques, fur
l’avantage des grandes roues, dans toutes fortes de voitures.
X IV . 38^9. h. Foyei aufli C h a r io t .
Roues de charriai : principe pour en déterminer la grandeur.
III. 204. a. Maniéré de les ferrer. V . 3 5 1. />. Des james
des roues. VIII. 430. b. Travail des roues de charriot, voyez
les planches du charron. Vol. III.
Roues de moulins, a féaux 8c à aubes. VII. 143. h. Allu-
clîons de roues, I. 289, a. à aubes. 863. é.
Roue centrifuge, deflinée à changer l’air d’une chambre. I.
236. b. XVII. 27. a , b. 28. a , b.
R o u e , {Machine de charpent.) partie eflenticlie de certaines
machines propres k élever de pefaus fardeaux. Roues
doubles. Roues fiinples. XIV. 389. b.
Roue. Roue des couteliers. Roues des fileiirs d’or. Roue
dans les manufaéfures des glaces. Roue des graveurs eu pierres
fines. X IV. 389. b.
R O U ( 77yr/c)g'. ) defeription des roues, dont i’ufagc e(I
le plus répété dans les montres & pendules. X IV . 389.
Noms des roues dont les différentes liorloges font compofées.
Roues du mouvement d’une montre. Roues de la cadi ature.
Ibtd. 390. J. Roue de vis fans fin. Roue de rofette. Roues
d une répétition. Roues du mouvement des pendules. Roues
de fonnerie. Ibid. b.
R o u e , ( Horlog. ) outils k fendre les roues. V I. 482. b , &c.
Outil k placer les roues de rencontre. X I ll. 809. a. Arrondir
les roues. I. 7 1 1 . b. Courbe que doivent former les dents de
la roue de champ. I V . 843. a , b. Art de calcuLr les nombres
des roues 6c des pignons. II. 346. a , b. XVII. 831. a , b.
852. a , b. 833. a , b. D u nombre & de la difpofltion des
roues ik. pignons. IL 338. b. Efpace entre deux roues, ou entre
les platines & les roues. VIII. 893. b. Rapport entre Ls
dents de la roue & celles du pignon. XII, 616. a. Roue de
compte dans les pendules fonnantes. III. 178. b. Efpece de
riiiie , nommée le rochet. X IV . 31 3. é. Machine pour égalir
les roues de rencontre , vo ye z planches d’horlogerie , V o lu me
IV.
R o u e a travailler , ou meule, ( Lapidaire ) defeription.
Autres roues des lapidaires : defeription de la roue de chaflé ,
Jx de la roue k chever. X IV . 391. a.
Roue , terme tie potier. Terme de tourneur. X IV . -tni. a.
Terme de vitrier. Ibid. b.
R o u e , {Crhuj. facr. ) acceptions & ufages de ce m ot
dans l’écriture. X IV . 391. b.
R o u e , {Jurifpr. ) liipplice dont l’ufage eft venu d’Allemagne.
Delcriprion des differentes maniérés donc on l’exécute.
Crimes pour lefquels cette peine a lieu. Les femmes n'y
font j,.mais condamnées. ^ I V . 391. b, Voyer CROIX DE b. A n d r é .
R o u e , {B la fo n )X \ \ . 3 9 1 , é.
Ko u e , {BLijon ) coninieni on la repréfente. Roue de
Sainte-Catherine. Suppl. IV. 682. b.
R o u £ , {Divin. Litter.) divination par des roues. X V I I ,
689. b. Roue , figure fymboliqiie. X V . 730. a.
R ü L E L L E , éloge des cours de ciiymie de cet auteur. III.
437. b. D e lorigine des fofTdes étrangers à la terre. V IL
211. b. Son liypothefe fur la formation des montagnes. X V II .
676. a.
ROUEN , ( Geogr. ) ville de France. Ses anciens noms. Son
ancienneté. Sa defeription. D u parlement de cette v ille , Sc
de fa chambre des comptes. Commerce de Rouen. X IV ,
392. a. Obfcrvations fur fon pont de bateaux. Dégâts horribles
qu’un ouragan caiifa en 1633 dans cette ville & fes environs.
De l'archevêché de Rouen, du chapitre de fa cathédrale,
& autres ctabiiifemcns eceléfialfiques de cette ville,
iondation de Rn académie. Obférvacions fur la vie & les
ouvrages de plulieurs favans & hommes de lettres qui ont
paru dans cette ville. Bafnage , miniffre calvinirte. Ibid. h.
Henri Bafnage de Beaiiva! , fon frcrc. Samuel Bafnage de
Flütiemanville. Jean du Bofe. Samuel Bochart, miniffre de
l'Evangile , Sc l’un des plus favans hommes du monde. Ibid
393. a. Pierre Brumo y, favant jéfuite. Jean-Baptifie le Brun
D dm a re ts. lavant dans les recherches eccléliafliques. Louis
B i ilie .u , lecrétatre du roi. Jean-Louis Faucon de R i* , fei-
gneur de Cliarleval. François Timoléon de Choifi, l’un des
quarante de l’académie françoife. Ibid b. Pierre Corneille,
'l'homas Corneille. Gabriel Daniel , célébré jéfuite. Ibid.
394. a. Pierre-François Guyo t des Fontaines. Bernard le Bo-
vier de Fonienelle. Ibid. b. Louis le Gendre. Alexandre Noël.
Nicolas Lémery. Marc-Antoine Gerard , fieur de Sniiit-
Amand. Ibid. 395. .j. Nicolas Pradon. Ibid. b. François Ra^'iie-
net. Noél-Eticnne Sanadon, jéfuite. Nicolas le Toumeux.
ibid. 396. a. xMadeinoifelle Catherine Bernard , de racadéiuie
ÿ s Ricovrati. Nicolas Taillepié a publié les antiquités de
Rouen i Sl François Farin a mis au jour l’hifloire cotn-
pletce de cette ville. Ibid. b.
R ouen , ( Geogr. ) obfervaiions fur quelques favans
Rouemiois, 6c quelques artirtes célébrés, oubliés dans cci
article de rEncyclopédie. Pierre Bardin. Jcan-Bapiiffe le
Brun des Marcties. Suppl. IV . 682. b. Adrien Auzoïit. Le
pere Bence. Jean-Baptiffe de Mcrcaflel. Jean Joiivcner.
Louife Cavelier. Emma, abbeffe de Saint Arnaud de Rouen.
Marie le Page, époufe de Jofeph du Boccage. Ibid. 683. a.
Madame le Prince de Beaumont. Jean Pommeraye. Pierre-
Thomas du FofTé. Jacques-François Blondel. Ibid. b. Jean-'
Biiptiffô Deshays. Le poète Linant. Nicolas Fourneau. L’abbé
Yart. Hiftoriens de la ville de Rouen. Population de cette
ville. Arc de triomphe repréfenté fur le portail de la cathédrale.
Ibid. 684. a.
Rouen. Defeription de l’hotel de ville de Rouen. Voyc:^
les planches d’architeèhire , vol. 1, Plan d’un pont de bateaux
élevé dans cette ville. Vol. II, Des planch. Charpenterie
, pl. 26. 27. Écho remarquable près de l’iibbayedeS.
George auprès de Roucj). V. 264. a. ChâiTe de S. Romain
dans la cathédrale de Rouen. VI. 719. b. Maifon do campagne
des archevêques de Roupn à Gaillon. Suppl. 111. 166,
R O U b. Fêtes des ânes qu’on cèlébroit autrefois le jour de Noël
dans cette cathédrale. V I . 373. b. Société des conards autrefois
établis à Rouen. III. 801. b. Bourfes des marchands de
cette ville. IL 373. a , b. Parlement de Rouen. XII. 60.
a , b. &c. Doyen du parlemem. V. 97. a. Chambre criminelle
de cette cour. Ill, 30. b. Chancellerie de Rouen. 121.
a. Confeillcrs de la commune de Rouen 6c de Falaife. IV .
27. é. Echiquier de I’arclieveque de Rouen. 239. é. Echiquier
de Rouen. 160. b. Grands jours de l’archevêque. VII I. 894.
tf. Vicomte de l’Eau k Rouen. XV II . 239. b.
Rouen, {Pierre Adrien d e ) maitic écrivain. IX. 908. é.
R O V ER ED O , ( Geogr. ) population de cette ville du T i rol.
Auteur qui travaille à (on Inftoirc. Obfervations hilloriques
fur ce lieu. Suppl. IW. 684. u.-Académie des Agiati établie
k Roveredo, Ibid. b.
KOUERGUE , le ( Geogr. ) province de France. Ses bornes
6c fon étendue. Sa divifion. X IV . 396. b. Hiffoire de
cette province. Sieges préfuliaux de la fénécliauflée de
Rüuergiie. Übfcrvaiion fur les ouvrages de Louis de Mout-
jofien , geniilliomme de cette province. Ibid. 397. .1.
Rouergue : mine d’argcni de cette province. I. 638. b. Montagne
duRouergue nommée Àubrac. Suppl, l. 698. b. Chancellerie
du Rouergue. lü . 121. a. Droit que le roi le v e e n
Rouergue en qualité de comte de Rhodez. 716. a.
K O V E T , {Archie.) X IV . 397. »J.
Rouet , ( Hydraul. ) XIV. 397. b.
Rouet, armes J {ancien/:. Armes) defeription 6c ufage
du rouet qu'on appliqiioit autrefois aux arqiiebufes 6c aux
pillülcts. XIV. 397. a. — yoye^ ARQUEBUSE.
Rouet t/e poulie de chaloupe , {Alarine) X IV . 397. b.
Rouet, {Boutonnie.r) machine à roue , montée à-peu-
près comme les rouets à filer , à l’exception qu’elle cil plus
grolTe. Sa defeription ôc l'on ufage. Autre rouet de bouton-
nier, compofé de trois roues montées au-delUis les unes des
autres. Defeription Ôc ufage de cette machine. X IV . 397.
b. — Voyc{ les planches du boutonnier.
Rouet , {Boyaudier) defeription de cet infiniment qui
ferc à riier les cordes à boyau. X iV . 397. a.
Rouet , ( C’jri/êzir ) defeription du rouet k filer la laine.
X IV . 398.
Rouet, {Cordier) machine propre à tordre le chanvre
pour le filer , ou les fils pour les commettre. Defeription
des rouets légers que les cordiers emportent avec e u x , 6c
do ceux dont on le l'ert dans les corderies du roi. X IV . 398.
a. Petit rouet de fer dont on fe fert pour commettre le bitor
6c le merlin. Ibid. b.
Rouet des corderies. IV . 213. b. Voyer^ les planch, du cordier.
Rouet , ( Epicier ) roue deftinée à dévider la bougie filée.
X IV . 398. b.
Rouet , ( Epinglier ) defeription de cet infiniment. X IV .
598. b.
Rouet, {file r ie ) infirunient propre à filer les foies, hunes,
chanvres, cotons, 6c autres matières femblables. Defeription
du rouet commun, d’une autre forte de rouet fait
nu tour , dont les dames 6c les perfonnes curieiifes fc ferv
e n t , 6c d’une troifieme forte de rouet portatif très-com-
anode dont toutes les perfonnes de qualité font ufage. X IV .
398. b.
Rouet , maniéré de filer au rouet : defeription de cette
machine. VI. 784. é. Rouet pour tordre le fil. 786. a , b.
Rouet pour filer le coton IV, 3 10. b.
Rouet, {Fdeur d’or) defeription de cette machine d’un
iuéchaniqucingénieux.XlV.399. a. Sabot 6-les planch,
du tueur d'or.
Rouet à tracanner. X IV . 399, b.
"Roxjev, grand. {FriJ'eur de drap ) Sa defeription. X IV’.399. h.
Rouet de moulin , ( Charpent. ) fa defeription. XIV. 3 99.i1.
Rouet, {Serrurerie) garniture qui le met aux l'ernires,
pour empêcher qu'on ne les crochette. Maniéré de faire un
rouet en pleine croix tendue dans les piés , 6c les antres
cfpeccs de rouet qui luiveiu. X IV . 399. i . Rouet à faucillon
en-dedans. Rouet renverfé en - dehors. Rouet à crochet
renverfé en-dedans. Rouet avec faucillon en dehors. Rouet
renverfé en-dedans. Rouet en pleine croix renverfé en-dedans.
Rouet renverfé cn-dehors en bâton rompu. Rouet en pleine
croix haftée en-dedans. Rouet en jilcine-croixhafiè en-dehors.
Ibid. 400. Rouet en pleinc-croix, hafté en dehors 6c ren-
vcvfé en dedans. Rouet k pleiiie-croix, harté cn-dedans &
renverfé en-dehors. Rouet foueet. Rouet avec pleine-croix
renverfé en dedans. Rouet hafté en dedans, Sc dont le bord
cfi coudé en double équerre. Rouet hafté en-dehors. Rouet
en fût de vilebrequin. Rouet en fond de cuve , ou plus
ouvert d’un bout que de l’autre. Diff'érentes autres efpeces
de rouets. Ibtd. b.
Rouet, ( Soierie) rouet k cannettes, Scrouet à dévider.
XIV. 401. a.
Rouets des inanufaéiures de foie. vol. XI. des planches
Soierie.
R O U 6 t r
l’art des tapis de Turquie, vol.
IX, des planch. Tapis de Turquie , planch. 6. Rouets pour le
travail des tapifi'eries de haiite-lHIe, planch. 8 de cci an.
vol. IX. 6c de baffe-lilfe, pl. 14. de cet arc.
R o u et , à r.ibaurc, { tireur d'or) X IV . 401. a.
R o u e t , ( Fierier) X IV . 401. a.
Rouets acs tireurs d o r , vol. X. des planch. Tireur d’or
pl. 5 - 1 2 .
R o u e t , XIV. 401. a.
RO U G E , ( Phyjiq. ) moyen de changer différentes couleurs
en rouge, 6c le rouge eu d’autres couleurs. Un corps
lumineux vu k travers un corps noirparoic roug e. Sec, XIV.
401. b.
R o u g e , ( Cofmétiq. ) efpece de fard fort en ufage. Quel
etoic celui dont les femmes Grecques 6c Romaines fe colo-
roient le vifage. Origine de l’ufage du rouge eu France.
Comment on le préparoic. X lV . 401. b. Réflexions contre
cet ufage. Ibid. 402. a.— Foycq^ F a r d .
R o u g e de carmin , ( Chym. & Peint. ) Procédé fuivant
lequel on peut faire le carmin avec luccès. X IV . 402. a. Manière
de faire le rouge que les femmes emploient pour fe far -
der. Ibid. b. Foyeq_ C a r m in .
R o u g e de corroycur , ( Teinture) X IV . 402. b.
Rouge, encre.\X. 432. é.Encre rouge d’imprimerie. V . 633.0.
R o u g e , ( P e u n . ) m aniéré de faire un beau rouge pour
le lavis. X IV . 402. d.
^ R o u g e d Inde, ( Tehnur. ) efpece d’oclirc rouge. Lieu
d o ù o n le lire. Son ufage. XIV. 401. b.— Foye^ Inde, rouged’ .
R o u g e , ( Teinture ) une des cinq couleurs finiples des
teinturiers. Deux efpeces de rouges , l’iinc dont le jaune
efi le premier degré , l’autre qui part de l’incarnat ou couleur
de chair 6c palTe au cramoifi, qui efi le prem'er terme
de f'a concentration. XIV. 402. b. Sept fortes de rouges
que les teinturiers difiinguent dans le grand teint. Comment
on les fa i t , 6cc. Ibid. 403. a.
Rouge. Propriété de l’alcanna de teindre en ronge les parties
folides du corps. Suppl. I, 237. a. Teinture en rouge
tirée de la racine de l’arbre dit bancudu. 787. b. Autres
plantes qui teignent en rouge. 788. a. Plante d’où l’on tire
le beau rouge qui fen k teindre les toiles de Mafulipatan,
III. 337. b. Ronge de garance. VU. 478. a , b. Rouge
de lacque , voyc^ ce mot. Rouge de Venife. XVII . 13.
b. D e l'art de teindre les étoffes en rouge. X V I. 18. a ,
b. — 21. b. Des couleurs que donnele mélange de rouge avec
d’autres couleurs de teinture. 2^. a , b. Ochres rouges,
voyi-^ OcHRE. Maniéré de préparer le rouge poiu la peinture
des toiles des Indes. X V I. 373. Racine de ronas employée
à cet ufage. Suppl. I. 660. a. Rouge pour les toiles
imitées des Indes. X V L 379. a.
Rouge, pour le p.apier marbré. X. 73. b.
Rouge dont les Chinois fe fervent pour la porcelaine. XIII.
1 1 1 . , b. 1 1 1 . a.
R o u g e s , nuances , dans les fleurs, ( Jardin fleur. ) principe
de ces couleurs, VI, 853. é.
R o u g e , ( Linér. & tufl. )la couleur rouge étoit chez les
Romains dans une eftime particuliere : pourquoi elle fut adoptée
dans les armées romaines : diftlnélion particuliere accordée
en tout Tcms k cette couleur. VII. 999. h. Ufages
du rouge parmi les anciens Sc les modernes. Suppl. II. 63 t. a.
R o u g e , ( Blafon ) voye^ G ueu les,
R o u g e d'Angleterre, { Fergctcier) XIV, 403. a.
R o u g e , ( Art de la Fenerie ) miinierc de donner au verre
un rouge tranfparent. XIV. 403.tr.
Rouges vins, XV II . 288. b. 289. b. 292. a. 293. a , b.
297. b.
R o u g e , ( Glo jf franc. ) Origine de l’ufage d’employer le
mot rouge, fie r, hautain , arrogant.Ehi mot rouge pris
dans ce fen s , s’cil formé celui de rogne , qui lui efi fvno-
nyme. XIV. 403. b.
R o u g e , mer, ( Géogr. ) On peut croire que la mer Rouge
efi plus élevée que la Méditerranée, & que fi on coupoit
rifihme de Sue z, il pourroit s’enûiivre une inond-ttion &
une augmentation de la Méditerranée. Paffage de Varenius
oil il prouve que les mers ne font pas également élevées
dans toutes leurs parties. X IV . 403. é. Réflexions de M. Buffbn
fur ce que quelques auteurs prétendent qu’il a exifié autrefois
un canal qui communiquoit du Nil à la mer Rouge. Recherches
fur l'origine du nom de mer Rouge donné k ce golfe de
l'Océan. Ibid. 404. a. Depuis fon entrée jufqii’au fond du golfe
, fes eaux font par-tout de même couleur. 11 efi vrai que
dans quelques endroits, elles paroiifent rouges par accident,
& dans d’autres, vertes Scblanches. Explication de ce phénomène.
Ef'pece de rochers qu’on a appelles rochers de corail
dont cette mer efi remplie depuis Snitqiien /iifqu’à Koffir.
Ibid. b.
Rouge , merX. 367. i. 368. a , b. XII. 428. é.429. b. Pourquoi
cette mer a été appellée de ce nom. X L 333. b. Vains efforts
de quelques rois pour faire communiquer cette mer à
la Méditerranée : canal qui la joint au Nil. X V . 63 3. a , é. Ma-
Hi