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6Ö0 S E M
Ï1 paroît daborcl que l'ordre de ces noms dans la fcmaîne
a du rapport avec celui des 24 heures : mais M. labbé
R.oiiirier, dans un mémoire Air la mufique des anciens, croit
que cet arrangenicni vient des intervalles de la nuifique ;
il en a donné des preuves qui paroiflent très-fortes. D é ve loppement
de ce ieiitiment. Suppl. IV . 76^. a. Ordre des
planètes correfpondantes aux jours de la femaine avec les
f'ons qu’elles dcfigncnt , Sc les nombres qui fixent à ces
fons leur intonation radicale. Rapport que les Cliinois ont
aulfi établi entre la mufique , la fdcnce des nombres &. l'af-
ti üiiomie. Origine de la divifion du jour en 24 heures, félon
les principes du même abbé RouHier. Ibid. b.
SiM.MNE , ( Crniq. ftcr.) cette maniéré de compter le tems
cfi venue des Juifs. Trois fortes de femaines qui étoient en
ufage parmi eux. X IV . 9} 5.
ScMAlNES de D.miel, ( Critiq.fucr.) Foyc^ DaNIEL, ch.
jx. 24 — 27. Le.s commentateurs font d'accord à reconnoitre
que cette prophétie regarde les Juifs, & que les femaines
dont il y efi parlé font des femaines d’année. Mais ils different
fur la fixation du commencement & de la fin de ces
70 femaines. Difficultés que renferment les hypoihefes qu'ils
ont embraffées. Erreurs dans le compte de Tcrtullien. Ob-
fervation fur l'hypothefe des modernes qui efi la plus généralement
approuvée. X IV. 93 Prophétie.
Semaine de U p.iß cn , (^Calend.) Voy(.\ Pasque.
Semaine ßiinte, ou grande femaine , aéics religieux auxquels
elle cfi confacréc. L’origine de la célébration rapportée
aux tems des apôtres. Comment clic étoit célébrée dans la
priinitive eglife. XIV. 936. a. Jbjej; PASQUE.
Semaines , ( Statuts des Chirurg. ) les afpirans admis au
grand chef d'oeuvre, doivent employer quatre femaines à
faire preuve de leur capacité. X IV . 936. a.
SEM A IN IER, {Juri/pr.) P'oye^ Hebdo.madier.
SÉMALE , ou Sèm.u]ue, ( Marine ) petit bâtiment hol-
laiidois. Vol. VU, des planch. Marine, pi. 14,
SÉ.M.ANTERION, ( Luth, efpece d’infiniment de bois à
pcrculîion. Sa deferiprion d'après CalTctis & Léon Allacius.
Suppl. IV. 766. a. P'vycT fa hg. pl. 1, Luth. Suppl.
S EM A N T R UM , Semanterion.
SEMBIENS, {Hifl eccl.) anciens hérétiques dont le chef
étoit un certain Sembius. Leur doéirinc. X IV . 936. b.
SEM B LA BLES, ( Géomet.') Angles femblables. Rectangles
femblables. Triangles femblables. Polygones femblables.
Arcs femblables. X IV. 936. b. Segniens femblables de cercle.
Seélions coniques femblables. Nombres plans femblables.
Quantités femblables. Quantités qui ont des fignes femblables.
Figures folides femblables. Ibid. 937. a.
SemBLABL; s , chofes ( Aleiap/iyJ. ) voye^ SIMILITUDE.
SE.MBRADOR, ou Spcrmatobole d'Efpagnc l^Agncu'.t. ) La
perfeétion de l’agriculture confifie à placer les plantes dan.s des
cfpaccs proportionnés où les racines puifient s’étendre & fe
nourrir. Cette confidération détermina à la fin du dernier
fieclc le chevalier Lucatcllo à perfeélionner un infirunienc
q u i, étant attaché à la charrue pût fervir en même tems à
labourer, ferner & herfer. Avantages de cet infiniment démontrés
par l’expérience. Privilège accordé par le roi d’Ef-
pagne à fon inventeur. Suppl. IV . 766. b. Defeription Se
Aifage de cette machine. Ibid. 767 a. Infiniftion fur les opérations
qui doivent précéder & fuivre l’emploi du fembra-
d o r , Sc fur maniéré de s’en fervir. Ibid. b.
SEMÉ , ( U/rf/ürt ) ufage de ccraot dans le blafon. Suppl.
IV. 768. 0.
SEMEI, qui écoute, {Hiß. f.7cr. ) hifioirede Semeî, fils de Ge-
r a r , de la famille de Saul, qui maudit David. Suppl. IV.768. a.
SEMEIAS, qui écoute le Seigneur, {Hiß. facr.') minifiere
qifun prophète de ce nom exerça auprès de Roboam. i'/qi/’/.
JV . 768. b. Faux prophète- nommé Semeias, qui vivoit du
tems de Néhémie. L’écriture parle encore d'un antre faux
prophète du meme nom, qui vivoit à Babylone, pendant
que Jérémie prophétifoit en Judée. Lettre qu’il écrivoit contre
Jérémie au peuple de Jérufalcm. Reponfe du prophète./i/ii. b.
SEME IOT IQU E , ( Méd. ) fciencc des Agnes. Etymologie
du mot. X IV. 937. a. Divifion de cette partie de la médecine
en féméiotique de la fanté , & feméiotique de la maladie.
Elles ne font l’une & l’autre que des corollaires , quidevroient
être déduits à la fuite des traités de pathologie & de phy-
Aologie. Il n’y a point de partie dans le corps humain qui
ne puiAe fournir quelque figne à l’obfervateur éclairé. Ainfi
le médecin, à l’occafion des phénomènes préfens, tantôt
porte fa vue dans l’avenir , tantôt rappelle le fouvenir dés
événemens qui ont précédé ; telle efi la bafe de la divifion
générale des fignes en diagnofiies , prognofiies , & anamnef-
liques. Autre difiinftion que les auteurs clafiiques ont
faite des fignes. J iii. b. Séméiotique de la fanté. 11 y a
p c fq u e autant de famés différentes que de fujets différens.
Examen que le feméiologlAe doit faire pour déterminer fi la
fanté fera confiante , ôc fi le fujet qu’on examine jouira
d’une longue vie. Ibid. 938. a. Ouvrages à conAilter. Ibid. b.
Séméiotique , ( Med. ) cette partie de la médecine ne de-
S E M
vroit pas être féparée de la nofologic & de la fymptomatolo-
gic. XII. 171. a. Partie de h feméiotique nommée pulfinum-
tie. XIII. 568. a. De la fcience des fignes. X V . 188. a , b.
Signes diagnofiies. IV. 932. b, Prognofiies. XIII. 429. u , b.
anamnefiiques. 688. b.
' SEMELÉ, ) hiftoirc de Scnielé par Paufanias. Pouvoir
qu’on lui ateribuoit. X IV . 938. b.
Semelle , appdlée Thyoïié. XVI. 311. .r.
SEiMELLE , terme d’architefiure , d’artillerie , de marine ^
de cordonnier , de charpentier, & de tourneur. X V . 938, b.
Semelle , ( Monn. ) poids imaginaire qui reprefente les
24 carats de l’o r , &. le poids de douze gnins. Ufage que
les elfiiyciirs en font pour les elTais. La femelle repréfente
aiilfi les douze deniers de fin de l’argent, ou le jioids de
treiite-fix g-ams. Sur ce p ic , chaque grain de poids repré-
fenie huit grains de fin. Suppl. IV . 769. a.
Semelle , poiJs. X ll. 86t. a.
S E A IEN contr.i, ( Mat. médic. ) Voye^ Ba r b o t iNE.
SEMENCE, ( Econom. anim. ) il n’efi point d'hmnciir
dans le corps humain , dont l’élaboration fe faife avec tant de
lenteur , par plus de détours , & dont la nature fuit plus
avare, übfcrvations de Leiiwenhoeck fur les animaux fper-
matiques. Manière de répéter ces obfervations. X IV . 939.
a. Laicmence ne coule jamais qu’elle ne foie précédée , fui-
v ie , enveioppée du fuc de profiates. Différence entre ces deux
liqueurs. Signes extérietirs de viiilité qui annoncent l’époque
où ta femence commence à fe faire. Pourquoi la barbe
Si les cheveux tombent fouvent clans la vieilicffe. Obfer-
vations fur raft'oibliffcment qui accompagne ordinairement la
perte de quelcjues gouttes de femence. Les fels volatils huileux
ont été regardés comme excellens pour la génération.
Ibid. 939.é. Sentimens de divers atiteurs fur la femence des
femmes. Ibid. 940. a.
SEM EN CE , {PhyJIol.) caraélercs de cette liqueur.Animalcules
qu’on y obferve. Organes d’où forcent les différentes
liqueurs dont elle efi compofée. Suppl. IV. 769. a.
Caufe de lafolbldfe qui réfuite delôn émilfton. L a véritable
liqueur fécondante paroit être celle que fourniflént les tef-
ticiiles. Caufe qui retient le fperme dans les véficules fémi-
nales. Vigueur finguliere que donne au mâle la réforptioil
qui s’en fait. Parties du corps dont cette réforption produit
raccroiffeinont. Cette liqueur fécondante n'a qu’un tons
dans la vie humaine. Ibid. 770. a. Conjeélure fur la maniéré
donc elle opéré la fécondation. IbiJ. b.
Semences. D e toutes les humeurs il n’y ert a aucune qiiî
foit préparée avec tant de foin que la femence. Xi 31. b. Vaif-
feaiix oii elle fe prépare. Suppl. II. 614. /•. Véficules fémi-
nales. X V II . 204. b. Vaiffeaux qui portent dans les véficules
féminales, la femence qui a été féparée dans les tefiieu-
les. Suppl. II. 687. b. Liqueur de la profiate qui fe mêle à
la femence. Suppl. IV. 342. a. Force irritante des parties
fubtiles de la femence. Suppl. 1. 123. b. Sa venu fécondante.
Suppl. III. 63. b. 66. a. Animalcules découverts dans la liqueur
fpermatique. VIL 565. b. — e^6-j.b. Animalcules dans
là femence du ver à foie. X V II . 40. a. Moyens qui concourent
à diminuer l’abondance de la fecréfion de la liqueur
fécondante. Suppl. IV. 823. b. Sages vues du Créateur en
cela. Ibid. Utilité de la femence repompée dans les humeurs.
XI. 290. d. Comment elle contribue à donner à l’homme une
voix grave & de la vigueur. VI. 160. a , b. Son abondance
met l’animal en chaleur. Suppl. I. 124. b. Ejaculanon de la
femence , voye^; ce mot. Du méchanifme de l’excrétion de h
femence & de fes effets faUuaircs .V. 439. b. X. 118. d, El-
pccc d’irritation qui la fait fortir des véficules. Suppl. II.
688. a. Circonfiances dans Icfquelles fon excrétion cft per-
mife & mile. X. 31. b. Nécefiité de cette excrétion rendu légitime
par le mariage. 116. d , b . Maux qu’entraîne l’excrétion
immodérée de la femence. 32. a , b. 6'c. 68. u. 118.
a. XI. 290. Etat de foibleffe qui fuit fon ciniffion. Suppl.
II. 688. d. Objefiioii contre l’e.xifience de la femence dans
les femmes, vil . 272. d.
Semence, maLidies de la {MeJcc.") énumération d« ces
différentes maladies, de leurs caiifes, &. des moyens d’y
remédier. X IV . 940. a.
Semence, perle de Id. XII. 921. h.
Semence , {Bot. ) Foye^ (Îr a in e . Le.s enveloppes de !.i
femence ont les mêmes iifagcs que les membranes qui environnent
les foetus des animaux. Efpece de baumeou d’huile
dont elles font remplies. X IV . 940. b.
Semences. Comment elles fe forment. Suppl. IV . 770. b.
Defeription d'une graine de femence. Suppl. III. 208. b.
Différentes parties remarquées dans un grain de femence.
X V I . 933. b. Lobes des lemcnces. Suppl. III. 208. l. Com-
paraifoB des fcmences des plantes aux oeufs des animaux.
207. a. Forme ou propriété que les fcmences des arbres
ont reçues pour procurer leur dlfperfion. I. 3 21. <»•
Animalcules dans les femences des plantes.IL 343, a. De la
femence renfermée dans les fruits. VII. 336. b. Des femences
Icguaiincufes, IX. 368. b. Ô-c. Fait migullér qui prouve
h
S E M
la grande multitude des femences de plantes répandues
par-tout. Si la ncccfitté de certaines circonfiances pour les
faire éclorre. X V I . 876. b. Fécondation de la femence. 762.
b. Foyei Fécondation. Préparations à faire aux femences
pour les fertilifer. Suppl. III. 216. a , b. Caufe de
leur fertilité, voye^ ce dernier mot. Caufe de leur fiérilité.
Çk/1/j/.^UI. 213. a. 209. d. Caufes qui les font avorter. Suppl.
Se m e n c e s végétaux, {Scicnc. microfeop.') lemicrofeope
a tait découvrir de petites plantes dans les femences. Maniéré
de préparer ces femences pour faire cette obfcrvation. Forme
tous laquelle paroiffent les femences de fiaifes & de pavots.
Vaiffeaux féminaux & femences des plantes canllla'res.
X iy . 904. b. t 1 •
Semence , ( Agricult. ) Principes dont les femences des
bles font compofèes. Suppl. IV, 48. b. Du choix de lu femence
pour les terres à blé. 1. 188. h. Suppl. I. 920. a. Suppl. 111.
209. a , b. Grains de l ’épi les plus propres à une bonne femence.
Suppl. IV. 49. a. Maniéré de fe procurer pour les blés
une bonne femence. Ibid. h. Précautions à prendre pour
que les femences ne produifent pas des plantes niellées. 48. b.
— 50. b. Moyen de la fertilifer. 1. 235. a. Suppl. III. 216.
a , b. &c. Suppl. I. 233. a. D e la rcprodiiélion par les l'e-
menccs. Suppl. IV . 770. b.
Sem en c e , {Jardin.) art tic conferver les femences d’un
jardin fans dommage. Suppl. III. 301. b. Divifion des femences
relativement aux précautions qu’elles e.xigenc pour
être envoyées fûrement. Suppl. IV. 973. b.
Semences, ( Médec. ) principales femences cruAge en médecine,
& cultivées dans nos climats. Ufages des femences
froides & chaudes , tant majeures que mineures. X IV .
941- d.
Semences chaudes, les quatre grandes. ( Alédec. ) Obferva-
tioiis fur les remedes où elles font employées. XIV. 941. a.
Se.MENCES chaudes, les qiuure mineures. Leurs propriétés &
ufiiges. XIV. 941, a.
Se.mences jroides, {Médec. ) Ufage des quatre grandes &
des quatre mineures. XIV. 941. a.
Semence de perles ,{H ifl.n a t.)X \ l. 383. b. 386. h.
SEM ENTINÉ, ( Mat. médic. ) voye:^ BarBOTINE.
SEMER. , ( ) infii-uéboii fur la maniéré de femer
dans la pépinière. X IV . 941. a. D e la femence des pépins,
des graines de fleurs. Soins à prendre après avoir femé. hid.b.
Sc/Hf/-.Obfervations lur la maniéré de fetner les difi'cien-
tes graines. VII. 833. b. 836. a. Ufages de la herfe après
cette opération. VIII. 786. a. Dét.aiis fur la maniéré de femer
dans la pépinière. XII. 321. a. D e l’operation de femer
les plantes exotiques. Suppl. IV . 772. a.
Semer , Enfemencer, ( Syrionym. ) Ditî'érences dans le fens
& l’iifage de ces mots. X IV . 942. a.
Sem er , {Econom. rujliq.) trois conditions à remplir pour
bien faire cette opération. Jetter fur la terre la quantité de
femence qui convient. X IV. 942. <i. La difiribucr également,
& la recouvrir à une certaine profondeur. Détails fur ces
opérations. Des tems marqués pour les difi'ércntcs feniailles.
Etat où doit être la terre oii l’on fcmc. Ibid. b.
Semer , (Econom. rufliq. ) Réglés pour femer le bois. II. 298.
b. 299. a. En quelle année il faut le femer. 500. a. Maniéré
de multiplier par femence les arbres délicats. Suppl. I, 249.
d. Sur l’opération de femer pour la reproduélion des arbres.
Foyct;_ Semis.
S emer, {A g r îc .) de la faifon oii il faut femer le blé.
Suppl. III. 214. b. Danger de femer trop tard en automne.
Suppl. 1. 920. b. Préparation des blés avant de les icmer.
Suppl. II. 408. a. Suppl. l i l . 216. <2, b. Préparation des terres
avanc_ de femer. 692. a , b. &c. Les blés ne doivent pas
être femés trop épais. Suppl. I. 920. b. Suppl. IV. 687. a.
Quantité de femences par arpent pour les blés. Suppl, f.
921. b. Ufage de femer le feigle avec le froment pourfou-
ager les terres. Ibid. Les blés ne doivent pas être femés trop
profondément. III. 210. é. D e l’ufage des femoirs pour
I opération de femer différentes graines. Voyc;^ Semo ir .
SEME STRE, (/«r/ÿ/jr.) Tribunaux dont les officiers fervent
par femcflre. En quel cas on affemble les deux lemef-
tres du parlement. XIV. 942. b.
Semestre, {Art milit.) différences qu'il y a eu dans les
femcfircs félon les dift’érenies conjonéliires. X IV . 943. a.
SEMI-ARIEINS, ( ) feéle d’hérétiques quiéioient
Ariens. En quoi ils différoient des purs
M e u r e n t beaucoup de part aux conciles
de Se^leucie & de Rimini. Divifion entr’eux fur la reffem-
hlance quils adinetioient entre le pere Si le fils. Le fécond
concile général a encore donné le nom de femi-ariens à
d autres hérétiques qui nioient la divinité du S. Efprit, 8iqiii
^li^^^Macédonius. Ibid. Voyez Ma cédoniens, é.
S EM ICO N , {Mufiq. i„flrum. ) inflvument de «nifi-
que (les Grecs qui avoir trente-cinq coides. Les cordes y
«Jtoicnt mifes Jeux à J eu x , accordées à l'unilïon ou i l'oc-
tave. XIV. 943. b.
S E M 66r
SEMÎDIURNES, arcs. ( apron) Suppl. !. 5 ,8. i. Suppl lîl.
de CCS arcs. Suppl. IV . 022. E
SEMINAIRE différentes fortes de féminalres
l-cs pms anciens font ceux qui furent inflitués pour élevct
T V™ ,? '/ origloc. D ifp „fo i„„s d.. concile de
Trente fur ces femmaires. Difeipline de l’églife de Fr.mee
^ S fM m T ' *'• ^ ‘'^■ '■ ■ '>8« « confultCT. !b,d. b.
O o L m 914- !>■ / W .
'1 féminales. V I .
633. b. Vi.ficules feminalcs. >\VII. 104. l>.
y iV lIN A R A ( Geicr. ) bourg du royaume de Naples,
tvenemens t|Ui lont rendu remarquable Suor! !V - l o b
S ÉM IN A T IO N , im p . nu,.) l lm ' d e ^ u e ; . D iK m „ ;
moyens que prend la nature pour que la eraiue foil fetnée
convenablement. X IV . 044 b
SEMINÎSTES, ( ^ / z / o ’ fcô c de phyficlcns qvl
dem que le tcenis efi formé par le mètani>e des
ces de la femelle & du mille. Obfervaticn contre la u W -
pothefe. X IV , 043, b. “
S EM ÎN O V IS IE S , {A n a t.) branche des ovifies. X IV . 9AS-J-
.SÉMI-PELAGIANISME , ccd.) on croit que cette
iierciie a t,re f^a principale origine des écrits de Jean Caf-
iiens. Hifioire de ce fameux folitairc. S.i dofirine fur 'e libre
arbitre i>£ Air la grâce. X IV . 04^. b - - ‘ c-
SÉMI-PELAGIERS, (m p .c c d .) pUrficurs faé.ms Irom-
mes dans es Gaules, roiTibercnr dans le fé.mi-péli;gir.nif.ne.
Nom i\t Msifdicns qui leur Ait donné. Expofirion de i a r
dofinne fur le bore arbitre , la g race , & h prédcfiinaiic-
A lV . 943. b. ‘ ■
t-oftrinc fur la grâce. VII. 9qi [■
ShlMHÎA.bm Ion regue. W : I. 6 5 ,. u. Scs débauebcs.
V ü , -So. a. Sadatuc. X V . 498. i . Piffage quelle fit ouvr r
dans le mont Zngrus. VII. 688. b.
SEMIS, {^gric. Jardin. ) La reprodnfiion par les A-mcii-
ces elt la pins imiverfcHe de toutes. Comment fe form ne
les femences des^ yégétau.v. Rien n’égale là fl-condité do.s
reproductions opérées par leur moyen. Il efi cer’-ùn -lufl*
que cetre voie d l la plus utile. SuppiVT. y jo . b. Obferlatious
(I OU Ion peut recueillir Lrs principes les plus certains fur h
mamere de femer les arbres & les arbrilfeaux. Du tems où
Ion doit recueillir les plus petites femences. Lorfquc les
fruits charnus qui renferment les femences font petits oii
ne doit pas craindre de mettre ces fruits entiers eu terre. A
1 egard des plus gros , il paroît indifpcnfablc de les en tirer
a moms qu’on ne laifl'e pourrir le fruit pour i’enrener na*
morceaux. Ibid. 771. a. Avantages de femer entières les b?'es
des néfliers, aubépines , h o u x ,& c . Semences qu’il faut fe mer
avec leurs capfules. Obfervations fur les cônes des Alpins
, des aulnes & des bouleaux. Les amandes, les noix
l^es piltaches , ont une coque dont il ne f’aut point tirer la
lemciice. Efpece de terre dont il ne faut mettre un lit fous les
lemences immédiatement. Il faut peu couvrir les femences
des arbres. Ibid. b. On ne doit les enterrer out;
certaine proportion avec leur groffeur. Lc-s degrés de profondeur
où l’on doit les mettre doit encore varier Aiivam h
nature des terres , la faifon où l’on feme , & le plus ou moins
d ombrage naturel ou artificid. Semis des plantes e.votiquc.s.
'* pÉis 01! moins de délicatelTe
Differentes maniérés dont fe font ces feinis. Ibid. --'2 7
irincipcs Amples, propres à guider le cultivateur'imelli-
gom qm veut creer des b ois, par le moyen dos femis en
grand 6i a demeure, i". La nature de la terre & la fitimicn
du terrein doit convenir à t’efpcce d’arbre qu’on fe i.ropofe
d y femer. 2 ‘. 11 faut foumettre le terrein à routes les pré-
paraAons capables de l attcnucr & do changer fa fup-;rficie.
3". On doit labourer plus ou moins profondénient, félon les
efpeces de femences. 4"'. Manière de combattre les plantes
parafues ik les mulots. Ibid. b. 3”. Protcfllon à procurer aux
jeunes plantes contre l’ardeur du foleil. 6®. Comment on
doit dcfeiidre les femis de bois, de la dent des beftiaux. A u tres
direélions lur les moyens de parer .1 tous Icsinconvé-
mens ,& de procurer .aux femis de bois tous les plus >-Tands
avantages, Ibid. 773,
SÉiMLS , ( Agric. ) voye- B o is. Semis des jicpins de poires
fauvages Sc de poires à cidre pour fe procurer des fii-
jets propres à recevoir la greffe des bonnes efjieces de poiriers.
Suppl. IV. 437. a.
S ÉM I -TO N , ( Mufq. ) on en peut «lifiingiier deux dans
la pratique, le fémi-ton mn/cur, & fémi-ton mineur. Trois
autres font connus dans les c.alciils harmoitiotics favoir le
fémi-ton minime, le maxime & le moindre ‘XIV 046 b
SEM I -TO N IQ U E . {Mufiq. ) oeye^ C h r o .ma t iquÎ . ’ '
SEMNÜNS , ( Géogr. ) peuples Gaulois. Temples de leurs
(lieux. X V I. 83. d. Foye:^ Senones.
y M O m „y?,:,.)Objct q.fion fs propolc d.ms
lufage des femoirs. IDefciiption d’un fomoir (jui rcimir à
une conflruflion facile, la ftircté de fe< efleu & Icsclifi'é-
E E L E e e c e