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POSTURE S diL corps, ( Ori/iopcJie ) fâcheux efFels des
mauvaifes poftures dont on prc*nd l'Iiabitiidc. Exemples. XIII.
174. J. DiflV>rmités & maladie que corurafta une dame pour
avoir pris la cmmime de s’habiller négligemment, & d’etre
aflilé toute courbée. Jeunes gens devenus fiijets à des maux
de tète , d’yeua & de gorge , pour avoir pris l’habitude de
dormir la tête renveriée derrière le travcrfui. Exemple d’une
femme, qui après avoir été guérie d’une fraélure à la cuiiTe,
demeura cependant bolteufe , pour avoir infenfiblemcnt
contracté une mauvaife difpofuion dans les hanches. lùjJ. b.
Poßares du corps, voyc^ ATTITUDE, CONTENANCE. D e
la polhire dans le lit. IV. 320. />. Ponrcpioi une même attitude
long-tems foutenuc nous laffe. X V . 483. rf.
P O T , ( Pouric) dilTerentes matteres, formes & ufages
des pots. XIII. 173. a. Foye^ Poterie.
Pot , ( Mefur. des lù]uid. ) détermination de la capacité de
cette mefure en diöerens lieux. Vendre du vin à pot.
Droit des bourgeois de Paris de vendre à pot le vin de
leur erîî, X llI . 173. u.
Pot a teu, (JinU l.) XIII. 173. a.
Pot en tête, (Ârc milit.) XIII. 17 3 .3 .
Pot a E'eu, { Anific. ) gros cartouche rempli de plufieurs
fufées, Comment ou aireinble plufieurs pots à feu. P'oyc^
T rompe. Coultrui^lon d’une autre efpcce de pot à feu.
X m . 173. h.
Pot a feu , {A nißc.) petit mortier de carton , qui jette
les garnitures comme les pots des fufées volantes, mais
un peu plus groiïcs. Grandeur la plus ordinaire de ces pots
à leu. Comment on les attache fur leur pié. X llI . 173. b.
Maniéré d’attacher ce pié an lieu oii U doit être fixe. Pots
à feu auxquels on donne le feu par le fond. Maniéré de
le.s condruire. Serpentaux dont on remplit les pots à feu.
Autres artifices qu'on y met quelquefois. Ibid. 176. a. Pots
à teil aquatiques funplcs. Des pots à feu doubles Sc triples.
Ibid. b.
Pots de ch.imbre, {^Litter.') les Sybarites en faifoienc porter
avec eux dans les maifons où ils étoient invités à manger.
Comnient on avertifToit le domePique de préfenter le
pot de ch.imbre. Matières dont on faifoit ces v a fe s , 8cc.
XIII. 176. b.
Pot. Pot à cire des blancIiilTeurs de cire. Pot à pétrir des
boulangers. Pot à fu if des chandeliers. Pot à couleur des carriers.
P o t, terme de foulon. P o t , dans les manufa<^ures de
glaces. Pot à colle de gaînier. XIII. 177. <1.
Po ts, (^Jardin.) matière dont on les fait. Leurs avantages
& leurs inconvéniens. XIU. 177, j Lit de plairas qu’on
inet au fond des pots. Ibid. b.
Pot a BRAi, {AI.!/i/ie) pot à feu ; pot de pompe. XIII.
17 7 . b.
Po t , {Pupeter. ) forte de papier. XIII. 177. b.
V oT {P urfuni) potpourri. XIII. 177. b.
Poe, terme de verrerie , terme de vernilleur. Le p o t , au
jeu de boule. XIII. 177. b.
Pots, pierre À , ( Hiß. nai.) pierre ollaire. X III. 177. b.
Pot-de-vin, {Comm.) XIII. 180. u. X V I I . 300. b.
P O T A B L E , L»r , ( A/.Jf. medic. Chym. ) XI. 323. i>. X V I.
C63. a. b.
P O T AG E R , ( Jardin. ) Son origine cR aulTi ancienne que
le monde. XIII. 177. b. Culture des pot.igers. Ufage d’une
pierrée dans leur milieu. Grandeur des quurrés que forment
les murs , lorfqu’on les a élevés pour multiplier les efpa-
licrs. D e la dillribution des plantes felon les terreins. Ibid.
Ï78. il.
Potager, objet de cet article. Suppl. 1 1 . 30. b. Suppl. III.
501. a. Maniéré de dreffer un potager. V . m . a. Culture
des potagers. IV . 331. b. Graines potagères, maniéré de les
conferver, d e les ferner. Sec. VU , 833. b. &c. Jardins potagers
reprefentes vol. I.dcs planches. — Foyc^ Jardin.
Po tag er, ( Macon. ) table de maçonnerie dans une cui-
fmc. XIII. 178.
POTA.MIDES , n.ivades , ( Myth. ) XI. 7.
POT.A.MOGEITON , {_Botan. ) caraéteres de ce genre de
plante. Ses efpeces. XIII. 178. a. Del'cription de celle qui
ed: à feuilles rondes. Lieux oii elle croît. Etymologie de Ion
nom. Ibid. b.
P O T A.MON d’Alexandrie, ch e f des éclectiques. V . 273. b,
POTA.MOS , ( Gi’ygr. anc.') bourg de l’Artique. lufcrip-
tion üîi il efi fait mention des habitans de ce bourg. Pourquoi
ces habitans furent taillés fur le théâtre d’Àihenes.
Autre lieu de ce nom dans la Galatic. XIII. 178.6.
POT AS SE , ( Chym. Comm, & A n s) fel alkali fixe qui fe
lire des cendres de différens bois brûlés. Origine du mot.
X n i . 178. b. LapouîlTe fait une des principales brandies du
commerce du Nord. Arbres qu’on emploie à cet ufage. Méthodes
qu’on fuit en différens pays & particuliérement en
Suede , pour obtenir de la pocalTe. Autre procédé publié
en Angleterre pour faire de la potaffe fcmblable à celle de
Eudie. Ibid. 17g. ,1. Remarques fur cette méthode, 6c fur celle
qui le pratique eu Suede._ Voie la plus fine pour arriver au
P O T
même but. Examen que l’on fait à Daiitzic de la potaffe de
Pologne , avant qu’on l’emploie dans le commerce. Ibid, b.
Propriétés & ufages de la potaffe. Ibid. 180. a.
Potajfe , différence entre la potaffe 6c les cendres erave-
lées. II. 813. a. Effet de la potaffe fur la glace. V i f . 318.
b. Potaffe pour la teinture. X V . 12. 6.
^^0 T -D £ - \ 1 N , (Comm.) préfent que l’acheieur fait au
vendeur. Souvent il fe donne .à remremetteur à l’infu du
propriétaire. Les commiffionnaires font tenus de faire bon
à leurs commeitans des pots-de-vin qu’on leur donne , Scc.
XIII. 180. a. Foyei VlN DE MARCHE.
PO TE , homme de, (Jurijpr.) VIII. 281. rf.
PO T E A U , ( Charp.) étymologie du mot. Poteau cornier,
de cloifon , de charge, de fond , de membrure. XIII. 180.
a. D e remplage, d'buifforie , poteau montant. Ibid. b.
Po t e a u , l^Comm. de bois) XIII. 180. b.
Poteaux d'écurie, icharpeiu.) XIII. 180. h
PO T E N C E , gibet. XIII. 180. b.
Potence , ( Chirurg. ) béquille : fa defeription : fon tifage.
XIII. 180. b.— Foye^ Béquille. D e la potence à fiege. Ces
machines appartiennent à l’opération appellee protheje. Ib'ul.
Potence , potence d’un minor dans le commerce ; bâton
de ce nom oii l’on mec le canon de la bague lorfqu’oii court
, la bague. X I ll. 181. a.
Pü/u'/tee , terme d’arqiiebufier , de charpentier, de chaii-
deroitiiier, de maréchallerie 6c de manege. X lil. i8i.<t.
Potence , {Horlog. ) piece d’une montre. XIÜ. 181. a.
Defeription de fes parties. Potence à la royale. Ibid. b.
Potence , en terme de fondeur de caraélcre, de lapidaire,
6c de ferrurier. XIII. 181. b.
_ PO T EN T IA , ( Géogr. anc. ) Obfervations fur trois villes
d Italie qui portoient ce nom. XIII. 182. a.
PO T EN T IE L , (Gramm.) être potentiel. V I . 76. a. Cautère
potentiel. II. -792. b.
P O T EN T IL L E ; )Bocan.) voyei PeNTAPHILLOÏDE.
PO T E R IE , (A r t méch.) defeription du travail de poterie
en terre. Vernis ou plomb. Maniéré de verniffer. T a ches
brimes 6c vertes; comment elles fe font. XIII. 182. b.
Poterie, des terres dont on fabrique les poteries. Trois
principales efpeces de poteries que l’on peut faire avec ces
terres. Suppl. IV . 317. h. Poterie de fayaucc , do terre
d Angleterre 6c de terre à feu. — Ibid. 318. a. Sur les manipulations
qu’on emploie pour faire les poteries, voyer les
articles F a y a n c e & PORCELAINE. Obfervations fur les poteries
qui intéreffent le plus la ch ym ie , favoir les cornues,
moufles 6c creufets. Ibid. b.
Poterie de terre, inffrumens du potier; moule, X. 789.
moulin. 816. b. Siege du potier. X V . 177. ,2. Tour. X V I .
436. a. Vernis des potiers. XII. 779.6. 78 1 . a. 784. b. 789!
3. Comment ils font féclier leurs ouvrages. X IV . 837. a.
Danger du vernis qu’ils emploient. XII. 776. a. Poterie de
Waldenbourg en Allemagne. XV II . 384. 6. Planches du p otier
, au nombre de dix-neuf dans le volume VIII.
Poterie £ étain, travail d’un pot couvert. XIII. 182.6.
Poterie, Antihcéîique de la , (Médec.) I. 301. a. b.
POTHIER , (Robert-Jûfeph) jurifconfulte. Suppl. IV .
184. a.
PO T IC IEN S , (Antiq. Rom.) prêtres d’HcrcuIe. Leurinf-
titution par Evandre. Leur ficerdoce transféré enfuite à des
cfclaves. X llI . 183. a. Foye^ PiNAKiENS 6- POTITIENS.
Poiicicns , comment ils furent punis pour avoir né<7Ü2é les
fêtes d’Hercule. X IV . 474. 6. °
P O T ID É E , (Géogr. anc.) ville de Macédoine. Hiffoire
de cette ville. XIII. 183. a.
PO F IER. Potier d'étain, ( Métallurg. Arts méch. ) travail du
potier d'étain , vo yq Étain. Supplément à l’article Etain. D ifférentes
ftibftances métalliques avec iefquelles conimimèment
les potiers d’étain allient ce métal. X l l l . 183. a. Examen
qu’a fait M. de Juftides effets que ces differentes fub-
ffances peuvent produire iorfqu’elles font jointes avec l’étain.
Le plomb devrait être entièrement exclus des alliages
d'étain. Exemple qui prouve le danger de fe fervir de vaif-
feaux d’étain allié avec du plomb. 0.“. Effet de l’alliage du
cuivre avec l’éuin. 3°. L’alliage de l’étain avec le zinc n’cft
pns exempt de danger. 4''. Subffances qu’on peut fans danger
, faire entrer dans l’alliage de l’étain. Méthode pour allier
l’étain avec le régule d'antimoine, le fer 6c le bifmuth Ibid. 6.
Potier d'étain : inflrnmens de cct art ; bnmiffoir, II. 431.
6. crocliets, IV . 499. 6. écouan ne ,V . 3 31. 6. empreinte ou
calibre, 597. a. foffe du potier, VII. 208. a. fourneau ,
233. 6. gaine, 423. 6. grattoirs, 863. a. moitiés, X. 789. b.
table d’e ffa ijX V . 802. 6. tenaille à jetter, X V I . 123. a. tour,
436. a, b. arbre de tour. I. 391. 6. Comment les potiers at-
îiem leur étain. V I . 7. 6. 9. a. Différentes fortes d'étains dont
ils le fervent. 9. 6. Raifons qui doivent les engager à ne
point tromper clans la ciualiré de l’érain. V I . 10. 6. Opérations
: apprêter l étain. 1 . 3 37. a. Mouler les anfes. X. 791-
POU
а . Manière de fondre l’étain & de le jetter au moule. VH.
80. 6. Jetter fur la piece , VIII. 3 29. 6. épillcr, V. 798.
б. forger ou planer. VII. 168. 6. Paillonncr la vatifelle, XI.
749. a. revereher l’étain. X IV . 228. 6. Maniéré de foncier,
qualité d e là foudure. X V . 389. a , b. 392. 6. 393. a. Tourner
l’étain , X V I. 478. 6. travail d’un pot couvert. XIII.
182. b. Vaillelle détain. X V I . 809. a. Son ufage regardé
comme pernicieux. VI. 9. a. Neuf planches du potier d’é-
taln , & fix du potier bimbiotier, clans le volume V llI .
Potier d etain. D e la communauté des potiers d’étain. Leurs
principaux réglemens. Poinçons ou marques des maîtres.
a ü L 1S4. .2. Qualité de l’étain cpi’ils doivent employer. Jurés
de la communauté. Ibid. b.
Potier de terre. (Poterie) Communauté des potiers de
terre à Paris. XIU 184. 6.
Po t ie r , (A'^.) conleiller au préfidial d’Orléans : fon ouvrage
ffir le digcffc. IV. 9197. 6.
P O T IN , (Ouvrag. de Jondeurs) efpece de cuivre : deux
fortes de potin. Ouvrages auxquels on les emploie. XIU.
•184. b.
PO T IR O N S , (Jardin.) efpeces de citrouilles. Altération
que leur caiife le voiffnage des courges. Suppl. III. 2eg, a. b.
POT ITIENS 6* PINARIENS, (///y?. Wnc.) f.,milles de
Rome qui étoienr employées d.ms les fatriffees. X llI . 184.
6. Étymologie de leurs noms. Ces familles devinrent fi puU-
fantes, qu’elles abandonnèrent par nié|>ris leur> offices à des
elclaves. Ibid. 185. a. Foyc^ PiNATIENS , PoriCIENS, ÖC
la fin de l’arriclc Autel dans les Supplcmens.
POTNI.ADES, (Mylhol.) deefles qui ifétoient propres
q u à infpircr la fureur. On croit que c’eff un l'umom des
liacchantes. Cérémonie qui fuivoit leurs facririces. XIII.
183, .7.
P O T N IE S , (Géogr. anc.) ville de Béotic. Son malheureux
de Glaucus de Potnics , félon la fable. XIU. 183. a.
P O T O N G , (B ol.) cipccc de bambou. Suppl. I. 769. 6.
P O T O S l , le ( Géogr. anc. ) ville du Pérou renommée par
fes m'heffes. Mollcffe de fus habi unis, Sommes procligieufes
que fes mines avoient fournies depuis l’.m 15 4 5 , julqu’en
1638. X lll. 183. a. Elles commentent aujourd'hui a s'épui-
fer. Les travailleurs de ces mines font toujours nuds. Population
de la ville- Ibid. 6.
Potüß, ancienne température du pays de cette ville. I.
640. a. Détails fur les mines d’argent. 639. 6. &c. Mines
d argent du Potofi, diffinguées par les noms de Alulato, Paco
6’ Négrillo:voyc{ ces mots. Ses mines d’or. XI 322. *7. M inéral
nomme roficle, contenu dans les ruines du Potoft.
X IV . 372. a. Revenus que le roi d'Efpagne retire de ces mines.
XIII. 719. 6.
POT T , chymifle : fa differtatlon fur le feu 6c la lumière.
V I. 838. a. Détails fur fon fourneau. VII. 240. d. 248. 6. 6.
Sa lithogéognofie. 248. 8. 6. 699. 6. Suppl. Ill, 02. a.
PO T TE R . Paul Potter, peintre. XII, 213. a. Chriftophe
Potter, théologien. X V l l . 399.6. François Po tte r, théologien.
620. a.
P O U , (H iß. nac.) Defeription du pou de l'homme. Comment
il fort de fa coque. X l l l . 183. 6.
Pou, obfcrvation microfeopique, defeription, hiffoire naturelle
du pou de l’homme. XV II . 8 to. a , 6. vol. V I . des
planch. Regne animal, planch. 84. Maladie pédiculaire. IX.
919. 6. 920. .1, V. XII. 237. a.
P o u , (H iß. nat.) animaux fujets aux poux : l’efcarbot,
le perce-oreille, les limaces, les araignées, 6cc. X V . 810. 6.
Poux qui attaquent les faifans. V I . 381. 6.
Pou de buis, infeéle commun en Amérique, 6c qu’on
nomme fourmi blanche dans les Indes orientales. Fourmilières
que ces infeéles le conffruifent. Los oifeaux font fort avides
de ces poux. XHI. 186. a.
P o u , le (Aßron. Chin.) période xm . de foixanie- feize ans. 186. a.
Pou-DE-SOIE, (Soierie) étoffe, x m . 186. a.
P O U C E , ( Anat. ) vuye:^ DoiGT. Aliifcles du pouce.
Exemple d’un pouce liiriuimcraire enté fur la jointure tic
1 autre pouce. Amputation de ce pouce par Saviard. XIU.
186. a.
Pouce, os féfamoïdo du pouce. X V . 123. 6. Mufcles de
cette partie, l’adduéleur, I. 131. a. 317. a. l’abduéleur , 17.
E les extenfeurs , V I . 323. <j , 6. les fléchiffeurs. 831. a.
P ouce cambré, (Orthopédie)' Qü renverje. D ’où procédé
ce rcnvcrfcmcnt. Moyen de le redreffi.r, XIII 186. 6.
Po uc e , ( A/i-yarc ) cable des valeurs de 1 , 2 , 3 , — 72
pouces en millièmes de loifes. Suppl. IV. 886. a.
Po u c e , (H ydr.) Pouce d’eau. Un canal d’un ponce,
Sduopnpnle. par minute 13 y pintes, 6cc. XIU. 186. 6. — Foyer IV. 373. 6. .
Pouce d eau. Quantité d’eau qui fort en une minute de
tems horizontalement, d’une vîteife é gale, & par un trou
circulaire d un pouce de diamètre , fait dans une place v er ticale
d’une ligne d’épaiffeur, la partie fupéricure de la circonférence
étant couverte d’une ligne feulement de hauteur
FOU
d c â u , en forte que l’ouverture ait fon centre de 7 lignes
au-delfous de la lupcrficie de l’eau. Détermination de eette
quantité. Détail des expériences faites fur cct objet. Suppl IV . 319. 6. ‘ ‘ '
Pouce courant, qiiarrc , circulaire , cylindrique .
cube. XIII. 186. 6. J i >
Pouce-évern, terme d’.iunage. Le réglement des manufac-
nires, ÿ O n 1669 , veut que les étoffes ibient aunecs fans
event. XIII. 186. 6,
PO U C E P IE D , (Conchyl.) coquille inultivalvc. Les nou-
cepieds different des glands de mer , 6c des conques auaii-
feies. X lll, 186. 6. Deftrijnion du poucepied, 6c de l’ ini-
nial contenu dans cette coquille. Les poucepieds n’om aucun
mouveineiu. Ibid. 187. a.
P u u aW articles ol, il eu cil parle. IV . ,85. a .X . 860. b. vol. VI. des planch. Régné animal, ni. 74
P O U D IN G U E , (/ fyz. 77U/.) pierre formée par l’affem-
blage d un grand nombre de petits cailloux arrondis de dift’é-
rentes couleurs. Poudingues d’Ecoffe. XIII. 187. a. Dans
quelques pays il y a des montagnes entières compofées de
7^26 pii^ifes. Celles qu'on trouve dans les Alpes.
x m . 187. b. P O U D R E , aux v e r s , (.fier.) voye^ Santoline
PoUD.iE li vers, (M at. médic.) voyc^ Barbotine, S e - MEM COS'TRA.
Poudres officin-iles, (P ham uc.) Inffruaion fur la manière
de chercher dans l’Encyclopedie les différentes pou-
dres a leurs articles particuliers. Poudre d’algaroth , ou mercure
de vie : XIII. 187. 6. voye^ ANThuotNE. Poudre anii-
fpalmodique, de la pharmacopée de P.iris, Poudre contre les
v er s , qu’il faut diffinguer de la poudre à vers. Poudre cor-
nachine, ou poudre de tribus, ou du comte de Warviek •
origine de ces noms. Propriétés 6c ufages de cotte poudrV
loudre lie gimcte vulgaire , de la pharmacopée de Paris
Obfervations lur cette poudre 6c fou ufage. Ib'id. 188 a
Poudre pecTorale,ou lo o c h fe c .d e la pharmacopée de Paris:
fon ufage. Poudres fferiiutatoires. Poudre tempérante
appellee de Ütahl ; fon ufage. — Pourquoi i’on y t'un entrer
le cinnabre, Ibid. b. voyei Coloration. Poudre de Zcll ;
übfcrvations lùr ce remede 6c fur fon ufage. Ibid. 189
Poudre céphalique, (Pharmac.) dont on garniffoit lés bonnets
céphaliques. IV. 332. 6.
Poudre, (Chym. Pharm.) voyc^Pulvérisation.
Poudre d'or. (M éiall.) Comment les habitans do Guinée
recueillent cette poudre. XI. 321. 6. Commi.m l'e fu t avec
les nègres de Barbarie l'échange du fel en poudre d’or II
69. 6. Manière de Hire de la poudre d’or en ufage dans les
aats. XI. 329. 6. X V I I . 100. 6.' ^
Poudre foLwe. (Chym'ie) Poudre de couleur pourpre
qu’on tire de l’or. Maniéré de la faire. XIII. 189. a. *
Poudre de fympath'ie. ( Médec. ) Venu s occiiltès qu'on
lui a attrii.mées. HiHoirc de cette poudre, 6c de la vogue
qu’elle avoit acquife. Piece de Montfleury , intitulée /.j
h ile Médecin, dans laquelle il jette t.mt de ridicule fur la
crédulité du public en faveur de la poudre lympaihique
qu'il guérit pour toujours fa nation de cette forte de folie’
L’auteur a tranferit dans cet endroit toute la feene de cette*
pie ce , où Montfleury fe moque ingénieufement de ce prétendu
remede : clic eft un modelé d’excellent comiaue Ib'id. 189. 6. ^
Poudre de fympatlùe, (Chym.) faite avec le vitriol calciné.
X V II . 366. a.
Poudre brillante. (Em aill.) V . 344. 6.
Poudre, (Maçon.) diff'éremes poudres qui, mêlées avec
la chaux, joignent fi fortement les pierres enfemble, qu’il
eff impofliblc de les défunir. IX, 823. a, b. *
Poudre à canon : fon inventeur; on croit communément
que ce fut un nommé Barthol de Schwartz. XIII. 190. 6.
Premiers ufages qui eu ont été faits. Il paroît que Roger B acon
en eut connoilfance plus de cent cinquante ans avant la
naiffance de Schwartz. Manière de faire la poudre à canon.
Explication de l’effet de la poudre, 6c de fon explofion!
Ibid. 191. 6. Defeription des procédés par lefquels on Hit
de la bonne poudre. Ib'id. 6. Trois fortes de poudre; fitvoir
à canon, à fufil 6c à piffolet. Deux cfjicces de chacune de
ces fortes de poudre, ffivoir de la forte 6c de la foible. Pro-
portions pour la forte. îb'td. 192. a. Maniéré de faire la
poudre blanche. Pourquoi la poudre grenue a plus de
force que celle qui eft en poufflere. Trois maniérés d’éprouv
er la bonté de la poudre; à la v u e , au ta é l, 6c par le
feu. Cominent on raccommode la poudre gâtée. Ih'id. 192.
6. Efpece de mortier dont on fe ferr aujourd’hui pour éprouver
la poudre. Comment fe fait cette épreuve. Incertitude
qu’elle laiffe par la variation de fes eft'ets. Expériences fur la
force 6crextenfion de la poudre, rapportées par M. Dnlaca
Ib'id. 193. a. Ces obfervations conformes à celles de M. Bigot
de Moragues. ib'id. b.
Poudre. L’mvemion de la poudre a été la caufe de la cef-
K