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V . 71 1 . b. Autrefois les Tttrcs mafllicroient tous les prifon-
iiicrs de guerre. IV. •933. b. Reflexions lur l’empire turc.
XIII. 136. b. 137. .V. De la rdiÿon. Scifte mahoinètanc à laquelle
tiennent les Tuies. X V . 339. a. 660. a. Clergé turc^
X V II . 374. a. Doâeurs cliargés d’enlélgner l’alcoran Sc les
loix. X. S.»!:». Carêmes & pàques des Turcs. XIII. 780. b.
i l . 22. b. Fête qu’ils célèbrent, appellee jdimalma. V. 166. a.
La circoncilion pratiquée parmi eux. III. 461. h. Religieux
turcs , vo ye z Moines. Semimenc des Turcs fur le pèlerinage
de la Mecque. XII. 283. a. Leur fyrtème fur la nccef-
i'ite ou le fanliline. IX. 462. b. Athées chez les Turcs. I.
799. .Sur la religion des T u r c s , voye z Mahometans
Meturs & i^fa^es. Maniéré dont ils s’habillent. V. 18. b.
DilTérence entre leur turban & celui des Perfans. XVI. 749.
b. Efdaves qu’ils tirent de l'Imirctte. VII I. 566. b. Leurs
mariages. X. 1 13. u , b. Adoption pratiquée parmi eux. Suppl,
l . 173. b. Leurs hôpitaux près des mofqiiées. X, 731. b. H ô telleries
de rurq-uie. VIII. 320. rf. Ulage de la barbe & de
la moudache chez les Turcs. X. 823. a. Ce qu’ils entendent
par tîJs du Saint-Efprit. XL 97. a. Haine des Turcs & des
Perfans. IV, 364. b. Haine des Turcs & des Jezides.
V l l l . 343. b. Podes ou couriers établis en Turquie. XIII.
17 1 . b. Maniéré donc les Turcs fe faluent. X IV . 389. b.
Comment ils s’affeyent & prennent leurs repas. XV. 267.
il. Leurs ufages dans les viiites de cérémonie. 936. b. Tables
dans lefquelles ils s’enferment. X V I. 130. b. Funérailles
des Turcs. VIL 371. b. Eipece de colon.ne qu’ils éleveni
fur leurs tombeaux. X V I. 730. a. Arts 6> fciences. Calendrier
des T u r c s , -voyez Hegyre, Calendrier, Année, Mois.
Leur commerce avec l’Allemagne , I. 281. b. & en .Min-
grélie. X . 547. a. Leur ignorance (bus la navigation. X lil.
78. b. Ecoles des Turcs. X. 751. b. Miférable état de la
médecine parmi eux. 272. b. Soies de Turquie. X V . 270. a.
Caraûeres turcs, vol. II des pl. Caraélere, pl. 3 8c 4.
TU R Q U O IS E , nat. ) pierre prédeufe bleue 8c opaque
qui vient de Turquie. On dillingue les turquoifes en
oricin<iles 8c occidentales. Lieux d’oii elles viennent. Couleur
des plus edimées. M. de Réaumur prétend que les tur-
quüifcs ne font autre chofe que des os d’animaux, qui ont
été colorés par une «liirolution de cuivre. X VI. 739. a. Expériences
lur lefquelles ce feniiment paroit appuyé. Obferva-
ïions qui prouvent au contraire que la turqtioife ed une véritable
pierre. Expériences chymiques faites fur cette forte
de pierre. De tous les faits précédens on conclut qu’il y a
doux fortes de turquoifes ; les véritables qui font des pierres
, 6c les bâtardes qui font des dents ou des os pénétrés
d’une dilfoluciuii cuivreulé. Ibid. b. Noms fous lefqiiels cette
pierre étoit connue des anciens. Caractères de la turquoife.
Quelles font les plus recherchées. Différences confidêrables
dans le pri.\ 8c les qualités des turquoilés. Turquoifes perlants.
Ibid. 760. a. Turquoife précieufe par fa grolfeur 8c.
fa qualité, qui étoit expoféc dans la galerie du grand duc de
Tüfcane. forme qu’on donne ordinairement à cette forte de
pierre. Turquoifes qu’on trouve en France. On dir qu’avec
le tems, la turquoife perd fa couleur; mais la plupart des
phyficiens regardent cette idée comme une fable. S'il y a
des turquoifes qui changent de couleur, ce font les turquoifes
européennes. Comment ce mal fe manifefte au commencement.
Quelle en ell )a caule. !bid. b.
Turquoijes orientales qui fe trouvent près de Nichabour.
X L 132. b. Mines de turquoifes près de Chartres. Suppl.
H. 267. b.
T urquoise, (^TapiJJ]) voye^li treizième partie de l’art
du tapilficr dans le vol. IX.
TU RRIT IS , i^Botan.') caraéleres de ce genre de plante.
Ses efpeccs. Defeription de la plus commune. Lieux ou clic
croit. X V I . 761. a.
T U S C O : ( Dominique ) patrie & ouvrages de ce cardinal.
XIII. 914. L
TU S CU L A N E , {^Liuérat.') quejîions tufculanes, titre que
Cicéron a donné à un de l'es ouvrages. Raifon de ce titre.
Sujet des cinq livres que cet ouvrage renferme. X V I . nC>\.b.
TU SC V LUM , ( Giogr. anc. ) ville d’Italie dans le Latium.
CaraiTtere 8c principaux événemens de la vie de Marciis-
Poreius Ca ton , né à Tujculum. X VI, 761 . b. Genre de vie
que Cicéron menoit dans fa maifon de plaifance au voift-
nage de Tufculum. Cette ville ruinée par l’empereur Henri.—
Ville bâtie aujourd’hui fur fes ruines. X V I . 762. b. Vo y ez
i'rafcati, & Grotta d'errata. VU. 289. b. 967. a.
Tufculum. Cicéron orna d’un iiermathene fa maifon de
Tufculum. VIII. 167. b.
TU SSILAGE : ( Botan. ) il n’y a , dans le fyAèmc de Toiir-
ne fo rt, qu’une feule efpece de ce genre de plante. Sa defeription.
Lieu-x où elle croît. X VI, 762. b.
T ussilage ou pas d'âne, (^Mat. medic. ) diverfes parties
de cette plante dont on fait ufage. Leurs propriétés. Tifane ,
fu o p , eau diftillée de tuffilage. Maniéré de préparer le fi-
rop. Diverfes préparations dans lefquelles cette plante eft
employée. Son ufage extérieur. X V L 7<ji. b.
T U T
TU T E L A , {Antiq. rom. ) relies d’un temple de la dêefle
Tiitela , qiion a découvert à Bordeaux. X V I . 763. a.
lU T E L A lR E , ( L i a . ) divinités tutélaires. Anges tutéiai-
r-es. X V i . 763. a. Ouvrage fur les faints tutélaires, fi’iij'. b.
Tutélaires, divinités. Celles des Egyptiens. I. 393. a. Suppl.
I. 389. a. Génies tutélaires. V IL 381. b. Génies tiirclaircs
des Algonquins. X. 41. 4, Divinités tutélaires auxquelles les
voyageurs adrelToicnt leurs prières. XVII . 477. b. Evocation
des dieux tutélaires. V I . 161. b.
TU T E LE des rois. {^Droic polit.') Différence entre lutele
& régence. X llI . 913. a.
'Tv tz le . (_Jur'ifpr.) La tiitele des impubères, 8c fingulié-
rcmeiit celle des pupilles orphelins, dérive du droit n.aïu-
rel. Ancienneté de l’inAiciition des tuteurs. Différence entre
le tuteur 6c le curateur. Trois fortes de tureles ; la tefta-
mcniaire , la légitime 8c la daiive. X V I . 765. b. Exeufes légitimes
qui peuvent faire décharger de la ttitele. Devoirs
d’un tuteur. Fin de la tutelc. O uvrages à confulcer. Tuccle
à raccroiffement ou -atignient. Tiitele aétionnairc. Tutelc aux
aélions immobiliaires. Tiiiele des agnats. Tiiieie atiilienne.
Tutele comptable. Tutcle confulaire. Tiitele dativc. Ibid,
y6q. a. Tutele aux enfans à naître. Tutele fiduciaire. T u tele
ad hoc. Tutele honoraire. Tutele pour rinffruéUon T u tele
légitime. Tutele fuivaut la loi Julia. Tutele mixte. T u tele
naturelle. Tutele onéraire. Tutele des patrons. Ibid. b.
Tutele du pere. Tutele permife ou permiffive. Tutele per-
péciielle. Ibid. 765. a.
Tutele. Confeil de tutele. IV . 22. b. En France toutes les
tuteles font datives. 642. b. Le nombre des enfans exeufe
le pere de la tutele. V . 634. b.
T u t e u r . (^Jurlfpr.) Tuteur à raccroiffement. Tuteur
aélionnaire. Tuteur aux aélions immobiliaires. Tuteur attl-
lien. X V i. 763. a. Tuteur à l’augment. Tuteur comptable.
Tuteur confulaire. Co-tiiieiir. Tuteur datif. Tuteur aux enfans
à naître. Tuteur exeufe. Tuteur fiduciaire. Tuteur ad
hoc. Tuteur honoraire. Tuteur pour l’inlhuéHon.-/i/if. b. T u teur
légitime. Tuteur fuivan: la loi Julia 8< Titia. Tuteur
naturel. Tutéiir né. Tuteur noiitia: caufâ. Tuteur onéraire.
Tuteur au poffhmne. Pro-tuteiir. Subrogé-tuteur. Tuteur à la
liibffiiution. Tuteur fufpcél.Tuteurtcflameniatre. Ib'id. j66.a.
Tuteur. Rapports 6c différences entre les tuteurs 6c curateurs.
IV . 569. b. Tuteurs des femmes chez les Romains.
X lI l. 338. b. Loi Attilia fur les tuteurs. IX. 633. a. Lorf-
que le tuteur a des intérêts à difeuter avec fon mineur ,
U ne peut faire un inveiuaire fans qu'il y ait un contradicteur.
IV . 119. J, Le tuteur ne doit point laiffcr les deniers
pupillaires oi/its. 827. a. Les tuteurs 6c curateurs ne doivent
pas en leur nom les dépens d’un procès. 838. b. La
mere eff tutrice de fes enfans lorfque le pere meurt. X.
380. a. X V L 767. a. Subrogé tuteur. X V . 372 — Foyer
Pupille. '
T uteur, {Jardin.) voye^ Suppl. IV . 404. a , b.
TU TH IE. ( A/ar. mcdic. des anciens) cadmia fornacum.
Extrait de ce que Diofeoride Sc Pline ont écrit fur la nature
, les propriétés, 6c les efpeces de cette fubflaace. X V L
766. b.
T uthie , ( Préparai. mét.tllurgiq. ) craffe de la pierre cala-
minaire fondue avec le cuivre. Cette tuthie peut être la môme
que celle des Arabes. La tuthie preferite parmi les meilleurs
rcmedes opthalmiques. Maniéré de la préparer 6c d’en
faire un collyre. X V L 766. b.
Tuthie. D ’où elle fe tire : fes propriétés. IX. 218. a. Efpece
de tuthie appellée nih'tl album. X. 141. a. Vertu 6t
ufage de la tuthie. XV II . 7 17 . b.
TU TO R I , {Botan.) efpece de bambou. Suppl.\. y y i. a,
T U T O Y E M E N T , ( Poéfie dramaùq. ) nobleffe 6c force du
tutoyement dans la tragédie. Cette maniéré de s’exprimer
doit être bannie de la comédie. X V I. 767. a.
T utoyement, {Belks-Lett. Poéf.) ufage de nous Si. de
vous, relativement à une feule perfonne. .Sentiment de M.
de FüHtenelle fur le tutoyement. Sentiment de l’auteur.
Toutes les fois que la familiarité douce n'aura l’air que de
l’innocence 8c de fingémiitc, le tutoyement fera permis ;
il l’eff même dans tous les mouvemens d’une lendreffe v iv
e , ou d’une paiîioii violente. Suppl. IV . 980. a. E.xemple
qui fait voir par quels mouvemens de i’ame on peut palfer ,
avec bicnféance J de vous au tu, 8c du su au vous. Le tutoyement
eff moins permis dans le comique que dans 1«
tragique; 8c la raifon. en e l l , que le férieux de ce lu i-c i
écarte davantage l'idée d’une liberté indéa.iue. Le tiitoyc-
ment permis en po^ûe dans l’extrême oppolé à la familiarité.
Ib'id. b. Pourquoi dans un écrit qui elt l’ouvrage d’un
feul liomme, l’auteur, en parlant de lu i-n jême , fe croit
obligé de dire nous. Ib'id. 981. a.
Tutoyement, voye^Tv. Dbfervations fur le tiitoyemenr.
X V . 212. 4. Pourquoi les Quakers u aoyem tout le monde.
XIII. 648. b.
TU TR IC E . {Jss''‘fps-) La mere Sc raïenle peuvent être
tutrices Js leurs eufiuis 6c pciits-eiifans. X V I . 767. a.
T U Y
TUUS. {Lang, latin. ) Pourquoi cet .arljeflif n’a point de
vocatif. Xv l l . 410. a.
T U Y A U . {Invention de méchaniq.) Tiiyaux pour La conduite
8c décharge des eaux. Tuyaux de fer. X V I. 767. a.
Tu yaux de terre. Tuyaux de bois. Fabrications de ces différentes
fortes de tuyaux. Fabrication de deux cfpeces de
tuyaux de plomb; les uns foudés, les autres fans foudure.
ihid. b.
Tuyaux de cuivre. Leur ufage. X V L 767. b.
Tuyaux de décharge. IV . 663. a. Tu yaux de pompe appelles
du nom de fourches. V IL 224. b. Invention de jet-
ter en fonte les tuyaux de plomb. XVII , 623. b. vol. V ü f .
des plancli. Plombier , pl. 4. Tu yaux de fer : détails fur la
maniéré d’en faire le moule. V i l , 134. b. Comment on les
coule. 136. a. Foye^ vol. IV des plancli, Forges, pi. 10— 12.
T uyaux aériques, {H ijl. des invent, modem.) efpece de
conduits employés pour purifier l’air des priions. X V I .
767. b. Utilité de cette méthode employée déjà avec fiic-
cès dans quelques prifons de France 8c d’Angleterre , dans S ues hôpitaux 8c maifons de charité, dans des lieux d’af-
ées 8c de fpeflacles, 8c dont il feroit à fouhaiter qu’on
rendît l’iifige encore plus général. Inventeur de cette méthode.
Expérience qui prouve combien ces tuyaux font ra-
fraichiffms 8c f.diitaires. Ibid. 768. a.
T uyaux. {Hydrauliq.) Obfervations fur la fabrication Sc
les ufages de différentes fortes de tuyaux. Tu yaux de fer.
X V I . 768. a. Tu yaux de grès , de terre ou de poterie.
Tu yaux de bois. Tu yaux de plomb. Tu yaux de cuivre ou
de chaiidcromierie. Tu yaux montans 8c defeendans. Ibid. b.
Tuyau, vo ye z Aqueduc, Canal, Conduite, Tube. Du mouvement
des fluides dans les tuyaux, voye[ F luide : dans
des tuyaux flexibles. V I. 887. a. Moyen de raccorder un
gros tuyau fur un petit. I. 33. a, b. Obfervations fur les
lieux où il faut faire paffer les tuyaux, l l l , 843. b.
T uy.4UX, proportion des. {Hydraul.) Pourquoi il importe
de régler cette proportion. X V L 768. b. Deux formules établies
pour la trouver. Pran'icre formule. Coiinoitre le diamètre
d’une conduite proportionnée à la hatiteuf du réfervoir,
& à la h.mtetir de l’ajutage, pour que le jet monte à la
hatitetir qu’il doit avoir. Seconde formule. Pltifieurs branches
ou tuyaux étant déterminés pour leitr diamètre , trouver celui
de la m.ùtreffe conduite où ils doivent être fuuclés, cn-
Ibrte qu’il parte la même quantité d’eau dans les uns 8c dans
les autres. Ibid. 769. a.
T uyaux capilla'ires, {P h y fq .) La loi de l’abailTement
du mercure dans les tuyaux capillaires n'eft pas ft générale
qu’on l’a cru jiifqii’à préfent. On indique ici l.i in.iniere de
faire tm baromètre à tube capillaire dans lequel le mercure
fe foiitieni deux ou trois lignes plus haut que dans les gros
baromètres. Par la même opération, l’on fait aulTi une efpece
de fiphoii compofè d'une branche capillaire 6c d’tine
groffe branche, 8c l’on remarque également que le mercure
fe tient deux ou trois lignes plus haut dans la première
que dans la féconde. Suppl. IV . 981. a. Élévation du mercure
dans trots fiphons de cette efpece que l’on garde dans
!e cabinet de l’académie royale de Metz. U paroit, d’après
ces expériences, que c'cfl uniquement à l’humidité du mercure
qu’on doit attribuer fon abailfement dans les tuyaux
capillaires, 8c que fa ficcité l'êlevc conllanimeut dans ces
mêmes tubes aii-deffus du niveau. lourquoi la ficcité du
mercure produit cet effet. Ibid. b.
T uy.\U de cheminée, { Auh'iieEl.) différentes difpofitions
de ces tuyaux. Matière dont on les fait. Comntent on les
affermir. X V L 769. b.
T uyaux déplumé, (£cr/turr) trois fortes, les g ro s, les
moyens 8c les petits. Quels font ceux qu'on doit préférer.
X V I . 769. b.
T uyau , ( Jardinag. ) tige d’une plante léguminciife. X VI.
769. b.
T uyau , ( Organijlc ) différentes matières dont on fait ces
tuyaux. Defeription d’un tuyau d’orgue 8c de fe.s parties.
X V L 769. b. Différentes forces de tuyaux. Ibid. 770. a.
Tuyau d'orgue. La longueur 6c la largeur du plus grand
tuyau d’un jeu étant données , trouver celles de tous les
autres. IV. 943. a. Tampon des tuyaux de bois. X V . 880. a.
Bouche des tuyaux. IL 330. a. Contre-bifeau. IV . 132. a.
Porte-vent. XIII. 143. é. Languette. IX. 274. a. Oreilles des
tuyaux. XI. (523. a. ' t iiyau d’orgue, appelle .à cheminée. HL
282. a.
■ T u y a u , {Plombier) deux fortes de tuyaux de plomb;
les uns fondés , les autres fans foudure. Fabrique des tuyaux
foudés. X V L 770.a. Pour la fabrique des tuyaux fans foudure,
yoyfç Plombier.
Tuyaux de plomb, invention de les jettér en fonte. XVII .
^23. b. Vol. VIII. des plancli. Plombier , pl. 4.
T uyau , ( Soierie ) X V L 770. a.
T uyau de mer, ( Conchyl.) caraReres de ce genre de
coquille univalve. X V I. 770. a. Qaffes de cette famille;
i,°. les tuyaux rayés; a?. Jes tuyaux polis; 3“. les tuyaux
T Y M 819
droits; 4*. les tuyaux femblahles à une corne peu courbée ;
3“. le,s tuyaux petits , polis ftir la fiirfàce , 6c faits en crolf-
fant. Efpeces contenues dans chacune de ces c'affes. D e feription
de l’animal luibitani de ces coquilles. Hiiloirc naturelle
de ccc animal. Ibid. b .
Tuyaux de mer, ou dentales. IV . 189. .r. Vol. V I. des planch.
Kegne animal, pl. 6.
T u y a u chambré ou cloifonné, ( H'iß. nat. ) forte de coquille
qui ne fe trouve que pétrifiée. X V I. 771. a.
T w A V d'orgues , {B i( l. nat. ) efpece de polypier, vol.
V I des planch. Regne animal, pl. 92.
T u y a u x recourbes , ( Hifl. nat. ) vol. V I des planch. C o quilles
füffiles, pl. 8.
TUYAU , y r r à , ( H,ß. nat. ) XVII . 4O. a , b.
■ » ( Metallurg. ) efpece de tuyau dans lequel on
ajurte le bec des foiifflets pour les faire communiquer aux
fourneaux. Inclinaifon que doit avoir la tuyere. X V L 771, a,
T Y
T Y A N E , ( Géogr. anc. ) ville de Cappadoce. Hiffoire
d Apollonius de Tyane. X V I. 771. b. Sa vie écrite par Plû-
lortrate. Honneurs qui lui ont été rendus. Ibid. 772. a.
, Jyfémc de , ( Aftronom. ) fa defeription. Autre
Witéme compofé de celui de Pioloinée , 8c de celui de T y ch o .
Ôbfervation contre ces fyffèmes. X V L 772. a. Foyer l'article
T ic h o .
T Y D É E , le tombeau d e , {Géogr. anc. 6- L'utér. ) tombeau
dans la Béoric, X V I. 772, b.
T Y L EH U R S T , {Géogr.) bourg d’Angleterre, en Bcrck-
shire , où naquit en 1627 Guillaume Lloyd. Obfervations fur
la vie 8c^ les ouvrages de ce favant. Obfervations de
Newton (ur le traité de cet auteur, qui a pour objet les 72
femames du ptopherc Daniel. XVI. 772. b.
T Y L L IN U S , ( Mycliol. ) dieu dos Brofçans, en Italie, 8c
dont la figure a été déterrée d.ms le dernier fiecle, près de
Biefcia. Ouvrage à confuiier fur cene rtatue. Sa defeription.
Symboles inexplicables dans cette llattie. X V L 774. b.
T Y L O S iS , ( Médec. ) dartre calleufc des paupières. Symptômes
de cette maladie. Sa cure. XVI. 774. b.
TYM B.4.L E , ( A.-c m:!i:. ) elle étoit autrefois en ufage
chez les Sarrafins. Son ufage nous crt venu d'Allemagne.
Corps militaires qui s’en fervent en France. Defeription de
cet infiniment militaire. Rang du tymbalier dans les marches
6c dans les combats. X V I. 773. a.
Tymbales , appellees tympano. X \ ’I. 777. b. Tymbales de*
Turcs. Suppl. IV. 692. a. Baguettes de tvmbale. IL 14. b.
Tablier de tymbale. X V . 810. a. V o y e z les planches de lutherie
, vol. V.
T ym b a l e , (Paumier) efpece de raquette, X V L 77e. b.
TY iVlB AL ÎER, { A , t milir.) dcCcriptlon de fes baguettes.
Sa jilace dans les marches 8c les combats. X V I. 773. b.
FYM B R E , {M u ßq .) défauts des fons des dirt'érens inf-
mmiens. Quel eft celui qui a le plus beau tymbre. X V I .
775-
^ Tymbre de la voix. D ’où dépend ce qu'il a d'agréable Si
d’harmonieux. Suppl. IV. 23. b.
Tymbre, articles de jurifpriidence , de commerce de dente
lle , de boffetier, d’horlogerie, 6c de pelleterie, voyer
T imbre.
T ym bre , {BUfon) crête ou cimier d’un éeuffon , »out ce
qui le met aii-deffùs des armoiries. Origine de ce nom. Armes
Tvmbrées. X V L 775. b. Foye^ T imbre.
T YM OM A CH U S , chef d’une famille thébainc, reçu
citoyen de Lacédémone. X V II . 633. a.
T YM P AN , ( Anatom. ) defeription de la membrane du
tympan, 6i. de fes dépendances. X V I. 773. b. Fonélions dfi
cette membrane. Ibid, 776. a. Exemple d’un jeune homme ,
fourcl de naiffance , par défaut de teiifion de cette membrane.
Moyen employé pour lui rendre l’ouïe. Exemples de gens
qui emendoient parfaitement fans le fccours de la membrane
du tympan. Ib'id. b.
Tympan, Charde du tympan. Suppl. IV . 39. a. Foye^
T am b o u r .
T ym p a n , ( Archit. ) partie qui refic entre les corniches
d’un fronton. Tympan d’arcades : ornemens de cet ouvrage
d’archiieélure. X V L 776. b.
T ym p a n d e machine , ( Médian. ) ou roue à tambourJ
X V I , 777.
T ym p a n , ( Imprim. ) grand 8c petit tympan, piece d’un»
preffe d’imprimerie. X V L 777. a.
Tympan, fon chevalet. IlL 310. b.
T ym p a n de menui/erie, ( Menuif ) X V I . 777. a.
T YM PAN ISCHISA , ( Luth. ) efpece de trompette marine
dont on fe fervoit ci-devant. Sa defeription 6c fon u fage.
Suppl. IV . 982. a.
T YM P AN IT E , ( Médec.) maladie où le bas-ventre eft
enflé 8c refonne comme un ballon lorfqu’on le frappe. Ses
caufes. XVI. 777. a, Perforuies qui en font plus aiféroeqs
m