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toniciciis fur le fuicide. X V . 640. b. Loi de Platon fur Tuf.
ige du vin. IX. 85. j . Comnienc la morale fiu traitée par
les platoniciens dans les premiers fiecles de l’églife. X. 701-.
h. Flatonifme réformé. V. 271. é. Le platonifme altéré par
ie pychagorifme & la cabale. XIII. 616. b. Philolbphesma-
Iiométans ])latonicicns. V . 934. .j. Les coiueinplaceurs.attachés
au platonifiue. VIII. 519./;.
Platonisme , ( T/iiolog. ) doéirine des platoniciens , d’après
Laquelle les amirriiiitaires prétendent que le dogme de
la Trinité a été tranlporté dans le cliriftianifnie. Maniéré
dont ils établilfent leur opinion. Mélange que les premiers
peres de l’églife faifoient de la doélrine de l’écriiure avec
celle de Platon. XII. 752. b. Ces peres n’ont point tous
attaché une fignirication confiante & uniforme au.x mêmes
termes dont ils fe fervoient en parlant du dogme de la T r inité.
Ouvrages à confulter pour fo mettre en état d’approfondir
la qiidlion délicate du platonilme, que les foci-
iiiens prétemlent s’étre glilTé dans la religion chrétienne.
Ouvrages clans lefqucls M. le Clerc s’ell déclaré en faveur de
ce fentiment. Ibid. 753. a.
Platoms.me , ( Thcolog.') pourquoi l’école de Platonpré-
valuc dans les commencemeiis du chriüianifme. I. 663.
Attachement des peres de l’êglife au platonifme. V I l l . 517.
a , b. On croit qu’ils tirèrent de là leur doélrine fur la
nature Sc le pouvoir du démon. XIII. 169. a. Comment
on les juftifie de racciifatiou qui leur a été faite d’avoir
puifé dans le platonifme leur dogme de la Trinité. XVI.
648, b.
P LA TR A S , {^M.içonneric ) morceaux de plâtre qu’on tire
des démolitions. XII. 733, a. Analyfe chymique cjue M. Pet
it , médecin , a faite des platras. XII. 733.
P LA TR E , ( Archii. ) pierre particuliorc qu’on emploie
aux ouvrages de maçonnerie. Difficulté de la cuire à propos.
Attentions qu'il faut avoir pour jouir de fa bonne c|ua-
lité. Etymologie du mot plâtre. Du plâtre félon fes qualité-s.
Maniéré de faire le plâtre. XII. 733. b. Foyc^ les Planches
d ’a r ch it ec tu re , vol , I. article MAÇONNERIE.
Plâtre , pierre à plâtre. V i l . 1022. b. 6>c. Rapport Sc diffé-
fencc encre la chaux Si le plâtre : de la maniéré de le cuire
: comment on doit le conferver : moyen de fe procurer
du plâtre cuit à propos: de fou ufage ; du plâtre félon fes
qualités : félon fes façons. IX. 811. b. 822. a , b. Mefiireurs
Sc toifeurs de plâtre. X. 427. b. Vo ie de plâtre. X V I I . 421.
b. Foyeç Mortier.
Plâtres , ( M.tçonn.') menus ouvrages de plâtre d’un bâtiment.
Plâtres de couverture. XII. 734. a.
Plâtre , fculpture en (^Sculp.') X IV. 842. b. Mouler en
plâtre. X. 791 . ^.Vernis pour les plâtres. X VII . 78. b. Sculpteur
Sc mouleur en plâtre , vol. VIII. des planches, les p remières
fur la fculpture.
P LA TR IER , ( defci iptions des fours à cuire
le plâtre. Maniéré dont les plâtriers préparent le plâtre, Sc
le mettent en état de fervir en maçonnerie. X lf. 734. a.
P L A T T E , ( jWüâ«.) monnoie d’argent dont on dUlinguoit
deux fortes en Efpagne, la vieille Sc la nouvelle. Piece de
monnoie appellée platte en Hollande. Suppl. IV. 414. a.
P LA V EN , ( Géoor. ) château , ville Sc feigneurie dans la
Haute-Saxe. Suppl. IV . 414. a. Seigneurs qui en font pof-
felfeurs. Canal de communication entre l’Elbe Sc le Ha ve l,
qui aboutit aux portes de cette ville. Ibid. b.
P/.ive« , autre ville de la Haute-Saxe. IV . 414. b.
Plaven, ( Géogr. ) ville d’Allemagne au cercle de la
BalTe-Saxe. Autre ville de ce nom dans l’éleélorat de Saxe.
XII. 73 4. a. Obfervations fur les ouvrages de deux théologiens
nés dans cette dernicre ; favoir , Chriftophe Pezelius Sc
Wolfgang Fran-ziiis. XII. 734. b.
P L A U T E , {M.irats Aelius) Obfervations fur ce poète Sc
fur fes ouvrages. III. 667. u. XII. 842. b. X IV . 679. b. D e
i’imrigue de fes pièces. Suppl. III. 640. a.
P L A U T IA , loi. IX. 667. E
P LA U T IU S , {Aulus ) 1 empereur Claude lui décerne les
honneurs de l’ovation. X l. 700. o.
P L A Z ZO N I j ( Erj/icoir ) anatoniiftc. Suppl. 30Ö. i.
P LÉB ÉIEN , {H iß . rom.) Un plébéien qui devenoit fé-
nateur , ne cefi'oir pas d’être plébéien. Un patricien que les
cenfeurs mettoient dans l’ordre des chevaliers , ne cefToit pas
pour cela d’être patricien. Un patricien qui n’étoit ni chevalier
ni fénateur , étoit nécelTairement du peuple fans être
plébéien. Corps de la tiobleffe chez les anciens Romains. Origine
des tribuns du peuple. Demande que firent les plébéiens
d’un corps de droit pour être à l’abri des vexations des patriciens.
XII. 774./’.
Plébéiens, familles plébéiennes. V I . 391. a , b. Diftribu-
tion des Romains par Romuliis en patriciens & plébéiens.
XII, 176. b. Alfociation d’un patricien à l’ordre des plébéiens,
I. 147. d. Les plébéiens admis à la cenfure. II. 818. <î . Loi
fur les mariages des patriciens & des plébéiens. IX. 634.
plébéiens ayant été admis à la magiflrature, participèrent
à la nohlclTe qui y étoit attachée. X I. 168.
P L E
Plébéiens , jeu x , ( Aniiq. rom. ) Origine de ces jeux. En
quel tems de l’année on les célébroit. Jeux plébéiens du
cirque, infiiuiés par Adrien. X ll. 754. b. — Foyc^ fur ce
fujet. Suppl. II. 431. a.
PLÉBISCITE , {Jurifpr. ) différences qu’il y avoir à Ro-
me entre les plébifcites ik les loix proprement dites. Les
piébifeites obligeoient les patriciens. Le pouvoir que le peu-
]jle avoir de faire des plébifcites, lui ftit ■ accordé par
Romulus : mais il falloir que ces plébifcites fullcnt ratifiés
par le corps des fénateurs. Cette reffriition levée dans la
fuite par. la loi Hor.uia. XII. 733. a. Le pouvoir légifiatif
transféré aux empereurs , ôta au peuple le droit de faire des
plébildtes. Ouvrages à confiilter. ihtd. b.
Plébifate, affemblées des tribus pour les plébifcites. X V I .
623; b.
P L E B S , vo-yeç Peuple. Caraélere du petit peuple fous les
empereurs. X IV . 333. a.
P L E C T R U M , ( Mujïq. une.) efpece d’archet ou de baguette
dont le muficien touclioit les cordes d’un infiniment.
Infirumcns à cordes fur lefquels on joitoit fans pleélriim. A u teurs
à confulter. XII. 733. b.
PUHrum , fa defcriptioti & fon ufage. IX. 778. b.
PLEIGE , [Jurifpr. ) étymologie & differentes fignifica-
tions de ce mot. Article des placités de Normandie cité à
cette occafion. X ll. 733. i-
Pleige, fief de pléjure. VI, 713. b. Gage-pleige. V IL 417.
b. Homme de pléjure. V l l l . 280. b. fk?yq Caution, Fide-
JUSSEUR.
P LEIN, rempli, [Synonym. ) différence entre ces mots.
XII. 733. b.
Plein , [Phyjîq. ) les cartéfiens foutiennent le plein abfo-
lu. Faux principe fur lequel ils s’appuient. XII. 735. b.
Poye^ V uide.
Plein : réflexions contre le plein de Defeartes, X. 310. u, b.
Plein , ( Jurifpr. ) plein fief, plein pofleffoire , pleine puif-
fan ce , pleine main-levée. X II. 736. a.
Plein, [BUfon) écu plein ; armoiries pleines. Suppl. IV .41. b.
P le in , fignification de ce terme employé dans quelques
arts Sc métiers. XII. 736. a.
Plein , jeu du, ( Jeux) defeription de ce jeu. XII. 736. a.
PLEIN -CH AN ’T , ) par qui ce chant fut inventé
8c enfuite perfeélionné. Maniéré de le noter. Clés du plein-
chant. Sa fimplicité. XII. 736. b.
Plein-chunt, maniérés déterminées de moduler le plcin-
chant, X V I . 404. b. Tranfpofition dans le plein-chant. 403.
a. Intonation dans le plein-chant, par duplication. Suppl. II.
743. b. Maniéré de terminer l’intonation , nommée circonvolution.
431. b. Comment on chantoit anciennement le
plein-chant, Hifioire des progrès du contre-point ajouté au
plein-chant. 376. a. Foye^ CHANT SACRÉ, PSALMODIE,
Plein-chant.
PlEIN-FIEF, [Jurifpr.) V I . 713. b.
Plein-jeu, [Mufiq.) XII. 736. b.
Plein-p ié , [Jardin. ) XII. 736. h.
PLEINE, (fondde caraR. lettres pleines. X II. 736. b.
Pleine-lune, oppofition de la lune au foleil. Eclipfes de
lune dans cette circonfiance. XII. 736. b. Voyez O pposition
, Syzygies.
Pleine-croix , ( Senur. ) garniture qui fe met fur uo
ro u e t , dans une ferrure. Maniéré de faire la pleine-croix.
XII. 736. b. Pleines-croix renverfées en-dedans. Comment
ces deux façons s’exécutent. Pleines croix en fond de cuve.
Comment fe font celles qui font hafiées en dehors Sc renverfées
en dedans, Sc celles qui font hafiées en dehors Sc en
dedans. Ibid. 737. j .
PLÉJURE, [Jurifpr.) Voyei PleiGE.
PLÉNITUDE , ( Critiq. facr. ) différentes fignîfications de
ce mot dans l'écriture. X lî. 737. i.
Plénitude, [Médec.) Voye^ Pléthore.
PLÉO NASME, [Gramm.) définitions du pléonafme données
par les grammairiens. Etymologie de ce mot. Les grammairiens
entendent par-là, tantôt une figure qui donne au
difeours plus de grace, de force ou de netteté, tantôt un
défaut qui tend à la battologie. Ils ont donc renfermé
dans la définition de ce mot deux idées tres-différentes,
Sc c’eft ce que critique l’auteur. XII. 737. b. Caraélcres
difiinélifs de la figure appellée pléonafme , Sc du v ice de
fuperfiuitédifiingué par le mot de périfolopc. I, R y a plco-
nafme, lorfqiie des mots qui paroiffent fiiperflus par rapport
à l’intégrité du fens grammatical, fervent pourtant h y ajouter
des idées acceffoires , qui y jettent de la clarté ou qui
en augmentent l’énergie. Exemples. Réflexion de Vaugelas
qui jullifie l’iifage de cette figure. Divers exemples de cette
forte de pléonafme dans la langue hébraïque. Ibid. 73 8. a, b. IL
Réferve avec laquelle nous devons juger de certaines répétitions
identiques employées dans quelques langues mortes,
qui nous fembleroient des pures périffologies. Ibid. 759. a.
Pléonafme, figure de grammaire. IV . 78. a. V I . 768. b.
Origine du pléonaftne. 'VI. 763. b.
PLÉSION^
P L E
PLÉSION , ( Trfff. Grecq. ) ordonnance qui étoit particulière
a 1 infanterie. Sa defeription. Efpcce de phalange qu’on
employoit contre cette difpofiiion. i'üpp/. IV . 414. b. Voyez
Suppl. IV. 3 18.
PLESKOW , ( Géogr.) en Pologne. Siege de cette ville.
Suppl. I. 833. a.
PLESSIS-LEZ-TOURS, ( Géogr. ) ancienne maifon royale
de France , près de Tours, bâtie par Louis XI. Sc dans laquelle
il mourut. Caraftere de ce prince. Obfervations fur
la vie 6c fur fon régné. XII. 739. b.
PLÉTHON ( GèmiyZO obfervation fur ce philofophc.
A ll. 731. j.Sadifpute avecGennadius.74t. 744 a b vAe a
P L E TH O R E , ( Afèiftfc. ) furabondance de fang’ Sc d’humeurs.
Definition de cette difpoficion du corps. Suites de la
Les anciens en diftingiioient deux fortes, l'une qui
affecte les ya iffeaux , l’autre qui influe fur les forces. X ll.
760. b. On n’entend ordinairement la pléthore que dans le premier
fens. Quelles en font les caufes. Ibid. 761. a. Ses fymp-
tomes. Diagnofiie. Prognofiie. Curation. Ibid. b. Pléthore
fauffe , augmentation du fang, non dans fa maffe , mais dans
fon volume, par fa raréfaâion. Ses caufes. Ibid. 762. a. Cette
maladie plusdangereufe que la pléthore vraie. Curation Ibid b
Pléthore, fymptomes qui l’annoncent. X IV . 31 1. a. Différentes
cfpeces de pléthore. Suppl. UI. 464. é Celle à
laquelle les femmes font fujettes. 899. b. Curation de la pléthore
par la faignée. X IV . 310. h. 7 1 1 . b. 31a b
A tempérament, ( Médec. ) caufe fréquente
de débilité dans les hommes pléthoriques. Comment on y
remédie. IV . 630. b. ^
P LEU , Sc pieu, dans le bas-Breton , les lieux dont les
noms commencent par ces fyllabes font battus des flots de
la mer. V I . 864. b.
mologie PLEVRE,(,^/du mot,ijr( Ufage 5/n.)defcription de de cette membrane. Etyla
plevre. XI!. 763. a.
Plevre. Sa defeription. Suppl. III, 890. a , b. Suppl. IV. 3 3 2.
é. Liqueur entre cette membrane Sc les poumons. 321. é
Adherence des poumons à la plevre. Ibid. Effet qui arrive
loriqu elle eft percée. 613. é. Voye^ touchant cette membrane
V lll. 271. a.
_ , m.iladies de U , [Médec) bleffuresde la poitrine qui
pénétrent jufi^u à la plevre. Comment on en tire le pus. Amas
de pus qui fc forme quelquefois dans les cellules de la membra-
ne externe de la plevre. Signes de cet amas à la fuite d’une
pleurehe. Traitement de l ’abcès. Ce qu’on doit faire qirand il a
P^'l. maladies de la plevre. XII. yS-K.a.
PLEURÉSIE, [Médec.) fe divife en vraie Sc en fauffe.
Definition de la vraie. En quoi elle différé de la fauffe. Pleu-
refie humide : pleurefie feche. Tempéramens qui font le
plus fujets à la pleuréfie idiopathique Sc fymptomatique. Cau-
les éloignées. Symptômes. En quel cas on parvient à la «ué-
nr par refolimon. Comment elle fe guérit par la coélion 8c
lexcretion de fa caufe. Signes qui annoncent cette guérifon.
AU. 763. b. Indications a remplir félon lesdifférentescirconftan-
ces de cette maladie. Méthode curative. Fomentation utile.
Boiffon dont il faut faire ufage. Oofervation fur la méthode
des einpyriqiies dans cette maladie. Ibid. 764. a.
Pleurefie , définitions de cette maladie. XII, 170. b. 171. a.
Différence entre la pleuréfie Sc l’inflammation du foie. VIII
136.^ b. Pleuréfie catifée par dépôt Suppl. II.700.b
P L I 463
--------... ........ u-ipin iAliCUX..OUppi.11. 7OO. O.
Croûte en couenne (mi fe forme fur le fang tiré dans cette
maladie.maladie. III.
III. 592. a. Des crachats dans la pleuréfie. Apoze-
me. L I. 34i-342. <*-4. Ufage UC de icncens.l’encens. V v . o 616 io a. JJe D e la laignée.
faignée.
A IV . so t. b. Des venroijfi-e YVTI L r»..,- ___!__
A IV . 303. b. Des ventoufes. XVII . 29. b. Des véficatoires.
-0 1. b. 101. a , b. Leur contr’indication, 202. é.
Pkuréfie , ( Maréch. ) maladie du cheval. Suppl. III. 420. a.
Pl e u r é s i e [Médec.) fes caufes. Ses fymptomes.
Son traitement. Liniment anodin. Différence entre la fauffe
pleuréfie & d’autres fortes de points de côté. Comment on
«lOit prévenir la fuppuration de la poitrine. Obfervation fur
la dicte Sc le régime. XII, 764. b.
PLEUREUSES dans les funérailles, ( Hiß. anc. ) leurs fon-
'-bons chez les Romains. VII. 3 70. E l i paroît que les Juifs en
avoiemà gage. IX. 229.(1. Voyez^ Pleureuses. X I I .763. u , i>.
Pleureuses , ( Antiq. rom. ) choeur de pleuteufes dans
les funérailles des Romains. XII. 763. a Nom que l'on don-
noit à celle qui régloit le ton fur lequel elles dévoient pleurer.
Signification du mot pratfifcinc, donc les pleureiifes fe
lervoieni pour prévenir les fpeélateiirs , Sc que les Romains
eniployoïent fouvent lorfqii’ils vouloient parier avantageu-
lement d’eux-mèmes. Exemples de ces pleurs publiques tires
de l hifioire fainte. Détails fur les fondions des pleureu-
4 Romains. L’art des pleurs confifioit dans l’adion
dans le (:hant. Robes des pteureufes. Douceur qu’on
éprouvé à pleurer la mort de celui qu’on a aimé. Ibid. b.
V o n F u n ira il les d is R oma ins .
lEUluusEs, {Hijl. dos Grecs mod.) fondions des pleureufes
dans les emerremens, chez les Grecs modernes. Autres peraXeT'Ti"’"’"
‘““ "e' & l-i adreffer diffcrens propos , &e. X ll. 76« a
Tome II. '
PLEUHÉU.3ES , P/ettreurs , ( Cnttq. facr. ) gens à gages dont fe
fervoient les Juifs dans les (cinérailles. Palfages tires des prophètes,
ou il en efi parlé. XII. 366. (». Voye^ Lamen ta tio n s ,
Pleureuses , terme de lingerc. XII. 766. a.
PLEURON (Grugr. anc.) ville d’Itaiie. Obfervation fur
les ouvrages (^ Alexandre de Pleuron , poète Sc grammairien.
Autre ville de ce nom après la defirudion de la pre-
mieredans un autre endroit. XII. 674. b.
P LEU f^ , ( G.'jmm. ) différence entre les larmes & les
P eurs. Affedions de la poitrine qui ont lieu dans l’adion de
pleurer. On a en pleurant les mêmes anxiétés qu’en riant.
A U . 763. a. foye^ La r m ES , L armo YEMENT.
Pleurs ) émotions qui caufent les pleurs.
Les plus grands héros n’ont point été honteux de verfer des
larmes. AU. 763, a.
Pleurs de la vigne [Agric. ) XVT. 690. a. XVII . 271. e.
Fleurs de terre, ( Archit. hydraul.) X ll. 763. a.
Pleurs , ( Géogr. ) bourg d’Italie dans les Grifons. Sa deG
triiction totale p ar la chute d’une montagne en 1618 XII
763. a.
m'"rvT’rc''T^ t'e ce b ourg,II. 786. h. 1 L tA U b , [ Anatom.) follicules ou glandes obfervces dans
le plexus choroïde. VH. 46. b. Plexus inéfemériqiie. X. 397.
a . Hexus ganglio-formes, v o y e ^ G an g l io n . Sur les diffé-
rens plexus formés par les nerfs, v o y e z ce dernier mot.
1 ^LEYADES , ( Aftron. ) affcmblage d'étoiles. Etymologie
( U mot. XII. 766. a. Oblervation Iiir le nombre des plêva'-
des. Ibid. b. ^
PUyades, nombre de ces étoiles. V I . 62. è. 5'i/pp/. 11,893.
b. Suppl. III. 903. b. Etymologie du mot pléyades. Moyen de
connottre cette conftellation dans le ciel. Suppl. II. 366.
Pleyades , [M y tho l.) noms des fept filles d’Atlas qui
furent appellees p/iydi/ej. Pourquoi elles furent placées dans
le ciel. Origine de cette fable. Les latins les appeiloient Ver-
%diiz ; le vulgaire les nomme U poujfmiere. XII. 766. h.
Pleyades, fixions des poètes fur leur origine. Suppl. If.
782. a. Suppl. III. 903. b. La dèelTe des Syriens placée dans
cette confiellation. Suppl. I. 660, b.
Pleyade , [ Poétique ) nom que les Grecs donnèrent à fept
poetes célèbres, Pleyacle de poètes françois formée par Ron-
fard. Dans le dernier fiede on avoir auffi projette de faire
une pleyade. XII. 766. b.
P L I, [M.incg.) ce qu’on entend par ce mot : maniéré de
determiner la mefure précife du pli qu’il faut fuggérer à un
cheval. V . 631, ° '
P L IA G E , ( Mu/ttt/tÆ) pliage des étoffes de lainage. Pliage
des chaînes des étoffes de foie. XII. 767. a.
P L ie A P O L O N IC A , [Médec. pratiq.) maladie dont le
principal fymptome eft un entrelacement imiiffoliible des
cheveux. Cette maladie très-familiere aux Polonois. Difiin-
dion affez futile du plica en mâle & femelle. Cette maladie
a quelquefois affeêlé le poil des autres parties du corps. On
a préceiulu qu’elle aaufil attaqué les animaux. Divers fym-
ptomes qui l’annoncent. XII. 767. Pays de l ’Europe qui
en ont ete mfefiés. Examen de la quefiion fi cette maladie
a toujours exifié , ou fi l'on en peut fixer l’origine à une
certaine époque. Ibid. b. Caufes ridicules de cette maladie
, que la fuperftitlon a imaginées. Son origine la plus
vraifemblable. Ibid. 768. a. L’exifience du pHca niée
par Guillaume Daviffon , qui traite toutes les obfervations
recueillies fur ce fujet de fables & de chimères. L’auteur
regarde le plica comme une efpece de fievre maligne , on
de feorbut aigu qui a lîi caufe fpécifique , 8c pour fymptome
p.articiilier cet entrelacement des cheveux , qui pourroit auffi
être regardé comme un dépôt critique , qui fe portant à
l’extérieur, débarraffe les parties nobles, & juge falurairc-
ment la maladie. Jâ/a'. b. Pourquoi cette crife s’opère dans
les cheveux. Différence entre cette maladie & In vérole Sc
le feorbut. Prognofiie. Ibid. 769. a. Danger que l’on court
lorfquon veut sen délivrer trop tô t,en ra fan t les cheveu.x
& coupant les ongles. Danger des faignées Sc des purgations.
Prudence avec laquelle il faut traiter cette m-.ihà,\c. ïhid.b.
Plica polonica , \\ en efi parlé à l’article III, 318. u.
, planeplatufe,[Ichthyol.)po\(Ion d i msr. Sa del'crip-
tion. Lieux qu’il fréquente. Qualité de fa chair. Xll. 770.(7.
Plie , quelqnes-uns croient que ce poilTon 8c le carrelet
font de même efpece. II. 703. b.
PLIER, courber, [Synonym.) i’ufage de ces mots expliqué
par des exemples tirés de quelques poètes. XII. 770. a.
Plier , ufages de ce mot dans différens arts Sc métiers.
XII. 770. b.
P LIMO UTH , [Géogr. ) ville d’Angleterre. Obfervations
fur fon port. XII. 770. b. Obfervations fur les ouvrages de
Jofeph Glanville , favart &. fpiriuiel écrivain à Fiimouth
dans le dix-feptieme ficelé. X ll. 771 . a.
PLINE l ’ancien ou le naturalijle, [C . Plinitis fecundus)
circonfiances de fa mort. V II . 150. a. Lettres de Pline le
jeune où il a donné l’hiftoire des ouvrages de Pline le natu-
rafifte , Sc U relation de fa mort. XVII . 86. É— 88./>. Ob-
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