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ohlcrvation fur fon poème De njturÀ remm. X ll. S14. h. Son
cm'oavras à expliquer ce qui produit le feinimciu dans l'hom-
me. 1. ^ 54. J- Son fyilèine d’atomifme. T, S23. j . Son liypo-
tliefe fur h sicnération. \ il. 362. h. Comment il établit une
providence en la combait.iiit. XIII. 313. b.
L ü C R E T IL E , ( ) momagne de U Sabine en
Italie, Maifon de c.impasne qn'Horace avoit fur ce mont.
Invit.uion qifil atlrelfc àT yn d a rid c pour l'engager à venir
dans ce riai:t iejour. IX. 714. u.
LUC RIN J le lue, ( Géogi. ( l.tc d'Italie. Canal par lequel il
comniuniquoic avec le lac Averne. Port de Jules conihuit
d.ins cet endroit. IX. 714. u. Les luiitres du lac Lucrin vantées
pour leur bonté. Etangs plus valles que ce lac dont parle
Hoiace. Trcmbleineiu de terre qui en 1538 combla prefquc
enticrement le lac Lucrin. Nouvelle montagne qui s'éleva du
fond. IbiJ. b.
Luet 'ir,. Uc. Suppl. III. 676. J. Monwene formée dans cc
lac. 95S. b.
LU CU L L E , (^mscius Liicinius') mépris qu'il faifoit de la
diflinRion des )ours Iieureux & malheureux. VIII. S92. b.
Ses colleiftions de tableaux. X ll. 272. b. Sav iflo irc fur Mithri-
date. X I\ ’. 267. J. Comment ilfe figiula à la prife de Sinope.
X \ '. 113. b.
LUCU LLIENS, 7a/.v , ( jeux que la provmce d'Ade
décerna à Luciillus. Services que ce général romain avoit
rendus à cette province. Comment il fut rappellé à Rome.
IX. “ 14. b.
LU CU .MA, ( Sot. exa. ) defeription de cct arbre du Pérou
^ de Ion fruit. IX. 714- b.
LUC'UMÛN , {^Li:i.') l'Etrurie divifée en douze peuples ,
dont chacune avoit fon clref nommé Lucumon. Privileges de
ces princes. IX. 715. j .
L u c u .mon , noble Tofean qui vint s’établir à Rome. X V .
516. J.
Z L V L 'S , ( Gc'ogr.) bois facré. Lieux autrefois célèbres
délignés par ce nom, Lucas Au-^uJU, Lucas Ajlurum. Etymologie
du mot Lucas. IX. 713. u.
L r e r s S j c l r , ( Myi/i. ) II. 310. u. X IV . 472. a.
L l ci's A l'c v s 't i , ( Geo^r. une. ) v ille de la Chaule Narbon-
noile. La ville de Luc détruite par une inondation. Village
qu'on rebâtit en fa place. Autre ville en Efpagne appellee
Lucas AugujTi. IX. 713, a.
LU D IÜS d'Ardée , peintre. XII. 239. b.
Ludhis, auti-e peintre qui rétablir à Rome l’ufage de la
peinture à frefque. XII. 274. u.
L U D L O V '. Edmond') W W. 620. b.
LU D O V IS IA , vi//j. XVII . 274. U.
LU D U S H E LM O N T I I , ( Zf/jh ) pierre ou fubftance
fofiile. IX. 713. a. Sa delcription. Son ufage en médecine.
D'où lui vient fon nom. Lieux où elle fe trouve. Ibid. b.
LU E T T E , {Anatom.) defeription de ufage de cette partie.
Ses mufeies. Moyen de relever la luette relâchée. Ceux qui
n’oni point de luette , fujets à la phibyfie. Chute de la luette.
IX- -13. b. Doyc^ Chute.
Luette, tous les quadrupèdes ont le voile du
palais. L'homme foui S: le fmge ont une luette. Diù'érencc
de CCS deux parties : leur defeription 6c leur uiage. buppi. III.
812. b.
Luette, mufcles de cette partie. X V . 492. b. X V I . 312. a.
Chùtc de la luette. 111. 404. b.
Luette, maladies de la , remedes contre l’inflammation de
cette partie. Son amputation lorfqu'elle efl gangrenée. Remèdes
contre fon relâchement, & contre fon inienfibilite. IX.
713. b. Details fur l'opération d'amputer la luette , & fur
Linftrumenr à employer pour cela. Ibid. 716. a.
Luette. Des cas ou il faut la couper. D-.foription & ufage
d'un nouvel infirumem inventé pour cette operation. Suppl.
2\’. 734. b. &c.
LU EU R , éclat, fpUndeur, clarté ,{Synon.) V . 269. b.
LUTFA,(5 etj;3 .)ca ra âeresdec e genre de plante. IX .jiC . a.
L L 'G D C 'N UM , {Géop^r. anc.) différentes maniérés dont
ce nom a été écrit. Recherches fur l'étymologie de ce nom
donné à différentes villes. IX. 716. a.
LU GU B RE, oifeau, (E/iJl. nat. Superjlhion) defeription
de ct-r oifeau du Bréfil. Attention avec laquelle les fauvages
du pays écoutent fes cris lugubres. IX. 716. b.
LU IS A N T , {Ruban.) ce qu’on entend par ce mot dans le
Travail du rubannier. C<.<mment ce luifant s’exécute. Les lui-
fans fc mettent plus ordinairement fur les lifiercs des ouvrages.
IX. 716. b.
Luifant, infectes luifans. VIII. 783. a. Mouche luifante. IX.
7 1 1 . tf. X, 770. b. \ ’er luif-nr. X V I I . 41. b. \ cr luifant de
Surinam. 2O1. b. Du bois luifant. VI. 6 o i. a. IX. 720. b.
y<j\e7^ PhOSPHOKE.
tU L , (B m. tXbt.) nom perfan d’un arbre d’Afie. Contradictions
dans les dclcriptions que les voyageur, en ont don-
n c‘c ■■ IX. 717. a.
LULLh-, {Raimond) fa vie £c fes ouvreges. III. 430. b.
]X , a.
L U M
L U L L ! , {Jc-itt-BaptifU ) ('«n art d’afi'ortir la miifiqiic aux
paroles. I. 63. a. X. 901. b. Ses compolitioiis. VI. 234, a , b.
Detaut dcxprcllioii tfans fa imifiqiie, fi l'on c.xcepte fes récitants.
313. b ,& c . Progrès que tirent t'ous lui l'orclicllre 6< le
chant, 234. b. 877. b. Remarque fur les récitatifs. Suppl. I.
390. b.
LUMACHEL LE , m.irbre, {Hiß. nat. ) deux différentes couleurs
d-e ce marbre. Lieux où il ic trouve. IX. 717- blMm.
tchdlc, m.irbre. IX. 817. b. 818, ,1.
LUM B , {Hiß. nat.) delcription de cet oifeau aquatique
du Spiizbcrg. IX. 717.
LUM BRÎCAU X , {Anat.) mufcles de la main & du pié,
au nombre de quatre: leur defeription. IX. 71T. a.
LUA11ERE, (O p tip ) femiment d'Ariffore fur la Imnicre.
Autre femiment des feélatcurs de ce philoloplic. Hypoihefe
des Cartéficns. IX. 7 17 . b. Erreurs attadiécs à cette liypo-
thefe. Doélrinc du P. Mallebranche fur la lumière &, les couleurs.
Ibid. 718. a. Objeéfions aux principes qu’elle renl'crmc.
Syllèmc do M. Huygbens, fujet auffi à de grandes dillîcul-
tcs. Celui do Newton. Ibid. b. Obfcrvations tpii prouvent
que le mouvement de la lumière n'eft pas inllaiitané.
Raifonnement de Delcartes, d’où il tiroic une coiiclufion contraire.
Si ce philofoplie s’cll trompé, du moins il avoir im:i-
giné le moyen de s’alfiirer dn teins que la lumière met à parcourir
un certain efpace. Viteffe avec laquelle la lumière
parvient du folcil julqu’ù nous. Ibid. 719. a. Si la lumière
confirtoit dans une fimple prcflion , elle ne fe répandroit
jamais en ligne droite, mais l'ombre la feroit comimicücmenc
fléchir dans fon chemin. C e que dit là-dcffus Newton.
Doéfrine du mé“me philofophe fur la force prodigieufe avec
laquelle les corpufcules lumineux font lancés pour pouvoir
parcourir plus de trois millions de lieues par minute. Rien
ne prouve mieux la divifibilité des parties de h matière ,
que la petiteffe des parties de la lumière. Calculs du doéleur
Nicuweiuil fur ce fiijct. Ibid. b. Le doébur Hook montre
que l’expanfion des paitles de la lumière n’a pas plus de
bornes que l'imivers. En quoi conlllle, félon s’G ravefaiide, la
différence de la Imnicre & de la chaleur. Examen de la
qiieffion , s’il peut y avoir de la lumière fans chaleur, ou de
la chaleur fans Imnicre. Obfcrvations de Newton lur ce
fujet. Exemples de la prodiiélion artificielle de la lumière par
l’atcrition des corps qui ne font pas naturellement lumineux.
Réflexions de M. Hawksbée fur ces expériences. Ibid. 720. a.
Expériences de M. Bernoulli fur le même fujet. M. lio y le
parle d’un morceau de bois pourri & brillant, dont la lumière
s’eteignoit lorfqu’on en faifoit fortir l'air. AttraéLon des particules
de lumière par les autres corps. Paffage des rayons de
lumière du verre dans le vuide. Si ces rayons tombent trop
obliquement, ils retournent -alors vers le v e r r e , & font entièrement
réfléchis, Caiife de cette réflexion. Pourquoi, en général
, les rayons de iumieve tombant fur la ftirface des corps
folides, font réfléchis. Ibid. b. Selon Newton , tous les
rayons ne font pas rétlécliis à la fois; mais tandis que les uns
font réfléchis, d’autres paffent au travers du corps folide fur
lequel ils tombent, 8c font rompus. Caufe de ce phénomène.
Ce qu’il entend par accès de facile réflexion (k de facile tranf-
miifion, & intervalle des accès, übfcrvations fur cette théorie
de Newton à l’ article Couleur. Ibid. 7 1 1 . a. Doilrine
des refraétions. Double réfraélion qu’on obferve dans le ayjhd
d'lß.mde. Foyc^ ce mot. L’image du Ibleil iranfmifo à travers
un pnfmc, a été obforvée cinq fois plus longue que large.
Raifon de ce phénomène. Deux efpeces de lumière l'eloii
Newton , celle dont les rayons font également réfrangibles,
& celle dont les rayons le font incgalemem. Trois aifeiîioiis
par lefquelles les rayons île lumière differenr. Rayonshomo-
genes, Couleurs liomogcnes & heterogenes. Diverfes propo-
fitions de Newton fur la nature de la'lumicre, & fur les coii-
Icurs. Ibid. b. Expofition du fyllémedc iM, Jean Bernoulli le
fils fur la propagation de la tiimicrc. Deux objeélions par lel-
qucllcs on peut attaquer le fyllenic de ceux qui regardent
un rayon de lumière comme une file de corpufcules émanés
du corps lumineux. Comment les rayons de Imnicre peuvent
fc croifer fans fe nuire. Comm-.m le folcil n’a point
perdu i'enfiblement de fa fiibftance jiifqu’ii cc jour, Ibid. 722.
a. Il n'cft pas facile d’expliquer pourquoi la lumière ceffe
tout d’un coup dés que le corps lumineux difparoit. Newton
femble avoir douté que la liiinierc foit un corps. Principes
fondamentaux de l’optique , de la catoptrique , de lu diop-
trique. Ibid. b.
Lumière, i". Expériences fur U lumicrc. Celles qu’on a faites
par le moyen de la madtine pneumatique , X ll, 807. b. 808.
a. par le /noyen du prifine, X lll. 384. b. 383. a. par la
in.iciline éleélrique, V. 469. b , &c. VI. 614. a , b , &c. par
les miroirs. X. 364. a , b , 6-c. par différentes efpeces de
verres. III, 802. é. 1V. 168. a. Expériences faites pour déterminer
combien la lumière du foleil ell plus forte que celle
de la lime. Supp'l. IV, 632. u , b. 2 '. De U naliire de lu lumière.
Des élémens dont les rayons de lumière font compoi'éï. IV.
327. b. 324. b. Leurs tüijeurs. 328. a , b. Tome uiaiiere ,
L U N LUN fdon M. <fo Biiffon, peut devenir iiimicrc, & la lumière
peut fe convertir en fiibffaiicv folide. Diftérciicc qu’il établit
entre le feu j If chaleur & la luniicre. Suppl. IV. 340. a. Identité
du phlogiAiqiic & de la Imnicre. 337. b. Lumière fans
chaleur: celle de la lune. IX. 728. a. IJegré de lumière de
Ja lune & d'une chandelle comjiarée à celle du foleil. Suppl.
IV. f)32. U, b. Clialeiir qui accompiigne la limnerc. X V . 30.
U. Influence de la lumière fur les hommes. V l l f . 734. u.
Lumière hétérogène, V flI . 190. E homogene, 282. rf. fmii-
laire. X V . 201..i. 3”. Comment elle fe répand. Propagation de
la lumière. Suppl. IV. 338. b. Quatre manières donc elle peut
fc répandre. IV. 990. a. D e la queffion fi la lumicrc fc fait
par preliion ou par émiffion : oblervation favorable au fyffénie
do l'éiniinon. V. 367. n. Semiment des Cartéfiens fur ce fujet.
<.le femiment combattu par New ton, XIII. 3 23. i. Propagation
de la hiniiere félon Huyghcns. Xi. 47('i. b. M. Leibnitz
prétend déterminer les loix que fuit la Imnicre par la confi-
dération des catifcs finale.s. II. 789. u. Obfervations des fatel-
lites de jiipirer , qui prouvent que la luniicre fe fait par
émlffiüii. XIV. 683. b. Sur les loix que fuit la huniere, voyc^
C o n ver g en c .'^, D iv erg ence , IU feexion , R é fr a c t io n ,
R a y o n . — Traité de Defeartes fur la luniicre. II. 722. b.
Traité de Newton. XVII , 733, a.
L umierç de la tune, ( AJlron. ) elle ert trois cent mille fois
nioinrlre que celle du foleil, & n’eff accompagnée d’aucune
chaleur. Lumière cendrée de la lune, celle qu’on apperçoit
ail dedans du croiffant. Sacanfo. C ’efl vers le iroilieme jour
de la lune qu'elle ell plus fcnfiblc. Suppl. III. 8 1 1. b.
Lumière zodiacale, {Pbyfiq.) Affronomc qui l’a découverte.
Autci^ qui en a traité. Premieres obfcrvations de ce
phénomène. IX. 722. b. Rcffcmblance que trouve M. Caffuii
entre la liiiniere zodiacale 8c la queue des cometes./ém'. 723. a.
Comparaifüii qu’il fait de cette Jiiniicrc à la vole laélcc. O b fervations
de .M. de Mairan fur le même phénomène. Ibid,
b. Mouvement de la lumière zodiacale. Caufe de cette lumière,
felon M. de Mairan. Ibid. 724. a.
Lumière ^odiacale. Elle ell dans le plan de l'équateur fo-
lairo. Suppl. II. 832. a.
LUMIERE, {A r iill.) celle d’un canon, d'un mortier, ou
de toute autre arme à feu. Difpofttion de l'ordonnance du
7 oélübre 1 7 3 2 , fur cette lumière. Comment on en doit
percer le canal dans les pièces de différens calibres. IX.
724. a. Sur la manière de la percer dans les canotis de fu fil,
voyc{ Garnisseur.
Lumière ; dégorgeoir dont on fe fert pour la fonder 8c
la nettoyer. IV . 736. a. Opémation par laquelle on corrige
le défaut des lumières qui fe font trop élargies. VII. 832. a.
LUMIERE , {Arquebuj. ) IX. 724. a.
Lumière, ( P«nf«re ) lumière naturelle , S: lumicre artificielle.
Lumière dircéle. Lumière de reflet. Il ne faut dans
un tableau qu’une lumière principale. Il faut que les objets
éclairés participent à la nature des corps qui les éclairent.
IX. 724. b.
Lumière, de la diffribution des lumières 8c des couleurs,
voyc^ Couleurs locales , Coloris , C lair-obscur. D u
choix des ombres 8c des lumières. Suppl. III. 318. Accident
de lumière. 1. 72. a. Dégradation des hmiicres. IV.
760. a. La difpofuion des hiinieres peut favorifer l’effet des
couleurs. V . 406. b. D e riiarmonie de lumière : moyen de
répandre dans un tableau une belle diflrilnition 6e de grands
effets de Uimiere. VIII. 31. h. MalTe de lumicre. X. 179. a.
L'étude du mélange & des diminutions gr.adiielies (le !u-
micrc 8c des ombres , fait une des plus grandes parties de
la peinture. XI. 463. a. Pafl'age de lumière. XII. 121. .1.
Lu m i n a i r e s , { a fron. ') ic foicii & la lunc appeiiés de
cc nom dans la Gcnefc. Différences entre ces deux luminaires.
IX. 724. b.
LUMINEUSE , pierre , ( Hiß. nat. ) Deux différentes pierres
ou fiibflanccs himineiifcs, dont l'une efl mentionnée
dans riiiilüirc du préf'ulcnt d c T h o u , 6: l’autre dans les
ephémérides des curieux de la nature. IX. 72.). é.
LUMP , ( Idtihy. ) el'pcce de luiui) nommé beravifeh,
Suppl. I. ^0. . ^
149
LUN , {ßor.:/i. cxût.) arbrifl'eau du Cliili. Sa defeription
723, a.
LUNA , ( Ccopr. anc. ) ancienne ville d’Italie. Il n’en veffe
que les mines. Canton auquel elle donne fon nom. Üblèr-
vations fur le pont de Lima. IX. 723. a.
IX
LU NAIRE, ou Bulbonac , ( Rot. ) caraélercs de cc genre
de plante. Defeription de fa principale cfpecc an mot
fo'Mc. Origine de fes différens noms. IX. 723. /-.Les Bo-
tauides ont nommé lunaires des plantes d'tm genre tout différent.
IX. 723, b.
Lunaire, pierre, { Hiß. nat. ) pierre qui fc tro u ve , dit-
on , dans quelque mines de Suede, übfcrvations f'ur eeitc
merre. Autres pierres auxquelles on a donné le même nom.
IX. 723. b.
, {Aßron.) moh \»m\TCS. Année Imiairc. D.ms
les pt emiers âges , toutes les nations fe fetvoient des années
Jomc //.
lunaires. Moment où commençoit le mois lunaire chez les
Juifs. Cointncnc on en averiiffoit le peuple. IX, 723. b.
Lunaire, année & tnois lunaires. I. 388, a , b .X .C u ). h.
XII. 323. a. 3(^3. b. Cadran lunaire. II. 324, a. C y c le lunatic.
IV. 386. b. 390. Æ. Intérêt lunaire. V llI . 82- ,1. Pé-
rioJes liiiiairts. XVII . 768. b.
LU N A ISO N , {Aßron. ) Différence entre une luna'fon &
& iin-e révolution périoîüqiic de la lune. Retour des liinai-
fons aux mêmes jours après dix neuf ans. An bout de 312
ans , les liinaifons avancent d’un jour fur le commencement
du mois. Correélion a laquelle cette obfervation a
donné lieu. IX. 723. b.
L U N A T IQ U E , ( ) efpeces de maladies fujettes su
mouvement de la lune. VIII. 736. b. Les princeffes Tanarcs
fujettes à la liniacic. X. 372. b. Cérémonies qui fc pratiquent
lorfque la hinacie s’cA manifeflée. 373. a.
Lunatique cheval , \ 'l . 923. a. Suppl. III. 408. b. Une jument
limaciqiic engendre des poulains qui deviennent auffi lunatiques.
VUE 44. a.
LU ND E , ( Hiß. nat. ) Comment cet oifeau fait la guerre
au corbeau. Obfervations fur le nid de la lund:. Comment
on prend fes petits. Lieux fréquentés par ces oifeaux. IX.
726. a.
LU ND EN , ( Géopr. ) ville de Suede. Obfcrvations hiflo-
riques fur ctttc ville. Sa pofition. Autre ville de ce mm en
Allemagne. IX. 726. a.
Lunden , horloge de fa catliédrale. VIII. 300. b.
L U N E , (A ßron .) Diftance à laquelle la lunc vue dn
foleil paroitroit s’éloigner de nous. Principale différence
entre les mouvemens de la lune 8c celui des autres planeres.
Auteur qui a ofé foutenT que ce n'eff point l.i lune
qui tourne autour de nous , mais La terre amour de la
lunc. Académicien qui l’a réfuté. Orl/ite 8c révolution de
cct affre autour de la terre. Sa moyenne diftance. Excentricité
moyenne de fon orbite. Diamètre de la lune. Sa fur-
face ; fa denfité ; fa quantité de matière , force de gravité fur
fa furface. Ibid. b. Phénomènes de la lune. Leurs cr.ui es. Explication
de fes phafes. Ibid. 727. a. Moyen de décrire ces
phafes pour un tems donné. Caufe de cette lumicre foible
qu’on obferve dans les nouvelles lunes, qui, outre les cornes
brillantes, nous fait appcrcevoir encore le relie de fon
difquc./NZ. b. Phafes de b terre vues d e là lune, Pourquoi
la lumière de la lune ne produit point de chaleur fenfible.
Calcul du dofleur H o o ff, par lequel il rend raifort de cette
oblervation. Cours 6e mouvemens de la lune. Caufe de la
dtllercnce entre la révolution fynodique 8c la revolution
périodique. Mouvement diurne de la lune ati foleil. Ibid. 728.
a. Incliii.aifon de l’orbite de la lune fur l'écliptique. Points
d’intci feélion nommés noeud afeendant & noeud defeen-
dant. Mouvement des noeuds. Points de l'orbite lunaire appelles
limites. Latitude de la lime. N’ arlations dans !a diftance
de la lune à la 'erre. Son plus grand 6c fon plus petit diamètre
Iiorizoïital. Ibid. b. Apogée 6c périgée de la lune. Ligne
des aplîdes. Mois anomaüHique. Mouvement de la ligne des
apfides. Iirégularités du mouvement de la lune & rie celui
rie fon orbite. Ibid. 729. a. Le foui mouvement uttiforme
de la lune , cA celui par lequel elle tourne autour de fon
axe. Pourquoi elle ne nous prcfence pas toujours exaélc-
ment la même face. Libration de cet allre. El'pecc d'endu-
lation ou de vacillation dans l'axe de la lune. Ibid. t.C.ia-
fes phyfiques du mouvement de Li lune. A à onomic de la ia-.e.
Moyen de déterminer fos révolutions i'ynodiquo Sc périodique.
Méthode pour conAï uiie les tables du moyen mouvement
de la lunc 6c de fon mouvement diurne. Ibia. 73c. a.
Comment on trouve le lieu de ion noeud. Moyen de déterminer
le monvoment de la lune p.ir t apport aux noeuds,
ou la quantité (lu mois dracontique. Moyen de trouver
l’âge de la lune , 6c le tems de fon paffage au méridien pour
im jour propofé. Sur les éciipfes de lune , Eclipse.
Sur f.i paralLixe , Pa r .allax e. Théorie des mouvemens
6c des irrégularités de la lunc. Ibid. b. Celle de
Newton par laquelle il explique les caufes de ces irrégularités.
Do toutes les planeres, la lune eA celle donc les mouvemens
nous font encorde ntoins connus. Ibtd. 7 3 1. u ,/•. E p y
ciclc imaginé par M. Halley pour expliquer les inégalités
qu’on oblcrve dans le progrès 6c d.ms l.t rétrogradation de
l'apogé'e & la qiiamiré de rcxccncricité. ItiJ. 732. a. .Après
223 ïiinaifons, les circoi Ainces du mouvement de U iu.ne
rcdcvloiment les mêmes par rapport ;:u lolcil 6c à la terre ,
6c ramoneur dans l'on cours les mêmes irrégu'.ances. Suite
d’obfervaiions de M. Halley pendant une période do m lu-
naifons. Av,image qu’il fit avoit tiré pour la détermination
(les longitudes kir mer. Suite d'obfervations de M. le Mun-
nicr. Combien il a perfeél'ionné les t.ibles du mouvement de
la lune. Nature 6- ptop-tétes de l.i lune. Elle ii'a ireclairee qua
la feule l'.iitie fur laquelle tombent les r.ivous du t'oleil. L ,t
lime difparoit quelquefois par un ciel clair 6c ferein : obfer-
vaiioiis de ce ImgnUer phénomène. Ibid. Inég.ilites 6c taches
fur 1a luriâce de b lune. L.t lunc 6c les taches pies
f ' 1 H