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IX. 47^. ,2. Manière de déterminer lur Tétambot la iiau-
teur où olie doit être placée. Sa courbure. Moyen d'enH.\er
l.i longueur, üblérvatioiii fur ce lùjet. Lilfes de gabaritz. Lilies
tic porte-li.iubans. IX.
Lijfcs d’uccaftilage. Stippl. 1, lo^. b.
Liffc, terme de canonnier, de corroyeur, de gazier, de
111.11 breur, de marcchallcric Sc de rivière. IX, <;j6. .7-
L isse.s , ( Rub.m. ) iiillrumcnt Icrvant à palier les chaînes.
Explication de leur fabrique. IX. 576. u. Des lilies à maillons.
IbiJ. k
Lllfcs : hl de lilTe. VI. 790. b. Porte-lilTes dans le métier
de rubans. X lll. 142. a. Defeription des lilTcs, vol. XI des
plind ies , article R ub an ier.
■ Lijfis, H.mies. Dclcription & iifage. IX. ^77. <7-
L isses, ( M.muf.tn Jok) lilTes à grafYd-cf>uliire. LiiTes à petit-
coulilTe. Lilies de rabat. LiU'es de liage. IX. 577.
î-'ijjcs, leur fabrication, vol. XI des planch, foieric, pi.
•121. càc. Fil à iiire. VI. 790. il.
L is se , ( Taplff.) A'ow vient La différence de haute
de haffe-liffe. Fabrique de bajje'lijfc : defeription du métier,
IX, 577. J. & de la m.anlere d’y travailler. Jbid. b.
Lijfe b.iJJ'e, maniéré de faire les liiTes, XII. -134. a , b. vol.
X I des planch.jialTementier, pl. 27, 28. Defeription 8c travail
•du métier à halie-liffe. X I I .131.^. Foyrçles planches du paffe-
mcntier,a ol. XI. Tapifferie de baffe-lilfe des Gobelins: v oyez-
en les planches, vol. IX , vers la fin.
Lijlè hauie, dpecc de tapifferie de foie 8c de laine , rchauf-
fée d’or 8c d’argent. Pourquoi elle eff appellee haute-lijfe. L'invention
de La haute Si baffe-liffc femble venir du levant. Les
Anglois 8c les Flamands l’ont perfcclionnée. En quel tems les
François ont commencé à donner quelques beaux ouvrages en
ce genre. Details hiftoriqnes fur l’établiffcmeKt de ces manu-
faftiircs en France. IX. 578. a. Quatre manufaélures en ce
genre dans le royaume. Celles de Flandres. Hauteurs les plus
ordinaires de ces ouvrages. Fabrique de la haute-lijje. Defeription
du métier, Sc de la maniéré d’y travailler. Ibid. b.
LiJe haute-., tapifferie de, voyez-en les planches, vers la fin
du volume IX.
L is se , ( Tapffer) les tapiflîers nomment liffe ce qu’on appelle
chaîne dans les métiers de tilTerands. Haute-Uffe 8c balTe-
lilî'e. IX. 579. b.
L ije , terme des haute-liffiers. IX. 379. b.
L isse-h a u t e , {Tapffier) forte d'étoffe. IX. 1,7c). b.
LISSERONS, ( Ouvr. d'ourdfferie) petits liteaux fur quoi fe
tendent les liffes, &c. IX. 380. a.
LIS S E T T E S , (Ourdijage) différence entre les liffettes 8c
les liffes. IX. 380. a.
L issettes à luifant & à chaînette pour les franges 8c galons
à chaînettes, ( ) deferiptiort 8c ufage. iX . 380.
L IS T E , ( Comm. ) Hiles que difi'érentes compagnies 8c communautés
font imprimer à Paris. IX. 380. b.
Lijle , fynonyme de tarif pour les marcliandifes. Dates des
principales liftes de Hollande. Ordonnances £c placard dont la
derniere lifte eft précédée. IX. 381. a.
L ife civile, en Angleterre. IX. 581. a.
LISTER, (Martin) anatomifte, Suppl. I. 399. b. 8c phyfiolo-
gifte. 6'«/’/'/.IV.3 32. iJ.Sadiftributiondcscoquilles.lv. 1 8 5 . b.
L IT »différentes parties dont im lit eft compofé. IX. 381. a.
LU , différentes fortes de lits. Lits en tombeau. X V I . 400. b.
Lit à double tombeau 8c àtombeau fimple , vol. IX des plancli.
tapiflîer, planch. 7. Lit fufpendu nommé liimac. II. 397. b.
VIII. 32. b. Lit de repos, vol. V U des planches, menuilerie
en meubles, pl. 12 , vol. IX. des planch, tapifficr, pl. 1 2. Lit
à la polonoife, vol. M l des planch, menuiferic en meubles,
pl. 15 , vol. IX des planch, tapiiî'ier, pl. 3. Lit à la françoife ,
vol. VII des pl. menuif. en meubl. pl. 16. Lit à ritalienne , pl.
i7 .L i t à l a turque,voJ. IX des planch. tapiffier,pl. 3. Lit en
niche. Ibid. Lit à colonne : lit à la ducheffe ; lit à la romaine ,
pl. 6. Lit de camp à l’angloife , pl. 7. Couvertures de lit. IV.
422. n , b. Roulettes de Ht, vol. IX des planch.Serrurier , pl.
32, 8c tapiffier, pl. 3. Lits des orientaux. X VII . 771.
L i t , (A/éirt:.) maniéré de s’y tenir. IV . 320. é. Accidens
qui réfiütcnt de l’habitude d’y refter trop long-temps. Suppl.
IL 914. h.
L it de mifere, (d u r .) lit que l’on prépare pour accoucher
une femme. Maniéré de le difpofer. Suppl. 111. 763. a.
L i t , (Jurifpr.)(e prend pour mariage Sc pour cohabitation.
IX. 381. b.
L it de Ju s t ic e , ( /rrrr^r.) trône où le roie ftaffis cn Ibn
parlement. Trône où le roi fiégcoit lorfqiie les affemblées le
tenoient en pleine camp.agne. Origine du nom de lit de jujlke.
■ Defeription de cette cfpece de trône. IX. 381. <?.
Lit dejuftice,(kznçt folemnelle du roi au parlement. Anciennement
les rois honoroient fouvent le parlement de leur pré-
fcnce, fans y venir avec l’appareil d’un Ht de juftice. Séances
proprement qualifiées de ce nom. Affemblées auxquelles
les lits de juftice ont fuccédé. En quel tems ces féancesont
commencé. Pourquoi elles étoient defirées des peuples. Dif-
polluoiis d’une ordonnance de Philippe le Lon g , fur ces féan-
L I -T
ces. Détails fur le lit de juftice , tenu par Charles V en 1373.
IX. 381. b. Autres lits de juftice tenus par Charles V I , par
Charles V I I , François I , Louis X IV 8c Louis X V . Ibid. 382.
a. Dclcription des formalités iifitées dans une féance de lit de
juftice. Ibid. b. Ouvrages à confultcr. Ibid. 383. b.
L it des Romains, ÇHifl. rom. ) il paffa du premier degré
d'auftérité au plus haut point de luxe. Détails hiftoriques fur
ce fujet. Ibid. b.
^ Lits des Iiom.ïins. Ceux qu’ils dreffoi-znt dans les temples.
XIII. 370. a. Ceux fur lefqueis iis mettoieni leurs diei\x.Suppl.
III. 719. b. Ceux fur lefqueis on portoit les morts au bûcher.
XIV. 799. b. Suppl. III. 370. a.
L it de table, (L i c i t .) difpofition du corps dans laquelle
les anciens prenoient leurs repas. Simples bancs de bois fur
lefqueis les Romains s’afféyoient avant la fécondé guerre punique.
Changement qui fe fit à cet egard depuis Scipion l’Africain.
Lits archiaques. Origine de la coutume de manger couché
fur des lits. Lits dreffés dans les temples des dieux. IX.
384. a. Comment les dames romaines fe tenoient à table.
M:iniere dont on y [ilaçoit les jeunes gens qui n’avoient pas
encore la robe virile. Nombre des lits autour d’une table
rom.alne. Origine du mot triclinium. Du nombre des perfon-
nes qui fe plaçoienr fur un lit Sc amour d’une table. Rangs
d honneur. Difpofitions obfervées pour hi magnificence des
repas. Somptuofité des lits de table. Plainte d’Auhigelle fur
ect objet de luxe. Auteur à confulter fur la foinptHoftté de
ces lits. La fimplicité des premiers Romains exprimée dans un
vers d'Ovide. D ifférentes formes qu’on leur donna. Céfar après
fes triomphes traita le peuple romain à 22000 tables à trois lits.
L ’ufage des lits établi du tems de Néron parmi les laboureurs.
Robes de feftins. Ibid. 383. a. Defeription de l’habillement
d’une femme romaine couchée à table. Souper domeftique de
deux perfonnes repréfenté dans une planche des peintures
d'Herculamim. Ibid. b.
Lits de table des Romains. X V . 183. b. X V I , 634. b. Tapis
de ces lits. X V . 896. b.
L it nuptial, (Antiq. rom.) falle où on le dreffoit. Refpcél:
qu’on avoir pour ce lit. .Si le mari fe remarioit, il devoir en
faire tendre un autre. Pourquoi ce ht a été appelle adverfus
& genialis. IX. 383. é.
L it des fieiives , ( Geogr. ) V I. 869. h. 871. b. 872. a.
Lits dontlafurface du globe efteompofée. Foye^ C o u ch e s .
L i t , terme de cliymie , d’hydraulique, de murine, 8c
d’architcéliire. IX. 383. b.
L i t , (coupe des pierres) IX. 386. a.
L it, en terme de ciricr 8c de jardinage. IX. 386. a.
L u fous plintht, terme de fciilpnire. IX. 386. a.
L IT A N E , ( Geogr. ) forêt d’Italie , au fud des Alpes. Stratagème
dont les Boïens, peuples gaulois établis dans ces contrées
, uferent contre les Romains. Suppl. III. 763. a.
LITANIES , ( T/it'ü/og.) étymologie de ce mot. Allégorie
de Simon de Theffalonique fur les litanies ou proceffions de
l’églife. Litanie ou proceftion qu’indiqua S. Grégoire à l’occa-
fion d’une pelle qui ravageoit Rome. IX. 386.
Litanies, formule de prières en l’hoancur des faints. IX .
386. b.
Litanies, étymologie de ce mot. IX. 387. a. Petites 8c grandes
litanies. XIV. 319. a.
LITCH FIELD S, (Giogrl) ville d’Angleterre, patrie de deux
hommes célébrés ,Addilfon Sc Ashmole ; obfcrvations fur l'un
8c l’autre, 8c fur leurs ouvrages. IX. 386. b.
L IT E , (L tfl. nat.) nom générique que les habitans de
l’ifte deMadagafcar donnent à différentes cfpecés de gommes
ou de réfines, produites par les arbres de leur pays. Éiuimér
ration de ces fiibftances. IX. 386. b.
LITÉS , ( Mytholog. ) pri ères, Filles de Jupiter. Ingénîcufe
allégorie fous laquelle Homere les dépeint. Etymologie des
mots litanie 8c litare. IX. 387. a.
L ITH A R G E , (Pbarm. & M .u .medic.) On emploie indifféremment
celle d'or Sc celle d’argent. Comment on la purifie
8c 011 la divifo. Ses divers ufaçes 8c propriétés en médecine.
IX. 387. m
Litharge, fon origine. V IL 364. <7. Cette fubffance confi-
derée comme fondant, ou menftrue fcc. VI, 913. a. Verre
formé par le mélange de la litharge avec des pierres vitref-
ciblcs triturées. Divers effets de la litharge coiiGdérée comme
fondant. Ibid. b. Ufage de la litharge dans le travail des mines
d’o r , d’argent Sc de cuivre. 920. b. Sur la lltliarge, voye^ l’ar-
tidc Plomb. XII. 7 7 3 .^ ,^ .
LITH A R G IR É , vin. XII. 773. a. 777. a , b. Moyen de
coniioître le vin frelaté avec la litharge.XI. 663. h. XII. 777 .
b. Suppl. IV. 463. <7.
L !TH IA S I£ ,o u ü/émyti , forte de maladie des paupières.
Sa caufe, Incifioji par laquelle 011 la guérit. Comment on doit
la pratiquer. IX. 387. b.
L IT H Ü C O L L É , (Lapid.) ciment dont on fe feit pour
attacher les pierres précieufes an manche lorfqii’on veut les
travailler. Comment on le lait. IX. 587. b.
L ITH OM AN C lE ,( Divin.) étymologie du mot. Pierreclivi-
L I T I T
natoire qu’Apollon donna à Hclenus le (ro/én. Moyen que
celui-ci cniployoit pour la confulter. IX. 387. é. Pierre dont
parle Zoroaftre , qui avoir la vertu cTévoquer les génies, 6c
d’en tirer les oracles. Défenfe que Moyfe fait aux Ifraélites
d’ériger des pierres pour objet de leur culte. Il y a apparence
que les Cliananéens Sc les Phé.nidens confultoient des pierres
comme des oracles : ces pierre.s font connues fous le nom de
bcetiles, voye z ce mot. Superftition de ceux qui croient que
l’amétbyfte a la vertu d’annoncer l’avenirpar desfonges qu’elle
procure. IX. 388. a.
LITH O N T R iP T IQ U E i/e Tulpius, (Mat. médic.) nom
d'un fameux diurétique imaginé parTulpius. Préparation de ce
remede fnivant M. Homfaerg. IX. 388. a. Cette mixture ne
ceffe point de fermenter durant phifteiirs années. Quelle en eft
laraifon.Autre mixture quiprél'eme un cftetfemblable.Maniere
de faire ufage du diurétique donc on vient de parler. Ibid. b.
Lhhoniriptiques, retnedes, on ne croit aujourd’hui que très-
difficilement à ceux qui font tirés des végétaux. V IL 932. b.
Plante de fifle de Ceylaii qtii paffe pour avoir la propriété de
guérir d e là pierre. L 108. b. Spécifique contre le gravier
qui fc forjue dans les reins. XV. 443. b. Eau préparée qui
diffout lagravelle. Suppl.lW. 4 63.4, b. Pie r r e , (Médecl)
L ITH O PH AG E , ( Hifl. n.u. ) petit ver qui s’engendre 8c
vit dans la pierre. Il y en a de pliifieurs efpeces. X V . 3S8. b.
L ITH O PH OSPH Ô RE, (Hifl. nat.) efpcce de fpath qui
luit dans l’oblcurité. Si on calcinoit ces pierres trop fortement,
elles perdroient cette propriété. IX. 388. i.
L ITH O PH Y T E , (Hifl.nat.) relTemblance des lithophytes
2U.X plantes. Ils appartiennent au régné animal. Defeription
des lithophytes. Leurs différentes efpeces. Subftance appellee
corail noir. IX. 388, b.
Xir/top/tyrc, efpeces de lithophytes appelles panache de mer,
X L 807.4. Sc tiibulite. X V I . 735. i . Lithophytes repréfentés
vol. VI des planch. Régné anini.al,pl. 86.
LITHO .jT R O T O S , (Z/trérjt.) pavé fait de coupure de
divers marbres qui s’cnchàffoient enfcmble dans le ciment. E tymologie
du mot. Paffages de Grapaldus 8c de Varron fur cette
forte de pavé. T e l étoit le pavé du tribunal de Pii-ate, voyez
Jean,xïx. 13. Ces pavés fuccéderent aux pavés peints. Premier
ouvrage de cette forte que Sylla fit faire à Prénefte dans
le temple de la fortune. La falle du fanhedrin des Juifs étoit
pavée de cette forte. IX. 389. 4.
L ITH O TOM E , (Inflr.de CAir.) efpece de biftouri avec
lequel on fait une incifton pour tirer la pierre de la velftc.
Etymologie du mot. Defeription du lithotome qui a été le
plus en ufage. IX. 389. a. Variations auxquelles la pointe de
cet infiniment a etc fiijettc , iuivant les différentes maniérés
de tailler. Lithotomes dont la lame eft fixée dans le manche.
Petit couteau de M. Ledran pour couper la proftate 8c le col
de la veftîe. Lithotome de M. Foubert. Defeription d’un nouveau
lithotome inventé par un anonyme. Maniéré d’en faire
ufage. Ibid. é. Avantages que l’inventeur attribue à fa maniéré
d’opérer. Jugement de l’auteur fur cet inftrument, 8c fon
Vif-g,c.Ibid. 390. a,b. Defeription du lithotome inventé par l’auteur
de cet article , fpécialement deftiné à fa métiiode, qui
confute à ouvrir l’uretre par deux fecHons ktéraies./éiiY.39i.4.
L IT H O T O M IE , ( Chlr. ) voye^ T a il le.
LITHU AN IE , ( Geogr. ) fon étendue 8c fes bornes. Abrégé
de l’hiftoire de ce pays , jufqu’au tems où les Lithuaniens ne
firent pins qu’un même peuple avec les Polonois. IX. 391. b.
Divifion de ce pays en Litliuanic ancienne 8c Lithuanie moderne.
Elle porte le titre de grand duché, Quelle eft la langue,
du pays. Defeription de ce pays. Ses principaux fleuves.^En
quoi confifte fon commerce. Maniéré de labourer, particulière
aux Lithuaniens 8c aux habitans delà Ruifie blanche. Fertilité
du p.ays. Efclavage des payfans de Lithuanie. Ibid. 392, 4.
L ith u an ie , petite Luihanie ou Lithuanie pnffennc ,
( Geogr.) Son étendue 8c fa population. Contrées qu'elle comprend.
Soins dn roi de Pruft'e pour faire fieiirir ce pays. Suppl.
III. 763. 4. Ses produftions 8c fon commerce. Scs villes principales.
Religion du pays. Territoire que la maifon d’Anhalt-
Deftau y poffede. Ibid. b.
LlTüVA'tllt,clianccUer dugrandducké de,(Jurifpr.)\W. 104,4.
L IT IE R E , ( ro7/j.) deux fortes de voitures portatives
des Romains ; les unes portées par des mulets, les autres par
des hommes. Defeription de ces deux fortes de litières ; les
premieres réfervées aux femmes, les fécondés plus particulières
aux hommes. Du nombre des porteurs pour une liiicre.
On iifoit de CCS voitures en ville Sc en voyage. M ort de C icéron
dans fa litiere. Le mot lellica fignifie non feulement une
litiere portée par des hommes , mais encore, 1°, de grandes
chajfes de chambres, vitrées de toute part -, IX. 3< a. b. 2".
le cercueil dans lequel on portoit les morts au bûcher. Etym.
du m o t O r i g i n e de cette voiture portative. Combien
cet inngc prit faveur à Rome, Cette mode abolie fous Alexan-
dre-beveve , pour faire place à celle des cliars. Auteurs à
coniuher. Ibid. 39^. a.
nomniée hexapbore. Suppl. l î l . 370. 4.
^ Tome ^ ^
Ï3J les mciffonncuis chez les Grecs. Origine de ce nom. Détails
fur cette forte de dianfon. Difterence entre le liticrfe phrygien
Sc Iclitierfc grec. Exemple de celui-ci dans l’Idille X. de
Théocrite. Proverbe auquel le litierfe donna Ijeii. Ouvrages
à confulter. IX. 593.4.
LIT IG IEUX , droits. V . 143. é.
LIT ISPEND ANC E , (Jurifpr.) la litifpendance eft un
moyen d’évocation. IX.^ 193. b.
L ITO PH Y T E S , ( Hifl. n.u. ) leur origine, félon Kenckel.
Suppl- IH. 92. b. Foye^ PoLiPiERS 3 Ph y t o u t e s .
L IT O T E , dunintitions en rhétorique, ( Litt. ) définitions de
cette figure , données par H;inis 8c Cliambers, 8c par M. du
Marfais. Selon le fentiment de l’auteur, cette figure ne renferme
aucun trope. C ’eft une figure de penfées, plutôt qu’une
figure de mots. IX. 393. b. Foyei L ip tote & D i .m inu tio ns .
Obfcrvation fur ce que dit le P. Lami, que l’on peut r.ippor-
ter à cette figure les maniérés extraordinaires de repréfenter la
baffeffe d’une chofe. Ibid. 594. a.
LITRE , ceinture funèbre. (Jurifpr. ) dcux acceptions de ce
mot. A qui appartient le droit de litre dans les églifes. O rigine
de cet ufage. Obfcrvations fur la litre du patron , 8c fur
celle du feigneur haiit-jufticicr. Le droit de litre eft tantôt
perfonnel 8c tantôt réel. IX. 394. a. Largeur ordinaire de la
litre. Diftance entre les cculTons placés dans la litre. Le fondateur
d’une chapelle bilde dans une aile d’une églife, dont un
antre eft patron on feigneur, ne peut avoir de litre que dans fa
chapelle. Ibid. b.
LITPsON, (Comm.) mefure de grains. Obfcrvaions fur fes
dimenfions, corrigées par l’académie des fcienccs. Suppl. III.
763. b.
L IT TÉRAIRE. Critique littéraire. IV. 493. A. Gazette littéraire.
V IL 534. A. D es projets littéraires conçus par les grands.
V . 636. 4 , b. Sociétés littéraires, voyeç SOCIÉTÉ.
LIT T É R A L . Du fens littéral, i'". dans les auteurs, X V . 19#
4, 2°. dans récriture fainte. 29. a. V . 366. a.
L IT TÉ R A TU R E . Caufes de la décadence de la llttéranire.
L ’érudition traitée aujourd’hui de pédanterie. Principe du dégoût
que les jeunes gens conçoivent'pour l’étude des humanités.
IX. 394. b. Pluficurs beaux-efprits ont introduit la
coutume de condamner les citations des paffages grecs 6c
latins , 8c toutes les remarques d’érudition. Motif fecret d’une
telle cenfure. Malgré la critique amere des bouft'ons igno-
rans , il eft certain que les lettres peuvent feules polir l’cfprit
8c prêter des graces aux feiences. Connoiffances qu’on doit
tâcher d’acquérir en puifant dans les fources de l’antiquité.
Ibid. 393. 4.
L it té r a tu r e , ( Delks-lctt. ) différence entre l’érudition 8c
la littérature. En quoiconfiftent le profond littérateur 8c l’homme
de lettres. Suppl. III. 763. A.
Littérature. Divifion de toutes les parties de la littérature. II.
760. 4 , b. Quelles furent les occupations des gens de lettres
dans les commencemeiis de la littérature. Ce qu’elles feront
dans les fieclcs à venir. V . 644. d. Foyei L ettres.
L IT T L E T O N , ( Edouard 8c Adam ) littératélirs anglois.
X V . 144. a.
L it t l e t o n , ( 7’Ao;774j ) jurifconfulte anglois. X V I I .638. A.
L IT TR E , ( Alexis ) anatomifte. Suppl. I. 40 2. b. Ghuide de
Littré. X V II . À. 493.4.
L IT T U S , plagia, portas, flatio , pofitio , coio , refugium ,
gradus , ( Gêogr. maritim, des Rom. ) dilférenccs entre CCS
mots , qu’il importe de connoitre. IX. 393.4.
LITU R G IE , ( Théolog. ) étymologie du mot. Il défigne
le culte divin Sc les cérémonies qui s’y' rapportent. Il y a eu
des liturgies depuis que l'homme a reconnu une divinité. Du
culte d’Adam. Celui de Gain n'avoit pas cette droiture d’intention
qui devoit en faire tout le mérite. C'eft la foi qui donne
toute l’efficace à une liturgie. Il paroit que le fiicc-ffeur
d’Abel fut l’auteur d’un culte public.Cette liringio rcdlgfo en
écrit par Enoch. Liturgie établie fous Abraham Quelle fut celle
des Hébreux en Egypte. Caraftcrc de celle qu’établit M jil’e.
IX. 596. 4. Mufique introiluite par le roi David dans c.tte
liturgie. Salomon bâtit le temple de Jériifidem , Sc la liturgie
devint immenfe. Nouvelle liturgie propolée par Jérolioam.
Altérations que la vraie liturgie loiiftric dans le^ deux royaumes.
Etat du culte 8c delà religion quand JcUis-Chiift parut.
Liturgie également fimple 8c édifiante, établie par i’aur.;ur du
chriftianifine. L’inftitution du baptême, au nom <les trois per-
fonnes, futembraffée par des feftateurs de Platon , devenus
chrétiens. Edifiante fimplicité de la liturgie de l’inlüiution de
la fainte cène. Liturgie pour l’cleftlon de faint Mathias. Ibid. b.
Sous les apôtres 8c leurs fucceffeurs immédiais, la liturgie en
langue vulgaire Sc peu étendue, étoit gravée dans la mémoire
de tous le.s néophytes. Comment les liturgies vinrent à fe
multiplier, à devenir votuinineufes , 8c â porter divers cara-
ôeres d’erreurs. La liturgie des G recs demeurée , à l’égard de
la tranfubftantiation, dans l’état de cette primitive fimplicité,
mcprifable à ceux qu’éclaire une foi plus étendue. Defeription
de la manière dont communient quelques églifes de Tranfyl- .
van.ie, la haute églife d’Angleterre, les églifes de Hollande,
L \
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