.'li
• 'il.
I feil
■ [f lllf
M O T
mdennc. Commsnt nos ancéircs dio.filToicnl ordma.rt-
,„cnl ce mot. Mots tic la mailbn royale de France, de celle
d'Anslctecrc, de l'ordre de la jarretière , «-c. X .765. .i.l oyct
fo u s Ia r t ic le c r tA fo r r r c , les mots que preoo.cm i>luf.eurs
inaifons de France. Mor dune devife. f'oyei D emse,
M o t , ( Cvmm. ) prendre au mot ; marchand qui n a qu un mot ; dernier mot du marchnnd. X. 765.
Mo t ( J'cncrk) Ibiuicr un ou deux mors. A.
? a S m r s \ o u s quelques califes abaffides. Excellent mill™
qu’un doaciir mululman trouve pour terminer ladifpute. X.
^6t h rovirr Mu t a z a LITES. ^ . c 1 r
” M Ü TE L LÈ , ( IM iy o l .) petit pmiTon de rmere. Sa def-
cription.Qualité de fa chair. Lieux où il cft commun.X. 7 6 ^ ^
M O T F T ( Mufuiue') les François rculhlTent dansce genre
de mufique. Auteurs dont les motets font fur-tout cftimes.
Sifinificaiion du mot motaus employe par les muliciens des
treize & qiiatorzicme fiecles. X. 76^. b.
Moms de Mondonville. 1» . 804. e. Koyt{ CoNCiRT spl-
’’ ’ b lO T E U R , {Hydrjul.) mefure de la force du moteur,
dans les maclfincs hydrauliques. X. 765. i.
MoTEfus , { afauiom. ) ncrfs de la troifieme & de la fixieme
paire qui fo„; mouvoir les yeux. Diftrlbutiou des moteurs communs, & des moteurs externes, X 766.U.
M O TH E -L E -V A f'E R , {François U ) oblcrvanons furfes
crinciDCS Sc fes ouvrages. XIII. 6 1 2. d. _
^ M O T IF {Morde) il y a peu d’hommes qui difcernent
bien les motifs fecrets qui les font agir. Cependant la con-
noilTance de nous-mêmes dépend de ce |ufte difcernement
Si le eoût de l’ordre & l’amour du bien lout les motifs de
nos acions.; la conf.diraiion publmue & la paix de la conf-
cience en feront la récompeule afl^ur« X 766 u.
Motifs qui déterminent l’amc dans lufage de fa liberté.
' Mo tif! ' (s '/tÿfî.) la principale penfee d’un air. Regies
fur la manicre de conduire le mont dans les deux parues de
l’air X 766 U. Les fécondés parties font plus paniculiete-
ment coiifacrées aux effets de l’batmooie. Mais en tout ceci,
r ! ’y â aucune loi mriverfelle. Les différens genres varient
les ptl’ccptes à l’infini. Le motif elt ce qui conftitue le plus
particuliérement le génie mufical. Le muficicu commencera
par choifir le mouvement propre aux paroles que le poeie lu,
a doimces. Uni. j6 6. t. H n’y a pomt de mufique fans mefure ;
mais le motif donne feul la vie 8c le caraaere a la pallion.
Variétés par lef<iuelles le jeu de 1 orelieflre & le chant ramènent
toujours au motif, .à l’idée princtpale.^ Airs fans fécondé
partie. Comment un chanteur qui a du goût fait rappeller le
motif de l'air. Un air cil l'cxprcffion d une leule idce m»C-
cale on’on a nommée fon motif. L ’ouvr,ige du geme Ce du
Poùt’ ell de k trouver 8c de le conduire. D ,lfercn.es maniérés
dont le goût s’exerce dans la conduite du motif. Uni 767. a.
Pourquoi le teionr de la même penfee plaît en mufique, &
déplairoit dans les ouvrages de poeCe 8c d eloqueuee. Sr
vous n c fa v e i conduire votre m o n f,.ln e fera point d effet.
11 ne faut pour un air que peu de paroles , dont 1 tdee fo.t
nnc 8t le réfultat d’une feule fituation. C e l l au retour du
motif 8c des mêmes paroles, que l’on doit les tmpreffions les
plus fortes 8c les plus débcieüfes. Itid. h. Cette repetition eli
ordinairement fubbme par la variété de déclamation, par
hauelle le compofiteur cherche à imiter les diftcrens accens
de la même palTion. Réflexions fur lufage de reprendre la
premiere partie de Va'.r après la fécondé. Raifons qui ont
eneacé à partager le drame en mufique, en récitatifs 6c en
airs Muficiens célébrés qui ont perfedioiuiela theone du drame
en mufique. Le récitatif ne doit être qu’une déclamation notée.
Ib d 768 a La mufique inftrumcmale fuit les regies 6c les
princiyes de la mufique vocale.Le génie de la mufique demande
peut-être plus de dèlicateflc 6c d’élévationqu’aucun autre art^
mais fes ouvrages ne réfifient point au tems. Ibtd. b.
Motif. Suppl. I. 238. .J. Pourquoi le retour du motif a tant de charme & de pouvoir. 239.
M O TOM A SE N , calife arabe. Suppl. 1. 15. b. Suppl, i l .
^M iO T R IC E , Force,{Méchan.) voyer FORCE.
M O T T E , {Gèo^r.) nom que les François ont donné à
* divers lieux’fitués fur quelque éminence. X. 768. b.
Motte, U , en Lorraine. Cette ville qui paffoit pour imprenable
fut prife en 1644 par M. de Villeroi. Cette place rafée
de fond en comble contre la parole donnée. X. 768. b. Voyc^
5CPP/. IV. 81 5. i". , rn T I V
M otte {EuuxihermaUs dans lcGraifivautlan.X.393,j.
Mo t t e , /rvrrm(/dri/m.) voyrj TRANSPLANTATION.
M o t t e , {Antoine de la ) voyr^ Ho u d a r T.
M o t t e v il le , {Géogr.) village à trois lieues 6c demie de
Caudebec en Normandie. Obfervations fur ce lie u , 6c fur
Françoife Berthaud, femme de Nicolas Langlois, feigneur de
Mottcvillç. Ses ouvrages. Suppl. 111. 964. b.
MO U M O T TH E , {RdmodoH de la) Suppl. IV . 697-
M O U CH ACHE ,{F liß. des drogues ) efpcce d’amidon faite
avec du fuc de manioc. Qualité 8c ufage du fuc de manioc
qui a vieilli , ou qui a été purifié par le feu. X. 769. <1.
Motichachc, iifagc de cette forte de fiibftance. X. 39. b.
M O U CH E , ( H if. nat. ) caraéleres diftinélifs des mouches.
Leurs principales parties. Les mouches divifées en deux claf-
fe s , felon M. de Reaumur, celles qui ont deux ailes, & celles
qui en ont quatre. Subciivifions de ces clafles. X.769. a. Les
caraéleres des genres font tirés du port des ailes 6c de la trompe
, de la figure des anienncs, & d’autres parties extérieures
du corps, 6c fur-tout des pollcricures. Ibid. b. Auteurs ^
coiifulter. Jbid. 77O. a. rr ■
Afé)wc/ic,caraflere du genre des mouches, felon Geofiroi.
Sa divifion p;u familles. Suppl. HL 965. b.
Mouches, diftérens genres 8c cfpeces de mouches. MH.
786. a , b. Du taft de la mouche. X V . 8 22. b.
Mouche de la gorge du cerf. Mouches des tumeurs des betes
à corne. X V I. 943. J , é.
Mo uche c o r n u e , { fd ß - «.«f.) fearabé d e l Amérique 6c
des ifies Antilles. Sa delcription. X. 770. a.
Mouches éphémères. V. 770. b.
Mouches luisantes, irctit înfeéle des pays chauds de
l’Amérique. Sa defeription. En quel tems ces mouches abondent
fur les arbres 8c les buiflbns. Mouches luifantes particulières
h la Guadeloupe. X. 770. b.
Mouches luifantes. IX . 7 1 1. -i. Elles perdent leur lumière
dans le viiide , mais la reprennent à l’air. V I . d o i . a.
Mouche a miel , Miel. ( Econtm. rußiq. ) obfervations
faites fur les abeilles du diocef» de Narbonne & du •
RoulTillon. Tems de la fortie des elTaims. X. 770. b. Toutes
les ruches ne donnent pas d'os effaims, ni du miel tous le*
ans. Il en cft au contraire pendant lefquels l’un 8c 1 autre
abondent. D'où viennent ces différences. Quand le nombre
des elTaims efi grand, la durée da l’apparition depuis le prämier
jufqu’aii dernier efl plus longue. On doit en ces annecs-
là porter plus d’attemion à châtrer les ruches, & le faire à
plufieurs reprifes. Dégoût de quelques effaims pour certaines
ruches. Ibid. 771. a. Caufes des tranfmigrations. Si Ion
ne veut pas de petits elTaims , il faut châtrer les ruches
dés qu’elles ont donné des effaintS,quand on reconuoîtra qu ils
deviennent plus petits ; dès-lors eWes chercheront plutôt a
réparer leur perte qu’à engendrer, 6c Ton éviteroit d e vo ir
périr ces ruches-meres, fuite ordinaire de lépuifement. Si
Ton veut profiter de leur fécondité, il faut propornoniier la
grandeur des cailTes à la grofieur des elTaims. Ibid. b. Grandeur
6c figure des ruches dans le climat de Narbonne. A vantages
des ruches courtes ou balTes. Comment on 'prépare le
local pour les ruches. Choix de ce local. Ibid. 772. On
do’t tenir bouchées exaélement les ruche», aux petits paflages
près à laifTer aux abeilles, afin de les préferver des ardeurs
du foleil, des vents 6c du froid. D e vieilles abeilles ne peuvent
être tranfportécs fans danger d’une ruche dans une
De la confeSlion du miel. Récoltes annuelles dans le diocele
de Narboune 6c dans le RoulTillon. Différence entre celui du
printems 8c celui d’automne. Comment fe font ces récoltes.
Ibid. b. Inconvéniens attachés aux pratiques indiquées ; moyens
de lever ces inconvéniens. Ibid. 773. a. Pourquoi des gâteaux
élevés en même tems dans une ruche , font différemmenc
nuancés. Le miel doit être levé par reprifes, en commençant
par les ruches qui ont donné les premiers elTaims. Ibid. b.
buite des pratiques à obferver dans la récolté du miel. Moy eni
de Tépurer. Ibid. 774. a. ^ . . . .
Mouches à miel des ifies de l’Amérique. Leur dclcnpnon.
Qu-ilité de leur miel. X. 774- u. Qualité Ôc ufages dC’ la cire.
Mouche laliße. . • r a • Sa defcriptlon. Propriété de cet miette qui
lui a fait donner le nom de balifte. X. 774. b. Réflexions lut
les petits boulets lancés par cette mouche , que Tautcur juge
être fes oeufs. Ibid. 77e,. a.
Mouche, oifeau , III. 616. b. XI. 44^*
Aftiuc/uappellée tipule. X V I. 339. a.
Mouche , ( Science microfeop. ) beautés decouvertes dans
la mouche commune à Taide du microfeope. (Eufs de la femelle.
X. 77 K. b. . V /-V, .
Mouche-dragon , ceil de la , { Science microf-op.) Obr
fervations fur cet oeil au moyen du microfcope. X. 775. é.
Mouche-grue , ( Science mkrojcop. ) c.xamen de les piés,
de fes inceftins , 8c de la queue de la mouche femelle. X .
^ M o uche â tarriere ( Infdl. ) caratteres communs à ces fortes
de mouches, & à ceUes qu’on appelle mouches a ja e .
Suppl III 963. b. Caratteres qui les diftmguent. Larves de
ces uifettés. La plupart de ces larves font cachées dans ces
galles ou tubirofités qui viennent fur les feuilles ou tiges de
diverfes plantes. Hiftoire naturelle des mouches à « " le r e .
Leur divifion eu îroi* familles, Ouvrages à confoUer. JJud.
966. U.
MOU M ouche végétale , ( HiJI. nat. ) diverfes relations fur
ctttc forte de fingularité dans Thifioirc naturelle. Suppl. III.
^^MouCHE, (A/yM. ) dieu dofinittsur des mouches. I. 97.
s. IL 190- U itu des mouches. Suppl. I. é.
Mouche , {Aflron. ) on Tabeille. Confiellation méridionale.
Nombre de fes étoiles. Afcenlion droite 6c. décUnaifon
de la principale. 5/ip;»/. III. 963. b.
M ouches , ( Médec. ) Douleurs de Tcnfantcmcnt ainfi
nommées. V . 663. a.
Mouche, en terme de décoiipcur. X. 776. a.
Mouche, pié de, (Imprim.) XII. 363. a.
Mouche ,jcu de la , { Jeux) Defeription 8c regies de ce
jeu. X. 776.
MO UCHEROLLE , (OrnùA. ) Defeription de Toifeau de
ce nom. X. 777. a.
M OUCHERON , ( InfeHolog. ) defeription de cct infette.
X. 777. a.
Moucheron d'Amérique appelle moufiique. X. 823. u , h.
M O U C H l, {Antoine) S u p p l.W . 363. b.
MO UCHOIR S , {Nijhanc. Mod.) mouchoirs de cou des
anciens, voyr{ Focale. Mouchoirs , felon Tufage moderne.
Suppl. III. 733- b. Mouchoir nommé Stinkerque. X V . 311. a.
M O U D O N , ( Géogr. ) ville de SiiilTe. Sa fituation. Tems
auquel ce heu fut fermé de murs 6c acquit des privileges.
Etendue de fon bailliage. X. 778. a.
MOUDRE/r blé,voyc:^ MEUNIERS, MoULlN 8c MoUTURE.
M O U E T T E , mouette blanche, ( Ornithol. ) Defeription de
cet oifeau. X. 778. a.
Mouette bnutc, Mouette cendrée , Moiulte-grife , grande
Mouette grife. ( Ornit/i. ) Deferiptions de chacune de ces
efpeces d’oifeaiix. X. 778. b.
Mouette , oifeau de cette clalTe nommé tarrock. X V .
918. 4t.
U O V 'E E E ïT ïS ,{HiJl. nat. Mincralog.) Foye^ EXHALAISONS
Minérales. Pour peu que Ton confidere la nature,
on s’apperçoit qu’il part de tous les corps des émanations plus
ou moins fenfibles. X. 778; b. L’expérience prouve qu’il regne
Tbuvent une chaleur très-fcnfible dans Tintéricur de la terre.
Formation des mouffettes par Tattion de cette chaleur. Celle
du foleil en produit fouvent à la furface de la terre. Danger
de fc coucher 6c de s’endormir fur Therbe, lorfqiie les premieres
imprelTions du foleîl fe font fentir au printems. Combien
des effets femblables doivent être plus fenfibles à l’intérieur
de la terre. Différentes fortes de mouffettes', felon
la diverfité des principes dont elles font chargées. Nature
de ta vapeur qui fe fiiit fentir dans la grotte du chien au
royaume de Naples. Ibid. 779. a. Mouffettes qui s’élèvent
dans les fouterreins d'où Ton tire des charbons de terre 6c
des fubfiances bitumeufes. L’air 6c Teau confidérés comme
véhicules des vapeurs qui s’élèvent dans les mines. Vapeurs
artificielles excitées dans les fouterreins où Ton fait- du feu
pour «ttendrir la roche qui enveloppe le minerai. La vapeur
du charbon brûlé elt une forte de mouffette. Principaux
phénomènes qui accompagnent les mouffettes qui s’excitent
dans le fein de la terre. Ibid. b. Phénomènes finguliers
que prefente une mouffetoe qui fe fait fentir dans une carrière
qui eft tout auprès des eaux minérales de Pyrmont en
Wefiphalie. Vapeur qui s’éleva d’un puits que des ouvriers
creufoient dans Tifle de W ig h t, qui fit abandonner cet ouvrage.
Source d’eau minérale en Hongrie, à Ribar , que
l’on peut boire ,mais qui tue les animaux qui en approchent.
Ibid. 780. a.
Mouffettes : il en efi parlé. III. 192. a , b. V I . 234. b. 233.
a , b. X. 378. b.
MOUFFLE , ( A/d't’/i.m. ) alTemblage de plufieurs poulies.
La force nécefi'aire pour foutenir un poids par le moyen d’une
mouffle efi au poids lui-méme comme limité cft au nombre
des poulies. X . 780. a. Conféquences de cette propo-
fition. Comment on trouve le nombre des poulies que doit
avoir une mouffle , afin d’élever un poids donné avec une
puiffancc donnée. Réflexion fur les îVotteniens caufés par
la multiplication de poulies. Maniéré la plus avantageufe de
difpofer les cordes. X. 780. b.— Pa l a n .
Moufle , efpecc de mouffle appellee par les anciens polyf-
pafion. XII. 934. a. Defeription des mouffles de charpentiers.
XIII. 69> b. Utilité de ces machines : théorème fur
lequel efi fondé leur effet. 204. b. Les poulies moufflées ne
peuvent jamais avoir tout Teffet que promet la théorie. IV.
■ 209. 4. Mouffles repréfentés vol. V lI I . des planches , article
Sculpture , élévation du Marbre, pl, 2.
Mouffle , (CAy/nif ) defeription de cette partie du fourneau
d’effai ou de coupelle. Confidérations fur la qualité , 1'a
conftruttion & l’emploie des mouffles. X. 780. b.
Mouffles duchymifte.Dejleur fabrication. Suppl. IV. 318. é.
Mouffle, (Gan/w. ) X. 781. a.
Mouffle , ( Serrurier) barre de fer à Textremité de laquelle
on a pratique des yeux. Delpription 6c ufage. Fabrication
d’une mouffle. X. 781. a.
M O U 2 5 9
MO UFFLON , ( Zoolog. )rcpréfcmé VI. vol. des planch.
Regne animal, pl. 3,
M O U IL L A G E , {Marine) tous les endroits où Ton peut
mouiller, ne font pas également bons 8c fùrs. X. 781. b.
Mouillage, Thyr^ Ancrage. Signaux de mouillage. X V .
186. b.
Mouillage , (Cormycwr) defeription de deux fortes de
mouillages. X. 781. b.
MOUILLÉES , articulations , ( Gramrn. ) IX. 337. a. De
leur effet pour Tharmouie du fiyle. Suppl. III. 303. b.
M O U IL LE R , ( Marine ) jetter l’ancre. Defeription de
cette manoeuvre. Mouiller à la voile , en croupière , en
patte d 'o ie , mouiller les voiles. X. 718.^.
AfouiV/fr, terme employé dans quelques arts. X. 781. b.
M O U L A G E , de pièces d’orfèvrerie , vol. V . des planch.
Fonte de Tor, de l’argent 8c du cuivre.
MOULE , ( Ichtbyol. ) defeription de ce poiffon. Lieux où
il vit 6c oîi il dépofe fes ceufs. Comment il fe nourrit. X.
78a. a.
Moules , ( Conchyol. ) deferiptions de ces coquillages de
mer 8c d’eau douce. Comment ils fe meuvent, ék cherchent
leur nourriture. X. 782. h. Comment ils rcfpirent Teau. D iverfes
maladies auxquelles fontfujettes les moules tic rivicre.
C e qu'elles font lorfcjiTclles fenteni le froid. Comment elles
fortent de leurs coquilles 8c y rentrent. Ifi'ue des excrémens
de ces animaux. Delcription de la moule par M. de Fon-
tenelle. Ibid. 783. <j. Divifion des moules : il y en a de mer,
d’étaiig 6c (le riviere. Leurs divers mouveinens. D e l’ouverture
de la coquille des moules. Maniéré dont les moules fe
ferment, entrent dans leur coquilles, 8c s’enterrent dans 1»
fable. IbiJ. b. Leur mouvement progrcfl'if. Ibtd. 784. a. Maniéré
finoulicrc dont les moules de mer s’attachent aux corps
voifins. Fils qu’elles jettent. Ibid. b. Defeription 6c ufages
de la partie de la moule qu’on appelle communément fa
langue. Manicre dont elle forme les fils. Ibid. 783.4. On
ignore fi les moules peuvent détacher les fils avec lefquels
elles fe font une fois fixées. Voltigement de La moule des
étangs. Anatomie des moules. Ibid. b. Leurs maladies. Ibid.
786. b .,Animaux qui percent les moules. Moules extraordinaires.
Vertus attribuées à ces animaux. Phyficiens qui
méritent d’être confulçés fur les moules. Ibid. 78.7. a.
Moules d’eau douce. IV . 187. a. D e mer. 188. b. Différence
encre les fils de la moule & ceux de la pinne-marinc.
RciTemblance entre ces deux fortes de coquillages. XII. 642-
4. Moules repréfenrées, vol V I . des planches , regne animal,
pl- 73-
Moules , ( Pêche ) Diverfes obfervations relatives à cette
pèche. X. 787. 4.
Moules , {Hydraul. ) X. 787. b.
Moule de 'maçon , ( Archit. ) X. 787. b.
P Moule de fu ju , {Artificier. ) X. 787. b.
Mo ule, {Batteur d’or) X. 787. b. — Foyei Ba t te uU
d’O'r.
Moules , ( Bouton.) Comment fe font les moules pour les
boutons planés. X. 708. b.
Moule de couronne. DifFérentes acceptions du mot moule.
X. 788. 4.
Moules de boutons repréfentés planch. 2. du bomonnieïl
vol. II.
Moules , ( Cartier. ) X. 788. a.
Moules dans lefquels on fait prendre certaines formes à
la c ire, ou carton, 6cc. Suppl. II. 632. b.
M.OVLZ, {Chandelier ) defeription de cet infiniment. X.
788. 4i
Moules, deux fortes de moules que portent avec eux les
petits chauderonniers qui courent la campagne ; maniéré dont
iis coulent les cuillers 6c les falieres. X. 788. b.
Moule , ( Épinglier. ) X. 788. b.
Moule, {Fonderie) deux fortes de moules des fondeurs
en bronze : moule de plâtre : moule de potée. X. 788. b.
Moule, noyau de moule. XL 267. a , b. 268. a. Armature
defiince à porter le noyau 6c le moule de potée. I. 686.
4. Moule pour la fonderie en bronze. IL 437. b. Maflîfde
terre dont on remplit la fofie autour du moule. V . 719. a,.
Jets du moule. V I ll. 327. b. Moules pour la fonte des fiatues
équeftres , vey^ç les dernieres planches du VIIL. volume.
Moule pour les pièces d’artillerie. Voyeç_ V". vol. des planches
, Fonderie des canons.
Moule , ( Fo/jd. de cloche) ^oyf^; Cloche.
Moule à fondre les caratteres d’imprimerie. Sa defeription
6c fon ufage. X. 788. h.
Afou/<îj de médailles antiques: médailles moulées. X . 246.
b. 247. 4.
Moule , ( Fondeur en fable. ) — Foyer SabLE.
Moules , pour les ouvrages en fer. V i l. 134. b:
Moules , ( Gainier) X. 789. 4.
Moules des Orfevres. Les orfèvres fe fervent des moules
de fable des fondeurs, & quelquefois , pour de petits objets
, de Tos de feche : comment on le prépare. X. 789. 4,